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24 Heures au Bénin

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Updated: 2 days 20 hours ago

Le Bénin lève un fonds de 328 milliards FCFA

Thu, 03/21/2019 - 11:48

La République du Bénin a procédé ce mardi 19 mars 2019, à sa première émission obligataire inaugurale en euros de l'histoire des émissions internationales africaines. L'opération financière qui s'élève à 328 milliards de FCFA, marque une importante avancée pour le financement des projets phares du Programme d'Actions du Gouvernement.

Le Bénin continue de séduire les investisseurs grâce à la diplomatie financière qu'exerce le ministre de l'Economie et des finances Romuald Wadagni en qui le chef de l'Etat a placé sa confiance. Le pays s'impose de plus en plus sur le marché financier international à travers la levée par le ministre de l'économie de 500 millions d'euros soit 328 milliards de FCFA pour une maturité finale de 7 ans. Selon le communiqué publié à cet effet, « le profil de remboursement de cet instrument, amortissable sur les trois dernières années (2024, 2025, 2026), vise aussi à réduire le risque de refinancement et s'inscrit dans le cadre de la stratégie de gestion prudente de la dette publique ». Cette prouesse, fait du Bénin, le premier pays d'Afrique à émettre une émission obligataire internationale inaugurale en Euros. Cette devise ne présente aujourd'hui aucun risque de change pour le bilan du gouvernement.
Aussi, le Bénin est-il « le premier émetteur d'Afrique subsaharienne à solliciter le marché cette année, faisant donc preuve d'une rapidité d'exécution exceptionnelle qui a permis de saisir une fenêtre de marché favorable ».
La levée de ces fonds intervient après la tournée qu'a effectué le ministre de l'Economie Wadagni, du 12 au 18 mars 2019 en Europe et aux Etats-Unis. A la tête d'une délégation, le ministre a présenté aux investisseurs internationaux les résultats concrets du gouvernement Talon, 03 après le début du Programme d'Actions. A cela s'ajoute « les réformes structurelles clés, la croissance économique forte et la réduction rapide du déficit budgétaire ».

Les investisseurs saluent la performance du gouvernement Talon

Les réunions tenues ont permis au ministre Wadagni de « démontrer la solidité des fondamentaux du Bénin, la pertinence du Programme d'Actions du Gouvernement et le sérieux des réformes mises en œuvre depuis 2016 ».
Ainsi, les investisseurs ont salué « la performance du Gouvernement depuis 2016 et l'attractivité de sa signature de crédit en souscrivant fortement à l'émission internationale : le livre d'ordres de l'opération a dépassé un milliard d'euros en moins de deux heures et atteint un pic d'environ 1,25 milliard d'euros dans la journée (c'est-à-dire une souscription de 250%) ».
Selon le communiqué, « la forte demande pour les obligations béninoises s'est traduite par un coupon de 5,75%, bien en-deçà des taux offerts sur le marché régional. La République du Bénin est donc parvenue à diversifier ses sources de financement, tout en réduisant le coût moyen de sa dette de marché ».
La réussite de cette première émission obligataire inaugurale en euros « démontre le fort intérêt affiché par les investisseurs internationaux pour le Bénin, et marque un moment décisif dans la dynamique d'ouverture économique du pays initiée par le Gouvernement ». Le closing financier de l'opération devrait intervenir le 26 mars 2019.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Les OSC souhaitent l'installation à temps de la 8e législature

Thu, 03/21/2019 - 09:46

Suite à la rencontre tenue ce mercredi 20 mars 2019, avec le chef de l'Etat Patrice Talon, la Plateforme électorale des Organisations de la société civile (Osc), dit non à la révision de la constitution pour une sortie de crise électorale. Elle exige entre autres le respect des délais constitutionnels.

Devant statuer sur l'étude des propositions de lois pour des élections inclusives ce jeudi à l'Assemblée nationale, les députés, et tous les acteurs concernés sont appelés à jouer convenablement leur mission afin qu'un consensus soit trouvé autour du contenu de la loi dérogatoire.
La plateforme électorale des OSC souhaite que cette loi dérogatoire puisse permettre une régulation des délais du processus électoral pour « que la 8e législature soit installée à échéance constitutionnelle du 15 mai 2019 ».
Selon la présidente, Fatoumatou Batoko Zossou, la plateforme a également exhorté le président Patrice Talon à jouer de son leadership afin que l'Etat de droit et de la démocratie puisse continuer à régner au Bénin.
« En tout état de cause, la Plateforme voudrait exhorter toutes les forces vives de la Nation et tous les artisans de paix à s'associer à elle pour amener nos députés à écouter l'appel pacifique, tant du peuple béninois que du Chef de l'Etat qui souhaitent vivement une sortie consensuelle de cette impasse afin que, dans les plus brefs délais, les élections législatives apaisées, transparentes et conviviales puissent être tenues pour l'installation à temps de la 8e législative de l'Assemblée nationale », a déclaré la présidente de la Plateforme électorale des Osc du Bénin, Fatoumatou Batoko Zossou.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Imorou Soumaïla quitte ce monde

