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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 1 day 10 hours ago

Environnement: fermeture de 3.000 décharges anarchiques en 15 ans

Thu, 09/13/2018 - 22:37

ALGER – Près de 3.000 décharges anarchiques ont été fermées ces 15 dernières années sur tout le territoire, a indiqué jeudi la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatima-Zohra Zerouati.

La ministre qui intervenait lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales sous la présidence du Vice-président de l’APN Abderrazak Terbeche, a précisé que les grands efforts consentis pour développer le secteur pendant des années avaient permis d’atteindre ces résultats.

Le secteur de l’Environnement et des Energies renouvelables vise à atteindre le niveau « 0 ordures dans la nature d’ici à 2035, dans le cadre de la nouvelle stratégie élaborée pour protéger l’environnement ».

L’élimination de la décharge de Boulimat (Béjaia) dont les travaux seront lancés la semaine prochaine, coutera 80 milliards de centimes, tandis que le coup d’envoi du projet d’élimination de la décharge d’El Karma (Oran), dont les travaux devront couter 150 milliards de centimes, sera donné le 22 septembre.

Mme Zarouati a estimé que son secteur avait connu un développement considérable à travers la coordination intersectorielle, l’intensification des opérations d’inspection et l’amélioration des missions des inspecteurs au niveau des wilayas.

Le secteur de l’Environnement coordonne avec les parties en charge de la sécurité afin de traquer les +criminels de l’environnement+ et responsabiliser le citoyen qui, selon la ministre, a adhéré aux campagnes de nettoyage collectif et de tri des déchets.

La stratégie de valorisation énergétique des déchets sera précédée par la création d’un complexe de tri des déchets dans le Grand Alger, d’un coût de 3.000 milliards de centimes, a précisé Mme. Zarouati, indiquant que 4 wilayas y participeront en termes des prestation de services. La réalisation et la gestion de ce complexe se feront en partenariat avec des entreprises étrangères, a-t-elle ajouté.

A noter que le niveau des programmes de valorisation, de recyclage et de traitement de déchets a atteint 5%. Un travail est mené afin d’atteindre 15%, ce qui donnera lieu à la création de plus de 7000 emplois permanents durant les cinq années à venir.

Convention avec le ministère de l’Education pour le soutien au club d’Environnement

Le secteur de l’environnement devrait conclure, en octobre, une convention avec celui de l’Education à l’effet d’encourager les clubs d’environnement.

Les ministres de l’environnement, Fatima Zerouati et de l’Education effectueront des visites de terrain dans ce sens.

Au volet énergies renouvelables, le secteur est en passe de promulguer des projets de lois sur l’économie circulaire et les énergies renouvelables, à travers l’organisation d’assises nationales de concertation sur ces projets de lois avant la fin de l’année.

Des usines de fabrications de matériels de production d’énergie renouvelable sont également prévues à travers l’examen de 4 projets dans le cadre d’un plan d’action à long terme.

Le ministère entend, entre autres, valoriser les eaux chaudes souterraines dont le volume est estimé à 40.000 milliards de mètres cubes (7.000km² de superficie), outre la création d’un marché spécialisé dans les énergies renouvelables et leur utilisation dans l’économie locale.

Par ailleurs, la ministre a rappelé la coordination établie avec les secteurs de l’Agriculture et des ressources en eau dont les activités sont alimentées à partir des produits des énergies renouvelables.

La 2ème édition du Saloon des énergies renouvelables est prévue du 26 au 28 février.

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Mohamed Yacine Bensaci, président d’APC de Hassi Messaoud : « Sur papier, le gel de la nouvelle ville de Hassi Messaoud est toujours en vigueur, mais sur le terrain, il est partiellement levé »

Thu, 09/13/2018 - 22:24

Le directeur de l’Etablissement de la nouvelle ville de Hassi Messaoud, Mourad Zeriati, avait déclaré en juillet 2017 que le premier quartier du chef-lieu de la ville nouvelle de Hassi Messaoud sera livré fin 2018. Peu après, en octobre 2017 et à la veille des élections locales, le maire d’Ouargla, Abdelkader Djallaoui, avait déclaré, lors d’une conférence de presse

, que le projet de la nouvelle ville est indirectement gelé et que la population de l’actuel Hassi sera délocalisée vers la nouvelle zone d’expansion El-Ghanami. Sur terrain, les travaux avancent à pas de tortue, que ce soit pour la nouvelle ville ou pour le site d’expansion. Pour comprendre un peu la situation et la confusion qui règne sur la délocalisation des habitants de la ville ancienne de Hassi Messaoud, les causes des retards et les motifs d’abandon de la population, le maire de Hassi, Mohamed Yacine Bensaci, P/APC FLN, en deuxième mandat, s’explique dans cet entretien.

 
Reporters : Les autorités ont décidé, il y a quelques mois, de lever le gel sur les activités à Hassi Messaoud. Pourquoi la levée de ce gel, selon vous, alors qu’il a été motivé, il y a plus de dix ans, par des raisons de sécurité ?
Mohamed Yacine Bensaci : Le gel n’est pas officiellement levé, parce qu’il faut préciser que pour le lever, il faut annuler le décret exécutif 05/127. Ce qui est impossible puisque les responsables ne peuvent ni révoquer le décret ni revenir sur leur décision, mais opérationnellement le décret élaboré, qui stipule la délocalisation de l’actuelle ville et la construction d’une ville nouvelle pour la population, a été partiellement allégé dernièrement par l’ouverture de certains domaines primordiaux comme la santé, l’éducation et les installations de base. On peut dire qu’il est levé indirectement mais partiellement, puisque les responsables ne peuvent sortir et dire aux citoyens que nous avons levé le gel, ce qui va pousser ces derniers à demander des permis de construire, de possession et des registres du commerce. Implicitement, la nouvelle ville est devenue une extension de la ville actuelle.

Qu’est-ce qui n’a pas 
fonctionné depuis l’entrée en vigueur du gel ?
Le logement est l’une des problématiques qui a affecté la condition sociale depuis la décision de gel. Nous avons lié le gel au logement, puisque quand il s’agit de construction d’un habitat, Sonatrach intervient pour arrêter l’opération de construction sous prétexte qu’elle est proche des installations pétrolières, ce qui représente un danger pour le citoyen. Ajoutons à cela le retard flagrant dans la finalisation de la nouvelle ville. Depuis2004, il n’y a absolument rien à Hassi, ni éclairage, ni routes, ni canaux de drainage et cinq ans ne suffisent vraiment pas. En plus des procédures réglementaires, le lancement de plusieurs projets à la fois est chose impossible. Surtout côté suivi, vu l’inexistence des spécialistes en la matière au niveau local. C’est le cas actuellement avec nos 20 projets démarrés et qui sont en cours de réalisation. Il nous est difficile de trouver une équipe pour leur suivi. C’est pourquoi, la levée du gel demeure une demande insistante et urgente des autorités locales, du citoyen et du wali.

