L’Etablissement de transport urbain et sururbain d’Alger (ETUSA) a mis en place un dispositif spécial pour desservir les cimetières à Alger durant les deux jours de l’Aïd El Fitr, a indiqué lundi l’entreprise dans un communiqué.
« L’Etusa informe ses usagers qu’un programme spécial « Aïd El Fitr » a été conçu pour permettre à la population algéroise de se déplacer aisément vers les différents cimetières de la capitale », a-t-elle indiqué.
A cet effet, cinq stations (point de départ) ont été désignés pour desservir en navettes spéciales les nombreux cimetières d’Alger selon le programme suivant :
– De la station Place du 1er mai à destination des cimetières d’Al-Alia, Garidi, Sidi Yahia, El Madania et Ben Aknoun.
– De la station Place des martyrs à destination des cimetières d’Al-Alia, El Kettar (côté haut et bas), Aïn Benian et Bouzareah.
– De la station Chevalley à destination des cimetières de Beni-Messous, Dely-Brahim et Ouled-Fayet.
– De la station Bachdjarrah à destination des cimetières d’Al-Alia par Sidi-Tayeb.
Par ailleurs, des liaisons sont également prévues au départ des localités de Chaibia, Birtouta, Sidi M’hamed, Ed-Dalia, Zeralda, Rouiba pour rallier les différentes stations de liaisons, a-t-on ajouté.
L’Etusa a, en outre, précisé que d’autres cimetières seront également desservies par le réseau de lignes régulier à l’exemple d’Aïn Benian, Miramar, Rouiba, Sidi-Mennif, Ain Taya et Heraoua. APS
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ALGER- Le bureau du Conseil de la nation, réuni lundi sous la présidence de Abdelkader Bensalah, président du Conseil, a décidé de reprendre ses séances plénières à partir de lundi 18 juin en cours pour la présentation et le débat du projet de loi organique relative aux lois des finances, indique un communiqué du Conseil.
La séance du mardi 19 juin sera consacrée à la présentation et au débat du projet de loi modifiant et complétant l’Ordonnance 28-71 du 22 avril 1971 portant Code de justice militaire, tandis que la séance du jeudi 21 avril sera consacrée aux questions orales, précise la même source.
Dans le même contexte, le Bureau a examiné nombre de questions orales et écrites et a décidé de les transmettre au Gouvernement, car répondant aux conditions requises, outre l’examen et l’adoption d’une instruction générale relative à l’organisation des activités externes du Conseil de la nation.
La réunion du Bureau a été précédée par une rencontre de concertation entre le président du Conseil et les présidents des groupes parlementaires, ajoute le communiqué.
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« Les appels se sont multipliés û encore tout récemment par une pétition que j’ai cosignée dans l’Humanité û pour qu’un dernier pas soit franchi afin que cette reconnaissance faite à titre personnel devienne enfin une reconnaissance officielle, historique. La famille attend depuis si longtemps », a écrit dans une tribune publiée lundi sur le site The Conversation, un média indépendant, basé sur du contenu provenant de la communauté universitaire.
Pour ce député de La République en marche (LREM, fondé par Emmanuel Macron), « l’idée faisait son chemin que l’Etat français devait évoluer sur cette question pour participer au travail de réconciliation de sa mémoire et pour contribuer à assainir les relations entre France et Algérie », rappelant que l’ex-président François Hollande avait admis, pour la première fois, que Maurice Audin était mort en détention en donnant instruction au ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, de rendre accessibles toutes les archives classifiées en la matière.
« Un grand pas certes, mais un progrès incomplet ! Il faut dire que les plaies de la guerre d’Algérie sont encore si vives pour notre nation, et si mal refermées, que chaque pas est complexe et peut donner lieu à polémique », a-t-il jugé, indiquant que l’engagement du président Macron dans le dossier algérien « laissait espérer que l’Etat puisse aller plus loin et enfin reconnaître sa responsabilité dans ce qu’il faut bien appeler l’assassinat de Maurice Audin ».
Cédric Villani a rappelé dans ce contexte qu’en janvier dernier, à l’occasion d’une cérémonie en l’honneur de Gérard Tronel (mathématicien), il recevait du chef de l’Etat « la mission de faire part de sa conviction personnelle qu’il s’agissait effectivement d’un assassinat ».
Sur la question de l’histoire commune entre la France et l’Algérie, le député a relevé que le travail de mémoire « n’est toujours pas abouti ».
« Plein de non-dits en France, le débat est au contraire presque omniprésent en Algérie », a-t-il dit, estimant que les deux destins sont liés « pour notre bénéfice mutuel ».
