Auteur d’un superbe but aujourd’hui face à Burnley, Riyad Mahrez a été élu homme de ce match.
Le joueur Algérien de Manchester City a livré une très belle prestation lors de ce match comptant pour la neuvième journée de la Premier League. Le joueur de l’EN a reçu la note de 9,5 du site, Whoscored pour son rendement livré aujourd’hui contre Burnley.
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La Fédération algérienne des donneurs de sang, en collaboration avec l’Agence nationale du sang, a lancé samedi un appel au don de sang, invitant la population à « répondre en masse » à cet appel.
L’appel lancé, à l’occasion de la célébration de la journée maghrébine du don de sang et des donneurs de sang, est adressé à l’ensemble de la population âgée de 18 à 65 ans et en bonne santé, précise la Fédération algérienne des donneurs de sang, soulignant que « ce geste banal rendra l’espoir et le sourire à des gens qui en ont besoin et c’est la meilleure aumône qu’on puisse offrir à un malade ».
La Fédération algérienne des donneurs de sang note au sujet des conditions dans lequel se fera le don que le matériel de prélèvement est un matériel à usage unique et stérilisé.
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Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a insisté, samedi à Tiaret, sur l’accroissement et l’amélioration de la production agricole pour s’offrir de nouvelles opportunités dans les marchés mondiaux.
A l’ouverture d’une journée d’étude nationale sur la filière céréaliculture, le ministre a mis l’accent sur davantage d’efforts pour développer le secteur agricole, notamment la céréaliculture, pour soutenir l’économie nationale et contribuer à la concrétisation du programme du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
Abdelkader Bouazgui a soulgné que la sécurité alimentaire est un des objectifs de la stratégie visant à augmenter la production à travers l’extension des superficies agricoles, la diversification des produits, l’activation des exportations et la maîtrise des fluctuations du marché.
La restructuration des filières stratégiques pour jouer leur rôle permettra d’atteindre les objectifs escomptés contenus dans le message du président de la République à l’occasion des assises nationales sur l’agriculture tenues en avril 2018, où il avait insisté sur la coopération de toutes les parties pour faire bénéficier la société des efforts des agriculteurs, a affirmé le ministre.
La structuration des filières agricoles, à travers la création de 14 conseils nationaux interprofessionnels basés sur le dialogue et la concertation entre opérateurs économiques et acteurs du domaine agricole, vise notamment à trouver des solutions aux préoccupations des agriculteurs pour réaliser de meilleurs résultats qui se traduisent par l’approvisionnement des marchés en divers produits et l’exportation de l’excédent vers les marchés mondiaux, a-t-il ajouté.
Abdelkader Bouazghi a situé, lors de cette rencontre organisée par le Conseil national interprofessionnel de céréaliculture, l’importance de cette filière agricole et son poids économique, rappelant les emplois créés par les programmes d’extension de la céréaliculture, l’irrigation, la meilleure exploitation du machinisme et la réduction des terres en jachère utilisées pour la culture de légumineuses et de fourrages.
La valeur de production céréalière à la saison agricole 2018 a atteint l’équivalent de 220 milliards DA contre 135 milliards DA la saison précédente dont celle du blé dur (140 milliards DA), a fait savoir M. Bouazgui, signalant que les exploitations de céréales couvrent dans le pays une superficie de 5,3 millions d’hectares générant 600.000 emplois, nonobstant les entreprises activant dans la transformation.
Le ministre a indiqué, au passage, que l’Etat mobilise des fonds considérables pour soutenir les filières stratégiques, rappelant l’ouverture de guichets uniques à travers 42 coopératives de céréales et légumes secs (CCLS) au niveau national cette saison et la fourniture de 3 millions de quintaux de semences, d’une quantité similaire d’engrais et la création d’un comité de préparation, de suivi et d’évaluation de la campagne de céréaliculture au niveau du ministère qui communique en permanence avec les comités de wilayas, en plus de la poursuite du financement de la campagne par les crédits Rfig et Ettahadi.
La wilaya de Tiaret aspire à se classer à la première place sur le plan national en matière de production céréalière avec l’équivalent de 8,5 millions de qx, soit 10 % de la production nationale, et à la deuxième place au niveau national en production de viandes avec 293.000 qx, a souligné Abdelkader Bouazgui, déclarant que Tiaret est un pôle important de culture de légumes secs, de maraîchers, en plus de l’élevage équin.
Le ministre de l’agriculture poursuit sa visite, de deux jours, dans la wilaya de Tiaret où il devra présider samedi soir à la ferme pilote « Si Abdelkrim », dans la commune de Sebaine, le lancement de la campagne labours-semailles et inspecter l’institut national d’amélioration des semences de pomme de terre dans la même commune et un nombre d’exploitations agricoles et de structures de stockage.
