You are here

Algérie 360

Subscribe to Algérie 360 feed Algérie 360
Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 1 hour 31 sec ago

Assainissement: Alerte à Hadjret Benarous

Tue, 10/09/2018 - 15:38

A. Mallem

Rencontré avant-hier au siège de la daïra de Constantine où il était venu au rendez-vous qui lui avait été fixé par le chef de la daïra, Nedjahi Abdelghani, président de l’association de quartier de Hadjret Benarous, qui borde la route nationale n°27 dans le quartier d’El-Menia, nous a déclaré que ce quartier, qui a été durement éprouvé par les récentes inondations ayant touché le quartier voisin du Kantoli faisant partie de la commune de Hamma-Bouziane, ont aggravé sérieusement le problème d’assainissement «qui était déjà mal au point avant cette catastrophe naturelle», a-t-il indiqué.

Il a pointé du doigt l’Office national d’assainissement (ONA), expliquant que cette entreprise est venue il y a trois ans, a creusé des canalisations en cassant l’ancienne conduite des eaux usées que les habitants ont installée à grands frais, puis les travaux ont été arrêtés. «Et depuis ce temps, c’est-à-dire depuis presque trois ans, nous vivons dans une situation difficile, une véritable catastrophe car les gens ont aménagé des fosses d’aisance pour faire leurs besoins. Et les inondations ont fini par mettre à nu ces fosses, faisant que le problème constitue maintenant, pour nous, un grand danger».

Il nous a signalé que le chef de la daïra et des responsables de la commune étaient venus dernièrement dans le quartier et ils ont vu de leurs propres yeux les conditions dangereuses dans lesquelles nous vivons du point de vue sanitaire. «A la suite de cela, le chef de la daïra nous a donné rendez-vous pour ce jour (7 octobre) afin d’examiner cette situation et nous entendre parler de nos autres problèmes». Pour notre part, nous avons essayé hier d’entrer en contact avec les responsables de l’ONA de Constantine. Mais sans résultat. Nous nous sommes dirigés alors vers le délégué urbain du secteur de Sidi-Rached duquel dépend administrativement le quartier de Hadjret Benarous, en l’occurrence M. Mezioud Noureddine. Ce dernier a reconnu que ce quartier fait face à un grand problème d’assainissement.

«Malheureusement, l’ONA est totalement absent sur le terrain où les problèmes de cette nature ne font que s’aggraver. Je pense, a considéré le délégué urbain, que le P/APC de Constantine va intervenir pour régler ce problème en enlevant le projet à cet organisme défaillant pour le confier à une autre entreprise», nous a expliqué à la fin M. Mezioud.

The post Assainissement: Alerte à Hadjret Benarous appeared first on .

Categories: Afrique

Relogement des habitants de l’Avenue Belouizdad: Des équipes de l’OPGI et du CTC mènent contrôle et recensement

Tue, 10/09/2018 - 15:37

A.E.A.

Les habitants de l’Avenue Belouizdad, qui ont protesté contre la mesure les obligeant à signer un engagement acceptant la démolition de leurs maisons, pour pouvoir bénéficier de relogement, ont finalement eu gain de cause. En effet et selon leur représentant, M. Omar, la wilaya est revenue à de meilleurs sentiments, dit-il, et cela comme promis par le chef de cabinet du wali, suite au sit-in de protestation contre cette mesure, qu’ils ont organisé devant ledit cabinet, au début de la semaine dernière.

Et d’indiquer, que non seulement la mesure a été abandonnée, mais des équipes de l’OPGI et du Contrôle technique de la construction (CTC), ont été envoyées, sur place, pour les vérifications nécessaires des bâtisses et des occupants. Ainsi, des visites seront faites, dans chaque maison, par les éléments de l’OPGI pour recenser les occupants actuels et effectifs. Alors que ceux du Centre technique sont chargés du contrôle technique et de l’état des maisons, à l’effet de déterminer celles dont l’état menace ruine et celles qui sont relativement en bon état. Notre interlocuteur, de faire savoir encore, que d’après les déclarations faites aux habitants, par les représentants de l’OPGI, « une fois achevée, l’opération de recensement des occupants réels des maisons de toute l’avenue, ils seront convoqués pour payer la deuxième tranche des frais des appartements situés, à l’UV 20, de Ali Mendjeli et dont ils ont déjà réglé la première tranche ». Toutefois, on ne saura rien sur les détails afférents, notamment, à la date des transferts des habitants vers leurs nouveaux logements, dont les travaux sont achevés, d’ailleurs, à 100 %, nous a appris notre interlocuteur.

The post Relogement des habitants de l’Avenue Belouizdad: Des équipes de l’OPGI et du CTC mènent contrôle et recensement appeared first on .

Categories: Afrique

Instance supérieure de contrôle des élections: Une journée de formation pour les représentants locaux

Tue, 10/09/2018 - 15:35

A. Mallem

Intervenant hier devant les membres représentant l’Instance supérieure indépendante de contrôle des élections au niveau local et les directeurs de la réglementation et des affaires générales (DRAG) des wilayas de l’Est, lors d’une réunion dans un hôtel de la nouvelle ville Ali Mendjeli, M. Brahim Boudoukha, vice-président de cette instance, a longuement insisté sur l’action de conduite des élections dans notre pays. Cette action ne revêt pas seulement un caractère noble, a-t-il souligné, mais aussi et surtout une visée stratégique parce qu’elle a un rapport étroit avec la sécurité et la stabilité du pays. Elle constitue également la clé de voûte d’un développement durable. Se focalisant ensuite sur le rôle de l’agent contrôleur des élections, l’orateur a expliqué que l’expérience apprise des précédentes élections a montré aussi que cette opération ne manque pas de complexité. Et dans ce cadre, ajoute M. Boudoukha, l’instance supérieure joue le rôle du contrôleur honnête, intègre, en veillant à l’application de la loi dans toute sa rigueur et pour faire en sorte que chaque parti puisse jouir des droits qui lui ont été conférés par la loi.

Il fera savoir ensuite que cette journée de formation s’inscrit dans le programme annuel de formation établi par l’Instance supérieure indépendante des élections et elle a été précédée par d’autres rencontres régionales. Elle sera aussi suivie par d’autres qui se tiendront respectivement à Béjaïa le 11 octobre, à Ghardaïa le 15 et à Tlemcen le 18. L’objectif de ces rencontres est la préparation des agents auxiliaires aux membres de l’instance à mener leur mission de contrôle dans le strict respect des textes réglementaires. Trois autres interventions ont suivi celle de M. Boudoukha et elles ont porté respectivement sur « les voies et moyens d’encadrer l’opération de révision des listes électorales que vient de lancer l’administration », et sur «les procédures relatives aux élections présidentielles et le rôle que doit jouer dans ce cadre l’Instance supérieure indépendante des élections», et la troisième a eu pour thème « le rôle que doit jouer l’instance sur la surveillance des élections présidentielles ».

The post Instance supérieure de contrôle des élections: Une journée de formation pour les représentants locaux appeared first on .

Categories: Afrique

Leurs contrats ont été suspendus pour « double » emploi: Des jeunes de l’ANEM observent un sit-in

Tue, 10/09/2018 - 15:34

A. El Abci

  Deux sit-in ont été organisés, hier, devant le cabinet du wali, l’un par des titulaires de contrats de pré-emploi de l’ANEM, et l’autre par des «oubliés de relogement» de la rue des Maquisards.

Ainsi les bénéficiaires de contrats de pré-emploi de l’ANEM, sans travail depuis mai dernier malgré que leurs contrats ne sont pas encore venus à terme, affirment-ils, sont venus solliciter l’intervention du wali pour leur réintégration à leurs postes.

Selon leur représentant, M. Zaki, il s’agit de plus de 1.000 jeunes diplômés, universitaires ou ayant eu une formation dans les CFPA, qui étaient employés dans le secteur de l’éducation, celui de la culture, à l’APC, etc., et qui ont été suspendus de leur travail pour des problèmes d’assurance avec la CNAS. Et d’expliquer que certains ont fait des formations complémentaires et ont été recrutés pendant deux à trois mois dans des entreprises privées, et se sont retrouvés avec deux numéros d’assuré social. «D’où, poursuit-il, notre suspension et non la résiliation officielle de nos contrats par la direction de l’Emploi, et ce jusqu’à régularisation de chaque situation». Et d’ajouter que «chacun de nous a une ancienneté d’au moins cinq ans dans le poste d’emploi qu’il occupait avant. C’est ainsi que depuis mai 2018, nous n’avons pas perçu notre prime de pré-emploi», ajoute-t-il. «Toutefois et en dépit du fait que nous avons régularisé notre situation auprès de la CNAS, depuis le mois de juillet dernier, et écrit dans ce sens à la direction de l’Emploi avec envoi de tous les documents nécessaires, jusqu’à présent c’est le silence radio. Nous sommes là pour solliciter une intervention du wali en faveur de notre intégration dans nos précédents postes».

De leur côté, les habitants de la rue des Maquisards «oubliés du relogement et non exclus», selon leur représentant, M. Mourad, sont près d’une centaine de familles dans ce cas et à qui on a demandé de faire des recours. «Seulement, affirme-t-il, cela fait des années que nous avons déposé des recours à la daïra et nous attendons toujours qu’on tranche dans nos cas».

Le chef de cabinet, qui a reçu les protestataires, a conseillé aux jeunes de l’ANEM de s’adresser au ministère de tutelle, qui est le seul à pouvoir intervenir en la matière. Et a invité les familles de la rue des Maquisards à plus de patience. «Il faut attendre la clôture des opérations de relogement des demandeurs de logements sociaux», leur a-t-il signifié.

The post Leurs contrats ont été suspendus pour « double » emploi: Des jeunes de l’ANEM observent un sit-in appeared first on .