« Et sans doute la mise au clair de l’affaire Audin fait-elle partie des obstacles à franchir pour permettre cette bonne coopération », a-t-il ajouté.
Le 31 mai, plus d’une cinquantaine de personnalités, historiens, politiques, juristes, journalistes et cinéastes, ont demandé au président Macron de reconnaître la responsabilité de l’Etat français dans l’assassinat par l’armée française de Maurice Audin.
« Le 11 juin 1957, pendant la bataille d’Alger, Maurice Audin, mathématicien communiste de 25 ans, était arrêté par les parachutistes du général Massu devant sa famille, avant d’être torturé. Le jeune assistant à la faculté d’Alger n’en est jamais revenu, et l’armée française a fait disparaître son corps », ont rappelé les signataires du lettre ouverte adressée au président Macron, soulignant que tous ceux qui ont travaillé sur cette « affaire » ont établi que Maurice Audin avait été torturé et assassiné par l’armée française, agissant dans le cadre des pouvoirs spéciaux votés par le pouvoir politique.
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ALGER- Le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (FOREM), Mustapha Khiati, a affirmé lundi que les chiffres officiels relatifs au travail des enfants en Algérie étaient « loin de refléter la réalité », car ils n’englobaient pas la catégorie des enfants activant dans un cadre informel comme les rues et les marchés anarchiques.
« Des statistiques réelles sur le travail des enfants au niveau national exigent obligatoirement une coordination avec toutes les composantes de la société civile », a précisé M. Khiati à la veille de la célébration de la Journée mondiale de la lutte contre le travail des enfants (12 juin).
Estimant que le taux avancé l’an dernier (0,5 %) par le ministère du Travail, de l’emploi et de la Solidarité nationale ne reflète pas la situation réelle du phénomène, le président de la FOREM explique que la Commission multisectorielle, chargée du dossier, se réfère aux chiffres avancés par les inspections du travail qui contrôlent uniquement le secteur économique organisé sans associer la société civile.
Ainsi, ces chiffres se limitent au seul champs des sociétés et entreprises soumises au contrôle prévu par la loi, alors que le cadre informel (marchés anarchiques, plages, fermes, chantiers, mendicité) constituent l’espace qui attirent le plus cette catégorie pour plusieurs raisons, dont la pauvreté et la déperdition scolaire, a-t-il ajouté .
Cette situation a induit une différence entre les chiffres avancés annuellement par les associations qui activent dans le domaine de l’enfance en détresse et les instances officielles, d’où la nécessite d’une approche intégrée basée sur la coordination entre les deux parties pour une évaluation plus crédible et réelle.
Cependant M. Khiati a fait état du recul du phénomène de travail des enfants en Algérie bien qu’il demeure une réalité difficile vécu par de nombreux enfants, expliquant ce constat par la hausse de la tranche d’âge 16-25 ans qui est davantage sollicitée que les enfants de moins de 16 ans en raison de leur excellente condition physique et le faible coût de cette main d’oeuvre.
En dépit de l’arsenal juridique national qui se renforce d’année en année en matière de lutte contre le travail des enfants, à leur tête la loi sur la protection de l’enfance, les dispositions du Code du travail et le caractère obligatoire de l’enseignement jusqu’à l’âge de 16 ans, le phénomène de travail des enfants n’est pas éradiqué puisque de nombreux enfants continuent à travailler, même partiellement, soit après les heures d’étude et durant les vacances, a ajouté M. Khiati.
Rappelant l’impact négatif du travail sur la personnalité de l’enfant et son parcours scolaire, M. Khiati a indiqué que les parents assumaient une grande responsabilité, d’où la nécessité de « renforcer les dispositions juridiques traitant de ce volet en allant même jusqu’à la pénalisation ».
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ALGER-La Déléguée nationale à la Protection de l’enfance, Meriem Chorfi a déclaré lundi que l’Organe national de protection et de promotion de l’enfance recevait quotidiennement via le numéro vert « 11-11 » entre 3 et 4 signalements de cas d’exploitation économique des enfants.
L’Organe reçoit quotidiennement sur son numéro vert « 11-11 » entre 3 et 4 signalements concernant l’exploitation économique des enfants, dont certains vendent des produits ou des marchandises sur la route, se trouvant ainsi en situation de danger nécessitant une intervention pour les protéger, a indiqué à l’APS Mme. Chorfi à la veille de la Journée mondiale contre le travail des enfants, célébrée le 12 juin de chaque année.
