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24 Heures au Bénin

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Théophane Ayi déplore le comportement du gouvernement

Sat, 05/26/2018 - 12:54

Invité par le Club press café Médias Plus, le promoteur de l'école supérieure d'enseignement privé, UATM GASA formation, Théophane Ayi s'insurge contre le comportement de l'Etat vis à vis des promoteurs. Une situation qui semble étouffer les établissements.

C'est à propos d'une question concernant le non payement des enseignants en position de cours à l'école supérieure UATM-GASA formation que le promoteur tente d'expliquer ce qui a conduit à cette situation. Tout en restant confiant de sa correction, Théophane Ayi pense que l'Etat aurait dû agir autrement. Il a été envoyé aux écoles privées un redressement fiscal qu'ils sont sommés à payer. M. Ayi s'explose et s'offusque contre cette attitude du gouvernement qui tend à détruire les promoteurs. « Depuis huit ans et vous voulez que je n'ai pas les impayés ? », se demande-t-il. Les écoles sont confrontées déjà aux problèmes de manque d'effectifs. Selon lui, « Si vous jugulez les manques d'effectifs et les impôts vous allez avoir des déficits de payement. C'est clair et c'est net ». La situation réelle est que, « on payait les impôts jusqu'en 2007 et à partir de ce moment on a attaqué CERCO de payer les impôts et nous nous sommes levés comme un seul homme pour dire qu'on ne payera pas les impôts ». Cette révolte a amené les autorités à prendre des dispositions d'allègement à l'endroit des écoles privées. C'est alors dira-t-il que « Madame Vicentia Boko (ministre de l'enseignement supérieur à l'époque, ndlr) a écrit à Monsieur Yayi Boni pour dire, vous ne donnez pas de subventions à ces gens là et vous voulez encore leur prendre les impôts ». C'est alors que sensible à la situation, l'ancien président a géré la situation suivant son tempérament. « M. Yayi Boni prend sa plume et écrit aux impôts en disant laisser les écoles privées d'enseignement supérieur parce que nous ne leur donnons pas de subventions », rapporte M. Ayi. Cette nouvelle a permis aux agents des
donneimpôts de ne plus envoyer des sommations à ces établissements pendant des années. « À partir de ce moment, les impôts pendant huit ans ne se sont adressés à personne d'entre nous pour dire contrôle-payement. Ils sont restés lascifs aussi. La TVA est enlevée, les impôts, on ne nous prend plus. », a-t-il expliqué.

Le revirement

Ils en étaient là quand « un gouvernement arrive pour chercher des moyens à tout prix pour pouvoir promouvoir le développement à une vitesse XY. C'est son rôle mais la vitesse doit être contrôlable », souligne M. Ayi. Promoteur et gestionnaire bon teint, il pense que « vous ne pouvez pas gérer quand vous n'avez pas totalement les moyens et vous ne pouvez pas programmer votre développement si vous n'avez pas d'argent. » Néanmoins, il est convaincu que « c'est une affaire de texte et de bon sens ». Mais il dira qu' « à partir de 2007 jusqu'en 2016, nous n'avons pas payé ». Une fois le gouvernement en place, les écoles sont interpellées. « Le nouveau gouvernement est arrivé et on nous a sommés de faire les déclarations le plus rapidement possible », confie-t-il. Il affirme que « nous n'avons pas refusé, nous avons fait les démarches qu'il faut. Nous avons opposé les écrits, nous avons tout dit. On dit, ce n'est pas mentionné dans une loi de finances. Nous mêmes nous sommes d'accord. Ce qui s'est passé et même les impôts sont au courant ou il y a du laxisme même dans le contrôle des sous au niveau de l'Etat », a-t-il expliqué. Il estime que « la logique voudrait que au lieu de redressement, sur quatre à cinq ans pour une société, qu'on exige qu'on déclare l'année en cours tout simplement et qu'on reprenne la route vue la nature sociale que nous avons ». Ce qui est bien étonnant pour le promoteur de l'UATM-GASA formation est que « en 2017, on envoie deux redressements 2014, 2015, 2016, 2017 jusqu'en août, deux redressements coup sur coup en sauvant l'année 2013 plus les quatre années ». « Nous n'avons pas refusé de payer », déclare-t-il. « 2013 fait un peu plus de 21 millions FCFA, que j'ai payé et le reste vous me dites de payer urgemment sur le même exercice. Je dis niet. Si vous voulez venez fermer la boutique », dira-t-il. « En payant ça fait des imprévus qui sont sur mon budget », fait-il savoir. « Nous avons demandé à ce que la seconde tranche, soit payée à partir d'octobre par échelonnement. D'octobre à décembre, on va payer », promet M. Ayi.

La qualité de la formation

« J'ai essayé de faire autant que je peux sans diminuer la qualité de mon enseignement », soutient-il. « On a payé les enseignants jusqu'en février », précise-t-il. Avec les nouvelles organisations dans l'enseignement supérieur, M. Théophane Ayi semble avoir pris d'autres dispositions pour mieux encadrer les étudiants de son école. « En avril, j'ai totalement fini tous mes cours. Je n'ai plus de cours à l'UATM Gasa formation », affirme-t-il. Il a opté pour cette forme « parce que j'étais inscrit depuis l'an dernier au système d'examen national et si mes étudiants ne partaient pas en stage en février et mars, ils sont en retard ». Pour le promoteur, « les envoyer en stage et dire venez faire les cours, suppose que je n'aurai pas les bulletins à temps ». Il précise que « les cours sont terminés et mes étudiants sont tous en stage ». Il explique qu'en tant que promoteur, les établissements roulent sur deux années d'exercice le plus souvent. « Le salaire des vacataires chez moi, c'est 20 millions par mois et le salaire des permanents, c'est 13,8 millions par mois. Le tout fait 33.800.000 que je verse tous les mois ». Voilà le problème.

