Erdogan beszédében kifejtette: ha az ígéret ellenére, amelynek értelmében a pufferzóna Törökország védelmét szolgálná, a biztonsági övezet mégsem jönne létre, Ankara maga alakítja azt ki Szíriában. A török elnök egyúttal leszögezte: a zóna létrehozásának folyamatában a tulajdonképpeni irányításnak Törökország kezében kell lennie, Ankarának minden egyéb megoldási javaslat előtt “zárva az ajtaja”. Törökország a biztonsági övezet kialakításához csak logisztikai támogatást vár – tette hozzá Erdogan.
Ankara terrorszervezetnek, védelmi szempontból pedig fenyegetésnek tartja azt a Népvédelmi Egységek (YPG) nevű szíriai kurd milíciát, amely az Eufrátesz folyó és az iraki határ között több száz kilométer hosszan tartja fennhatósága alatt a török határ menti területeket. Törökország emellett úgy tartja, hogy az YPG a Délkelet-Törökországban évtizedek óta fegyveres felkelést folytató, nemzetközileg is terrorszervezetnek minősített Kurdisztáni Munkáspárt (PKK) szövetségese. Ankara neheztelése ellenére az Egyesült Államok a leghatékonyabb partnerének tekinti az YPG-t az Iszlám Állam dzsihadistái ellen folytatott harcban és fegyverekkel látja el a kurd milíciát.
Erdogan pénteki felszólalásában a Törökország és Szíria között 1998-ban aláírt adanai megállapodásra hivatkozva jelezte: Ankarának “nincs szüksége senki meghívására, a szerződés megnyitja az utat a török beavatkozás előtt”.
Törökország úgy véli, hogy az adanai egyezmény feljogosítja őt egy újabb szíriai műveletre, miután Damaszkusz vállalásai ellenére nem lépett fel a PKK egyik szíriai “leágazásával”, az YPG-vel szemben.
Mevlüt Cavusoglu török külügyminiszter csütörtökön egy televíziós interjújában azt mondta, hogy egyelőre semmit nem tisztáztak kellően a mintegy harminc kilométer szélesre tervezett észak-szíriai biztonsági övezettel kapcsolatban, miként az sem egyértelmű, hogy Washington mit ért pontosan a pufferzóna alatt. A miniszter kiemelte: Ankara és Washington még egyeztetéseket folytat arról, hogy az Egyesült Államok milyen mértékben szakítja meg kapcsolatait az YPG-vel.
Cavusoglu rámutatott: Törökország a biztonsági övezetet képes lenne akár egymaga kialakítani, ugyanakkor nem ellenzi, hogy az Egyesült Államok vagy más országok együttműködjenek a folyamatban.
ALGER- Le PDG de l’Entreprise nationale de contrôle technique des transports (VERITAL-SPA), Mounir Charmati a salué, mardi à Alger, le projet de création d’une Agence nationale d’aviation civile, à même de doter le secteur de l’aviation civile en Algérie d’une meilleure règlementation et de fonctionnaires qualifiés.
Dans son exposé devant la commission des transports et des télécommunications de l’Assemblée populaire nationale (APN) dans le cadre du débat du projet de loi modifiant et complétant la loi n 98-06 de 1998 définissant les règles générales relatives à l’aviation civile, M. Charmati a indiqué que « la création de cette agence dotera le secteur de l’aviation civile en Algérie d’une meilleure règlementation et de fonctionnaires qualifiés, à même d’accomplir pleinement leurs missions techniques.
Les employés de cette agence « bénéficieront de conditions de travail et de salaires, à la hauteur de leur niveau de formation, de leurs connaissances techniques et leurs expériences au même titre que les fonctionnaires employés dans les sociétés dont ils auront à superviser les activités », a ajouté le responsable.
Le projet de loi relatif à l’aviation civile, en cours d’examen, propose la création d’une Agence nationale de l’aviation civile pour garantir la gestion de la sécurité civile, en application des recommandations de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) qui a appelé les pays membres à se doter d’un organisme autonome pour la gestion de la sûreté et de la sécurité de l’aviation civile.
