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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 21 hours 34 min ago

Commandant général des Scouts : La question palestinienne demeure « centrale » pour le peuple algérien

Mon, 07/30/2018 - 17:18

BOUMERDES – musulmans algériens (SMA), Mohamed Bouallag, a affirmé que la question palestinienne demeure « centrale » pour le peuple algérien et que les SMA « ne font pas exception » à cette unanimité.

À l’issue de la clôture, tard dans la soirée de dimanche, du camp d’été pour les enfants palestiniens au camp de jeunes d’El Kerma (Boumerdes), en présence de l’ambassadeur de l’État de Palestine à Alger, M. Louai Aissa, M. Bouallag a mis en avant que la question palestinienne demeure « centrale » et jouit de l’unanimité et du consensus de tout le peuple algérien. Au moment où le peuple algérien est unanime au sujet de cette question, les SMA, en tant qu’école nationale, « ne font pas exception » à cette unanimité d’autant qu’ils sont à « l’avant-garde » avec ceux qui soutiennent cette question pour la transmettre aux générations futures, a-t-il indiqué.

Dans ce cadre, le même responsable a fait savoir que les SMA, grâce à la coopération avec l’ambassade de Palestine à Alger, ont passé de l’encadrement des différentes activités communes entre les deux parties à l’organisation des camps d’été au profit des enfants palestiniens résidents en Algérie. Il a estimé, par ailleurs, que ce camp a « une dimension profonde » du fait qu’il s’adresse aux enfants et aux jeunes qui sont l’avenir de la Palestine de manière à ce que la question « demeure vive dans leurs esprits et pour qu’ils soient fortement attachés à elle dans l’espoir de restituer la terre, les lieux sacrés et recouvrer la liberté« .

Pour sa part, l’ambassadeur de l’État de Palestine à Alger a salué la qualité et la nature des activités et la collaboration entre l’ambassade et le mouvement des SMA, insistant sur l’importance de ce camp de toile pour les enfants palestiniens, en ce sens où il leur offre l’opportunité d’effectuer des échanges et d’établir de nouveaux contacts. S’inscrivant dans le cadre de la consolidation des relations entre l’Algérie et la Palestine, l’initiative est d’autant plus importante au regard de la forte présente de la communauté palestinienne établie dans le pays et des conditions politiques et sociales prévalant actuellement en Palestine qui ne favorisent pas le séjour.

Lancé le 22 juillet dernier, ce camp de toile troisième du genre, a vu la participation de près de 70 enfants (8-14 ans) de la communauté palestinienne établie dans les différentes wilayas du pays. Outre les activités sportives et de loisir, les jeunes vacanciers ont participé, 8 jours durant, à des concours et visité des sites historiques à travers la wilaya, à l’instar de la Casbah de Dellys et les montagnes de Keddara Bouzegza, ainsi que le sanctuaire des martyrs et le jardin d’essai d’El Hamma à Alger.

La cérémonie de clôture sera marquée par des activités ayant pour thèmes l’enfant et la cause palestinienne, et la présentation d’une pièce de théâtre dédiée à la Palestine, en sus de la distinction des petits vacanciers, des organisateurs et encadreurs.

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Poterie de Maatkas: les fêtes, assurent l’intégration de l’artisanat dans une dynamique économique

Mon, 07/30/2018 - 17:18

TIZI-OUZOU- Les fêtes et festivals dédiés aux métiers de l’artisanat, organisés dans plusieurs villages de la wilaya de Tizi-Ouzou, assurent l’intégration de l’artisanat dans une dynamique  économique, a indiqué dimanche la directrice locale de la culture.

Intervenant à la clôture de la 8ème édition du festival culturel local de la poterie de Maatkas (organisé du 25 au 29 de ce mois de juillet), Nabila Goumeziane a observé que « les fêtes et festivals permettent de faire sortir l’artisanat du plan émotionnel et nostalgique pour l’intégrer dans une  dynamique de développement économique et touristiques des territoires ».

Elle a aussi souligné le rôle des ces manifestions artisanales et culturel dans la préservation et la redynamisation des métiers traditionnels et leur préservation en offrant un espace de promotion et de vente aux artisans.

La 8ème édition du festival de la poterie qui a drainé des milliers de visiteurs et de chercheurs (universitaires, CNRPAH ), qui ont mis la main à la poche pour acheter des poteries, a-t-on appris du chargé de communication de cette manifestions Amar Mesbah.

Le dernier jour de ce festival a été marqué par la visite de l’ambassadeur de Croatie, Marin Andrijasevic qui a visité les différents stands et apprécié la beauté de la poterie locale, véritables objets artistiques harmonieusement décorés de motifs géométriques typiquement amazighs  dessinés avec des teintures naturelles.

M.Andrijasevic qui s’est ensuite rendu dans la ville d’Ath Yenni (au sud-est de la wilaya) ou se tient (du 26 juillet au 3 août) la 15ème édition de la fête du bijou qui porte le nom de cette région, a évoqué avec les présidents des Assemblées populaires communales de ces deux localités, « la possibilité d’échanges dans les domaines culturels et artisanaux ».

« Il nous a aussi parlé de l’éventualité d’organisation au niveau de l’ambassade de Croatie (Alger) d’une rencontre entre artisans de la wilaya et des hommes d’affaires et l’association des femmes de diplomates étrangers représentés en Algérie, entre autres, pour la vente et la promotion des produits de cet artisanat séculaire », a indiqué à l’APS M. Laguel.

Tizi-Ouzou : la poterie de Maatkas et le bijou d’Ath Yenni séduisent  l’ambassadeur de Croatie 

TIZI-OUZOU- La poterie de Maatkas et les bijoux d’AZth  Yenni (Tizi-Ouzou), ont séduit l’ambassadeur de Croatie, Marin Andrijasevic  qui s’est rendu dimanche dans ces deux localités pour acquérir quelques  pièces chez les artisans.

Ce représentant diplomatique s’est d’abord rendu dans la commune de  Maatkas au sud- ouest de la wilaya de Tizi-Ouzou, qui a abrité depuis le 25  de ce mois de juillet la 8ème édition du Festival culturel local de la poterie. Marin Andrijasevic a pris tout son temps pour visiter les différents stands et apprécier la beauté de la poterie locale, véritables objets artistiques harmonieusement décorés de motifs géométriques typiquement amazigh dessinés avec des teintures naturelles.

Il a aussi visité le musée de la poterie du village d’Ath Zaim (Maatkas) réalisé par l’association Tiguejdit n’Ath Zaim grace a la contribution financière de plusieurs institutions, ouvert au public à l’occasion de ce festival et ou l’ambassadeur à eu l’occasion de découvrir d’ancienne pièces de poterie de cette région, récupérées par de collectionneurs jaloux de préserver le patrimoine local.

M.Andrijasevic s’est ensuite rendu dans la ville d’Ath Yenni (au sud-est de la wilaya) ou se tient (du 26 juillet au 3 août) la 15ème édition de la fête du bijou qui porte le nom de cette région. Il a visité les différents stands exprimant son émerveillement devant la beauté et le raffinement des bijoux en argent décorés de corail et/ou d’émaux.

Ce même diplomate a profité de ces deux rendez-vous artisanaux pour se faire plaisir en achetant quelques objets. Il en aussi reçu d’autres en cadeau offerts par les organisateurs, geste qu’il a apprécié en observant  toutefois qu’acheter ces objets est pour lui une façon de soutenir les  artisans.

