Reçu sur la radio nationale, ce lundi 26 septembre 2022, le porte-parole du gouvernement Wilfried Houngbédji s'est prononcé sur la réforme visant à conférer au Président de la République, le pouvoir d'ordonner la suspension de l'exécution de la peine. Les cas des détenus Joël Aïvo et Reckya Madougou ont été évoqués.
En Conseil des ministres le 21 septembre 2022, le gouvernement béninois a procédé à la transmission à l'Assemblée nationale du projet de loi portant modification et complément de la loi n°2018-14 du 18 mai 2018 portant code de procédure pénale en République du Bénin. Le Conseil des ministres informe que « la réforme proposée vise à conférer au Président de la République, après avis conforme du Conseil supérieur de la Magistrature, le pouvoir d'ordonner la suspension de l'exécution de la peine lorsque celle-ci est justifiée pour des raisons sociales et humanitaires ».
Sur la radio nationale, ce lundi, Wilfried Houngbédji a été interrogé sur les cas des opposants Joël Aïvo condamné pour blanchiment de capitaux et de complot contre l'autorité de l'État et Reckya Madougou reconnue coupable de financement du terrorisme.
« Ce sont des justiciables béninois. S'ils remplissent les conditions pour bénéficier demain de ces mesures, il leur appartient de prendre l'initiative ainsi que le projet de loi l'indique, de formuler une demande. Dès lors que le CSM (Conseil Supérieur de la Magistrature, ndlr) aura donné son avis favorable, ils pourront bénéficier de cette mesure comme n'importe quel autre justiciable, condamné par les cours et tribunaux du Bénin », a-t-il affirmé.
Selon le Secrétaire général adjoint du gouvernement, l'initiative prise par l'Exécutif est « une marque de responsabilité ». Disposant d'une majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement « s'il avait à se cacher », aurait demandé à un député de « préparer une proposition de loi dans ce sens ». « Le gouvernement assume sa décision de parvenir à modifier le code de procédure pénale pour les aménagements envisagés », a expliqué Wilfried Houngbédji.
A en croire le porte-parole du gouvernement, il ne s'agit pas d'abréger les peines. « Il s'agit de suspendre », a-t-il indiqué.
Dans ses explications Wilfried Houngbédji a donné l'exemple d'un individu condamné à une peine de 15 ans de prison ayant déjà fait 7 ans de prison. Le détenu atteint d'une pathologie par exemple pourrait faire la demande de deux ans pour sa prise en charge dans un établissement hospitalier. Dès qu'il revient après les deux ans, il recommence sa peine là où elle s'était arrêtée. Un détenu peut bénéficier de la mesure pour 5 ans maximum renouvelable une fois selon le Secrétaire général adjoint du gouvernement.
Wilfried Houngbédj a aussi évoqué la possibilité d'une grâce. « Si vous avez bénéficié du maximum, c'est-à-dire cinq ans et que vous avez obtenu le renouvellement, ce qui ferait dix ans. A terme, s'il n'y a pas de disposition particulière, vous pouvez maintenant obtenir la grâce », a affirmé le porte-parole du gouvernement. Il y aura, informe-t-il, « une décision formelle pour dire que telle personne a été graciée ».
A.Ayosso
Reçu sur la radio nationale, ce lundi 26 septembre 2022, le porte-parole du gouvernement Wilfried Houngbédji s'est prononcé sur la réforme visant à conférer au Président de la République, le pouvoir d'ordonner la suspension de l'exécution de la peine. Les cas des détenus Joël Aïvo et Reckya Madougou ont été évoqués.
En Conseil des ministres le 21 septembre 2022, le gouvernement béninois a procédé à la transmission à l'Assemblée nationale du projet de loi portant modification et complément de la loi n°2018-14 du 18 mai 2018 portant code de procédure pénale en République du Bénin. Le Conseil des ministres informe que « la réforme proposée vise à conférer au Président de la République, après avis conforme du Conseil supérieur de la Magistrature, le pouvoir d'ordonner la suspension de l'exécution de la peine lorsque celle-ci est justifiée pour des raisons sociales et humanitaires ».