L’Organe national de protection et de promotion de l’enfance transmis le signalement de cas d’exploitation au Service en milieu ouvert (SMO) relevant du ministère de la Solidarité nationale, constitué d’éducateurs, d’assistants sociaux, de psychologues et de juristes et en charge de la protection sociale des enfants au niveau local, en coordination avec les instances et les institutions concernées par l’enfance, a-t-elle précisé.
Le SMO engage, après confirmation de l’information, un suivi de la situation de l’enfant en danger en amenant la famille à prendre les mesures adéquates pour éloigner l’enfant du danger auquel il est exposé dans un délai fixé. Il veille en outre à fournir, le cas échéant, l’aide nécessaire à la famille de l’enfants concerné, en coordination avec l’instance chargée de la protection sociale, à l’instar des Directions de l’action social.
La loi prévoit de fermes sanctions à l’encontre de toute personne impliquée dans l’exploitation économique des enfants conformément à l’article 139 qui stipule « est puni d’un emprisonnement d’un (01) an à trois (03) ans et d’une amende de 50.000 DA à 100.000 DA, quiconque exploite économiquement un enfant ». « La peine est portée au double lorsque l’auteur de l’infraction est ascendant de l’enfant ou le responsable de sa sauvegarde », a rappelé Mme. Chorfi.
Par ailleurs, Mme. Chorfi a expliqué que la question de l’exploitation économique est plus « large » vu qu’elle se produit en tout temps et en tout lieu alors que le travail des enfants se limite uniquement dans le domaine du travail règlementé et régis par l’inspection du travail.
Dans ce contexte, Mme. Chorfi a rappelé l’article 2 de la loi 15-12 du 15 juillet 2015 relative à la protection de l’enfance qui stipule qu’un enfant en danger est « l’enfant dont la santé, la moralité, l’éducation ou la sécurité sont en danger ou susceptibles de l’être ou dont les conditions de vie, ou le comportement sot susceptibles de l’exposer à un danger éventuel ou compromettant son avenir, ou dont l’environnement expose son bien-être physique, psychologique ou éducatif au danger ».
Soulignant que l’exploitation économique de l’enfant, en l’employant ou en chargeant d’un travail, l’empêche de poursuivre normalement sa scolarité, la Déléguée nationale à la Protection de l’enfance a cité, entre autre cas ou l’enfant est en danger, l’atteinte à son droit à l’enseignement ou son utilisation à des fins de mendicité.
La protection des enfants de l’exploitation économique « est la responsabilité de toute la société », estime Mme Chorfi qui met en avant l’importance de « la conjugaison des efforts », d’autant que certains cas peuvent ne pas être visibles, comme l’exploitation des mineures dans les foyers ou dans les ateliers du marché parallèle. C’est pourquoi, a-t-elle estimé, il est primordial que les citoyens adhèrent à la démarche de signalement en tout que moyen indispensable de lutte permettant d’intervenir à temps pour la protection de cette frange des dangers induits par cette exploitation.
Evoquant les dispositions de la loi 90-11 relatives aux Relations du travail, définissant les conditions et les modalités de recrutement, Mme. Chorfi a rappelé que l’article 15 stipule que « l’âge minimum requis pour un recrutement ne peut, en aucun cas, être inférieur à seize (16) ans sauf dans le cadre de contrats d’apprentissage établis conformément à la réglementation en vigueur ».
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Né en 1956, Lounès Matoub est un chanteur algérien d’expression amazighe (kabyle) très connu pour son engagement pour la cause amazighe, rappelle-t-on. Kidnappé puis relâché par les groupes terroristes armés en 1994, Matoub a été assassiné le 25 juin 1998 par un groupe terroriste pas loin de son village natal, Taourirt Moussa (commune de Beni-Douala, Tizi-Ouzou).
Karim Bazziz a indiqué que plusieurs artistes algériens participeront à ce concert, citant entre autres Hamidou, Amazigh Kateb, Malika Yami, Hacène Ahres, Noura Chennane, Karim Yeddou, Kamel Bouyakoub et Kamel Syamour, précisant que la direction artistique sera assurée par Arezki Baroudi.
L’originalité de cet événement, selon la même source, est que tous les titres de Matoub joués pendant ce concert se feront avec de « nouveaux arrangements » préparés par le célèbre percussionniste (batterie) Arezki Baroudi, « comme le souhaitait Matoub Lounes de son vivant ».
Pour faciliter le déplacement des spectateurs, le Président de l’association a indiqué qu’un transport gratuit sera assuré à partir de Creil (département de l’Oise, région Hauts-de-France) vers le palais des Sports à Paris. Les intéressés devraient s’inscrire à l’avance au niveau du bureau de l’association pour le transport.