Thu, 03/21/2019 - 08:22

Imorou Soumaïla, l'emblématique gardien de but des requins de l'Atlantique et de l'équipe nationale du Bénin, n'est plus. Il a rendu l'âme ce matin au Centre National Hospitalier et Universitaire de Cotonou à l'âge de 54 ans.
Paix à son âme

Categories: Afrique

Les enseignants du supérieur en sit-in ce jeudi

Thu, 03/21/2019 - 07:56

Les enseignants du supérieur n'ont pas encore fini de manifester leur colère par rapport au décret N°2018-44 du 20 septembre 2018 du gouvernement qui suspend l'élection des recteurs, vice-recteurs, membres du Conseil d'administration d'universités, doyens, directeurs, vice-doyens et directeurs adjoints des Unités de formation et de recherche (Ufr) des universités nationales du Bénin.
Réunis au sein de l'Intersyndicale du supérieur, ils entendent observer un sit-in ce jeudi 21 mars 2019 au ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique (Mesrs).
Selon l'Intersyndicale des enseignants du supérieur, le moratoire accordé au gouvernement pour procéder à l'annulation des nominations des responsables des Unités de formation et de recherche (Ufr) des universités publiques n'a servi à rien. Fustigeant le refus de dialogue de l'autorité, ils entendent user de tous les moyens légaux pour la contraindre au respect des libertés universitaires. Point question pour eux de démordre, ni de courber l'échine face aux réformes et actes qui remettent en cause les acquis démocratiques et les textes régissant le fonctionnement des universités nationales du Bénin.
Dans leur plateforme revendicative, les enseignants du supérieur dénoncent également les réformes “non inclusives“ du Conseil national de l'Education (Cne), ancienne et nouvelle formule, à la lumière de la loi 2003-17 portant orientation de l'éducation nationale en République du Bénin.
Ce sit-in, est le second après la nomination en conseil des ministres le 30 janvier dernier, des responsables des Ufr des universités nationales du Bénin.
F. Aubin AHEHEHINNOU

Categories: Afrique

Le faux procès contre Tiando et ses pairs

Thu, 03/21/2019 - 07:50

C'est difficile de comprendre. Le procès fait à Tiando et son équipe est loin de laisser une bonne image sur la démocratie béninoise. Dire où affirmer que la CENA est à la base de ce qui s'établit comme impasse électorale, ressort d'une ignorance du rôle de l'institution. En dehors de l'affaire dite favoritisme à l'endroit des deux grands partis de la mouvance, la CENA n'a rien à voir dans le rejet des listes de l'opposition. Aujourd'hui, le feu qui brûle est la non éligibilité des partis de l'opposition au certificat de conformité délivré par le ministère de l'intérieur. Si on statue sur la situation du PRD, FCDB, MOELE-Bénin, tous de même couleur politique, on se rend compte que la situation est plus gérable puisqu'appartenant à priori à la mouvance, ces partis peuvent aisément se comprendre si la médiation du chef de l'État intervenait.
Le problème n'est donc pas Tiando et son équipe.
La CENA ayant déjà fait ses preuves à travers un parcours élogieux depuis quelques années, il n'est pas juste de jeter cette institution dans la poubelle. Aujourd'hui, la démission des membres de la CENA ne résoudra aucun problème mais enfoncera le pays dans l'incertitude d'une élection crédible. Il faut avouer qu'il est normal pour l'opposition de chercher par tous moyens à avoir raison même si ce qui se passe à la CENA ne la concerne réellement. Il est aussi bienséant de prioriser la nation et l'avenir de la jeunesse qui n'attend que le résultat des actes posés par ses aînés en politique aujourd'hui.
La Commission électorale nationale autonome a déjà établi un chronogramme accepté par tous, tant l'opposition que la mouvance et ne peut suspendre sans un réajustement du calendrier électoral, d'une nouvelle convocation par le chef de l'État du corps électoral ou de l'intervention de la Cour constitutionnelle en cas de saisine éventuelle. Sans une telle injonction, elle ne pourra que suivre son chronogramme étant donné que la loi exige un calendrier à respecter pour tenir dans le temps et permettre l'installation de la prochaine législature à bonne date.
Le problème n'est donc nullement du côté de la CENA. Si le président de la CENA est allé jusqu'à livrer le secret de délibération, accepté par la majorité, il manifeste ainsi sa volonté de rendre le processus crédible. Ni l'opposition ni la mouvance ne doit jeter de l'opprobre sur le président Emmanuel Tiando et ses pairs si tant est qu'ils optent pour le respect des textes et une organisation sans problème des législatives. Si aucune œuvre humaine n'est parfaite, il est incohérent de vouloir la démission de l'équipe qui jusque-là a pu surmonter certaines réalités.
Les partis dont les dossiers sont rejetés devraient être exemplaires sans qu'on ne leur trouve une petite erreur.
La supposée démission voulue par certains politiciens ne fera que déplacé le problème. La solution à la situation qui prévaut n'est pas du côté de la CENA mais de l'Assemblée nationale. Chacun doit savoir raison gardée et laisser la CENA hors de ce qui se passe.