Categories: Afrique

Afrar: accident mortel à Sbaa

Tue, 10/09/2018 - 15:34

Un bus de voyageurs a dérapé ce matin dans la wilaya de Adrar, un accident qui a causé quatre morts et plusieurs blessées.

L’accident a eu lieu près de la localité de Sbaaa, entre les wilayas de Béchar et Adrar, précise la source d’Alg24, qui informe que le bilan enregistré est de 4 morts et plusieurs blessés.

Les blessés ont été évacués, vers l’hôpital certains d’entre eux seraient dans un état grave. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie nationale afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident.

The post Afrar: accident mortel à Sbaa appeared first on .

Categories: Afrique

Les crédits accordés aux ménages et entreprises privées en baisse

Tue, 10/09/2018 - 12:02

R. N.

Les crédits à l’économie ont enregistré une hausse 6% au 1er semestre 2018, ce qui correspond à un montant de 9.408,1 milliards de dinars (MDA), à fin juin 2017, contre 8.880 MDA à fin décembre 2017, selon des données de la Banque d’Algérie, rapportées par l’APS. Plus de la moitié de ces crédits ont été accordés au secteur privé, avec une légère hausse de la part du secteur public, passée à 49,3% à fin juin 2018 contre 48,55% à fin décembre 2017. La part de secteur privé (y compris les ménages) est en léger déclin, passant à 50,67%, à fin 2018 contre 51,44% à fin décembre 2017. Ainsi, les crédits bancaires accordés au secteur économique public ont atteint 4.640,7 MDA, à fin juin 2018, contre 4.311,3 MDA, à fin décembre 2017, soit une hausse de 7,64%. Quant aux crédits accordés au secteur privé (entreprises et ménages), ils sont passés à 4.766,8 MDA à fin juin 2018 contre 4.568,3 MDA à fin décembre 2017. Les crédits accordés aux ménages, essentiellement des crédits hypothécaires (achats de logements essentiellement), représentent 716,4 MDA, à fin juin 2018, contre 656,7 MDA à fin décembre 2017 (+9,1%).

Concernant l’évolution de la structure des crédits, elle indique la prédominance des crédits, à long terme, principalement les crédits accordés aux entreprises publiques du secteur de l’Energie. Ainsi, la part des crédits, à court terme, est passée à 26,87%, à fin juin 2018 contre 25,88% à fin 2017, celle des crédits, à moyen terme, à 18,62 % contre 20,77%, et celle des crédits, à long terme, à 54,51% contre 53,35%.

Creusement du déficit budgétaire

Après les baisses enregistrées en 2015 et 2016, la liquidité bancaire «s’est relativement stabilisée» après le lancement des opérations d’Open market d’injections de liquidités à partir de mars 2017, pour ensuite croître fortement, dès novembre 2017, «après la mise en œuvre du financement non conventionnel», relève la Banque d’Algérie. La liquidité bancaire avait atteint 1.380,6 MDA, à fin 2017, soit une croissance de 68,2%, par rapport à son niveau de fin 2016 qui était de 821 MDA. Selon la même source, « en prévision de l’accroissement de l’excès de liquidités avec les nouveaux achats directs de titres du Trésor, au début de l’année 2018 (1.400 MDA), la Banque d’Algérie a, pour prévenir toute poussée inflationniste, repris les opérations d’Open market d’absorption de la liquidité, à différentes échéances, en janvier 2018 et a relevé le taux de réserves obligatoires de 4% à 8% au même mois ».

Cette conduite de la politique monétaire « a stabilisé l’encours de la liquidité bancaire autour de 1.500 MDA, entre janvier et juin 2018 », souligne la même source.

Par ailleurs, dans un contexte de légère baisse du volume des exportations d’hydrocarbures, la hausse du prix moyen du pétrole, au cours des 5 premiers mois de 2018, par rapport à la même période de 2017, s’est traduite par une augmentation des recettes fiscales pétrolières, à 1.179 MDA, à fin mai 2018 contre 955,4 MDA, à fin mai 2017. Cette hausse de la fiscalité pétrolière, conjuguée à l’augmentation des recettes non fiscales (dont notamment les dividendes versés par la Banque d’Algérie) qui sont passées de 919 MDA, à fin 2017, à 1.000 MDA, à fin mai 2018, a porté les recettes budgétaires totales à 3.426,6 MDA, à fin mai 2018, contre 3.171,3 MDA à fin mai 2017.

Cependant, la hausse substantielle des dépenses totales, qui ont atteint 4.079 MDA, à fin mai 2018, (contre 3.222,5 MDA, à fin mai 2017), a abouti à un « creusement du déficit budgétaire » qui a atteint 652,4 MDA, à fin mai 2018, contre 151,2 MDA à fin mai 2017. Selon la Banque d’Algérie, la « forte hausse » des dépenses budgétaires totales est liée, pour l’essentiel, à celle des opérations en capital (dotations des Comptes d’affectation spéciale, bonifications des taux d’intérêt, règlement des créances sur l’Etat et contribution du budget de l’Etat au profit de la CNAS), et beaucoup moins aux dépenses d’investissement de l’Etat.

Quant à l’encours du financement non conventionnel du Trésor par la Banque d’Algérie, il est demeuré, à fin juin 2018, identique à celui de fin mars 2018, soit 3.585 MDA.

The post Les crédits accordés aux ménages et entreprises privées en baisse appeared first on .

Categories: Afrique

Année record pour les exportations hors hydrocarbures

Tue, 10/09/2018 - 11:54

Les exportations hors hydrocarbures de l’Algérie sont dans une phase « ascendante ». Elles ont atteint le seuil des 2 milliards de dollars, « une année record », durant les huit premiers mois de 2018.  Elles pourraient, même, se situer à 3 milliards de dollars, à la fin de cette année, estime le directeur général de l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (ALGEX), M. Chetti Chafik qui était, lundi matin, L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne.

M. Chetti explique ce résultat « par quelque chose qui a bougé », notant que pour ce qui concerne la structure des exportations, la part des dérivés d’hydrocarbures qui était de 80% auparavant, a baissé  à 60%. Le reste étant constitué de produits industriels et agricoles frais placés sur des marchés en l’Europe, en l’Afrique et au Proche et Moyen Orient.

Par ailleurs, le DG d’ALGEX a annoncé la finalisation, en cours, d’une étude sur les coûts de transport entre les ministères du Commerces et des Transports, devant aboutir à une décision de prise en charge d’une partie de ce coût de transport à l’exportation. Une mesure qui sera supporté par le Fond spécial pour la promotion des exportations (FSPE) et qui s’ajoutera aux autres facilitations déjà en vigueur.

The post Année record pour les exportations hors hydrocarbures appeared first on .

Categories: Afrique

Commune d’Oran: 14,5 milliards de cts pour les cantines scolaires

Tue, 10/09/2018 - 11:29

D. B.

L’exécutif communal de l’APC d’Oran a approuvé hier l’enveloppe dégagée par la commune pour les cantines scolaires, a-t-on appris hier de sources proches de l’APC. Nos interlocuteurs indiquent qu’une enveloppe de 14,5 milliards de centimes a été débloquée pour la prise en charge des enfants démunis au niveau des cantines scolaires de la commune d’Oran. Même si le réseau des cantines scolaires s’est densifié ces dernières années, les parents d’élèves et les élus des différentes commissions de l’APC et de l’APW ont maintes fois critiqué la situation dans les restos des établissements scolaires. Un nombre important d’élèves des écoles primaires ne bénéficie pas encore de repas, faute de structures de restauration, alors que d’autres se contentent de repas froid. Dans d’autres cas les repas offerts, à titre gracieux, sont de piètre qualité et souvent préparés sans respect des conditions d’hygiène par des femmes de ménage, faute de personnel spécialisé.

Pour faire face à cette situation et dans une première opération du genre, près de mille agents représentant huit catégories entre gestionnaire de restaurant, chef cuisinier, cuisinier, assistant cuisinier, serveur, agent de nettoiement, agent de cuisine, plongeur en cuisine… sont formés par la direction de la formation professionnelle d’Oran, selon M. Bouzid El Aid, chef de service du partenariat et de la formation continue. « Cette action entre dans le cadre d’une convention entre la direction de la formation professionnelle et les collectivités locales. La formation qui s’étale entre 15 jours et deux mois, selon chaque catégorie, touchera les 26 communes de la wilaya. 10 centres de formation ont été ouverts pour concrétiser ce programme », a tenu à souligner M. Dahor, cadre du service de la formation auprès de la direction de la formation professionnelle.

Depuis janvier 2017, la gestion des cantines scolaires est revenue aux APC après une période où elle fut assurée par le secteur de l’éducation nationale au même titre que les chauffages qui sont gérés par les communes. Face aux critiques des médias et à l’irresponsabilité de certains élus locaux, le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire a donné de fermes instructions. Il a sommé ses cadres de réunir toutes les conditions pour la prise en charge efficace des élèves du cycle primaire, notamment celles liées à leur confort (restauration, chauffage). A Oran, près 107.000 élèves touts cycles confondus bénéficient de la restauration scolaire au niveau des cantines scolaires. Le nombre de structures de restauration est de 331 dont 253 dans le primaire, 42 dans le moyen et 36 dans le secondaire.

The post Commune d’Oran: 14,5 milliards de cts pour les cantines scolaires appeared first on .

Categories: Afrique

Ecoles de formation: Remise en cause de la qualité de l’enseignement

Tue, 10/09/2018 - 11:16

Écrit par Bouzid Chalabi

On assiste, ces dernières années, à l’ouverture de nombreuses écoles privées de formation, dont plusieurs se disent spécialisées dans des métiers d’avenir. Mais sont-elles pour autant compétentes en la matière pour assurer une formation de qualité ? Une question qui a fait le tour de table hier lors du rendez-vous qu’organise périodiquement le Cercle d’action et de réflexion autour de l’entreprise, « les matinales du Care».