Quelles ont été les conséquences de ce gel aux niveaux économique et social  
sur votre ville ?
La situation prévalant à Hassi Messaoud est due essentiellement au gel des projets de développement. Le logement demeure le problème qui a fortement impacté la ville, de plus, et comme vous le savez, toute attribution de permis de construire/possession et de registre du commerce a été interdite depuis 2004. Actuellement, nous ne pouvons pas construire des habitations, cependant le gel est partiellement levé sur certaines infrastructures et équipements de base relatifs aux travaux publics, à l’éclairage public, aux routes, à la santé et l’éducation. On a dépensé jusqu’ici environ 70 milliards de dinars pour la réhabilitation des écoles primaires, d’autres sont en cours.

Ici on parle d’une école déjà existante et non d’une nouvelle construction ?

Oui mais il y a quand même de nouveaux projets comme les deux piscines, incluses dans notre programme actuellement à l’étude pour un montant de 27 milliards, en plus d’un stade communal en béton.

Y a-t-il d’autres projets 
prévus dans cette phase d’allégement du gel ?
Oui. Tout ce qui est lié à l’amélioration des conditions de vie du citoyen comme l’éclairage public, les routes, les piscines, etc. On a maintenant deux projets de piscines, dont une semi-olympique. Une fois approuvés par la commission d’évaluation, les travaux pourront être lancés. Il n’y a aucun obstacle. Il y a également à l’étude la réhabilitation et la restauration de l’ancienne piscine de Hassi.

Revenons-en au projet de la zone d’expansion rurale El Ghanami. Quel est actuellement l’état d’avancement des travaux ?

Concernant les routes, les réseaux d’assainissement et l’eau potable, le cahier des charges a été approuvé par la commission de wilaya, reste seulement la publication.

Le wali de Ouargla avait annoncé indirectement, il y a quelque temps, le gel de la nouvelle ville et a parlé de la réalisation d’une nouvelle zone d’expansion à  
El Ghanami ?
Non. La nouvelle ville n’est pas gelée et elle est en cours de conception. Pour le site d’El Ghanami, nous avons choisi l’assiette et enregistré les projets d’infrastructures.
Les cahiers de charges sont passés dans les appels d’offres.

Vous voulez dire que c’est vous qui avez proposé l’idée ?

Oui. C’est nous qui avons proposé l’idée et l’initiative, et le citoyen l’a acceptée et l’a beaucoup appréciée.

En pleine crise financière, vous parlez de la finalisation de la nouvelle ville et la création d’une autre zone d’extension… n’est-ce pas un peu confus ?

La création de cette zone, c’était notre propre choix. Nous, en tant qu’élus, on a exprimé la volonté des citoyens puisque la majorité des habitants proviennent de Ouargla et de Hassi Messaoud. Si la localisation de la nouvelle ville était entre ces deux villes, le citoyen aurait été content et l’aurait acceptée, mais sa conception a plus de 75 km de Hassi a provoqué une déception chez les habitants.

Le site El Ghanami concerne seulement la nouvelle population de Hassi Messaoud. Les véritables habitants restent dans l’actuelle ville …

Je précise qu’El Ghanami est une zone rurale étatique. Le lotissement comprendra, en plus des 2 000 logements sociaux, des lots de terrain qui seront attribués aux citoyens de Hassi Messaoud dans le cadre du logement rural aidé (100 millions de centimes pour l’autoconstruction). L’ouverture de la nouvelle ville et du site El Ghanami va réduire la charge et la pression sur l’actuelle ville de Hassi Messaoud.

Le projet de la nouvelle ville de Hassi Messaoud en cours de conception est-il financé par des fonds du budget de la commune ?

Non. La nouvelle ville est financée par un budget qui lui est alloué par Sonatrach, à l’exception des 2 000 logements sociaux, relevant de l’APC de Hassi Messaoud, qui lui ont été attribués dans le cadre du programme national du ministère de l’Habitat, qui a programmé 4 000 logements pour notre daïra. 2 000 dans la nouvelle ville et la seconde moitié dans la zone d’expansion El Ghanami. Les projets d’accompagnement comme les écoles primaires, centres de formation professionnelle, siège de la sûreté sont prévus dans le budget de la commune. Sonatrach n’a rien fait, à part les opérations de viabilisation des infrastructures, la préparation du terrain, les raccordements au gaz, électricité, téléphone et les réseaux d’assainissement. C’est ce qui a été financé sur le budget de la nouvelle ville (Sonatrach).

On a actuellement deux zones d’extension d’habitat, la nouvelle ville de Oued El Meraâ et la zone d’expansion El Ghanami, est-ce que vous avez fait récemment un recensement de la population, qui doit avoir doublé depuis 2005, pour établir des listes de bénéficiaires et faire la répartition sur les deux zones ?

On a enregistré environ 14 000 demandes de logement au niveau de la daïra de Hassi Messaoud. Selon les estimations, les logements de la nouvelle ville vont être prêts fin 2018, mais les équipements nécessaires comme les écoles primaires, les salles de soins, le siège de l’APC, ne seront pas prêts avant 2020 ou même 2025 pour certains. Les gens ne peuvent habiter avant.

10 ans de gel, aucun projet, où part le budget de la commune de Hassi Messaoud ? A-t-il été réparti, attribué à d’autres communes ou d’autres régions ?

Il n’y a eu aucun projet de développement durant le gel, notamment pendant les 5 années de notre mandat. De 2013 jusqu’au 2017, environ 500 projets ont été enregistrés à Hassi Messaoud. Chaque projet pour un certain montant, on est arrivé à 3 900 milliards de dinars. En plus des changements des assemblées communales, le budget est enregistré annuellement en fonction des nouveaux projets proposés chaque début d’année et à partir du budget initial de 500 milliards de DA. Les années s’achèvent et la plupart des projets ne sont pas terminés. Prenons comme exemple le projet de la piscine olympique prévue dans la commune de Hassi, dont le coût est estimé à 500 milliard DA, il est inclus dans les 3 900 milliards. L’opération et le montant sont enregistrés, mais pas encore dépensés. Mais en ce qui concerne la solidarité entre communes et à la demande du wali, environ 150 milliards sont prélevés chaque année du budget de Hassi Messaoud et répartis sur 19 communes, chacune selon ses besoins, à l’exception de la commune de Hassi et El Borma

Quels sont les projets réalisés durant votre mandat qui vient de s’achever ?