Sur la radio nationale, ce lundi, Wilfried Houngbédji a été interrogé sur les cas des opposants Joël Aïvo condamné pour blanchiment de capitaux et de complot contre l'autorité de l'État et Reckya Madougou reconnue coupable de financement du terrorisme.
« Ce sont des justiciables béninois. S'ils remplissent les conditions pour bénéficier demain de ces mesures, il leur appartient de prendre l'initiative ainsi que le projet de loi l'indique, de formuler une demande. Dès lors que le CSM (Conseil Supérieur de la Magistrature, ndlr) aura donné son avis favorable, ils pourront bénéficier de cette mesure comme n'importe quel autre justiciable, condamné par les cours et tribunaux du Bénin », a-t-il affirmé.
Selon le Secrétaire général adjoint du gouvernement, l'initiative prise par l'Exécutif est « une marque de responsabilité ». Disposant d'une majorité à l'Assemblée nationale, le gouvernement « s'il avait à se cacher », aurait demandé à un député de « préparer une proposition de loi dans ce sens ». « Le gouvernement assume sa décision de parvenir à modifier le code de procédure pénale pour les aménagements envisagés », a expliqué Wilfried Houngbédji.
A en croire le porte-parole du gouvernement, il ne s'agit pas d'abréger les peines. « Il s'agit de suspendre », a-t-il indiqué.
Dans ses explications Wilfried Houngbédji a donné l'exemple d'un individu condamné à une peine de 15 ans de prison ayant déjà fait 7 ans de prison. Le détenu atteint d'une pathologie par exemple pourrait faire la demande de deux ans pour sa prise en charge dans un établissement hospitalier. Dès qu'il revient après les deux ans, il recommence sa peine là où elle s'était arrêtée. Un détenu peut bénéficier de la mesure pour 5 ans maximum renouvelable une fois selon le Secrétaire général adjoint du gouvernement.
Wilfried Houngbédj a aussi évoqué la possibilité d'une grâce. « Si vous avez bénéficié du maximum, c'est-à-dire cinq ans et que vous avez obtenu le renouvellement, ce qui ferait dix ans. A terme, s'il n'y a pas de disposition particulière, vous pouvez maintenant obtenir la grâce », a affirmé le porte-parole du gouvernement. Il y aura, informe-t-il, « une décision formelle pour dire que telle personne a été graciée ».
A.Ayosso
Le recteur de l'Université de Parakou a rendu public le calendrier des inscriptions dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR) au titre de l'année académique 2022-2023 à travers un communiqué en date du 27 septembre 2022.
Les inscriptions dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR) au titre de l'année académique 2022-2023 à l'Université de Parakou dans le département du Borgou démarrent le 03 octobre 2022 et prendront fin le 27 janvier 2023.
Aucune inscription ne sera acceptée après ce délai, selon un communiqué du professeur Bertrand Sogbossi Bocco, recteur de l'Université de Parakou.
M. MENSAH
VOICI LA PROCEDURE POUR L'INSCRIPTION
Le recteur de l'Université de Parakou a rendu public le calendrier des inscriptions dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR) au titre de l'année académique 2022-2023 à travers un communiqué en date du 27 septembre 2022.
Les inscriptions dans les différentes Unités de Formation et de Recherche (UFR) au titre de l'année académique 2022-2023 à l'Université de Parakou dans le département du Borgou démarrent le 03 octobre 2022 et prendront fin le 27 janvier 2023.
Aucune inscription ne sera acceptée après ce délai, selon un communiqué du professeur Bertrand Sogbossi Bocco, recteur de l'Université de Parakou.
M. MENSAH
VOICI LA PROCEDURE POUR L'INSCRIPTION
La 25e édition des Conférences périodiques organisées par la Direction Générale de l'Economie (DGE) du Ministère de l'Economie et des Finances (MEF), s'est tenue, ce mardi 27 septembre 2022, à la salle de conférence de la Direction Générale des Impôts et de la Direction Générale de l'Economie (DGI/DGE) sur le thème ‘'Covid-19 et guerre en Ukraine : enjeux géopolitiques, effets et modèles de résilience économiques''.
