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Brésil : Les grands enjeux de la présidentielle

Tue, 10/23/2018 - 15:59

Le deuxième tour de l’élection présidentielle a lieu dimanche au Brésil dans un contexte de crises politique, économique, sociale et morale. Voici, en six points, les grands enjeux du scrutin qui oppose le candidat d’extrême droite, Jair Bolsonaro, à celui de gauche, Fernando Haddad…

. Le candidat d’extrême droite va-t-il être élu?
Les derniers sondages des instituts Ibope et Datafolha prédisent une très confortable victoire au député du Parti social libéral (PSL) Jair Bolsonaro, avec 59% contre 41% à Haddad, du Parti des travailleurs (PT). Le PSL, insignifiant avant le 1er tour du 7 octobre qui était couplé aux législatives, est en passe de devenir la première formation de la Chambre des députés l’an prochain grâce à la vague — le « tsunami » disent certains — bolsonariste. Si Jair Bolsonaro était élu, le plus grand pays d’Amérique latine choisirait pour la première fois un président d’extrême droite, chantre de la dictature (1964-85) et apologiste de ses tortionnaires.

. Le parti de Lula peut-il revenir au pouvoir ?
Il semble extrêmement improbable que le PT remporte une cinquième présidentielle d’affilée. A moins d’un coup de théâtre dans cette dernière semaine d’une campagne qui a déjà été riche en rebondissements. La candidature de l’ex-président Luiz Inacio Lula da Silva, emprisonné pour corruption, ayant été invalidée, son remplaçant, Fernando Haddad, a réussi à se qualifier pour le second tour alors qu’il était entré tardivement en campagne. Mais l’ex-maire de Sao Paulo a un handicap de 18 points dans les sondages de 2e tour, avec un taux de rejet — les électeurs déclarant qu’ils ne voteraient pour lui « en aucun cas » — qui ne cesse de progresser.

. Pourquoi cette campagne a-t-elle été inédite?
Lula, qui était grand favori bien qu’en prison pour corruption depuis avril, a finalement été écarté de la course en août après des mois de rebondissements politico-judiciaires. Le brouillard autour de la candidature ou non-candidature de Lula a fait pendant des mois de ce scrutin le plus incertain des temps modernes au Brésil. Celui qui est devenu ensuite le favori du 1er tour, Jair Bolsonaro, a frôlé la mort après avoir été poignardé à l’abdomen par un déséquilibré le 6 septembre lors d’un bain de foule. Hospitalisé plus de trois semaines, il n’a plus fait campagne dans la rue.

. Quel a été l’impact des réseaux sociaux ?
Enorme. Ils ont totalement détrôné la télévision. Et les fausses informations ont déferlé sur les réseaux sociaux. Bolsonaro a mené l’essentiel de sa campagne sur Facebook, Instagram et Twitter où il compte plus de 14 millions d’abonnés. Il a refusé de se confronter à Haddad lors des six débats télévisés prévus dans l’entre-deux tours, invoquant des « raisons médicales » après l’attentat mais aussi des « raisons stratégiques ». Le PT a accusé le camp Bolsonaro d’avoir monté une « organisation criminelle » avec de « l’argent sale » en diffusant des millions de fausses informations sur WhatsApp, messagerie très populaire au Brésil avec 120 millions d’utilisateurs. La Police fédérale a ouvert une enquête. Le PT a demandé la disqualification de Bolsonaro au Tribunal supérieur électoral (TSE), qui pourrait ne se prononcer qu’après l’élection.

. Quelle attitude des marchés après le 2e tour ?
L’arrivée au pouvoir de Bolsonaro serait pour eux acceptable, même si celui-ci a avoué son incurie en économie. Il a déjà désigné son « super ministre de l’Economie », Paulo Guedes, un « Chicago boy » ultra-libéral, ce qui les a rassurés. Les investisseurs attendent la mise en oeuvre rapide de réformes. Mais les marchés vont attendre que Bolsonaro montre son engagement sur une réforme des retraites jugée cruciale ou la réforme fiscale, sur lesquelles il est resté flou. Les investisseurs ne veulent pas du retour de la gauche avec Haddad, qui n’a pris aucun engagement en faveur de réformes destinées à assainir les comptes publics.

. Quels défis pour le prochain président ?
Donner un sérieux coup de fouet, grâce à de courageuses réformes d’austérité, à une économie qui ne redémarre pas après deux années de récession historique (2015-16) et compte près de 13 millions de chômeurs. Diminuer la criminalité dans l’un des pays les plus violents au monde, autre préoccupation majeure des Brésiliens, avec la santé, l’éducation et le logement — des secteurs délabrés qui manquent cruellement d’infrastructures et de moyens.

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Don de sang : Près de 40 000 poches collectées en 2018 à Alger

Tue, 10/23/2018 - 15:58

Près de 40 000 poches de sang ont été collectées dans la wilaya d’Alger durant le premier semestre 2018, a indiqué la chef du Bureau de la régulation des produits pharmaceutiques à la Direction de wilaya de la santé et de la population.

Dans une déclaration samedi à l’APS, la chef du bureau de la régulation des produits pharmaceutiques, Imadalou Nassima a précisé que la quantité collectée durant le premier semestre de l’année en cours (de janvier à juin 2018) avait atteint près de 39 328 poches de sang collectées au niveau des Centres de transfusion sanguine fixes et mobiles des établissements publics hospitaliers d’Alger. La quantité de sang collectée durant la période susmentionnée a connu un «léger» recul par rapport à la quantité collectée durant la même période de l’année écoulée (plus de 47 004 poches de sang), en raison des grèves déclenchées par les médecins résidents, a fait savoir l’intervenante. Cette quantité a été collectée grâce aux opérations de dons de sang bénévoles organisées par l’Agence nationale du Sang (ANS), en coordination avec la Direction de la santé et de la population d’Alger et de la participation de plusieurs associations à caractère social et humanitaire, d’instances publiques et des donneurs de sang.

Les opérations de don de sang bénévoles lancées depuis le début de l’année en cours et supervisées par un staff médical, paramédical et technique, étaient «acceptables» dans l’ensemble, eu égard à la quantité collectée, a relevé la responsable qui a estimé que cette quantité était «stable», ce qui permettra de renforcer le stock de sang dans les établissements publics hospitaliers de la wilaya d’Alger. Mme Imadalou a rappelé que 7808 donneurs réguliers dont la capacité de faire un don de sang a été confirmée à l’issue d’analyses médicales, 11.202 donneurs non réguliers et 19.618 donneurs familiaux ont été recensés durant le premier semestre 2018 au niveau des 16 centres et l’unité de transfusion sanguine d’Alger. Elle a révélé par ailleurs que près de 60.000 poches de sang avaient été collectées durant 2017, faisant état de 6 822 donneurs réguliers, 19.503 donneurs occasionnels et 29.833 donneurs familiaux.

Lancement des campagnes de don de sang à l’occasion de la journée nationale des donneurs de sang

De son côté, la responsable des activités sanitaires, Dr. Bourkich Nadia a fait état de l’élaboration, par l’ANS, en collaboration avec la Direction de la santé de la wilaya d’Alger et la Fédération algérienne des donneurs de sang (FADS), dans le cadre de la célébration de la Journée nationale des donneurs de sang, coïncidant avec le 25 octobre, d’un programme de coopération avec les centres de transfusion sanguine (CTS) relevant des établissements publics hospitaliers dont la mise en œuvre sera lancée le 21 octobre en cours englobant notamment l’organisation d’opérations intensives de bénévolat. Elle a rappelé également le lancement de la 3ème campagne de don de sang avec la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), durant laquelle il sera procédé à l’organisation de campagnes de collecte de sang des éléments et cadres relevant des différents services de la Sûreté nationale à travers leurs différents sièges et unités de wilaya au niveau des 13 circonscriptions administratives et ce durant la période allant du 21 au 25 octobre en cours.