Giscard AMOUSSOU

Categories: Afrique

Les populations expriment leur soutien à Bio Tchané

Thu, 03/21/2019 - 07:47

Dans le cadre des travaux de construction et d'aménagement de la route Djougou-Péhunco-Kérou-Banikoara, le ministre d'Etat chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané s'est rendu à Djougou, ce mardi 19 mars 2019, pour un atelier technique de lancement.
Fières du démarrage imminent desdits travaux, les populations ont exprimé toute leur gratitude au ministre d'Etat, natif de la localité, et à tout le gouvernement du président Patrice Talon. Pour les populations concernées par la réalisation de cet ouvrage, la construction de la route Djougou-Péhunco-Kérou-Banikoara, est un rêve longtemps caressé, qui devient une réalité avec le Nouveau Départ et la Rupture.
Elles ont par ailleurs réaffirmé leur soutien et leur attachement au président Patrice Talon et à tout son gouvernement.

F. Aubin AHEHEHINNOU

Categories: Afrique

Aucune déclaration au terme de leur tête à tête

Wed, 03/20/2019 - 23:37

L'ancien Président de la République Nicéphore Soglo était en audience avec S.E.M Patrice TALON ce mercredi 20 mars 2019 au Palais de la Marina.
Aucune déclaration n'est faite à la sortie de l'audience. Ce dont on est sûr c'est que les échanges se sont déroulés dans une bonne ambiance entre les deux hommes .

Categories: Afrique

Ce qu'il faut savoir des Euro Bonds émis par le Bénin

Wed, 03/20/2019 - 22:54

Dans le but de répondre aux besoins de développement ou financer leurs dettes, plusieurs pays subsahariens ont recours aux euro bonds sur les marchés obligataires internationaux. La République du Bénin a émis ses premiers euro bonds le 17 mars 2019. Ce recours va permettre au pays de diversifier entre autres ses sources de financement en vue de faire face à ses défis.

Le Bénin a annoncé officiellement sa première incursion sur les marchés obligataires en dehors de la zone Franc. Selon le site AMECAS (Amicale des Etudiants Caribéens Africains et Sympathisants), le montant levé par les Etats subsahariens durant la période 2007-2017 est estimé à un peu plus de 20 milliards USD.
Une obligation est définie comme « un prêt qu'un investisseur fait à une entité (entreprise ou gouvernement) qui emprunte les fonds pour une période de temps définie à un taux d'intérêt fixe ». L'euro bonds ou euro-obligations est donc une obligation (une dette) libellée dans une monnaie qui n'est pas la monnaie du pays qui émet l'obligation à savoir le Franc CFA. Les euro-obligations sont des titres de dette émis par des investisseurs à l'intérieur de la zone euro.
Les Seychelles constituent le premier pays d'Afrique subsaharienne, en dehors de l'Afrique du Sud, à émettre des obligations en 2006.
Un an plus tard, le Ghana a émis à son tour 750 millions de dollars d'euro-obligations. Ils ont été rejoints par le Gabon, le Sénégal, la Côte d'Ivoire, la République démocratique du Congo, le Nigéria, la Namibie et plus récemment la Zambie.

Les avantages de ce recours pour le Bénin

Plusieurs conditions favorables peuvent expliquer le recours du Bénin à ce mode de financement sur les marchés internationaux. Il s'agit entre autres de son éligibilité à emprunter auprès du FMI et de l'Association Internationale de Développement (IDA) de la Banque Mondiale, sa capacité à faire face à des niveaux d'endettement extérieur insoutenable sans la possibilité d'user des mécanismes d'allégement de la dette. Aussi le pays a-t-il mené des reformes et de saines politiques économiques avisées par la Banque Mondiale et le FMI et a pu rédiger un document de stratégie pour la réduction de la pauvreté (DSRP).
l'économiste américain Joseph Stiglitz, rapporté sur le site AMECAS « l'aide publique au développement et les prêts concessionnels accordés par des organismes bilatéraux ou multilatéraux se sont montrés inadéquats dans la résorption du déficit infrastructurel et à une réduction significative de la pauvreté sur le continent africain.
Les conditions associées à ce type de financement et l'étroite surveillance des États bénéficiaires en font une source de financement beaucoup moins attractive ».

Ces euro bonds vont permettre au Bénin de diversifier ses sources de financement mais aussi d'emprunter de l'argent à faibles taux d'intérêt. Ainsi le Bénin pourra financer son Programme d'Actions du gouvernement (PAG).
Le Bénin ne va donc plus se limiter au recours à l'aide publique au développement et des prêts concessionnels en vue du financement de son programme de développement.