Giscard AMOUSSOU

Categories: Afrique

Tous accrochés à l'article 35

Sat, 05/26/2018 - 11:41

(Par Roger Gbégnonvi)

​L'article 35 de la Constitution du 11 décembre 1990 dit : ‘‘Les citoyens chargés d'une fonction publique ou élus à une fonction politique ont le devoir de l'accomplir avec conscience, compétence, probité, dévouement et loyauté dans l'intérêt et le respect du bien commun.'' Comme dirait l'évangéliste Matthieu, ‘‘voilà la Loi et les Prophètes'', la Règle d'Or de notre présent heureux et de notre avenir radieux. L'article 35 aux SIX VERTUS s'adresse aussi bien à la classe politique qu'à la société civile. Il s'adresse, en fait, à tous les Béninois.
​Si la classe politique avait eu à cœur PROBITÉ et LOYAUTÉ, elle aurait retrouvé et fait juger les acteurs de l'assassinat raté de Martin Assogba, ceux de l'assassinat réussi de Bernadette Agbossou, ceux de l'enlèvement réussi suivi, peut-être, du meurtre de Pierre-Urbain Dangnivo. Quand les crimes d'Etat s'enchaînent et s'accumulent, leur odieuse et nauséeuse ‘‘perfection'' finit par vider l'Etat de sa prérogative de garantir la liberté et la sécurité des citoyens. Alors s'installe l'anarchie, sauve-qui-peut général, presque toujours suivie d'une dictature, le plus fort et les siens contre tous. Dans le premier cas, les citoyens se maltraitent, dans le second, ils sont maltraités. Le citoyen est le bien le plus précieux que l'Etat démocratique doit servir en mettant à sa disposition les conditions du bien-être.
​Aujourd'hui, il s'offre à l'Etat démocratique du Bénin une belle opportunité de s'amender de ses crimes économiques et de sang d'il y a douze ans environ. Il s'amendera en traitant avec CONSCIENCE et COMPÉTENCE le dossier scabreux du siège du nouveau Parlement, dont on sait maintenant qu'il ne sera jamais ni nouveau ni ancien. Les noms de ceux qui ont orchestré ce gigantesque détournement de notre argent devront être rendus publics, de façon toutefois à ne pas livrer les mis en cause à la vindicte populaire. Car le peuple est en colère. Les hôpitaux et les écoles n'ont pas attendu d'être informés de ce énième hold-up avant de déclencher une grève si longue qu'elle a fini par banaliser nos vies et porter atteinte au progrès de l'homme. Mais comment l'Etat de droit peut-il espérer le DÉVOUEMENT de la part des travailleurs et le RESPECT de leur engagement lorsque le médecin dans son hôpital sans matériel et l'instituteur face à ses écoliers assis sur des briques subodorent des fraudes énormes du genre ‘‘nouveau siège du Parlement'' ?
​Mais la turpitude condamnable de la classe politique ne doit pas entraîner la turpitude intolérable de la société civile qui, sentinelle avertie, garde les idées claires pour dire toujours le sens et la raison. L'actualité lui offre une belle opportunité de s'amender à propos d'une formule rappelant notre errance de la ‘‘pensée unique'' : prisonnier politique. Que ne nous égare point quelque dérive sémantique. On a beau être syndicaliste de renom ou député ayant pignon sur rue, on n'est pas et ne sera pas prisonnier politique si ce dont on est soupçonné, malversation ou trafic illégal, relève du droit commun. S'ils doivent connaître la prison sur la base de ce pourquoi les magistrats français les ont mis en examen (l'un est déjà jugé), Jérôme Cahuzac et Nicolas Sarkozy ne seront pas dits prisonniers politiques, car un politicien en prison n'est pas d'office un prisonnier politique. Jusqu'au prononcé du verdict, camarades et collègues présumés innocents ont droit à notre soutien. Mais il est de leur honneur et de celui de l'Etat de droit que la justice passe et tranche. Au demeurant, on ne va plus en prison au Bénin pour délit d'opinion. Nous avons vaincu l'idiote pensée unique.
​Concluons. Même si enfant, il a été champion de la mémorisation à l'école coranique, devenu adulte, le Béninois le plus patriote ne peut réciter par cœur les 160 articles de notre Constitution. Mais point n'est besoin, puisqu'il lui suffit d'un seul. D'où le mot d'ordre : tous accrochés à l'article 35, l'article aux six vertus, boussole de notre bien-être citoyen au Bénin !