Dr. Bourkich a indiqué, dans ce sens, qu’il sera procédé lors de cette opération, à laquelle tous les moyens matériels et humains ont été mobilisés, en coordination avec les instances compétentes, à l’organisation de campagnes de don de sang auprès des employés et cadres du Groupe Algérie Télécom à travers ses differents sièges à Alger, à compter du 23 jusqu’au 25 octobre en cours, outre l’organisation d’une campagne de don de sang au profit des cadres et employés de la wilaya d’Alger, et ce durant la période allant du 1 au 10 novembre prochain. Organisée chaque année par l`ANS en collaboration avec la Direction de la santé de la wilaya d’Alger et en coordination avec les différents établissements et instances publics, ainsi que les associations de la société civile, cette campagne de don de sang vise à répondre aux besoins en sang des services des urgences, de la gynécologie-obstétrique, de la pédiatrie et de la chirurgie.

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Erdogan promet la «vérité» sur l’assassinat de Khashoggi : Ryad assure ignorer où est le corps

Tue, 10/23/2018 - 15:55

La Turquie va révéler «toute la vérité» sur le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi à Istanbul, a promis dimanche son président, Ryad assurant de son côté ignorer le «détail» des circonstances de sa mort, comme l’endroit où se trouve son corps.

Au lendemain des aveux de l’Arabie Saoudite qui ont suscité une vague de scepticisme, Donald Trump allant jusqu’à dénoncer des «mensonges», le président turc Recep Tayyip Erdogan est monté au créneau. «Nous cherchons la justice ici, et toute la vérité sera révélée (…), la vérité nue», a-t-il lancé lors d’un rassemblement à Istanbul. M. Erdogan a précisé qu’il ferait une déclaration sur cette affaire mardi au parlement. Les explications de Ryad sur la mort du journaliste critique du prince héritier Mohammed ben Salmane et exilé aux Etats-Unis sont loin d’avoir convaincu les grandes capitales occidentales. Dans un communiqué commun, Londres, Paris et Berlin ont estimé dimanche qu’il y avait «un besoin urgent de clarification» sur les circonstances de la mort «inacceptable» du journaliste, âgé de 59, au consulat saoudien à Istanbul. Après avoir qualifié de «crédible» la version des Saoudiens, le président américain Donald Trump a évoqué «des mensonges», jugeant que «leurs histoires partent dans tous les sens». «Il y a eu manifestement tromperie et mensonges», a-t-il déclaré dans un entretien au Washington Post, journal auquel collaborait Jamal Khashoggi.

Dans la soirée, la présidence turque a fait savoir que MM. Erdogan et Trump avaient eu un entretien téléphonique et qu’ils étaient d’accord sur la «nécessité d’éclaircir» l’affaire Khashoggi. Après sa disparition le 2 octobre, les autorités saoudiennes ont finalement admis samedi ce que tout le monde redoutait: le journaliste a bien été tué dans le consulat. C’est le procureur général Saoud al-Mojeb qui a confirmé sa mort. «Les discussions entre lui et les personnes qui l’ont reçu au consulat ont débouché sur une bagarre et sur une rixe à coups de poing, ce qui a conduit à sa mort», a-t-il dit, cité par l’agence SPA. Signe de contradictions persistantes, le directeur d’un centre de réflexion proche du pouvoir saoudien, Ali Shihabi, a affirmé que Khashoggi était mort étouffé des suites d’un «étranglement». Dans un premier temps, les autorités saoudiennes avaient affirmé que le journaliste était ressorti vivant du consulat. Des responsables turcs ont, eux, donné une autre version affirmant que Jamal Khashoggi avait été torturé et assassiné par une équipe de 15 agents saoudiens venus spécialement de Ryad. Selon des journaux turcs, son corps a été démembré. «Pourquoi ces quinze hommes sont-ils arrivés ici ? Pourquoi dix-huit personnes ont-elles été arrêtées ?», a demandé dimanche le président turc.

«Erreur monumentale»
Dans le contexte de cette affaire, Ryad a annoncé le limogeage du numéro deux du Renseignement saoudien, le général Ahmed al-Assiri, et de trois autres hauts responsables de ces services, ainsi que d’un conseiller «médias» à la cour royale, Saoud al-Qahtani. Dix-huit suspects saoudiens ont été interpellés. Mais des analystes occidentaux ont vu dans ces limogeages et arrestations une tentative de désigner des boucs émissaires et d’épargner le prince héritier, considéré comme l’homme fort du royaume. Mohammed ben Salmane n’était «pas informé» de l’opération, non-autorisée par le pouvoir, a affirmé dimanche le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir, dans un entretien à la chaîne américaine Fox News. «Les individus qui ont fait cela l’ont fait en dehors du champ de leurs responsabilités. Une erreur monumentale a été faite, qui a été aggravée par la tentative de la cacher», a-t-il ajouté. «Nous avons découvert qu’il a été tué au consulat (saoudien à Istanbul). Nous ne savons pas comment, dans le détail. Nous ne savons pas où se trouve le corps», a-t-il encore déclaré. Cette affaire a provoqué une onde de choc mondiale et considérablement terni l’image de Ryad. Allié des Saoudiens, le président américain est visiblement embarrassé par cette crise, avec des critiques y compris dans son propre camp républicain, mais il refuse de remettre en cause des méga-contrats, notamment militaires, avec Ryad. Insistant sur l’importance des liens «stratégique» entre Washington et Ryad, le chef de la diplomatie saoudienne a estimé que cette «relation surmontera» l’affaire Khashoggi et ses répercussions diplomatiques. Les principaux alliés de Ryad dans la région –Emirats arabes unis, Bahreïn, Egypte, Jordanie, Oman, Koweït et Autorité palestinienne–, ainsi que la Ligue arabe et l’Organisation de la coopération islamique (OCI), ont salué les annonces du royaume saoudien.

Boycott
Entretemps, les enquêteurs turcs ont poursuivi leurs investigations, fouillant une vaste forêt proche d’Istanbul. Disant s’appuyer sur des enregistrements sonores, la presse turque a évoqué une décapitation de Khashoggi. Vingt-cinq nouveaux témoins ont été convoqués dimanche par les procureurs engagés dans l’enquête en Turquie, a indiqué la télévision turque NTV. Outre une crise de crédibilité, ce scandale international a poussé au boycott, par des responsables occidentaux et des dirigeants de firmes internationales, d’une grande conférence économique, chère au prince héritier, prévue à Ryad à partir de mardi. De son côté, la chancelière allemande Angela Merkel a prévenu dimanche que l’Allemagne n’autoriserait pas en l’état d’exportations d’armes vers l’Arabie Saoudite. Cette affaire a aussi alimenté des spéculations selon lesquelles le prince héritier risquait d’être délogé du pouvoir par des membres de la famille royale irrités par ses «abus». Mais, parmi les décrets de samedi, son père, le roi Salmane, a annoncé la formation d’une commission ministérielle dirigée par le prince héritier pour réorganiser les services de renseignement, montrant ainsi son intention de le maintenir aux plus hautes fonctions à ce stade.

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Brexit : Theresa May tente d’étouffer la rébellion des tories

Tue, 10/23/2018 - 15:53

La Première ministre britannique a assuré à son parti qu’un accord avec l’Union européenne était presque « finalisé », malgré le rejet d’une frontière irlandaise.

