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24 Heures au Bénin

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Updated: 20 hours 25 min ago

Le Bénin présente sa politique de gestion durable des terres pour la sécurité alimentaire

Tue, 07/17/2018 - 01:44

Une délégation béninoise conduite par le Ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement M. Abdoulaye Bio Tchané et le Ministre du Cadre de vie et du Développement Durable M. José Didier Tonato, participe depuis ce lundi 16 juillet 2018 au Forum Politique de Haut Niveau sur le Développement Durable (FPHN), à New York (Etats-Unis d'Amérique).

Placée sous le thème « transformation vers des sociétés durables et résilientes », le Forum Politique de Haut Niveau sur le Développement Durable s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD). Il sera question pour les participants à ce forum d'évaluer le cadre adéquat permettant de fournir un leadership politique et des recommandations pour le développement durable, de suivre et examiner les progrès dans la mise en œuvre des Objectifs de développement durable et d'améliorer l'intégration des dimensions économiques, sociales et environnementales du développement durable. Elle vise aussi à avoir un agenda ciblé, dynamique et axé sur l'action, envisager des défis de développement durable nouveaux et émergents et enfin assumer les fonctions des examens ministériels annuels de l'ECOSOC sur les ODD.
Le Bénin s'est engagé dans la mise en œuvre des ODD dans ses politiques de développement depuis l'adoption de l'Agenda 2030 pour le développement durable et les Objectifs de développement durable (ODD) par l'Assemblée générale de l'ONU, le 25 septembre 2015. Une présentation sur la gestion durable des terres pour la sécurité alimentaire et l'adaptation au changement climatique a été faite par le Bénin puisque disposant depuis quelque temps d'un plan d'actions sur la Gestion Durable des Terres. L'évaluation de cette année porte sur les ODD 6, 7, 11, 12 et 15. Ouverts ce lundi, les travaux de ce forum prendront fin mercredi prochain.
G.A.

Categories: Afrique

Mme Attanasso soutient Talon pour un second mandat

Mon, 07/16/2018 - 23:01

Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Marie-Odile Attanasso, dans un entretien accordé à La Nation, a affirmé sa volonté d'accompagner le chef de l'Etat, Patrice Talon, pour un second mandat. « Personnellement, je me battrai pour un second mandat du président Patrice Talon », a-t-elle martelé. Selon le ministre de l'enseignement supérieur, il faudra un second mandat pour asseoir les réformes. « Je le souhaite vivement, parce que quand vous regardez le chantier qu'on est venu trouver au Bénin, si on fait cela, cinq ans après cela va retomber. Il faut vraiment reformater l'homme. Il faut remettre les bonnes habitudes, les bonnes pratiques. Et, en cinq ans, je ne crois pas qu'on aurait vraiment infléchi la tendance » a insisté Marie-Odile Attanasso. Pour elle, le trou était plus profond qu'on ne le pensait et le gouvernement était loin de s'imaginer que tout le système était corrompu. « Donc, quand vous êtes arrivé à ce niveau de déconfiture, en deux ans, on ne pourra pas tout redresser. Il n'y a pas de secteur que vous prenez dans ce pays sans crier de stupéfaction », a déploré le ministre.
Se prononçant sur la gouvernance du chef de l'Etat et des engagements pour améliorer le quotidien des populations, Marie-Odile Attanasso pense que ça va mieux déjà. En matière de gouvernance poursuit-elle, nous avons quand même pu gagner beaucoup de choses que nous sommes en train d'utiliser pour faire d'autres choses. Tout en reconnaissant que la population ne voie pas cela tout de suite, elle promet que cela se verra.
« Nous avons un taux de croissance qui s'améliore. Je vous dis qu'il sera encore meilleur en 2019 », promet le ministre de l'enseignement supérieur. La tendance selon elle, est à un accroissement du taux de Pib. En tant qu'économiste, elle rassure que nous sommes dans une bonne situation quand bien même les retombées ne sont pas perçues au niveau des ménages. « Un pays se construit pour l'avenir. On ne gère un pays au quotidien », a-t-elle dénoncé, regrettant que le pays soit géré pendant dix ans au quotidien où beaucoup de choses se sont passées. « Tout le monde avait de l'argent, mais on n'a pas projeté pour voir si cela peut continuer », a souligné le ministre. Marie-Odile Attanasso ajoute que c'est cela qui nous rattrape maintenant et on est obligé de faire des réformes, d'arrêter la circulation de l'argent qui passait par tous les moyens, beaucoup de détournements, beaucoup de corruption, etc. « Ça se ressent effectivement sur le ménage. Mais pour pouvoir bien se porter, quand on fait un bon diagnostic, il faut bien se soigner », recommande-t-elle.
Marie-Odile Attanasso souligne que si 'nous voulons le développement du pays, nous sommes obligés de faire un choix. « On ne peut pas se développer sans sacrifice », a-t-elle précisé avant d'ajouter que chaque pays a le dirigeant qu'il mérite. Si nous ne voulons pas nous développer, poursuit le ministre, nous allons prendre une autre personne et nous allons retomber et c'est tout le monde qui va ramasser les pots cassés.