L’Association culturelle des Berbères de l’Oise a été fondée en 2014 à Creil. Parmi ses objectifs, figurent la promotion de la culture berbère, l’enseignement de la langue amazigh, l’organisation d’évènements musicaux, l’initiation des jeunes dans le monde du travail à travers des stages et l’organisation d’activités sportives.
Elle est très active sur la scène culturelle amazighe, notamment par l’organisation de la fête du nouvel an amazigh, Yennayer, au début de chaque année et l’enseignement gratuit de la langue amazighe à ses membres issus de l’immigration algérienne en France, ainsi que l’organisation de cours de soutien pour les élèves.
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By Wahiduddin Mahmud
Jun 11 2018 (The Daily Star, Bangladesh)
There are two prominent themes of contemporary development discourses, both lacking a consensus, as reflected in academic research and in their popular versions in bestseller books. One of these is about finding the reasons for the decline of democracies since the late 1980s and the early 1990s when the erstwhile military rule and dictatorships gave way to democratically elected regimes in many developing countries. A representative book on this is Competitive Authoritarianism: Hybrid Regimes After the Cold War by Steven Levitsky and Lucan A Way. Levitsky has also recently co-authored another bestseller, How Democracies Die, with his Harvard University colleague Daniel Ziblatt. The second theme is about how the quality of governance could explain why some countries economically prosper and others do not. On this, one of the best-known books is Why Nations Fail: The Origins of Power, Prosperity, and Poverty, co-authored by two well-known political economy experts, Daron Acemoglu and James Robinson. The two themes, though interrelated, are quite distinct, and much confusion is created by not recognising these as such.
At the time of the so-called new wave of democratisation across the developing countries, it was believed that these countries would pass through an initial transition phase for building and consolidating their democratic institutions. In reality, only a few followed this path of gradual deepening of democracy; Indonesia or Botswana are often cited as examples. Some others degenerated into unstable and fragile states and returned to authoritarianism or worse. But in most cases, the transition phase did not lead to more democracy, but resulted in a new kind of stable hybrid regimes—authoritarianism mixed with democratic institutions in various degrees.
The initial democratic aspirations in most of the countries did not materialise for various reasons. In some cases, such as in South Africa, Singapore or the erstwhile Malaysia under Mahathir’s rule, the dominance and popularity of a single party left little room for multi-party democratic competition. Sometimes, charismatic leaders like Hugo Chavez of Venezuela who themselves did not believe in democracy but enjoyed popular support, came to power through genuinely contested elections. More often, however, democracy was gradually weakened at the hands of democratically elected leaders faced with fading popularity.
In the latter case, democracy is diminished slowly, in barely visible steps, unlike in an abrupt fashion of a military coup. The nominally democratic institutions remain in place and these steps are taken “legally”, in the sense that these are approved by the legislature and accepted by the courts; yet democracy is subverted by more subtle means, by gradually eroding the credibility of state institutions including higher judiciary, capturing the business bodies, bullying the media, curtailing the space for civic activism, and rewriting the rules of politics to tilt the playing fields against the opponents. A former president of Kenya, Daniel arap Moi, once famously remarked: Politics is not a football game that you need a level playing field. Ironically, thus, democracy may ultimately die at the hands of those leaders who got elected with a popular mandate to strengthen democracy.
When it comes to the economic performance of these hybrid regimes, it will depend on how they are advantaged or disadvantaged by the democratic and authoritarian characteristics that they simultaneously embody. We now know that developing countries can achieve high economic performance both under democracy—as in India—and under authoritarian regimes—as in contemporary China and the erstwhile East Asian countries. The common element shared between these contrasting governance systems seems to be “accountability”, which lies behind the more proximate preconditions for good economic management such as efficiency and the primacy of public good over private gains through rent-seeking.
The way accountability in policymaking is ensured in a well-functioning democracy is too well-known to need elaboration, but the issue is more complex in the case of the successful authoritarian regimes. In the case of the erstwhile authoritarian regimes in East Asia, the key to ensuring accountability lay in their quality of economic bureaucracies which were “technically insulated” from patronage politics and whose policies were subject to performance-based scrutiny. In China, the governance reforms introduced in the wake of economic liberalisation have put in place a hierarchical system of strict accountability within the communist party’s bureaucracy regarding achieving economic targets. As one commentator on China has aptly brought out the contrast in the structure of performance incentives under democratic and authoritarian regimes: in democracy, politics is interesting while bureaucracy is boring; in China, the reverse is true.