Theresa May n’est épargnée par personne, même au sein de son propre parti. La Première ministre britannique a tenté d’étouffer, lundi, la rébellion au sein de son parti conservateur sur sa stratégie du Brexit. Elle a assuré qu’un accord avec l’Union européenne était presque finalisé tout en rejetant la proposition européenne sur la frontière irlandaise. À cinq mois du divorce, la cheffe du gouvernement a déclaré dans le tabloïd The Sun agir « dans l’intérêt national » alors qu’elle est étrillée de tous côtés pour son inaptitude à sortir les négociations de l’impasse après l’échec du sommet européen d’octobre, faisant craindre une sortie sans parachute. Mécontents, des députés de la majorité conservatrice s’apprêteraient à contester son leadership, selon la presse britannique. « Les négociations sur le Brexit ne portent pas sur moi ou mon sort personnel. Il s’agit de l’intérêt national. Et cela implique de faire les bons choix, pas les choix les plus faciles », a-t-elle tenté de temporiser dans le Sun. Lundi après-midi devant les députés, Mme May doit assurer que l’accord devant sceller le retrait du Royaume-Uni est bouclé à « 95 % », selon des extraits de son intervention communiqués par ses services.

L’impasse irlandaise
Mais la conclusion d’un tel accord avec Bruxelles continue d’achopper sur le sort de la frontière entre la province britannique d’Irlande du Nord et la République d’Irlande (membre de l’UE) après le Brexit, prévu le 29 mars 2019. Les deux parties veulent éviter le rétablissement d’une frontière physique afin de préserver les accords de paix de 1998 en Irlande du Nord, sans parvenir à s’accorder sur la manière d’y parvenir. « J’ai été très claire sur le fait que nous devons y parvenir sans créer une frontière dure de quelque sorte que ce soit entre l’Irlande du Nord et le reste du Royaume-Uni », a rappelé Theresa May dans le Sun. L’UE propose de maintenir l’Irlande du Nord dans l’union douanière et le marché unique, si aucune autre solution n’est trouvée – inacceptable pour Mme May, qui y voit un coup de canif à « l’intégrité du Royaume-Uni ». Elle propose, de son côté, que l’ensemble du Royaume-Uni reste aligné sur les règles douanières de l’UE jusqu’à la signature d’un accord de libre-échange plus large. Cela lui a valu les foudres des brexiters, partisans d’une rupture nette et rapide avec l’UE, qui craignent que cet alignement ne devienne permanent et n’empêche le Royaume-Uni de conclure des accords commerciaux avec des pays tiers après le Brexit. « Les dernières phases des discussions seront les plus difficiles », a prédit Mme May.

La possibilité d’une prolongation à l’origine de la pression
La pression est montée d’un cran quand Theresa May n’a pas exclu, jeudi lors du sommet, la possibilité d’une prolongation de « quelques mois » de la période de transition post-Brexit, actuellement censée durer jusqu’à fin 2020, durant laquelle son pays resterait aligné sur les règles de l’UE, mais sans participer aux prises de décision. Selon la presse, la menace d’un vote de défiance plane. La dirigeante est invitée à venir s’expliquer mercredi soir devant le Comité 1922, responsable de l’organisation interne des tories et du déclenchement d’un tel vote. Le DUP, petit parti unioniste nord-irlandais indispensable à sa majorité absolue, a menacé de lui retirer son soutien lors du vote du budget le 29 octobre si l’Irlande du Nord n’a pas le même sort que le reste du pays. Et quelque 41 députés conservateurs pourraient soutenir un amendement cette semaine empêchant l’instauration de barrières entre l’Irlande du Nord et le reste du pays sans l’accord de l’assemblée régionale. Du côté des anti-Brexit, près de 700 000 personnes ont manifesté samedi à Londres pour réclamer un référendum sur l’accord final, selon les organisateurs, le plus important rassemblement depuis celui contre la guerre en Irak en 2003.

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Liban : Des artistes tentent de sauver une œuvre Niemeyer

Tue, 10/23/2018 - 15:51

Près du front de mer à Tripoli, ville du nord du Liban, des artistes ont lancé une manifestation inédite, afin de sauver de l’effondrement un joyau de l’architecture moderniste conçu il y a plus d’un demi-siècle par le Brésilien Oscar Niemeyer.

Ces artistes venus du Liban et d’ailleurs (chanteurs, metteurs en scène, acteurs…) ont investi pour un mois la «Foire internationale Rachid Karamé», un grand complexe architectural conçu dans les années 1960 par «le père de Brasilia». Situé sur un terrain de 70 hectares selon l’Unesco, cet ensemble de bâtiments futuristes en béton, dont la construction fut interrompue par la guerre civile qui a déchiré le Liban entre 1975 et 1990, porte le nom d’un ex-Premier ministre libanais originaire de la région de Tripoli. Il fut utilisé par des forces armées durant la guerre, puis abandonné à son sort. Aujourd’hui, il est marqué par les stigmates du temps: structures lézardées, bassins vides, herbes folles… La manifestation culturelle organisée dans son enceinte, intitulée «Cycles of collapsing progress» (Cycles de progrès en effondrement), vise à le sortir de l’oubli, à inciter l’Unesco à l’inscrire sur la Liste du patrimoine mondial et le gouvernement libanais à intervenir rapidement.

Âge d’or révolu
Ce site futuriste est «unique au Liban et dans la région», s’enthousiasme Wassim Naghi, président de l’Union méditerranéenne des architectes. Dôme, arche, escaliers en colimaçon dans une toupie: Niemeyer a laissé son imagination courir dans un lieu qu’il concevait comme un espace public de rencontres, ouvert à tous. La «Foire» devait accueillir des expositions permanentes, trois musées et un théâtre expérimental, avant que la guerre civile du Liban ne mette fin au rêve. «Dans sa modernité, ses formes en courbes, il résume les progrès de l’architecture au cours des 100 dernières années», résume M. Naghi, rappelant qu’il s’agit d’une des «plus grandes oeuvres de Niemeyer en dehors du Brésil». Mais cet héritage est menacé. «Les bâtiments en béton armé doivent être restaurés dans les plus brefs délais: certains sont rongés, des blocs tombent et de nombreuses fissures» apparaissent, avertit le président de l’Union des architectes. «Nous craignons de mauvaises surprises, particulièrement en hiver. Nous lançons un appel urgent à l’État pour qu’il intervienne.»
La fusée «Cèdre» Ce site «témoigne de l’âge d’or de l’histoire moderne du Liban et de ses rêves architecturaux, scientifiques et culturels», souligne la commissaire de l’exposition, Karina El Hélou. Cette période faste a été marquée par un foisonnement d’idées et de projets, rappelle-t-elle. À l’origine, un espace sous-terrain devait ainsi accueillir un musée d’archives sur l’exploration spatiale par le Liban, en hommage à un épisode de leur histoire que beaucoup de Libanais eux-mêmes ignorent. Dans les années 1960, le pays avait lancé plusieurs petites fusées sans astronaute, dont une seule a pu se frayer un chemin à travers l’espace. Ce programme s’était arrêté en 1969 et le musée spatial n’a jamais vu le jour. Pour ressusciter son souvenir, une reproduction de la fusée «Cèdre» ? qui avait dépassé l’atmosphère il y a plus de 50 ans ? trône désormais là où devait se trouver le musée, dans le cadre de la manifestation culturelle en cours. Une pièce de théâtre expérimentale est également proposée ? clin d’œil au théâtre que le complexe devait abriter ?, tout comme un concert dédié aux sans-papiers vivant à Tripoli.