On a dépensé plus de 600 milliards durant les cinq dernières années, dans le pavage des routes et le renouvèlement de tout le réseau d’assainissement de la commune et cela a coûté plus de 80 milliards. Un exemple, la cité 1850-Logements appartenant à Sonatrach, et qui a été bâtie en 1984, aucun responsable ou président d’APC n’a dépensé un centime pour sa réhabilitation, sauf durant notre mandat où on a procédé au renouvellement du réseau d’eau potable, et cela a coûté environ 26 milliards. On a également renouvelé les réseaux de drainage pour 46 milliards et on a également dépensé près de 53 milliards dans le pavage et la réfection des routes de cette cité ainsi que la restauration de sa mosquée, pour un montant de 16 milliards, soit 130 milliards dépensés pour une seule cité. Outre les réseaux d’éclairage public de la commune de Hassi Messaoud, qui ont coûté environ 53 milliards, en plus de la perforation de quatre puits d‘eau potable pour 12 milliards chacun, soit 48 milliards. On a aménagé des espaces verts pour la somme de 20 milliards, la réhabilitation de l’entrée de la ville, ou le «boulevard», pour 23 milliards soit plus de 600 milliards dépensés durant les 5 années écoulées.

En fait, le gel n’est donc pas réellement levé ?

Sur le terrain oui, mais officiellement, il n’est pas levé et moi, président de l’APC, je demande la levée du gel pour résoudre le problème du logement notamment le quota, l’attribution des permis de construction et de conformité, afin de permettre au citoyen de restaurer son habitation. Je rappelle que la daïra de Hassi n’a bénéficié en 10 ans que de 4 000 logements dans le cadre du logement social. Pour les autres formules comme le participatif et l’évolutif, la ville de Hassi n’est pas concernée.

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Pour réclamer des programmes de développement : Les Ouarglis promettent de battre le pavé samedi

Thu, 09/13/2018 - 22:18
Écrit par Aghilas Sadi

La ville de Ouargla ne décolère pas. Une nouvelle action de protestation se prépare pour samedi prochain, dans cette ville, devenue le bastion de la contestation des politiques publiques.

Des activistes ont décidé d’organiser, samedi, une marche populaire dans les rues de la ville, pour demander un programme spécial de développement pour leur localité, le déblocage de tous les projets gelés par le gouvernement, dans le cadre de la politique de rationalisation des dépenses publiques, la création de postes d’emploi pour les jeunes chômeurs de la wilaya, le renforcement des structures de santé locales en moyens humains et matériels, pour assurer une meilleure prise en charge médicale des patients de la wilaya et régions environnantes, indiquent des sources locales.
En clair, les protestataires vont demander le dégel du projet de Centre hospitalo-universitaire de Ouargla, une plus grande transparence dans la gestion des offres d’emplois émises par les compagnies pétrolières, l’aménagement de la ville, des aides régulières et conséquentes aux clubs sportifs de la région et autres.
Cette action sera aussi une occasion pour les activistes de la ville de dénoncer ce qu’ils appellent «Les propos provocateurs des responsables de l’Etat». «Les déclarations du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, commentant les actions hostiles à l’organisation des galas dans la ville ainsi que celles du ministre de la Santé, de la Population et la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui, sur le cas de l’enseignante universitaire décédée à l’hôpital de Ouargla suite à une piqûre de scorpion, ont provoqué la colère des activistes locaux qui ont alors décidé d’agir», explique une source locale.
Pour réussir leur action, les activistes se sont lancés dans une véritable course contre la montre. Depuis quelques jours, ils organisent, chaque après-midi, des rencontres de proximité dans les quartiers de la ville et les localités avoisinantes pour expliquer aux citoyens leur démarche et les inviter à participer massivement à la marche du samedi. «Des meetings quotidiens sont organisés dans les quartiers de la ville de Ouargla et même dans les autres communes de la wilaya. Les activistes, les mêmes qui ont mené en 2015 le mouvement contre le gaz de schiste, tentent de convaincre les habitants d’adhérer à leur action de samedi», affirme notre source. Elle ajoute qu’«ils disent aux citoyens que la rue est le seul moyen possible pour faire entendre leur voix et avoir des acquis».
Sur les réseaux sociaux l’ambiance est la même. Toutes les pages Facebook de la wilaya se sont mobilisées pour contribuer à la réussite de la marche de samedi. La fameuse page Nas Ouargla News a fait, ces derniers jours, de la mobilisation des masses pour la marche du samedi son cheval de bataille. D’autres pages moins importantes lui ont emboîté le pas.
Pour rappel, la semaine dernière, une marche spontanée a été organisée dans les rues de la ville de Ouargla par quelques dizaines de citoyens suite au décès d’une enseignante universitaire victime d’une piqûre de scorpion. Pour les manifestants, la victime a rendu l’âme parce qu’elle n’a pas eu la prise en charge médicale qu’il fallait, à l’hôpital de la ville. Une accusation rejetée par le ministre du secteur, qui a rassuré que l’hôpital de la ville est équipé de tous les moyens matériels et humains nécessaires à la prise en charge des malades. La commission ministérielle dépêchée sur place a conclu dans son rapport que le staff médical de l’hôpital a fourni à la victime tous les soins qu’il faut dans ce cas. <

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Opéra d’Alger : lancement prochain d’une billetterie électronique

Thu, 09/13/2018 - 22:05
R.C

L’Opéra d’Alger Boualem Bessaih a lancé ce mercredi son site internet et devrait prochainement introduire la billetterie électronique et le paiement électronique, a indiqué son directeur Noreddine Saoudi.

S’exprimant lors d’un point presse animé mercredi, Noreddine Saoudi a indiqué qu’il est désormais « possible de réserver sa place avec son numéro de siège en attendant que le paiement électronique des billets ne soit lancé en collaboration avec la Société d’automatisation des transactions interbancaire et monétique (Satim) ».

Lors de cette rencontre l’équipe de l’Opéra d’Alger a dévoilé on programme pour le dernier trimestres de l’année 2018 et qui verra, entre autres, la tenue du 10e Festival international de la musique symphonique et du 14 Festival international de la musique andalouse et des musiques anciennes.

L’opéra d’Alger qui fera sa rentrée vendredi avec un concert du groupe Ifrikya Spirit, prévoit également une série d’hommage à de grands noms de la musique algérienne à l’instar de Mokdad Zerrouk, Ahmed Wahbi, ou encore Sid Ahmed Serri.

Le grand musicien et producteur Safi Boutella est également annoncé pour les 10 et 11 octobre prochain dans un spectacle qu’il est en cours d’élaboration avec l’orchestre symphonique de l’Opéra.

Plusieurs autres spectacles de danse et de ballet sont annoncé par la programmation de l’opéra et qui seront présentés par le ballet de l’opéra et d’autres troupes étrangères, en plus de représentations des orchestres andalous locaux.