F. A. A.

Categories: Afrique

Le match Ghana vs Bénin programmé pour le 04 Août

Mon, 07/16/2018 - 22:58

C'est par une correspondance signé du secrétaire général Anthony Baffoe que la Confédération africaine de football (CAF) informe les parties prenantes des nouvelles dates du match entre le Bénin et le Ghana comptant pour les éliminatoires aller de la Can U20. "Nous vous informons par la présente que le match aller N°55 Ghana vs Bénin qui a été reporté aura lieu le 4 août 2018 au stade de Cape Coast Stadium", rappelle-t-il. Il précise aussi que le "match retour N°56 Bénin vs Ghana est prévu pour le 10, 11 ou 12 août 2018 ". Lesdits matchs avaient été ajournés compte tenue de la situation que traverse la Fédération ghanéenne de football. Ce match entre le Bénin et le Ghana compte pour le troisième et dernier tour des éliminatoires de la Can U20 dont la phase finale est prévue au Niger en 2019.

G.A.

Categories: Afrique

''KGB'' extradé au Bénin

Mon, 07/16/2018 - 20:38

Kiki Sagbe Bernard alias KGB vient d'être confié à la justice béninoise. Plusieurs fois annoncée, son extradition a été effective ce lundi 16 juillet 2018.
Poursuivi pour une affaire d'escroquerie, il a réussi à quitter le Bénin le 26 avril 2018 pour se réfugier à Lomé. Un mandat d'arrêt international a été délivré à son encontre. Ce qui a permis son interpellation le mercredi 30 mai 2018 à Lomé au Togo. La justice togolaise l'avait retenu pour, dit-on, une question de formalités.
Plusieurs personnes sont en détention dans le cadre de ce qu'il convient d'appeler ‘'dossier KGB''.
F. A. A.

Les images








Categories: Afrique

Le transfèrement de KGB en images

Mon, 07/16/2018 - 20:07

L'homme d'affaires Bernard Godonou Kikissagbé, alias KGB, arrêté au Togo en Mai dernier, a été remis aux autorités béninoises ce lundi 16 juillet 2018 autour de 16 Heures.

Après l'échec du vendredi 13 juillet dernier, le transfèrement de KGB a eu lieu ce lundi 16 juillet 2018 à Hilacondji sous la supervision du colonel François Fontèclounou. Après les actes administratifs, l'Homme d'affaires a été conduit sous escorte à Cotonou où il sera présenté au Procureur de la République.
Il convient de rappeler qu'il est reproché à Monsieur Kiki Sagbe Bernard des faits présumés d'escroquerie, d'imitation de la signature des autorités etc.
Dans ce dossier une dizaine de prévenus sont sous mandats de dépôt. Nous y reviendrons.








Categories: Afrique

Marie Odile Atanasso lance l'examen au Ceg Tori Agouako

Mon, 07/16/2018 - 17:46

Démarrée ce lundi 16 juillet 2018, sur toute l'étendue du territoire national, la phase écrite du Bac a été officiellement lancée par le ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Marie Odile Atanasso, au Collège d'enseignement général de Tori Agouako, dans la commune de Bossito. Elle était accompagnée du ministre des Enseignements secondaire, technique et de la Formation professionnelle, Mahougnon Kakpo.
Déjà à 8 heures, la délégation ministérielle était dans une salle de composition du Ceg de Tori Agouako pour le lancement des épreuves. Ce centre nouvellement créé, accueille au total 392 candidats des séries A1, A2, B et D répartis dans 12 salles de compositions. Avant le démarrage de la composition de la toute première épreuve qu'est le Français, les autorités ont prodigué des conseils aux candidats. « Toutes les dispositions sont prises pour que les apprenants puissent bien affronter les épreuves bien que l'année scolaire en cours a été secouée par des mouvements de grèves », a confié le ministre Mahougnon Kakpo. Selon chef centre Adolphe Kounou, l'examen s'est bien démarré au Ceg Tori Agouakou.
Outre l'épreuve de Français, les candidats sont soumis durant cette première journée à celles de Mathématiques et de Science de la vie et de la terre (Svt).
Ils sont au total 106.499 candidats, répartis dans 147 centres à composer au plan national en vue de l'obtention du premier diplôme universitaire.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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La route Bénin-Niger bientôt coupée en deux à Kandi