Promesses creuses
La manifestation culturelle vient aussi «mettre en lumière le danger imminent qui pèse sur ce site», souligne Mme Hélou. «C’est bien de restaurer les sites de l’histoire ancienne, mais nous devons aussi préserver ces monuments qui témoignent de l’histoire moderne du pays», dit-elle. Face à l’indifférence des autorités, dénoncée par les artistes, la représentante du Liban au sein de l’Unesco, Sahar Baassiri, assure que l’État libanais et l’organisation internationale sont mobilisés. «Nous envisageons de poursuivre le travail en vue d’inscrire le site sur la liste du Patrimoine mondial en péril, dans la section architecture contemporaine», indique-t-elle. Mais certains craignent que l’impasse politique actuelle au Liban ne précipite davantage la désagrégation du site, alors que le pays est sans gouvernement depuis mai. S’il faut réhabiliter, «nous avons besoin d’études (…) d’argent et d’un gouvernement», martèle M. Naghi. «L’atmosphère actuelle dans le pays ne présage rien de bon». Pour Akram Oueida, directeur général de la Foire, un classement par l’Unesco pourrait «ouvrir la porte à des dons» externes. «Nous essayons d’obtenir des fonds du gouvernement. Nous avons reçu des promesses, mais rien n’a été fait».

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«Café littéraire et culturel Média-Plus» à Constantine : Lynda Chouiten toute première invitée

Tue, 10/23/2018 - 15:48

Le Café littéraire et culturel Média-Plus a invité pour sa séance inaugurale la romancière et universitaire Lynda Chouiten, venue présenter son premier ouvrage, «le Roman des Pôv’ cheveux», édité en 2018 aux éditions El Kalima.

Né de la collaboration entre les éditions Médias-plus et l’Institut français (IF) de Constantine le «Café littéraire et culturel Média-plus» a été étrenné par la finaliste du prix Mohamed Dib 2018, Lynda Chouiten est venue débattre de son premier ouvrage, le très drôle et non moins fascinant «le Roman des Pôv’ cheveux» et de répondre aux questions des amoureux de littérature et de ses lecteurs. Touchant, drôle, satirique ou encore allégorique, les qualificatifs ne manquent pas en effet pour décrire ce roman qui est raconté par les cheveux des personnages principaux. Pour Lynda Chouiten, la trame de son œuvre commence lorsque «Pôv’cheveux» tombe dans la soupe d’une élégante dame. Il est chassé comme un moins que rien du restaurant chic où travaille son propriétaire. Débute alors pour lui un long chemin de croix dans la capitale française où il y fait la connaissance d’autres Cheveux déchus. Le livre compte plusieurs personnages, en l’occurrence Outoudert, un jeune homme misérable obligé de faire les poubelles pour manger, Taous, la jeune femme timide qu’on force à se marier et à se voiler, Fouzia, la mal-née qui triomphe de sa condition sociale et Louisa qui, malgré un rare courage, renonce à venger son ami, mort d’avoir voulu dénoncer les intrigues d’un maire impliqué dans un trafic de perruques.

Ainsi à travers les récits de tous ces «personnages capillaires», le livre est une invitation à la réflexion sur des problématiques contemporaines telles que l’ascension sociale, le déracinement, le racisme et la condition féminine, a expliqué son auteure. Le roman arbore aussi «une dimension politique philosophique sur la condition humaine, cloîtrée entre le bien et le mal, espoir et désillusion», a souligné encore Lynda Chouiten. Cette première rencontre littéraire s’est achevée par une séance de dédicaces. Organisé un samedi par mois dans les locaux de l’IF, le Café littéraire et culturel Média-Plus recevra le mois prochain Ameziane Ferhani et Maissa Bey, a annoncé le directeur des éditions Média-Plus, Saïd Yassine Hannachi. Enseignante de littérature anglophone à l’université de Boumerdès, Lynda Chouiten a également publié deux études et critiques littéraires : une étude de l’œuvre d’Isabelle Eberhardt intitulée «Isabelle Eberhardt and North Africa : A Carnivalesque Mirage» (Lanham, MD : Lexington Books, 2015), et un ouvrage collectif sur l’autorité. Les deux études ont été éditées simultanément aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne.

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Box-office US : « Halloween » réalise un démarrage monstre

Tue, 10/23/2018 - 15:46

Pour celles et ceux qui doutaient encore que l’horreur est devenue aux USA un genre aux dimensions égales aux blockbusters les plus superhéroïques, Halloween vient de leur planter un bon coup de couteau (métaphorique) dans le bide. Avec un démarrage à 77,5 millions de dollars, Halloween réalise le deuxième meilleur démarrage pour un film sorti en octobre (juste derrière Venom), et le troisième meilleur démarrage pour un film d’automne (en-dessous de Venom et de Ça). Halloween rembourse instantanément et dans les grandes largeurs son budget estimé à 15 petits millions : réalisé par l’éclectique sudiste David Gordon Green (Délire Express, Joe avec Nicolas Cage… on vous résume sa carrière ici), il est surtout produit par Jason Blum, l’homme derrière American Nightmare, Happy Birthdead et Get Out. Ignorant intelligemment les suites de la franchise (et le reboot de Rob Zombie en deux films sortis en 2007 et 2009), Halloween cru 2018 se considère comme une suite directe (enfin, quarante ans après) de La Nuit des masques de John Carpenter sorti en 1978.

Carpenter a donné sa bénédiction à cet Halloween -très bien accueilli par la critique- et Jamie Lee Curtis y est de retour pour affronter le terrifiant Michael Myers, échappé d’un hôpital psychiatrique pour semer la mort à coups de couteau la nuit d’Halloween. Bref ! Alors que La Nonne, spin-off de Conjuring, a récolté 360 millions de dollars dans le monde, Halloween et son démarrage monstre prouve encore une fois que l’horreur n’est pas, n’est plus, un genre de niche. Et ce n’est pas fini: on verra Simetierre nouvelle version en avril 2019, Ça : chapitre 2 en septembre… Et sans doute Halloween 2 (ou Halloween numéro douze si l’on compte toutes les suites) dans un avenir proche. Bouh ! Alors que Venom, délogé de la tête du box-office par les jump scares d’Halloween, se retrouve en troisième position, A Star is Born reste à la deuxième place en rapportant 19,3 millions. Pour un total américain de 126,3 millions : Warner a même augmenté le nombre de copies du film, qui est un très beau succès vu son budget (36 millions). Donc, Venom avec Tom Hardy est troisième et commence doucement à prendre l’eau (le film perd 363 salles et 48% de ses recettes par rapport à la semaine dernière) : 18,1 millions de dollars pour son troisième week-end, pour un total américain de 171,1 millions. Pas terrible pour un film de superhéros qui aurait coûté 100 millions ? Dans le reste du monde, le film a quand même rapporté 461,8 millions. Pour son deuxième week-end, Chair de poule 2 : les fantômes d’Halloween reste à la quatrième place et rapporte 9,7 millions de dollars, pour un total américain de 28,8 millions… alors que le film en aurait coûté 35.
Le premier Chair de poule avait terminé sa carrière à 80 millions à l’automne 2015. Enfin, First Man : le premier homme dans la Lune rapporte 8,5 millions de dollars pour son deuxième week-end, après un démarrage décevant. Malgré ses bonnes critiques, le nouveau film de Damien Chazelle avec Ryan Gosling ne risque pas d’atteindre les hauteurs de La La Land, qui terminait sa tournée américaine à 151 millions de dollars plus six Oscars.