Selon des intervenants, ce foisonnement d’écoles peut s’expliquer par le fait que de nombreux concitoyens se sont mis dans l’idée que c’est un créneau juteux, autrement dit une source de gain appréciable et, de surcroit, sans grand investissement.
« Pis, c’est la course à qui innovera en lançant des formations inédites mais il faut dire qu’entre avoir des connaissances et former, ce sont deux choses différentes », a indiqué Ahmed Rameze Belmehdi, consultant en formation et patron d’une société d’audit dans son corps de métier.
Ce dernier a par ailleurs tenu à faire remarquer que les enseignants de ces écoles sont des universitaires qui donnent des cours théoriques parfois en totale contradiction avec la formation des élèves.
Comme il a ajouté que « les enseignants ne sont là que pour arrondir leurs fins de mois sans pour autant que cela dérange le patron de l’école, c’est comme s’il existait un contrat tacite entre ces derniers et leur enseignant, tout cela au détriment de la qualité ». M. Belmehdi n’a pas caché son indignation quant au fait que cette situation perdure : « Il faudra y mettre un terme si l’on veut que ces écoles assurent des formations de qualité ». Une intervenante et non moins experte en formation ne s’est pas empêchée de dire qu’»il faut que les écoles de formation soient soumises à une obligation de compétence et non de chercher à savoir si leur patron est propriétaire ou locataire des lieux comme j’ai pu le constater à la lecture des dossiers d’agrément alors qu’il faut surtout exiger à la future école de prouver que l’enseignement qu’elle va assurer est conforme et de qualité ». Il est clair que cette condition est indispensable si l’on veut que les inscrits dans les écoles de formation en aient pour leur argent. C’est le rôle du ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels.
Notons que cette matinale du Care a été rehaussée par la présence d’experts internationaux dans le domaine de l’employabilité.
Et sur ce thème, tout un chacun de ces derniers a mis en exergue son point de vue. Mais ils sont d’avis que pour améliorer l’employabilité des jeunes diplômés universitaires, c’est à l’université d’opérer une mutation massive et rapide de ses pratiques et de ses orientations traditionnelles, fondées sur une culture du savoir et de la connaissance.
C’est d’ailleurs ce qu’a soulevé Fréderic Calas, coordinateur du Programme d’Appui adéquation formation-Emploi-qualification (AFEQ) non sans estimer : « On ne peut pas changer de système en conservant les mêmes méthodes pédagogiques». De son côté, Lucien Descoffres, directeur des études au Collectif d’Initiation à des Activité en recherche appliquée (Ciara) rappellera que « l’université a pour vocation première l’innovation et le savoir, donc c’est à elle de répondre aux aspirations des jeunes citoyens diplômés à construire un projet d’avenir en bénéficiant d’une formation supérieure de qualité qui leur procure les qualifications nécessaires à une bonne intégration dans le marché du travail».
En clair, orienter progressivement l’étudiant en fonction de son projet professionnel ou personnel par un système de passerelles entre différents parcours ».
Notons enfin que les débats autour de l’employabilité ont surtout tourné sur la question de la formation universitaire et le concept d’entrepreneuriat. Aux yeux de certains intervenants, il faudra se diriger vers une adéquation des besoins d’entreprises et l’amélioration des compétences. C’est d’autant plus nécessaire car, d’après un intervenant, « il faut arriver à canaliser les besoins des entreprises ». En somme, de mettre en place des passerelles entre l’université et l’entreprise. C’est là tout l’enjeu si l’on veut dynamiser l’économie du pays qui en a grandement besoin.

The post Ecoles de formation: Remise en cause de la qualité de l’enseignement appeared first on .

Categories: Afrique

Salon professionnel international de l’industrie: Les importateurs en force, les producteurs à la peine

Tue, 10/09/2018 - 11:09

Écrit par Fazil Asmar

Le développement industriel comme alternative aux hydrocarbures, ce n’est pas pour demain ! Pour le constater, il suffit de faire le tour des stands du douzième Salon professionnel international de l’industrie, qui se tient, depuis dimanche passé, au Palais des expositions, la Safex. La plupart des stands sont occupés par des importateurs à l’affût d’acheteurs, de visiteurs professionnels qui, bizarrement, sont peu nombreux au deuxième jour de cette édition.

Le Salon, qui affiche, en effet, de grandes ambitions pour la promotion de l’industrie nationale, est pratiquement vide, marqué seulement par le va-et-vient des exposants. En plus des importateurs, les participants étrangers font également de l’ombre aux industriels nationaux. Les Chinois notamment, considérés comme des concurrents redoutables dans ce domaine. Le but pourtant de ce Salon est de développer le tissu industriel en Algérie. Voir, inciter nos entreprises, les PME notamment, à aller vers l’export. Or, les participants semblent plus portés vers la vente de produits importés que par ceux fabriqués en Algérie. Le secteur automobile, en pleine croissance en Algérie, est quasiment absent à cette édition.

C’est le secteur, pourtant, sur lequel on mise pour hisser la sous-traitance industrielle. Devant les grosses machines de haute technologique, engins et autres appareils industriels sophistiqués, importés et qui trônent au centre des stands ou bien dans la cour centrale de la Safex, nos entreprises, avec leurs articles de fixation, ne font pas le poids. Les quelques groupes industriels publics participant à ce Salon, mis à part quelques-uns comme GICA, et les producteurs nationaux privés auront du mal à percer dans un environnement dominé par des distributeurs locaux de marques internationales. Par ailleurs, rares sont les entreprises de production locales qui proposent autres chose que les articles de fixations. Celles qui font autre chose que des boulons, en outre, mettent sur le marché des produits dont les composants principaux sont importés, avec des taux d’intégration encore en deçà des attentes.
C’est dire qu’entre les discours et la réalité, il y a encore un fossé.

The post Salon professionnel international de l’industrie: Les importateurs en force, les producteurs à la peine appeared first on .

Categories: Afrique

Médecins résidents et candidats au mastère: Double protesta devant le ministère de l’Enseignement supérieur

Tue, 10/09/2018 - 11:04

Écrit par Samira Dekkiche

Le siège du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a été le théâtre, hier matin, d’une double protestation menée, d’un côté, par les médecins résidents et, de l’autre, par des candidats au mastère. Concernant les médecins résidents, le ministère a décidé de recevoir trois délégués du Camra pour discuter de l’objet de leur mouvement de rue : l’organisation d’une session de rattrapage pour plus de 800 recalés, lors de la dernière session, en juillet.

«Nous avons le droit de passer une session de rattrapage», dira l’un des médecins résidents rencontrés sur les lieux, non sans avertir que le système de santé va connaître un manque flagrant de spécialistes pour cette année. En tête de ces spécialités, la gynécologie et la pédiatrie ainsi que la réanimation. Selon ses dires, il y a un déficit de «120 gynécologues, 120 pédiatres et plus d’une centaine de réanimateurs».
«Ce sont des spécialités sensibles et demandées dans les services», insiste-t-il. Sur place, une dizaines de médecins résidents se sont déplacés pour réclamer leurs droits.
Rappelant que le Camra a appelé tous les résidents à manifester pour soutenir leurs confrères recalés. Il y a lieu de souligner que le mouvement n’arrive plus à remobiliser ces jeunes médecins, qui ont choisi de continuer leur année universitaire et de rattraper les cours perdus après une grève de plus de huit mois, sans avoir obtenu gain de cause.

Plateforme pour  le mastère : nouveau casse-tête du ministère
D’autre part, et portant leurs propres revendications, des centaines de candidats en mastère, toutes spécialités confondues, se sont réunis devant le MESRS pour réclamer la régularisation de leur situation.
Certains d’entre eux n’arrivent pas à accéder à la plateforme pour savoir s’ils sont retenus ou pas, d’autres veulent faire des recours parce qu’ils n’ont pas été retenus ou que le résultat ne correspond pas à leur spécialité, alors que certains n’arrivent pas à imprimer la feuille d’inscription à déposer à l’université. Ces étudiants se sont retrouvés perdus entre leur établissement et le ministère. «A la fac, on nous demande de nous adresser au ministère, et au ministère on nous demande de nous adresser à la fac», s’est indignée une étudiante à l’USTHB, qui n’arrive pas à accéder à la plateforme numérique d’inscription. «Certains ont commencé les cours et nous, on n’est même pas inscrits», ajoute-t-elle. Pour essayer de désamorcer cette crise, un représentant du ministère a reçu ces étudiants, dans un amphithéâtre de la faculté de sciences politiques.
Il leur a expliqué que cette plateforme est une nouvelle expérience pour l’Université algérienne. Son but est d’instaurer la décentralisation de cette opération, ce qui va garantir, selon lui, l’indépendance des établissements dans l’étude des dossiers. Le représentant a avoué qu’il y a eu un dysfonctionnement à cause de la charge sur le site. Il a avancé que
173 000 candidatures ont été reçues dans 1 200 spécialités et plus de 70% des licenciés sont retenus en mastère. Le responsable a insisté sur le fait que la solution à cette situation ne se trouve pas au ministère mais au niveau des établissements, assurant que les dossiers seront traités à leurs niveaux par des comités pédagogiques. Concernant le dernier délai des inscriptions, prévu le 14 octobre, le responsable a affirmé que tous les recteurs seront notifiés à l’effet de ne pas fixer de date butoir jusqu’à la régularisation de tous les dossiers et l’affichage de tous les résultats. Enfin, il a assuré que tous les recours seront étudiés par les établissements.

The post Médecins résidents et candidats au mastère: Double protesta devant le ministère de l’Enseignement supérieur appeared first on .