Mon, 07/16/2018 - 17:38

La traversée de Kandi bientôt impossible. L'état actuel de la route principale qui traverse cette localité est en passe de céder au niveau du pont érigé en plein cœur de la ville.
Les riverains de la route inter-Etats Bénin-Niger en difficulté. Et pour cause, la seule voie de traversée de la ville de Kandi est en état de dégradation avancée. Selon les informations, c'est après une pluie que les riverains ont constaté des fentes au niveau du pont qui ne peut plus supporter aucune charge lourde. Il faut juste une petite charge pour que la chaussée soit coupée en deux à la hauteur de la CLCAM Kandi. L'état de dégradation avancée de la voie a été mis à nu ce lundi matin par les eaux de ruissellement de la pluie qui s'est abattue sur la ville. Le phénomène est visible au niveau du pont situé entre la BOA et la CLCAM, où les buses sont déconnectées du plancher. A cause du risque d'effondrement de la voie, le trafic a été orienté sur un autre trajet. Le préfet du département de l'Alibori Mohamadou Moussa, le maire Alidou Démonlé Moko, le responsable en charge des TP et quelques responsables de la police Républicaine sont allés faire le constat sur les lieux.
La circulation sur cette voie inter-Etats pourrait être bloquée, si le ministère des infrastructures et des transports ne fait pas diligence pour trouver une solution à cette situation.
G.A.

Categories: Afrique

Une session extraordinaire s'ouvre bientôt au parlement

Mon, 07/16/2018 - 16:45

La session extraordinaire de l'année 2018 va s'ouvrir bientôt au parlement. C'est l'une des décisions issues de la réunion du bureau de l'Assemblée nationale, tenue le vendredi 13 juillet 2018, au palais des gouverneurs à Porto-Novo, sous la présidence de Eric Houndété, premier vice-président de l'Assemblée nationale. Cette décision fait suite à la demande d'une session extraordinaire signée par 47 députés, et porte sur le toilettage de la Charte des partis politiques.
A l'issue du séminaire parlementaire, élargi aux partis politiques non représentés à l'Assemblée nationale ainsi qu'aux organisations de la société civile, tenu les 15 et 16 février 2018 à Azalaï Hôtel de la plage de Cotonou, les participants s'étaient entendus sur un certain nombre d'amendements à apporter à la nouvelle proposition de charte des partis politiques en République du Bénin.
L'ouverture de ladite session extraordinaire vient écourter les vacances des députés de la septième législature.
F. A. A.

Categories: Afrique

40 accusés à la barre dès ce lundi

Mon, 07/16/2018 - 16:42

Le procureur général près la Cour d'Appel de Cotonou, Emmanuel Opita, précisé dans un point de presse, vendredi dernier, que 25 dossiers sont inscrits au rôle et 40 accusés défileront à la barre. Ladite session s'ouvre ce lundi 16 juillet.
Selon le procureur Emmanuel Opita, « Le nombre impressionnant d'accusés en attente d'être jugés depuis plusieurs années et renvoyés devant la Cour d'assises a rendu nécessaire l'organisation d'une session supplémentaire ». Ce qui participe de la politique de désengorgement des maisons d'arrêt. Au nombre des dossiers, 03 portent sur le crime de viol ; 14 relatifs aux crimes de sang (assassinat, meurtre, parricide, infanticide et coups mortels) avec le retour du dossier ‘'Dangnivo'' qui traîne depuis 08 ans. Un autre dossier de crime d'incendie de bâtiment servant d'habitation et un porte sur le crime de pratiques de charlatanisme et menaces verbales de mort sous conditions. Le procureur précise que « Dans certains dossiers, les accusés sont poursuivis pour plusieurs infractions ». Pour le procureur, cette session est majoritairement dominée par le crime de sang notamment assassinat, meurtre, parricide, infanticide et coups mortels. Ces vingt-cinq dossiers seront examinés à la Cour d'Appel de Cotonou dans la période du 16 juillet au 31 août 2018.
G.A.

Categories: Afrique

Toboula lance les épreuves au Ceg Ste Rita

Mon, 07/16/2018 - 16:04

Le préfet du Littoral, Modeste Toboula, accompagné du maire de la ville de Cotonou, Joseph Gnonlonfoun et du Secrétaire Général du Département, Serge Gbaguidi, a procédé au lancement des épreuves écrites de l'examen du Baccalauréat, dans la matinée de ce lundi 16 Juillet 2018 au CEG Ste Rita de Cotonou. En présence du directeur départemental de l'enseignement secondaire, du chef centre et du superviseur, Modeste Toboula et Joseph Gnonlonfoun ont procédé à l'ouverture des enveloppes sous le regard bienveillant des candidats.
Ce fut l'occasion pour l'autorité préfectorale de doper le moral des candidats en les exhortant à la concentration et à la sérénité pour affronter les diverses épreuves. « Le département du Littoral a sorti le premier du Bénin l'année dernière », a-t-il rappelé invitant les candidats à rééditer l'exploit cette année. Après avoir transmis les encouragements du chef de l'État et du son gouvernement, Modeste Toboula, a rassurés les candidats que toutes les dispositions ont été prises pour que l'examen se déroule très bien pendant les trois jours de composition.
Le maire de Cotonou a émis le vœu que rien ne perturbe les candidats du début jusqu'à la fin de l'examen. Joseph Gnonlonfoun a souhaité que la chance accompagne tous les candidats et rappelle que le Baccalauréat reste un examen et non un concours.
Le directeur départemental des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle a remercié le gouvernement pour les efforts fournis ainsi que les acteurs du monde éducatif pour le sacrifice consenti afin que la session ait lieu. Il a rassuré les autorités que sa veille pour un déroulement sans faille sera permanente jusqu'à la dernière épreuve.
F. A. A.