La création de cette agence permettra également de renforcer les capacités humaines de l’Algérie et ses ressources financières qui seront destinées à la sûreté et à la sécurité de son aviation civile, une mission que prend en charge actuellement le ministère des Travaux publics et des transports.
Cette agence jouira de l’autonomie de gestion et d’un réel pouvoir de décision, en ce qui concerne le libre exercice des missions, dont elle est investie en tant qu’Autorité de régulation de l’aviation civile. Les ressources financières consacrées à cette agence seront prélevées des redevances de la navigation aérienne, selon le projet de loi.
Evoquant le rôle et missions de son entreprise, M. Charmati a affirmé qu' »il s’agit d’une entreprise publique économique, composée d’experts algériens et active sur les plans national et international en matière de contrôle technique des transports aérien, terrestre et maritime, ainsi que dans le domaine industriel où elle prend en charge le contrôle de la qualité ».
Il a ajouté que les services de son entreprise, créée en 1989 et activant sous la tutelle d’une entreprise française jusqu’en 2014, date de son autonomie, est présente à travers l’ensemble du territoire national, notamment à Alger, Annaba, Oran, Hassi Messaoud, Bejaïa et Skikda.
En matière de transport, M. Charmati a cité parmi les principales missions de son entreprise le contrôle technique des avions, navires et ascenseurs, en prévision de l’élargissement prochain de ses activités au contrôle technique des trains.
Pour ce qui est de la navigation aérienne, il a affirmé que son entreprise assume les missions de contrôle des avions pour le compte de la direction de l’aviation aérienne au ministère des Travaux publics et des transports, en vue d’assurer la sécurité de la navigation aérienne, à travers le contrôle technique des avions, à travers l’ensemble du territoire national.
La loi n98-06 de 1998 définissant les règles générales relatives à l’aviation civile, actuellement en cours d’amendement, a connu quatre amendements en 2000, 2003, 2008 et 2015.
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ALGER- L’expert international Saïd Haddouche a indiqué mardi à Alger que l’adoption de nouvelles méthodes et pratiques modernes dans l’analyse des matchs de football était devenue une « nécessité incontournable » pour les entraîneurs et autres consultants TV.
Animant une conférence sur « L’analyse du jeu par les datas numériques » au profit des anciens joueurs internationaux de la région Centre, Saïd Haddouche a appelé les acteurs du football national à être attentifs à ce qui se passe un peu partout dans le monde, avec l’avènement de l’analyse numérique du jeu.
« Le sport en général et le football en particulier sont devenus au fil des années une science. Suivant cette évolution, les entraîneurs, tout comme les journalistes, doivent se mettre au diapason de cette dernière en adoptant des méthodes et des pratiques modernes dans l’analyse des différentes compétitions et spécialement des rencontres de football », a souligné l’orateur.
Durant son intervention, l’ancien Directeur technique national (DTN) à la Fédération algérienne de football (FAF) a rappelé aux présents que depuis quelques années, les clubs ont adopté une nouvelle approche résidant dans l’utilisation de la technologie et la constitution de bases de données regroupant notamment l’état physique des joueurs, dont les entraînements et les matchs qui sont surveillés par GPS.
« Le club, par la force des choses, est devenu par ses activités une entreprise économique et le data numérique, au fil des années, un enjeu stratégique important », a-t-il tenu encore à expliquer.
Les stagiaires ont, par la suite, participé à l’analyse numérique du match de Ligue 1 de la saison écoulée entre l’USM Alger et le MC Alger (2-2). Une analyse qui a démontré aux participants l’importance de cet outil dans la décortication scientifique d’une rencontre, « loin du chauvinisme et de l’esprit émotionnel ».
« Cet outil nous offre vraiment un spectre d’investigation large, des recommandations, une analyse de sentiment et une anticipation de comportement des différents acteurs, ce qui dénote de son importance dans le travail des entraîneurs et consultants TV », ont reconnu des intervenants.