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Incinération des poissons intoxiqués dans le lac Toho

Sat, 05/26/2018 - 04:00

Les poissons morts suite à une intoxication dans le lac Toho à Kpinnou, dans la commune d'Athiémé ont été incinérés, ce mercredi 23 mai sur un site identifié par les autorités des structures décentralisées et déconcentrées de l'Etat.
Des dispositions pratiques ont été prises avant, pendant et après l'incinération. Le site qui a servi d'incinération est éloigné d'environ 1,5km de la ferme de M. Olivier Zaga, un promoteur qui a été victime de la situation en perdant 10 tonnes de tilapia dans ses 28 enclos. Pour la calcination totale des poissons morts, la préfecture du Mono a assuré l'achat de chaux-vive, de carburant et du fagot de bois. En plus du personnel, l'Agence nationale pour la protection sociale (ANPC) a mis à disposition, une pelle adaptée pour la fouille. L'opération a été menée sous la supervision des directeurs départementaux de la santé, de l'agriculture de l'élevage et de la pêche, du cadre de vie et du développement durable, des sapeurs-pompiers, appuyés par des manœuvres qui ont mis en sachets lesdits poissons.
Selon la procédure de façon graduelle, du bois et de la chaux-vive, une première couche de poissons en sachets imbibée de carburant y est déposée. Elle a été faite jusqu'à trois couches avant l'incinération. L'équipe de supervision est restée sur les lieux jusqu'à la calcination totale des poissons.

Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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53 hectares

Sat, 05/26/2018 - 03:13
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Le mariage des enfants, qu'il soit forcé ou pas : ce n'est pas une bonne chose.

Fri, 05/25/2018 - 20:35

« Le mariage des enfants, qu'il soit forcé ou pas : ce n'est pas une bonne chose. ». C'est ce que nous enseigne humblement Marjolaine dans sa lettre, sélectionnée ce jour parmi 67 courriers reçus. Maire Enfant du Conseil Communal Enfant de la Commune de Dangbo, département de l'Ouémé au Bénin, Marjolaine, âgée de 14 ans, est en classe de 3e au CEG1 Dangbo. Quelle solution propose - t - elle ? Nous vous invitons à découvrir sa lettre très simple mais plein d'engagement et d'appel à l'action.

Je suis contre le mariage des enfants : Ne dites plus « mariage forcé des enfants »

CAMPAGNE NATIONALE DE PLAIDOYER DES ENFANTS

Le mariage des enfants, qu'il soit forcé ou pas : ce n'est pas une bonne chose.

Problème constaté : Le mariage des enfants.

*Qui peut résoudre ? :* Les autorités à divers niveaux, surtout les forces de l'ordre et nos parents.

*Solutions proposées :*
Interdire le thème « mariage forcé des enfants »
Punir les auteurs de ces pratiques
Sensibiliser les populations, les élèves, les apprentis sur la parenté responsable et la santé familiale.

*LOKOSSOU Marjolaine, CEG1 Dangbo en classe de 3e*
*Maire Enfant de ma Commune*

Lu et autorisé pour large diffusion
@ANACEB
Mail : conseilenfant@gmail.com
Tel : +229 96779473
www.anaceb.com
www.facebook.com/anacebenin

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Une subvention de 1,7 milliard F au profit des Osc

Fri, 05/25/2018 - 20:22

Dans le cadre du programme de renforcement et de participation de la société civile, une somme de 1,7 milliard de francs CFA vient d'être mise à la disposition des organisations de la société civile. Le Garde des sceaux, ministre de la justice et de la législation, Joseph Djogbénou, a lancé l'appel à proposition pour bénéficier de cette subvention. Les organisations de la société civile, qui désirent jouir de cette subvention doivent élaborer des projets relatifs à l'amélioration des services sociaux de base aux populations.
Elles ont aussi la possibilité de concevoir des projets sur d'autres thématiques retenues par le programme.
F. A. A.

Categories: Afrique

Le Bénin obtient 9 milliards FCFA sur 20

Fri, 05/25/2018 - 20:16

Sur les 20 milliards FCFA d'obligations assimilables du trésor sur le marché financier de l'Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) que le Bénin a émis ce Jeudi 24 Mai 2018, le pays n'a recueilli que 9 milliards 638 millions 70 mille, soit 48, 19% du montant mis en adjudication.
Cette émission arrive à échéance le mardi 16 mars 2021, soit 36 mois après. La valeur nominale unitaire est fixée à 10 000 FCFA et le remboursement des obligations se fera en totalité le premier jour ouvrable suivant la date d'échéance. Le paiement des intérêts se fera annuellement sur la base d'un taux de 6, 25% l'an dès la première année.
Le Bénin avait déjà émis 35 milliards FCFA d'obligations assimilables du trésor sur le marché financier de l'Uemoa le vendredi 16 mars 2018. Cette émission arrive à maturité le jeudi 16 mars 2023, soit 60 mois après.
F. A. A.