Categories: Afrique

La nouvelle prison de Savalou inauguré

Mon, 07/16/2018 - 16:01

Le ministre de la justice, de la législation et des droits de l'Homme, Sévérin Quenum, a procédé à la mise en service, ce vendredi 13 juillet 2018, de la nouvelle maison d'arrêt de Savalou. D'un coût global de un (01) milliard de FCFA, ce joyau carcéral de type moderne a été réalisé sur financement du budget national. Il dispose de 150 places et offre toutes les commodités usuelles. L'infrastructure abrite également en son sein, des espaces pour l'exécution d'activités génératrices de revenus afin de préparer le détenu à sa réinsertion sociale.
« Cette nouvelle maison d'arrêt doit être un exemple de la promotion des droits de l'Homme et surtout de la personne détenue », a déclaré le Garde des sceaux, ministre de justice et de la législation, mettant en garde les responsables contre les mauvaises pratiques qui ont cours dans les grandes prisons du pays. Il s'agit du rançonnement, de la violence, du trafic des stupéfiants, de la prostitution et autres tares connues, dénoncés et combattus désormais dans les milieux carcéraux.
La mise en service de cette nouvelle maison d'arrêt témoigne de la détermination du gouvernement à moderniser le système pénitentiaire et à humaniser les milieux carcéraux dans le pays.
F. A. A.

Categories: Afrique

Marie-Odile Attanasso rassure les candidats au BAC

Sun, 07/15/2018 - 22:35

A la veille de l'examen du Baccalauréat, session de juillet 2018, le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Marie-Odile Attanasso, à travers un message, a rassuré les candidats que les épreuves sont à leur portée. « C'est maintenant à partir de demain par la concentration sur les exigences de chacune des épreuves qui sont à votre portée que vous donnerez un tournant décisif à votre vie », a-t-elle déclaré. Le ministre a précisé que l'examen du baccalauréat n'est pas un concours, mais une évaluation qui conduit à une conclusion réussie des études secondaires et ouvre les portes des études supérieures dans les universités publiques et privées.
Marie-Odile Attanasso assure compter sur la confiance de chacun pour conserver au baccalauréat, le label de qualité qui fait la fierté du Bénin dans la sous-région. « La balle est dans votre camp », a-t-elle indiqué en s'inscrivant dans le contexte de la coupe du monde.
F. Aubin AHEHEHINNOU

Categories: Afrique

Liste de quelques rues à paver et à asphalter à Abomey-Calavi

Sun, 07/15/2018 - 20:28

Dans son programme d'action 2016-2021 ; le Chef de l'Etat a initié le projet d'asphaltage et de pavage des voiries dans neufs villes du Bénin.
Abomey (41 km), Abomey Calavi (71 km) Bohicon (35km), Cotonou (237km), Lokossa (29km), Natitingou (36km), Porto Novo (90km) et Sémè Podji (37km). Soit au total 646 km de voiries pour un montant 900 milliards FCFA.
Dans la Commune d'Abomey Calavi, il est prévu l'aménagement et la réhabilitation de 70 km de voirie primaire, secondaire et tertiaire.
Les travaux sont divisés en deux (02) lots répartis comme suit
Lot 10 : 35 km de voirie dont 9km de voirie primaire - au dela de 40m- , 22km de voirie secondaire - voirie de 15km à 40km- et 4km de voirie tertiaire- voirie inférieure à 15 m de largeur
Lot 11 : 35 km de voirie dont 8km de voirie primaire - au dela de 40m- , 23km de voirie secondaire - voirie de 15km à 40km- et 4km de voirie tertiaire- voirie inférieure à 15 m de largeur
Dans la première phase du projet, la Société HNRB a été déclarée attributaire du lot 10A pour un montant de 30.186.366.866 f. Les travaux démarrent début août 2018.
Cartographie des voiries à Abomey-Calavi