La direction de l’Opéra d’Alger a aussi annoncé l’édition d’un beau-livre à l’occasion du deuxième anniversaire de son inauguration, annonce son directeur

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L’Algérie invitée d’honneur de la Foire Internationale de Flandre

Thu, 09/13/2018 - 17:16

L’Algérie participera en qualité d’invitée d’honneur à la 73ème édition de la Foire Internationale de Flandre qui se tiendra du 15 au 23 septembre à Gand (province belge de Flandre-Orientale), a indiqué jeudi le ministère du Commerce dans un communiqué.

A cette occasion, le ministre du Commerce, Said Djellab, effectuera une visite de travail en Belgique à la tête d’une délégation.

L’Algérie sera présente à cet événement à travers un pavillon national de 1.000 m2 « qui constituera une vitrine d’exposition et de promotion d’une gamme variée de produits de consommation destinés à la vente directe au grand public », fait savoir la même source.

Cette Foire internationale, « Flanders Expo », sera aussi l’occasion « de faire découvrir les particularités et richesses culturelles, artisanales et touristiques de l’Algérie », ajoute le ministère qui note qu’en marge de cet événement, un vaste programme d’activités culturelles est prévu afin de « mettre en valeur les capacités de l’Algérie dans le domaine touristique ».

A travers cette manifestation économique internationale, il sera également question de « créer une dynamique pour de nouvelles opportunités  d’exportation et de partenariat entre les entreprises algériennes et belges  et de développer les flux commerciaux entre la Belgique et l’Algérie ».

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L’Etusa cherche des… bus

Thu, 09/13/2018 - 17:08

Afin de renforcer sa flotte, l’Etusa est à la recherche de bus en formule de location. On ignore si ces bus vont être versés dans les lignes de transport de voyageurs ou juste pour le transport de son personnel.

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Verts d’Europe: Atal a repris mais…

Thu, 09/13/2018 - 17:08

Absent depuis le match de Reims (1re journée de la ligue 1 française), au cours duquel il a contracté une blessure aux ischios, le latéral droit algérien de l’OGC Nice, Youcef Atal a repris les entraînements hier. Un retour qui enchante le coach des Aiglons, Patrick Viera lequel ne se précipite pas pour annoncer le retour à la compétition du jeune international algérien recruté l’été dernier en provenance de Courtrai (Belgique). En effet, interrogé sur la possibilité de voir Atal retenu pour le match de ce vendredi contre Rennes (5e journée), l’ex-milieu de terrain d’Arsenal a laissé transparaître des incertitudes. «On va voir s’il sera dans le groupe ou pas», dira-t-il lors d’un point de presse, hier à la fin de l’entraînement matinal. Il faudrait probablement attendre la sixième journée (déplacement à Montpellier) pour espérer revoir le défenseur algérien sur le terrain.
M. B.

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Enseignement supérieur: volonté d’améliorer les prestations universitaires et de pallier les lacunes

Thu, 09/13/2018 - 17:05

ALGER – Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar a réaffirmé,  jeudi à Alger, la volonté de son département à améliorer les prestations universitaires et à pallier les lacunes enregistrés.

Intervenant à l’Assemblée populaire nationale (APN), lors d’une séance consacrée aux questions orales, M. Hadjar a réitéré la volonté et l’attachement de son secteur à œuvrer à l’amélioration des prestations universitaires, en transport, hébergement et restauration, afin de permettre aux étudiants de poursuivre leurs études dans de bonnes conditions.

Admettant l’existence de « certaines lacunes » en matière œuvres universitaires, le ministre a souligné la détermination de son département à les traiter et à les prendre en charge, faisant savoir que ses Services s’attelaient à la cristallisation d’une « vision prospective participative » dans ce domaine.

Cette vision sera débattue lors d’une conférence nationale sur les œuvres universitaires avec la participation des tous les  acteurs de l’Université, a précisé le ministre, mettant en avant la nécessité de la coordination entre les différents secteurs pour l’organisation de cette rencontre.

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a indiqué, à ce propos, que son secteur œuvrait à la rationalisation de la gestion du dossier des œuvres universitaires, auxquelles est consacré un taux de 37% du budget global du secteur.

En réponse à une autre question sur le transport universitaire au niveau de la wilaya de Guelma, le ministre de l’Enseignement supérieur a affirmé que le secteur s’attelait à réunir le plus grand nombre de bus pour le transport des étudiants dans cette wilaya qui dispose, a-t-il rappelé, de « capacités importantes en matière d’hébergement dépassant les 10.000 lits alors que le nombre des résidents dans les cités universitaires s’élève à quelque 6000 étudiants ».

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La figue

Thu, 09/13/2018 - 17:04

Pendant les périodes au cours desquelles on ne trouve pas de figues fraîches, mangez-les sèches. Elles contiennent de nombreux minéraux et vitamines, notamment du magnésium et de la vitamine C.
Elles nettoient le métabolisme, réduisant les dépôts de graisse et normalisant le taux de sucre dans le sang.

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Vente de gaz: Sonatrach négocie un contrat avec le Maroc

Thu, 09/13/2018 - 16:53

Abdelmoumen Ould Kaddour, P-DG de Sonatrach
“Nous négocions un contrat de vente de gaz avec le Maroc”

Lors du point de presse organisé à l’issue de la cérémonie de lancement des travaux du gazoduc El-Aricha-Béni Saf, le P-DG de la compagnie nationale a indiqué que Sonatrach négocie avec les Marocains un contrat de vente de gaz. Il s’agit de quantités qui seront acheminées par le gazoduc GPDF. Le Maroc est déjà client de Sonatrach. La compagnie nationale vend le gaz à la société marocaine ONE via le pipe GDPF.  Sur le raffinage, il a affirmé que la raffinerie d’Augusta en Italie sera la propriété de Sonatrach en décembre prochain et que la raffinerie d’Alger qui produira 3,2 millions de tonnes de carburants annuellement (travaux de rénovation en cours) entrera en service d’ici le début de l’année 2019. Ce qui permettra à l’Algérie d’économiser 2 milliards de dollars. Quant à la raffinerie de Hassi Messaoud, le contrat de réalisation sera signé vers la fin de l’année en cours. Sur les prix du pétrole, il a estimé que 80 dollars le baril est le prix raisonnable, accepté par les producteurs et les consommateurs.

K. R.

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Indisponibilité des médicaments innovants enregistrés en janvier 2018: La PCH attend l’engagement des hôpitaux

Thu, 09/13/2018 - 16:51

La direction de la Pharmacie centrale des hôpitaux a requis un engagement écrit des administrations des hôpitaux attestant de leur capacité à assurer le paiement des médicaments commandés.

