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TSA-Algérie - La quatrième édition de la foire des produits algériens à Nouakchott se tiendra dans la capitale mauritanienne du mardi 23...

La stratégie de lutte contre les inondations a permis l´identification de près de 700 sites à risques à travers le territoire national, a indiqué lundi à Alger Mme Nora Frioui-Ziani, responsable au ministère des Ressources en eau.

« Cette stratégie a permis d’identifier un total de 689 sites à risque et a défini un plan d’action multisectoriel précis à différents niveaux national, régional et local pour la lutte contre les inondations sur l’ensemble du territoire national », a précisé Mme Frioui-Ziani, directrice de l’Assainissement et de la protection de l’environnement au ministère, lors de la rencontre nationale sur la gestion des risques de catastrophe.

Relevant que l´Algérie est confrontée, ces dernières années, « aux effets dévastateurs des inondations qui affectent aussi bien le nord que le sud du pays », elle a fait savoir que le secteur des ressources en eau a pris en charge ce phénomène par l’élaboration et la mise en oeuvre d’ »une stratégie de lutte contre les inondations portant sur la mise en sécurité des populations à risque, la réduction des dommages et maîtrise des coûts d’investissement et d’entretien et la réduction du délai de retour à la normale ».

Elle a mis en avant les actions prioritaires de cette stratégie visant l´installation de systèmes « efficaces et souples » pour la prévision et l’alerte, la délimitation de chaque zone à risque, la réalisation de barrages écrêteurs, l´aménagement hydraulique et le renforcement de l’assainissement pluvial.

« Cette stratégie nationale de lutte contre les inondations constitue un cadre partagé qui affiche les priorités et oriente la politique de gestion des risques d’inondations », a-t-elle ajouté.

De son côté, l´expert hydrologue Behlouli Larbi, a recommandé, dans sa communication sur « les inondations en Algérie », la mise en place de systèmes d’alerte et de prévision au niveau de certaines agglomérations à risque telles qu´El Harrach (Alger), Sidi Bel Abbes et Annaba.

Cette prévention des risques d´inondation doit être entreprise en veillant à sa continuité dans le temps à travers des programmes mis en oeuvre par les différents secteurs comme le curage des oueds, le curage et le traitement des avaloirs et des regards d’assainissement, et la protection des berges notamment, a-t-il proposé.

L´expert a plaidé en faveur de la mise en oeuvre de mesures structurales plus importantes pour réduire de manière plus significative le risque d´inondation comme l’aménagement des bassins, la dérivation des eaux, réalisation de diguettes, barrages ou seuils pour stoker et laminer les crues à l’amont des zones menacées.

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Des centaines de voyageurs du train El Afroun (Blida) – Agha (Alger) se sont vus, lundi matin, contraints de descendre avant l’arrivée à la gare « Les ateliers » à cause de la présence d’un autre train sur le même rail, a constaté l’APS sur place.

Suite à un arrêt d’urgence avant l’entrée de la gare « Les ateliers  » à 9H25, des centaines de citoyen ont dû poursuivre leur voyage à pied à travers les rails et constatés « médusés » et « dépités » que la cause était la présence d’un autre train sur la même voie.

Joint par l’APS, le Directeur général-adjoint de la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF), Abdelwahab Aktouche a confirmé cet incident qu’il a expliqué par « une panne technique du système d’aiguillage ».

« Il ne s’agit nullement d’un problème de signalisation mais plutôt d’indicateurs d’aiguillage », a-t-il précisé ajoutant que « l’origine pour être au niveau d’un câble et c’est ce que à quoi s’attèle une équipe technique ».

Affirmant que le conducteur de train en provenance de Blida avait été alerté de la présence d’un autre train sur le même rail, le même responsable a déploré le fait que les voyageurs soient descendus du train en s’exposant à des dangers en marchant sur la voie. « Il faut faire preuve de patience et attendre que la situation soit réglée », a déclaré M. Aktouche indiquant que la voie a été dégagée et le train a fini par atteindre la gare Agha.

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Les aéroports suisses risquent l’asphyxie en 2030 en raison de manque d’extension ou d’optimisation, selon la quotidien local « 24 heures » paru lundi.

L’économie suisse dépend en partie de l’offre des trois aéroports de Zurich (nord), Genève (ouest) et Bâle (nord). Cette réalité impose des solutions urgentes, estime le quotidien, ajoutant que si la qualité de l’offre dans les trois aéroports se classait l’année dernière au deuxième rang derrière la seule Norvège, cette belle performance aurait des défis à relever.

Selon le journal, les professionnels du domaine aérien ont été confrontés à deux records cumulés cet été : le nombre de passagers transportés et le nombre de vols accusant des retards.

En juillet 2018 à l’aéroport de Zurich par exemple, plus de trois millions de voyageurs ont décollé ou atterri, un record pour un seul mois. Ce chiffre devrait encore augmenter, en moyenne de 3% par an, entre 2018 et 2030.

« Dans ce contexte, si rien n’est fait en matière d’extension ou d’optimisation des capacités des trois aéroports helvétiques, près d’un quart de la demande en sièges passagers et près d’un cinquième de la demande en fret ne pourront plus être satisfaits en 2030 », a noté Daniel Kessler, directeur de Boston Consulting Group en Suisse, cité par le quotidien.

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L’entraineur de l’ES Sétif, Rachid Taoussi a indiqué lundi à Sétif  que ses joueurs étaient prêts à tous les scénarios possibles à la veille de la demi-finale retour de la Ligue des champions d’Afrique contre les Egyptiens d’Al Ahly prévue mardi soir au stade 8 mai 1945.

« Les joueurs sont mentalement et techniquement prêts à tous les scénarios possibles pour cette rencontre  » a déclaré Taoussi lors de la conférence d’avant match organisée lundi au stade du 08 mai 1945.

Battus au match aller au Caire disputé le 2 octobre dernier sur le score de 2 à 0, les Sétifiens comptent bien renverser leur adversaire.