Box-office américain du 19 au 21 octobre 2018 :
1) Halloween
2) A Star is Born
3) Venom
4) Chair de poule 2 : Les Fantômes d’Halloween
5) First Man : le premier homme sur la Lune

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Projet de Loi de finances 2019 : un cadrage prudent, maintien de la politique sociale de l`Etat

Tue, 10/23/2018 - 15:40
Le projet de loi de finances 2019, qui a été au menu de la rencontre du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, avec les responsables des partis de la majorité parlementaire, a été élaboré sur la base d’un cadrage macroéconomique prudent tout en étant adossé à des dépenses budgétaires en légère baisse mais avec le maintien de la politique sociale de l`Etat. Ce projet de loi adopté en Conseil des ministres, au cours du mois de septembre dernier, sera soumis à la Commission de finances et du budget pour examen, avait indiqué dimanche le bureau de l’Assemblée populaire nationale (APN). Suite à cette décision du bureau de l’APN, le dépôt du projet de loi des finances s’effectuera dans les délais réglementaires. Ainsi, la Loi organique fixant l’organisation et le fonctionnement de l’Assemblée stipule dans son article 44 que le Parlement adopte le projet de loi de finances dans un délai de soixante-quinze (75) jours au plus tard, à compter de la date de son dépôt Le cadrage macroéconomique retenu pour l’exercice prochain table sur un prix de pétrole à 50 dollars le baril, un taux de croissance de 2,6% et un taux d’inflation de 4,5%. Sur le plan budgétaire, le projet de loi de finances 2019 (PLF 2019) prévoit des recettes de 6.508 milliards DA (mds DA), en légère hausse par rapport à celles de 2018, dont 2.714 mds DA de fiscalité pétrolière. Quant aux dépenses budgétaires, elles s’élèveront à 8.557 mds DA, en légère baisse par rapport à celles de 2018. Concernant le Budget de Fonctionnement, il est estimé à 4.954 mds DA avec une légère hausse découlant de la situation sécuritaire aux frontières ainsi que du relèvement des transferts sociaux. C’est ainsi qu’une enveloppe budgétaire de 1.763 milliards de DA sera allouée aux transferts sociaux durant l’exercice 2019 (contre 1.760 milliards de DA en 2018), soit près de 21% de la totalité du budget de l’Etat de l’année 2019. Les crédits budgétisés pour les transferts sociaux couvriront notamment plus de 445 mds DA destinés au soutien aux familles, tandis que près de 290 mds DA seront attribués aux retraites, et auxquels s’ajoutera une dotation d’appui de 500 mds DA à la Caisse Nationale des Retraites (CNR). Ces transferts sociaux comportent également près de 336 mds DA pour la politique publique de santé et plus de 350 mds DA pour la politique publique de l’habitat auxquels s’ajouteront près de 300 mds DA mobilisés pour ce secteur par le Fonds National d’Investissement (FNI). A travers ces transferts sociaux, il s’agit pour le gouvernement de continuer à soutenir la politique sociale de l`Etat notamment par le soutien aux familles, à travers la subvention des produits de base, l`éducation et l`accès à l`eau et l`énergie, la santé, le logement, les retraites et l`accompagnement des faibles revenus, des démunis et des handicapés. Pour le Budget d’Equipement, il est ventilé entre 3.602 mds DA de crédits de paiements et 2.600 milliards DA d’autorisations de programme destinées à de nouveaux projets ou à des réévaluations. Selon les concepteurs du PLF 2019, la légère baisse nominale du Budget d’Equipement ne correspond pas à un recul de la politique publique d’investissement, mais elle découle notamment d’une baisse de près de 300 mds DA des crédits consacrés l’année dernière à l’assainissement des créances détenues sur l’Etat. Par ailleurs, la consistance du Budget d’Equipement pour 2019 confirme la poursuite de l’engagement de l’Etat en faveur du développement économique et social avec notamment des dotations de 625 mds DA pour l’appui au développement humain, près de 1.000 mds DA de soutien multiforme au développement économique et 100 mds DA de concours au développement local. Le solde global du Trésor pour l’exercice 2019 affichera un déficit de près de 2.200 mds DA. Aucune nouvelle taxe prévue:   Dans son volet législatif, le PLF 2019 se limite à des mesures destinées notamment à améliorer la gestion des finances publiques ainsi qu’à renforcer la lutte contre la fraude. On y retrouve aussi des mesures en faveur du développement, telle que la bonification totale des intérêts sur les crédits bancaires destinés à l’AADL pour la construction de 90.000 nouveaux logements. De surcroît, aucune nouvelle taxe ou augmentation des prestations publiques n’est proposée dans ce projet de loi. Lors de l’approbation du PLF 2019 par le Conseil des ministres, le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait relevé la « prudence » qui a marqué la préparation du projet de budget pour l’année prochaine, « afin de ne pas exposer le pays aux possibles retournements du marché mondial des hydrocarbures ». Il avait, en outre, fait part d’un début de mise en œuvre de ses directives pour une rationalisation de la dépense publique de l’Etat. APS

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Métro d’Alger : réalisation de deux nouvelles extensions

Tue, 10/23/2018 - 15:39

Selon les informations de TSA Arabi le gouvernement a levé le gel sur deux nouvelles lignes du métro d’Alger.

En effet la première relierait la Place des martyrs à Bab El Oued et la seconde El Harrach à Baraki.

Des appels d’offres seront lancés afin de sélectionner les entreprises de réalisation de ces deux tronçons.

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Chine: Xi Jinping inaugure le plus grand pont maritime du monde

Tue, 10/23/2018 - 15:31
Le président chinois Xi Jinping a inauguré mardi le plus grand pont maritime au monde, un ouvrage colossal reliant Hong Kong, Macao et la Chine continentale, au moment où Pékin renforce son emprise sur l’ex-colonie britannique.

Cette infrastructure d’un total de 55 kilomètres alterne un long pont autoroutier serpentant au-dessus des eaux de l’estuaire de la Rivière des Perles et un tunnel sous-marin. Elle permet de connecter à l’est, l’île hongkongaise de Lantau avec, à l’ouest, l’ancien comptoir portugais de Macao et la ville de Zhuhai dans la province de Guangdong. Sur le trajet, les automobilistes passeront par des îles artificielles et des échangeurs gigantesques.

Le pont ne doit ouvrir que mercredi 24 octobre à la circulation, au lendemain de son inauguration. « Je déclare officiellement ouvert la pont Hong Kong-Zhuhai-Macao », a déclaré le président chinois dans une très brève allocution lors d’une cérémonie à Zhuhai, avant qu’un écran géant ne diffuse derrière lui un montage vidéo figurant des feux d’artifices sur le gigantesque ouvrage.

La cheffe de l’exécutif hongkongais, Carrie Lam, avait auparavant pris la parole pour remercier le président chinois de s’être déplacé en personne et louer la « magnificence » du pont. Le chantier pharaonique, qui a commencé en 2009, a été marqué par de nombreux retards, des dépassements de coûts, des poursuites pour corruption, mais aussi le décès d’ouvriers.

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Catastrophes naturelles : pour des actions concertées et plus efficaces lors de situations d’urgence

Tue, 10/23/2018 - 15:26

Le traitement des situations provoquées par des catastrophes naturelles, compliqué au plus haut point par le non respect des normes urbanistiques,  est, de plus, mis à mal par des lacunes en matière d’alerte et de prévention.

En matière d’approche de ces phénomènes, le directeur général du Centre de recherche en astronomie, en astrophysique et en géophysique met en avant « la pression urbanistique » observée durant les années 80 et 90, dont il note qu’elle pourrait donner lieu à des risques majeurs.

Intervenant, mardi, à la chaine 3 de la Radio Algérienne, M. Abdelkrim Yéles  n’en relève pas moins que des efforts ont été entrepris pour corriger ces types de problèmes.

Citant en exemple les précédents crées des suites du séisme de Boumerdés, le 21 mai 2003, il signale que le débat tourne davantage autour du renforcement des capacités de mobilisation de l’ensemble des acteurs à intervenir de façon « concertée et efficace » lors de situations d’urgence.

Il souligne que la réduction des effets provoqués par des risques majeurs reste toujours tributaire d’un certain nombre de maillons autour desquels tous les intervenants doivent être acteurs.