Des oncologues et des associations d’aide aux personnes atteintes de cancers s’insurgent contre l’indisponibilité des innovations thérapeutiques, essentiellement l’immunothérapie qui a obtenu l’AMM (autorisation de mise sur le marché) par le ministère de tutelle en janvier 2018. Sur prescription de chefs de services, des établissements hospitaliers ont adressé à la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) des commandes au profit des patients réfractaires aux traitements conventionnels. La demande n’a pas été toutefois satisfaite. La direction de la PCH a requis, selon nos sources, un engagement écrit des administrations des hôpitaux attestant de leur capacité à assurer le paiement des médicaments commandés.

Ce qui a été fait sans fléchir pour autant la position des gestionnaires de la centrale d’achat. Le refus d’honorer la commande est considéré par des praticiens et des animateurs d’association comme un blocage de molécules de dernière génération dûment incluses dans la nomenclature des médicaments enregistrés par la direction de la pharmacie au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Contacté pour avoir sa version, Mohamed Ayad, directeur général de la PCH, livre ses arguments. Il explique d’abord qu’il s’agit de molécules de nouvelle génération dont l’utilisation ne prévaut pas d’assez de recul. “Les patients mis sous ces traitements doivent être suivis de manière rigoureuse. Pour cette raison, le ministère de la Santé est en cours de désignation de services hospitaliers de références, autorisés à prescrire ces thérapies. Leurs établissements peuvent alors faire une commande officielle et nous procéderons à l’importation de ces produits”, précise notre interlocuteur. Il affirme, par ailleurs, que ces produits hospitaliers ne sont pas encore budgétisés, puisqu’ils ont été enregistrés au début de l’année, soit après l’allocation du budget des hôpitaux pour l’exercice 2018. “Le coût de ces traitements est très élevé. Le médicament le moins cher est cédé à 2600 euros la boîte”, complète-t-il.

Le directeur général de la PCH reconnaît avoir exigé, par anticipation, un engagement écrit des hôpitaux, car nombre d’entre eux dépassent souvent leurs budgets de fonctionnement. Le différentiel s’accumule d’année en année, en créances détenues auprès de la PCH. La structure souffre en conséquence de problèmes presque structurels de trésorerie, qui l’empêchent d’honorer ses commandes. Jusqu’à février dernier, la dette des hôpitaux s’élevait à 34,5 milliards de dinars. Il était question qu’elle soit reprise par les pouvoirs publics. “Nous sommes en discussion avec le ministère des Finances”, indique M. Ayad sans développer davantage ce chapitre. Pour rappel, la PCH a livré, en 2017, l’équivalent de 88 milliards de dinars de médicaments aux hôpitaux, dont 18 milliards de dinars ne sont pas encore payés. Sur cette facture, 45 milliards de dinars ont été consommés par des anticancéreux et les traitements d’hématologie.

Souhila H.

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Face au risque d’une situation humanitaire catastrophique – Syrie : Idleb au cœur d’une pression diplomatique et militaire

Thu, 09/13/2018 - 16:48

Il y a au moins 2,9 millions de personnes vivant dans la province d’Idleb, dernier bastion de la rébellion politico-armée, mais aussi d’une myriade de groupes terroristes liés à Al-Qaïda ou à Daech.

La situation prévalant dans la province d’Idleb et la perspective du lancement d’une vaste opération militaire par l’armée syrienne, appuyée par la Russie, a fait l’objet d’une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU, mardi.
Alors que les États-Unis poussent leurs alliés à intervenir directement en Syrie, sous prétexte que Damas s’apprêterait à user des armes chimiques, la Russie et la Chine (deux membres permanents du Conseil de sécurité), s’y opposent fermement. Moscou avait déjà averti contre une tentative des Casques blancs de monter un scénario et une mise en scène d’attaque chimique. Selon le Kremlin, des groupes terroristes islamistes ont tenu un congrès avec les Casques blancs dans cette province pour simuler une fausse attaque chimique, pouvant justifier une intervention militaire occidentale qui provoquerait un conflit de grande ampleur.

De son côté, Pékin a appelé la communauté internationale par la voix de son représentant permanent de la Chine auprès des Nations unies, Ma Zhaoxu, à agir en synergie pour continuer à lutter contre le terrorisme en Syrie. “Il n’y a pas d’alternative à une solution politique si la Syrie doit retrouver la paix et la stabilité”, a indiqué l’ambassadeur chinois dans son intervention, mardi, au Conseil de sécurité. “La souveraineté, l’indépendance, l’unité et l’intégrité territoriale de la Syrie doivent être respectées, et la communauté internationale devrait agir en synergie pour continuer à combattre le terrorisme dans le pays déchiré par la guerre”, a-t-il souligné, en appelant également la communauté internationale à maximiser le rôle de l’ONU en tant que médiateur principal, et à soutenir les pourparlers de Genève parrainés par l’ONU et le processus d’Astana. Pour sa part, Damas estime être dans son droit de reprendre le contrôle de la totalité de son territoire à des groupes terroristes, dont certains sont directement soutenus par des puissances occidentales et arabes dans le but d’évincer Bachar al-Assad du pouvoir.

L’ambassadeur permanent de Syrie à l’ONU à Genève, Hussam Eddine Ala, a ainsi affirmé que “l’État syrien est déterminé à libérer le gouvernorat d’Idleb du réseau terroriste du Front Nosra et des réseaux qui en dépendent, à l’instar des autres zones que l’armée arabe syrienne avait libérées du terrorisme”, selon Sana. Par ailleurs, de hauts responsables humanitaires de l’ONU se déclarent “vivement préoccupés par la récente escalade des hostilités à Idleb”, selon un communiqué publié, mardi soir par l’ONU. “Cette dernière escalade militaire a une nouvelle fois un impact dramatique sur les civils. En tant qu’humanitaires, notre crainte est que le pire est peut-être encore à venir”, a déclaré, mardi, Jens Laerke, porte-parole du Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (Ocha), Panos Moumtzis. “Les inquiétudes d’Ocha portent principalement sur la sécurité et la protection d’environ 2,9 millions de civils résidant à Idleb, notamment le sort de 1,4 million de personnes déplacées internes, dont la plupart sont des femmes et des enfants venus d’autres régions de Syrie”, a souligné M. Laerke.

Lyès Menacer

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Blida: Mesures urgentes pour remédier au manque de décharges publiques

Thu, 09/13/2018 - 16:41

Les autorités de la wilaya de Blida ont décidé prendre une série de «mesures urgente» pour palier au déficit accusé en matière de décharges publiques, a annoncé le wali par intérim de Blida, Rabah Ait Ahcene.