M.Andrijasevic a évoqué avec les deux présidents des Assemblées populaire communales d’Ath Yenni et de Maatkas l’éventualité d’échanges dans les domaines culturels et artisanaux. Lyes Laguel, président d’APC de Maatkas, a indiqué à l’APS que l’ambassadeur de Croatie a évoqué l’organisation d’une rencontre au niveau de l’ambassade de Croatie (Alger) entre artisans de la wilaya et des hommes d’affaires et l’association des femmes de diplomates étrangers représentés en Algérie, entre autres, pour la vente et la promotion des produits de cet artisanat séculaire.

La directrice de la culture présente ce dimanche à Maatkas pour la clôture de la 8ème édition du festival culture local de la poterie qui a drainé des  milliers de visiteurs et de chercheurs (universitaires, CNRPAH ), a souligné le rôle des ces manifestions artisanales et culturel dans la la préservation et la redynamisation des métiers traditionnels et leur préservation en offrant un espace de promotion et de vente aux artisans.

Elle a observé que « ces fêtes et festivals permettent de faire sortir l’artisanat du plan émotionnel et nostalgique pour l’intégrer dans une dynamique de développement économique et touristiques des territoires ».

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Blida: les services de sécurité se joignent pour réduire les accidents de la route

Mon, 07/30/2018 - 17:13

BLIDA – Il est huit heures au barrage de sécurité de Timezguida d’El Afroune (à l’ouest de Blida) sur l’autoroute Est-Ouest.

Des dizaines d’éléments de la gendarmerie et de la sûreté nationales et des Scouts musulmans algériens (SMA) s’activent pour entamer une campagne de prévention routière.

« Ensemble pour un été sans accident » est le thème de la campagne de sensibilisation en direction des usagers de la route initiée par le groupement de la gendarmerie nationale de la wilaya de Blida, lancée mercredi dernier en collaboration avec la sûreté de wilaya, et qui a mobilisé de bonne heure tout ce beau monde.

Sur place, policiers, gendarmes et membres des SMA étaient affairés à aborder les automobilistes, leur prodiguant conseil et orientations, pour une conduite plus saine et plus sure qui permettra d’éviter les drames routiers durant la saison estivale, marquée habituellement par un important  trafic sur les routes du littoral, notamment.

De nombreux usagers de cet axe autoroutier ont salué cette initiative qui est une occasion de rappeler les règles à observer sur la route pour préserver sa vie et celle des autres. Un père de famille a exprimé à l’APS son souhait de voir ce genre d’initiatives se renouveler vue l’impact

qu’elles peuvent générer sur la réduction des accidents de la route, soulignant la nécessité d’insister auprès des conducteurs sur l’importance du respect du code de la route.

Attentifs à la discussion, ses trois enfants assis à l’arrière du véhicule, lancent, en bons élèves : « le respect du code de la route, le port de la ceinture de sécurité et la réduction de la vitesse nous éviteront les accidents routiers, c’est ce que nous avons appris à l’école ».

Une même prise de conscience a été constatée chez deux jeunes arrêtés par un gendarme au niveau de ce même barrage pour un contrôle routinier de papiers. « Notre pays enregistre malheureusement un hausse inquiétante des accidents de la routes. Aussi, je conseille à tous les automobilistes d’être vigilants en conduisant et de procéder à la vérification de l’état de leur véhicule avant de prendre le volant », a souligné l’un d’entre eux.

L’espace de deux heures de temps qu’a durée cette campagne de sensibilisation, il a été enregistré 10 contraventions au code de la route et 5 autres relatives à la coordination de la circulation, a indiqué l’adjoint du chef de la brigade de gendarmerie, le capitaine Sekrani Mansouri, relevant que celles-ci sont principalement liées à la non présentation des documents du véhicule, la non-conformité des plaques d’immatriculation, la non utilisation de la ceinture de sécurité et mauvais  état des pneus de camions, ce qui peut être à l’origine d’accidents mortels, a-t-il relevé.

Entre autres contrevenants enregistrés lors de cette opération, un jeune et un adolescent arrêtés pour non port de casque, pour découvrir ensuite que le conducteur de la moto n’avait sur lui ni de permis de conduire, ni assurance.

L’officier de police Said Abdessamad Mohamed a observé, à ce propos, que ce type de contraventions est puni par la mise en fourrière de la moto et le retrait de permis en plus de la conduite des contrevenants à la brigade de gendarmerie ( corps territorialement compétent) la plus proche pour la suite de la procédure réglementaire.

Les deux jeunes ont reconnu leur faute et que les éléments des corps de sécurité agissent dans leur intérêt en veillant à la protection des biens et des personnes, et ont promis de ne plus recommencer et de respecter le code de la route.

Les scouts toujours présents dans les campagnes de sensibilisation

Comme à leur habitude, les Scouts musulmans algériens n’ont pas hésité à participer à cette opération à laquelle ont pris part une quarantaine d’entre eux, filles et garçons (lionceaux, éclaireurs, routiers ) du groupe El Falah de Sidi El Kebir et El Ikhlas de la commune de Cheffa, en plus de plusieurs chefs scouts du bureau de wilaya de Blida.

Le commissaire de wilaya des anciens SMA, Ahmed Khettaf, a rappelé que les scouts sont toujours présents dans ce genre d’activités, précisant que leur mission est d’inviter les automobilistes à éviter les causes des accidents qui fauchent des vies et endeuillent des familles, sans négliger leur impact sur le budget de l’Etat.

La très dynamique Rokia Keltoum Ben Ali Khodja (10 ans), qui portait fièrement sa tenue de scout, abordait les conducteurs en toute confiance, en leur remettant des dépliants, tout en leur prodiguant des conseils.

Elle a indiqué qu’elle est heureuse de participer pour la première fois à cette activité exprimant son souhait de contribuer ainsi à réduire les drames routiers.

Alors qu’elle invitait les automobilistes à être vigilants lorsqu’ils sont au volant car leurs familles les attendent, le jeune scout Faycel Medbougha (15 ans) a observé qu’il invitait les chauffeurs à réduire la vitesse car, soutient-il, « Qui va doucement arrive surement’’.

Cette campagne de sensibilisation au respect du code de la route pour préserver des vies, lancée en application des orientations du commandement de la gendarmerie nationale, se poursuivra jusqu’au 20 août prochain et sera organisée à travers les principaux axes routiers de la wilaya de Blida, a-t-on appris de la chargée de communication du groupement territorial de la gendarmerie nationale, le lieutenant Mariem Medini.

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Saison estivale: plus de 5 tonnes de viandes et d’aliments impropres à la consommation saisis à Alger

Mon, 07/30/2018 - 17:10

ALGER- La direction du commerce de la wilaya d’Alger a saisi, depuis le début de la saison estivale, près de 5 tonnes de viandes et d’aliments impropres à la consommation à travers plusieurs restaurants au niveau des plages algéroises, a indiqué dimanche le chef de service de la répression des fraudes à la même direction, Herkas Abdelouahab.

« Dans le cadre des opérations de contrôle quotidiennes, près de 5 tonnes d’aliments impropres à la consommation ont été saisies depuis le début de la saison estivale (1 juin-15 juillet) », a précisé à l’APS M. Herkas, en marge d’une visite effectuée par les agents de répression des fraudes à nombre de restaurants et fast-foods au niveau des plages à Kadous, Tamsnfoust et Staoueli.