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Les syndicats de l’Éducation qui n’ont cessé de protester depuis le début de l’année comptent maintenir leur mouvement de grève, en un délai jusqu’à la mi-février pour la ministre de l’Education. Un délai suffisant pour transmettre leurs doléances au gouvernement.
Le dialogue se casse entre la ministre et les 6 syndicats de l’éducation, avec un spectre de grève qui menace de planer à l’horizon. L’intersyndicale fait savoir de nouveau, que « la ministre de l’Education doit adopter un dialogue sérieux sur tous les dossiers transmis à son instance avec des réponses claires ». Parmi les points exigés,l’intersyndicale souligne la nécessité »de la reclassification des corps communs,la prime de zone pour les enseignants recrutés avant juin 2012, et le maintien de la retraite sans conditions d’âge, ainsi que la promotion des professeurs formateurs ».Ces dossiers qui traînent, selon une source de l’intersyndicale, n’ont pas trouvé une issue depuis des années alors que la ministre avait promis de faire mieux pour les régler. Cette dernière, qui a réussi momentanément aux partenaires sociaux à sur seoir à leur grève durant ce mois, évoque dans sa dernière déclaration à une chaîne de TV privée, que « son département oeuvre à un dialogue, selon un protocole établi parles deux parties ». Réponse non convaincante pour les syndicats qui veulent inscrire leurs doléances au-delà du cadre socioprofessionnel.Les 6 syndicats veulent en effet, que d’autres points pédagogiques soient traités dans l’ensemble des revendications.Il s’agit entre autres, de la »l’amélioration du contenu pédagogique pour le cycle primaire, la promotion de la qualité de la formation et la réduction des volumes horaires, pour les enseignants à tous les paliers ». Les syndicalistes, qui veulent rompre avec l’aspect revendicatif corporatiste, veulent inscrire les soucis de l’école comme un enjeu principal, dans un contexte politique où l’Institution éducative traverse sa pire crise. Au moment même où le gouvernement est préoccupé par le contexte électoral, la ministre de l’Education exhorte les syndicats à prendre en considération cet aspect, sans renier à un dialogue qui se fera dans les prochains jours. Mais, pour les partenaires sociaux, c’est maintenant le tout ou rien. Une position qui se radicalise de plus en plus, suite aux promesses non tenues depuis au moins un an.
Et suite à laquelle, les syndicats ont failli paralyser l’école, en optant pour la grève illimitée, et menaçant même de la reconduire pendant les périodes de scolaires. Une telle option n’est à écarter, si le gouvernement reste aphone à l’endroit de la corporation éducative. Il est à craindre qu’elle soit autant et déborde de son cadre, alors que le gouvernement tient à valider la paix sociale comme approche, pour solutionner les problèmes
Par : FAYÇAL ABDELGHANIThe post Un ultimatum à la mi-février pour Benghebrit : Les syndicats de l’Éducation se remobilisent appeared first on .
Bien que l’Algérie ait pu progresser dans le domaine, beaucoup reste toutefois à faire, a estimé Fouad Chehat, professeur en économie, et ancien directeur général de l’institut national de recherche agronomique (INRA).
S’exprimant, hier, sur les ondes de la radio nationale chaîne III, Chehat a fait savoir, en effet, qu’en matière de nourriture, l’Algérie ne produit que seulement 55% de ses besoins.
Un taux, souligne-il, bien inferieur des 70% annoncés ça et là. L’invité de la Radio a rappelé à ce sujet que 80% du blé tendre consommé par les ménages vient de l’étranger, comme c’est le cas du sucre, de l’huile, ou encore les poulets, produits grâce à des aliments également importés. Reconnaissant les progrès réalisés dans ce domaine grâce au niveau de rendement agricole que l’on n’envisageait pas, a-t-il dit, 30 années auparavant, l’invité de la Radio a cependant fait état de la présence d’un «point faible».