Le responsable qui intervenait en marge d’une rencontre avec les membres d’une délégation parlementaire, en visite à Blida, pour faire un constat afin de prendre des mesures pour endiguer l’épidémie de choléra, qui a touché six wilayas du centre du pays, dont Blida, a fait part de l’affectation d’une enveloppe de 160 millions de DA pour la réalisation de deux petites décharges publiques, l’une pour la partie est et l’autre pour la partie ouest de la wilaya, «en guise de solution d’urgence» , et ce dans l’attente, a-t-il dit, de la «programmation de grands projets pour l’éradication du problème». Il a, également, signalé l’entrée en exploitation du Centre d’enfouissement technique des déchets (CET) d’Ain Romana.

D’une durée de viabilité de trois ans, ce CET est destiné à la couverture des besoins de la partie ouest de la wilaya. Dans le même cadre, les travaux de réalisation d’un autre CET à Tabianet seront lancés «prochainement», a informé le wali par intérim, tout en lançant un appel en direction du ministère de l’Environnement et des Energies renouvelables, en vue de programmer de grands projets similaires au profit de la wilaya de Blida. Il a, en outre, instruit les présidents des communes en vue de signer des conventions avec les privés, portant sur l’enlèvement des déchets amoncelés au niveau des quartiers et artères de la wilaya.
Aussi, une enveloppe supplémentaire de 200 millions de DA a été affectée au profit de l’Epic «Mitidja Nadhafa» pour l’acquisition de nouveaux camions destinés à couvrir le déficit accusé par cette entreprise publique en la matière, en plus de nouveaux conteneurs pour les déchets.
Le wali par intérim a exprimé, à cette occasion, son souhait de voir la wilaya de Blida bénéficier de programmes de logements supplémentaires visant l’éradication de l’habitat précaire, assurant que les programmes de logements publics actuellement en réalisation dans la région ne «pourront pas couvrir la demande exprimée sur cette formule, à l’échelle locale. «Le rêve d’un environnement propre et salubre est tributaire de l’éradication de l’habitat précaire qui défigure le paysage général de la wilaya, comptant 14.000 constructions précaires à travers ses différentes communes», a soutenu M. Ait Ahcene.
La délégation parlementaire, arrivée lundi à Blida, a englobé notamment une inspection du chantier d’assainissement de l’Oued Beni Azza, outre des visites à l’hôpital des maladies infectieuses de Boufarik, le laboratoire de l’Algérienne des eaux, le laboratoire sanitaire, et le chantier du projet de la station d’épuration des eaux de Ben Khellil.

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Boumerdès: Plus de 14 millions d’estivants sur les plages de l’ex-Rocher Noir

Thu, 09/13/2018 - 16:39

La saison estivale dans la wilaya de Boumerdès est accréditée d’une bonne note puisqu’elle a enregistré plus de 14 millions de touristes qui ont choisi la destination de ses belles plages réparties sur un littoral long de plus de 100 kilomètres. Avec ce chiffre la wilaya de Boumerdès est classée 2e après celle d’Oran qui a enregistré 15 millions de touristes pour la période allant du début de la saison estivale jusqu’au 1er septembre. « C’est le résultat de deux ans d’efforts qui ont permis de changer le visage de la wilaya avec l’amélioration du cadre du séjour en offrant toutes les commodités aux estivants » a déclaré le wali lors du conseil de wilaya consacré au bilan de la saison estivale. ‘’L’objectif est de redonner le blason à la wilaya en exploitant toutes les potentialités touristiques qu’elle recèle, tout en luttant contre les archaïsmes de gestion cumulés depuis des années’’, a ajouté le premier responsable de la wilaya en insistant sur la poursuite des efforts avec l’implication de toutes les directions et la société civile. Ainsi le lancement des concours portant sur le ‘’Top Village, Top School, Top Summer’’ ont suscité une dynamique et un exemple à suivre pour améliorer le cadre de vie des citoyens notamment en matière de l’environnement. Cette politique a permis aux citoyens, de s’impliquer dans la gestion de leur environnement immédiat en réalisant des actions de volontariat ayant permis l’embellissement des quartiers, villages, écoles et plages en les rendant agréables. Si le nombre d’estivants connaît une ascension depuis deux ans, cette saison, le nombre de touristes ayant choisi la destination de Boumerdès dépasse les 14 millions.

La réalisation d’infrastructures touristiques, l’hygiène de l’environnement, l’ouverture d’autres plages, la disponibilité de toutes les commodités y afférentes, la présence renforcée de la sécurité de la Protection civile et les autres services, l’amélioration du transport vers les plages sont autant d’atouts qui ont contribué à ce résultat selon le rapport de la direction du tourisme. La nécessité de poursuivre dans cette voie a été soulignée tout en travaillant pour éliminer les points noirs relevés sur les plages afin de préparer la prochaine saison estivale. Le manque de loisirs et d’activités culturelles, la difficulté de respecter la gratuité des plages, l’insalubrité dans certaines plages, la présence anarchique des ‘’Jet sky’’, le diktat de certains concessionnaires de plages et de parcs, le retard dans la mise à prix des domaines sont entre autres des points noirs relevés par les intervenants qui ont proposé en majorité le lancement plutôt la saison estivale et l’augmentation du budget alloué aux communes côtières. Le volet environnement a été également mis en exergue afin d’éviter la pollution d’où il a été constaté le déversement des eaux usées sur certaines plages à l’exemple de Corso. Dans ce cadre, le wali a insisté sur la prise en charge réelle de ce volet aux risques multiples sur la santé publique.
B. Khider

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Dangers de l’irrigation des cultures agricoles à partir des eaux usées : Lancement d’une caravane de sensibilisation à Constantine

Thu, 09/13/2018 - 16:37

Une caravane de sensibilisation a été lancée à Constantine pour sensibiliser sur les dangers de l’irrigation des cultures agricoles à partir des eaux usées.

La caravane, dont le coup d’envoi a été donné à partir des communes de Hamma Bouziane et Didouche Mourad, à l’initiative de la Direction des services agricoles en collaboration avec les Directions de la santé, des ressources en eau, le bureau de wilaya de l’Union nationale des paysans algériens (UNPA) et la Chambre de l’agriculture, s’inscrit dans le cadre de «la lutte contre les maladies à transmission hydrique et contre l’irrigation des cultures agricoles avec les eaux usées», selon les organisateurs. À l’occasion, le secrétaire de wilaya de l’union nationale des paysans algériens, Slimane Aouane, a précisé à l’APS, que cette caravane qui se poursuivra jusqu’au 18 septembre en cours, sillonnera les 12 communes de la wilaya de Constantine avec pour objectif de «sensibiliser les agriculteurs quant à la nécessité d’éviter de recourir à l’irrigation des cultures agricoles à partir des eaux usées pour préserver la santé publique».