« Nous avons entamé notre préparation pour ce match retour, dès notre retour d’Egypte. On s’est beaucoup concentré sur l’aspect psychologique mais on a aussi essayé d’améliorer notre efficacité offensive lors des trois derniers matchs du championnat  » a ajouté Taoussi.

Interrogé sur le schéma de jeu qu’il compte mettre en place pour ce match, le technicien sétifien a préféré botter en touche se contentant de répondre  » il serait idiot de se jeter aveuglement à l’attaque et risquer d’encaisser derrière » avant d’ajouter  » nous nous attendons à un match complètement différent du match aller « .

Le coach de l’ESS a par ailleurs affirmé qu’il comptait énormément sur la « grinta » de ses joueurs « pour surmonter ce handicap de deux buts  » attestant que « l’effectif a par le passé démontré qu’il a le potentiel pour inverser la vapeur « .

Al Ahly entend bien préserver le score du match aller

L’entraineur français d’Al Ahly, Patrice Carteron a pour sa part assuré que son équipe est bien décidé à préserver le résultat positif de la première manche rappelant que ses joueurs ont l’habitude de ce genre de match couperet et des ambiances survoltées des stades nord maghrébins.

Interrogé sur la capacité de son équipe à évoluer sur le gazon synthétique du stade 8 mai 1945, le technicien français du Ahly a affirmé que ce dernier ressemble beaucoup au gazon naturel c’est pourquoi il ne posera aucun problème à ses joueurs.

Malgré les nombreux blessés, l’ancien coach du TP Mazembé a déroulé un discours plein d’assurance  » nos avons énormément de solutions pour pallier l’absence des joueurs blessés » a-t-il soutenu.

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La 23ème session du Salon international du livre à Alger (SILA), prévu du 29 octobre au 10 novembre, verra l’organisation de journées dédiées à des ateliers d’écriture animés par des spécialistes venus de Chine, invitée d’honneur cette année.

S’exprimant lors d’une conférence de presse tenue ce lundi, le Commissaire du SILA, Hamidou Messaoudi a précisé que cette activité « portera sur tous les aspects de l’écriture du livre, à savoir l’édition, les droits d’auteurs et la traduction ».

Invitée d’honneur du SILA 2018, la Chine exposera plus de 2500 titres en mandarin et pas moins de 7500 oeuvres traduites en arabe et en français, dont les thèmes ont trait à la culture chinoise ancestrale, la littérature et les livres enfants, à l’exemple de « Le livre de l’Emir : Les sentiers des portes de fer », une oeuvre du romancier Ouassini Laredj, traduite en chinois.

Plus de 40 maisons d’édition, et six auteurs dont « Mo Yan », lauréat du prix Nobel, participeront aux travaux de cette manifestation à l’issue de laquelle plusieurs rencontres seront organisées avec les auteurs présents.

Ce salon sera, également, animé par de nombreuses oeuvres d’écrivains chinois notamment celles traduites en arabe, outre les expositions de photos et de films chinois.

Aussi, plus de 90 invités entre écrivains, romanciers et historiens seront à ce rendez-vous livresque, dont 65 Algériens, a rappelé M. Messaoudi.

Par ailleurs, le Commissaire du salon a fait état de « l’exclusion de 20 maisons d’édition arabes » pour entorse au règlement intérieur du salon, précisant que la commission de lecture « avait émis des réserves sur 54 titres », certains non déclarés et d’autres « présentant des contenus racistes ou violents ».

19 maisons d’éditions se sont abstenues de participer à cette 23ème édition du SILA, « pour des raisons financières », a-t-il ajouté.

Le romancier Ouassini Laaredj, qui avait annoncé qu’il ne serait pas présent à cette manifestation, sera bel et bien présent au SILA 2018, a indiqué M. Messaoudi, évoquant « une  éventuelle exposition » du deuxième tome de son ouvrage « Le livre de l’Emir ».

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Le Bureau de l’Assemblée populaire nationale (APN) a décidé, lundi, de tenir une plénière, mercredi prochain, pour l’élection d’un nouveau président de la chambre basse du Parlement, en remplacement de M. Said Bouhedja.

Il a été décidé la tenue, mercredi prochain, d’une séance plénière qui sera consacrée à l’adoption du rapport de la Commission des Affaires juridiques, administratives et des libertés relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’APN, a déclaré à la presse, M. El Hadj Laib à l’issue de la réunion du bureau de l’APN qu’il a présidé, en sa qualité de doyen de l’Assemblée.

Il sera procédé ensuite à l’élection du nouveau président de l’APN, dont le poste avait été déclaré, la semaine dernière, vacant par le bureau de l’APN suite à la situation de blocage que connait l’instance législative et le gel de toutes ses activités depuis plusieurs semaines après que la majorité des députés (351) aient signé une motion de « retrait de confiance » au président de l’APN dans laquelle il ont exigé sa démission.

Le bureau de l’APN avait décidé également de saisir la Commission des affaires juridiques, administratives et des libertés afin de soumettre le rapport relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’Assemblée dans un délais n’excédant pas « une semaine ».

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2044 Tage nach Kimis letztem Sieg 2013 in Melbourne auf Lotus küssen ihn die Medien.

Der Finne blieb nach seinem 21. Sieg cool wie immer: «Ich hoffe, meine Frau und die zwei Kinder sind daheim in der Schweiz vor dem TV nicht eingeschlafen!»

Und im Podest-Aufwärmraum sorgte Räikkönen (39) nochmals für einen Kracher. Kimi zu Lewis: «Bist du jetzt Weltmeister?» Der Brite lachte, weil Kimi seit Jahren sein Lieblingsfahrer ist: «Nein!»

Da müssen wir kurz zurückblenden. 2007. Hamilton führt im McLaren-Mercedes zwei Rennen vor Schluss mit 17 Punkten Vorsprung auf Räikkönen (Ferrari). Eine klare Sache, da es damals für einen Sieg nur zehn Punkte gab.

Das Wunder von 2007

Doch das Wunder geschah. Kimi gewinnt in China und Brasilien beide WM-Läufe, Hamilton vergeigt den Titel mit nur noch zwei Zählern – 109:110. Ferrari hatte wieder einen Weltmeister: Kimi Räikkönen.