Categories: Afrique

Renouvellement des instances syndicales du complexe sidérurgique d’El Hadjar: La commission de candidatures installée hier

Tue, 10/09/2018 - 11:04

Écrit par M. RAHMANI

La commission des candidatures pour le renouvellement des instances syndicales au niveau du complexe sidérurgique d’El Hadjar (Annaba) a été installée, hier, par Friteh Kamel, secrétaire général de l’Union de wilaya UGTA.

Les prétendants à la représentation syndicale sont nombreux dans la trentaine d’unités employant quelque 4 200 travailleurs et cadres du complexe, chacun aspirant à cette fonction élective. Les élections auront lieu quelques jours après la clôture de la période des candidatures prévue le 15 octobre courant.
Au niveau des ateliers et des unités, on commence déjà à faire la promotion de tel ou tel candidat, louant sa probité, son honnêteté et son sens du devoir, ainsi que son engagement pour la défense des droits des travailleurs. «C’est de bonne guerre, nous lance un candidat travaillant à la PMA, chacun utilise ses moyens et ses relations pour se faire élire et c’est normal. Moi, au moins, je ne dénigre personne, je me défends sans plus et je me fais aider par mes collègues et amis.» Cependant, certains ne sont pas contents de la tournure qu’ont pris les événements et craignent fort que le processus engagé pour le renouvellement du syndicat d’entreprise n’aille pas jusqu’au bout. La raison avancée est que l’union locale UGTA d’El Hadjar, responsable syndicale hiérarchique directe et censée chapeauter ces élections, n’a pas été invitée à cette installation.

Ce qui a encore ajouté à ce climat tendu est que les anciens syndicalistes déchus ont été, pour la plupart d’entre eux, mutés de leurs unités pour être affectés dans d’autres, et ce, en contradiction avec le règlement intérieur qui stipule qu’aucune mutation ou sanction ne peut être prise contre un ancien syndicaliste pendant l’année qui suit la fin de son mandat. «J’ai été affecté à un autre poste. On m’a convoqué avant-hier au bureau de recrutement pour m’informer que je ne fais plus partie du personnel de mon unité et que je serai affecté à un autre poste. On me laisse traîner le temps des élections. Tout cela pour m’empêcher de me représenter. La direction veut un syndicat sur mesure pour en faire ce qu’elle veut. Mais je pense que les travailleurs ne vont pas marcher, ces élections sont vouées à l’échec», nous a confié hier un ancien syndicaliste

The post Renouvellement des instances syndicales du complexe sidérurgique d’El Hadjar: La commission de candidatures installée hier appeared first on .

Categories: Afrique

Djahida Houadef, artiste peintre: «Accrocher le regard des autres et provoquer des sensations restent ma priorité»

Tue, 10/09/2018 - 10:53

Écrit par Nordine Azzouz

L’artiste peintre Djahida Houadef poursuit depuis peu de temps une expérience intéressante qui consiste à faire usage des réseaux sociaux pour prolonger, non sans une approche ludique, le travail plus sérieux qu’elle accomplit dans son atelier. Clichés de paysages, photos de voyages, impressions où se mêlent la couleur, la lettre et le signe pictural, tout y passe et ses « post » sur Instagram en particulier s’avèrent être une réflexion sur ce que peut être un artiste quand il est au repos ou quand il musarde hors des lieux d’exposition, sur le passage du temps et des objets… Entretien.

Reporters : Vous êtes de plus en plus présente sur les réseaux sociaux. Pourquoi ce choix pour le moins étonnant pour une artiste plasticienne comme vous ?
Djahida Houadef : Je me suis inscrite aux réseaux sociaux sous l’insistance d’amis depuis presque quatre ans maintenant. Et depuis, j’ai bien compris l’impact de ce précieux support de communication. Les réseaux sociaux font un travail miraculeux dans la transmission de l’information, de l’émetteur au récepteur, l’action prend à peine le temps d’un battement de cils. Non seulement, on peut gagner du temps, mais aussi on peut transpercer les géographies et atteindre le monde. Cette technologie ne peut être qu’une aubaine pour les bûcheurs, et surtout pour ceux qui ont une tâche immatérielle qui ne nourrit pas son homme, mais qui reste noble par sa vertu. C’est un excellent moyen pour renforcer la notoriété, la réjouir dans son quotidien, lui donner le souffle et la force pour continuer sa quête de l’avenir. Les réseaux sociaux sont ce terrain fertile où on peut facilement semer nos graines, les oublier tout en restant à l’écoute, et voir, à court, moyen et long termes les repousses qu’il nous offre. Et, bien entendu, on ne récolte que ce qu’on sème !

On remarque que vous utilisez surtout Instagram. Y a-t-il une véritable visibilité sur ce réseau ?

Instragram est spécialisé beaucoup plus dans la publication d’images, et ça, c’est un lien commun avec les arts plastiques. Il pourra être un support efficace pour le visuel. C’est l’image qui s’exprime, elle remplace le mot, le concept lui donne une dimension assez spéciale par sa présentation, des techniques prêtes à l’emploi lui donnent un visage différent, rehaussé avec des disponibilités d’outils, comme les tonalités, les traitements de la couleur et les effets qui renforcent ainsi son langage. Une sorte de nouvelle lecture qui transforme la réalité totalement et lui propose une part importante pour accéder à une image séductrice nivelée au rang du beau et du rêve. Une manière généreuse de s’en servir, nourrir les sensations et les esprits des abonnés. Son utilisation peut arriver même à influer inconsciemment sur les comportements réels. Ceci dit, toutes ces possibilités restent juste une morphologie superficielle en rapport avec la profondeur des valeurs d’un professionnel et d’un passionné en quête d’images. En tout cas, pour ceux qui savent lire entre les lignes, ils sont bien servis.
Personnellement, je n’ai pas de préférence entre ces réseaux, mais j’ai constaté effectivement que sur Instragram mon travail est regardé surtout par les artistes et les professionnels de l’art. J’imagine que le Hashtag y est pour quelque chose, vu qu’il identifie l’objectif à viser. C’est ainsi que les publications se spécialisent quelque part et drainent certainement les férus.

Qui suit vos publications sur ce réseau ? Est-ce votre public, celui qui connaît votre travail de création, ou est-ce un autre ? Quelle réaction cela suscite chez vous ?

Ce qui est intéressant dans ces réseaux sociaux, c’est leur diversité. On trouve différentes catégories de personnes, des métiers variés, des passionnés, des amateurs, des professionnels, une grande panoplie de choix pour prospérer les affinités. Leur conception est étudiée de façon minutieuse et raffinée pour tisser les liens selon les intérêts ; un système autour duquel tout se met en place et s’organise en communauté, comme une ruche. Quand j’ai atterri sur ces réseaux, j’étais déjà faite et formée depuis plus de trente ans, je suis arrivée donc avec des données qui représentent mon réseau palpable et qui a contribué largement à la diffusion de la matière existante.

Dès que je me suis imprégnée de son fonctionnement, j’étais agréablement surprise du constat. Une transmission rampe silencieusement sur le chemin espéré et le bouche-à-oreille continue à franchir les frontières du virtuel. Il faut dire aussi que l’image de mon œuvre est omniprésente et ne les quitte pas des yeux !

En étant présente sur les réseaux sociaux, y a-t-il chez vous la même ambition et la même prétention artistiques et esthétiques que quand vous faites des expositions ?

Toutes les sciences du monde, même les plus avancées, ne sauront vaincre le naturel, le palpable, la réalité et la loi de la vie. Le goût de ces derniers est irremplaçable. De leurs sèves elles-mêmes naîtront les sciences et les nouvelles technologies. Malheureusement, très souvent, on oublie les origines du monde et on s’affronte au paradoxe de la question subtile qui restera toujours dans l’air, celle de savoir « qui est né en premier, la poule ou l’œuf » !

A regarder ce que vous publiez, la photo a tendance à prendre une place importante. Est-ce une expression artistique que vous voulez exploiter davantage ou est-ce uniquement par désir de témoigner d’un instant de vie ?

J’ai commencé à pratiquer la photographie artistique depuis peu de temps, depuis que j’ai enfin acquis mon appareil photo professionnel. Je fais des photos tout en restant dans la timidité, bien que l’essentiel est acquis, l’art et la manière sont là pour relever la fibre artistique acquise depuis de longues dates, mais je dois la pratiquer davantage pour comprendre mieux mon appareil et profiter de toutes les possibilités techniques qu’il m’offre, afin d’aller au-delà de mes attentes, me surprendre et arriver à de meilleurs résultats.
Accrocher le regard des autres et provoquer des sensations restent ma priorité. J’espère seulement trouver des opportunités pour confronter mon travail à des professionnels confirmés et prendre la température de mes productions photographiques. Il faut reconnaître aussi que la photographie complète mon travail en peinture, l’enrichit en lui offrant des choix avec les possibilités des thèmes, des graphiques, des techniques et des médiums.

Sur ces photos, il y a un intérêt manifeste pour les Aurès et pour le voyage à l’intérieur du pays, n’est-ce pas ?

Ce qui me passionne dans la photographie, c’est de prendre tout le temps nécessaire, pour contempler la vie autour de moi et de s’arrêter sur tous ses détails, m’imprégner de tout et de rien, enrichir mon être de toutes les émotions que se dégagent de cette vie. Il y a des choses qui m’interpellent, d’autres pas, ou peut-être pas à ce moment-là. Je retiens le quotidien des gens, leur comportement et leurs mentalités, les idées qui flottent dans l’air. Les images qui se dégagent de tout un chacun, son expression, le miroitement de tous ces sens. La créativité et le savoir-faire que chaque personne soigne au moindre détail pour exprimer sa façon d’être, exprimer son corps et ses habits. Prouver le besoin d’aller à la découverte des lieux, de la tradition, de l’histoire, de notre patrimoine matériel et immatériel.
Après toutes ces années noires passées dans la peur et dans la séquestration, je ne peux que me réconcilier avec les paysages de mon pays, mon engouement s’agrandit de jour en jour pour aller à nouveau à la redécouverte des richesses de mon beau pays. Mes réalisations sont justement une renaissance née de cette organisation qui se tisse dans les réseaux sociaux pour faire des sorties touristiques et culturelles organisées en groupe.