A l’occasion de la saison estivale, la direction du commerce de la wilaya d’Alger a mobilisé 14 brigades composées de 30 agents de contrôle de qualité répartis sur 6 inspections (Rouiba, Dar Beida, Hussein Dey, Bab El Oued, Chéraga et Zéralda) pour inspecter la qualité des prestations  fournies au niveau des plages.

Pour ce qui est de la qualité et de la répression des fraudes, la direction a enregistré, durant la même période, 1097 interventions et dressé 359 contraventions, 353 procès verbaux à l’encontre de commerçants contrevenants, 8 mise en demeure et 7 décisions de fermeture, a-t-il fait savoir.

Pour sa part, l’agent de contrôle de qualité et de répression des fraudes, Alouani Naima a fait état de « manque d’hygiène dans quelques locaux, et d’étiquetage sur les produits utilisés lors de la préparation des repas en sus d’absence d’aération ce qui présente un danger sur la santé du  citoyen ».

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Santé: Des molécules dérivées du café pour se protéger d’Alzheimer

Mon, 07/30/2018 - 17:05

INDIANA – Des recherches très prometteuses ont montré que des molécules dérivées de la caféine seraient efficaces contre les maladies neurodégénératives car elle permettrait de développer une enzyme qui protège le cerveau de la maladie d’Alzheimer.

Selon une étude publiée par les chercheurs de l’Université de l’Indiana,  la caféine aurait la capacité de stimuler une enzyme dans le cerveau susceptible de protéger contre la démence et qui joue deux rôles : elle protège les neurones des agressions externes, d’une part, et lutte contre les protéines qui saccumulent dans le cerveau et qui sont les marqueurs des maladies neurodégénératives notamment la maladie dAlzheimer et de Parkinson, d’autre part. Ces recherches, a déclaré  Hui-Chen Lu, professeur au Gill Center for Biomolecular Sciences de l’Université de l’Indiana, pourraient aider à développer des médicaments qui augmentent le taux de cette enzyme dans le cerveau, et créer un produit chimique « blocus » contre les effets de démence des maladies neurodégénératives.

Rappelons que la maladie d’Alzheimer se caractérise notamment par la perte progressive de mémoire ainsi que par des troubles de comportement tels que le trouble du langage, la non-reconnaissance de l’entourage et la maladresse gestuelle. Or, il a été établi que le café, la boisson la plus consommée au monde après l’eau et la première source de caféine, favorise les performances cognitives chez les humains et les animaux.

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Consommation : de la médiocre qualité du lait vendu en sachet

Mon, 07/30/2018 - 17:00

La médiocre qualité du lait recombiné en sachet, sans cesse dénoncé par les ménages, est mise en avant dans un reportage diffusé lundi par la chaine 3 de la Radio Algérienne.

L’auteur de celui-ci s’est attaché à recueillir les récriminations de consommateurs qui disent leur colère de se voir chaque fois floués par une situation dont il estiment qu’elle a tendance à perdurer dans le temps.

Une mère de famille déclare avoir l’impression de découvrir dans les sachets de plastique dans lesquels est conditionné ce produit, « beaucoup plus d’eau que delait ». On a l’impression, assène-t-elle de boire de l’eau, concluant qu’il s’agit là d’un lait de qualité médiocre dont elle se demande si la qualité « est contrôlée ».

Reprenant les critiques d’associations de consommateurs, le journaliste de la chaine 3 considère que cette situation est le résultat du non respect en matière de dosage en poudre de lait.

Le président de l’une de ces associations, Mustapha Zebdi, observe que certaines laiteries privées ne respectent pas les concentrations réglementaires de poudre de lait afin de « gonfler leur marge bénéficiaire », une situation qu’il qualifie de « vol caractérisé ».

Approché à son tour, Abdelwahab Harkas, directeur de la qualité à la direction du commerce à Alger, signale que des contrôles et analyses effectués auprès des laiteries publiques et privées a révélé le « taux insuffisant en extrait sec et en matière grasse » dans le lait vendu aux Algériens.

Plus explicite, il explique qu’au lieu d’utiliser une tonne de poudre de lait pour produire 1 million de litres de produit lacté, les responsables de ces laiteries diluent cette quantité dans un million et demi de litre d’eau.

Rappelant que le lait en sachet est subventionné par l’Etat, l’auteur de cette contribution signale que celui-ci est, de plus, détourné vers d’autres usages (crème glacé et yaourts) ou vendu à 28, 30 et jusqu’à 35 dinars l’unité au lieu de 25 dinars.

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Recette: Brouillade d’œufs et croûtons

Mon, 07/30/2018 - 16:56

10 œufs, 10 cl de crème fraîche, 10 tiges de persil, 3 tranches de pain de campagne, 1 gousse d’ail, 2 c. à s. d’huile, sel, poivre. 
Faites légèrement griller les tranches de pain. Quand elles sont dorées, frottez-les à l’ail et coupez-les en petits carrés. réservez-les. Cassez les œufs dans un saladier et battez-les en omelette. Salez et poivrez.
Lavez, séchez et ciselez le persil, ajoutez-le aux œufs battus. Faites chauffer l’huile dans une poêle, quand elle est chaude, versez les œufs battus et faites cuire à feu vif en remuant sans arrêt avec une spatule en bois. Quand les œufs sont brouillés, retirez la poêle du feu et incorporez la crème fraîche immédiatement pour stopper la cuisson. Répartissez les œufs brouillés dans 6 coupelles et servez immédiatement avec les croûtons.

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La crise du régime rentier de Samir Bellal: Quand la perspective ne permet pas aux aveugles de voir

Mon, 07/30/2018 - 16:48

Grâce à cet essai sur «une Algérie qui stagne», le lecteur se trouve plongé dans le cœur du débat sur le régime rentier, un système aujourd’hui dans l’impasse. Samir Bellal propose un travail de recherche d’une grande réflexion et d’une grande rigueur dans son approche.