Categories: Afrique

Echange des professionnels sur les projets ARCH et CSU

Fri, 05/25/2018 - 19:30

Une séance d'échanges a été organisée ce 24 mai 2018 au ministère de la santé sur l'articulation entre le projet "Assurance pour le Renforcement du Capital Humain (ARCH) et la Couverture Sanitaire Universelle (CSU)". La rencontre qui a réuni des professionnels est initiée dans le cadre de la journée mondiale de la santé, célébrée sous le thème : "La couverture santé universelle : pour tous et partout".
Le but de cette séance est de partager avec les professionnels de santé, le contenu du projet ARCH ainsi que les options stratégiques envisagées pour sa mise en œuvre. Grâce aux contributions et suggestions des acteurs et professionnels de la santé, ce dispositif permettra d'assurer une couverture sanitaire universelle à toute la population béninoise, a affirmé le directeur de cabinet du ministère de la santé Lucien Toko. Il a remercié tous les acteurs ainsi que le représentant résident de l'Organisation mondial pour la santé pour leur appui technique et financier dans la tenue de la rencontre.
Selon le coordonnateur du projet Vincent Quenum, ARCH est une initiative du gouvernement, un projet qui comprend les services de protection sociale tels que : l'assurance maladie, la formation, le crédit et l'assurance retraite aux plus démunis de la population béninoise. Pour lui, la réussite dudit projet dépend en priorité des acteurs et professionnels de la santé. Il a ajouté que l'ARCH est à l'étape d'identification des bénéficiaires et reste accessible à tout citoyen qui désire bénéficier de ses services.
Une Agence Nationale de Protection Sociale sera mise en place pour une période de 5 ans.
Le coût du projet ARCH est estimé à plus de 300 milliards de FCFA.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Talon ou l'incompris

Fri, 05/25/2018 - 19:27

La Rupture, le Nouveau départ pour un Bénin révélé. Un slogan ou une réalité. Chacun observe, tout passe et tout se passe. Le peuple béninois contemple depuis des mois la gestion du pouvoir par le gouvernement de la Rupture. Petit à petit, le gouvernement Talon fait son petit bonhomme de chemin. Avec des cris de détresse comme de joie, tout évolue tant avec rupture qu'avec innovations. Dans tous les cas, la partie du peuple ne comprenant plus le chef de l'Etat, examine, bavarde et critique ses actions. Les cris de cœur n'ont pas cessé quant aux difficultés que vivent les populations béninoises. Les engagements pris par le chef de l'Etat avant et après son élection ont beau été applaudis mais les cris de cœur ne cessent de polluer l'environnement. Même le Bénin révélé lancé n'a pas comblé certaines attentes au regard des critiques acerbes contre le gouvernement de la Rupture. Les grands chantiers annoncés qui font rêver tout le peuple ne satisfont pas la soif du peuple qui continue de jeter de l'opprobre sur le gouvernement. Le déguerpissement des occupants illégaux des espaces publics pour l'asphaltage et la modernisation des rues, n'ont pas toujours reçu l'assentiment de tous, bien que cela contribue à la visibilité des villes. Aujourd'hui, il ne semble pas avoir d'action du gouvernement Talon qui ne soit l'objet de critiques acerbes tant de l'opposition que de certains regards admiratifs du chef de l'Etat. Une preuve que le Béninois reste toujours insatisfait des promesses de Talon. Le président devient l'incompris d'un peuple assoiffé de changement, d'un peuple assoiffé de la rupture sans y contribuer. La lutte contre les faux médicaments, décrétée depuis des années, qui connaît depuis quelques semaines un succès, reste une action positive et tend pourtant à préserver la santé du peuple. L'insatisfaction du peuple béninois ne datant pas d'aujourd'hui, le gouvernement n'est pas à l'abri des critiques jusqu'à la concrétisation de ses projets. Le peuple béninois n'applaudi qu'au début et à la fin. Patrice Talon ne doit donc pas s'inquiéter, si ses réformes sont positives et fondées. Les nombreux chantiers en instance pourront une fois réalisés permettre aux populations de constater de visu les actions du gouvernement de la Rupture.
Giscard AMOUSSOU

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Le chauffeur de Léhady Soglo interpellé

Fri, 05/25/2018 - 18:26

Le chauffeur de Léhady Soglo vient d'être interpellé par la police judiciaire. Selon certaines sources, il aurait été soumis à un certain nombre de questions pour expliquer les conditions du départ de son patron du pays. La même source indique qu'il serait reproché au chauffeur d'avoir fait obstruction à l'interpellation de son patron.
Cette interpellation du chauffeur de l'ancien maire de la ville de Cotonou intervient quelques jours après la sortie médiatique de ses parents, Nicéphore Dieudonné Soglo (ancien président de la République) et Rosine Vieyra Soglo (présidente fondatrice du parti RB) à la place des fêtes Majestic de Cotonou. A cette occasion, la présidente fondatrice et le président d'honneur de la RB ont tour à tour expliqué les conditions du braquage du parti dont ils demeurent les dépositaires légaux.
Léhady Soglo s'est réfugié en France en 2017, depuis la tentative de son interpellation, suite à sa révocation de son poste de maire de Cotonou.
F. A. A.

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Thomas Agbeva expose les réformes engagées dans le secteur