Néanmoins, les euro-obligations sont exposées à un risque de change. Les taux de change n'étant pas fixe, ils peuvent changer brusquement, ce qui peut affecter dans un très court laps de temps le rendement total sur une euro-obligation.

Akpédjé AYOSSO

COMMUNIQUÉ

Le Bénin effectue la première émission obligataire inaugurale en euros de l'histoire des émissions internationales africaines
La République du Bénin a procédé aujourd'hui à la première émission obligataire internationale de son histoire. Cette émission permettra le financement de projets phares du Programme d'Actions du Gouvernement.
Du 12 au 18 mars, le Ministre de l'Economie et des Finances de la République du Bénin, M. Romuald Wadagni, a conduit une délégation à la rencontre des investisseurs internationaux en Europe et aux Etats-Unis. Le Ministre a choisi d'effectuer cette tournée des principales places financières trois ans après le début du Programme d'Actions du Gouvernement, afin de pouvoir présenter aux investisseurs les résultats concrets de ce Gouvernement, y compris les réformes structurelles clés, la croissance économique forte et la réduction rapide du déficit budgétaire. Les réunions ont permis de démontrer la solidité des fondamentaux du Bénin, la pertinence du Programme d'Actions du Gouvernement et le sérieux des réformes mises en œuvre depuis 2016.
Le 19 mars, le Ministère de l'Economie et des Finances a levé avec succès *500 millions d'euros (328 Mds CFA)*, pour une maturité finale de 7 ans. Le profil de remboursement de cet instrument, amortissable sur les trois dernières années (2024, 2025, 2026), vise aussi à réduire le risque de refinancement et s'inscrit dans le cadre de la stratégie de gestion prudente de la dette publique. Le Bénin est le premier pays d'Afrique à émettre une émission obligataire internationale inaugurale en Euros, une devise qui ne présente aujourd'hui aucun risque de change pour le bilan du gouvernement. Le Bénin est également le premier émetteur d'Afrique subsaharienne à solliciter le marché cette année, faisant donc preuve d'une rapidité d'exécution exceptionnelle qui a permis de saisir une fenêtre de marché favorable.
Les investisseurs ont salué la performance du Gouvernement depuis 2016 et l'attractivité de sa signature de crédit en souscrivant fortement à l'émission internationale : le livre d'ordres de l'opération a dépassé un milliard d'euros en moins de deux heures et atteint un pic d'environ 1,25 milliard d'euros dans la journée (c'est-à-dire une souscription de 250%). La forte demande pour les obligations béninoises s'est traduite par un coupon de 5,75%, bien en-deçà des taux offerts sur le marché régional. La République est donc parvenue à diversifier ses sources de financement, tout en réduisant le coût moyen de sa dette de marché.
Le succès de cette émission inaugurale démontre le fort intérêt affiché par les investisseurs internationaux pour le Bénin, et marque un moment décisif dans la dynamique d'ouverture économique du pays initiée par le Gouvernement.
Le closing financier de l'opération devrait intervenir le 26 mars 2019.

Ce communiqué ne constitue pas une offre de titres aux États-Unis ou dans tout autre État. Les titres ne peuvent être ni offerts ni cédés aux États-Unis sans enregistrement ou exemption d'enregistrement conformément au U.S. Securities Act de 1933 tel que modifié. La République du Bénin n'a pas l'intention d'enregistrer l'offre en totalité ou en partie aux États-Unis ni de faire appel public à l'épargne aux États-Unis.
Ce communiqué ne constitue pas une offre de titres au public au Royaume-Uni. Ce document est distribué et est exclusivement destiné (i) aux personnes qui se trouvent hors du Royaume-Uni, (ii) aux professionnels en matière d'investissement (investment professionals) au sens de l'article 19(5) du FSMA (Financial Promotion) Order 2005 (le Règlement), (iii) aux personnes visées par l'article 49(2) (a) à (d) du Règlement (sociétés à capitaux propres élevés, associations non immatriculées, etc.) et à toute autre personne à qui ce communiqué pourrait être adressé conformément à la loi (toutes les personnes mentionnées aux paragraphes (i), (ii), (iii) et (iv) étant ensemble désignées comme les Personnes Habilitées). Toute activité d'investissement à laquelle ce communiqué est lié sera uniquement disponible ou conclue avec des Personnes Habilitées. Toute personne autre qu'une Personne Habilitée doit s'abstenir d'utiliser ou de se fonder sur le présent communiqué et les informations qu'il contient.
Dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen ayant transposé la Directive 2003/71/UE (ainsi que ses amendements, y compris la Directive 2010/73/UE, dans la mesure où ces derniers ont été transposés dans les Etats membres concernés, et toute mesure de transposition mise en place dans les Etats membres concernés) (ensemble, la Directive Prospectus), le présent communiqué de presse s'adresse exclusivement à des « investisseurs qualifiés » et agissant pour leur propre compte au sens de la Directive Prospectus.
Le présent communiqué est un document publicitaire et ne constitue pas une offre ou une sollicitation d'offre de vente ou de souscription de valeurs mobilières pour les besoins de la Directive Prospectus. Un prospectus préparé conformément à la Directive Prospectus sera publié et lorsqu'il aura été publié, sera disponible conformément à la Directive Prospectus. Les investisseurs ne devraient souscrire ou acheter des titres auxquels ce document se rapporte que sur la base des informations contenues dans le prospectus.
Une notation de titres ne constitue pas une recommandation d'acquérir, de vendre ou de conserver des titres et est susceptible d'être modifiée à tout moment.