Diesmal ist die rote Aufgabe unlösbar: Hamilton genügt ein lumpiger siebter Platz, selbst wenn Vettel dreimal gewinnen sollte.

Die Italo-Medien haben den Deutschen längst abgeschrieben. «Vettel macht immer wieder Fehler», wettert Tuttosport. Und die Gazzetta dello Sport schlägt zu: «Dieser Sieg in Austin belohnt Räikkönen für all die Tage, an denen er vom Team zu Vettels Gunsten geopfert wurde!» In die gleiche Kerbe haut der Corriere della Serra: «Kimis Sieg ist die Krönung einer Karriere, das Ende von Jahren bei Ferrari voller bitterer, enttäuschender und auch grauer Tage im Schatten von Vettel!»

«Es warten tolle Jahre bei Sauber»

Für Räikkönen geht das Ferrari-Leben am 25. November in Abu Dhabi zu Ende. «Okay», sagt der Finne trocken, «aber dann warten noch zwei tolle Jahre bei Sauber. Ich bin weiter voll motiviert, fühle mich in Form und kampfbereit. Wie jetzt in den drei letzten Rennen. Vielleicht gelingt mir ja noch ein Sieg!» Stallorder ist 2018 jetzt ein rotes Fremdwort ...

Für Vettel gibt es weltweit keinen Applaus mehr. In Monza drehte er sich im Start-Duell mit Hamilton, in Japan rutschte er beim Kampf mit Verstappen raus und jetzt in Austin auch mit Ricciardo. Dreimal entschied die FIA: keine Strafe, Rennunfall. Vettel musste es jeweils mit einem Knurren akzeptieren.

 

Selbst das deutsche Fachmagazin «auto motor und sport» fragt sich: «Was ist nur mit Vettel los? Sitzt der Frust über die verspielte WM so tief, dass er sich immer mehr verkrampft? Wer mit negativen Gedanken fährt, ist im Kopf nicht mehr frei. Austin war jetzt bereits sein sechster Ausrutscher in diesem Jahr.» Oder eben: WM ade!

Im Kracherspiel des «Super Monday» an den Swiss Indoors in Basel macht Favorit Marin Cilic (ATP 6) mit dem jungen Denis Shapovalov (19, ATP 29) kurzen Prozess. Für eine Überraschung sorgt Henri Laaksonen, der Marco Cecchinato rauswirft.

Nach dem Dämpfer mit dem Wawrinka-Forfait gibts aus Schweizer Sicht doch noch ein Highlight am späten Abend. Henri Laaksonen (ATP 175), der an den Swiss Indoors dank einer Wildcard im Hauptfeld steht, schlägt überraschend French-Open-Halbfinalist Marco Cecchinato (ATP 21) in 77 Minuten mit 6:4 und 6:2.

Die Breaks realisiert der 26-jährige Laaksonen im ersten Satz zum 5:4 und im 2. Satz zum 2:1 und 5:2. Sein italienischer Gegner kommt nie auf ein anständiges Niveau und leistet sich zu viele Fehler.

Für Laaksonen ist es der grösste Sieg der Karriere bezüglich Weltranglistenposition des Gegners. Bisher war sein Erfolg über Pablo Cuevas (ATP 29) in Bastad 2017 die Bestmarke. Im Basel-Achtelfinal wartet nun der US-Amerikaner Taylor Fritz (ATP 57) auf den Schweizer.

Stark: Nach sechs vergeblichen Anläufen seit 2012 gelingt Laaksonen erstmals ein Sieg in Basel.

Cilic düpiert Teenager Shapovalov

Im Generationen-Duell zwischen Marin Cilic (30, ATP 6) und Teenager Denis Shapovalov (19, ATP 30) bleibt alles in der Reihe. In 75 Minuten behält der Kroate die Oberhand und setzt sich mit 6:4 und 6:2 durch.

Cilic realisiert im ersten Satz das frühe Break zum 1:0 und doppelt gleich zum 3:0 nach. Erst bei 0:4 wacht der talentierte kanadische Jungspund auf und es entwickelt sich ein Tennis-Match, das den Namen verdient.

Das Strohfeuer Shapovalovs ist aber zu gering, seine Konstanz hapert. Nur sporadisch lässt er sein Talent mit Zauberschlägen aufblitzen. Cilic braucht nicht an seine Limiten gehen zu müssen. Der Basel-Sieger von 2016 zieht souverän in die Achtelfinals ein.

Cilic nach dem Sieg: «Es war trotz allem nicht so einfach. Ich habe von Anfang bis Ende solide gespielt. Die Qualität der Aufschläge war gut und ich habe auch defensiv gut gestanden.»

Shapovalov meint enttäuscht: «Ich konnte mein bestes Tennis nicht zeigen. Ich tat, was ich konnte.»

«ABBA-Gold» eröffnet die Feier

Vor dem sportlichen Geschehen auf dem Court steigt die grosse Eröffnungsgala der neuen St. Jakobshalle, die für 115 Millionen Franken umgebaut wurde.

Die Band «ABBA-Gold» lässt begleitet vom Sinfonie-Orchester die grössten Hits von ABBA aufleben. Der baselstädtische Regierungsrat Conradin Cramer spickt seine humorvolle Rede mit Songtiteln der legendären schwedischen Musikband. «Beim Bau der Halle gab es drei Probleme. Money, Money, Money» oder auch «Auf der Baustelle wurde oft 'Mamma Mia' geflucht.»

Swiss-Indoors-Präsident Roger Brennwald hat die Lacher ebenfalls auf seiner Seite: «In diesem Land gibts den Brauch, nur über Sportstätten zu diskutieren anstatt sie zu bauen. Wir freuen uns darum umso mehr, die neue Halle als Pfand für die Zukunft entgegenzunehmen.»

«Ich hasse mich», schreibt unser Leser. Thomas Meyer nimmt Stellung zu dieser Lebensfrage.