Il a également souligné que «l’organisation de pareilles caravanes ne devrait pas être circonstancielle», plaidant dans, ce contexte, pour la «codification du processus d’irrigation afin d’éviter tout accident susceptible de nuire à la santé et à la sécurité des citoyens, en accordant, notamment le permis d’arrosage à chaque agriculteur avant la campagne de labours-semailles par le biais des organismes compétents». Au premier jour de son lancement, la caravane a ciblé les agriculteurs des communes de Hamma Bouziane et Didouche Mourad dont les terres agricoles sont situées à proximité d’eaux impropres à l’irrigation, auxquels des explications et des conseils ont été prodigués sur les dangers pouvant résulter de l’utilisation des eaux usées, d’autant que ces régions se caractérisent par la culture des fruits et légumes. Par ailleurs, sous la houlette du wali de Constantine, la Direction des services agricoles, la daïra de Hamma Bouziane, ainsi que le Groupement de wilaya de la Gendarmerie nationale, avaient détruit au cours de la semaine dernière, dix ha de cultures agricoles irriguées à partir des eaux usées, en sus de la saisie des équipements utilisés dans l’opération d’irrigation dont trois pompes à eau et des canalisations.

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Craignant une escalade à Idlib : Des Syriens fuient vers la frontière turque

Thu, 09/13/2018 - 16:34

Alors que le gouvernement syrien et ses alliés ont repris la semaine dernière les bombardements dans la province d’Idlib, dernier bastion rebelle dans le nord-ouest du pays, de nombreux Syriens ont fui vers des villages frontaliers avec la Turquie, craignant une offensive de grande ampleur.

Selon une annonce, lundi, du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’Onu (Ocha), les bombardements entamés la semaine dernière par les armées syrienne et russe à Idlib ont fait 30 000 déplacés. Avec l’appui de la Russie et de l’Iran, Damas prépare une vaste offensive pour reprendre la province Idlib, dernier grand bastion à s’opposer activement au président Bachar al Assad, où vivent trois millions de personnes. Cela pourrait provoquer «un cauchemar humanitaire comme on n’en a encore jamais vu depuis le début du conflit syrien», a déclaré mardi, le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres. Ali al Mheymid, 50 ans, fait part d’une «destruction totale» du village de Sarjah, qu’il a fui avec sa famille la semaine dernière. «Ils ne faisaient pas de différence entre les civils et les autres», a-t-il déclaré à Reuters depuis un village situé près de Bab al Hawa, point de passage frontalier avec la Turquie. En compagnie de 13 parents, il loge sous une tente, abri de fortune que la famille occupe après avoir payé un loyer au propriétaire du terrain. Mheymid, père de cinq enfants, raconte que les habitants ont fui par centaines, certains emportant pour seuls biens des couvertures et des ustensiles de cuisine. «Les gens espèrent que c’est plus sûr ici que là-bas», a-t-il dit. «Il n’y a pas d’échappatoire».

Damas et Moscou affirment qu’ils évitent les civils et ne ciblent que les groupes radicaux inspirés par Al Qaïda. Réunis vendredi dernier à Téhéran, les présidents russe, turc et iranien n’ont pu se mettre d’accord sur un cessez-le-feu à Idlib. Ankara a souligné qu’il ne pourrait pas faire face à un nouvel afflux de réfugiés syriens, qui sont déjà trois millions et demi en Turquie. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré dans un article au Wall Street Journal qu’une offensive de l’armée syrienne dans la province d’Idlib serait une menace humanitaire et sécuritaire pour la Turquie, pour l’Europe et au-delà. L’armée turque, épaulée par des groupes armés, s’est déployée autour du nord-ouest de la Syrie et a installé cette année 12 points d’observation près d’Idlib. «Qu’allons-nous faire ? Où allons-nous aller ?», s’est inquiété Mamdouh Abou al Saoud, qui a fui en compagnie de sa femme et leurs trois filles vers un campement informel près de Bab al Hawa.
Depuis le début du conflit, a-t-il dit, ils ont dû fuir à plusieurs reprises, dans le sud de la Syrie, puis à Idlib après la prise de contrôle des forces gouvernementales dans le Sud. «Nous étions venus (à Idlib) avec rien.»

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Syrie: L’ONU accuse Damas de trois attaques au chlore

Thu, 09/13/2018 - 16:31

Les forces gouvernementales syriennes ont bombardé au chlore cette année la Ghouta orientale et la province d’Idlib, ce qui constitue des crimes de guerre, déclare une commission d’enquête des Nations unies dans un rapport publié mercredi. Ces trois attaques chimiques recensées par la Commission d’enquête sur la Syrie portent à 39 le nombre d’attaques chimiques documentées par ce panel depuis 2013, dont 33 ont été attribuées au gouvernement syrien, a déclaré à Reuters un responsable de l’Onu. Les auteurs des six autres attaques n’ont pas été suffisamment identifiés. Utiliser du chlore comme arme est prohibé par la Convention sur les armes chimiques, ratifiée par Damas, et par le droit international humanitaire, rappellent les enquêteurs dans ce nouveau rapport. «Pour reprendre la Ghouta orientale en avril, les forces gouvernementales ont lancé de nombreuses attaques à l’aveugle dans des zones civiles densément peuplées, en utilisant notamment des armes chimiques», peut-on lire dans le rapport, selon lequel deux attaques au chlore ont eu lieu les 22 janvier et 1er février dans un quartier résidentiel de Douma, dans la Ghouta orientale, à l’est de la capitale syrienne.

Des femmes et enfants ont été blessés dans ces attaques, victimes de détresse respiratoire, ajoutent les enquêteurs. «La Commission conclut qu’en ces deux occasions, les forces gouvernementales ou les milices affiliées ont commis des crimes de guerre en utilisant des armes prohibées et en lançant des attaques sans discrimination sur des zones de population civile dans la Ghouta orientale», poursuit le rapport. Une roquette artisanale a été utilisée dans les deux cas, ajoute-t-il : «Les munitions ont été fabriquées à partir d’obus d’artillerie iraniens produits de manière industrielle dont on sait qu’ils ont été fournis aux forces» syriennes. La troisième attaque au chlore, dans la province d’Idlib (nord-ouest), s’est produite le 4 février, selon la Commission. L’OIAC (Organisation pour l’interdiction des armes chimiques) avait déjà fait état de cette attaque en mai dernier, mais sans se prononcer sur son auteur. «Des hélicoptères des forces gouvernementales ont largué au moins deux barils contenant des charges de chlore dans le quartier de Talil à Saraqib», dit-elle, faisant état d’au moins 11 blessés dans ce raid.

Le rapport, qui s’appuie sur 400 interviews, examine également des attaques aériennes et terrestres menées par la Turquie et ses alliés rebelles syriens dans le cadre de l’opération dite «Rameau d’olivier» dans la région syrienne d’Afrin (nord-ouest) en début d’année. Le plus grand hôpital de la ville, un marché et des habitations d’Afrin ont été touchés par les forces turques, déclarent les enquêteurs. «En conduisant des frappes aériennes à partir du 20 janvier, l’armée de l’air turque pourrait avoir échoué à prendre toutes les précautions réalisables avant de lancer certaines attaques, en violation du droit international humanitaire», écrit la Commission, qui dénonce également les arrestations arbitraires pratiquées par ses alliés de l’Armée syrienne libre.