Stabilisation FCA/ICMA

Categories: Afrique

Cotonou classé 3ème ville en Afrique de l'ouest

Wed, 03/20/2019 - 22:42

Le cabinet de conseil Mercer a rendu public son classement 2019 sur la qualité de vie dans 231 villes du monde. La ville de Cotonou au Bénin y figure en bonne place.

Le classement mondial 2019 du cabinet Mercer, spécialisé dans le conseil aux entreprises prend en compte 231 villes évaluées sur la qualité de vie à travers 39 critères. Il s'agit entre autres de la criminalité, la gestion des déchets en passant par les transports en commun, l'approvisionnement en électricité, le logement, l'attractivité économique, la culture et les loisirs.
Selon le classement Mercer, Cotonou occupe la 18ème place en Afrique devant Nairobi (21ème), Kigali (23ème), Abidjan (29ème), Lagos (32ème), Abuja (33ème) et Ouagadougou (35ème).
Au plan mondial, Cotonou est classé au 182ème rang.
En Afrique de l'ouest, Cotonou décroche la 3ème place, après Dakar (11ème) et Accra (12ème).
Ce résultat témoigne du succès des nombreuses réformes menées par le Président de la République Patrice Talon dès son arrivée au pouvoir, plus particulièrement dans le secteur du tourisme, de l'aménagement du cadre de vie à travers la réalisation du projet asphaltage dans 09 grandes villes du Bénin.

Akpédjé AYOSSO

Classement 2019 des villes africaines où il fait bon vivre

Categories: Afrique

Les OSC contre la révision de la constitution

Wed, 03/20/2019 - 22:21

Le Chef de l'Etat, Patrice Talon a reçu ce mercredi 20 mars 2019 au Palais de la Marina les membres des organisations de la Société Civile (OSC) pour échanger sur la situation politique depuis peu tendue à cause des élections législatives prochaines.
La délégation de la Plateforme électorale conduite par Fatoumatou Batoko Zossou est composée de Martin Assogba, Gustave Assah, Ralmeg Gandaho, Maryse Ahanhanzo-Glèlè et autres.

Au cours des échanges avec le Chef de l'Etat, les acteurs de la société civile ont reconnu la nécessité et la pertinence des réformes engagées. Certains d'entre eux estiment que « si on remet en cause les réformes, le pays est foutu ! ». Ils ajoutent que « Quand on est démocrate, on suit les textes ».
Se prononçant sur les propositions de loi du comité paritaire du Parlement, les OSC ont affirmé qu'elles ne veulent pas de la révision de la Constitution ‘'agitée par certains députés''.
La société civile est également contre la prolongation du mandat des députés actuels. Aussi, pour la société civile, le 15 mai 2019, la 8ème législature de l'Assemblée nationale doit-elle être installée.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

L'opposition exprime ses réserves par rapport aux législatives

Wed, 03/20/2019 - 22:17

Les forces de l'opposition se sont retrouvées ce jour, mercredi 20 mars 2019 au siège des FCBE à Gbèdjromèdé à Cotonou. Occasion pour dire leur désapprobation face à la manière de conduite du processus devant conduire à l'organisation d'élections inclusive.
Selon la déclaration de l'opposition "La crise électorale ouverte depuis le 1er février 2019 par l'introduction frauduleuse du certificat de conformité dont le dessein est d'exclure les partis de l'opposition des élections d'une part et d'autre part de repêcher les partis du chef de l'Etat qui jusque-là n'existaient dans aucun registre de l'Etat continue de défrayer la chronique". Faisant l'historique de ce qui s'est passé jusque-là et les différentes propositions faites pour la sortie de crise, l'opposition pense que la démarche du chef de l'Etat qui jusque-là continue de prendre part aux discussions, n'est pas de leur goût.
Elle s'étonne de ce que circule sur les réseaux sociaux un document faisant état d'un consensus retrouvé avec la classe politique et qui projette même la révision de la Constitution. Elle souligne que " Ce document qui serait le fruit des réflexions d'un groupe de travail dont les travaux sont en cours ne constitue pas un consensus retrouvé avec la classe politique et témoigne par la même occasion du manque de sincérité des auteurs et commanditaires de telles manipulations". Entre autres exigences, les forces de l'opposition insiste sur la suspension du processus électoral afin de témoigner de la bonne foi du Chef de l'Etat dans la recherche du consensus prôné. Elle dit " non à la révision de la Constitution agitée par certains acteurs comme solution dans la crise et insiste sur la tenue à bonne date et dans les délais constitutionnels des élections législatives".
L'opposition reste figée dans sa posture puisqu'elle semble ne pas avoir confiance au processus d'étude des lois dérogatoires en cours.
G.A.