Les éléments essentiels de la problématique posée dans ce livre pourraient être les suivants : «(…) le marasme économique qui touche aujourd’hui notre pays apparaît comme la résultante d’une régulation économique ambiguë dont les contours prennent la forme d’une combinaison périlleuse associant, d’un côté, un libéralisme puéril, et de l’autre, un étatisme stérile. Il était en effet illusoire de s’attendre à ce que notre économie prenne la trajectoire vertueuse de l’émergence, que beaucoup d’autres pays ont réussi à emprunter, lorsque l’essentiel de la politique économique de l’Etat se résume à une ouverture inconsidérée des frontières extérieures du pays au moment où, à l’échelle interne, les mécanismes incitatifs de marché, (concurrence, prix, crédit…) sont bloqués, gelés ou carrément combattus» (avant-propos). Privilège du hara-kiri ou art du funambule ? Comme dirait La Bruyère, «l’héritier prodigue paye de superbes funérailles, et dévore le reste».
Alors que le monde économique contemporain poursuit sa course de vitesse, le millefeuille rentier, lui, engendre de l’inertie et fait perdre énormément d’énergie. Les logiques d’appareils et de la rente annihilent toute politique économique qui permettrait de s’adapter à la dynamique de mondialisation en cours et aux nouveaux paradigmes qui se dessinent. «L’Etat algérien n’a pas de doctrine économique, écrivait, en 1990, Lahouari Addi dans L’impasse du populisme. Vingt-cinq ans plus tard, la situation ne semble pas avoir fondamentalement changé. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer la légèreté déconcertante avec laquelle il passe, en l’espace de quelques mois, et avec le même personnel politique aux commandes, du libéralisme le plus débridé au dirigisme le plus stérile. En somme, la politique économique de l’Etat manque de visibilité et son projet économique, si projet il y a, se révèle (…) dépourvu d’éléments qui le rendraient scientifiquement repérable», souligne l’auteur dans l’avant-propos.
De quoi faire pleurer Kafka ! Mais pourquoi les décideurs ne veulent-ils pas regarder au-delà d’une économie fondée sur les ressources pétrolières, extractive et de rente, et accélérer le passage à une économie productive, liée à l’esprit d’entreprise, à la science, au savoir, au capital humain créateur de richesses ? Est-ce parce que les dirigeants politiques et certaines élites sont complètement déconnectés des réalités économiques, scientifiques, géopolitiques, géostratégiques et militaires du monde ? Ou est-ce parce que les élites retranchées, installées confortablement sur des rentes qui stérilisent toute vision à moyen et long terme pour accélérer le développement du pays, sont atteintes de cécité psychique, et donc impuissantes à reconnaître les réalités qui s’offrent à leur yeux ? A moins que leur conception patrimonialiste de l’économie ne soit pas tout simplement dictée par des intérêts égoïstes et terre-à-terre, intérêts consolidés par des habitudes extractives et parasitaires hostiles à tout changement ou rupture… Dans tous les cas de figure, le syndrome de la rente constitue une entité «clinique» parfaitement cohérente dans sa dysfonctionnalité. Samir Bellal en analyse la logique discursive et sans épaisseur, celle qui s’exprime par discours et mots, qui produit des phénomènes contre nature et qui se retourne contre la logique économique elle-même. En économie, disait Samuel Butler, «je ne connais aucune exception à cette règle, qu’il est moins coûteux d’acheter son lait que d’avoir une vache». Sauf que la perspective ne permet pas aux aveugles de voir !
Le paradoxe du système rentier (c’est-à-dire ses contradictions, ses contresens, ses antinomies, ses absurdités vraies) est ainsi passé au scalpel et au bistouri du chirurgien. Samir Bellal opère à merveille sur le corps frappé d’inertie. Son diagnostic est celui de l’enseignant-chercheur ayant une connaissance des mondes économique, financier et politique, connaissance acquise par l’expérience théorique et pratique. Pour ce sujet pointu, son travail de recherche invite à découvrir et à mettre à nu tout un réseau de chaînes qui s’étendent dans plusieurs directions. Tout est passé au scanner, expliqué, commenté et enrichi de propositions de sortie de crise. Parmi les points abordés : l’absence de vision économique, l’absence de réformes structurelles profondes, l’inexistence d’une vraie politique industrielle, le déficit de la production nationale, l’obsolescence des entreprises publiques, la «pétrolarisation» du budget de l’Etat, la circulation et la distribution de la rente énergétique, le clientélisme et la corruption, l’essor de l’économie informelle, la bureaucratie tentaculaire et stérilisante, la perversion du rapport salarial, etc.
L’auteur commence par préciser que son ouvrage «reprend, avec quelques modifications et actualisations, l’essentiel d’une thèse de doctorat en économie, ayant pour titre «Essai sur la crise du régime rentier d’accumulation en Algérie — une approche en termes de régulation», soutenue fin mars 2011 à l’université Lyon 2». Le but de cette recherche est également rappelé dans la conclusion générale : «Le présent travail se veut une contribution modeste à une réflexion qui a pour cadre théorique une approche qui met en avant le rôle des institutions. A notre connaissance, peu de travaux sont consacrés, dans ce cadre, à l’analyse du régime rentier à l’œuvre en Algérie.
C’est dire la nécessité et l’intérêt de développer un programme qui prendrait en charge nombre d’impératifs tels que la pluridisciplinarité, la prise en compte de la période longue, la vérification économétrique des régulations partielles, etc. Le programme en question devrait aussi et surtout dépasser le stade de l’analyse neutre et abstraite pour formuler des propositions concrètes de sortie de crise, comme cela est de tradition dans les analyses qui se réclament de l’économie institutionnelle ; la perspective pratique de celle-ci étant davantage tournée vers la réalisation du changement que vers la recherche des conditions d’un hypothétique équilibre virtuel.»
En d’autres termes, il s’agit de sortir impérativement du statu quo économique, déjà vermoulu et lézardé, et qui risque de craquer à tout moment.
Dans cet essai, l’auteur ne se limite pas à analyser ce qui freine puissamment le développement économique, scientifique et technologique, il investit également le champ des idées neuves, fortes, heureuses. Bilan critique et logique propositionnelle s’inscrivent dans une vision prospective. Par exemple, l’idée «de savoir sous quelles conditions et dans quelles limites la rente d’origine externe peut être convertie en ressource pour financer l’accumulation. Plus précisément, il s’agit de savoir au travers de quels mécanismes institutionnels est-il possible d’impulser durablement la transformation de la rente en capital productif. Et de cerner le rôle fondamental que jouent les compromis institutionnels dans l’établissement d’une économie productive dans un contexte où l’essentiel du surplus est de nature rentière» (quatrième page de couverture).
La démarche adoptée par le chercheur — à la fois théorique et pratique, pragmatique et innovante — s’appuie, pour ce faire, sur l’approche en termes de régulation (AR). Pour l’auteur, l’Ecole de la régulation offre en effet un modèle théorique pertinent et peut «constituer une approche féconde» pour l’étude d’un pays en voie de développement comme l’Algérie. Nonobstant les limites de l’analyse régulationniste des régimes d’accumulation à l’œuvre, l’auteur estime que l’Ecole de la régulation «présente l’avantage particulier de permettre une délimitation du champ d’investigation en émettant en avant le rôle central que jouent cinq institutions économiques fondamentales, qui constituent autant de mécanismes de coordination alternatifs dans une économie de marche, à savoir : le rapport salarial, la monnaie, le mode d’insertion internationale, le régime de concurrence et l’Etat». L’approche de la régulation a, ici, l’avantage de mettre en avant «le rôle fondamental que jouent les rapports sociaux, ou du moins ceux d’entre eux considérés comme fondamentaux dans la définition d’un régime d’accumulation».
Grâce à quoi, Samir Bellal développe une réflexion inédite où il identifie «les facteurs explicatifs de la perversion du régime d’accumulation en Algérie».
La crise structurelle du système rentier est alors précisée, spécifiée, ses sources et ses symptômes sont diagnostiqués dans le détail, ses manifestations au plan macroéconomique et au niveau du comportement des acteurs sont bien identifiées. Dans sa préface, Smaïl Goumeziane n’a d’ailleurs pas manqué de relever l’originalité et l’intérêt de pareille approche.
Il écrit à propos de l’auteur : «Par le recours judicieux à de multiples références théoriques et empiriques, il s’efforce de montrer les raisons qui ont conduit à l’invraisemblable crise de tout un pays, l’Algérie, à sa permanence, et les difficultés à y remédier par la réforme.» Ce qui permet au lecteur de comprendre, par exemple, pourquoi les réformes initiées depuis 1986 n’ont jamais réussi à briser le cercle vicieux du régime rentier. Des réformettes et une économie cosmétiquée ! Aussi bien, si «l’Algérie de 2017 ressemble étrangement à celle de 1985», c’est parce qu’il y a «une absence de maturité dans la conduite de la politique économique». Preuve en est, «le recours aux solutions de facilité, coûteuses et stériles», phénomène inhérent à «un atavisme populiste dont les ressorts se sont progressivement substitués, à la faveur du boom pétrolier qui dure depuis 1999, aux mécanismes rationnels du marché».
Résultat des courses, «aussi paradoxal que cela puisse paraître, la libéralisation en Algérie, loin de conférer à la rente pétrolière un nouveau statut, n’a fait que consolider le fondement rentier de l’économie nationale».
Ce type de libéralisme est notamment illustré par «un profil entrepreneurial» en vogue : «celui qui, adossé à la rente, se présente sous le sigle, devenu générique, d’ETB (l’entreprise de travaux publics).»
Samir Bellal a structuré son ouvrage en cinq grands chapitres précédés d’une introduction générale dans laquelle il présente et explique le sujet, expose la méthode d’approche théorique, pose la problématique du débat sur la rente…
à la fin, il esquisse une idée-force : mise en œuvre d’un nouveau régime d’accumulation, qui soit en rupture avec le régime rentier, nécessite l’implication du politique (et donc de l’état) pour le cas algérien. C’est là un nouveau paradoxe— qui n’en est pas un en réalité, et il s’attachera à le démontrer dans son étude.
à l’entame de sa grille d’analyse et de décryptage, l’auteur s’attarde sur la  théorie dominante du «Dutch Disease» (ou «syndrome hollandais») et dont les modèles «sont difficilement applicables dans les pays en voie de développement». Il démontre que de tels modèles ne sont pas valables pour l’Algérie, car la rente, présentement, est utilisée principalement par l’état, seul acteur et agent à configurer les formes institutionnelles de régulation. Dans ce chapitre premier intitulé : «Rente externe et accumulation du capital : éléments d’un débat», l’essayiste commence par défricher le terrain et éclaircir le débat en passant au crible une multitude d’approches théoriques (dont l’approche par la régulation) applicables ou non aux économies en développement.
Les «spécificités du régime rentier d’accumulation» sont ensuite analysées, décortiquées. Pour l’auteur, l’objectif recherché est  de comprendre le fondement de l’usage qui est fait de la rente pétrolière au niveau interne. Et de pointer certaines particularités qui «font que l’on ne peut appréhender la problématique de l’Etat dans les sociétés rentières  en recourant à la conception «fordiste» de la régulation. Parmi ces particularités : une régulation institutionnelle et des compromis eux-mêmes institutionnalisés, rendus nécessaires ; l’absence d’autonomie de la sphère économique par rapport au politique ; la médiation incontournable de la monnaie… à titre illustratif, l’auteur évoque «certains traits caractéristiques de certaines trajectoires nationales» (Malaisie, Indonésie, Vénézuela) afin «de montrer la diversité des arrangements institutionnels en matière de mobilisation de la rente à des fins productives».
Les chapitres suivants sont consacrés à l’Algérie, à son économie de rente, sa culture rentière… Dans ces quatre parties importantes du livre, Samir Bellal  sonde en profondeur le système rentier en Algérie, depuis «Le projet étatique de développement ou l’héritage volontariste» (chapitre deuxième) jusqu’à «La question du changement institutionnel en Algérie» (cinquième chapitre). Quant aux troisième et quatrième chapitres, ils sont intitulés respectivement : «De nouveaux arrangements institutionnels, mais des performances économiques mitigées» et «Le régime d’accumulation à l’épreuve de la réforme». Histoire économique, procédures institutionnelles mises en œuvre au cours des différentes expériences entreprises depuis l’indépendance, réformes, crise du régime d’accumulation, etc, sont parmi les questions fondamentales analysées et soumises à l’examen. Au départ, déjà, «l’expérience volontariste-étatiste de développement, qui s’étale jusqu’à la fin des années 80, pose (…) le problème fondamental des relations entre l’économique et le politique».
Résultat, le «gel du rôle régulateur des prix» se traduit, par exemple, par des «inefficiences en matière d’allocation des ressources» et de «régulation des échanges». La volonté de l’état «de combattre politiquement le marché» a généré un volontarisme figé comme mode de régulation, avec cependant un coût économique énorme et des effets pervers innombrables (déficits chroniques du secteur public industriel, essor des activités spéculatives, extension du marché parallèle…). Depuis le début des années 90, l’Algérie a tenté des réformes, mais sans aboutir à l’instauration d’une économie performante.
Statistiques à l’appui, l’auteur fait remarquer «l’absence de tendances positives indiquant une rupture avec le régime rentier de croissance». Le statu quo semble, au contraire, prévaloir, avec une «économie qui demeure rentière et une industrie en déclin», le blocage de la transformation de la rente pétrolière en investissement, l’échec de la privatisation, etc.
D’où le nécessaire retour sur «le blocage institutionnel» et la question à laquelle l’auteur tente de répondre à la fin de sa recherche. La question est celle-ci : «Pourquoi la transition institutionnelle, qui devrait conduire à une sortie du régime rentier, semble-t-elle bloquée ?» La réponse (ou, du moins, des éléments de réponse) est donnée dans la cinquième partie et dans la conclusion du livre.
Certains «acteurs» devraient avoir la sagesse, la clairvoyance et le courage politique de mettre en œuvre une véritable «transition institutionnelle» dans laquelle l’Etat interviendra en tant que puissance éclairée et en tant que garde-fou à une  libéralisation sauvage, incontrôlée. L’obstacle n’est pas insurmontable.
Hocine Tamou