Vous n’hésitez pas non plus à vous exposer vous-même… Pourquoi ?

Cette ère est celle de l’image qui se multiplie à la vitesse de la lumière. De cette effervescence, la tension risquerait de créer des failles et des abus. L’image peut plaire ou déplaire, surtout si elle est utilisée dans un mauvais sens pour nuire l’autre, les exemples ne manquent pas de ceux qui demandent réparation des droits. Malheureusement, parfois, les interdits répriment les témoignages et laisse l’histoire handicapée, sans ses membres pour animer son évolution.
Respecter les territoires des individus et leurs libertés est ma conviction première. Donc pour ne pas heurter la sensibilité des uns et des autres, à défaut de modèle, effectivement, je recours à mon corps pour m’exprimer.

Vous continuerez pendant longtemps à être présente sur les réseaux sociaux ?

Pourquoi condamner un système qui marche, certes, son utilisation consomme du temps et c’est pour cela qu’il serait conseillé de limiter son utilisation ; la modération est de mise !
Je continuerai à y être jusqu’à une nouvelle invention qui marchera mieux que la précédente. Ne faut-il pas suivre son temps ?

Sur quoi travaillez-vous actuellement et à quand la prochaine exposition ?

Actuellement, j’ai choisi de remonter le temps, revisiter la représentation d’animaux, de la préhistoire jusqu’à nos jours. L’art animalier a toujours inspiré les artistes et mon travail consiste à mettre en avant la singularité des animaux qui apparaît au travers de la beauté fascinante qu’ils dégagent. Il relève aussi cette fusion des paradoxes qui interpelle tant, entre la force et la douceur, le mal et le bien, la laideur et la beauté.

Cela vous dirait de faire une exposition sur le thème des réseaux sociaux ? Ce serait comment ?

Pourquoi pas ! Dans ce cas, mon thème sera le vrai du faux, la réalité du virtuel, ou peut-être, je m’inspirais de Charlie Chaplin dans les temps modernes…

The post Djahida Houadef, artiste peintre: «Accrocher le regard des autres et provoquer des sensations restent ma priorité» appeared first on .

Categories: Afrique

Le président de la FAF accuse le DTN démissionnaire de tromper l’opinion publique: Zetchi-Saâdane la vérité si je mens

Tue, 10/09/2018 - 10:50

Écrit par Mohamed Touileb

Rabah Saâdane, désormais ancien directeur technique (DTN) de la sélection d’Algérie, a livré ses vérités en ce qui concerne sa démission du poste. De son côté, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Kheireddine Zetchi, a donné, dimanche à partir de Tlemcen, des contre-vérités à charge pour l’ancien sélectionneur des Verts qui ne seraient que «mensonges». C’est le grand déballage.

Le visa non-délivré, le remplacement par Bouras, entraîneur des gardiens de l’EN, au Congrès de la FIFA à Londres ainsi que l’interdiction d’accès au restaurant du Centre technique national (CTN) pour déjeuner avec les Fennecs de Belmadi, Zetchi a répondu à toutes les accusations.
Tout d’abord, le patron de la FAF a dit être «très surpris de la démission de Saâdane et très déçu par son comportement» notant que «jusqu’à sa démission, tout s’était bien passé. Il n’y a jamais eu de différend, mis à part sur des orientations purement stratégiques. Notre relation était bonne. Je suis déçu parce que la forme n’a pas été respectée. Il est venu déposer sa démission à la FAF alors que j’étais absent. Il aurait dû attendre mon retour. On aurait pu en discuter et libre à lui de démissionner par la suite.» Pour le successeur de Mohamed Raouraoua, Saâdane «a inventé toute une histoire pour se donner une certaine crédibilité. Franchement, je ne comprends pas pourquoi il a usé de tous ces mensonges.»

Manque d’assiduité  du «Cheikh»
Zetchi ne s’est pas arrêté. Pour accabler le technicien de 72 ans, il a sorti le carnet de présences pour montrer que le démissionnaire n’était pas fidèle à son poste. «Il faut que vous sachiez que Rabah Saâdane a été installé le 15 octobre 2017 et a démissionné le 3 octobre dernier. Durant cette période, nous avons tenu 12 réunions du Bureau fédéral. Sur les 12 réunions, il n’a assisté qu’à 6 seulement. Ameur Chafik et Abdelkrim Benaouda l’ont remplacé. Il a été absent donc 50 % du temps. J’estime que nous sommes une équipe. Que son adjoint le remplace, on n’y a pas trouvé d’inconvénient et cela pour vous dire à quel point on a été souple avec lui. On n’a pas crié cela sur tous les toits alors que j’aurais pu exiger sa présence», a-t-il révélé.
Pire encore, il notera aussi que «que toutes les réunions tenues par la DTN avec le ministère de la Jeunesse et des Sports dans le cadre de la préparation des Jeux méditerranéens de Tarragone se sont déroulées en l’absence de Saâdane alors qu’il devait être obligatoirement présent. Il avait laissé le soin à Benaouda de le représenter.» Les absents ont toujours tort.

Précisions sur  l’épisode du visa
Par ailleurs, le premier responsable du football algérien a parlé de la non-attribution du visa qui a empêché Saâdane d’assister à la conférence de la FIFA. Un motif sur lequel l’ancien driver de l’EN s’est basé pour justifier son départ de la DTN. «La raison essentielle qu’il a avancée, c’est qu’il a été poignardé dans le dos et remplacé par Bouras à cette conférence de la FIFA tenue à Londres. Il faut que tout le monde sache que l’invitation envoyée par la FIFA aux DTN et aux sélectionneurs nationaux est nominative et personnelle. On ne peut pas les remplacer», a précisé Zetchi non sans noter que «Bouras est parti le 20 septembre en compagnie de Belmadi à Londres, pour superviser le joueur Saïd Benrahma qui a joué le lendemain, c’est-à-dire le 21 septembre. Par la suite, Belmadi a demandé au SG de la FAF qu’on fasse une accréditation à Bouras pour qu’il puisse assister à cette conférence. Nous avons fait cela et la FIFA a répondu positivement à notre demande, sauf qu’elle a précisé qu’elle ne prenait pas prendre en charge les frais d’hébergement de Bouras. Comment Saâdane peut-il dire qu’on l’a remplacé ? C’est un mensonge !» Zetchi n’a pas trop apprécié l’attitude de Saâdane qui en a fait tout un tas à son goût. «Le DTN de la Tunisie n’a pas obtenu son visa et n’a pas participé à cette conférence, mais est-ce qu’il est passé sur toutes les télévisions pour s’en plaindre et démissionner ensuite pour si peu ? La réponse est non», c’est le parallèle établi par l’ancien chairman du Paradou AC. Cinglant !

On ne mange plus  à la même table
Autre motif avancé par Saâdane, le fait d’avoir été empêché de manger à la même table que Djamel Belmadi, actuel sélectionneur d’«El-Khadra», et ses joueurs lors du regroupement de septembre.
«C’est un argument farfelu. Comment peut-on lui interdire l’accès au restaurant ? C’est impossible et imaginaire.
Ce n’est pas crédible ce qu’il dit», réagit Zetchi. Le «Cheikh» a, de manière sibylline, mêlé Belmadi à cette affaire. Le boss de la FAF a, logiquement, pris la défense de l’entraîneur du Club Algérie. «J’ai rencontré Belmadi hier (samedi, ndlr). Vous savez, c’est quelqu’un de très posé. Il a pris beaucoup de recul par rapport à tout ça. Il est totalement concentré sur le stage qui va débuter lundi. Mais c’est clair quand on voit une personne se comporter comme ça on ne peut être que déçu», a-t-il déclaré «Je crois que Saâdane était là depuis 12 mois. Belmadi est arrivé il y a deux mois seulement, a rappelé Zetchi. Donc, j’ai accompagné le DTN durant 10 mois, c’est suffisant, non ? Après, je ne suis pas une nurserie, je ne suis pas un baby-sitter pour que chaque matin je passe le voir. Une fois que les projets ont été établis, je ne suis pas obligé de passer tous les jours au niveau de la DTN.» La cassure est définitive.

Une dernière  couche au ripolin
En consommant un deuxième DTN en l’espace d’une année et demie, Zetchi se met dans une position bien inconfortable. Lui qui a fait de la formation une priorité pour relancer la balle ronde Dz. Aux dernières nouvelles, ils comptent engager des techniciens espagnols pour mener à bien ce projet qui accuse un énorme retard déjà. Pour ce qui est du remplaçant de Saâdane, il dira : «il ne faut pas se presser pour citer des noms pour le remplacer. Nous allons nommer Ameur Chafik comme DTN intérimaire durant une période puis après on va réfléchir tranquillement sur le nom qu’on va ramener. Nous avons au sein de la DTN des gens compétents.»
Au président de l’instance fédérale d’asséner qu’«il ne faut pas avoir peur de dire qu’on n’a pas de formateurs spécialisés dans la formation des jeunes talents au plus haut niveau. On doit par conséquent former nos formateurs d’abord. Le département de formation au niveau de la DTN met en place un programme spécifique pour cela. On va de ce fait faire appel à des compétences étrangères pour venir nous apporter leurs savoir et expérience.» Le label «Algérie» de la sélection était éphémère. Zetchi a fini par se rendre à l’évidence et au constat établi par son prédécesseur. Plus que faire du sur-place, on a reculé et perdu du temps.