Categories: Afrique

L'Envoyé spécial de l'ONU satisfait des échanges avec Houngbédji

Wed, 03/20/2019 - 19:35

En mission au Bénin depuis quelques jours, l'Envoyé spécial du Secrétaire général de l'ONU, Mohamed Ibn Chambas, a été reçu en audience ce mercredi 20 mars 2019 par le président de l'Assemblée nationale, au palais des gouverneurs à Porto-Novo.
Au terme des discussions, le diplomate onusien se dit très rassuré de l'organisation d'élections législatives pacifiques et inclusives au Bénin.

Selon l'émissaire de l'ONU Mohamed Ibn Chambas, l'objet de cette audience auprès du président de l'Assemblée nationale, Adrien Houngbédji est « de venir discuter avec lui, de voir comment aider à traverser les difficultés qu'il y a à mettre en application les réformes très importantes en cours au Bénin ».
« La CEDEAO même est venue au Bénin pour essayer d'encourager les discussions entre les parties prenantes à savoir les partis politiques et la société civile béninoise pour avancer dans les réformes en question ; afin d'aboutir à des élections législatives pacifiques, inclusives et participatives (…). Les Nations Unies vont continuer de travailler étroitement avec la CEDEAO et puis avec tous les partis politiques », a-t-il déclaré.
Pour Mohamed Ibn Chambas, « chaque fois, le Béninois doit être conscient que le Bénin est la vitrine de la démocratie en Afrique de l'Ouest et même en Afrique ».

Selon lui, les réformes en cours au Bénin sont non seulement importantes mais aussi très intéressantes pour la région ouest-africaine en général. « C'est évident que la mise en application de ces réformes a posé quelques difficultés », estime-t-il. Toutefois, à en croire l'Envoyé spécial, « il faut essayer d'avancer de manière consensuelle pour qu'encore une fois, nous puissions avoir au Bénin des élections législatives exemplaires et en faire un acquis pour la consolidation de la démocratie dans ce pays et en Afrique de l'Ouest ». Mohamed Ibn Chambas s'est dit satisfait des échanges menés avec le président Adrien Houngbédji. « Après nos discussions avec le président de l'Assemblée nationale, nous nous sentons vraiment encouragés. Nous avons eu d'autres échanges qui rassurent », a-t-il signalé.

Reçu mardi par le président de la République, Patrice Talon et par les anciens chefs d'Etat tels que Boni Yayi et Nicéphore Soglo, l'Envoyé spécial affirme : « Nous sommes dans un esprit de travail d'ensemble pour traverser les difficultés actuelles. Ce n'est pas un problème au fond. Il paraît que c'est dans l'application des réformes que le problème se pose. L'essentiel, c'est d'élargir le consensus et d'essayer d'avancer d'une manière un peu plus inclusive (...) ».

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Les propositions du Pcb pour une sortie de crise

Wed, 03/20/2019 - 19:32

Dans la cadre de l'organisation des élections inclusives, le Parti Communiste du Bénin (Pcb) a aussi fait des propositions pouvant permettre la sortie de l'impasse des législatives. Ces derniers se résument en trois grandes lignes.

Comme propositions, le (Pcb) conseille l'abrogation de la loi 2018-23 portant charte des partis politiques ainsi que la loi 2018- 31 portant code électoral. Les communistes demandent le retour à l'ancienne loi de la charte ainsi que celle du code électoral, lesquelles ayant permis l'élection du Président Talon et la prise d'une loi abrogatoire de ces deux lois.

Le Pcb suggère également l'abrogation des lois suivantes : la loi portant code pénal, la loi portant code numérique ; la loi 2018-13 du 02 Juillet 2018 créant la CRIET et aussi celle sur la Fonction publique interdisant le droit de grève. Pour les communistes, il faut procéder à la prise d'une loi abrogatoire de ces différentes lois et retourner aux lois antérieures.

Le Parti propose enfin la prise d'une loi d'amnistie pour la libération des “détenus politiques” et le retour au pays des “exilés politiques”.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Un projet de loi transmis au parlement

Wed, 03/20/2019 - 17:52

Le conseil des ministres de ce mercredi 20 mars 2019 a transmis à l'Assemblée un projet de loi sur la biosécurité. Un projet qui vise à concrétiser l'adhésion du Bénin au protocole de Cartagena.