Liste de quelques rues à paver et à bitumer


Categories: Afrique

Plusieurs producteurs récompensés pour leur performance

Sun, 07/15/2018 - 19:33

C'est le stade municipal de Banikoara qui a servi de cadre à la célébration de l'édition 2018 de la fête nationale du cotonculteur. C'etait samedi 14 juillet 2018 en présence du Ministre de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche, M. Gaston Dossouhoui et celui des Infrastructures et des Transports, M. Alassane Séidou.
Avec une production de 597.985 tonnes pour la campagne 2017-2018, la réforme dans le secteur cotonnier a fait parler d'elle une fois de plus. Confortés par ce chiffre record, autorités locales et acteurs de la filière coton ont répondu présents à la célébration du cotonculteur
Le maire de la commune de Banikoara Tamou Bio Sarako, a salué la présence des ministres de l'agriculture et celui des transports aux côtés des producteurs. Il remercie le gouvernement pour le choix porté sur sa commune. Le préfet du département de l'Alibori Mohamadou Moussa, s'étant lui aussi inscrit dans cette même démarche, a souligné que cette décision vient couronner les efforts des producteurs qui ont fait de la commune, le bassin cotonnier béninois.
Avec une production de 142.741 tonnes, soit 24% de la production nationale, la commune de Banikoara bat le record des communes productrices .
Président de la fédération nationale des Coopératives Villageoises de Producteurs de Coton, Tamou Gani Badou n'a pas manqué de dire sa joie pour le choix du gouvernement de laisser la gestion de la filière aux acteurs eux-mêmes. Il lance au nom de tous les cotonculteurs, le défi des 700 000 tonnes pour la campagne 2018-2019.
Le Président de l'Association Interprofessionnelle du Coton (AIC), Mathieu Adjovi, quant à lui, adresse ses remerciements au Chef de l'Etat Patrice Talon pour sa sollicitude à l'endroit des producteurs qui sont davantage motivés. Il a fait un clin d'oeil à l'endroit des cotonculteurs qui, au regard de leur détermination, ont conduit aux résultats jamais égalés.
Le Ministre de l'agriculture a expliqué le bien fondé de cette célébration du cotonculteur. Selon M. Dossouhoui, les prouesses réalisées par la filière témoignent de l'engagement du gouvernement à libéraliser le secteur. « Les cotonculteurs marquent très positivement l'histoire de notre agriculture et de notre économie », a-t-il déclaré. « En ce moment, j'éprouve un sentiment de joie immense et de fierté pour la contribution de la filière coton à la formation du PIB et de la richesse nationale ».
Le ministre annonce que le gouvernement entend augmenter la capacité d'égrenage au plan national. Cela passe par la construction de deux nouvelles usines de capacités 60.000 tonnes chacune. Ce qui portera la capacité d'égrenage nationale à 720.000 tonnes contre 600.000 actuellement.
Le Ministre des Infrastructures et des Transports met l'accent sur la réfection des pistes rurales pour un bon écoulement des productions.
Plusieurs récompenses ont été octroyées suivant les catégories. Il s'agit des meilleurs producteurs de la campagne 2017-2018, les meilleures Coopératives Villageoises de Producteurs de Coton par département ayant plus de 5 000 tonnes, et les meilleures Coopératives Villageoises avec 100% de taux de récupération.

Giscard AMOUSSOU

Quelquzs artistiques

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‹‹ C'est le moment plus que jamais d'aller à la consultation nationale » (Modeste Kérékou)

Sun, 07/15/2018 - 19:16

Invité sur l'émission Zone Franche de ce dimanche 15 juillet 2018, le ministre des petites et moyenne entreprise, Modeste Kérékou s'est prononcé sur l'actualité nationale. Il est revenu sur la question du référendum et le rôle de son ministère dans les réformes du gouvernement de la Rupture.

Selon Modeste Kérékou, les initiatives de révision constitutionnelles pourraient aboutir si chacun avait pour objectif l'intérêt du pays. Il dira que les deux initiatives d'avril 2017 et juillet 2018 auraient pu aboutir. « Pour la première initiative, j'avais espoir que le texte sera au moins accepté››, explique-t-il. La dernière fois, c'est une initiative du parlement et ils ont accepté les amendements et son adoption aurait dû passer aussi, si les 4/5 étaient obtenus à la fin du Modeste Kérékou pense que ce qui se passe n'est pas digne car dit-il, « le débat me semble puéril et quelque fois ridicule ». « La constitution n'est pas un dogme. Elle a été rédigée en 1990 avec une certaine réalité. Il faut faire les choses de manière à voir la réalité. Le temps évolue et les choses s'améliorent », souligne le fils de l'ancien président de la République. Le ministre des petites et moyennes entreprises estime que « chaque fois que le sujet revient, les débats se font en sorcellerie ». Mais « Est-ce qu'on ne peut pas revenir et faire des débats réels pour trouver le juste milieu ? », s'interroge-t-il. Pour lui, « On laisse le sujet en débat et on s'attaque à ce qui n'a rien à voir avec la question. De mon point de vue, c'est la mauvaise foi de certaines personnes qui ont pourtant donné quitus de faire le débat alors qu'ils ne sont pas francs. C'est dommage et regrettable ». Il souhaite que les choses soient faites autrement. « Si la formulation dérange pourquoi ne pas faire d'autres propositions qui lèvent toute ambiguïté, tout doute. Agir de la sorte, c'est faire de la sorcellerie » estime-t-il.
M. Kérékou explique ces attitudes par le fait que « certains députés digèrent mal leur défaite en 2016 et ne supportent pas voir ceux qui sont aux affaires réalisés ce qu'ils n'ont pas pu. Nous qui sommes aux affaires aujourd'hui, on n'y sera pas éternellement ». Il estime que quand on a fini d'être aux affaires, on ne se donne pas le droit de saboter tout ce que les autres font. « Je déplore une certaine attitude qui de mon point de vue n'est pas constructive. Quand on a fini son tour de gestion, on s'assoit pour être consulté sur un certain nombre de choses ».