Zetchi en vrac

– Problème d’arbitrage en championnat : «On est habitués maintenant depuis 15 ans, à chaque saison, des accusations sont portées à tort et à travers à l’encontre des arbitres. On continuera à défendre le corps arbitral, mais cela ne veut pas dire qu’on ne va pas sévir et sanctionner certaines erreurs. Depuis notre prise de fonction, nous avons réduit quand même ces erreurs. Il y en a qui sont impardonnables et sur ça, on ne va pas se taire. Nous sommes en train de combattre ces problèmes, mais je demande aussi aux dirigeants de club de mesurer leurs propos aussi. Sachez que les sanctions seront de plus en plus sévères, même si on doit continuer le championnat avec de jeunes arbitres. Des erreurs impardonnables comme on l’a vu depuis l’entame de la saison doivent cesser. Si on doit faire arrêter la carrière d’un arbitre, on le fera.»

– Accusations de Zerouati : «Concernant les accusations portées à mon encontre par Zerouati, je n’ai pas voulu réagir parce que tout simplement, j’ai pris les dispositions réglementaires nécessaires. La commission de discipline a été saisie ainsi que la commission de l’éthique, mais aussi la justice. Qu’il vienne alors présenter les preuves de ce qu’il a avancé. Je ne veux pas trop polémiquer à ce sujet. Je fais confiance à la justice algérienne. Laissons-là faire son travail.»

– Clubs – formation : «Les clubs ont bénéficié de terrains d’assiette de la part de l’Etat d’une superficie de 3 hectares, voire plus. Dans un premier temps, l’Etat devait financer la construction de ces centres d’entraînement dans l’ordre de 80%, mais au final, il s’est rétracté. C’est aux clubs de les construire désormais. Jusqu’à aujourd’hui, aucun club justement ne s’est lancé dans la construction de ces centres. La question reste posée : pourquoi ? C’est à eux de trouver les moyens de financement possibles.»

– Organisation du CHAN 2022 : «C’est un énorme atout qu’on a réussi à avoir. Certaines personnes malintentionnées veulent nous nuire malgré tout en disant que l’Etat va dépenser beaucoup d’argent en raison de l’organisation de ce CHAN, Faux ! C’est la CAF qui va prendre en charge les dépenses. Il faut juste que nos infrastructures soient terminées. La CAF nous donnera entre 18 et 20 millions de dollars. Qu’on arrête de mentir à l’opinion publique.»

The post Le président de la FAF accuse le DTN démissionnaire de tromper l’opinion publique: Zetchi-Saâdane la vérité si je mens appeared first on .

Categories: Afrique

Aprés le choléra Le foudroyant virus du Nil menace l’Algérie !

Tue, 10/09/2018 - 10:48

L’Alerte vient d’être donnée par le ministère de la Santé.En effet, les zones frontalières est et sud sont particulièrement exposées auvirusdu Nil occidental

Le ministère appelle ses structures longeant les frontières tunisiennes,libyennes et maliennes, à alerter sur lamoindre apparition du symptômes de cevirus. Le département de la Santé instruitégalement ces structures, à envoyer deséchantillons de sang, notamment despotentiels malades vers l’Institut Pasteurd’Alger. Surtout que la Tunisie a déjà enregistréses premières victimes causées parcette maladie.Les wilayas concernées par cet avertissementsont : Tebessa, Souk Ahras, El Taref, Skikda, Guelma, Khenchela et également El ued, Illizi, Biskra et Adrar.avigilance a été demandée aux responsableses CHU de Annaba, Setif,onstantine, Batna, Bejaia, Alger et Oran. nfin, le ministère insiste pour que ces analysessoient menées en extrême urgence.

Qu’est-ce que le Virus du Nil occidental qui menace l’Algérie ?

Le virus du Nil occidental est un virus de la famille des flaviviridae et du genreFlavivirus (qui comprend également le virus de la fièvre jaune, le virus de la dengue, levirus de l’encéphalite de Saint Louiset levirus de l’encéphalite japonaise). On leretrouve à la fois, dans les régions tropicaleset les zones tempérées.Son nom vient du district de West Nile en Ouganda, où il a été isolé pour la premièrefois en 1937, chez une femme souffrantd’une forte fièvre. Il a ensuite été détectéchez des hommes, des oiseaux et des moustiquesen Égypte, dans les années 1950, et adepuis été retrouvé chez l’homme oul’animal,dans divers pays.

Il est désigné également,sous le nom de virus de Rabensburg.Il infecte principalement les oiseaux, maison a la preuve qu’il peut infecter, outre leshommes, les chevaux, les chiens, les chats, les chauves-souris, les tamias, les mouffettes, les écureuils et les lapins domestiques. La principale voie d’infection del’homme est la piqûre d’un moustique infecté. Les reconstructions d’image et lamicroscopie électronique révèlent un virionde 45−50 mm, recouvert d’une protéine desurface relativement lisse. Cette structure est similaire à celle du virus de ladengue,appartenant, comme lui, au genre desFlavivirus au sein de la famille desFlaviviridae. Le matériel génétique du virusdu Nil occidental est constitué d’un seul brind’ARN, à polarité positive, qui comprendentre 11,000 et 12,000 nucléotides. Sesgènes codent sept protéines non structurelleset trois protéines de structure.

Le brind’ARN est contenu dans une nucléocapside formée de fragments de protéines de 12 uma,la capside est contenue dans une membraneproduite par l’hôte et modifiée par deux glycoprotéinesvirales.Le virus du Nil occidental peut se manifesterde trois façons différentes, sur les humains.La première est une infection asymptomatique,chez la grande majorité de gens qui neprésentent aucun trouble apparent (80 % descas passent inaperçus), la seconde est undiscret syndrome fébrile, semblable àlagrippe, connu sous le nom de fièvre du Niloccidental, la troisième, enfin, est unemaladie neuroinvasive appelée méningiteou encéphalite du Nil occidental. Dans la seconde éventualité, l’épisodefébrile apparaît après une période d’incubationde 3 à 6 jours. Il se caractérise par lasurvenue, accompagnée de maux de tête et dedos, de frissons, de sueurs, de douleurs musculaires,d’un gonflement des ganglions ducou, d’une toux, et de symptômes respiratoires.

En plus de ce syndrome grippal, ilexiste parfois, une brève éruption cutanée,et certains patients présentent des symptômes gastro-intestinaux, avec des nausées,des vomissements, une perte d’appétit ou des douleurs abdominales, ainsique deladiarrhée. Tous les symptômes sontspontanément résolutifs en 7 à 10 jours, mais lafatigue peut se prolonger pendantplusieurssemaines, et les adénopathies persisterjusqu’à deux mois.L’encéphalite, qui est la forme la plus grave,se manifeste par des symptômes similaires aux précédents, mais aussi par une baisse dela vigilance, pouvant aller jusqu’à un étatcomateux. Les réflexes ostéo-tendineuxsont d’abord vifs, puis abolis. Il existe également,des troubles extrapyramidaux. Larécupération est marquée par une longuepériode de convalescence, avec une grande fatigue. La survenue de flambées récentes a conduit à une étude plus approfondie de la maladie, et d’autres formes, plus rares, ontété identifiées.

La moelle épinièrepeut êtreinfectée, avec apparition d’une myéliteantérieure, avec ou sans encéphalite. Uneassociation avec le syndrome de Guillain-Barré a été identifiée et parmi d’autres effetsrares, on a observé une choriorétinite multifocale(qui possède une spécificité à 100 %pour l’identification d’une infection par levirus du Nil occidental, chez les patientsatteints d’encéphalite), une hépatite, une myocardite, une néphrite, une pancréatite etune splénomégalie. Le virus est transmispar les moustiques vecteurs et, en particulier,les Culex qui sont les principaux vecteursdu virus du Nil occidental, lorsqu’ilspiquent les oiseaux et les infectent. Tous lesfacteurs favorisant la pullulation des moustiques(pluies abondantes, irrigation, températuresn plus élevées que la normale…), sont susceptibles d’augmenter l’incidence dela fièvre liée à ce virus, dans les secteurs géographiques où il circule.

Les principaux hôtes sont les oiseaux,qu’ils soient sauvages ou domestiques(canards, pigeons…), car ils jouent un rôlecrucial, dans la dissémination de ce virus.Les oiseaux migrateurs permettent notamment,le passage du virus de l’Afrique auxzones tempérées d’Europe et d’Asie, au printemps.Une fois arrivés, les moustiqueslocaux s’infectent, lorsqu’ils piquent cesoiseaux pour leur repas de sang, disséminant sur d’autres oiseaux sains le virus et perpétuant le cyclemoustiques/oiseaux,essentiel à la circulation du virus.Les oiseaux sont des hôtes amplificateurs,développant une charge virale suffisante,pour transmettre l’infection à d’autres moustiquespiqueurs qui vont infecter d’autresoiseaux (dans l’hémisphère ouest, le merle d’Amérique et la corneille d’Amérique,sontles porteurs les plus fréquents), ainsi que lesêtres humains. Les espèces de moustiquesinfectés varient, selon les zones géographiques,aux États-Unis, Culex pipiens (Estdes États-Unis), Culex tarsalis(Middle Ouestet Ouest) et Culex quinquefasciatus (Sud-Est), sont les principales sources de contamination.Les mammifères (bétail, chiens, chats, chevaux, humains…) sont, quant à eux, considérés comme des hôtes accidentelsdu virus.