Samir Bellal, La crise du régime rentier. Essai sur une Algérie qui stagne, éditions Frantz-Fanon, Tizi-ouzou 2017, 290 pages, 900 DA.

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Santé: Comment manger à satiété et éviter les grignotages

Mon, 07/30/2018 - 16:37

Faites attention à ce que vous mangez sans être distraite par autre chose : télé, conflits à table…
Consacrez au moins 20 minutes à chaque repas.
N’avalez pas une bouchée si elle n’est pas devenue moelleuse, presque liquide.
Prenez le temps de mâcher, même les aliments naturellement mous, comme les pâtes, le riz.
Posez vos couverts entre chaque bouchée pour vous entraîner à manger lentement.
Consommez des légumes à chaque repas. 
Cuisinez-les al dente, de façon à ce qu’ils restent un peu croquants et que vous ayez besoin de les mâcher.
Servez-vous de petites portions. Ne vous resservez que si vous ressentez encore vraiment l’envie de manger.
Mais pensez à ce qui vient après dans le menu.
Au restaurant, ne commandez jamais le dessert en début de repas.
Si vous n’avez plus faim, vous serez obligée de le manger quand même.
Mangez toujours à table, jamais debout ni dans la rue en marchant.

En cas de sandwich : Choisissez-le à base de pain complet ou de baguette plus durs à mastiquer que les paninis moelleux.

En cas de hamburger : Choisissez le moins gras, sans fromage.
Mâchez bien chaque bouchée.
Mangez au minimum 50 g de pain à chaque repas.

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Recette: Soufflé à la noix de coco

Mon, 07/30/2018 - 16:33

50 g de noix de coco râpée, 40 g de sucre, 2 œufs, 10 cl de lait, 20 g de farine, 40 g de beurre, 1 sachet de sucre vanillé, 2 cuillères à soupe de sucre glace.
Préchauffez le four à 180°C. Beurrez un moule à soufflé. Faites fondre le reste de beurre, ajoutez la farine. Laissez cuire une minute puis délayez avec le lait. Ajoutez le sucre. Mélangez et retirez du feu. Séparez les blancs d’œuf des jaunes puis ajoutez la noix de coco. Battez les blancs en neige avec une pincée de sel et incorporez-les délicatement. Versez dans le moule à soufflé et enfournez pendant 30 minutes. Saupoudrez de sucre glace avant de servir.