Celui-ci consiste, a-t-il expliqué, en le fait d’importer la totalité des plants et des semences destinés à la production des légumes, soulignant qu’en ce qui concerne les semences de blé, 70% seulement présentent de bonnes qualités de rendement. Pour Fouad Chehat en tout cas, cet état de fait prouve que la stratégie du pays est défaillante depuis longtemps. Mais pour pallier à cette situation et améliorer la qualité des semences, des plants et des géniteurs pouvant contribuer à l’augmentation des rendements, seule la recherche agronomique peut s’avérer utile, recommande cet expert qui regrette, toutefois, le manque d’intérêt accordé à cette recherche.
L’ex Dg de l’institut national de recherche agronomique a rappelé, d’autre part, qu’en 1982, avait été mis sur pieds un projet de création d’une banque de semences et de gènes, dont la construction avait débuté au milieu des années 90 mais qui est restée «malheureusement» inachevée jusqu’à ce jour. Le même intervenant a indiqué que les seules petites banques qui existent encore sont disséminées au niveau de quelques laboratoires. Le constat peu reluisant de l’expert ne s’arrête pas là, car, a-t-il poursuivi, en matière de constitution de stocks de semences de céréales, qui est notre aliment déterminant, il a été fait très peu de choses, selon lui.
Mais pas que, puisqu’il relève qu’il a été encore moins fait sinon pas du tout pour ce qui concerne le fourrage vert, au moment où est affichée la prétention de développer la production de lait, s’étonne-t-il. Voulant tirer la sonnette d’alarme, Fouad Chehat a relevé qu’avec une production agricole ne couvrant que 55% des besoins, l’Algérie ne peut assurer l’alimentation de sa population qu’en pompant sur ses ressources financières provenant majoritairement du pétrole et du gaz.
Dans de précédentes sorties médiatiques, faut-il le rappeler, Chehat avait exprimé des inquiétudes quant à l’avenir de l’agriculture et de la sécurité alimentaire du pays tant que le problème du foncier restait toujours en suspens. Il avait, en effet, dénoncé les détournements de terres agricoles à des fins urbanistiques, particulièrement aux alentours des villes et dans la Mitidja.
Ania Nait Chalal
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Des dizaines de souscripteurs AADL, dans la wilaya de Boumerdès, ont protesté, hier, contre le retard mis dans la réalisation de leurs logements. Ils se sont rassemblés devant le siège de l’agence locale de Boumerdès pour réclamer l’attribution de leurs logements et aussi expliquer les raisons de ce retard qui ne dit pas son nom. « Cela fait plus de 20 ans que nous attendons nos logements, mais en vain», dénoncent les manifestants, qui pointent du doigt la gestion opaque du dossier AADL dans cette wilaya.
Le refus d’être reçus par le directeur de l’agence locale a exacerbé les manifestants qui ont menacé de poursuivre leur action de protestation jusqu’à la satisfaction de leur principale revendication relative au bénéfice de leurs logements qui tarde à se concrétiser tout en réclamant l’intervention du ministre de l’Habitat pour permettre la distribution des logements, en particulier ceux qui sont achevés. Il est à souligner que pas moins de trois sites de logements AADL sont prêts à être livrés mais la direction du Logement met du retard sans motifs valables, déplorent les souscripteurs. Il s’agit notamment du site de Bordj-Ménaiel où il a été réalisé 1500 logements, 300 logements à Figuier et 7000 autres à Khemis-El-Khechna.
Tout en exigeant de lever toutes les contraintes liées aux programmes AADL et la distribution de leurs logements dans les meilleurs délais, les manifestants menacent de poursuivre leur mouvement de protestation jusqu’à la satisfaction de tous les souscripteurs.
B. Khider
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Le NA Husseïn-Dey tentera de s’emparer de la troisième place au classement, à l’occasion de la réception jeudi du relégable DRB Tadjenanet, en match comptant pour la mise à jour de la 18e journée du championnat de Ligue 1 de football.
Auteur de trois victoires de suite, dont une à domicile face aux Libyens du Ahli Benghazi (3-1) en Coupe de la Confédération africaine, synonyme de qualification à la phase de poules pour la première fois de son histoire, le Nasria (6e, 26 pts) devra impérativement l’emporter s’il veut monter sur le podium.