L'imminent référendum

« La constitution a prévu que pour aller au référendum, c'est le chef de l'Etat qui prend l'initiative », indique le ministre. Néanmoins, il affirme : « je souhaite que cela se passe pour que le travail d'intoxication dissipe dans l'opinion. Nous aurons le temps de se croiser sur le terrain pour exposer les idées ». Il faut selon Modeste Kérékou d'aller au référendum. « Si je dois donner un conseil, je dirai au chef de l'Etat que c'est le moment plus que jamais d'aller à la consultation nationale ». C'est une opportunité pour le gouvernement aujourd'hui, selon le ministre. « Je ne suis pas de ceux qui pensent que la constitution ne peut pas être révisée maintenant et ont une position dogmatique. Je crois qu'on peut se réunir et à tête reposée, s'entendre sur ce qui ne va pas et apporter des corrections ». Il dira que pour le référendum, « la chance que le OUI l'emporte est que nous sommes dans une démocratie, où les débats d'idée ont évolué et le peuple n'est pas naïf et il a été aux urnes plusieurs fois et n'est pas dupe ». Le ministre des PME soutient que le peuple est le seul juge et pourra trancher. « Nous savons et nous sommes prêts à aller au front, à prendre le risque. Nous comptons sur le sens du discernement des concitoyens », soutient Modeste Kérékou. Il ajoute qu'il faut apprendre à détacher les sujets majeurs des personnes. Pour lui, « le président, c'est un homme d'Etat et il travaille pour la prochaine génération ».
Le président a pris, selon le ministre, le pays dans une situation ou beaucoup de fondamentaux sont saqués.
À propos des sujets d'amendement, Modeste Kérékou estime qu'il n'y a rien de cacher. Et les amendements sont aussi objectifs que les propositions claires.
Concernant la réforme du système partisan, Modeste Kérékou se dit confiant de son aboutissement.
En ce qui concerne le département dont il a la charge et les réformes en cours, M. Kérékou pense que c'est de la volonté du chef de l'Etat à relancer l'économie nationale à travers la promotion de l'emploi qu'il a créé ce ministère. « Nous avons commencé par revoir tout l'environnement juridique. Voir s'il faut de nouvelles mesures ou corriger ce qui existe », a expliqué le ministre. Pour lui, « le rôle de l'Etat est de conduire une certaine réforme qui, à la fin va créer de plus value et de l'emploi ». Il sera question de « faire la promotion de l'auto emploi. Un des moyens de promotion de l'emploi, c'est l'auto emploi », rappelle le ministre. Il s'engage dans ses projets à restructurer le métier de l'artisanat qui est un domaine dense qui emploie directement les gens.
Plusieurs réformes sont en cours dans le ministère pour motiver les gens à s'auto employer.
Giscard AMOUSSOU

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Diverses personnalités se prononcent sur le référendum