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Sidi-Bel-Abbès: Installation du nouveau procureur général

Mon, 07/30/2018 - 16:23

Dans la matinée d’hier, l’inspecteur général, M. Tayeb Benhachem, du ministère de la Justice, a présidé, en présence des magistrats, des autorités locales et de la presse, une cérémonie d’installation du nouveau procureur général près la cour de Sidi-Bel-Abbès, s’agissant en l’occurrence de M. Boucherafa Tayeb, en remplacement de M. Djelloul Lahcen Mohamed. Ce nouveau procureur désigné à la tête de la cour de Sidi-Bel-Abbès a, auparavant, occupé les fonctions de procureur général adjoint au niveau du tribunal de Aïn-Témouchent et bien avant, il était magistrat au niveau du tribunal de Sidi Bel-Abbès.
A. M.

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Relizane: La placette, un espace totalement dégradé

Mon, 07/30/2018 - 16:20

Plusieurs habitués de la placette nous ont saisis pour signaler à l’autorité compétente, et particulièrement la chef de l’exécutif, la situation désastreuse dans laquelle baigne l’endroit, appelé affectueusement par eux «la placette».
Rien ne va plus dans cet espace censé accueillir les familles et les enfants du quartier ou de passage pour y respirer un air sain à l’ombre des arbres séculaires.
En parlant d’arbres, certains d’entre eux sont en train de dépérir en attendant que les autres suivent faute de soins et surtout d’arrosage. Les saletés qui jonchent ces endroits sont pour la plupart issues des terrasses de cafés qui cernent la place. Au pied de ces arbres, nous avons vu des cartons de jus, des paquets de cigarettes vides, des mégots à profusion et le marc de café qui y est abandonné en grande quantité.
Il y a lieu de penser, d’ores et déjà, à trouver une solution pour sauver cet espace dont les plates-bandes sont totalement dégarnies, malgré le geste fait par certains habitants du quartier qui ont essayé de planter quelques arbustes décoratifs mais les actes de vandalisme y ont mis fin.
L’histoire du petit rosier planté par un ancien du quartier est toujours présente dans les esprits car à chaque fois qu’un bouton de rose apparaissait, une main indélicate l’arrachait. Entouré d’un grillage et arrosé quotidiennement, il n’a pas échappé à l’indélicatesse des passants. Alors, la solution adoptée a été de repiquer le rosier dans son jardin afin qu’il échappe aux prédateurs. Pourquoi pas alors une grille de protection autour de la place et en interdire l’accès durant le temps requis pour son aménagement ? Les habitants du quartier promettent de la protéger et de veiller à sa propreté.
Cette solution avait été adoptée pour la placette et a donné des résultats appréciables.
A. Rahmane

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Hattab:”Nous sommes meilleurs dans l’organisation que l’Espagne!”

Mon, 07/30/2018 - 16:16

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab n’a pas pu digérer la pluie de critiques qui s’est abattue sur le comité d’organisation des Jeux africains de la jeunesse (JAJ) qu’a abrités l’Algérie du 18 au 27 juillet dernier, indiquant que l’Algérie a assuré une meilleur organisation que l’Espagne, pays hôte des Jeux méditerranéens qui se sont déroulés en juin dernier.

Intervenant lors d’une conférence de presse donnée dimanche au Centre international de conférences (CIC) Abdellatif Rahal, le ministre de la Jeunesse et des Sports a estimé qu’il ne fallait surtout pas s’arrêter sur de petits détails pour ternir l’image de l’Algérie, estimant que ce qui était arrivé à l’un des membres de la délégation tunisienne était un acte isolé.

Pour le ministre, il serait tout à fait naturel de relever quelques insuffisances lors de chaque manifestation, soutenant que l’Algérie avait réussi dans l’organisation de la 3e édition des JAJ et serait démarquée de certains pays en matière d’organisation, dont l’Espagne. “Nous avons participé aux Jeux méditerranéens à Tarragone et notre délégation s’est égarée à cause d’un problème d’organisation.  D’ailleurs, plusieurs délégations s’en sont également plaintes”, a-t-il dit.

Et Hattab d’enchaîner:”Cette édition est synonyme du succès et les insuffisances n’ont pas pris le dessus sur les résultats obtenus comme le témoignent des délégations en dehors de l’Algérie…Nous avons réussi à organiser ces Jeux et les critiques étaient simplement injustes”.

Par ailleurs, l’interlocuteur n’a pas manqué de piquer les fédérations qui n’ont obtenu aucune médaille, affirmant que son département a mobilisé tous les moyens pour une meilleure préparation des athlètes. “A l’avenir, décrocher une médaille sera obligatoire d’autant plus que nous offrons tout ce dont les athlètes et les fédérations ont besoin”, a-t-il insisté.

Bilal Ouahab / Traduit par: Moussa. K.

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Convention des Nations Unies et de l’Union Africaine contre la corruption: Les ratifier, pour quoi faire ?

Mon, 07/30/2018 - 16:13

L’Office des Nations unies contre le crime et la drogue (UNODC), dont le siège est à Vienne, a piloté, de 2001 à 2003, le processus de rédaction de la Convention des Nations unies contre la corruption, Uncac, selon l’acronyme anglais. Le 15 décembre 2000, sous l’égide des Nations unies, 124 pays sur les 148 représentés ont signé une convention contre la criminalité transnationale organisée.

L’Uncac, adoptée en 2003, est entrée en vigueur en décembre 2005 — trois mois  après le dépôt de la 30e ratification —, l’Algérie l’ayant ratifiée en 2004.
Ce texte vise à lutter plus efficacement contre les mafias en renforçant la coopération entre les États et en harmonisant leur législation. Parmi les engagements contenus dans le document, on note : «incriminer la participation à un groupe criminel organisé, le blanchiment d’argent, la corruption et l’entrave au bon fonctionnement de la justice».
Ces quarante dernières années, les Nations unies ont adopté de nombreuses résolutions et recommandations contre la corruption. Il faut rappeler la résolution 3514 de l’Assemblée générale, en date du 15 décembre 1975, dans laquelle l’Assemblée condamnait, entre autres, toutes les pratiques de corruption, y compris les actes de corruption commis par des sociétés transnationales.  Au sein du Conseil économique et social des Nations unies, dont le siège est aussi à Vienne, en Autriche, il existe une «commission pour la prévention du crime et pour la justice pénale» qui traite notamment des questions de corruption et de crime organisé.
En 2001, les Nations unies devaient réunir les représentants de ses États membres et des partenaires internationaux pour adopter une nouvelle convention contre la corruption. Le 2e Forum mondial sur la lutte contre la corruption, qui a eu lieu à La Haye du 28 au 31 mai 2001, aux Pays-Bas, devait contribuer à la préparation de l’initiative des Nations unies. On y a abordé les questions d’intégrité et de bonne gouvernance, l’application des lois, les douanes, la corruption, la transition et le développement, et enfin le gouvernement et le monde des affaires. Après des travaux préparatoires et près de deux années de négociations formelles à Vienne, échelonnées sur sept sessions, la cérémonie de signature de la Convention des Nations unies contre la corruption a eu lieu à Mérida, au Mexique, du 9 au 11 décembre 2003.