Le DRBT (15e, 17 pts), contraint au repos après le report de son duel à la maison face au CR Belouizdad qui devait se jouer vendredi pour terrain enneigé, est appelé à réagir pour quitter sa position de relégable devant une équipe à qui tout réussit actuellement.
Les « Sang et Or », sur leur lancée, partiront largement favoris face au Difaâ, dont un éventuel revers l’enfoncerait davantage dans les profondeurs du classement.
Du côté des Hauts-Plateaux, l’ES Sétif (7e, 24 pts), qui reste sur une qualification en quarts de finale de la Coupe d’Algérie aux dépens de l’USM Alger, jouera ce jour un match piège devant son public face à l’AS Aïn M’lila (11e, 20 pts), qui a failli revenir avec la victoire de son dernier déplacement à Tizi-Ouzou face au dauphin, la JS Kabylie (1-1).
Ce rendez-vous, entrant dans le cadre de la mise à jour de la 17e journée, mettra aux prises deux équipes aux objectifs diamétralement opposés. Si l’Entente aspire à renouer avec la gagne en championnat qui fuit les joueurs de l’entraîneur Noureddine Zekri depuis quatre journées, l’ASAM aura à coeur de revenir avec un bon résultat qui viendrait confirmer son redressement.
Programme
Aujourd’hui
ES Sétif – AS Aïn M’lila (16h00)
Jeudi 31 janvier
NA Hussein Dey – DRB Tadjenant (15h00)
Classement
Pts J
1). USM Alger 40 19
2). JS Kabylie 36 19
3). MC Alger 28 18
–). CSC 28 18
5). Paradou AC 27 19
6). NAHD 26 18
–). JS Saoura 24 18
–). ES Sétif 24 17
–). MC Oran 23 19
10). O. Médéa 22 19
11). ASAM 20 18
12. CABBA 19 19
–). MO Béjaïa 19 19
–). USMBA 19 19
15). DRBT 17 17
16). CRB 13 18
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Dans une interview, à l’agence de presse autrichienne APA, le premier ministre du gouvernement d’union national libyen, Fayez al-Sarraj, a affirmé qu’il y a plus de 800 000 migrants illégaux, dans son pays, dont pas plus de 20 000 sont dans les camps. Et c’est à partir de Vienne, où il était en visite, lundi dernier, que le responsable libyen a exprimé son point de vue sur les critiques européennes envers la Libye en matière migratoire, déclarant que « le problème doit être pris à la racine en renforçant la coopération avec les pays d’origine de ces migrants » a-t-il estimé, dans cette interview.
Alors que la Libye est dans une situation chaotique, depuis plus de sept ans, du fait de l’effondrement des institutions du pays, suite à la crise survenue dans ce pays, en 2011, précipitant l’intervention étrangère de l’OTAN; l’insécurité, l’instabilité et les divergences minant les relations entre les acteurs libyens et éloignant la perspective de voir ce pays sortir de la spirale cahotique dans laquelle il a été plongé, il y a plus de sept ans.
Régulièrement mis sous pression par des pays membres de l’Union européenne (UE), des ONG et le Haut commissariat aux réfugiés (HCR) sur les conditions qui règnent dans les camps des migrants irréguliers, qui sont au nombre de 20 000, des 800 000 migrants illégaux, que compte le pays, selon l’annonce du premier ministre libyen, lundi. à partir de Vienne, Fayez Serraj leur répond par un appel, non sans résonnances.
Il dira en effet, «nous appelons les pays qui se soucient des migrants dans les camps à nous aider directement» en leur proposant, a-t-il poursuivi «soit en les prenant chez eux, soit en nous aidant à les renvoyer dans leurs pays» a-t-il déclaré. à l’occasion de sa visite officielle à Vienne, le responsable libyen a eu à rencontrer le chancelier Sebastian Kurz et le président Alexander Van der Bellen.
Le Premier ministre, Fayez Serraj, a déclaré, à partir de Vienne, que «nous sommes prêts à travailler avec toutes les parties, que ce soit à l’échelle internationale ou à l’échelle libyenne.»