Fri, 05/25/2018 - 18:23

Informer l'opinion publique sur les réformes entreprises dans le secteur des transports en République du Bénin, c'est l'objectif du point de presse animé ce Jeudi 24 Mai 2018 par le directeur générale de l'Agence Nationale des Transports Terrestres (ANaTT), Thomas Agbeva.
Selon le conférencier, plusieurs réformes ont été engagées dans le secteur des transports au Bénin. Il s'agit entre autres du permis de conduire dont le délai d'obtention est passé de six (06) à un (01) mois au plus. Les examens pour son obtention qui se déroulaient de façon rotative sur toute l'étendue du territoire sont organisés maintenant de façon simultanée. Le système est verrouillé et rendu imperméable à la fraude, à la corruption et au favoritisme, a rassuré Thomas Agbeva. Il a rappelé que l'autorisation d'ouverture d'une auto-école est désormais exclusivement délivrée par le Ministre en charge des transports. Une lutte implacable est actuellement menée contre les auto-écoles clandestines, a-t-il informé.
Pour lui, le délai pour l'immatriculation des véhicules a été raccourci. De six (06) mois, on est passé à 48 heures pour les véhicules du corps diplomatique et assimilés en République du Bénin et à 72 heures pour les véhicules de particuliers.
« Les vitres teintées ou opaques sont réglementées par des textes. En République du Bénin, à part les ambulances, les véhicules de transport de fonds, des véhicules en charge du transport des détenus, le ou les véhicules du Président de la République et des hautes personnalités d'État, aucun véhicule ne peut circuler avec les vitres opaques. Pour avoir le droit de circuler avec un véhicule à vitres teintées, il faut avoir une autorisation du Ministre en charge des transports », a souligné le directeur général de l'ANaTT. Abordant la question de la professionnalisation des transports en République du Bénin, il a rappelé que de 1969 à 2016, seulement 47 autorisations de transport ont été délivrées sur plus de 2000 professionnels exerçant dans le secteur. Depuis 2017, les réformes entreprises ont permis d'enregistrer 114 nouvelles autorisations.
Thomas Agbeva invite les populations à se mettre en règle. Elles disposent de deux (02) mois pour se mettre à jour pour les plaques d'immatriculation et autres titres de transport, a-t-il rappelé. « Passé ce délai, nous entrerons dans une phase de répression conformément aux textes en vigueur », avertit-il.
F. A. A.

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Joseph Midodjiho alias Oloyé, libéré de prison

Fri, 05/25/2018 - 18:08

Joseph Midodjiho surnommé Oloyé est libéré ce vendredi 25 mai 2018. Il avait été mis sous mandat de dépôt, suite à l'explosion d'une cargaison d'essence de contrebande à Louho dans le 5ème arrondissement de Porto-Novo. L'incendie qui s'est produit dans la nuit du 3 au 4 octobre 2017 avait causé la mort d'une fillette de 8 ans et réduit en cendre plusieurs maisons d'habitation.
Après environ 7 mois de détention, le grand Oloyé, baron de l'essence de la contrebande est enfin libre de ses mouvements. En tant que propriétaire du camion ayant causé le drame, il avait été condamné à 24 mois de prison ferme et 2 millions de francs CFA d'amende.
Joseph Midodjiho a pu recouvrir sa liberté grâce à ses conseils qui ont fait appel à la décision rendue par le tribunal de première instance, de première classe de Porto Novo.
Après les dégâts causés par le drame de Louho, des autorités et des personnes de bonne volonté ont apporté leur assistance aux victimes pour la reconstruction des bâtiments.
Giscard AMOUSSOU

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Lnt

Fri, 05/25/2018 - 17:11
Categories: Afrique

L'affaire Dangnivo et le dossier Icc services à l'ordre du jour

Fri, 05/25/2018 - 17:07

Le procureur général près la Cour d'Appel de Cotonou, Emmanuel Opita, a indiqué ce jeudi 24 mai, au cours d'un point de presse à Cotonou que les dossiers ICC-Service et Dangnivo seront évoqués dans les prochaines semaines.
Une session complémentaire dans les semaines à venir, au cours de laquelle pourraient être évoqués les affaires ICC-Services et Dangnivo, c'est ce qu'a annoncé Emmanuel Opita, procureur général près la Cour d'Appel de Cotonou. L'affaire ICC-Services (Investment consultancy and computering services) concerne un scandale qui a éclaté en juin 2010 après quatre ans d'exercice de ladite structure. Suite à un placement illicite d'argent près de 100 milliards FCFA sont partis en fumée et plus de 151 000 épargnants en ont été victimes.
Le second dossier est relatif à la disparition depuis le 17 août 2010 du sieur Pierre Urbain Dangnivo. Ce dernier était en fonction au ministère de l'Economie et des Finances.
Au cours de ce point de presse, plusieurs autres dossiers ont été passés en revue.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Le ministère de la santé s'explique sur le décès de Jean-Eudes Laourou

Fri, 05/25/2018 - 17:02

Le décès du jeune garçon Jean Eudes Laourou suscite de moult critiques à l'endroit du gouvernement depuis quelques jours. Et pour cause, l'interdiction des évacuations sanitaires en direction de l'Afrique du Sud. La directrice adjointe de cabinet, Eléonore Armande Gandjèto, sensible à cette situation qui affecte non seulement la famille éplorée mais beaucoup de citoyens, a apporté des clarifications, ce vendredi 25 mai 2018, au ministère de la santé, sur les démarches entreprises par les autorités sanitaires.