Suspendues en raison de la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, les conférences économiques périodiques ont repris, ce mardi 27 septembre, dans un contexte marqué par les séquelles de la pandémie de Covid-19 et de guerre russo-ukrainienne qui compromet les perspectives d'une reprise mondiale durable. Et, c'est à juste titre que les conférences se consacrent à ces deux crises.
Il s'agit de soumettre à « l'analyse et au débat d'experts avertis mais aussi d'acteurs économiques et de citoyens quotidiennement confrontés aux conséquences réelles de ces chocs exogènes », selon Elie Dohou, Directeur Général de l'Economie.
Au nom du Ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances Romuald Wadagni, le Directeur de cabinet a souhaité la bienvenue aux participants à la 25è édition des conférences périodiques portant sur le thème ‘'Covid-19 et guerre en Ukraine : Enjeux géopolitiques, impacts et modèles économiques post-crises''.
« Cette conférence sera donc l'occasion d'expliquer aux citoyens encore dubitatifs sur la possibilité qu'une crise se déroulant sur des espaces géographiques aussi lointains ait des répercussions sur l'économie nationale. Elle permettra également de montrer la proactivité de notre gouvernement dans la gestion de ces crises en faisant ressortir les approches de solutions innovantes pour contrer les effets néfastes sur la vie des Béninois », a indiqué Hermann Orou Takou, Directeur de Cabinet du Ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances représentant le ministre d'Etat Romuald Wadagni.
Le Directeur de cabinet a fait savoir que depuis 2016 le Bénin sous le leadership de son chef d'Etat a fait le choix de bâtir une économie plus forte, plus dynamique et plus résiliente aux chocs. C'est dans cette perspective que le ministère de l'économie et le Ministre d'Etat ont décidé de porter les réflexions à cette 25e édition sur les nouveaux modèles qui permettront de gérer de façon plus optimale ces chocs exogènes auxquels l'économie est constamment confrontée.
« Nos assises de ce matin sont alors le lieu de faire des réflexions prospectives sur les modèles de résilience économiques », a expliqué Hermann Orou Takou.
Le directeur de cabinet s'est dit rassuré de la qualité des participants, des débats d'idées qui se feront et des recommandations et suggestions pertinentes qui découleront des assises.
A propos des conférences périodiques de la DGE
Organisées depuis 7 ans et ouvertes au grand public, aux opérateurs économiques, aux organisations de la société civile, aux universitaires et aux cadres des administrations publique et privée, les conférences périodiques de la Direction générale de l'Économie (DGE) sont l'occasion des échanges et débats sur les sujets économiques et financiers d'actualité. Ces discussions ont vocation à inspirer, in fine, les politiques économiques du Bénin à travers les recommandations qui sont faites.
Marc MENSAH
La 25e édition des Conférences périodiques organisées par la Direction Générale de l'Economie (DGE) du Ministère de l'Economie et des Finances (MEF), s'est tenue, ce mardi 27 septembre 2022, à la salle de conférence de la Direction Générale des Impôts et de la Direction Générale de l'Economie (DGI/DGE) sur le thème ‘'Covid-19 et guerre en Ukraine : enjeux géopolitiques, effets et modèles de résilience économiques''.
Suspendues en raison de la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, les conférences économiques périodiques ont repris, ce mardi 27 septembre, dans un contexte marqué par les séquelles de la pandémie de Covid-19 et de guerre russo-ukrainienne qui compromet les perspectives d'une reprise mondiale durable. Et, c'est à juste titre que les conférences se consacrent à ces deux crises.
Il s'agit de soumettre à « l'analyse et au débat d'experts avertis mais aussi d'acteurs économiques et de citoyens quotidiennement confrontés aux conséquences réelles de ces chocs exogènes », selon Elie Dohou, Directeur Général de l'Economie.
Au nom du Ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances Romuald Wadagni, le Directeur de cabinet a souhaité la bienvenue aux participants à la 25è édition des conférences périodiques portant sur le thème ‘'Covid-19 et guerre en Ukraine : Enjeux géopolitiques, impacts et modèles économiques post-crises''.
