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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 23 hours 29 min ago

Avant-première du documentaire « Joyeuse Saga des Canaris »

Tue, 07/31/2018 - 15:07

TIZI-OUZOU- C’est un flash back émouvant sur une page glorieuse de la Jeunesse sportive de Kabylie (JSK), club de football le plus titré d’Algérie, que les amoureux du ballon rond ont apprécié lundi à l’occasion de la projection de l’avant première du film documentaire « 1946/1996 : la Joyeuse Saga des canaris ».

Ce documentaire de 90 mn réalisé par Abdarrazak Larbi Cherif, projeté, en fin d’après-midi à la maison de la culture Mouloud Mammeri devant un public composé notamment d’anciens joueurs et cadres de la JSK, de l’actuel président de ce club Cherif Mellal, de supporters et d’artistes de la  région, consacré à 50 ans de gloire des canaris, a été reçu avec des applaudissement par le public.

« 1946/1996 : La Joyeuse Saga des Canaris », est un film consacré à une période où les canaris dominait le football national et africain. Le film qui s’ouvre sur des témoignages et des scènes d’archives de victoires de l’équipe et de liesse des supporter, raconte comment la JSK est né pour faire face a un déni que subissait les footballeurs algériens au sein de l’équipe crée par l’administration coloniale de l’époque à savoir l’Olympique de Tizi-Ouzou (OTO) composée essentiellement de Français.

Née dans ce contexte, le destin de la JSK est tout tracé, celui de porter haut le foot algérien et la voix d’une région révoltée contre le mépris de l’administration coloniale française. Devenu un élément rassembleur de toute une région, c’est naturellement que ce club à endossé à partir des  années 1970, la revendication identitaires amazighe, témoignent d’anciens  joueurs dans le film en soulignant qu’ils n’avaient « fait que leur devoir ».

Quelques anecdotes justement dosées agrémentent le documentaire construit de témoignages de ceux qui ont fait de la JSK un grand club et d’artistes dont Matoub Lounes et Lounis Ait Menguellet, et d’autres personnalité de la région, d’archives de la Télévision algérienne, de photos, et d’articles de presse.

La projection a été ponctuée d’applaudissements de la part de l’assistance, nostalgique, exprimant ainsi sa reconnaissance à ceux qui ont fait de la JSK un grand club de football et sa satisfaction quant au travail fait par le réalisateur. Ce dernier a eu droit une standing-ovation, a la fin du film, a-t-on constaté.

Lors des débats qui ont suivis la projection des anciens joueurs ont relevé quelques omissions, notamment des noms qui n’ont pas été cité Mouloud Iboud qui a rendu un vibrant hommage au réalisateur pour ce documentaire « réussi » même si il y a « quelques oublis ».

Il a relevé la difficulté de raconter 50 ans de parcours de la JSK « il faudra plusieurs heures pour tout rapporter », a-t-il dit avant de souhaiter que M. Larbi cherif réalise la suite du parcours de ce club (de 1996 à ce jour).

De son côté l’actuel président de la JSK Cherif Mellal a salué le travail du réalisateur qui « nous encourage a fournir tout nos efforts pour continuer à écrire la légende de la JSK. Ce film est pour nous, une occasion éd nous nous ressourcer pour poursuivre le travail de nos ainés et essayer de faire comme eux sinon mieux ».

Rencontré en marge de la projection, Aderrazak Larbi Cherif a indiqué à l’APS, qu’il était « très content de la forte présence et de la réaction du public à son film ». Il a ajouté qu’il a pris acte des observations faites par d’anciens joueurs concernant quelques oublis et compte apporter des  correctifs.

Il a aussi exprimé son intention de faire la deuxième partie de la saga de la JSK « pour raconter cette histoire qui continue et que j’espère sera plus flamboyante et plus positive et que la JSK puisse retrouver son niveau d’avant ».

Concernant la diffusion de ce documentaire il a fait savoir qu’il compte entamer des démarches auprès des services compétents pour lui assurer une large audience. « Mon souhait est que ce film soit vu dans toute l’Algérie » a-t-il dit.

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Ahmed Boutoumi, président du SNTMA, à l’expression: « Notre problème réside dans la disparité salariale »

Tue, 07/31/2018 - 14:57

Par Massiva ZEHRAOUI

Dans cet entretien, le président du Sntma, Ahmed Boutoumi, a réagi à la décision de la cour de justice de Dar El Beida, portant sur le gel de son préavis de grève qui devait prendre effet, aujourd’hui même, à 7h du matin. Il s’est également étalé sur les causes qui ont entraîné la grogne des techniciens de la maintenance des avions.

L’Expression: Quelques jours après avoir déposé votre préavis de grève, la justice a ordonné son gel, comment votre syndicat a-t-il pris cette décision?
Ahmed Boutoumi: Comme vous le savez sans doute, la prise d’une telle décision est loin de nous enchanter et nous désole complètement. Et pour cause, celle-ci n’a aucun fondement juridique. Le plus déplorable dans tout ceci, c’est que nous avons religieusement suivi toutes les procédures réglementaires inhérentes aussi bien à la convention collective qu’à la loi de travail dans la création du dossier de préavis de grève que nous avons par la suite et dans les normes, soumis à la direction générale et l’inspection du travail de la wilaya d’Alger. Par ailleurs, nous ne comprenons toujours pas sur quel loi ou texte s’est basée la cour de Dar El Beïda pour se prononcer contre la légalité de notre grève. Quand bien même ce jugement est «légitime», je demande à cette cour de nous donner ce sur quoi elle s’est appuyée avant d’ordonner cette sentence, peut-être serions-nous convaincus.

Que comptez-vous faire à présent?
Eh bien, il est clair que nous ne sommes pas en mesure d’aller contre le sens de la justice, cela n’est aucunement notre but, nous ne sommes pas des hors-la-loi. Ainsi, on est dans l’obligation de respecter cette décision, qui ne nous ravit nullement. Ce que nous avons fait en revanche, c’est de répondre par des arguments pertinents à ceux qui nous ont été présentés par la cour de Dar El Beïda, après avoir décrété l’illégalité de notre grève. Après, cela ne veut pas dire pour autant que nous renonçons à poursuivre notre combat pour arracher nos droits les plus vitaux, et ce, jusqu’au respect des clauses comprises dans la convention collective signée en 1999 par le Sntma et la compagnie aérienne.