The new breed of authoritarian democracies may try to deliberately pursue an approach of “technical insulation” of economic policymaking, as Malaysia did under Mahathir’s previous regime; but these regimes generally lack the kind of governance effectiveness or party cohesion that is needed for mimicking the purely authoritarian mechanisms of accountability. At the same time, the regimes have the advantage of having some of the democratic accountability mechanisms. Even poorly functioning democratic institutions can help. How?
So long as the ruling regimes face periodic well-participated elections, they are aware of the risk that even flawed or rigged elections may be lost; this may happen if the extent of corruption in high places and the excesses of patronage politics cross certain thresholds of public tolerance. The voice of the opposition party even in a weakly functioning parliament of elected representatives may sensitise public opinion against excesses committed by the ruling regime. In case of rigged elections and non-functional parliaments, the watchdog bodies and the judiciary can act as a fallback, even when the integrity of these state institutions is compromised to an extent. Beyond these institutional mechanisms of accountability, the media and civic activism can be another fallback. And lastly, the ruling regime knows that its survival ultimately lies in its legitimacy in the eye of the common people, unless it increasingly resorts to coercive measures to stay in power. In a hybrid regime, that legitimacy can be maintained only by compensating the democratic deficits by delivering visible, rapid economic progress.
Herein lies a potential for both a virtuous and a vicious cycle in the new hybrid authoritarian democracies. Strengthening the democratic institutions of accountability may contribute to creating an environment for better economic performance that may in turn enhance the legitimacy of the regime, thus creating incentives for the regime to further loosen its authoritarian grip on those institutions. The opposite is a downward spiral of lesser accountability leading to poorer economic performance and even further curtailing of the democratic accountability mechanisms in the face of declining regime legitimacy. Only countries with exceptionally strong growth drivers that can withstand poor economic governance can escape such a vicious cycle, at least for some time.
At one point or another, many of the new democracies may thus find themselves to have arrived at such a crossroads. Whether a country will choose the right direction at such a time will depend on a range of factors like the prevailing norms of political behaviour, aspirations of the people, and the vision and statesmanship of the political leadership. These factors are mostly country-specific, so that academic generalisations based on stylised facts are not of much help in making predictions.
Wahiduddin Mahmudis a former professor of economics at the University of Dhaka and is currently on the Board of Global Development Network.
This story was originally published by The Daily Star, Bangladesh
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(B2) Un hélicoptère bulgare Mi-17 (de fabrication russe) s’est écrasé ce lundi soir sur la base aérienne de Krumovo (près de Plovdiv dans le sud de la Bulgarie). Pour une raison encore inexpliquée, l’hélicoptère a fait une chute de 50 mètres, a confirmé le ministère bulgare de la Défense. Malgré l’intervention des secours et du personnel incendie de la base, pour empêcher l’explosion de l’hélicoptère, le pilote et le copilote sont morts. Le troisième membre de l’équipage, le mécanicien a pu être récupéré, gravement blessé mais conscient et emmené à l’hôpital. Une enquête a été diligentée.
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Deux personnes ont trouvé la mort et six autres ont été blessées lundi dans un accident de la route survenu sur le tronçon autoroutier de Lakhdaria (Ouest de Bouira), rapporte l’APS en citant les services de la Protection civile de la wilaya.
L’accident a eu lieu sur le tronçon autoroutier de Lakhdaria et sur la voie menant vers Alger, suite à une collision entre deux camions et un bus de transport de voyageurs, ce qui a causé la mort de deux personnes ainsi que des blessures de différents degrés à six autres, a expliqué à l’APS le chargé de la communication de la direction de la Protection civile de Bouira, le capitaine Rahmani Raouf.
Les deux personnes décédées ont été évacuées vers la morgue de l’établissement public hospitalier de la ville de Lakhdaria, structure vers laquelle ont été également transportés les blessés, a ajouté le même responsable.
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BLICK trifft Brasiliens Altmeister Jairzinho am Strand von Rio und spricht mit ihm über seinen ewigen Rivalen Pelé und darüber, weshalb Brasilien Top-Favorit der WM ist.
Wer Jairzinho, den brasilianischen Weltmeister von 1970, treffen will, der begibt sich am besten in die Taberna Atlantica. Die Kneipe an der Copacabana ist sein zweites Zuhause. Sein Appartement ist nur eine Strassenecke entfernt.
Das ist gerade nach einer durchzechten Nacht äusserst hilfreich. Jairzinho trinkt und feiert gerne. In Brasilien ist der untersetzte Mann mit dem Bierbauch immer noch ein absoluter Topstar. Wo immer er sich zeigt, muss er für Dutzende von Selfies hinhalten. Unzählige Male malt er seinen Namen auf T-Shirts und wechselt dabei souverän zwischen Bier- und Whiskeyglas. Zu den Drinks lässt er sich konsequent einladen.