L’alibi de la protection de la souveraineté
La lecture de cette convention a été  source d’espoir comme de déception. Du côté de l’espoir peuvent être mises en avant l’étendue et la diversité des sujets traités. Tout ce qui touche de près ou de loin à la corruption semble avoir été abordé tant au niveau des mesures préventives que des incriminations, des questions relatives à la confiscation et à la saisie, à la coopération internationale, à la restitution des fonds détournés…  Nettement plus décevantes sont les précautions de vocabulaire qui semblent retirer toute force contraignante à cette convention : «d’une manière compatible avec les principes fondamentaux de son système juridique», «selon qu’il convient», «peut adopter», «dans toute la mesure possible dans le cadre de son système juridique interné»… Si l’on ajoute à cela les dispositions qui apparaissent dès l’article 4 sur la protection de la souveraineté, l’inquiétude gagne. Cet article rappelle avec vigueur les principes de l’égalité souveraine, de l’intégrité territoriale et de la non-intervention dans les affaires intérieures d’autres Etats. Aussi serait-il facile de se laisser convaincre que cette convention n’est qu’un instrument illusoire. N’oublions pas toutefois que ce texte, sur lequel un grand nombre d’Etats se sont mis d’accord, est le signe que la corruption est enfin perçue, au plus haut niveau international, comme un mal contre lequel il faut lutter. Plus encore, les négociations serrées auxquelles cette convention a donné lieu sont la preuve que les Etats considèrent que la signature d’une telle convention pourrait un jour leur être opposée, tant par leur population que par d’autres Etats ou par des institutions internationales.

Crise au sein du Comité consultatif africain
La plus grande évolution sur le continent africain a été l’adoption au mois de juillet 2003 — lors du Sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine à Maputo, au Mozambique ­—­­ de la Convention de l’Union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption et les infractions assimilées.
L’entrée en vigueur de cette dernière requiert 15 ratifications.  L’Algérie est le 15e pays africain à avoir ratifié cette convention (juillet 2006) : elle est entrée en vigueur en août 2006.
La convention entend renforcer l’arsenal juridique de la lutte contre la corruption en établissant la liste de tous les délits qui devraient être sanctionnés par la législation nationale, en matière de corruption, et en présentant des mesures permettant de les détecter et de les instruire.  La convention délimite également la juridiction des États-parties, définit l’assistance juridique mutuelle en matière de lutte contre la corruption et infractions assimilées, encourage l’éducation et la sensibilisation du public sur les effets néfastes de la corruption et offre un cadre pour le contrôle et la supervision de son application. Une faiblesse de cet instrument est   qu’elle laisse à chaque signataire l’option de renoncer à certaines des dispositions, voire à l’ensemble de celles-ci.
Concernant le mécanisme de suivi — défini par l’article 22 —, la CUA a prévu la création d’un «comité consultatif sur la corruption et les infractions assimilées» au sein de l’Union africaine.  Composé de 11 experts, ce comité a pour fonction principale de «promouvoir et d’encourager l’adoption et l’application de mesures de lutte contre la corruption», en établissant notamment «des partenariats avec la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, la société civile africaine, les organisations gouvernementales et non gouvernementales, afin de faciliter le dialogue sur la lutte contre la corruption et les infractions assimilées». Mais ce «comité consultatif» n’a pas brillé par son efficacité depuis sa création : plus grave, il y a quelques semaines, un de ses membres les plus éminents a démissionné avec fracas, confirmant  publiquement la paralysie de cette structure… C’est dire que l’adoption et la ratification de ces conventions n’est pas une fin en soi, surtout quand la volonté politique à les traduire en actes concrets est inexistante.

Office central de répression de la corruption
Le gouvernement veut le réformer

Selon une dépêche de l’APS (Algérie presse service), le ministre de la Justice, gardes des Sceaux, a annoncé, jeudi 19 juillet 2018, à Tipasa, la formation d’un groupe de travail restreint début septembre prochain qui se chargera de la «réforme» de l’Office central de répression de la corruption (OCRC), et ce, dans le but de «consolider davantage les mécanismes à même de contribuer à la lutte contre ce phénomène». «Il est devenu impératif de réactiver les mécanismes de prévention qui est de la responsabilité de tous les secteurs et de la société de façon générale et qui est considérée comme l’un des moyens efficaces de lutte contre la criminalité», a-t-il ajouté. Créé par une ordonnance du chef de l’Etat le 26 août 2010, l’OCRC a pour mission d’effectuer des recherches et des enquêtes en matière d’infractions de corruption. Les infractions en matière de corruption  prévues par la  loi du 20 février 2006 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption relèvent de la compétence des juridictions à compétence étendue conformément aux dispositions du code de procédure pénale. Les officiers de police judiciaire relevant de l’OCRC exercent leurs missions conformément aux dispositions du code de procédure pénale et de la loi du 20 février 2006.

Installé 3 ans après sa création
Leur compétence territoriale s’étend sur tout le territoire national en matière d’infractions de corruption et des infractions qui leur sont connexes.
Il a fallu attendre trois longues années pour que l’OCRC soit installé, en 2013, alors que son directeur général — Abdelmamek Sayeh— avait été nommé en… 2011. Placé à ses débuts sous la tutelle du ministère des Finances, il sera «récupéré» en 2014 par le ministère de la justice.
Un décret présidentiel signé le 8 décembre 2011 précisera que l’OCRC peut recourir à l’auto-saisine en exploitant les informations rapportées par la presse ou par d’autres sources, comme il peut être saisi par l’Inspection générale des finances, la Cellule de traitement du renseignement financier, les commissions nationales des marchés, les services de police ou encore par de simples citoyens.
En avril 2016, un nouveau directeur général, Mohamed Mokhtar Rahmani,  est nommé à la tête de l’OCRC. Ce dernier dispose de l’autonomie d’action et de gestion (décret présidentiel du 23 juillet 2014) ; son directeur général établit le rapport annuel d’activités de l’Office qu’il adresse au ministre de la Justice.
Deux arrêtés interministériels fixent le nombre d’officiers et d’agents de la police judiciaire relevant des ministères de la Défense nationale et de l’Intérieur (10 pour chacun des deux ministères) mis à la disposition de l’OCRC, arrêtés signés le 10 avril 2012.
Djilali Hadjadj

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Canicule: Ruée vers les villes du littoral tlemcénien

Mon, 07/30/2018 - 16:13

C’est un phénomène nouveau, beaucoup de familles originaires du Grand Sud (Adrar, Tamanrasset, Béchar) cherchent à fuir la grande canicule, en trouvant refuge au nord, où la température est plus clémente. Ces familles ne viennent pas spécialement pour la fraîcheur des plages au bord de la mer, mais elles cherchent à louer des appartements dans les villes de l’Ouest pour toute la durée de l’été.
Ces familles ont pris l’habitude de venir à Aïn-Témouchent ou à Tlemcen, dès les premières chaleurs, passer leurs vacances, parfois chez des proches, qui à leur tour sont pris en charge lors des vacances d’hiver dans le Sud algérien. Ce genre d’échange existe depuis longtemps, mais il a tendance à s’intensifier ces dernières années et tout le monde trouve son compte.
M. Zenasni

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Aïn-Témouchent: Les parasols envahissent la plage de Terga

Mon, 07/30/2018 - 16:12

La plage de Terga est la destination la plus prisée par les citoyens de la wilaya de Aïn-Témouchent et même par ceux venant des wilayas avoisinantes. Cependant, cette plage, outre le fait de payer le parking à 100 dinars au lieu de 50 dinars annoncé pompeusement avant l’ouverture de la saison estivale, il n’y a pas un lieu où les estivants peuvent poser leurs propres parasols, tant des parasols de ceux qui gèrent les espaces existants envahissent toute la longueur de la plage ; le simple estivant est sommé de payer le prix du parasol et des chaises qui occupent tout l’espace. Heureusement que cette situation n’est pas générale à travers les plages de la wilaya, puisque à 10 minutes de cette plage de Terga, on peut aller à la plage de Chatt el-Hilal, connue péjorativement par Oued el-Hallouf (la rivière du sanglier). Là, l’estivant trouvera toutes les commodités nécessaires pour passer un séjour agréable, les parkings sont gratuits, les parasols et les chaises sont à la disposition des estivants qui le désirent, le sable doré attirera des centaines, voire des milliers de personnes à cette belle plage dont la sécurité est assurée pour tout le monde.