Es gibt vieles, was uns über uns selbst unbekannt ist und von dem wir mitunter sogar das Gegenteil annehmen. Ein gutes Beispiel ist der Rassismus. Nur Neonazis bekennen sich offen dazu, während alle anderen sich von diesen entschieden abgrenzen – und dann doch ihre Handtasche umklammern, wenn sich in der Strassenbahn ein Dunkelhäutiger neben sie setzt. Oder wenn sie eine ­Wohnung zu vermieten haben, sie einem Bewerber geben, ­dessen Name nicht auf -ic endet. Oder von einem Juden, dem sie begegnen, erwarten, dass er ­ihnen jeden Moment einen ­obskuren Handel vorschlägt.

Eine Selbstablehnung ist gefährlich

Mit der Selbstablehnung verhält es sich ähnlich. Die meisten Leute würden wohl behaupten, dass sie sich selbst gut leiden können, aber tatsächlich pflegen nur die wenigsten eine liebevolle Haltung sich selbst gegenüber und halten es gut aus, mit sich allein zu sein. Alle anderen ­finden sich, ohne es zu wollen und ohne zu wissen weshalb, ­regelmässig in destruktiven Beziehungen, psychisch ­belastenden Jobs und respekt­losen Freundschaften wieder.

Sie stehen dazu, dass Sie sich nicht gernhaben. Das ist sehr ­ehrlich und mutig. Die Konsequenzen Ihrer Selbstablehnung werden Sie kaum überraschen, sondern sind für Sie wohl nur eine Bestätigung: Ich hasse mich – kein Wunder, ist mein Leben so unerfreulich. Ich hasse mich – kein Wunder, habe ich keine ­Beziehung. Sie wissen, woran Sie mit sich sind. Damit sind Sie schon viel weiter als die meisten Ihrer Mitmenschen.

Finden Sie es gut, sich selbst zu hassen?

Nun müssen Sie entscheiden, ob Sie es wirklich gut finden, sich selbst zu hassen. Es ist wohl kaum das, was Ihre Seele will. Aber vielleicht glauben Sie, keine Alternative zu haben. Probieren Sie darum doch einfach mal eine bewusst neutrale Haltung sich selbst gegenüber aus, und ­achten Sie auf die Veränderungen. Sie wissen ja bereits, dass Sie die Quelle dafür sind. 
 

Valencia, am Dienstag Champions-League-Gegner von YB, steckt in einer gewaltigen Krise. Obwohl die Mannschaft von Trainer Marcelino erst zweimal verloren hat. Wie geht denn das bitteschön?

Schuld am Valencia-Schlammassel sind die Spanier selber – und die verflixte Drei-Punkte-Regel. Denn Valencia hat erst ein einziges Spiel in der Primera Division gewonnen. 2:0 bei Real Sociedad San Sebastian. Neun Spiele sind in der LaLiga gespielt.

Was im Umkehrschluss bedeutet: Die Südspanier haben nicht weniger als sieben Mal Unentschieden gespielt. Und da kommt man einfach nicht vom Fleck. Auch wenn zwei beachtliche 1:1 darunter waren - gegen Barcelona und Atlético Madrid. Unter dem Strich ergibt das Rang 14. Weit hinter den eigenen Ansprüchen.

Valencias irre Torflaute

Und die Fledermaus-Elf schiesst auch keine Tore. Null in zwei Champions-League-Einsätzen (immerhin gabs da das 0:0 bei Manchester United). Sieben in den neun Ligaspielen. Erst einmal, beim 2:2 gegen Levante, gabs mehr als ein Tor. Sieben verschiedene Schützen haben die Treffer erzielt.

Keiner hat doppelt getroffen. Auch keiner aus dem hochwertigen Sturmtrio mit den Nationalspielern aus den derzeit wohl besten Landesauswahlen der Welt: Rodrigo (Spanien), Michy Batshuayi (Belgien) und Kevin Gameiro (Frankreich), der allerdings seit anderthalb Jahren nicht mehr berücksichtigt worden ist.

YB-Coach Seoane vor dem Spiel

«Das sind auch junge Sportler, die mit Vertrauen in Höchstform kommen», sinniert YB-Coach Gerry Seoane. «Wenn man nicht sehr gut in eine Saison startet, etwas Pech hat, auf Gegner trifft, die dich gut aus dem Spiel nehmen, kommt man vielleicht etwas ins Grübeln. Das sind Menschen, die im Moment nicht das Selbstvertrauen haben, wie sie es in der Vergangenheit gehabt haben. Aber von der Qualität her sind das unglaubliche Top-Stürmer, die jederzeit ein Spiel entscheiden können. Es wird sicher ein Genuss, denen zuzuschauen.»

Na ja, hoffentlich nicht allzu sehr aus YB-Sicht. «Das hoffen wir auch», sagt Seoane lachend …

«Die Statistiken sind schwer zu glauben»

Die Resultatkrise erstaunt YB-Regisseur Djibril Sow: «Wenn man die Statistiken sieht, ist es schwer zu glauben, bei der Mannschaft, die die haben», sagt der Zürcher. «Unterschätzen werden wir Valencia niemals. Aber wenn die Spanier nicht in Form sind, wollen wir das mit einem mutigen Auftritt ausnützen.» Man werde dann sehen, ob sie ins Schwimmen kommen würden, wenn es YB gelänge, sie vor Probleme zu stellen. «Aber es wird auch so sehr schwierig.»

Übrigens: Zu all dem fehlt Valencia am Dienstag noch der russische WM-Star Denis Tscherischew und der Portugiese Gonçalo Guedes.

ALGER – La production énergétique à partir de sources renouvelables devrait atteindre près de 2.000 Mégawatts (MW) d’ici 2020, grâce notamment à l’implication du groupe Sonatrach dans le développement de ces énergies, a indiqué lundi à Alger le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni.

« Le groupe Sonatrach vient d’adopter les énergies renouvelables dans sa stratégie comme moyen de développement au cœur de la transition énergétique, en mettant en œuvre un programme au niveau des sites industriels du secteur, visant à couvrir 80% des besoins des sites pétroliers », a déclaré M. Guitouni lors d’une rencontre avec les investisseurs sur l’appel d’offres des 150 MW.