Justement, vous ne cessez d’évoquer le fait que la direction d’Air Algérie, depuis la signature de cette convention, n’a fait que contourner les points qui y sont inclus, de quoi s’agit-il au juste? 
Pour simplifier les choses, il faut savoir que ladite convention régit les questions relatives au statut de notre corporation, notamment en ce qui concerne le volet salarial. Sur ce point par exemple, il est stipulé que dans la classification du personnel de la compagnie nationale, les mécaniciens de la maintenance occupent le deuxième plus important rôle après les pilotes. Cela est d’ailleurs le cas dans toutes les compagnies aériennes du monde entier. Je tiens à souligner que beaucoup de personnes ne savent pas, que le commandant de bord ne reçoit le signal pour décoller qu’après que les techniciens aient vérifié l’état de l’appareil et donné leur feu vert. Ainsi, c’est une grande responsabilité que nous portons sur les épaules, car la sécurité de centaines de vies humaines dépend en grande partie de nous. Notre problème maintenant, réside entre autres dans une disparité salariale criante. Trouvez-vous normal qu’un steward ou une hôtesse de l’air, à titre d’exemple, perçoive le triple de notre salaire? Et encore, nous sommes lésés par rapport à tout le reste du personnel. C’est sur cette injustice salariale que nous avons notre principale doléance. Tout ce que nous demandons de notre direction générale, c’est de respecter cette clause du contrat.

Air Algérie avait procédé à une large augmentation des salaires qui a touché tout son personnel, jugez-vous avoir été lésés par rapport aux autres?
Je tiens au préalable à insister sur le fait que notre syndicat n’a jamais été contre une quelconque augmentation des salaires concernant le personnel d’Air Algérie dans sa globalité. Par contre, nous avons dénoncé le fait qu’en dépit de notre classification dans la convention locale, là encore notre augmentation à été minime par rapport au reste des employés.
Là encore, nous avons été relégués au dernier plan. Cela dure depuis beaucoup trop longtemps, nous en avons assez des justifications des responsables de la direction. Il n’y a pas si longtemps que ça, ils se plaignaient de la situation financière d’Air Algérie, or, il n’en est rien. Preuve en est, ils ont opéré des augmentations signifiantes pour certains. L’entreprise se porte visiblement très bien, pourquoi alors sommes-nous toujours mis sur la touche? Telle est la question qui nous turlupine!

Prévoyez-vous d’entreprendre d’autres actions?
Tout ce que je peux dire, c’est que malgré la décision de la justice de geler notre préavis de grève, notre résolution à faire aboutir nos revendications n’est pas enrayée pour autant, nous ne renoncerons pas.

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Bientôt des F5 pour le social?

Tue, 07/31/2018 - 14:56

Est-ce une plaisanterie ou une réalité? Selon le site Observalgérie, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, a annoncé qu’une nouvelle formule de logement sera introduite au profit des demandeurs de logements sociaux, et ce pour satisfaire davantage la demande. Ainsi, les citoyens demandeurs de logements sociaux pourront bénéficier d’appartements de type F2, F3, F4 ou F5 selon plusieurs paramètres parmi lesquels le nombre de personnes qui sont à la charge du demandeur, a expliqué le ministre. Temmar a également indiqué que l’introduction de cette mesure – pour les demandeurs de logements sociaux – a également pour but de réduire le trop grand nombre de demandes sur les autres formules de logement proposées par l’État.

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Réputation Web des universités algériennes

Tue, 07/31/2018 - 14:52

L’université des Frères Mentouri de Constantine occupe la première place dans le classement australien UniRank pour l’année 2018, talonnée par l’université Kasdi Merbah de Ouargla, deuxième, et l’université Abou Bakr Belkaïd de Tlemcen, troisième. Ces trois établissements sont, selon le classement repris par TSA, les universités algériennes les plus présentes et les mieux réputées sur le Web. Les universités de Biskra, Béjaïa et Bab Ezzouar (Usthb) occupent respectivement les quatrième, cinquième et sixième places dans ce classement qui est uniquement basé sur la réputation Web des universités. Le classement utilise des données puisées dans des outils d’analyse de trafic sur le Web et ne prend pas en compte les performances académiques comme le nombre d’articles scientifiques publiés par l’université ou le nombre de références renvoyant à l’université trouvés dans des articles scientifiques, précise l’auteur de l’article.

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Autorisations urgentes requises pour l’importation des médicaments contre des maladies mortelles!

Tue, 07/31/2018 - 14:47

La cellule de vigilance au ministère de la Santé se réunira à la mi-août pour s’atteler à la recherche de solution à la crise de médicaments qui ne cesse de prendre de l’ampleur, sachant que pas moins de 150 médicaments indispensables pour les maladies de cœur, le rhumatisme, et des antibiotiques sont introuvables en pharmacie.

Ainsi, la cellule devrait signer des autorisations urgentes pour l’importation des médicaments destinés aux maladies chroniques.

En effet, le porte-parole du Syndicat national algérien des pharmaciens d’officine (SNAPO) a annoncé la tenue d’une rencontre à la mi-août qui réunira outre les pharmaciens, les responsables du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière en vue de chercher une issue à la crise des médicaments.

Le porte-parole du SNAPO a déclaré lundi à Echorouk qu’en dépit des interventions du ministre de la Santé, en donnant des instructions afin de solutionner la crise, celle-ci n’a cessé de prendre de l’ampleur, dont l’on recense la pénurie de 130 ou de 150 médicaments.

Ce qui nécessite, à ses yeux, d’agir vite, dont les pharmaciens privés interpellent la tutelle d’intervenir et de décider d’augmenter la production locale en médicaments, qui ne parvient visiblement pas à satisfaire les besoins du marché ainsi que pour signer les licences d’importation d’urgence.

Pour notre interlocuteur, il s’agit des médicaments administrés aux malades chroniques, dont celles du cœur, la tension, le rhumatisme, les antibiotiques, les anti-inflammatoires…, ajoutant que seul le médicament prescrit aux patients souffrant de diabète est disponible actuellement dans les rayons des pharmacies, dont l’insuline.

Interrogé sur une possibilité de la révision à la hausse des prix des médicaments, il a affirmé qu’il n’était pas envisageable, ajoutant que cette pénurie était provoquée par les programmes d’importation.

Selon lui, la solution est tributaire de l’adoption de nouvelles licences d’importation des médicaments.

Le représentant du SNAPO a fait savoir par ailleurs que l’Algérie compte 80 usines de fabrication de médicaments, soulignant que 100 autres usines seront inaugurées progressivement à compter de 2019, ce qui permettra de réduire de manière significative la facture d’importation des médicaments.

Force est de souligner que les Algériens sont les plus gros consommateurs de médicaments.

Imène Kimouche / Traduit par: Moussa. K.

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Bouazghi: «Les terres agricoles sont une ligne rouge à ne pas dépasser»

Tue, 07/31/2018 - 14:47

Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi,a indiqué que son département n’est pas dans la mesure d’intervenir sur les prix des moutons en raison du rôle limité des pouvoirs publics qui se limite à offrir des points de vente et assurer un encadrement sur le plan sanitaire.

«Nous ne pouvons pas maitriser les prix des moutons, du fait qu’ils sont dictés par la règle de l’offre et de la demande. Mon département se charge seulement de l’encadrement au niveau des abattoirs et points de vente et des normes sanitaires »,a-t-il ajouté ,lors d’une conférence de presse tenue en marge d’une visite de projets de son secteur à Alger.