En matière de compréhension du phénomène sismique, le DG du CRAAG affirme, par ailleurs, que de grandes avancées ont été réalisées permettant, dit-il, de mieux connaitre les mécanismes de sismicité. Il fait état, à ce propos, de l’installation au nord de l’Algérie, de près d’une centaine de capteurs GPS, en plus des 60 déjà opérationnels, destinés à enregistrer la dérive de la partie nord de l’Afrique vers l’Europe.

Des 10 risques majeurs connus, il considère, d’autre part, qu’il reste à entreprendre un ensemble de  mesures propres « pour y faire face », ou tout au moins, à en limiter les effets.

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Sinistres routiers : 30 tués et 1.015 blessés en une semaine

Tue, 10/23/2018 - 15:15

Trente personnes ont été tuées et 1.015 autres blessées des suites de 930 sinistres routiers survenus  à travers le pays, entre le 14 et le 20 octobre, annonce un communiqué rendu public, mardi, par la Protection civile.

Le bilan le plus lourd a été relevé dans la wilaya d’Ain Defla où a été constaté le décès de deux personnes, cinquante autres ayant été blessées dans 38 accidents.

Les éléments de la Protection civile ont, d’autre part, effectué durant cette même période, 791 interventions pour procéder à l’extinction de 547 incendies urbains et industriels, a ajouté la même source.

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Abstention algérienne

Tue, 10/23/2018 - 15:06

Les autorités algériennes se sont, prudemment, abstenues de faire des déclarations de soutien à l’Arabie Saoudite dans les jours qui ont suivi la disparition d’un journaliste de ce pays dans le consulat saoudien d’Istanbul. C’est ce que révèlent des sources dignes de foi en précisant que les autorités de Riyad avaient multiplié les sollicitations, y compris au niveau de la présidence de la République, afin d’«arracher» un soutien d’Alger à la position saoudienne, comme cela avait été le cas lors de la crise entre Riyad et Ottawa sur la question du respect des droits de l’Homme.

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Yémen: 14 millions de personnes menacées par la famine

Tue, 10/23/2018 - 14:59

Si la situation actuelle venait à perdurer au Yémen, environ 14 millions de personnes pourraient se trouver en situation de pré-famine dans les mois à venir, s’est inquiété le Secrétaire adjoint de l’ONU pour les Affaires humanitaires, Mark Lowcock. 

« La situation humanitaire au Yémen est la pire au monde. 75% de la population, soit 22 millions de personnes, ont besoin d’une aide et de protection, dont 8,4 millions sont en situation d’insécurité alimentaire grave et dépendent d’un apport en nourriture urgent », a fait savoir celui-ci à l’intention des quinze membres du Conseil de sécurité.

« Dans le pire cas, a-t-il ajouté, ce chiffre de 8,4 millions pourrait augmenter de 5,6 millions, mettant le nombre total de personnes au Yémen en conditions de pré-famine à 14 millions ».

Le 16 octobre, le Programme alimentaire mondial (PAM) avait annoncé craindre que jusqu’à douze millions de personnes pourraient être touchées par la famine dans les mois à venir.

« La crise alimentaire au Yémen est directement liée au conflit » qui sévit dans le pays, a encore rappelé M. Mark Lowcock.

Pour faire face à la crise, la poursuite de dons généreux est capitale, tout comme le maintien et même le développement des importations via tous les ports, a-t-il souligné.

Depuis 2015, le Yémen est soumis à une guerre opposant les rebelles Houthis, qui contrôlent le port d’Hodeida et la capitale Sanaa, à une coalition de pays Arabes sous commandement Saoudien.

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Séance plénière mercredi pour élire un nouveau président de l’APN

Tue, 10/23/2018 - 14:54

ALGER- L’Assemblée populaire nationale (APN) tiendra  mercredi une séance plénière qui sera consacrée à l’adoption du rapport de la Commission des Affaires juridiques, administratives et des libertés relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’APN et l’élection d’un nouveau président de l’Assemeblée en remplacement à Said Bouhadja qui a fait l’objet d’un retrait de confiance de la part de la majorité des députés.

Le Bureau de l’APN a décidé, lundi, de tenir une plénière, ce mercredi, qui sera consacrée à l’adoption du rapport de la Commission des affaires juridiques, administratives et des libertés relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’Assemblée et sera procédé, par la suite, à l’élection d’un nouveau président de l’APN, dont le poste avait été déclaré, la semaine dernière, vacant après la signature par la majorité des députés (351) d’une motion de retrait de confiance au président de l’APN dans laquelle il ont exigé sa démission. 

Le Bureau de l’APN avait décidé également de saisir la Commission des affaires juridiques, administratives et des libertés afin de soumettre le rapport relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’Assemblée dans un délai n’excédant pas une semaine.

L’élection du président de l’APN est régie par la Constitution, la Loi organique fixant l’organisation et le fonctionnement de l’APN et du Conseil de la Nation ainsi que les relations fonctionnelles entre les chambres du Parlement et le gouvernement, et le règlement intérieur de l’Assemblée.

Selon cette loi organique, le président de l’APN est élu conformément aux dispositions de l’article 131 de la Constitution. Le règlement intérieur précise les modalités de cette élection.

En effet, selon l’article 10 du règlement intérieur de l’APN, en cas de vacance de la présidence de l’APN par suite de démission, d’incapacité, d’incompatibilité ou de décès, il est procédé à l’élection du président de l’Assemblée suivant les mêmes modalités prévues par le règlement intérieur  dans un délai maximum de 15 jours à compter de la déclaration de la vacance.

Le Bureau de l’APN se réunit obligatoirement pour constater la vacance et saisir la Commission chargée des affaires juridiques.

La Commission élabore un rapport constatant la vacance et le soumet en séance plénière à l’adoption de la majorité des membres de l’Assemblée.

Dans ce cas, l’opération de l’élection est dirigée par le doyen des vice-présidents non candidat assisté des deux plus jeunes membres de l’APN.

Selon l’article 3 du règlement intérieur de l’APN et conformément à l’article 114 de la Constitution et l’article 11 de la loi organique fixant l’organisation et le fonctionnement de l’APN et du Conseil de la Nation ainsi que les relations fonctionnelles entre les chambres du Parlement et le Gouvernement, le président de l’APN est élu au scrutin secret en cas de pluralité de candidats.

Le candidat ayant obtenu la majorité absolue des députés est déclaré élu.

En cas d’absence de majorité absolue, un deuxième tour est organisé entre les deux premiers candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix.

Le candidat ayant obtenu la majorité est déclaré élu. En cas d’égalité des voix, le candidat le plus âgé est déclaré élu. En cas de candidat unique, l’élection est effectuée à main levée et il est déclaré élu s’il obtient la majorité des voix.

Neuf personnalités se sont succédées à la tête de l’APN depuis 1977 : Rabah Bitat, Abdelaziz Belkhadem, Abdelkader Bensalah (président de Conseil national de transition) de mai 1994 à mai1997 puis président de l’APN de mai 1997 à juin 2002, Karim Younes, Amar Saâdani, Abdelaziz Ziari, Mohamed Larbi Ould Khelifa et Saïd Bouhadja.

Ferhat Abbes a été président de l’Assemblée constituante de septembre 1962 au mois d’août 1963, Hadj Benala a été président de l’Assemblée nationale d’août 1963 à juin 1965 et Reda Malek a assuré la présidence du Conseil consultatif de 1992 à 1994.

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L’Etat oeuvre continuellement pour garantir un climat de pluralité médiatique

Tue, 10/23/2018 - 14:47

ALGER – Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane a soutenu lundi à Alger que l’Etat oeuvrait « continuellement » pour garantir un climat de pluralité médiatique pour assurer un exercice professionnel du métier.

« L’Etat oeuvrait continuellement pour garantir un climat de pluralité médiatique pour assurer un exercice professionnel du métier, notamment à la lumière de la révolution de l’information », a-t-il indiqué lors de la cérémonie de remise du prix du président de la République du journaliste  professionnel attribué à l’occasion de la Journée nationale de la presse en présence des membres du gouvernement.