« Cette conférence sera donc l'occasion d'expliquer aux citoyens encore dubitatifs sur la possibilité qu'une crise se déroulant sur des espaces géographiques aussi lointains ait des répercussions sur l'économie nationale. Elle permettra également de montrer la proactivité de notre gouvernement dans la gestion de ces crises en faisant ressortir les approches de solutions innovantes pour contrer les effets néfastes sur la vie des Béninois », a indiqué Hermann Orou Takou, Directeur de Cabinet du Ministre d'Etat chargé de l'Economie et des Finances représentant le ministre d'Etat Romuald Wadagni.
Le Directeur de cabinet a fait savoir que depuis 2016 le Bénin sous le leadership de son chef d'Etat a fait le choix de bâtir une économie plus forte, plus dynamique et plus résiliente aux chocs. C'est dans cette perspective que le ministère de l'économie et le Ministre d'Etat ont décidé de porter les réflexions à cette 25e édition sur les nouveaux modèles qui permettront de gérer de façon plus optimale ces chocs exogènes auxquels l'économie est constamment confrontée.
« Nos assises de ce matin sont alors le lieu de faire des réflexions prospectives sur les modèles de résilience économiques », a expliqué Hermann Orou Takou.
Le directeur de cabinet s'est dit rassuré de la qualité des participants, des débats d'idées qui se feront et des recommandations et suggestions pertinentes qui découleront des assises.
A propos des conférences périodiques de la DGE
Organisées depuis 7 ans et ouvertes au grand public, aux opérateurs économiques, aux organisations de la société civile, aux universitaires et aux cadres des administrations publique et privée, les conférences périodiques de la Direction générale de l'Économie (DGE) sont l'occasion des échanges et débats sur les sujets économiques et financiers d'actualité. Ces discussions ont vocation à inspirer, in fine, les politiques économiques du Bénin à travers les recommandations qui sont faites.
Marc MENSAH
Comme l'annonçaient les rumeurs, Philippe Troussier était présent au Stade Sporting Club Chabab Mohammedia lors du match amical Bénin Madagascar ce mardi. L'intérim qu'assure Moussa Latoundji à la tête des Ecureuils prendra fin. Philippe Troussier deviendra le nouvel entraîneur des Ecureuils du Bénin. L'annonce sera rendue publique dans les jours à venir.
Philippe Troussier aura la lourde mission de poursuivre les éliminatoires pour une qualification du Bénin à la Can Côte d'Ivoire 2023.
Toujours dans la perspective de la restructuration du football béninois, selon nos sources, un Directeur Technique National sera également nommé.
Il faut préciser que Philippe Troussier est un entraîneur qui connait bien le football africain. Surnommé le “sorcier blanc”, il a entrainé plusieurs clubs (Asec Mimosas, Fus Rabat, Kaizer Chiefs, CS Sfaxien, et autres), et les équipes nationales de la Côte d'Ivoire, du Nigeria, du Burkina Faso, d'Afrique du Sud et du Maroc.
Comme l'annonçaient les rumeurs, Philippe Troussier était présent au Stade Sporting Club Chabab Mohammedia lors du match amical Bénin Madagascar ce mardi. L'intérim qu'assure Moussa Latoundji à la tête des Ecureuils prendra fin. Philippe Troussier deviendra le nouvel entraîneur des Ecureuils du Bénin. L'annonce sera rendue publique dans les jours à venir.
Philippe Troussier aura la lourde mission de poursuivre les éliminatoires pour une qualification du Bénin à la Can Côte d'Ivoire 2023.
Toujours dans la perspective de la restructuration du football béninois, selon nos sources, un Directeur Technique National sera également nommé.
Il faut préciser que Philippe Troussier est un entraîneur qui connait bien le football africain. Surnommé le “sorcier blanc”, il a entrainé plusieurs clubs (Asec Mimosas, Fus Rabat, Kaizer Chiefs, CS Sfaxien, et autres), et les équipes nationales de la Côte d'Ivoire, du Nigeria, du Burkina Faso, d'Afrique du Sud et du Maroc.