S’agissant de la fièvre aphteuse, le premier responsable du secteur de l’Agriculture a fait savoir, que dans le but de mettre fin à cette épidémie, qu’une vaccination systématique sera effectuée pour l’ensemble du cheptel, ajoutant qu’un total de 178 vaches ont été contaminées dans cinq wilayas.

M.Bouazghi a notamment mis en garde contre les agressions répétées contre les terres agricoles : « nous avons reçus des instructions strictes de la part du Président de la République de ne pas toucher les terres agricoles fertiles dans toutes les régions du pays. « Nous allons travailler afin d’assainir le foncier agricole, conformément à la loi en vigueur. En effet, les terres fertiles, non exploitées, seront récupérées et redistribuées à ceux qui vont les travailler », a-t-il ajouté.

Saïd Batoul / version française: Rachel Hamdi

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Élimination d’un quatrième terroriste à Skikda

Tue, 07/31/2018 - 14:24

Le ministère de la Défense Nationale, vient d’annoncer la mise d’hors d’état de nuire du quatrième terroriste, et ce dans le cadre de l’opération de ratissage effectuée dans la wilaya de Skikda.

«Dans le cadre de la lutte antiterroriste et suite à l’opération de recherche et de ratissage dans la localité de Bissy, commune d’Azzaba, wilaya de Skikda, un détachement de l’Armée Nationale Populaire a abattu, le 30 juillet 2018, un quatrième terroriste et récupéré un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de munition »,affirme le communiqué du MDN.

Ainsi, le bilan de cette opération qui est toujours en cours, s’élève à la neutralisation de quatre  terroristes et la récupération de trois pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, un fusil semi-automatique de type Simonov et une quantité de munitions.

Rachel Hamdi

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Défense des intérêts des consommateurs : des associations s’impliquent

Tue, 07/31/2018 - 14:22

Désabusé ou bien mal informé, le citoyen Algérien, lorsque qu’il constaté qu’il a été floué par un commerçant, a très souvent tendance à abandonner au lieu d’en appeler aux services de police ou aux tribunaux.

Afin de les inciter à réagir lorsque ces droits sont foulés aux pieds par des marchands indélicats, des associations de consommateurs ont pris sur elles de prêter main forte aux personnes en butte à des dépassements, jusqu’à ce justice leur soit rendue.

Dans un reportage consacré à ce sujet, la chaine 3 de la Radio Algérienne a pris attache, mardi, avec le président de l’association Amal pour en savoir plus sur cette heureuse initiative.

M. Hassan Menouar explique qu’une fois qu’un litige a porté à sa connaissance, la responsabilité de son association consiste à tenter de le solutionner en le signalant immédiatement à la direction ou bien au ministère du Commerce et le cas échéant à assister le plaignant auprès des tribunaux en qualité de parti civile.

Un citoyen déclare avoir ignoré, à ce jour, cette initiative ajoutant qu’on est  généralement « arnaqué »,  il est bien difficile d’obtenir réparation. Un second dit sa satisfaction de voir les intérêts du consommateur enfin pris en compte et protégé, « ce qui, souligne-t-il, était rarement le cas par le passé ».

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Suzuki de Tahkout présente au Salon de l’automobile de Tlemcen

Tue, 07/31/2018 - 14:20

Le projet de la Suzuki made in bladi est en phase de concrétisation. La marque japonaise sera certainement présente sur nos routes dans un assez proche avenir. Sa première apparition devant le public algérien aura lieu au Salon de l’automobile de Tlemcen. L’assembleur de la Suzuki, Tahkout Motor Compagny, compte présenter les deux premiers modèles de la marque assemblée en Algérie, dans l’usine de TMC à Saïda. Ce seront les Suzuki Alto et Boleno qui feront leur entrée en premier sur le marché national. Assemblées localement, elles devraient être commercialisées la semaine prochaine.
Le seul hic à l’opération Suzuki de TMC reste celui des prix, dont on ne connaît encore rien du tout. Le patron de TMC a promis de faire mieux que la concurrence. On attendra pour voir.

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Saisie de la somme de 212.400 Euros à l’aéroport d’Alger

Tue, 07/31/2018 - 14:18

La somme de 212400 d’Euros a été retrouvée dans la valise d’un passager, à l’aéroport d’Alger. Ce dernier avait pour destination Istanbul en Turquie.

Les agents de la douane suspectent le passager qui a été par la suite soumis à une fouille approfondie.

L’affaire reste à suivre.

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Le pétrole à la baisse en Asie

Tue, 07/31/2018 - 13:01

Les cours pétroliers étaient orientés à la baisse, mardi en Asie, en raison des craintes sur la surabondance de l’offre. Vers 04H15 GMT, le baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en septembre, cédait 39 cents à 69,74 dollars dans les échanges électroniques en Asie. Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en septembre, reculait de 46 cents à 74,51 dollars.

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Oran-Est: 2 900 sociétés risquent d’être inscrites au fichier des fraudeurs

Tue, 07/31/2018 - 12:57

Par K. Assia

L’opération de dépôt légal des comptes sociaux de l’exercice 2017 conformément à la loi 04-08 du 14 août 2004 relative aux conditions d’exercice des activités commerciales, sera clôturée le 31 août.

Sur les 4 600 sociétés concernées par cette opération dans les six daïras que sont Bir El Djir, Gdyel, Oued Tlélat, Arzew, Béthioua et Es Sénia et que coiffe la direction du centre national du registre de commerce CNRC d’Oran Est, seulement 1700 sociétés ont déposé leurs comptes sociaux, ce qui représente un taux de 40%, selon un bilan arrêté au 29 juillet, a annoncé, hier, M. Djaâboub Omar directeur du CNRC Oran Est.

Le responsable appelle donc les 2 900 sociétés restantes à déposer leurs comptes sociaux avant le 31 août prochain, faute de quoi elles seront inscrites au fichier national des fraudeurs. Elles seront de ce fait exclues des bénéfices d’avantages fiscaux et douaniers liés à la promotion de l’investissement, du bénéfice des facilitations accordées par les administrations et n’auront plus accès aux marchés publics et au commerce extérieur. Les sociétés contrevenantes risquent en plus des pénalités administratives, des pénalités juridiques. La publication des comptes sociaux permet de recueillir toute l’information commerciale et financière du tissu économique, de structurer les banques de données et de les mettre au service des opérateurs économiques.

Elles sont obligatoires, selon notre interlocuteur, pour toute société commerciale inscrite au registre du commerce conformément à l’article n° 676 du code du commerce. Ces publicités concernent les Sociétés par action (SPA), les Entreprises unipersonnelles à responsabilité limitée (EURL), les Sociétés à responsabilité limitée (SARL), les Sociétés en nom collectif (SNC) et les Sociétés en commandite simple (SCS).

La direction du CNRC a organisé depuis le début de l’année plusieurs campagnes de sensibilisation et d’information au profit des opérateurs économiques et des journées portes ouvertes ont été aussi initiées afin de permettre aux sociétés de se conformer à la réglementation en vigueur.