La 4ème édition du prix du président de la République du journaliste professionnel, organisée sous le thème «  »Vivre ensemble en paix », a été marquée par le recueil de 286 dossiers dans différentes catégories de la presse .

M.Kaouane a ajouté que l’Algérie avait assuré des garanties juridiques « conséquentes » et de « grandes » facilitations à même de permettre au journaliste d’accomplir correctement son travail d’information du citoyen.

M.Kaouane a rappelé que le président de la République avait indiqué dans son message adressé à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de la presse que « le souci de l’Algérie de développer une presse nationale professionnelle et indépendante s’est manifesté aussi à travers les nombreuses réformes introduites dans la Constitution de notre pays.

Des  réformes visant à consolider la liberté de presse et le droit des médias à l’accès à l’information en plaçant cette profession sous le couvert de la loi, qui protège toutes les libertés et impose le respect de tous les devoirs ».

Le ministre de la Communication a indiqué que les médias nationaux avaient contribué à la défense des peuples dans leur combat pour l’indépendance et leur dignité humaine, bâtissant ainsi une atmosphère de paix pour un vivre ensemble dans la concorde, le pardon et la solidarité.

M.Kaouane a également indiqué que le président Bouteflika avait soutenu que « souligner les insuffisances existant à travers notre vaste pays ou les dérives enregistrées ici et là, est une contribution précieuse de nos médias au redressement de la situation et au renforcement de l’Etat de droit ».

« Partant, je vous exhorte, vous journalistes, de jouer votre rôle dans ce sens et de contribuer à l’orientation de la société vers le droit chemin, en vous assurant de la protection de lEtat et de la Loi », a ajouté le chef de l’Etat.

« Notre patrie attend de nous de la servir avec dévouement et abnégation, d’agir pour la manifestation de la vérité au service du pays et de son peuple et de veiller à la préservation de son intégrité, et à la sensibilisation à l’importance de sa sauvegarde », a encore souligné le président de la République.

M.Kaouane a relevé que le peuple algérien était à la tête des peuples qui mesurent totalement la valeur de la paix, car a-t-il indiqué, il avait payé le prix fort avec le sacrifice de ses meilleurs martyrs et moudjahidines à travers l’histoire.

Il a indiqué que le traitement des sujets relatifs à la paix permettait aux journalistes de s’insérer par anticipation dans les programmes de développement humain durable, notamment en messager de la paix, ajoutant que le courage et le libre exercice du métier sont des éléments essentiels ayant permis de faire face aux discours de la violence, de division et de la haine pour ainsi mobiliser l’opinion à la défense des valeurs de paix et de la solidarité.

Il a relevé que les valeurs qui sont le dénominateur commun entre les algériens avaient besoin d’effort collectif pour les inculquer aux générations futures, puisque ces valeurs sont l’héritier naturel de ceux qui se sont sacrifiés pour ce pays.

M.Kaouane a indiqué que les professionnels des médias ont pour tâche de faire prévaloir le langage du dialogue et de la solidarité au sein de la société, ainsi que de propager l’idée selon laquelle les Algériens ont la puissance pour tisser la paix, la réconciliation et la concorde.

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Les journalistes appelés à contribuer à la préservation de la paix et de la stabilité

Tue, 10/23/2018 - 14:44

ALGER- Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a appelé, lundi à Alger, les journalistes à poursuivre leurs efforts pour préserver la paix et la stabilité dont jouit l’Algérie, dans le but de réaliser le développement global.

Intervenant lors d’une cérémonie organisé en l’honneur des journalistes, à l’occasion de la journée nationale de la presse, M. Bedoui a exhorté les journalistes et les médias à « poursuivre leurs efforts pour préserver la paix et la stabilité dont jouit l’Algérie aujourd’hui grâce à la vision éclairée du président de la République, Abdelaziz Bouteflika afin de concrétiser un développement national global au service du citoyen en premier lieu ».

Il a appelé également  les journalistes de la nouvelle génération à « s’ériger en rempart contre toute tentative visant à menacer l’identité nationale et la cohésion sociale », soulignant qu' »en dépit des complots ourdis, ça et là, je demeure convaincu que vous ne ménagerez aucun effort pour le maintien de la sécurité culturelle, morale et religieuse de votre pays ».

M.Bedoui a mis en avant l’importance de « publier des informations crédibles à même de renforcer l’unité nationale et préserver les constances de la nation ».

Il a ajouté que la presse constituait « un partenaire » de son département, un accompagnateur dans le suivi des ateliers relevant de son secteur, de par « son rôle primordial d’intermédiaire qui transmet les préoccupations et  les aspirations du citoyen ». 

M.Bedoui s’est félicité des « grands pas franchis par les médias qui jouissent d’une large marge de liberté d’expression », mettant en avant « les nouveaux acquis réalisés par l’Algérie dans ce domaine grâce à la décision du président de la République, Abdelaziz Bouteflika oeuvrant à la constitutionnalisation de la liberté de la presse ».

Au terme de la cérémonie, M. Bedoui a rappelé que « cet événement est placé sous le thème +vivre ensemble en paix+, au vu du rôle que jouent les médias dans la consécration de la culture de réconciliation, de tolérance, de coexistence, et l’esprit du travail en équipe dans le processus de construction du pays ».

Ces médias doivent « oeuvrer à écarter tout ce qui pourrait porter atteinte aux valeurs nationales et semer la Fitna entre les enfants de l’Algérie,  tout en veillant à préserver la paix », a-t-il conclu.

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L’importance de la formation pédagogique et de la performance des inspecteurs, soulignée

Tue, 10/23/2018 - 14:42

EL OUED- La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit a mis en avant ,lundi à El Oued, l’importance de la formation pédagogique et la qualité de la performance d’orientation des inspecteurs dans l’amélioration du rendement pédagogique à l’école.

S’exprimant lors d’une rencontre avec les cadres du secteur de l’éducation à la grande salle des réunions au siège de la wilaya, Mme Benghabrit a affirmé que son département ministériel accordait un intérêt particulier au mécanisme de la formation notamment au profit des inspecteurs et directeurs des établissements scolaires, partant de leur rôle important dans la réalisation des objectifs visant à concrétiser le projet de « l’école de qualité ».

La ministre de l’Education nationale a souligné, à ce propos, l’intérêt accordé par ses services à la concrétisation de cette stratégie de formation en faveur de cette catégorie en vue d’améliorer les pratiques pédagogiques à l’intérieur des classes, renforcer les compétences de médiation et de règlement des conflits, et ce eu égard du rôle important de ces catégories dans « la résolution des conflits entre les élèves, les enseignants, les parents d’élèves et l’administration ».

Dans le cadre du programme de formation élaboré, Mme Benghabrit a indiqué qu’il a été procédé durant la précédente année scolaire à la formation de 181 directeurs d’établissement en matière de direction des projets, ajoutant que 1215 inspecteurs d’administration et de gestion financière ont  suivi une formation sur la médiation et le règlement des conflits.

Il s’agit également de la formation de 586 inspecteurs en matière de lutte contre la corruption, en sus de 1965 sessions de formation en faveur des directeurs et directeurs adjoints ainsi que 641 formations pour les inspecteurs.

Elle a ajouté, à ce propos, que son département misait sur le rôle primordial des inspecteurs et directeurs d’établissements scolaire, notamment en matière d’orientation, de conseil et de consultation, des  axes, a-t-elle dit, aussi bien important que celui du contrôle pour la performance des enseignants.