Sun, 07/15/2018 - 19:06

‘'Référendum constitutionnel au Bénin : Conditions et chances de succès'', c'est le thème autour duquel les invités de la Radio nationale ont débattu, ce dimanche 15 juillet 2018, dans l'émission ‘'90 mn pour convaincre''. Claude Djankaki, administrateur des finances à la retraite, ancien secrétaire général chargé de la coopération interparlementaire à l'Assemblée nationale et observateur politique, Charles Badou, avocat, docteur en droit privé et observateur politique et Maryse Glèlè Ahanhanzo, coordonnatrice nationale du Wanep Bénin, ont exprimé leurs positions sur l'organisation d'un probable référendum avant les législatives de 2019.
Selon Claude Djankaki, ancien secrétaire général chargé de la coopération interparlementaire, à l'étape actuelle de nos textes, il n'est pas possible d'organiser des élections ou de référendum avant les élections législatives de 2019. A titre illustratif, il a cité la loi 2011-27 du 18 janvier 2012 portant condition de recours au référendum. Cette loi dispose, selon lui, que « pour entamer la procédure, il faut que ce soit débattu au niveau de l'Assemblée nationale à sa première session ». Et suivant le règlement intérieur de l'Assemblée nationale, cette première session se déroule dans le courant de la première quinzaine du mois d'avril. Or, la session d'avril a pris fin le 06 juillet dernier. Ainsi, rien ne peut se faire selon Claude Djankaki, avant les législatives de 2019. Il a par ailleurs regretté qu'il n'y ait pas eu une concertation préalable avec les divers acteurs politiques pour l'élaboration de la proposition de loi.
Charles Badou, avocat et observateur politique pense par contre que plusieurs facteurs militent en faveur de la tenue de référendum sur la révision de la constitution au Bénin. Il note premièrement que les députés ont voté la recevabilité du projet de révision de la Constitution, deuxièmement, qu'il y a une loi qui peut être appliquée aujourd'hui, qui peut être appliquée demain, qui peut être appliquée après demain et troisièmement, que les députés ont la prérogative de modifier la loi, si on estime que cette loi n'avait conclu à un certains nombre de considérations.
Les conditions du référendum selon l'avocat, sont définies par la loi et la Cour constitutionnelle a eu à dire que cette loi est conforme à la constitution. Mais il y a, observe-t-il, des cas où la loi dit non, et c'est le peuple lui-même qui décide comme c'est le cas du référendum. « Donc, je suis pour qu'il y ait réforme, et pour moi, rien que pour ça, justifie le fait de saisir directement le peuple pour que le peuple se prononce, si les questions en débat vont en faveur du référendum.
La coordonnatrice nationale du Wanep Bénin, Maryse Glèlè Ahanhanzo, à mis l'accent sur ce qui empêche l'aboutissement de toute initiative portée vers la révision de la constitution. Il s'agit selon elle, de la méfiance et du défaut de concertation entre les acteurs politiques. Cette suspicion pour elle, est due et se renforce davantage par la méthode qui est chaque fois empruntée pour la révision de la constitution. « De plus en plus, le peuple n'est plus si viscéralement opposé à toute révision de la constitution comme il l'était dans les années 2006 et 2011. Mais chaque fois, c'est la méthode qui fait que la suspicion est renforcée », a observé Maryse Glèlè Ahanhanzo. Chaque fois, déplore la coordonnatrice, il n'y a pas de préparation avant qu'on ne finisse par découvrir qu'il y a une proposition qui a été introduite. « Il faut que les acteurs politiques arrivent à s'intégrer que tant qu'on n'arrive pas à avoir une démarche, une méthode consensuelle, je pense que ça va être tout le temps la même chose. Qu'on le veuille ou non, c'est des amendements majeurs, on ne peut pas parler d'aligner les élections, de faire des élections générales sans consulter d'autres acteurs », a-t-elle insisté.

F. Aubin AHEHEHINNOU

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Le PRD sensibilise des femmes leaders

Sat, 07/14/2018 - 21:26

Les responsables du Parti du Renouveau Démocratique (PRD) ont sensibilisé, ce samedi 14 juillet 2018, des leaders bénéficiaires du Projet d'éveil et de renforcement du leadership féminin (PERLF). La séance s'est déroulée au siège du PRD à Houimè Château d'eau de Porto-Novo.
Cette sensibilisation, tenue dans le cadre du PERLF a réuni les femmes leaders et celles responsables du PRD mais aussi leurs autorités. Durant la séance, les participants ont suivi plusieurs communications relatives aux enjeux de l'engagement politique et la promotion des femmes au sein du parti.
L'organisation de cette activité témoigne de l'ambition du sieur Adrien Houngbédji, président du PRD et de l'Assemblée Nationale à améliorer la situation de la représentativité des femmes dans les instances de décision.



Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Rencontre entre le leader d'opinion béninois Richard Ouorou et le Président de l'Assemblée ivoirienne Guillaume Soro

Sat, 07/14/2018 - 21:25

Le leader d'opinion béninois Richard Boni Ouorou a rencontré le Président de l'Assemblée nationale de la Côte d'Ivoire, Guillaume Soro au cours d'une soirée récréative à Montréal. De leurs échanges, M. Ouorou a donné ses impressions sur la personne de l'actuel Président de l'Assemblée ivoirienne.

Chers(es) Amis(es)

En marge d'une tournée institutionnelle qu'il effectue au Canada, j'ai rencontré Guillaume Soro le président de l'Assemblée nationale ivoirienne au cours d'une soirée récréative

Quoiqu'on puisse penser de sa trajectoire politique, Guillaume Soro est l'exemple emblématique de la confiance que notre génération doit en toute responsabilité accorder aux leaders et dirigeants de notre époque.

Au sujet du processus de paix et de réconciliation engagé en Côte d'Ivoire, mon ami à la lourde obligation d'y apporter sa contribution en toute transparence et vérité.

De mon point de vue il s'acquitte assez bien de cette tâche en dépit des contraintes liées aux velléités contradictoires qui n'ont de cesse de se manifester dans le landernau politique ivoirien.

Tous mes encouragements à mon frère Kigbafori dans sa démarche pour la paix et la concorde seul gage d'un développement harmonieux de la Côte d'Ivoire. J'y crois au nom des Ivoiriens.

L'Afrique de demain, c'est la jeunesse d'aujourd'hui il faut y croire.