Selon le relevé du conseil des ministres, « Ce projet de loi intervient pour tenir compte du respect par notre pays, de ses engagements découlant de son adhésion au protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques relatif à la convention sur la diversité biologique ». Il souligne que « L'objectif visé par ledit protocole est de contribuer à assurer un degré adéquat de protection pour le transfert, la manipulation et l'utilisation sans danger des organismes vivant modifiés résultant de la biotechnologie moderne ».
Et ce, « en raison des risques que ceux-ci peuvent comporter pour la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique d'une part, et la santé humaine d'autre part, du fait des mouvements transfrontaliers ». L'adoption de ce texte par l'Assemblée nationale permettra à notre pays de sa doter d'une législation pertinente en matière de biosécurité.
C'est dans ce même ordre que le conseil a adopté les décrets portant modification des textes relatifs d'une part aux « Attribution, organisation et fonctionnement du centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga », des centres hospitalier et universitaires en République du Bénin ainsi que le décret portant nomination des membres du conseil national d'aménagement du territoire ».

G.A.

Categories: Afrique

Un projet d'infrastructures et de désenclavement des Aguégués

Wed, 03/20/2019 - 17:35

Le conseil des ministres de ce mercredi 20 mars s'est penché sur la réhabilitation et la réalisation de certaines infrastructures dans la commune des Aguégués. Un projet qui vise à sortir cette commune des nombreuses difficultés d'accès à certaines localités.

Le relevé du conseil des ministres fait état de ce que le gouvernement s'engage à la modernisation de certains lieux dans la commune des Aguégués. « De part sa situation lacustre, cette commune a un besoin considérable de services d'assainissement et d'hygiène approprié à travers l'amélioration du cadre et des conditions de vie des populations » renseigne le relevé. Aussi, souligne-t-il que « l'état dégradé des routes rend la commune inaccessible en toute saison ». Des visites de terrain, d'équipes pluridisciplinaires ont confirmé l'urgence d'une intervention de la part du gouvernement, pour sortir cette localité de la précarité. C'est dans ce sens que « L'étude de faisabilité diligentée par le chef de l'Etat à cette fin a permis d'aboutir à l'élaboration d'un projet comportant deux volets. Le premier porte sur l'assainissement de base et consiste en la réhabilitation et en la construction de plusieurs dizaines de lieu d'aisance.
Le second projet prend en compte le désenclavement à travers l'aménagement des voies de déserte d'une longueur de 13,6 km et concerne les tronçons d'Agbodjèdo-Akodji et Kodjizoun-Akodji, ainsi que la construction et la réhabilitation de plusieurs daleaux.
Tout ceci témoigne de l'engagement du gouvernement à la modernisation des villes et à leur désenclavement.
G.A.

Categories: Afrique

Les autorités de Karimama ouvrent l'île aux oiseaux aux bouviers

Wed, 03/20/2019 - 17:27

Sous la direction du deuxième adjoint au maire de Karimama, Amadou Bonkanon, les autorités de la commune ont procédé ce mardi 19 mars 2019, à l'ouverture de l'île aux oiseaux, aux bouviers transhumants. Cette opération va permettre entre autres de renflouer les caisses de la commune.

Améliorer les ressources communales ; tel est l'objectif qui sous-tend l'ouverture de l'île aux oiseaux de Karimama aux bouviers transhumants nationaux et étrangers.
Selon le deuxième adjoint au maire de Karimama, Amadou Bonkanon, dans le cadre de l'opération, la commune va accueillir cette année des milliers de troupeaux. Cette action va permettre à la commune de mobiliser des ressources à travers le payement des taxes de développement local. « Un bouvier local paye 10.000 FCFA par troupeaux et un étranger paye 20.000 FCFA », informe-t-il.
Remerciant les autorités locales, les bouviers ont manifesté leur joie face à l'ouverture de cette île qui offre des conditions favorables d'alimentation aux bovins et caprins.

Akpédjé AYOSSO

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Nicéphore Soglo dénonce la convocation adressée à Houngbédji

Wed, 03/20/2019 - 13:00

Appelé à donner ses impressions sur l'impasse politique née de l'organisation des élections législatives 2019, Nicéphore Soglo a dénoncé les tracasseries policières contre Houngbédji, faisant référence à sa convocation du mardi 12 mars 2019.

La convocation adressée par la brigade criminelle au président de l'Assemblée nationale il y a quelques jours n'est pas du goût de l'opposant béninois Nicéphore Soglo. « C'est inacceptable qu'on puisse traiter le président de l'Assemblée nationale, deuxième personnalité de l'Etat de la sorte », s'indigne-t-il.

Pour l'ancien chef d'Etat, la convocation du président Houngbédji par la brigade criminelle de Cotonou est une « tentative d'humiliation et de dégradation ». Cette vive protestation est survenue alors que Nicéphore Soglo rendait compte de son entretien avec la délégation de l'ONU conduite par Mohamed Ibn Chambas, envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies António Guterres.