In lichten Momenten erzählt er von damals, als er bei der WM 1970 in jedem Spiel ein Tor erzielte. Ein Rekord, der bis heute unerreicht ist. Sir Alf Ramsey, damals Coach der Engländer, sagte über den Flügel: «Jairzinho war bei diesem Turnier besser als Pelé. Er war noch schwieriger zu kontrollieren.»
«Furacão da Copa» nannten sie ihn, «Wirbelsturm des Turniers». Und Jairzinho gilt als Entdecker von Ronaldo, dem er – so erzählt es Jairzinho jedenfalls – auch gleich den Übernamen Fenomeno verpasst habe.
«Passt auf», habe er zu den Spieleragenten Reinaldo Pitta und Alexandre Martins 1992 gesagt: «Es gibt da bei São Cristóvão ein absolutes Phänomen.» Für 7500 Dollar kauften die beiden die Transferrechte an Ronaldo. «Das sind Diebe», sagt Jairzinho, wenn er heute über sie spricht.
An Ronaldos Transfers zu Eindhoven, Barcelona, Inter Mailand, Real Madrid und AC Mailand hat Jairzinho keinen Centavo verdient. Darben muss er freilich nicht. Sieben Wohnungen wies er 2008 aus, als er auf der Liste der Kommunistischen Partei für das Stadtparlament von Rio kandidierte. Heute führt er eine Fussballschule und verdient sein Geld mit Werbeauftritten und als TV-Experte.
Gerade vor der WM ist Jairzinho ein gefragter Mann. Den ersten Termin mit BLICK lässt er ohne Erklärung platzen. Auch am nächsten Mittag lässt sich er sich nicht blicken. «Ich war erst um sechs Uhr im Bett», entschuldigt er sich per Sprachnachricht. Morgen werde es klappen, lässt er ausrichten.
BLICK trifft den Altmeister schliesslich am Strand des Nobelviertels Barra da Tijuca, wo er ebenfalls eine Wohnung hat. Jairzinho streicht sich zufrieden über den satten Bauch. Gleich nach dem ausgiebigen Mittagessen hat er sich einen neuen Toyota gekauft, jetzt ist er bereit fürs Interview.
Über sich selber spricht er konsequent in der dritten Person.
BLICK: Jairzinho, wer war besser beim Titel 1970, Sie oder Pelé?
Jairzinho: Diese Entscheidung überlasse ich Ihnen und dem Publikum. Aber: Jairzinho ist bis heute der einzige Spieler, der bei einer WM-Endrunde in jedem Spiel getroffen hat. Es waren sechs Spiele, und Jairzinho hat siebenmal getroffen. Und wer hat gegen England das entscheidende Tor geschossen? Jairzinho!
Sie und Pelé sind nicht die allerbesten Freunde?
Wir gehen uns aus dem Weg, selbst wenn wir uns manchmal sehen, bei Events oder im TV-Studio. Aber ich habe seine Nummer nicht. Ich brauche sie auch nicht.
Unter dem neuen Coach Tite ist Brasilien wieder eine Macht: Was macht er anders als seine Vorgänger Scolari und Dunga?
Er gibt den Spielern Selbstvertrauen. Er redet mit ihnen, geht auf sie ein. Das Spiel von Brasilien ist wieder variabler geworden, vor allem vom Mittelfeld nach vorne in die Spitze.
Gegen die Schweiz ist Brasilien klarer Favorit, oder?
Favorit ja! Aber die Schweiz ist nicht zu unterschätzen. Sie ist zu Recht bei der Endrunde dabei. Das Team hat Qualität. Es wird nicht einfach für Brasilien.
Wer wird Weltmeister?
Derjenige, der alle Spiele gewinnt.
Brasilien?
Brasilien ist dazu in der Lage. Das Team ist unter Tite ungeschlagen und damit der grosse Favorit.
Dann muss Jairzinho los. Der neue Toyota wartet. «Wir sehen uns am Abend in der Taberna», sagt er, «da unterhalten wir uns weiter, okay?» Die Sonne ist längst untergegangen hinter den Hügeln von Rio. Jairzinho sitzt tatsächlich in der Taberna an der Copacabana. An ein Interview ist aber nicht mehr zu denken.