« Depuis quelques jours, les réseaux sociaux et certains médias font largement écho avec insistance, de la mort du petit Fèmi Jean-Eudes Laourou, décédé d'un cancer de sang », déplore-t-elle. Affecté par la situation, la directrice de cabinet présente au nom du ministère de la santé et des hautes autorités, les condoléances les plus sincères à la famille éplorée qui subit cette douloureuse épreuve. Mais elle pense « apporter quelques clarifications sur certaines informations distillées au sein de l'opinion et qui sont visiblement de nature à saboter les efforts qu'entreprend le gouvernement du président Patrice Talon pour assurer aux Béninoises et Béninois, l'assistance nécessaire à leur bien-être et à la préservation durable de leur santé ». Selon Mme Eléonore Armande Gandjèto, plusieurs actions ont été posées dans ce cadre. « Le Gouvernement du Bénin a mis tout en œuvre pour que l'enfant Fèmi Jean-Eudes Laourou recouvre durablement sa santé. Je n'en veux pour preuve que les actes ci-après posés par le ministère de la santé », soutient-elle. Ainsi donc, l'historique de sa situation est que « le 03 septembre 2015, le Conseil de santé a autorisé son évacuation sanitaire à l'hôpital Little Company Of Mary en Afrique du sud et les fonds nécessaires à cette évacuation ont été libérés ». L'enfant selon la directrice de cabinet a été donc évacué et soigné en Afrique du Sud. A plusieurs reprises, insiste-t-elle, « Fèmi Jean-Eudes Laourou a été en Afrique du Sud pour des contrôles ». Le grand coup reçu par la famille est finalement relatif à son non évacuation comme le commentent certains citoyens sur les réseaux sociaux.

Le grand coup

D'après la directrice de cabinet du ministre de la santé, « en dépit de la décision du gouvernement de surseoir aux évacuations sanitaires en direction de l'Afrique du Sud, le gouvernement béninois, conscient de l'état critique du petit Fèmi Jean-Eudes Laourou, a tout mis en œuvre pour que cet enfant continue à bénéficier des soins jusqu'à la consommation totale des frais de soins et d'hospitalisation versés auparavant à l'hôpital sud-africaine ». En dehors de la disponibilité des fonds pour le payement des frais de soins et d'hospitalisation, Mme Gandjèto soutient que l'enfant a bénéficié des rendez-vous du 22 Avril 2017 et du 20 Juin 2017. C'est à la suite de ces rendez-vous qu'il a été décidé du « montage d'un nouveau dossier médical en Décembre 2017 pour la continuité des soins en France afin de lui faire bénéficier du greffe de la moelle osseuse comme l'a recommandé le dernier avis de son médecin traitant au Bénin ». C'est à cette étape qu'en est le ministère au moment où les réformes sont survenues en Décembre 2017. « Des réformes qui ont conduit le gouvernement à contracter avec Paris Hospital Foundation (PHF) pour désormais, en collaboration avec la Direction Nationale de la Santé publique, gérer les évacuations sanitaires pour le compte de l'Etat béninois. Le dossier du petit Fèmi Jean-Eudes Laourou figure au nombre des tous premiers dossiers transmis à Paris Hospital Foundation par la Direction nationale de la santé publique », souligne-t-elle. Tous les acteurs et directions impliqués travaillent notamment « les services compétents de la Direction nationale de la santé publique en liaison avec Paris Hospital Foundation à finaliser le dossier, lorsque les réseaux sociaux ont commencé à relayer l'information sur le décès de l'enfant (…) », a regretté Eléonore Armande Gandjèto.
Pour la directrice de cabinet du ministère de la santé, « les réformes engagées ont pour but d'assainir le secteur des évacuations sanitaires, pour permettre aux citoyens qui en bénéficient, de pouvoir en jouir en toute sécurité sans être victimes de tracasseries diverses comme on le constatait par le passé. « Les réformes engagées dans le secteur des évacuations sanitaires visent surtout l'amélioration et la réduction des délais de traitement des dossiers qui étaient reconnaissons-le, effectivement longs », rappelle-t-elle. Tout en réitérant les condoléances à la famille éplorée, Mme Gandjèto soutient « qu'à aucun moment les services du ministère de la santé ainsi que PHF n'ont failli à leur devoir ».
Giscard AMOUSSOU

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L'orchestre Poly Rythmo Houzou-Houzou Wa

Fri, 05/25/2018 - 16:06
Voir en ligne : 9SfFT3ie-ok
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'Drépastop'', une nouvelle innovation de l'Ong CIACO

Fri, 05/25/2018 - 14:55

Le président de l'Organisation non gouvernementale ‘'Creuset d'informations et Communautaires (CIACO) M. Antoine Fandoha, a présenté, ce jeudi 24 mai, lors d'une conférence de presse une nouveauté dénommé ‘'Drépastop carte AC''. Cette nouvelle innovation est conçue pour prévenir contre la drépanocytose.
Composé de trois couleurs vert, jaune, rouge, le drépastop est une sorte de pictogramme. Le rouge indique le danger, le jaune invite à la prudence et le vert l'espoir, l'assurance. Des couleurs qui peuvent être aisément retenues par les populations analphabètes pour éviter le mauvais choix des partenaires. L'analphabétisme, l'ignorance et le mythe qui entoure la maladie en Afrique noire ont fait que le phénomène de la transmission de la drépanocytose est devenu récurrent. Cette nouvelle innovation, accessible à toutes les couches sociales permettra de réduire ce phénomène, a affirmé Antoine Fandohan. Le parrain de l'évènement Casimir Akpovi, maître des conférences de CAMES, a souligné que cette innovation est la bienvenue pour éviter des enfants drépanocytaires. Il convie donc tout le monde à avoir sa carte AC. Le drépastop est conçu pour éviter les unions hasardeuses d'hommes et de femmes qui engendrent la naissance d'enfants drépanocytaires et ruinent la vie des géniteurs. Il permet aussi une fois combiné avec les autres types d'hémoglobine de détecter si les sujets sont des drépanocytaires.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Des élus communaux sensibilisés sur les enjeux de la transhumance