Akpédjé AYOSSO

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La Société Civile attendue au Palais

Wed, 03/20/2019 - 12:04

Le chef de l'État, le président Patrice Talon reçoit ce jour à partir de 11h, la Société civile. Il s'agit d'une délégation de la Plateforme électorale conduite par sa présidente Mme Fatoumatou Batoko Zossou. Elle sera composée entre autre de Martin Assogba, Gustave Assah, Maryse Ahanhanzo-Glèlè.
La quête pour les élections inclusives continue de préoccuper les acteurs à divers niveaux. Les responsables de la Plateforme électorale des OSC pour des élections libres et transparentes va échanger avec le Président de la République sur la situation socio-politique qui prévaut actuellement dans le pays. Il sera question dans le cadre des consultations en cours de voir comment sortir le processus électoral de l'impasse dans laquelle elle se trouve plongée depuis le rejet des dossiers de candidatures des partis de l'opposition aux élections législatives du 28 avril prochain. Ces échanges avec le chef de l'État permettront de trouver les voies et moyens de surmonter le blocage actuel constaté dans la suite du processus. Même si l'Assemblée Nationale est saisie pour proposer des pistes de solutions, la plateforme n'est pas du reste. Elle joue sa partition au quotidien.
G.A.

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Un succès en terme de qualité et de quantité à l'actif de l'AIC

Wed, 03/20/2019 - 10:55

La campagne cotonnière 2019 est déjà un succès pour le Bénin en termes de qualité et de quantité. La tournée du président de l'Association interprofessionnelle du coton, Mathieu Adjovi, accompagné du ministre de l'agriculture dans les usines d'égrenage du coton-graine et des aires de stockage révèle que les prévisions de plus de 700 000 tonnes seront atteintes en battant le record de la campagne dernière qui était de plus de 600 000 tonnes.

Le Bénin atteint des résultats au niveau de la filière cotonnière dont les progrès ces deux dernières campagnes inspirent admiration. Des exploits qui confirment le professionnalisme dont fait preuve les acteurs de la filière de Coton. A l'heure actuelle, plus de 600 000 tonnes de coton graines ont été égrenés. Ce chiffre montre clairement que le résultat final de cette année va dépasser les 600.000 mille tonnes de production de l'année précédente.

L'Association interprofessionnelle du coton (Aic), satisfait des acteurs de la filière s'est résolue d'aller au-delà des performances enregistrées au cours des deux dernières campagnes cotonnières, et vise une performance de 700 000 tonnes. Si déjà à la date d'aujourd'hui cette importante tonnes de coton graines est réceptionnée alors que les récoltes continuent dans certaines régions, d'ici quelques semaines les prévisions de plus de 700 000 tonnes seront atteintes.

L'ambition du président de l'AIC, Mathieu Adjovi se concrétise qui est de hisser le Bénin au rang des meilleurs producteurs du continent se concrétise. Ainsi, le bon déroulement de cette campagne d'égrenage garantie non seulement une performance en matière de quantité mais aussi en qualité.

Grâce à la gestion qui se fait depuis peu par l'AIC, le Bénin peut désormais compter sur la filière coton pour assurer son développement. Les exploits des dernières années sont les fruits du programme d'intensification de la production de coton. En effet, dès son accession depuis le 6 avril dernier, le Chef de l'Etat, Patrice Talon qui connaît très bien le secteur a mis en place un nouveau dispositif pour booster la production de l'or blanc béninois et pour en faire un label mondialement reconnu. Le chiffre de la campagne avant son arrivée en 2016 était de 300.000 tonnes. Avec la gestion de la filière du coton par l'AIC, en 2016-2017, le Bénin a obtenu une production de 452.000 tonnes. Le Bilan de la campagne cotonnière 2017-2018, donne une augmentation de la production cotonnière dépassant les 575 000 tonnes. Les prévisions déjà pour cette campagne sont estimées à plus de 700 000 tonnes. Ces records de production augurent d'un avenir meilleur pour la filière coton au Bénin en tant que pilier de l'économie nationale.

Akpédjé AYOSSO

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Le chef de l'Etat rencontre Nicephore Soglo ce mercredi

Wed, 03/20/2019 - 08:16

L'ancien président Nicéphore Soglo a reçu une invitation de Patrice Talon pour ce mercredi 20 mars 2019 au Palais de la République.
Transmise par le ministre de l'intérieur Sacca Lafia, cette invitation à l'ex chef d'Etat pourrait être l'occasion pour Patrice Talon d'échanger avec un acteur politique de l'opposition sur les préoccupations autour des élections législatives.
Les actions du chef de l'Etat Patrice Talon entrent dans la dynamique de l'organisation d'élections inclusives, transparentes, démocratiques et crédibles.

Akpédjé AYOSSO

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