Das liegt nicht nur an den vielen leeren Bierflaschen auf dem Tisch, sondern vor allem daran, dass er keine Sekunde alleine ist. Väter mit ihren Söhnen, Grossväter mit den Enkeln, Frauen, Alte, Junge. Alle wollen etwas von ihm. Ein Foto, eine Unterschrift, eine Umarmung. «Hier in der Taberna», sagt er, «bin ich auf jeden Fall besser als Pelé.»
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Brasilien 1970: Das beste Team aller Zeiten?
Nach dem frühen Aus an der WM 1966 (Brasilien wurde nur Gruppendritter hinter Portugal und Ungarn) waren die Sambakicker 1970 in Mexiko auf Wiedergutmachung aus. Angeführt von Pelé, Jairzinho, Carlos Alberto, Rivelino und Tostão gewannen sie alle Spiele.
Im Final demütigte das Team von Coach Mario Zagallo Italien gleich mit 4:1. «Niemals zuvor hat eine Mannschaft eine WM so dominiert», sagte Englands Coach Sir Alf Ramsey nach dem Turnier.
Herzogin Kate zeigt sich sorgenfrei, Alexandra Maurer hat sich verlobt und Dwayne «The Rock» Johnson füttert seine Freundin. Willkommen zu den Foto-Storys des Tages!
22 Männer wollten das Herz von Bachelorette Adela Smajic erobern. Das Rennen machte am Ende Cem aus Schaffhausen!
Cem (24) hat das geschafft, was noch kein Mann zuvor geschafft hat: Adela Smajic (25) hat sich in ihn verliebt! Der Personal Trainer konnte sich im Finale gegen Konkurrent David (30) durchsetzen und bekam die letzte Rose der Bachelorette.
Der Abschied von David fällt nicht leichtIn der Finalsendung gestand die schöne Baslerin: «Solche Gefühle habe ich zuvor noch nie erlebt. Kaum zu glauben, aber ich habe mich zum ersten Mal verliebt.» Und zwar in Cem! Als es endlich raus ist, tauschen die beiden innige Küsse aus. Cem scheint die Erleichterung ins Gesicht geschrieben.
Bei der grossen Entscheidung kullerten bei der Bachelorette die Tränen. Der Abschied von David fiel ihr nicht leicht: «Auch wenn ich mich nicht in dich verliebt habe, werde ich dich nie vergessen.» Zuvor schwärmte die Wetterfee noch vom Fitnessmodel. «Was dich für mich wirklich attraktiv macht, trägst du in dir: dein Herz», so die 25-Jährige. Leider reichte das aber anscheinend nicht aus, denn am Ende siegten die grossen Gefühle – für Cem.
«Ich war noch nie in meinem Leben so erleichtert»BLICK erzählt die Bachelorette, wie erleichtert sie war, als sie Cem endlich die frohe Botschaft überbringen durfte: «Mir ist eine Riesen-Last von den Schultern gefallen.» Sie wollte ihren Muskelmann keine Minute länger zittern lassen. «Es war so schön, als ich ihn endlich umarmen und küssen durfte.»
Auch Cem fiel ein Stein vom Herzen: «Ich war noch nie in meinem Leben so erleichtert. Es war die grösste Erleichterung, die grösste Freude – einfach unbeschreiblich!» Er sei zwar sehr zuversichtlich gewesen, doch habe man ja nicht zu hundert Prozent wissen können, wie sich Adela entscheiden würde.
Ob die beiden Turteltauben nun wirklich ein Paar sind oder nicht, dürfen sie erst in der grossen Abrechnungssendung nächste Woche verraten. Doch meinte Adela schon vor einigen Wochen: «Ich habe totale Frühlingsgefühle, weil ich voll verliebt bin: Ich habe Schmetterlinge im Bauch und muss ständig an ihn denken.»
Warum sich Adela für Cem und nicht David entschied, erklärt die Bachelorette morgen um 8 Uhr im Livestream. Gemeinsam mit ihrer Vorgängerin beantwortet sie die Fragen der BLICK-Leser.
Flash flooding has damaged key infrastructure including this bridge in Balukhali camp. Credit: IOM 2018
By International Organization for Migration
COX'S BAZAR, Bangladesh, Jun 11 2018 (IOM)
Heavy monsoon rains that began on Saturday (9/6) have caused severe structural damage to Bangladesh’s Cox’s Bazar Rohingya refugee camps. Over 31,000 of the camps’ one million refugees, who fled Myanmar, are still living in areas considered to be at high risk of deadly flooding and landslides.
Within 24 hours of the rains starting, humanitarian agencies reported some 59 incidents, including landslides, water logging, extreme wind and lightning strikes. The incidents are being mapped and shared on an interagency communal incident overview platform. Over the same period aid agencies reported that over 9,000 people were affected and that this number will increase as the rains continue.