Sonatrach sera ainsi leader de la production des énergies renouvelables en réalisant une capacité de 1.300 MW, selon le ministre.

Ajoutant les 343 MW installés au niveau des centrales existantes actuellement, les 150 MW prévus dans le cadre du prochain appel d’offre destiné aux opérateurs nationaux ainsi que les projets pris en charge par Sonelgaz, les capacités installées par Sonatrach contribueront à augmenter la production globale des énergies renouvelables en Algérie à près de 2.000 MW à l’horizon 2020.

Ces projets s’inscrivent dans le cadre du programme national des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique, initié en 2011 et mis à jour en 2015 et qui cible la réalisation d’une capacité globale de 22.000 MW d’ici 2030.

Le ministre a souligné, dans ce sens, que ce programme qui « confirme le choix de valorisation optimale et de diversification des ressources énergétiques de l’Algérie » est conditionné par les capacités à faire émerger une industrie locale de fabrication des équipements pour les centrales photovoltaïques, « performante, compétitive et associée à des moyens de réalisation efficaces ».

« La transition énergétique visée par l’Algérie ne se limite pas à diversifier le bouquet énergétique destiné à la satisfaction de la demande nationale en électricité.

Elle constitue également une opportunité historique pour un développement planifié et maîtrisé du tissu industriel national par l’émergence de nouvelles filières dédiées aux équipements des énergies nouvelles et renouvelables », a noté M. Guitouni.

Mettant en exergue les retombées du développement de ces nouvelles filières, le ministre a précisé que la mise en œuvre du programme des énergies renouvelables permettra de créer près de 700.000 postes d’emploi direct et indirects couvrant toutes les parties de la chaîne de valeur.

Lancement de l’appel d’offres des 150 MW avant la fin décembre

A propos de l’appel d’offres par voie de mise aux enchères des 150 MW en solaire photovoltaïque, le ministre a affirmé qu’il sera lancé avant la fin décembre prochain, après l’intégration des recommandations faites par les opérateurs concernés, suite aux larges consultations menées depuis juillet dernier.

Il a renouvelé, à cet effet, son appel aux investisseurs locaux à participer dans cette opération « d’intérêt national » qui représente une phase pilote qui va ouvrir la voie au dépoilement à grande échelle des énergies renouvelables en Algérie.

Commentant les étapes et procédures à faire pour investir dans ce domaine, M. Guitouni a promis de fournir tous les efforts pour dépasser les contraintes rencontrées afin de réussir ce premier appel d’offres.

« Pour certain d’entre vous c’est un parcours de combattant. Mais soyez sûrs que la procédure va être simplifiée davantage. Avancez, n’ayez pas peur, l’Etat est là pour vous accompagner » a-t-il avancé devant les investisseurs présents dans cette rencontre organisée par la Commission de régulation de l’électricité et du gaz (CREG).

Interrogé par la presse sur « le retard » accusé dans l’avancement du programme des énergies renouvelables, le ministre a expliqué que les conditions notamment celles liées aux tarifs d’électricité produites à partir de sources renouvelables, n’était pas en faveur du lancement effective de ce programme.

« Il ne s’agit pas d’un retard, c’est une décision qui prend en considération nos capacités financières. Le cout de production était très élevé. Maintenant que le différentiel entre les prix de l’électricité classique et ceux du renouvelable s »est réduit, nous pensons que c’est le moment opportun pour lancer les appels d’offres », a-t-il souligné.

Sept localités pour accueillir les centrales photovoltaïques de 150 MW

De son coté, le président du comité de direction de la CREG, Abdelkader Choual a assuré que la commission de régulation sera « à l’écoute des opérateurs pour régler leurs problèmes de manière rapide et efficace ».

A noter que l’appel d’offre des 150 MW est destiné aux investisseurs nationaux, publics ou privés, seuls ou en partenariat, souhaitant investir dans les domaines de la construction et l’exploitation de centrales électriques photovoltaïques.

Les investisseurs qui seront attributaires de projets prendront en charge également la réalisation des installations d’évacuation de l’énergie produite et de raccordement de ces centrales aux réseaux électriques, ainsi que la commercialisation des quantités d’énergies produites.

La réalisation de centrales solaires photovoltaïques devra se faire exclusivement par l’utilisation des équipements fabriqués localement.

Le soumissionnaire devra ainsi faire ressortir dans son offre le taux d’intégration locale par rapport au cout d’investissement global (hors cout de location du terrain).

Il doit justifier, en outre, une expérience dans la réalisation, l’exploitation et la maintenance de projets industriels et dans la mobilisation des capitaux propres et des emprunts.

Cet appel d’offres porte sur la réalisation de sept (7) centrales situées dans les régions agricoles du sud du pays, afin de couvrir les besoins énergétiques des activités des opérateurs dans ces localités à fort potentiel agricole.

Il s’agit des localités de Nezla (10 MW), Meggarine (10 MW), Belhirane (10 MW) à Ouargla, de Tendala (10 MW) et Nakhla (10 MW) à El Oued, de Diffel (50 MW) à Biskra et de Guerara (50 MW) à Ghardaïa.

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RIM Sport - La Super D1 reprend ses droits à la faveur de la fin de la trêve internationale marquée par la double opposition Angola-Mauritanie,...

Un jeune Tessinois s'était fait caillasser par ses camarades dans l'école de recrues de la défense anti-aérienne à Emmen (LU). Une première sanction a été prononcée.

Wer wenig verdient, verschuldet sich, um Rechnungen zu bezahlen. Gross­verdiener, um Wohn­eigentum im Ausland zu kaufen. Das zeigt eine ­Analyse von 23'500 Kredit­anträgen.