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Précarité de l’emploi: 660.000 personnes ont perdu leur travail en 2017 !

Tue, 07/31/2018 - 12:41

Un avenir sombre pour l’emploi et surtout pour leschômeurs. Les enquêtes del’ONS confirment laprécarisation de l’emploi enAlgérie. Cette situation, quidonne froid dans le dos,révèle la réalité de laprécarité de l’emploi qu’offrele marché du travail en Algérie.

Pourtant, la norme nationale, édictée par la loi numéro 90-11 du 21 avril1990 relative aux relations de travail,est pour la permanisation de l’employépar un contrat à durée indéterminée(CDI) sans pour autantinterdire le recoursau contrat à durée déterminée (CDD),mais dans cinq cas bien précis.

Toutefois,en l’absence, voulue ou pas, de l’État, cette norme a complètement été déviéepour faire du CDI un privilège accordé parl’employeur et non un droit à tout employé dont la nature du travail l’exige. C’est dire que lesemplois précaires etsans aucune protection sociale prennentde l’ampleur dans tous les secteurs. Ils’agit d’une situation alarmante qui provoque des dégâts sur l’ordre social. Des dégâts quiaggraventla pauvreté et la précarité sociale. La question qui mérited’être posée est : où sont les partenaires sociaux (syndicats et les inspections detravail) ? Analysant le marché du travailsur le plannational, l’Office national des statistiques (ONS) livre des chiffres crus qui donnentfroid Des fourmis…

Ils sontplus d’un demi-million (660.000 exactement)Algériens à avoir perdu leur emploidurant l’année 2017 et jusqu’au moins d’avril 2018. « Les chômeurs ayant déjàtravaillé par le passésont estimés à 666,000 personnes, formant ainsi 46,5 %de la population en chômage; constituéemajoritairement d’hommes (74,3 %) »note le dernier rapport de l’ONS qui pointe le secteur privé réputé être un grosrecruteur mais aussi un gros producteur dechômeurs. Il y est précisé en effet que70,2 % de ces travailleurs ayant perdu leurjob étaient employés dans le secteur privéà cause de leur statut de non permanent.

On y apprend ainsi que 63 % des personnesconcernées par ces ruptures derelations de travail étaient recrutés sous le régime du contrat àdurée déterminée (CDD) qui permet aux patrons de sedébarrasser de ces collaborateurs à toutmoment. L’ONS souligne en effet que « 63 % ont quitté leur dernier poste d’emploi pour motifs de fin de contrat, de cessation d’activitéou de licenciement et 60% ont perdu leur emploi depuis moinsd’une année ». Plus inquiétant encore, le rapport indique que le taux de rupture desrelations de travail a connu un pic en avril2018 avec pas moins de 1.334.000 personnes licenciées soit une augmentation de…170.000 par rapport àla même période en 2017. Il y est noté également que les femmes constituent 56,4 % decette catégorie de chômeurs ayant perduleurs emplois et les moins de 30 ans ;c’est-à-dire les jeunes, constituent plus de la moitié de cette population (52,1 %).

Etce n’est pas tout. Les moins de 40 ans représentent 76,5%des travailleurs mis à la porte à cause des ces fameux CDD.Cette situation risque de compliquer la tâche des autorités qui assuraient la maîtrisede son sujet à chaque événement, malheureusement l’hémorragie sembleperdurer même avec la planche à billets qui a eu l’effet placebo sur la situationfinancière du pays. En tout cas, plusieurs données contenues dans l’enquête de l’ONS remettent en cause les chiffres officiels sur les dispositifs d’emploi et la création des entreprises.

Idir Ammour

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Temmar assure : « L’Etat continuera à accorder des aides considérables en matière de logement »

Tue, 07/31/2018 - 12:35
L’Etat continuera à accorder des aides  considérables en matière de logement pour améliorer la situation sociale  des citoyens, a affirmé à Alger le ministre de l’Habitat, de  l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar. Le ministre a indiqué, à ce propos, que dans le cadre des projets AADL,  l’Etat accorde des aides financières de 700.000 dinars  pour la réalisation des  logements et des réductions de 5000 DA dans la valeur du m2.  Le citoyen a bénéficié, dans ce cadre, d’un délai de 25 ans pour s’acquitter de 25 % de la valeur des logements, selon le premier  responsable du secteur. M. Temmar, qui a supervisé l’opération de distribution de 1.400 logements  de type AADL à Alger, a précisé que ces aides et autres dans les  différentes formules coûtent au Trésor public « des sommes colossales ».  Une enveloppe de 3,3 milliards USD a été débloquée pour la concrétisation  du programme 2018 portant sur la réalisation de 120.000 logements, a  rappelé le ministre qui a prévu l’enregistrement d’un nombre important de  programmes dans le cadre de la Loi de finances 2019.  Répondant à une question sur les fautes techniques relevées dans certains  logements livrés, M. Temmar a qualifié la situation d’ordinaire au vu du  volume de logements réalisés, précisant que le secteur s’emploie à suivre  ces cas. Le secteur prend en charge le suivi des logements livrés, a indiqué le  ministre, précisant qu’une cellule de suivi des travaux a été créée à cet  effet. La cellule soumet régulièrement ses rapports et suit l’avancement des  travaux, a-t-il fait savoir, précisant que les maîtres d’œuvres en  infraction seront mis en demeure et feront l’objet de résiliation des  contrats. Dans ce cadre, le ministre a fait état de « quelques réserves devant être  levées », appelant « les familles à soulever toutes sortes de problèmes et  les médias à se rendre aux chantiers dès le début des travaux ». Par ailleurs, le ministre a réitéré l’attachement de son secteur à  promouvoir la production nationale, citant, à ce titre, la fabrication  progressive d’équipements d’alimentation en gaz par une entreprise  nationale basée à Sétif. Le ministre a annoncé la distribution de 30.000 logements, toutes formules  confondues, à travers 40 wilayas,  jusqu’à août prochain. Ce quota compte 14.700 logements publics locatifs (LPL), soit 50 %, 3.500  AADL (12 %), 7.300 logements ruraux (25 %), 2.200 logements sociaux  participatifs (LSP 8 %), 230 logements promotionnels publics (LPP 1 %) et  1.200 quotas parmi les lotissements sociaux (4 %). Le secteur a procédé récemment à la distribution de plus de 50.000  logements de différentes formules durant le mois de Ramadhan dernier et  56.000 autres à l’occasion de la fête d’indépendance le 5 juillet, outre la  distribution de 2.100 unités à la wilaya de Annaba. Selon le ministre de l’Habitat, cette opération s’inscrit dans le cadre  des orientations du président de la République, Abdelaziz Bouteflika qui a  accordé la priorité au secteur de l’habitat. Nabila F.