La waâda de Sidi Saïd : une opportunité pour des réconciliations
La fête traditionnelle annuelle de Moulay Tayeb a pris fin hier au quartier populaire et populeux de Sidi Saïd, une fête qui a duré 3 jours complets et qui a drainé la grande foule des quatre coins de la wilaya et même d’autres wilayas environnantes.
De nombreuses troupes folkloriques venant de plusieurs wilayas du pays dont celles du Sud algérien ont pris part à cette manifestation culturelle qui est considérée comme un lieu de rencontre et de réconciliation pour les gens qui avaient des différends par le passé.Le dernier jour de cette waâda, des défilés des troupes folkloriques ont eu lieu à la place du 9-Décembre-1960 au centre-ville de Aïn-Témouchent .
Le vice-président de l’association de Sidi Saïd M. Belkadi Mohamed dira à propos de cette fête que cette manifestation culturelle est organisée chaque année,elle est accompagnée par la danse de Touat et sous les salves de baroud, il ajoutera que c’est une opportunité de rassembler tout le monde pour prier et réciter le Coran ainsi que pour réunir les gens qui étaient en conflit en vue de les réconcilier. Rendez-vous est pris pour l’année prochaine.
S. B.

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Mostaganem: Un baigneur gravement blessé par un jet-ski

Mon, 07/30/2018 - 16:08

Un baigneur âgé de 25 ans a été, avant-hier vers 16h45 mn, violemment percuté par un jet-ski dans une zone interdite à la baignade, tout près de la plage de Sokhra à l’est du chef-lieu de wilaya.
La victime qui souffre d’une grave blessure à la tête a été évacuée à l’hôpital de Sidi Lakhdar où elle est gardée en observation. Le pilote de l’engin a été localisé et appréhendé par les gendarmes.
Ce énième accident de la mer rappelle une fois de plus la nécessité et l’urgence de l’installation de balises délimitant la zone de navigation de ces engins.
Abder Bensadok

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El-Bayadh: Un cadavre retiré du fond d’un puits

Mon, 07/30/2018 - 16:08

Les éléments de la Protection civile de la wilaya d’El-Bayadh ont retiré, dans la journée de samedi dernier, le corps sans vie d’un jeune homme du fond d’un puits d’irrigation, sis dans une exploitation agricole dans la commune de Sidi-Slimane.
La victime a été transférée à la morgue de l’hôpital d’El-Bayadh; cependant une enquête a été aussitôt ouverte par la Gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances exactes de cette disparition tragique, a-t-on appris.
B. Henine

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Secousse tellurique de magnitude de 3,4 degrés sur l’échelle de Richter à Boumerdes

Mon, 07/30/2018 - 15:35

ALGER- Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,4 degrés sur l’échelle de Richter a été enregistrée lundi à 10h32 dans la wilaya de Boumerdes, indique le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.

L’épicentre de cette secousse a été localisé à 8 Km au nord-ouest de Zemmouri (sur mer) dans la même wilaya, précise la même source.

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Investissements touristiques dans la wilaya de Béjaia : Le ministre du Tourisme appelle à la levée des blocages

Mon, 07/30/2018 - 13:05

Sur les lieux, le premier responsable du secteur a donné une instruction pour faciliter les procédures administratives aux investisseurs dans le secteur du tourisme.

En visite de travail et d’inspection, hier, dans la wilaya de Béjaïa, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud, a appelé les autorités locales “à lever tous les obstacles et les blocages” qui freinent le lancement de pas moins de 56 projets prévus dans le secteur du tourisme à travers le territoire de la wilaya.
Selon M. Benmessaoud, Béjaïa dispose de ressources humaines, d’un savoir-faire et d’un riche passé historique.
Des atouts qu’il faut conjuguer pour faire du tourisme la locomotive du développement dans la wilaya. Et c’est dans ce sens qu’il a plaidé pour l’investissement dans les stations thermales, sources de revenus non négligeables pour les communes, tout en rappelant, au passage, que le pays compte quelque 282 stations thermales fonctionnelles. À Amizour, où il a effectué sa première halte, le ministre du Tourisme a inspecté le projet de réalisation d’un hôtel privé initié par Moussa Garet dont le taux d’avancement est de 55%.  Lancé en 2015 après la levée de quelques contraintes bancaires, ce projet prévoit la réalisation d’un établissement hôtelier de 578 lits et 63 chambres. D’un coût de quelque 1,3 milliard de dinars, sa réception est prévue pour l’année prochaine. Sur les lieux, le ministre Benmessaoud a donné une instruction pour faciliter les procédures administratives aux investisseurs dans le secteur du tourisme. La tournée du ministre s’est poursuivie à Melbou où il a inspecté les travaux de réalisation de la résidence touristique le Remora appartenant à Mouloud Ouazene. D’une capacité d’accueil de 374 lits, la structure hôtelière, dont l’ouverture est prévue pour l’année prochaine, a coûté 850 millions de dinars et générera quelque 250 postes d’emploi, indique-t-on. Après l’inauguration de l’hôtel Tababort d’une capacité d’accueil de 90 lits à Souk El-Tenine, le ministre du Tourisme s’est rendu à Aokas où il a visité la nouvelle plage autorisée à la baignade, Achrit.
Lors de sa virée dans cette station balnéaire, le ministre a été accueilli par des citoyens qui l’ont interpellé sur la menace qui pèse sur la bande boisée d’Aokas, où sont prévues plusieurs structures hôtelières dans le cadre du Calpiref. Ces derniers ont saisi l’occasion de cette visite pour réclamer l’annulation pure et simple des projets initiés par le très controversé ex-wali Ahmed Hamou Touhami, dans le cadre du Calpiref. Ensuite, la délégation officielle s’est dirigée vers la commune limitrophe de Tichy, où elle a inauguré la résidence touristique Mersel-Hocine de 104 lits et effectué une visite du projet en cours de réalisation de l’hôtel El-Moudayna de Mourad Djermani, d’une capacité d’accueil de 154 lits.  Dans la même ville, M. Benmessaoud a eu droit à la présentation du projet de modernisation de l’hôtel Les Hammadites appartenant à l’Entreprise de gestion touristique de l’Est (EGTE). La visite du ministre s’est clôturée dans la ville de Béjaïa par la visite d’une exposition et une inspection des projets de réalisation de trois structures hôtelières. Il s’agit de l’hôtel Le Belvédère de 125 lits, de l’hôtel Azemour, au lieudit Les Oliviers, d’une capacité d’accueil de 200 lits et enfin celui de Yougarithene Palace, sis à la Brise de mer, d’une capacité de 252 lits.

H. KABIR

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