Beide wollen ein Auto kaufen, beide brauchen dafür einen Kredit. Das war es dann aber mit den Gemeinsamkeiten der 28-jährigen Fachfrau Gesundheit und des 41-jährigen Kaufmanns. Denn er will ein Auto, das zu seiner Position als Mitglied der Geschäftsleitung passt. 60'000 Franken Kredit braucht er dafür. Sie will mit ­ihrem Gefährt schlicht ans Ziel kommen und will 22'000 Franken. Den gleichen Betrag verdient der Kaufmann pro Monat. Auf der Lohnabrechnung der Fachfrau Gesundheit stehen 4000 Franken.

Gemäss Bundesamt für Statistik nimmt jeder siebte Haushalt einen Konsumkredit in Anspruch. Aber darüber zu sprechen, ist ein Tabu. Zusammen mit der Internetplattform Comparis hat SonntagsBlick über 50 Personen mit Kreditantrag gefragt. Niemand war bereit für ein Gespräch.

Die Autowünsche der Fachfrau Gesundheit und des Kaufmanns sind trotzdem echt. Sie stammen von der Konsumkreditplattform Lend.ch. Dort sind die Daten von Kreditanträgen in anonymisierter Form öffentlich. Dies, weil hier keine Bank verleiht, sondern Privatleute, deren Geld über Lend.ch vermittelt wird. Meist sind die Kreditzinsen dort günstiger als bei Banken.

Alle Einkommensschichten betroffen

Die beiden Fälle zeigen, dass Leute aus allen Einkommensschichten Konsumkredite aufnehmen. Eine Analyse von Comparis bestätigt diesen Befund: Dafür wurden alle 23'500 Kreditanträge aus dem Jahr 2017 analysiert. Erstaunlich ist, dass jeder zehnte Kreditantrag von Personen mit monatlichem Einkommen von über 9662 Franken gestellt wird . Ebenfalls jeder zehnte Kredit wird von Menschen beantragt, die 3400 Franken oder weniger verdienen.

Die Kreditnehmer mit tiefen Einkommen sind eher weiblich, jene mit hohem Einkommen vorwiegend männlich. Häufigster Grund für die Kreditaufnahme bei beiden: das Auto. Im Vergleich nehmen sogar mehr Grossverdiener einen Kredit für ein Auto auf.

Bei hohen Einkommen wird oft auch nach einem Kredit angefragt, um Häuser oder Wohnungen im Ausland zu erwerben. Dafür sprechen Schweizer Banken kaum Hypothekarkredite. Bleibt also bloss der Gang über den Konsumkredit. Die Kleinverdiener haben andere Sorgen: Sie nehmen oft in Notsituationen Kredite auf, etwa um Rechnungen zu bezahlen oder andere Schulden zu tilgen. «Eine Gefahr ist dann, dass man an falsche Helfer gerät», sagt Dominik Weber, Bankenexperte bei Comparis. Vorsicht sei bei Anbietern geboten, die mit folgenden Schlagworten werben: «Sofortkredit», «ohne Bonitätsprüfung» oder «trotz Betreibung». Besser ist es, offizielle Schuldenberatungsstellen aufzusuchen. 77 Prozent, die das tun, haben Steuerschulden, 62 Prozent unbezahlte Krankenkassen-Rechnungen und fast jeder Dritte schuldet Kreditbanken Geld.

Wegen Glücksspielsucht in die Schulden abgerutscht

Die Schuldenberatungsstellen sind in der Regel mit jenen konfrontiert, die eher wenig verdienen. «Die Vielverdiener haben andere Anlaufstellen wie Anwälte und Treuhänder», sagt Mario Roncoroni (64), Co-Leiter der Berner Schuldenberatung. «Bei Menschen, die relativ viel verdienen, sind häufig Suchtprobleme oder schwere Lebenskrisen die Ursache einer Überschuldung», sagt er weiter. Kürzlich war ein Mann in seiner Beratung, der wegen einer Glücksspielsucht in die Schulden abgerutscht ist.

Ob das 41-jährige Geschäftsleitungsmitglied, das einen Kredit für ein Auto will, süchtig ist, lässt sich aus den Daten von Lend.ch nicht ableiten. Aber sonst allerhand. Beispielsweise, dass ihm nach Abzug aller Fixkosten von den 22'000 Franken Einkommen lediglich ein Freibetrag von 3200 Franken pro Monat bleibt. Wo das Geld versickert, lässt sich nicht sagen. Eine teure Wohnung hat er jedenfalls nicht: Seine Mietkosten betragen 1550 Franken. Vielleicht hat er weitere Schulden oder er muss Alimente bezahlen. Aus den Daten bei Lend.ch lässt sich in jedem Fall schliessen, dass er von seiner Frau getrennt lebt.

Der Fachfrau Gesundheit, die ebenfalls ein Auto möchte, bleiben nach Abzug aller Fixkosten 1000 Franken pro Monat. Sie ist zwar erst 28 Jahre alt, aber bereits geschieden und lebt in einer Wohngemeinschaft, wo sie 400 Franken Miete pro Monat bezahlt.
Den Kredit haben beide erhalten. Die Fachfrau Gesundheit muss die 22'000 Franken innert 24 Monaten zurückzahlen und dazu Kreditzinsen von 7,18 Prozent. Der Kaufmann zahlt 5,4 Prozent für seinen Kredit mit 48 Monaten Laufzeit.

Auch wenn das Hauptaugenmerk der «Battlefield»-Reihe weiterhin auf den Multiplayer-Gefechten liegt, möchte man in «Battlefield 5» auch die Einzelspieler mit den verschiedenen «War Stories» abholen. Wir haben die Mini-Kampagnen ausprobiert.

Wichtigste Informationen zu «Battlefield 5»PlattformenPC, PS4 und Xbox OneRelease20.11.2018 (Schweiz)Preis59.99 Euro (PC) bei Origin, 72.90 Franken (PS4) bei PSN, 75 Franken (Xbox One) bei Xbox liveAlterab 18 Jahren Übersicht: Darum gehts in «Battlefield 5»

Der Einzelspieler-Modus von «Battlefield 1» war von der Idee her toll. Die Ausführung schwankte aber qualitativ stark. Dieser Ansicht waren auch die Entwickler des neuen Spiels und deshalb war ihr allererstes Ziel, den Umfang zu vergrössern und für eine ausgeglichenere Qualität zu sorgen. Wir konnten bei einem Event in Hamburg die neuen War Stories für rund zwei Stunden anspielen.