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Consommation : De la médiocre qualité du lait vendu en sachet

Tue, 07/31/2018 - 12:34
La médiocre qualité du lait recombiné en sachet, sans cesse dénoncée par les ménages, est mise en avant dans un reportage diffusé lundi par la chaîne 3 de la Radio algérienne. L’auteur de celui-ci s’est attaché à recueillir les récriminations de consommateurs qui disent leur colère de se voir chaque fois floués par une situation dont il estiment qu’elle a tendance à perdurer dans le temps. Une mère de famille déclare avoir l’impression de découvrir dans les sachets de plastique dans lesquels est conditionné ce produit,  » beaucoup plus d’eau que de lait « . On a l’impression, assène-t-elle de boire de l’eau, concluant qu’il s’agit là d’un lait de qualité médiocre dont elle se demande si la qualité  » est contrôlée « . Reprenant les critiques d’associations de consommateurs, le journaliste de la chaîne 3 considère que cette situation est le résultat du non-respect en matière de dosage en poudre de lait. Le président de l’une de ces associations, Mustapha Zebdi, observe que certaines laiteries privées ne respectent pas les concentrations réglementaires de poudre de lait afin de  » gonfler leur marge bénéficiaire « , une situation qu’il qualifie de  » vol caractérisé « . Approché à son tour, Abdelwahab Harkas, directeur de la qualité à la direction du commerce à Alger, signale que des contrôles et analyses effectués auprès des laiteries publiques et privées a révélé le  » taux insuffisant en extrait sec et en matière grasse  » dans le lait vendu aux Algériens. Plus explicite, il explique qu’au lieu d’utiliser une tonne de poudre de lait pour produire 1 million de litres de produit lacté, les responsables de ces laiteries diluent cette quantité dans un million et demi de litre d’eau. Rappelant que le lait en sachet est subventionné par l’Etat, l’auteur de cette contribution signale que celui-ci est, de plus, détourné vers d’autres usages (crème glacée et yaourts) ou vendu à 28, 30 et jusqu’à 35 dinars l’unité au lieu de 25 dinars. Lamia O.

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Développement économique et social : Une formule de réformes et d’innovation

Tue, 07/31/2018 - 12:23
Où en est l’Algérie, dans son parcours vers le renouveau ? Si on s’efforce de résumer les réalisations, les acquis de la reconstruction nationale lancée au lendemain de la tragédie nationale, on était tenté de dire : l’Algérie durant ces dernières années aurait tout d’abord largement rétabli la sécurité à travers tout le territoire national, a rompu avec l’injuste embargo de fait,  qui lui a été imposé au cours de la décennie 90 comme elle a retrouvé son statut d’acteur important  dans les relations internationales  et elle s’est engagée, résolument, dans la relance de son développement économique et social. Du fait, depuis 1999, le pays s’est transformé en un vaste chantier, malgré les obstacles et  autres manœuvres socio-politiques Cependant, face à l’oubli, face aux impatiences entretenues par les déficits  qui sont encore à combler, face aux discours défaitisme  et du pessimisme, il est toujours bon de rappeler comme l’affirme le discours officiel des plus hautes instances de la République  que, le temps du désordre est révolu, Cela signifie l’idée développée par le programme politique en vigueur à savoir la continuité  d’opérer des choix successifs, un renouveau national ayant pour signe la rigueur  et une société volontaire . Il s’agit  d’une volonté capable de regonfler l’énergie de la nation   et de répondre à sa passion pour l’espérance. Ne dit-on pas, parce qu’elle a horreur du vide, la nature n’est pas allergique  au changement, bien au contraire. On décèle en Algérie   une envie  d’y parvenir, sur une nouvelle dynamique toutefois, et d’abord avec moins de confusion  politique, de violence sociale, une formule   de réformes et d’innovation. Certes les discours opposés parlent souvent  de crise, et donc de contradictions, mais la résignation  ne s’installe que dans certains esprits qui font semblant  d’être mal éclairés. C’est aussi une crise de préjugés mal saisis, un conflit de passion politicienne et de représentation. Le citoyen apolitique  a l’impression  que s’ébauche dans le champ politique  une nouvelle représentation illicite en dehors de la légitimité  de la majorité, celle qui représente souverainement le peuple, un illicite chauvin et  bigot politiquement. L’activisme de ces dernières semaines le fait ressortir clairement. Il importerait  pourtant à tout le monde de le connaître. A partir de ces  constats, l’analyse qui se dégage  tourne autour de quelques conséquences politiques. En premier lieu, on note évidemment un déplacement quasi quotidien de l’Etat  vers la modernisation économique, sociale et politique, mais surtout un élargissement de la démocratie républicaine. Tel est à la fois l’atout du programme présidentiel et le déterminant qui l’enveloppe depuis 1999 ; En deuxième lieu, il faut retenir que l’année 2019 sera finalement un jalon décisif dans l’histoire moderne de l’Algérie. Malheureusement une certaine opposition tient à tout bouleverser. Mais elle vient de révéler quelque chose  de neuf. A savoir  que d’aucuns ne vivent pas au diapason de la société. Un véritable décalage entre le politique et les citoyens. La raison ? Depuis que la  » morne  » partisane est devenue un cachet commun à tous les chefs politiques sans exception, ceux-ci sont branchés sur la prochaine élection présidentielle, sur le marketing politicien et déconnectés, selon toute  apparence, des réalités  de la psychologie du citoyen, de l’avenir de la nation. Une nation qui a retrouvé la paix et la sécurité, ouvrant  la voie au développement  économique et social. Ammar Zitouni

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Djamel Ould Abbès reçu hier par le premier ministre: Les alliés contre-attaquent

Tue, 07/31/2018 - 12:22

Par Brahim TAKHEROUBT

La rencontre a duré deux heures et les deux responsables ont abordé tous les aspects de la vie politique, sociale et économique du pays, de même qu’ils ont réaffirmé leur soutien au président Bouteflika l’appelant à se présenter pour un nouveau mandat en 2019.