Les nouveaux bacheliers de 2022, admis à un ou plusieurs concours d'entrée en 1ère année des entités de formation des universités publiques et à la fois sélectionnés à titre de boursiers, de formation partiellement payante et aides universitaires par la commission nationale de sélection sont invités à procéder à un choix unique.
Le Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a invité les nouveaux bacheliers de 2022, admis à un ou plusieurs concours d'entrée en 1ère année des entités de formation des universités publiques et à la fois sélectionnés à titre de boursiers, de formation partiellement payante et aides universitaires par la commission nationale de sélection à « se rendre à la Direction Générale de l'Enseignement Supérieur (DGES) et dans les vice-rectorats chargés des affaires académiques des universités publiques, du mercredi 28 septembre au vendredi 07 octobre 2022, pour faire un choix unique ».
Selon le communiqué en date du 27 septembre 2022, il n'est pas possible de bénéficier cumulativement de deux allocations d'études.
Il est rappelé également aux nouveaux bacheliers que tout changement de filière conduit à la perte de l'allocation.
M. M.
L'INTEGRALITE DU COMMUNIQUE
Les nouveaux bacheliers de 2022, admis à un ou plusieurs concours d'entrée en 1ère année des entités de formation des universités publiques et à la fois sélectionnés à titre de boursiers, de formation partiellement payante et aides universitaires par la commission nationale de sélection sont invités à procéder à un choix unique.
Le Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a invité les nouveaux bacheliers de 2022, admis à un ou plusieurs concours d'entrée en 1ère année des entités de formation des universités publiques et à la fois sélectionnés à titre de boursiers, de formation partiellement payante et aides universitaires par la commission nationale de sélection à « se rendre à la Direction Générale de l'Enseignement Supérieur (DGES) et dans les vice-rectorats chargés des affaires académiques des universités publiques, du mercredi 28 septembre au vendredi 07 octobre 2022, pour faire un choix unique ».
Selon le communiqué en date du 27 septembre 2022, il n'est pas possible de bénéficier cumulativement de deux allocations d'études.
Il est rappelé également aux nouveaux bacheliers que tout changement de filière conduit à la perte de l'allocation.
M. M.
L'INTEGRALITE DU COMMUNIQUE
La Société Béninoise d'Énergie Électrique (SBEE) annonce une perturbation dans la fourniture de l'énergie électrique dans plusieurs localités d'Abomey-Calavi en raison des travaux d'entretien du réseau dans l'Atlantique ce mardi 27 septembre 2022.
Des travaux d'entretien du réseau électrique dans l'Atlantique ce mardi. Plusieurs localités de la commune d'Abomey-Calavi pourraient donc connaître des perturbations dans la fourniture de l'énergie électrique. Il s'agit des localités telles que : Tokan, Ahossougbéta, Hêvié, Zoundja, Adovié, Hounzévié, Houédo et environs.
La SBEE informe que le réseau électrique doit être considéré sous tension. « Nous mettons tout en œuvre pour limiter la durée de ces perturbations », rassure la SBEE. Elle présente toutes ses excuses pour le désagrément que cette situation pourrait occasionner.
A.Ayosso
La Société Béninoise d'Énergie Électrique (SBEE) annonce une perturbation dans la fourniture de l'énergie électrique dans plusieurs localités d'Abomey-Calavi en raison des travaux d'entretien du réseau dans l'Atlantique ce mardi 27 septembre 2022.
Des travaux d'entretien du réseau électrique dans l'Atlantique ce mardi. Plusieurs localités de la commune d'Abomey-Calavi pourraient donc connaître des perturbations dans la fourniture de l'énergie électrique. Il s'agit des localités telles que : Tokan, Ahossougbéta, Hêvié, Zoundja, Adovié, Hounzévié, Houédo et environs.
La SBEE informe que le réseau électrique doit être considéré sous tension. « Nous mettons tout en œuvre pour limiter la durée de ces perturbations », rassure la SBEE. Elle présente toutes ses excuses pour le désagrément que cette situation pourrait occasionner.
A.Ayosso