Chez les mammifères, le virus ne se multiplie pas aussi facilement, (àsavoir qu’il ne développe pas une virémieélevée lors de l’infection), et on croit que lesmoustiques piquant les mammifères infectésn’ingèrent pas une quantité de virus suffisantepour être infectés, faisant des mammifèresce qu’on appelle une impasse pourl’infection.Un article paru en 2004, dansScience, a révélé que les moustiques Culexpipiens étaient répartis en deux populationsen Europe, une qui pique les oiseaux et unequi pique l’homme. En Amérique du Nord, 40% des Culex pipiens se sont révélés être deshybrides des deux types, ceux qui piquentles oiseaux et ceux qui piquent les humains,fournissant ainsi un vecteur pour le virus duNil occidental. Ce fait est censé fournir uneexplication des raisons pour lesquelles lamaladie du Nil occidental s’est propagéeplus rapidement en Amérique du Nord qu’enEurope. Toutefois, ces conclusions ont étécontestées. Le virus du Nil occidental peutêtre isolé, sur des échantillons prélevés àpartir de l’environnement sur des moustiquespiégés, de tests pratiqués sur des échantillons de sang prélevés sur desoiseaux sauvages, des chiens et des singessentinelles, ainsi que des tests sur le cerveau des oiseaux, trouvés morts par ifférents organismes de contrôle des animaux ou desparticuliers.

Les tests réalisés sur des moustiquesnécessitent l’utilisation deRT-PCR,pour amplifier les ARN viraux et montrer laprésence de virus dans les échantillons prélevés.Lorsqu’on utilise des sérums d’oiseauxsauvages et de poulets sentinelles, les échantillons doivent être testés, pour laprésence d’anticorps contre le virus du Niloccidental ou bien, par l’utilisation deméthodes d’immunohistochimie orEnzyme-Linked Immunosorbent Assay (ELISA). Après autopsie, les différents tissus desoiseaux morts sont testés, pour le virus, soit par RT-PCR, qui permet de d’amplifier etde détecter les ARN viraux, soit par immunohistochimie, qui permet de visualiser le virus qui se présente comme une tache brune
sur tissu, en raison d’une réaction du substratavec une enzyme.

Prévention individuelle

Au niveau individuel, les moyens de prévention traditionnels contre les moustiques sont efficaces : moustiquaire, insecticide et crème anti-moustique. Le port de vêtements couvrants protège également.Il est recommandé d’éviter tout contact àains nues, avec des animaux morts. En 2003 :. Une recherche faite aux États-Unis, sur les dons de 6,2 millions de donneurs de sang a permis de trouver 1.000 donneurspositifs, et deux cas probables detransmission d’encéphalite, liée à ce viruspar transfusion sanguine (0,00016 %).Depuis cette date, les banques de sang desÉtats-Unis dépistent systématiquement levirus chez les donneurs de sang. •

Une même étude, faite dans ledépartement du Varen France, a permis, sur un panel test de 200 donneurs de sang,demettre en évidence que deux d’entre eux avaient été en contact avec le virus (1 %). D’autres donneurs, ayant été au contact avec le virus, ont été trouvés en 2003 auxAntilles françaises, en Guyane et à LaRéunion. Par mesure de précaution, le National BloodService du Royaume-Uni effectue un test,pour rechercher cette maladie chez les donneursqui font un don, dans les 28 jours quisuivent un voyage, aux États-Unis ou au Canada, et entre les mois de mai et deseptembre,n’accepte plus aucun don de quelqu’un qui a visité ces deux pays au coursdes 28 jours précédents.

La Croix-Rouge suisse a également pris desmesures préventives : toute personne revenantdes zones où sévit le virus, dont lesÉtats-Unis, est sous le coup d’une interdictionde donner son sang, pour une période desix mois. L’Établissement français du sanginterdit également, le don de sang pendantune durée de 4 semaines, après un voyageaux États-Unis ou en zone où des cas humains ont été signalés.

Contrôle collectif

Les campagnes de désinsectisation, par voie aérienne, sont le seul moyen d’éliminer les moustiques et les larves sur degrandes surfaces dans les étangs et les marais, avec un effet démontré sur uneincidencemoindre de la maladie, sans effetnéfaste démontrée sur l’être humain.Le contrôle du virus est réalisé par la lutte contre les moustiques, parl’élimination desgîtes de larves de moustiques, lestraitements larvicides des zones de reproduction ctive et l’incitation à l’usage personneldespulsifs. Le public est également invité à passer moins de temps à l’extérieur, à porterdes vêtements longs couvrant, appliquer desproduits contenant du N,N-diéthyl-3- méthylbenzamide, et à faire en sorte que lesmoustiques ne puissent pas pénétrer dansles bâtiments.

Les écologistes ont condamné les tentatives de contrôle des moustiques vecteurs,par pulvérisation de pesticides, en disant queles effets néfastes théoriques de la pulvérisationsur la santé, l’emportent sur lenombre relativement peu nombreux de vies qui pourraient être sauvées, et qu’ilexistedes moyens de lutte contre les moustiques,plus respectueux de l’environnement. Ils s’interrogent également sur l’efficacité de lapulvérisation d’insecticides, carils pensent que les moustiques, qui sont au repos ou en vol au-dessus de la pulvérisation, neserontpas tués, le vecteur le plus commun dans lenord-est américain, Culex pipiens, est unhabitant des forêts (canopée).Plusieurs vaccins efficaces chez le chevalont été introduits.

Dépistage et traitement

Il existe un test de dépistage, mais aucun traitement spécifique contre le virus du Niloccidental. Les traitements proposés visentuniquement à atténuer les symptômes de la maladie. Il n’existe aucun vaccin commercialisé pour l’être humain, bien que plusieurs soient encours de test.

Par : RAHIMA RAHMOUNI

The post Aprés le choléra Le foudroyant virus du Nil menace l’Algérie ! appeared first on .

Categories: Afrique

Elim. CAN 2019/En prévision de la double confrontation contre le Bénin: Deuxième jour de stage pour les Verts

Tue, 10/09/2018 - 10:47

Écrit par Saïd B.

La sélection algérienne de football entamera, aujourd’hui mardi, son deuxième jour de stage au Centre technique de Sidi Moussa pour bien préparer sa double confrontation face au Bénin fixée les 12 et 16 octobre pour le compte des
3e et 4e journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations  (CAN-2019) du groupe D.

Les 23 joueurs convoqués par le sélectionneur des Verts Djamel Belmadi ont entamé, hier, cette préparation par une séance de récupération. Les joueurs viennent de remplir leurs obligations avec leurs clubs respectifs et se doivent donc d’être au top physiquement pour débuter, dès aujourd’hui, les séances les plus importantes, à savoir celles de la préparation technique et tactique. Il est utile de noter que la pression serait sur les épaules de Brahimi et ses compatriotes vendredi prochain, lors de la première manche contre les Béninois au stade Tchaker de Blida à partir de 20h45. Aucun droit à l’erreur n’est permis pour les joueurs algériens d’autant plus qu’ils jouent à domicile face à cette sélection du Bénin avec laquelle ils partagent la première place du groupe D. En effet et à l’issue de la deuxième journée des éliminatoires de la CAN-2019, l’Algérie et le Benin partagent la première place de ce groupe, avec un total de 4 points chacun. Et comme les deux premiers à l’issue des six journées de la phase de poules se qualifieront pour la phase finale de la CAN-2019, prévue au Cameroun, gagner les deux matchs contre le Benin suffirait aux Verts pour assurer leur qualification.

Le temps de mettre les choses en place
En tous les cas, et contrairement à son premier match contre la Gambie, le 8 septembre dernier à Banjul, où le nouveau sélectionneur des Verts n’avait pas le temps de bien préparer ses joueurs, cette fois-ci, il en a largement. Ayant déjà visionné les matchs du Bénin, Belmadi et son staff connaîssent désormais les points forts et les points faibles des joueurs du Benin pour tenter de les battre aussi bien ce vendredi que le 16 octobre prochain à Cotonou. Et pour aborder cette double confrontation contre le Benin, le sélectionneur des Verts à convoqué 23 joueurs parmi lesquels on notera un seul jouer local. Il s’agit du gardien de but de l’ES Sétif, Mustapha Zeghba. D’autre part, on notera dans cette liste le retour en sélection nationale de pas moins de 5 joueurs. Il s’agit de Benlamri, Ouanas, Belfodil, Attal et Benzia. Par contre et comparativement au dernier match contre la Gambie, à Banjul (1-1), Belmadi n’a plus convoqué Abid, Boulahia, Belkhiter, Boudebouz, Hassani, le gardien de but Oukidja Soudani et Abdellaoui qui ont fait les frais de leurs blessures. Il est utile de rappeler, au passage, que la rencontre aller est prévue vendredi prochain à 20h45 au stade Mustapha Tchaker de Blida. Elle sera dirigée par un trio guinéen composé d’Ahmed Sekou Touré, directeur du jeu, qui sera assisté par ses compatriotes Aboubacar Doumbia et Sidiki Sidibe, alors qu’Ousmane Jacob Jacob Camar est désigné lui comme 4e arbitre. Quant à la rencontre «retour», elle sera dirigée par un trio arbitral namibien sous la conduite de Jackson Pavasa.

The post Elim. CAN 2019/En prévision de la double confrontation contre le Bénin: Deuxième jour de stage pour les Verts appeared first on .

Categories: Afrique

Adrar: Des collégiens sans chaises !

Tue, 10/09/2018 - 10:32

par Bentouba Saïd

Une rentrée scolaire catastrophique à Adrar. A ce jour, au niveau du chef-lieu de la willaya, des élèves se retrouvent sans chaises.

Les plus chanceux ont parfois des chaises cassées sans articulation. Plus de 45 élèves par classe et des toilettes où les conditions d’hygiène ne sont pas réunies. C’est ce qui a été constaté hier matin au CEM El Hachemi Maâmar.

A l’entrée de l’établissement, un chantier en plein cour avec tous les risques pour les élèves de cet établissement du centre-ville d’Adrar, situé à quelques centaines de mètres de la direction de l’éducation de la wilaya. Si c’est ainsi la situation d’un CEM au centre-ville, quelle serait alors la situation des établissements enclavés de la région ? Après un mois d’attente pour que les conditions de scolarité soient revues, les parents d’élèves ne cachent pas leur mécontentement. Au cours de notre visite à cet établissement scolaire, son directeur a indiqué qu’il a envoyé un courrier à la direction de l’éducation et qu’il ne peut rien faire d’autre, tout en appelant les parents d’élèves à saisir la ministre de l’Education et le directeur du secteur.