Les «moqueries», c’est terminé et la parenthèse «MSP» est définitivement fermée. Après avoir fait bloc commun contre l’initiative de Makri et après le niet catégorique signifié par l’institution militaire à ce même Makri, le FLN et le RND reprennent l’initiative du terrain et noient totalement la démarche de ce parti d’obédience islamiste. Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, a reçu hier, en sa qualité de Premier ministre, le secrétaire général du FLN au Palais du gouvernement. Cette rencontre quinn’a pas été annoncée auparavant contrairement aux autres rendez-vous politiques médiatisés, revêt un caractère très spécial. Elle intervient à un moment où la scène politique connaît un regain de vigueur après plusieurs mois de stagnation.
Selon nos sources, les deux responsables ont abordés, durant deux heures, tous les aspects de la vie politique, sociale et économique du pays. «De même que MM. Ouyahia et Ould Abbès ont tous les deux réaffirmé leur soutien au président l’appelant à se présenter pour un nouveau mandat»
Et voilà la majorité présidentielle requinquée. Elle reconstitue son noyau dur après un temps «d’égarement», histoire d’amuser la galerie ou dérouter l’adversaire politique. Car lorsque la nécessité nationale l’impose, les deux formations politiques, comme une seule entité, se mettent sur le pied de guerre et ne badinent pas avec la discipline. Cela ne peut en être autrement pour deux partis nés et grandi à l’antre du système. Peuvent-ils en effet se passer de cet utérin refuge?
Hier, à la chefferie du gouvernement, le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès et son homologue du RND, Ahmed Ouyahia, ont fait le point sur une semaine de «fièvre» politique marquée par la retentissante claque donnée par l’armée au président du Msp Abderezzak Makri. Ce dernier a toujours la joue rouge au point qu’il lui a fallu le secours de madjlis echora qui l’a appuyé dans son entreprise qu’il présente comme «une nouvelle chance qu’il ne faudrait pas rater pour résoudre la crise multidimensionnelle que traverse le pays».
On croit savoir également qu’outre la situation générale du pays à quelques huit mois du rendez-vous présidentiel, les deux chefs de parti de la majorité ont largement débattu des initiatives politiques, notamment celle présentée par le président du MSP, Abderezzak Makri. Les deux partis ont rejeté l’initiative du MSP. Le FLN a émis des réserves durant la première rencontre avec la délégation du MSP avant d’annoncer avant-hier son refus définitif de continuer à discuter sur l’offre de l’ex-Hamas. C’est enfin le parti de Ouyahia qui a tordu le coup à l’initiative de Makri en déclarant avant-hier que sur le plan politique, il n’y a aucune convergence possible entre le RND et le MSP. Ouyahia a cependant concédé à son hôte du jour qu’il y a la possibilité de discuter des question économiques, des transferts sociaux et qu’il conviendrait d’approfondir le débat sur les réformes surtout que «le grand chantier consiste d’abord et avant tout à réformer les mentalités». A cela s’ajoute la complexité d’une situation internationale dangereuse. Au-delà, Ouyahia a été clair, net et précis pour éviter tout amalgame: il ne reconnaît pas l’existence d’une crise politique en Algérie. Soutenir la candidature de l’actuel chef de l’Etat à la présidentielle prochaine est le choix commun à Ahmed Ouyahia et Djamel Ould Abbès. Le FLN souhaite élargir l’appel au président à rempiler pour un autre mandat à d’autres partis, petits ou grands. Dans ce contexte, le secrétaire général du FLN a rencontré avant-hier le président du mouvement El-Binaa, Abdelkader Bengrina, venu vendre son initiative de «consensus national au vieux parti». Ce dernier a avoué sa disposition personnelle à soutenir l’initiative du FLN en attendant qu’une session de son conseil consultatif se tienne pour trancher cette question, une fois que l’intention du président sortant connue. Après cet ex-ministre du Tourisme, le patron du FLN rencontrera le président du parti El-Karama, Mohamed Benhamou, celui de l’ ANR, Belkacem Sahli ainsi que d’autres.

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Détails sur «l’exécution» de l’initiative du MSP par le RND: Les non-dits d’une rencontre

Tue, 07/31/2018 - 12:20

Par Hocine NEFFAH

Makri a reçu une salve des plus fortes de la part de Ouyahia qui s’est comporté d’une façon très sereine, mais usant de propos très acerbes pour ceux qui savent lire entre les lignes et en filigrane.

La dernière rencontre entre le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderezzak Makri et le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, s’est soldée par une bérézina quant à la démarche de Makri à propos de la transition politique et économique et aussi l’implication de l’institution militaire dans ce processus de «pacotille» cher à Makri.
Le chef du MSP a nié mordicus avoir fait allusion à la transition politique lors du point de presse en marge de la rencontre qui s’est déroulée au siège du RND à la demande du président du MSP. Pour Makri, la question de la transition politique n’est plus à l’ordre du jour et «en aucun cas nous avons parlé de la transition démocratique. Nous avons soulevé la question du consensus national où toutes les forces vives de la nation sont concernées avec d’autres institutions de l’Etat», a dit Makri en évitant de répondre sur la question qui a trait à l’institution militaire qu’il a appelée à prendre en main la gestion de ladite transition qui sera limitée à un seul mandat.
Le MSP avait lancé une «initiative» qui avait des contours et des traits, même si cette initiative peut ne pas être partagée par toute la classe politique, ce qui est normal, mais revoir toute la copie de ladite «initiative» et se rebeller urbi et orbi contre une démarche, toute honte bue, cela s’appelle de la politique clownesque qui n’est pas digne d’un parti politique censé faire dans la propédeutique et la pédagogie dans le but de rendre à la politique ses lettres de noblesse. Makri et son mouvement islamiste ont opéré une volte-face que «Janus» n’était pas en mesure d’opérer. La rencontre d’hier entre le MSP et le RND a été dépouillée de tout ce qui a été initié par Makri à propos de la transition politique et économique et son appel à l’armée à s’impliquer dans ce processus transitoire. Makri use de sa «boîte de Pandore» en prêchant le consensus national sans altérer le processus constitutionnel et électoral qui a été enclenché depuis plus de deux décennies. Finalement, le MSP ne sait plus à quel saint se vouer, à moins que toute cette opération vise un show médiatique et un appel codé aux détenteurs du pouvoir d’insérer ce mouvement dans les rouages et de bénéficier de sa part de la rente et de strapontins.
Dans ce sens, le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia en l’occurrence, a insinué que «le MSP a contribué durant 15 années au redressement puis à la reconstruction nationale», et d’ajouter que «le RND fait partie depuis 1997 à ce jour, de gouvernements successifs à composantes élargies, convaincu pour relever ses défis, que l’Algérie a besoin du concours de toutes les forces politiques légales favorables à ce choix». Mais là où le SG du RND a supplanté le chef du MSP en lui envoyant un message politique fort en sens et de réalités historiques récentes, c’est par rapport à l’initiative de la transition politique et économique et de consensus national, Ahmed Ouyahia n’y est pas allé avec le dos de la cuillère pour signifier à son ex-partenaire au sein du gouvernement que «s’agissant de la présidentielle de 2019, le RND milite pour un nouveau mandat du président Abdelaziz Bouteflika, par souci de stabilité et de continuité nationale», a martelé le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia.
Makri a reçu une salve des plus fortes de la part de Ouyahia qui s’est comporté avec lui d’une façon très sereine, mais usant de propos très acerbes en termes politique pour ceux qui savent lire entre les lignes et en filigrane. Le chef du MSP a été désavoué politiquement par son partenaire politique d’hier en lui rappelant que le processus constitutionnel et électoral est un fait saillant et bien réel allant jusqu’à accuser indirectement et avec une finesse politique Makri qui verse dans le déni politique. Cette déclaration à elle seule devrait pousser le chef du mouvement islamiste et membre de l’internationale des Frères musulmans à se terrer dans son «aphasie» politique attendant l’âge de Mathusalem pour pouvoir cerner et maîtriser les rudiments de la pratique politique et ses arcanes. Dans ce registre, le RND était intransigeant en indiquant que «le RND considère qu’il n’y a pas de place pour une transition politique dans un pays qui retourne régulièrement aux urnes, car ce serait là un déni de la souveraineté populaire», cette réponse au président du MSP et au groupe qui a assisté à la rencontre d’hier avec les représentants du RND et son secrétaire général à sa tête, met un terme à la danse «derwichienne» de celui qui a fait de l’entrisme et de la versatilité son dada. Quand Ouyahia assène des leçons politiques à Makri en lui rappelant que tout ce que le MSP est en train de développer comme «initiative» n’est qu’un pur déni, cela devrait amener Makri a remettre les clés du MSP à la troisième génération du mouvement pour qu’elle puisse s’adapter aux exigences de l’évolution politique de par le monde et non pas confondre la politique avec la bigoterie.
Le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, a enfoncé davantage le clou en soulignant à l’adresse de Makri et sa «loque» d’initiative que «le RND s’est aussi prononcé pour que l’Armée nationale populaire qui est une des institutions incarnant l’unité de la nation, soit gardée à l’abri des joutes politiques et partisanes», et d’ajouter «qu’en matière électorale, le consensus serait une négation du pluralisme démocratique. Mais le RND est pour un large débat politique afin de dégager les bases d’un consensus autour d’une économie sociale de marché garantissant l’efficacité économique au profit de toute la nation et garantissant aussi la justice sociale au bénéfice des citoyens défavorisés», a tempêté le secrétaire général du RND.
En somme, la déroute de Makri est plus que manifeste, il s’agit là d’un véritable échec politique. Le MSP version Makri ne sait plus sur quel pied danser, tout se confond pêle-mêle chez ce mouvement qui déclare une chose et qui en fait une autre. Hypocrisie quand tu nous tiens!!