Fri, 05/25/2018 - 14:19

Un atelier de sensibilisation a démarré, ce jeudi 24 mai à l'hotel « Plazza » de Savè, en faveur des élus communaux sur la gestion de la transhumance. C'était en présence du maire de Savè, Timothée Biaou et des acteurs intervenant dans l'agropastoralisme. Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de Programme d'appui à la résilience des systèmes agropastoraux en Afrique de l'ouest (PARSAO).
Expliquer et sensibiliser les élus sur les enjeux de la transhumance dans les Collines, c'est l'objectif visé par cet atelier. Une initiative du Groupement intercommunal des Collines (GIC) avec l'appui financier d'Acting for life et l'Agence Française de développement (AFD). L'atelier a réuni des élus communaux de Ouèssè, Glazoué et Savè. La séance permet de faire connaître aux élus l'arrêté interministériel, qui fixe les modalités de la campagne de de la transhumance 2017-2018 en République du Bénin, partager les rôles et responsabilités, des différents acteurs dans la gestion de la filière agropastorale, a expliqué le représentant du directeur exécutif du GIC, Habib Todémin. Les élus communaux ont été sensibilisés pendant plus de quatre heures d'horloge.
A cause des conflits entre agriculteurs et éleveurs, il a été enregistré récemment dans le département des Collines, 13 pertes en vie humaines dont 06 éleveurs et 07 agriculteurs et 144 têtes de bœufs volontairement abattus et des produits vivriers entièrement détruits sur des hectares. Dans le but de contribuer au développement socio-économique du territoire des Collines, les différents participants ont fait des propositions pour réduire à l'avenir les évènements malheureux.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Modeste Toboula en lutte contre les installations anarchiques

Fri, 05/25/2018 - 14:13

Modeste Toboula est descendu sur le terrain ce jeudi 24 mai 2018. L'objectif était de sensibiliser les populations du douzième arrondissement qui ont occupé anarchiquement les canaux de circulation des eaux.
A la tête d'une délégation composée des cadres du Ministère de l'eau et des mines et celui en charge du cadre de vie et du développement durable, le préfet du Littoral, Modeste Toboula a fait une visite de terrain. Premier escale, le site de dragage de sable lagunaire situé à Agla Gbodjètin, dans le douzième arrondissement de Cotonou. Il s'agit d'un environnement pris d'assaut par des individus qui s'y sont installés illégalement et de façon anarchique. Ceci contrairement aux règles d'hygiène environnementale. Cette installation des populations bloque les passages de l'eau, d'où les inondations après les pluies diluviennes.
Ayant déploré la situation, Modeste Toboula qui a déjà effectué plusieurs descentes sur ce site entend prendre d'autres mesures. Cette nouvelle visite vise à la mise en œuvre du plan de lutte contre les inondations. Outre les premières sommations relatives aux visites antérieures, il a été accordé aux riverains indélicats quelques jours pour libérer volontairement lesdits lieux impropres à l'habitation. La délégation a ensuite mis le cap sur le Collège d'Enseignement Général l'Entente, situé non loin du site de dragage. Le constat à ce niveau est que des individus y sont installés, se prévalant d'un titre de propriété alors qu'ils auraient été recasés ailleurs déjà. Le préfet a demandé à ceux-ci de libérer les lieux quitte à permettre au collège d'étendre sa superficie. Ils ont une semaine pour respecter les injonctions du préfet. C'est le tour du quartier Fignéyon, d'accueillir la délégation. Ici c'est aussi un constat alarmant. Une zone déclarée non aedificandi a été pris d'assaut avec l'érection de bâtiments sur les canaux de circulation des eaux. Ne pouvant accepter une telle incivisme à outrance, Modeste Toboula a instruit les autorités municipales aux fins de faire cesser les travaux. Selon le Préfet, il est temps d'agir pour permettre aux paisibles populations de Cotonou de ne plus être stressées à chaque saison pluvieuse.

Après ces constats, Modeste Toboula entend mettre résolument fin à cette pagaille des populations les jours à venir puisqu'elles ont été largement sensibilisées sur les risques environnementaux qu'ils causent non seulement à la nature mais à la population d'autres localités de Cotonou. Enfin, cap a été mis sur la route des pêches. Ce dernier escale de la délégation a permis au préfet et sa suite de se rendre compte de l'occupation anarchique des populations sur la route toujours en construction. Ayant déjà effectué une visite se sensibilisation, Modeste Toboula s'est rendu compte que plusieurs occupants ont respecté le mot d'ordre. Les récidivistes ont été une fois de plus sensibilisés pour libérer les espaces. Il faut donc souligner que la journée du jeudi 24 mai a été pour le préfet du Littoral et sa délégation, un temps de sensibilisation et de mis en demeure pour les populations du douzième arrondissement de Cotonou.

Giscard AMOUSSOU

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Le Bénin classé 32è pour son PIB

Fri, 05/25/2018 - 13:53

L'organismes.org a mené une enquête relative à l'évolution du produit intérieur brut des pays africains. Le classement 2018 révèle un fort Produit intérieur brut (PIB). Cette enquête s'est déroulée sur la base des données de la Banque mondiale. De façon générale, il ressort que le Nigéria garde sa place de premier pays africain le plus riche, du moins pour le compte de cette année 2018. L'Égypte, l'Afrique du Sud, l'Algérie et le Maroc viennent respectivement en 2è, 3è, 4è et 5è position. Le Bénin occupe la 32ème place avec un PIB évalué à 8.58 milliards de Dollars US, soit 789 US dollars par habitant. Certains pays comme les Seychelles, la Guinée-Bissau, la Gambie, les Comores et Sao Tomé-et-Principe, sont classés respectivement 50è, 51è, 52è, 53è et 54è.