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Espagne: A Barcelone, un million de Catalans montrent leur force

Thu, 09/13/2018 - 16:28

Près d’un million de Catalans se sont massés mardi sur une artère de Barcelone pour la «Diada», «fête nationale» catalane, démontrant une capacité de mobilisation intacte après l’échec de leur tentative de sécession de l’Espagne et avec neuf dirigeants politiques en prison. À 17H14 (15H14 GMT) précises, en commémoration de la prise de Barcelone le 11 septembre 1714 par les troupes du roi Felipe V qui supprima l’autonomie de la région, les manifestants ont levé une marée de drapeaux séparatistes et clamé «indépendance !» sur six kilomètres de l’avenue Diagonal. La mise en scène, savamment orchestrée par les influentes associations indépendantistes, consistait à faire tomber un mur symbolisant les obstacles surmontés dans la marche vers un État souverain.

La police municipale de Barcelone a annoncé avoir compté «environ un million» de manifestants, le même nombre que l’année précédente. «Nous réclamons notre droit à être une nation, de manière démocratique et pacifique», a déclaré à l’AFP Roger Pujol, producteur d’huile d’olive de 37 ans, réclamant «que la république devienne effective». La revendication de l’abandon des poursuites contre les dirigeants séparatistes, incarcérés ou ayant fui à l’étranger, pour leur rôle dans la tentative de sécession a été au centre de la manifestation convoquée sous le slogan «faisons la république catalane». Treize leaders catalans, dont l’ancien président régional Carles Puigdemont qui s’est exilé en Belgique, sont accusés de rébellion, ce qui peut leur valoir jusqu’à 25 ans de prison. «J’ai honte, il n’y a pas d’autre mot. Je suis indigné, il ne peut pas y avoir de prisonniers politiques», a dit à l’AFP Santi Noé, agriculteur de 54 ans venu sur son tracteur auquel il avait accroché deux pancartes portant les mots «Démocratie» et «Liberté prisonniers politiques».

Divisions
Le camp indépendantiste veut prouver qu’il reste puissant près d’un an après le référendum illégal d’autodétermination du 1er octobre 2017 et la vaine déclaration d’indépendance du 27 qui avait entraîné la mise sous tutelle de la Catalogne par Madrid. «Les indépendantistes vont descendre dans la rue et démontrer qu’ils sont la force politique organisée la plus importante» de Catalogne, mais contrairement à l’an dernier, «il semble qu’il n’y a pas de plan», a estimé Oriol Bartomeus, politologue à l’Université autonome de Barcelone. La «Diada» est utilisée depuis 2012 par les séparatistes pour réclamer l’indépendance de la riche région du nord-est de l’Espagne où la question divise fortement. Selon un dernier sondage publié en juillet par un institut dépendant du gouvernement régional, 46,7 % des Catalans sont favorables à l’indépendance et 44,9 % opposés. Les indépendantistes, qui contrôlent le Parlement catalan, ont remporté les dernières élections de fin décembre avec 47,5 % des voix. «Aujourd’hui, nous les Catalans devrions célébrer notre fête nationale et non seulement un appel à l’indépendance qui est partagé par moins de la moitié de la population», a regretté de Strasbourg, le ministre espagnol des Affaires Etrangères, Josep Borrell, lui-même catalan. Les divisions sont également présentes au sein même du camp indépendantiste entre les plus modérés de la Gauche républicaine (ERC), qui veulent abandonner la voie unilatérale, et les plus radicaux. «Si un indépendantiste est assez ingénu ou stupide pour croire qu’il peut imposer l’indépendance à 50 % des Catalans qui ne le sont pas (indépendantistes), il est évident qu’il se trompe», a souligné la semaine dernière Joan Tarda, député d’ERC.

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États-Unis : Elton John a inauguré sa grande tournée mondiale d’adieu

Thu, 09/13/2018 - 16:17

L’immense chanteur et compositeur britannique, aujourd’hui âgé de 71 ans, a commencé une série de quelque trois-cents concerts qui seront donnés dans les plus grandes salles du monde durant trois ans.

Teintés de nostalgie ces récitals géants revisiteront les plus grands succès de sa carrière. Yellow Brick Road, telle est le nom de la grande tournée mondiale d’adieu de Sir Elton John. Le compositeur et chanteur anglais, l’homme aux trois-cents millions de disques, a voulu ainsi revenir à la source de son inspiration, Le Magicien d’Oz . Car déjà en 1973 dans le double album Goodbye Yellow Brick Road, désormais historique, il évoquait la fameuse Route de brique jaune qui devait conduire les héros du roman fantastique de L. Frank Baum à la Cité d’émeraude. C’est à Allentown en Pennsylvanie aux États-Unis qu’Elton John, a inauguré, le samedi 8 septembre, sa tournée d’adieu. S’accompagnant de son indispensable piano il a, comme il l’avait promis en début d’année, interprété magistralement ses plus grands succès. Avec ce concert inaugural, le premier d’une formidable série de trois-cents spectacles qui le feront voyager sur les cinq continents pour rencontrer une dernière fois ses fans, Elton John tient ici sa promesse: offrir un bel adieu à son public. Elton John a expliqué pourquoi il tirait sa révérence. Âgé aujourd’hui de 71 ans, récemment marié à son compagnon David Furnish, le chanteur, père aussi de deux enfants, consacrera après cet ultime tour de chant la plus grande partie de son temps à sa famille.

Des hommages à Aretha Franklin, Nelson Mandela et Stephen Hawking
Yellow Brick Road est empreint de toutes les nostalgies du chanteur. Pendant le spectacle, ses inconditionnels ont découvert des photos de son enfance et de son adolescence. Un film sur sa grand-mère adorée y a été aussi présenté. Il a également rendu des hommages appuyés aux personnalités qui l’ont marqué: la chanteuse Aretha Franklin, l’homme politique sud-africain Nelson Mandela et le physicien Stephen Hawking. Deux moments forts resteront gravés dans la mémoire des spectateurs. Quelques images rares firent revivre Marilyn Monroe pendant que la superstar interprétait son plus grand tube, Candle in the Wind. Le final, aussi, aura été particulièrement émouvant.
Dans le survêtement noir et rouge qu’il portait sur le fameux album de 1973 dédié au Magicien d’Oz, Elton John interpréta la chanson qui inspira son titre à cette pharaonique tournée d’adieu, Goodbye Yellow Brick Road…

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