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Evénements de Djelfa: Les réponses de Mokri à Ouyahia

Tue, 07/31/2018 - 12:17

Par Yazid Alilat

Le leader du MSP Abderrezak Mokri a lancé hier lundi une violente charge contre le gouvernement, au lendemain de sa rencontre avec le chef du RND, Ahmed Ouyahia, également Premier ministre. Dans une réponse aux déclarations d’Ahmed Ouyahia relatives aux récents événements à Djelfa, où la population locale avait protesté contre l’absence de membres du gouvernement aux obsèques d’Ahmed Bencherif, Mokri a écrit sur sa page Facebook que ‘’la marche des habitants de Djelfa a été pacifique et civilisée au cours de laquelle les participants ont exprimé l’état de marginalisation et le faible développement de la wilaya, l’absence d’équité dans le traitement des problèmes des gens dans plusieurs aspects, et même face aux symboles historiques d’une wilaya à une autre. » ‘’Est-ce que les responsables entendent ces appels qui se répètent d’une région à une autre », s’interroge t-il. Dimanche et au sortir de sa rencontre de deux heures avec Mokri, le chef du RND avait notamment souligné, s’agissant des événements de la semaine dernière à Djelfa qu »’une délégation est venue présenter ses condoléances. Dans nos traditions islamiques et algériennes, si quelqu’un vient de présenter des condoléances, même s’il est ton ennemi, tu dois le recevoir. Je ne parle pas de la population de Djelfa ou de la famille du colonel Bechérif, mais d’un groupe de jeunes. » Ces aspects de la gestion des crises sociales par le gouvernement sont lourds de sous-entendus pour le leader du MSP, qui estime que ‘’malheureusement, le pouvoir algérien comme tous les régimes totalitaires, ignore les revendications relatives au respect de la dignité humaine, au développement, l’équité et la justice, la réforme et le changement. » ‘'(Ce régime) tente de gagner du temps, pensant qu’il ne peut être vaincu ni aujourd’hui, ni demain », écrit encore Mokri, selon lequel ‘’les choses peuvent dévier de leur cours et le résultat serait catastrophique si la sagesse n’avait pas prévalu ». Pour lui, la situation actuelle ‘’est le résultat de la tyrannie et à chaque fois, le résultat est le même », estimant que ‘’le devoir envers ces mentalités destructrices de pays et de nations, ces politiques erronées, est de les combattre avec tous les moyens pacifiques, quels que soient les sacrifices, et le soutien à leurs auteurs par des initiatives pratiques pour les sortir de leur état déplorable. » Des habitants de la ville de Djelfa avaient organisé dimanche une marche de protestation qui a vu la participation de milliers de personnes, notamment pour dénoncer l’absence de membres du gouvernement, accusé d’avoir «»boycotté » les obsèques du colonel Ahmed Bencherif, mardi 24 juillet. Jeudi dernier, le ministre de l’Intérieur Noureddine Bedoui, s’était rendu à Djelfa en compagnie de plusieurs ministres pour se recueillir sur la tombe d’Ahmed Bencherif. La présence à Djelfa et au cimetière de la ville de la délégation gouvernementale avait été perturbée par des manifestants, et dénoncée comme étant un ‘’affront » et une ‘’hogra », dans un communiqué des ‘’notables et libres » de la wilaya. Les auteurs de ce communiqué reprochent au ‘’pouvoir central » de ‘’rester éloigné de la concrétisation du principe d’égalité et de justice dans le développement sur tous les plans, sociaux, économiques, politiques et culturels ». Une faille exploitée par le chef du MSP, qui a été débouté le même jour de dimanche par le N°1 du RND quant à sa proposition d’un consensus national pour une transition démocratique et l’alternance au pouvoir. Dans sa conférence de presse à l’issue de son entretien avec Abderrezak Mokri, Ouyahia avait évidemment dénoncé les différentes manifestations de protestation enregistrées à travers certaines villes du sud du pays, les assimilant à ‘’l’anarchie ». ‘’Oui, il y a des insuffisances sans doute, mais la prise en charge des insuffisances ne peut pas se faire avec l’anarchie et nous disons non à l’anarchie aujourd’hui et demain », a-t-il dit, après avoir souligné que ‘’nous avons des problèmes de chômage de In Guezam à Hussein-Dey, mais je ne pense pas que le chômage soit un motif valable pour empêcher les habitants de Ouargla d’organiser un gala artistique ». Un concert musical avait été annulé après des manifestations de protestation de jeunes, qui revendiquaient un emploi. ‘’A Béchar, poursuit Ouyahia, le problème c’est la publication de la liste de bénéficiaires de logements. Mais, il y a des moyens d’expression et de recours, ce n’est pas par la rue ou la casse. L’anarchie ne peut être une clé pour résoudre des problèmes économiques et sociaux ou des questions sensibles », avait-il déclaré, sous la casquette de chef du RND.