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Environ 2.200 projets touristiques, d’un coût total de 1.114 milliards de dinars, devant se traduire à terme par la création de quelque 270.000 lits, sont en cours de réalisation.
Certains parmi eux accusant un taux d’avancement de 60%, annonce le directeur général du ministère du Tourisme.
Voilà de beaux projets pour booster la destination Algérie. Mais est-ce suffisant ? On sait que l’Algérie, avec tous les dysfonctionnements actuels, possède de quoi rivaliser au moins avec les pays de la berge sud de la Méditerranée, à savoir l’Egypte, la Tunisie et le Maroc, qui se partagent le pactole touristique, avec, respectivement, 9, 4 et 2,5 millions de touristes chaque année. Il y a un problème de mauvaise publicité qui, en donnant sur l’Algérie de mauvaises notes et en délivrant d’année en année des travels warning mortels, fait se détourner les agences de voyages internationales de la destination Algérie.
S’exprimant durant l’émission, l’invité de la rédaction, Mohamed Sofiane Zoubir indiquait, jeudi dernier, de la mise en œuvre d’une stratégie tendant à promouvoir aux plans international et régional, «la destination Algérie». mais on se détourne des raisons majeures pour des détails. Il y a quelques décennies, les touristes étaient tous heureux de venir en Algérie, quitte à coucher à même le sol, sur le sable et passer la nuit à la belle étoile près de Taghit, Illizi et l’Ahaggar. Le peu de structures suffisait et les gens venaient surtout pour la nature et non pas pour les lits douillets ou les couscous-merguez. À la question de savoir pourquoi près de 2 millions d’Algériens choisissent d’aller passer leurs vacances « dans un pays mitoyen», en raison, peut-être, d’une offre touristique nationale onéreuse et peu diversifiée, Zoubir fait état du lancement d’un plan de qualité-tourisme visant à promouvoir des prestations de service de normes internationales.
De la tarification des prestations offertes dans les zones touristiques nationales, le représentant du ministère déclare que celle-ci est laissée au libre choix des hôteliers.
Pour développer le secteur, Sofiane Zoubir fait état de la création en cours de nouvelles zones d’expansion touristiques, précisant que sur une période de plus de 18 années, celles-ci sont passées à plus de 225, dotées de plans d’aménagement couvrant 20.000 hectares et destinés quasi exclusivement à l’investissement privé.
I.M. Amine
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La sortie d’un film chinois avec Bruce Willis et Adrien Brody a été annulée après les déboires de l’actrice Fan Bingbing, qui y figurait, avec les autorités fiscales chinoises, ont annoncé les médias.
Une des plus célèbres actrices chinoises, elle est également connue à l’étranger pour avoir joué dans « X-Men: Days of Future Past » (2014) et avoir été membre du jury du Festival de Cannes en 2017. Elle a disparu des médias et des réseaux sociaux pendant plusieurs mois cette année, suscitant des rumeurs qu’elle faisait l’objet d’une enquête des autorités au moment où celles-ci sévissent contre les excès du monde du spectacle. Elle est sortie de son silence médiatique la semaine dernière pour présenter ses excuses à ses fans et au Parti communiste. Le fisc lui réclame près de 130 millions de dollars, a rapporté l’agence Chine nouvelle. Son dernier film, « Air Strike », situé dans la Seconde Guerre mondiale et réalisé par le metteur en scène chinois Xiao Feng, devait sortir la semaine prochaine. Mais ce dernier a écrit sur le réseau social chinois Weibo mercredi qu’il était « temps de lâcher prise » sur « Air Strike », après huit ans de travail, ajoutant que « lâcher prise ce n’est pas abandonner ». Il a présenté ses excuses aux distributeurs du films ainsi qu’aux fans, sans préciser si la sortie du film serait reprogrammée. Le journal contrôlé par l’Etat Global Times a indiqué sur Weibo que le film avait été « annulé sans explication », une information confirmée par le site d’informations chinois Sina, citant des sources anonymes dans le milieu du cinéma. Cette décision intervient alors que le secteur du cinéma et plus généralement du divertissement en Chine est sous la surveillance des autorités fiscales. Les personnes visées ont jusqu’à la fin de l’année pour régulariser leur situation en payant leur dû.
L’affaire a mis au jour un système supposé de « doubles contrats » appelés « le yin et le yang »: l’un destiné à être présenté au fisc, et l’autre avec un cachet bien plus élevé, gardé secret pour éviter une imposition trop lourde.