IOM, the UN Migration Agency, is working against the clock to secure infrastructure, including road access and drainage, and to improve preparedness. Working with partners, it is ensuring that refugees continue to receive lifesaving assistance, including water, sanitation and hygiene, health, protection and shelter support during the monsoon.
The risks remains huge, given the vast size and nature of the congested, makeshift camps. The hilly terrain is now largely bare of vegetation and the rains have made the soil extremely unstable, increasing the risk of large scale flooding and landslides.
IOM and its partners have responded by relocating thousands of vulnerable households to safer ground ahead of the rains. Since January, 5,196 households (about 25,000 individuals) vulnerable to landslides and floods or in areas of communal infrastructure construction have been moved to safer areas. Before the end of June, IOM and its partners plan to move another 1,602 vulnerable households (7,248 individuals) to safer ground.
In Unchiprang, a camp in Teknaf sub-district, IOM moved 787 households ahead of the heavy rains. But another 65 households remain at risk of landslides and floods. “Yesterday 19 households were identified as at risk of landslides and moved to learning centers and child friendly spaces of the camp. They’ll be relocated to a new land once the rain stops. Relocation of these families is not possible as their shelters can’t be properly constructed amid continuous heavy rains,” said IOM site manager Mohammed Manun.
“The situation in the camps is growing more desperate with every drop of rain that falls,” said Manuel Pereira, IOM’s Emergency Coordinator in Cox’s Bazar. “You have close to one million people living on hilly, muddy terrain with no trees or shrubs left to hold the ground in place. People and their makeshift shelters are being washed away in the rains. We are racing to save lives, but we urgently need more funding to maintain and expand key humanitarian support during these rains. Without this, our operations, which are currently only 22 percent funded, will run out of money by the end of this month,” he added.
IOM, WFP and UNHCR have also strategically positioned heavy machinery in key camp locations for disaster response operations in a joint project called the Site Maintenance Engineering Project (SMEP.) Teams are also continuously working to increase available land for relocations. IOM has already prepared 186.8 acres of new land to relocate at least 7,000 people.
Existing refugee shelters have also been upgraded to better withstand heavy rain and high winds, and refugees have been advised on measures they can take to reduce their vulnerability to any upcoming disaster.
Key shelter and non-food items have been stockpiled to ensure sufficient provision during times of high demand. Mobile medical teams will also ensure that displaced and hard to reach populations have uninterrupted access to healthcare.
Access to clean water also poses a huge challenge during the monsoon and IOM and its partners have worked to improve water and hygiene infrastructure, as well as pre-positioning acute watery diarrhea kits and aquatabs in remote areas to meet basic needs.
For more information, please contact IOM Cox’s Bazar:
Manuel Pereira, Tel: +8801885946996, Email: mpereira@iom.int
Shirin Akhter, Tel: +88034152195 or +8801711187499, Email: sakhter@iom.int
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Es war für viele Formel-E-Fans eine schöne Überraschung: Unerwartet schmücken in Zürich doch Grid-Girls die Startaufstellung.
Die Ansage in den Wochen und Monaten vor dem ersten Schweizer E-Prix war klar: In Zürich gibts bei der historischen Rückkehr vom internationalen Auto-Rennsports keine Grid-Girls auf der Startaufstellung: Zu altertümlich, nicht mehr zeitgemäss.
Mit einem Kreativ-Wettbewerb wurden stattdessen Grid-Kids gesucht und ausgewählt, die – wie im Fussball die Einlaufkinder – die Rennfahrer begleiten dürfen.
Doch dann die grosse Überraschung: Die Grid-Kids kommen zwar wie geplant für einen Fototermin mit an die Startaufstellung. Aber auch 20 Grid-Girls marschieren auf! Ganz traditionell stehen sie dann mit ihren Tafeln jeweils zu einem Rennwagen.
Warum diese Kehrtwende? «Es war ein Wunsch der Formel E», sagt Stephan Oehen, Sprecher des Zürcher OK. Also haben sich am Ende die Rennserie-Bosse um den Spanier Alejandro Agag durchgesetzt. Agag sagte schon im Winter zu BLICK: «Ein Grid-Girl-Verbot bringt nichts, sie haben nichts Verbotenes getan. Sie sind Teil des visuellen Erbes im Motorsport.»
Eine kurzfristige Entscheidung, die wohl viele Besucher erfreute – klicken Sie sich oben durch die Galerie mit den Zürcher Grid-Girls!