Trailer zu «Battlefield 5»

 

Gameplay: So spielt sich «Battlefield 5»

Soviel vorneweg: Einen D-Day an Omaha Beach oder die Schlacht um die Brücke von Remagen wird es in «Battlefield 5» nicht geben. Stattdessen beleuchten die Entwickler vor allem Ereignisse, die nicht im Rampenlicht jeder beliebigen Hitler-Doku stehen. So dürfen wir nach einem kurzen Prolog in «Nordlys» in die Haut einer norwegischen Widerstandskämpferin schlüpfen, die während eines Befreiungsauftrags auf düstere Atombombenpläne der Nazis stösst.

Im eher humoristischen «Under No Flag» begleiten wir Ex-Knastbrüder aus London auf ihrem Einsatz, für den sie ihre Freiheit erhalten sollen. Und in «Tirailleur» geht es schliesslich um französische Soldaten aus den damaligen Kolonien. Die kämpfen für ein Land, das sie bisher vor allem als ihre Besatzer wahrnahmen und in deren Armee sie wegen ihrer Hautfarbe auch unerwünscht sind.

Auf den Brettern durch Norwegen

Während unserer rund zweistündigen Anspielzeit nahmen wir uns vor allem «Nordlys» vor. Für alle Kampagnen gilt aber: Die Spieler haben grössere Freiheiten als in «Battlefield 1». Die Umgebungen sind oft relativ offen und am Spieler liegt es, ob er schleichend, wild um sich ballernd oder mit einer Mischung aus beidem zum Ziel zu gelangt. In «Nordlys» gilt es zum Beispiel, zunächst im tiefen Winter in eine Nazifestung einzudringen. Wie und vor allem auch auf welcher Route ist dabei dem Spieler überlassen. So können je nach Auswahl andere Gegner auf unsere Heldin warten. Dabei verlässt sie sich nicht nur auf ihre Knarren, sondern kann auch auf Skiern einen Berghang herunterfahren.

Dabei ist es vor allem in «Nordlys» zunächst wichtig, eine gute Waffe zu finden. Da das Geschehen hier relativ offen ist, hatten wir zu Beginn Probleme, die vielen Gegnergruppen auszuschalten. Bis wir schliesslich ein schnellfeuerndes Sturmgewehr in Händen hielten. Mit diesem waren unsere Feinde nur noch Kanonenfutter und wir konnten relativ problemlos zum nächsten auf der Karte angezeigten Ziel vordringen. Bei der künstlichen Intelligenz der Gegner und beim noch mangelhaften Treffer-Feedback ist bis zum Release-Termin noch etwas Arbeit nötig. Ansonsten hatten wir aber mit «Nordlys» eine Menge Spass, wobei uns das Game mit der weit offenen Umgebung tatsächlich etwas an den ersten «Battlefield – Bad Company»-Teil erinnerte.

Dialoge in Originalsprache

Auch die atmosphärischen Inszenierung der Action verdient ein Kompliment. Der hochverschneite Norden gibt grafisch vieles her, etwa wenn die Lampen ein fahles Licht in die verschneiten Umgebung abgeben. Kommt dazu, dass die Figuren in ihrer Originalsprache sprechen. So war in «Nordlys» nicht nur Norwegisch sondern auch eine ganze Menge Deutsch zu hören, während wir uns zum Beispiel in «Tirailleur» wohl auf viele französische Dialoge einstellen können.

Fazit

Zwar liegt auch bei «Battlefield 5» der Fokus auf dem von uns bereits angespielten Multiplayer-Modus. Trotzdem könnte sich dieses Mal auch ein Blick auf die Einzelspieler-Inhalte durchaus lohnen. Zum einen sind die Geschichten massiv umfangreicher. «Nordlys» alleine dürfte über drei Stunden benötigen. Zum anderen ist auch das Gameplay – zumindest in den von uns angespielten Szenen – um einiges vielseitiger und viel weniger linear als in «Battlefield 1». Falls die künstliche Intelligenz auch noch etwas aufgepeppt wird, könnten drei unterhaltsame Mini-Kampagnen auf uns warten, zu denen sich im Dezember noch eine vierte gesellt.

 

Mardi, les classes de CM2 des écoles Antoine Godard et Saint Martin ont eu le privilège d’assister à la cérémonie des couleurs. Et dans un calme traduisant la perception de l’ambiance solennelle, à coté de militaires au garde à vous, ils ont suivi, attentifs, plusieurs remises de décorations dont celle du colonel Arnaud Bourguignon décoré ...

A grúz és ukrán állampolgárságától egyaránt megfosztott grúz politikus jelenleg Amszterdamban él és saját bevallása szerint nagyon unja magát.

Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a affirmé, lundi à Alger, qu’il était temps de revoir et d’améliorer les axes de la politique nationale de prévention des risques majeurs et de gérer les catastrophes dans le cadre du développement durable.

A l’ouverture des travaux de la rencontre nationale sur la gestion des risques de catastrophes, organisée sous le slogan « Pour une plus grande capacité de résilience », M. Bedoui a indiqué qu' »il faut, lors de cette conférence, rappeler que le renforcement et l’actualisation des programmes d’action dans ce domaine impliquent toutes les institutions nationales, les collectivités locales et toutes les parties concernées, car il s’agit là d’une question d’une extrême sensibilité ainsi que de la préparation morale, matérielle et opérationnelle d’un bon accompagnement lors de la survenue d’un grave incident aux conséquences désastreuses, en raison d’une négligence, d’un comportement inapproprié ou d’un manque de préparation ».

Il s’agit également « de réunir tous les responsables et toutes les parties concernées à cette conférence pour relever le niveau de prise de conscience et de mobilisation afin d’être au diapason, de définir les responsabilités et emprunter une voie claire afin de consolider les capacités de résilience de notre pays face aux catastrophes », a-t-il ajouté.