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Selon la GSMA les consommateurs dans les pays en développement sont excessivement touchés par les prix élevés des fréquences

Tue, 07/31/2018 - 12:00

Le récent Indice de Connectivité Mobile de la GSMA Souligne que 4 Milliards de Personnes Sont Encore hors Ligne.
Les Décisions de Politique Relatives aux Fréquences Demeurent un Obstacle Principal à l’insertion Numérique.

Selon un nouveau rapport intitulé « La tarification du spectre dans les pays en voie de développement », publié aujourd’hui par la GSMA lors de la conférence Mobile 360 – Africa à Kigali, il est impératif d’instaurer de meilleures politiques de tarification du spectre de fréquences dans les pays en voie de développement afin d’améliorer le bien-être économique et social des milliards de personnes qui ne sont toujours pas connectées aux services mobiles à haut débit. L’étude révèle que les tarifs des fréquences dans les pays en voie de développement sont en moyenne trois fois plus élevés que dans les pays développés, si l’on prend en compte le revenu des particuliers. La tarification élevée des fréquences constitue un obstacle majeur à la pénétration du mobile.

Rédigée par la GSMA Intelligence, l’étude montre également que les gouvernements jouent un rôle actif dans l’augmentation des tarifs des fréquences parce qu’ils cherchent à maximiser les revenus publics provenant de l’octroi de licences d’utilisation du spectre. Il apparait que les tarifs des fréquences sont plus élevés dans les pays dont la dette publique est élevée et que les prix de réserve moyens lors de la mise aux enchères des fréquences sont cinq fois plus élevés que dans les pays développés, si on prend compte le revenu des consommateurs. Le rapport indique également qu’il existe un lien entre les tarifs élevés des fréquences et la mauvaise couverture, ainsi qu’entre les services mobiles à haut débit plus chers et la mauvaise qualité. Des facteurs qui empêchent les consommateurs d’utiliser ces services.

« Il devient par conséquent impossible de connecter tout le monde sans prendre de meilleures décisions de politique sur le spectre des fréquences », a déclaré Brett Tarnutzer, responsable du spectre chez GSMA. « Depuis trop longtemps la réussite de la mise aux enchères des fréquences est davantage basée sur les recettes qui peuvent en être tirées que sur les avantages économiques et sociaux pour les personnes connectées. Les politiques du spectre de fréquences qui grossissent les prix et se concentrent sur les profits à court terme sont incompatibles avec nos objectifs communs de fournir des services mobiles à haut débit améliorés et plus abordables. Ces politiques de tarification ne feront que limiter la croissance de l’économie numérique et rendront plus difficiles la tâche d’éradiquer la pauvreté, de fournir des soins de santé et une éducation améliorés et d’aboutir à une inclusion financière ainsi qu’à l’égalité des sexes. »

L’étude de la GSMA évalue plus de 1 000 les attributions de fréquences dans 102 pays (dont 60 pays en voie de développement et 42 pays développés) de 2010 à 2017. Elle est actuellement la plus vaste analyse étudiant la tarification du spectre de fréquences dans les pays en voie de développement, ainsi que les facteurs et les effets potentiels de la tarification des fréquences sur les consommateurs. Parmi les pays faisant partie de l’enquête, on peut citer l’Algérie, le Bengladesh, le Brésil, la Colombie, l’Égypte, le Ghana, l’Inde, la Jordanie, le Mexique, le Myanmar et la Thaïlande, tous des marchés dans lesquels l’octroi de la licence du spectre est une priorité.

La fixation de prix élevés par l’administration ou la fixation de prix de départ élevés lors de la mise aux enchères (par ex. prix de réserve), la limitation artificielle de fréquences sous licence disponible, le refus de partager une feuille de route claire et la mise en place de règles d’enchères inefficaces sont quelques exemples de décisions de politique mentionnées par le rapport qui entrainent la hausse des prix des fréquences dans les pays en voie de développement.

GSMA Intelligence publie le nouvel Indice de connectivité mobile

Par ailleurs, la GSMA Intelligence a publié aujourd’hui son récent Indice de connectivité mobile qui mesure la performance de 163 pays (représentant 99 % de la population mondiale) selon des facteurs déterminants qui sont essentiels pour favoriser l’adoption de l’internet mobile. L’Indice souligne les récents progrès accomplis dans le renforcement de l’accès à l’internet mobile et analyse les obstacles principaux à l’adoption, y compris la politique de spectre.

Fin 2017, 3,3 milliards de personnes (ou 44 % de la population mondiale) étaient connectées à l’internet mobile, représentant une hausse de presque 300 millions de personnes par rapport à l’année précédente. Il reste ainsi environ 4 milliards de personnes hors ligne qui ne peuvent pas jouir des avantages sociaux et économiques de l’internet mobile. La majorité des personnes qui ne sont pas reliées, notamment 3,9 milliards, vivent dans les pays en voie de développement.

Un milliard de personnes dans le monde ne sont toujours pas couvertes par les réseaux mobiles. En outre, environ 3 milliards de personnes vivent dans une zone couverte par un réseau à haut débit mobile mais n’accèdent pas aux services d’internet mobile. Dans les pays à faible revenu, environ deux tiers des populations rurales ne sont pas couvertes par des réseaux 3G. L’Indice de connectivité mobile souligne l’importance de facteurs tels que l’accessibilité et la qualité des services mobiles à haut débit, ainsi que l’investissement dans le réseau en vue de relier les personnes, tous deux des facteurs qui peuvent être influencés par les prix élevés des fréquences.

« Si on n’offre pas aux opérateurs mobiles un accès abordable et prévisible aux fréquences, ce sont les consommateurs qui en souffriront le plus », a expliqué Pau Castells, directeur de l’analyse économique chez GSMA Intelligence. « Les pays en voie de développement peuvent rattraper les pays développés dans le domaine de l’adoption mobile, cependant l’investissement est mis en danger dans certains de ces marchés. Les opérateurs ne peuvent pas continuer de payer extrêmement plus pour les fréquences alors que les revenus des consommateurs et les bénéfices escomptés sont beaucoup plus faibles dans ces marchés. L’investissement dans le réseau devient ainsi plus compliqué à un moment où les politiques devraient plutôt encourager le développement du secteur mobile à multiplier les avantages qu’il peut apporter à tout le monde. »

Le rapport « La tarification du spectre dans les pays en voie de développement » est disponible en anglais ici et ici sous forme d’infographies.

L’Indice de connectivité mobile le plus récent est disponible ici.

À propos de la GSMA

La GSMA représente les intérêts des opérateurs de téléphonie mobile dans le monde entier ; elle rassemble près de 800 opérateurs et plus de 300 sociétés appartenant à l’écosystème mobile élargi, dont des fabricants de téléphones et d’appareils, des éditeurs de logiciels, des fournisseurs d’équipements, des sociétés Internet et des organismes œuvrant dans des secteurs d’activité connexes. La GSMA produit également des événements phares du secteur, tels le Mobile World Congress, le Mobile World Congress Shanghai, le Mobile World Congress Americas et les conférences de la série Mobile 360.

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