Par ailleurs, depuis son annonce, mi-janvier dernier, de la tenue, dans les prochaines semaines, de la conférence nationale libyenne, sur le sol libyen et entre les acteurs libyens, l’émissaire des Nations unies pour la Libye, Ghassan Salamé n’a à ce jour, annoncé aucune date qui verra l’organisation de ce rendez-vous inter-libyen.
Le responsable onusien vise, par cette conférence qui devrait voir réunir les acteurs libyens, tracer la voie vers des élections législatives et présidentielle, devant se tenir, selon le planning onusien au printemps prochain.
Karima B.
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Le Tennis club d’Hydra (HAC), niché sur les hauteurs d’Alger, a toujours été depuis sa création un réservoir de champions qui ont marqué son histoire avec des résultats et succès sportifs inégaux et renforcé les rangs des différentes équipes nationales de la balle jaune. Fondé en 1936, le HAC a hérité d’une longue tradition de club formateur de champions au fil des générations.
Des athlètes de haut niveau qui étaient à l’origine de prestigieux titres, trophées et distinctions tant sur le plan individuel que celui par équipes. Considéré depuis toujours comme une école de formation par excellence, le Tennis club d’Hydra peut se targuer de compter parmi les plus importantes infrastructures de la capitale dans la discipline avec sept courts dont un central, une salle de restauration et un vaste salon d’accueil. Outre les résultats de ses talentueux tennismen et tenniswomen, le club a accueilli par le passé des compétitions nationales et d’autres d’envergure internationale, notamment le tournoi ATP en 1975, la prestigieuse Coupe Davis en 1977 lors de son premier déroulement en Algérie contre l’Iran, suivie d’une deuxième rencontre en 1990 face à l’Egypte.
Des générations de champions
Si ce genre d’échéances ne se disputent plus en terre algérienne, le HAC marque toujours sa présence sur le volet compétitif en abritant des tournois internationaux ITF destinés à la catégorie des juniors.
Inscrit au coeur de la dynamique du tennis national, ce grand club a connu, à différentes périodes, ses moments de gloire marqués par des générations de joueurs et joueuses au brillant palmarès issus de sa célèbre école de formation. Parmi ces perles, on peut citer les Abdelhalim Azzi et Kamel Boudjemline qui ont gravé leurs noms dans les archives du club et du tennis national.
Après la réforme sportive en 1977 et pendant presque deux décennies, le club a connu une période de grande stabilité pendant laquelle de brillants athlètes se sont distingués à haut niveau de pratique, parmi lesquels les frères Amier, Samir et Yacine, et leur soeur Aïcha, Djamel Boudjemline, Rabah Bouchabou et ses soeurs Warda et Nabila, Mohamed Baït, Sadri Gueche, Abdelhak Hameurlaîne et sa soeur Lamia, les cousins Harrad (Wassil et Djamel), Amina Bennacer et Hodny Benzazzi. Une succession de dirigeants dévoués et pleinement engagés envers la discipline a permis au club de vivre pleinement toutes ces époques riches en heureux évènements tennistiques, notamment Mouloud Boutiche, Hassiba Hadj-Hamou, Ahmed Azzi et plus tard Mohamed Ammari. Ce dernier, qui occupe actuellement le poste de secrétaire général de la Fédération algérienne de tennis (FAT), a été toujours considéré comme le »Wikipédia » du tennis algérien, africain et même mondial.
Azzi dévoile le secret de la réussite
A son époque, le HAC ne cessait d’étoffer son palmarès par des titres nationaux, arabes, maghrébins et africains grâce à ses talentueux athlètes qui, souvent, se retrouvaient en finales de ces compétitions.
Si le HAC a goûté à plusieurs reprises à la gloire, c’est grâce à »la formation et au sérieux » de tout le collectif, véritable secret de cette réussite, selon le président de l’Association sportive communale d’Hydra, Tahar Azzi. »Le mérite revient en premier lieu à la formation que nous considérons comme notre clé de réussite. Nous avons toujours estimé que si le tennis à Hydra voulait garder sa touche, il doit impérativement mettre la formation en pôle position », a précisé Azzi à l’APS.