Richard Boni Ouorou

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La CSTB dénonce une magouille

Sat, 07/14/2018 - 20:07

La Confédération Syndicale des Travailleurs du Bénin (CSTB) a, dans une déclaration en date du vendredi 13 juillet 2018, dénoncé l'injustice qui s'opère dans la désignation du représentant des travailleurs pour la Commission Béninoise des Droits de l'Homme (CBDH). Une injustice constatée lors de l'élection qui devrait se dérouler le mercredi 11 juillet passé.

L'élection devrait avoir lieu le 11 juillet 2018, à la bourse du travail de Cotonou pour désigner un représentant de tous les travailleurs du Bénin au sein de la CBDH. Mais elle n'a pas eu lieu puisque la CSTB soutient qu'il y a des comploteurs qui avaient pour objectif d'écarter son candidat.
Conformément aux dispositions de la loi 2012-36 du 27 décembre 2012, portant création de la Commission béninoise des droits de l'homme (CBDH), un comité de sélection de trois membres a été mis sur pied. Il est composé du premier vice- président de l'Assemblée Nationale, Eric Houndété en tant que coordonnateur du comité, des députés Agbelessessi et de Mme Abiba Ouassangari.
Selon la déclaration de la CSTB, ce comité chargé de la désignation des membres de la commission a organisé sous la direction de Eric Houndété, plusieurs rencontres de concertations avec les secrétaires généraux des centrales et confédérations syndicales à l'Assemblée Nationale à Porto- Novo. Il a été question d'échanger sur les modalités de désignation du représentant des travailleurs à la CBDH. Sur cette base, le comité de sélection a saisi le ministre du Travail et de la Fonction Publique qui a répondu par écrit et a indiqué clairement que « pour désigner le représentant des travailleurs, il faut prendre en compte les derniers résultats des élections professionnelles nationales et les décrets d'application du code de travail ». Le ministre a également envoyé au comité de sélection les derniers résultats des élections professionnelles nationales et les décrets d'application du code de travail.
En dépit de ce fait, relève la CSTB, « le coordonnateur du comité, avec la complicité de certains responsables syndicaux, a, sous le fallacieux prétexte de recherche du consensus, décidé d'une élection dont le choix des membres du corps électoral retenus est concocté par lui sur place sans aucune base objective légale ». Pour la CSTB, il est évident que « C'était un plan fait avec les SG des autres confédérations et mis en œuvre pour éliminer le candidat de la CSTB qui est pourtant jusqu'à nouvel ordre la Confédération syndicale la plus représentative aux dernières élections professionnelles nationales avec ses 44,76 % de suffrages exprimés ».
Cette manœuvre explique la CSTB devrait favoriser la désignation du secrétaire général de la CSUB comme représentant des travailleurs à la CBDH. Or, la CSUB n'a eu que 01,78 % des suffrages exprimés aux dernières élections professionnelles. « La CSUB, non seulement n'est pas représentatif mais son secrétaire général fait partie des responsables syndicaux qui ont abandonné les travailleurs à leur sort lors de la dernière grève générale », a-t-elle affirmé.
La CSTB n'admet pas qu'un inconnu dans le pèlerin de combat en matière de défense des droits de l'Homme, soit désigné pour représenter tous les travailleurs du Bénin au sein d'une commission nationale de défense des droits de l'Homme.
C'est ainsi que l'élection s'est terminée par de vives protestations du secrétaire général de la CSTB, Nagnini Kassa Mampo et d'un groupe de travailleurs. Les élections n'ont pas eu lieu et ce groupe de travailleurs a mis en garde les députés Eric Houndété, Agbelessessi et autres responsables syndicaux, sortis en catastrophe de la salle.
Prenant à témoin tous les travailleurs et l'opinion publique sur la volonté manifeste du député Eric Houndété de violer la loi, elle les invite à défendre leurs droits car indique-t-elle, « c'est un vaste plan qui est mis en œuvre pour écarter désormais vos dignes représentants de la CSTB sans organiser de nouvelles élections professionnelles ».
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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N'dali accueille l'évènement ce dimanche 15 juillet

Sat, 07/14/2018 - 20:05

Décidé à apporter la joie dans le cœur des populations béninoises, Richard Flash poursuit sa tournée avec Flash Live Tour dans les 77 communes du pays. Et cette fois-ci, c'est le tour de la commune de N'dali qui va vibrer aux sons de la musique béninoise, ce dimanche 15 juillet 2018. L'évènement est prévu pour se dérouler à 16h à la place de loisirs de la Mairie avec une entrée totalement gratuite.
Le public de ladite commune aura comme têtes d'affiches du spectacle les artistes tels que : Ya Salam, Sessimè, Kalamoulaye et sans oublier l'initiateur du projet Richard Flash.
Les populations sont donc invitées à prendre massivement part à cette soirée qui sera sûrement un moment intense de partage de bonheur.
Akpédjé AYOSSO (Stag)

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