Lire le Classement

1- Nigéria avec un Pib de $ 404.65 milliards (2176 US$ par habitant)
2- Égypte avec un Pib de $ 332.79 milliards (3478 US$ par habitant)
3- Afrique du Sud avec un Pib de $ 295.46 milliards (5285 US$ par habitant)
4- Algérie avec un Pib de $ 159.05 milliards (3917 US$ par habitant)
5- Maroc avec un Pib de $ 103.61 milliards (2832 US$ par habitant)
6- Soudan avec un Pib de $ 95.58 milliards (2415 US$ par habitant)
7- Angola avec un Pib de $ 95.34 milliards (3309 US$ par habitant)
8- Éthiopie avec un Pib de $ 72.37 milliards (707 US$ par habitant)
9- Kenya avec un Pib de $ 70.53 milliards (1455 US$ par habitant)
10- Tanzanie avec un Pib de $ 47.34 milliards (879 US$ par habitant)
11- Ghana avec un Pib de $ 42.69 milliards (1513 US$ par habitant)
12- Tunisie avec un Pib de $ 42.06 milliards (3689 US$ par habitant)
13- Côte d'ivoire avec un Pib de $ 36.37 milliards (1535 US$ par habitant)
14- Libye avec un Pib de $ 34.7 milliards (5518 US$ par habitant)
15- Cameroun avec un Pib de $ 32.22 milliards (1375 US$ par habitant)
16- République démocratique du Congo avec un Pib de $ 31.93 milliards (406 US$ par habitant)
17- Ouganda avec un Pib de $ 24.08 milliards (580 US$ par habitant)
18- Zambie avec un Pib de $ 21.06 milliards (1270 US$ par habitant)
19- Zimbabwe avec un Pib de $ 16.62 milliards (1029 US$ par habitant)
20- Botswana avec un Pib de $ 15.58 milliards (6924 US$ par habitant)
21- Sénégal avec un Pib de $ 14.68 milliards (953 US$ par habitant)
22- Gabon avec un Pib de $ 14.21 milliards (7179 US$ par habitant)
23 Mali avec un Pib de $ 14.03 milliards (780 US$ par habitant)
24- Maurice avec un Pib de $ 12.17 milliards (9631 US$ par habitant)
25- Burkina Faso avec un Pib de $ 11.69 milliards (627 US$ par habitant)
26- Mozambique avec un Pib de $ 11.01 milliards (382 US$ par habitant)
27- Namibie avec un Pib de $ 10.95 milliards (4415 US$ par habitant)
28- Guinée équatoriale avec un Pib de $ 10.68 milliards (8747 US$ par habitant)
29- Madagascar avec un Pib de $ 10 milliards (402 US$ par habitant)
30- Tchad avec un Pib de $ 9.6 milliards (664 US$ par habitant)
31- Soudan du Sud avec un Pib de $ 9.02 milliards (731 US$ par habitant)
32- Bénin avec un Pib de $ 8.58 milliards (789 US$ par habitant)
33- Rwanda avec un Pib de $ 8.38 milliards (703 US$ par habitant)
34- Guinée avec un Pib de $ 8.2 milliards (662 US$ par habitant)
35- Congo avec un Pib de $ 7.83 milliards (1528 US$ par habitant)
36- Niger avec un Pib de $ 7.53 milliards (364 US$ par habitant)
37- Somalie avec un Pib de $ 6.22 milliards (434 US$ par habitant)
38- Malawi avec un Pib de $ 5.43 milliards (300 US$ par habitant)
39- Mauritanie avec un Pib de $ 4.74 milliards (1102 US$ par habitant)
40- Togo avec un Pib de $ 4.4 milliards (578 US$ par habitant)
41- Sierra Leone avec un Pib de $ 3.74 milliards (505 US$ par habitant)
42- Swaziland avec un Pib de $ 3.72 milliards (2770 US$ par habitant)
43- Burundi avec un Pib de $ 3.01 milliards (286 US$ par habitant)
44- Érythrée avec un Pib de $ 2.61 milliards (544 US$ par habitant)
45- Lesotho avec un Pib de $ 2.29 milliards (1040 US$ par habitant)
46- Liberia avec un Pib de $ 2.1 milliards (455 US$ par habitant)
47- République centrafricaine avec un Pib de $ 1.76 milliard (382 US$ par habitant)
48- Djibouti avec un Pib de $ 1.73 milliard (1945 US$ par habitant)
49- Cap-Vert avec un Pib de $ 1.62 milliard (2998 US$ par habitant)
50- Seychelles avec un Pib de $ 1.43 milliard (15076 US$ par habitant)
51- Guinée-Bissau avec un Pib de $ 1.16 milliard (642 US$ par habitant)
52- Gambie avec un Pib de $ 964.6 millions (473 US$ par habitant)
53- Comores avec un Pib de $ 616.65 millions (775 US$ par habitant)
54- Sao Tomé-et-Principe avec un Pib de $ 342.78 millions (1715 US$ par habitant).
G. A.

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