Selon ce dernier, le HAC a toujours été entouré de gens »compétents » qui se donnent à fond sur le terrain pour faire passer le message aux jeunes athlètes qui rêvent d’emprunter le chemin de leurs aïeuls, celui du succès. Même si le HAC reste aujourd’hui parmi les clubs qui ont marqué l’histoire de la balle jaune en Algérie, »l’hémorragie de départ » de ses meilleurs jeunes joueurs et joueuses sous d’autres cieux ne s’arrête plus. »Il faut avouer que ces dernières années, nous avons constaté le départ de plusieurs athlètes vers d’autres clubs et associations et ce, en raison des moyens. Sachez que depuis que le HAC a rouvert ses portes en 2011, on survit uniquement avec les cotisations.
Youcef Rihane, l’un des jeunes champions pétris de qualités qui ont grandi au club, reste le meilleur exemple : il a quitté Hydra faute de moyens car on n’arrivait plus à le bien encadrer. Il était difficile pour nous de lui offrir tout ce dont il a besoin, ce qui l’a poussé à changer d’air », a raconté Tahar Azzi. Et de conclure : »Maintenant, le plus important pour nous est que le budget soit reparti sur toutes les disciplines et non pas seulement sur le football qui se taille la part du lion. Nous travaillons pour avoir plus de moyens et de façon à garder nos jeunes talents parmi nos effectifs ».
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La direction du commerce de la wilaya de Médéa «s’emploie actuellement à augmenter le nombre de points de vente agréés de lait pasteurisé», dans le but «d’améliorer la distribution de ce produit et de lutter contre toute pratique spéculative susceptible de provoquer des tensions sur le lait en sachet», a indiqué, lundi à l’APS, le responsable de cette structure.
Des démarches ont été entreprises en direction de la laiterie de Ghrib, dans la wilaya de Ain-Defla, qui assure l’essentiel de l’approvisionnement de la wilaya de Médéa en lait pasteurisé, en vue de «faciliter la création de nouveaux points de vente réglementé», de sorte à «élargir le circuit de distribution légal et mieux maitriser la distribution du lait en sachet» à travers toutes les communes de la wilaya, a expliqué Haroun Daoudi. Il a précisé, dans ce contexte, que les responsables du groupement «Giplait», dont dépend la laiterie de Ghrib, sont disposés à accompagner et à apporter leur aide pour la concrétisation de cet objectif», ajoutant qu’un appel a été lancé récemment aux investisseurs et aux commerçants pour les «inciter à adhérer à cette démarche».
L’ouverture de nouveaux points de vente agréés devrait permettre, selon ce responsable, de garantir la «disponibilité de ce produit, de mieux organiser le circuit de distribution local et éviter toute forme de spéculation», tout en faisant observer que les «tensions enregistrées parfois dans certaines régions sont dues en grande partie à l’insuffisance de ces points de vente, mais aucunement au volume de lait pasteurisé affecté à la wilaya». Il a fait part, à cet égard, de l’existence d’un seul point de vente, sis au chef-lieu de wilaya, qui dépend directement de la laiterie de Ghrib, et dispose d’un volume de roulement quotidien de quelque 6000 sachets de lait pasteurisé, alors que le reste de la distribution est assuré par des particuliers, au nombre de 46 distributeurs.
Le quota quotidien de lait pasteurisé livré à la wilaya de Médéa par la laiterie de Ghrib s’élève, d’après Haroun Daoudi, à 85 000 litres, auquel il faut ajouter un apport de 41 000 litres supplémentaires, assurés par deux laiteries privées, destinés globalement à l’approvisionnement de plus d’une quinzaine de communes. Les besoins en lait des autres communes sont couverts par les producteurs privés de lait cru, qui disposent de leur propre circuit de vente constitué essentiellement de crémeries traditionnelles, a-t-il conclu.
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