L’Algérie, qui a participé à toutes les conférences régionales et internationales, a adopté toutes les décisions et engagements et a veillé à leur mise en oeuvre, « oeuvre à consolider le cadre législatif et règlementaire et mettre en place une base institutionnelle élargie au niveau local.

Cela intervient parallèlement aux campagnes de sensibilisation et d’autres actions ayant conforté les capacités de notre pays en matière d’études et de recherches et consolider la relation entre les experts et les décideurs à tous les niveaux, outre les moyens d’observation assurés, la décentralisation de la gestion des risques de catastrophes, la numérisation des plans d’intervention et les programmes inscrits dans le cadre du renforcement de la capacité de résilience », a-t-il dit.

Pour ce qui est de la phase actuelle, M. Bedoui a indiqué que « toutes les institutions concernées par l’action sur le terrain oeuvrent à l’insertion de la gestion des risques des catastrophes dans le code des collectivités territoriales en tant que mission principale à même de bénéficier d’un financement permanent, en vue de gérer les risques de catastrophes. Il s’agit également, a-t-il poursuivi, de renforcer la cohésion et la coordination sectorielle, de définir les responsabilités au double plan national et local et d’introduire le contrôle dans le financement de la gestion des risques ».

En dépit des réalisations et programmes élaborés dans ce domaine, le ministre a soutenu que les « développements qui surviennent sur tous les plans et dans tous les domaines nous incitent activement à renforcer, à actualiser notre législation et à l’adapter en permanence aux normes en vigueur à l’échelle mondiale », exprimant « sa disposition à mener cette action avec détermination, car notre pays qui a connu beaucoup de difficultés, crises et catastrophes dans plusieurs domaines, en est sorti, comme à chaque fois, indemne grâce à la sagesse du président de la République, ainsi qu’aux capacités morales et moyens matériels et humains du pays notamment scientifiques ».

M. Bedoui a mis en exergue les « efforts consentis en matière de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme à travers la mobilisation de l’Armée nationale populaire (ANP), des corps de sécurité et de tout le peuple algérien pour éradiquer le terrorisme et faire face à l’extrémisme, notamment à la faveur de la politique de réconciliation nationale ». Il a dans ce contexte salué le « rôle humanitaire important accompli lors des catastrophes par l’ANP et les éléments du corps de la Sûreté nationale et de la Protection civile qui font preuve d’un grand professionnalisme sur le terrain avec la reconnaissance du monde entier ».

S’agissant de cette rencontre, première du genre, le ministre a affirmé qu’elle se veut « une halte importante et un terreau fertile pour cristalliser la nouvelle vision de la politique nationale de prévention des risques majeurs, au regard des nouveaux défis », rappelant que « la multiplication des catastrophes dans les années 80 avait incité les autorités publiques à prendre les premières mesures en vue de mettre en place et consolider, graduellement, le système national de prévention, à travers l’adoption de deux décrets qui constituent la base juridique et institutionnelle actuelle ».

« Le président de la République avait, lors de la visite effectuée sur le terrain pour s’enquérir de la situation, suite au séisme de Boumerdes en 2003, donné des instructions en vue de mettre en place une politique nationale solide visant une protection plus efficace des citoyens et de leurs biens  » a rappelé M. Bedoui, mettant en avant la promulgation de la loi 04-20 relative à la prévention des risques majeurs et à la gestion des catastrophes dans le cadre du développement durable et d’autres textes d’application.

En dépit de la promulgation d’un nombre de textes règlementaires prévus par la loi 04-20 et d’autres mesures prises par les institutions nationales et certaines parties concernées, un grand retard est accusé en matière d’élaboration de textes règlementaires exécutifs, a relevé le ministre, soulignant l’importance de prendre des mesures urgentes et efficaces pour faire face à ce genre de situations notamment avec les prévisions des experts faisant état d’une accélération du rythme des changements climatiques ».

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LAUSANNE VD - Mit einem Grossaufgebot stürmen Einsatzkräfte am Montag ein besetztes Gebäude in Lausanne. Mehrere Personen werden festgenommen.

Es ist eine gross angelegte Operation der Waadtländer Kantonspolizei und der Lausanner Stadtpolizei zusammen mit der Staatsanwaltschaft: Fast 180 Polizisten starten am Montag um 14 Uhr mit der Razzia in einer besetzten Industriehalle im Lausanner Stadtteil Petit Flon. Innert kürzester Zeit werden etwa 80 Personen kontrolliert.

Bei der Durchsuchung werden die Beamten gleich mehrfach fündig. Insgesamt stellt die Polizei in dem besetzten Gebäude 2,5 Kilo Kokain sicher. Zusätzlich wird «eine grosse Menge Geld» in Euro und Schweizer Franken beschlagnahmt, wie die Waadtländer Kantonspolizei in einer Mitteilung schreibt. Fünf Personen werden wegen Verdachts auf Kokainhandel festgenommen.

Unter den abgeführten Personen befindet sich auch ein 28-jähriger Nigerianer. Er ist möglicherweise der Drahtzieher hinter dem Koks-Geschäft.

Grosse Mengen Koks dank Razzien sichergestellt

Die Aktion war die Folge von lange andauernden Ermittlungen. In der Vergangenheit habe sich in Lausanne immer wieder gezeigt, dass diverse in den Kokainhandel verstrickte Personen auch in der lokalen Hausbesetzer-Szene aktiv sind, schreibt die Kapo Lausanne weiter. Seit Mitte September seien so bei Razzien in besetzten Häusern insgesamt über 1,7 Tonnen Koks sichergestellt worden. Die festgenommenen Personen stammten in diesen Fällen hauptsächlich aus Nigeria, Sierra Leone und Gambia. Auch zwei Frauen hätten sich darunter befunden.

Die Polizei betont, dass es sich bei der Durchsuchung des Industriegebäudes in Petit Flon um keine Räumung gehandelt habe. Die übrigen kontrollierten Personen konnten nach der Aktion wieder zurück in das Gebäude. (cat)