Mme Benghabrit a plaidé, dans le même cadre, pour l’obligation de former l’identité professionnelle des travailleurs du secteur de l’Education, à travers le mécanisme de formation, car,a-t-elle ajouté, cette identité professionnelle n’est ni accordée ou acquise, elle est développée dans les instituts de formation et se nourrit de la pratique quotidienne de l’enseignant professeur en milieu professionnel.

Concernant la circulaire-cadre relative aux « séances de remédiation pédagogique » qui a suscité la consternation chez les partenaires sociaux, Mme Benghabrit a affirmé dans une conférence de presse en marge de sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya d’El Oued, que cette circulaire est la résultante d’un travail mené par des experts, durant plus de quatre (04) années, et qui a prouvé son impérieuse nécessité en vue de remédier au déficit relevé dans l’instruction éducative et pédagogique chez les élèves.

Cette circulaire n’est pas obligatoire, mais le choix de son application revient au professeur,a-t-elle soutenu, relevant que ses services avaient relevé que plusieurs enseignants avaient effectué des séances de remédiation pédagogique, en vue d’améliorer l’instruction scientifique de leurs élèves, car,poursuit la ministre, ces séances ont eu lieu, d’ailleurs, en réponse aux revendications d’une grande catégorie des enseignants.

La ministre de lEducation nationale, Nouria Benghabrit a effectué, lundi matin, une visite d’inspection dans l’école primaire Larbi Benni 02  dans le commune de Guemar, et procédé à l’inauguration du groupement scolaire baptisé au nom de cheikh Sidi Hmida Yanboui dans la commune de Taghezout,

en sus d’un lycée de 800 places, baptisé au nom du défunt Sandid Mohamed Mounib réalisé dans la commune de Kouinine.

La ministre a inspecté aussi, au quartier Taksebt au centre-ville à El-Oued, le collège denseignement moyen Tyr Hocine et a inauguré, par ailleurs, une école primaire baptisé du nom du Chahid Ferhat Hmida Bachir.

Mme Benghabrit s’est rendue, ensuite, au siège de la radio d’El Oued où elle était invitée à une émission spéciale diffusée en direct.

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Lakhdar Brahimi: « L’Algérie a joué des rôles historiques pour le rétablissement de la paix »

Tue, 10/23/2018 - 14:40

ALGER – L’Algérie a joué des « rôles historiques très importants » pour le rétablissement de la paix et de la sécurité dans le monde, a soutenu lundi soir à Alger le diplomate et ancien ministre des Affaires étrangères, Lakhdar Brahimi.

« L’Algérie a joué effectivement des rôles historiques très importants pour le rétablissement de la paix et de la sécurité », dans le monde a-t-il indiqué, en marge de la cérémonie de remise du prix du président de la République du journaliste professionnel attribué à l’occasion de la Journée nationale de la presse en présence des membres du gouvernement.

m.Brahimi a ajouté, dans ce sens que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a accompli beaucoup d’exploits et s’est illustré lorsqu’il était ministre des Affaires étrangères durant les années 70, alors qu’il présidait l’Assemblée générale des Nations unies, permettant l’entrée du leader charismatique palestinien Yasser Arafat dans les travées de l’ONU et de chasser les représentants sud-africains qui incarnaient le régime de l’Apartheid.

« Ses postions (Bouteflika) et les positions de l’Algérie sont innombrables et très honorables », a-t-il affirmé.

S’adressant aux journalistes, M. Brahimi a indiqué qu’ils devaient être à la hauteur de la responsabilité qu’il leur incombait, en fonction de l’intérêt du pays et du monde aujourd’hui et demain, rendant au passage hommage au président Bouteflika pour avoir institué cette journée nationale de la presse.

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Ould Kaddour appelle les travailleurs à plus d’engagement

Tue, 10/23/2018 - 10:14

Ghania Oukazi

  Ould Kaddour a mis hier en avant « l’implication de Sonatrach dans la vie sociale dans toute région dans laquelle elle travaille » et appelle les travailleurs à «plus d’engagement et plus de participation dans l’entreprise».

Dans son point de presse habituel qu’il accorde dans le salon de l’aéroport, le PDG a précisé aux journalistes que «Sonatrach construira le complexe intégré (social, culturel, médical, sportif…) dans la nouvelle ville de Ouargla. Sa rencontre avec les représentants syndicaux, il la voulait, a-t-il dit, «pour préparer un programme de travail commun en vue de définir ce qu’on peut faire ensemble pour prendre en charge des travailleurs parce que la qualité de vie est un élément essentiel pour l’entreprise». Il insistera encore sur «les travailleurs qui doivent eux aussi s’occuper de l’entreprise». Il les appelle à «plus d’engagement, plus de participation». Il a fait savoir, par ailleurs, qu’il a rencontré le recteur de l’université de Ouargla «pour signer ensemble une convention pour la prise en charge des 20 meilleurs étudiants de chaque filière, les recruter à notre niveau et si besoin, perfectionner leur formation». C’est pour, dit-il, «préparer les futurs employés de Sonatrach». Il affirme que «toutes les entreprises doivent prendre des étudiants pour des stages de formation». Au titre de la «responsabilité sociétale» de Sonatrach, Ould Kaddour a fait savoir qu’à chacune de ses sorties sur le terrain, «je veux rencontrer les représentants de la population, il faut qu’on développe la proximité avec les gens, là où on va, on tient à rencontrer les locaux». A propos du sponsoring des clubs sportifs de Ouargla, il notera que «ce ne sont pas des sommes énormes qu’ils demandent, juste un peu d’organisation».

Le 1er responsable de Sonatrach a affirmé hier que «Hassi Messaoud est un très grand champ de plus de 1.000 puits, mais des centaines d’unités ne fonctionnent pas». Actuellement, l’unité de traitement du brut sud (UTBS) produit, selon lui, 240.000 barils/jour, on peut raccorder d’autres puits à cette installation». Pour cela, il indique avoir «demandé un bilan sur les capacités des puits, des champs de Hassi Messaoud». Il rappelle que l’un des objectifs de la SH 2030, c’est «améliorer le fonctionnement de tous nos champs, on a des tests en cours, on utilise plusieurs techniques, on va voir les résultats bientôt». Il est persuadé que «si on ajoute 1% à Hassi Messaoud, ce sont des millions de tonnes que nous récupérerons». L’UTBS est conçue «pour traiter la totalité du pétrole brut du champ sud de Hassi Messaoud». Elle a été réalisée par SAIPEM et mise en service en septembre 2010. Ses techniciens sur le site affirment que «nous avons atteint 98% de nos prévisions en matière de production». Mais ils précisent que « les 240.000 ou même 300.000 barils/jour, ce sont des chiffres qui changent en fonction des pannes, des arrêts des équipements et autres…». Pour eux, «il faut parler de production actuelle et non réelle». L’USTB possède «3 trains de traitement identiques de capacité de 100.000 barils/jour, 4 moto-compresseurs pour la prise en charge des gaz associés et leur expédition vers les unités GPL, une unité de traitement des eaux huileuses d’une capacité de 120 m³/h, 4 bacs de stockage d’une capacité de 50.000 m³ chacun et un bac pour les produits off spec d’une capacité de 20.000 m³, et une pomperie d’expédition de brut vers Haoud El Hamra». L’USTB est initialement «destinée pour le traitement du brut séparé provenant de 6 unités satellites sud».

Ould Kaddour fera savoir que «les 29 et 30 octobre prochains, Sonatrach organisera au CIC d’Alger une rencontre sur les énergies qui réunira les plus grandes compagnies du monde (Total, BP, Statoil, ENI…) ainsi que des personnalités du monde du pétrole et du gaz». La rencontre est, selon lui, «pour échanger des informations sur ce qui se développe dans le domaine des énergies (offshore, solaire…). Le mois prochain, Ould Kaddour inaugurera la station solaire de Bir Aanour de Hassi Rmel de 10 MW.

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Categories: Afrique

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