Pour en savoir plus sur les conditions de scolarité des élèves, nous nous sommes rendus à la direction de l’éducation de la wilaya d’Adrar. Après une heure d’attente, le directeur de l’éducation a refusé de recevoir Le Quotidien d’Oran.

The post Adrar: Des collégiens sans chaises ! appeared first on .

Categories: Afrique

Ligue 1 Mobilis (10e journée): Deux grands derbies à Alger et un choc à l’Est

Tue, 10/09/2018 - 10:32

Deux grand derbies algérois, MC Alger – NA Hussein Dey et CR Belouizdad – USM Alger, ainsi qu’un énorme choc à l’Est, entre l’ES Sétif et le CS Constantine seront à l’affiche de la 10e journée de Ligue 1 Mobilis, devant s’étaler sur les journées de mardi, mercredi et jeudi, suivant la dernière programmation de la Ligue de football professionnel (LFP).

D’autres matchs intéressants devraient également valoir le détour, certes, comme le duel Paradou AC – CA Bordj Bou Arréridj, entre deux équipes de milieu de tableau, qui pratiquent un football plaisant, mais ce sont certainement les chocs entre «clubs voisins» qui devraient le plus captiver l’attention.
Des oppositions relativement déséquilibrées, puisque l’USMA et le NAHD sont actuellement ex aequo à la deuxième place du classement général, avec 16 points, alors que le MCA est 11e, avec neuf points, et le Chabab lanterne-rouge, avec trois unités, mais ces duels devraient quand même conserver une part d’incertitude quant à leur issue finale, car le «cachet derby» les laissent ouverts sur différentes probabilités.
En effet, dans les derbies, les données d’avant-match ne peuvent permettre une prédiction exacte de l’issue final, car en football, aucun match ne ressemble à un autre et le (0-0) dans le derby USMA-MCA le confirme, car bien qu’en difficulté, le Doyen a réussi à accrocher les Rouge et Noir. Autre match intéressant à suivre, le duel ES Sétif – CS Constantine, entre les deux derniers champions d’Algérie en titre qui devraient en découdre dans un chaud duel, avec la victoire comme seul mot d’ordre, car ils commencent à se faire distancer par les équipes du peloton de tête.

Victoire impérative
Il est donc primordial de gagner lors de cette 10e journée, aussi bien pour l’Entente que pour le CSC, afin de rester au contact des autres ténors et conserver par la même occasion leurs chances de jouer le titre. Les Sétifiens qui viennent de s’imposer en déplacement contre le MC Oran (1-0) sont bien décidés à continuer sur leur lancée contre les Sanafirs avant leur demi-finale retour de Ligue des champions contre les Egyptiens d’Al-Ahly le 23 octobre prochain
De son côté, le leader JS Kabylie, qui reste sur un nul inattendu à domicile contre l’Olympique de Médéa aura peut-être l’occasion de se ressaisir et de consolider sa première place au classement général, en accueillant le mal classé DRB Tadjenanet. Ce dernier (14e / 8 pts) a tout autant besoin de points, certes, mais théoriquement, ce sont les Canaris qui devraient partir avec la faveur des pronostics, tout comme l’Olympique de Médéa face au MC Oran.

L’USM Bel-Abbès en grand danger
Les deux autres matchs inscrits au programme de cette 10e journée sont: AS Aïn M’lila – JS Saoura et USM Bel-Abbès – MO Béjaïa. De ces quatre clubs, c’est probablement l’USMBA (avant-dernier / 5 pts) qui sera le plus tenu par l’obligation de résultat, au risque de voir sa situation se compliquer davantage dans les abysses du classement. L’ASAM, la JSS et le MOB, quant à eux, sont relativement plus ou moins à l’aise dans le milieu de tableau et joueront donc probablement avec moins de pression. Tous les matchs de cette 10e journée se joueront en présence du public, car aucun des clubs hôtes n’est sanctionné de huis clos.

The post Ligue 1 Mobilis (10e journée): Deux grands derbies à Alger et un choc à l’Est appeared first on .

Categories: Afrique

Mbappé, le phénomène n’a pas fini de nous bluffer

Tue, 10/09/2018 - 10:00

On s’habitue à tout. Mais on ne se lasse pas du tout. Il y a même des moments où on n’a pas envie de jouer les blasés. Et on ne voit pas comment on pourrait le devenir devant le talent de Kylian Mbappé. Ce gamin de 19 ans ne cesse de sortir des performances aussi époustouflantes que déconcertantes. Ce dimanche soir, il a ainsi encore réussi à bluffer son monde : avec quatre buts en 13 minutes ! Et face à Lyon s’il vous plaît, l’équipe qui avait fait tomber Manchester City il y a quelques semaines. «C’est génial ! C’est le travail de toute une équipe», s’est-il réjouit humblement au micro de Canal +.

Il est difficile de ne pas tomber sous le charme de l’enfant de Bondy. De ne pas avoir le souffle coupé devant un tel talent. Cela fait pourtant presque trois ans maintenant qu’il a commencé à enflammer le football tricolore. Et des soirées d’exception, il en a signées plus d’une. On parle quand même déjà d’un champion du monde et d’un double champion de France. Mais il ne faut pas s’y tromper, ce match au Parc restera dans les annales du football français.

« J’aurais dû marquer plus de buts»
Dimanche, Mbappé est devenu le plus jeune joueur à inscrire un quadruplé en L1 lors des 45 dernières saisons, selon Opta. Et comme il l’a fait en 13 petites minutes, il est aussi le plus rapide à en planter quatre sur la même période. Le pire ? Il a eu d’autres occasions franches. Avant – et le plus souvent sur des passes parfaites de Neymar -, il avait buté à plusieurs reprises sur Anthony Lopes, qu’il l’avait blessé lors d’un choc brutal lors du dernier Lyon-PSG, remporté par l’OL (2-1). Mais il n’a pas douté. A persévéré. Et a finalement régalé. «A aucun moment j’ai douté, car un attaquant, tant qu’il se crée des occasions, tout va bien. Le jour où j’arrêterai de m’en créer, je commencerai à réfléchir»,a-t-il analysé avant de démontrer son énorme ambition. «J’aurais dû marquer plus de buts, ça fait partie des paliers qui me reste à franchir pour être au plus haut niveau».
Voilà qui promet. Surtout que le jeune crack ne s’est pas limité à ses quatre buts dimanche soir. Avant, c’est lui qui a obtenu le penalty marqué par Neymar pour ouvrir le score. Et c’est aussi lui qui a provoqué le deuxième carton jaune de Lucas Tousart. Difficile d’être plus décisif dans un tel sommet du championnat de France. Il rejoint d’ailleurs Neymar au classement des meilleurs buteurs du championnat avec ses huit buts inscrits en cinq rencontres (contre 8 pour l’international brésilien). Comme un symbole. Car il ne faut pas oublier le Brésilien dans la réussite du Français.

Tuchel sous  le charme
Les deux ont été associés devant avec la sortie d’Edinson Cavani (39e) après le rouge de Kimpembe. Ils se sont entendus à merveille. Neymar, à l’origine du premier et du troisième but du champion du monde tricolore, a souvent décroché. Et Mbappé a pris la profondeur pour profiter des espaces et des ouvertures de son coéquipier dans une défense lyonnaise beaucoup trop naïve face à un tel duo.
«Fantastique! Incroyable! Le foot, c’est fait pour marquer des buts, pour attaquer», s’est réjoui son coach Thomas Tuchel. Avec un tel duo, le technicien allemand sait qu’il possède une arme de choix s’il veut jouer des attaques rapides. Et il a surtout, une nouvelle certitude : la valeur n’attend point le nombre des années.

The post Mbappé, le phénomène n’a pas fini de nous bluffer appeared first on .

Categories: Afrique

USM Bel-Abbès: Chérif El-Ouazzani de retour

Tue, 10/09/2018 - 09:54

Kadiri Mohamed

Le désormais ex-coach du CRB, Chérif El-Ouazzani a donné son accord de principe à la direction de l’USMBA pour effectuer son come-back au sein du club de la Mekerra. C’est ce qui nous a été confirmé par le président de la SSPA El-Hennani Abdeghani, qui a rencontré le technicien en question en lui proposant de prendre en charge la barre technique.

Ayant remporté la dernière édition de la Coupe d’Algérie avec l’USMBA, le coach oranais est toujours aussi sollicité par les fans du club. Ce dernier devait être présent aujourd’hui dans les tribunes à l’occasion du match face au MOB pour superviser l’équipe et entamer sa mission dans la semaine, en remplaçant le technicien tunisien Moaz Bououkaz, lequel a été prié par la direction de mettre un terme à sa collaboration avec le club.

Pour en savoir plus, nous avons essayé de contacter Moaz Bououkaz, mais nos tentatives sont restées vaines. L’on ne sait pas encore si ce dernier va accepter l’offre des dirigeants de l’USMBA pour une séparation à l’amiable, mais ce qui est sûr, c’est que les jours du technicien tunisien sont comptés. A rappeler que, conformément à la réglementation en vigueur, El-Hennani Abdelghani est revenu à son ancien poste à la tête de la SSPA, notamment après la démission de Hadj Hasnaoui Okacha. Ce dernier a expliqué, par le biais d’un communiqué, les raisons qui l’ont poussé à se retirer de la présidence. Par ailleurs, il est à signaler que le nouveau patron de la SSPA, El-Hennani a eu une entrevue avec le nouveau wali de Sidi Bel-Abbès, Ahmed Abdelhafid Sassi, qu’il a qualifiée de très positive.

The post USM Bel-Abbès: Chérif El-Ouazzani de retour appeared first on .

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.