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Le nombre d’agressions enregistrées sur les réseaux électricité et de gaz de la wilaya de Ghardaïa a atteint, depuis le début de l’année en cours, un total de 133 agressions, a-t-on appris de la cellule de communication de la direction locale de la Société de distribution de l’électricité et du gaz du Centre (SDC, filiale de Sonelgaz). Ces agressions sus les ouvrages électriques et gaziers à Ghardaïa connaissent une ascension et entraînent des préjudices financiers pour la société en pénalisant également les abonnés, ont indiqué les responsables locaux de SDC, en marge d’une journée de sensibilisation sur ce phénomène. Elles ont été souvent provoquées par l’exécution de divers travaux effectués par des entreprises de réalisation sans tenir compte du réseau de distribution d’électricité (aérien et souterrain) ainsi que du gaz. Les services de la SDC déplorent le manque de coordination entre les différents services, notamment lors d’exécution de divers travaux, sans tenir compte des plans de situation des ouvrages et invitent les entrepreneurs à se rapprocher de ses services pour éviter des cas d’agressions de ses réseaux. Le réseau de distribution de l’électricité de la wilaya de Ghardaïa a subi 31 agressions depuis le début de l’année dont 16 ont été causées aux ouvrages aériens et 15 aux ouvrages enterrés pénalisant 65127 abonnés. Le réseau de gaz a quant à lui subi 102 agressions sur les conduites pénalisant 5 819 abonnés, selon les chiffres de la SDC Ghardaïa. Ces agressions ont généré à l’entreprise les cinq dernières années, selon le chargé de la communication, un préjudice financier estimé à environ 500 millions de DA, représentant le montant des frais de réparation des dégâts causés aux ouvrages et conduites en question.
à ce manque à gagner causé par ces agressions, la SDC Ghardaïa détient également sur ses différents abonnés un montant cumulé de créances impayées de plus de 1,28 milliard de DA, dont une ardoise de plus 790 millions de DA inscrite au passif des administrations , et secteur de l’agriculture et de l’industrie, 490 millions DA aux abonnés ordinaires. Les services de Sonelgaz appellent également les services des communes de la wilaya à procéder aux travaux d’élagage pour la sécurisation du réseau électrique aérien. La wilaya de Ghardaïa dispose de 5915 km de réseau électrique (moyenne et basse tension),
3 033 postes transformateurs avec
134 170 abonnés au réseau électrique et 1 699 km linéaires de réseau de gaz naturel avec 78 844 abonnés, soit un taux d’électrification de 98,76% et un taux de pénétration de gaz naturel de 74,66%, selon les données de la SDC.
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Le tatouage et le piercing sont devenus, aujourd’hui une mode chez la plupart de nos jeunes. Adolescents et jeunes adultes manifestent un engouement particulier pour ces modes, notamment en période de vacances.
Certains jeunes étudiants, rencontrés à Alger, considèrent que ce phénomène est un phénomène étranger à notre société. D’autres, par contre confirment que les tatouages signifient quelques choses : «Moi, personnellement, je considère que le tatouage peut parfois se révéler une mauvaise idée», a déclaré, Islem, un jeune étudiant, rencontré à l’université de Bouzaréah. De son côté, son ami « Fethi » confirme que le tatouage est devenu, aujourd’hui hyper- tendance pour les jeunes. Pour sa part, Khalil, un père de famille souligne que le tatouage et le piercing ne font pas partie de notre religion et de nos traditions. Par ailleurs et selon certains étudiants interrogés, ces derniers révèlent aussi que le tatouage est un symbole de la beauté . L’un d’entre- eux, précise également qu’ils n’hésitent pas à multiplier leurs tatouages, dans un laps de temps très court pour des raisons variées : « Moi, j’ai fait deux tatouages, un arbre et un cerf, ils représentent pour moi un symbôle de la paix et de l’espoir», nous avouera Adel, étudiant en 2eme année psychologie. Djalel à, quant à lui précisé que le tatouage peut aussi être un hommage à sa mère, la personne la plus importante dans sa vie : «J’aime beaucoup ma mère, elle n’a pas eu une vie facile», nous a-t-il avoué, dans ce sens. Lydia, étudiante estime, pour sa part qu’un tatouage simple se négocie à 200 DA et peut parfois dépasser les 500 DA. Pour elle, cette mode envahie, également nos plages : «Ces dernières deviennent l’endroit propice pour les jeunes pour exhiber leurs modes», souligne-t- elle encore. Contacté, (L.S), un spécialiste de la mode nous affirmera, pour sa part que le piercing reste aussi un véritable phénomène de société, la pose d’un piercing sur le nez, l’arcade sourcilière ou au niveau des oreilles connait, ces dernières années un véritable engouement chez nos jeunes : «Je trouve ça très beau», nous dira, encore Ahlem, étudiante en 3e année à l’université de Bouzaréah. Et d’enchaîner : «Cette pratique nous permet aussi de nous sentir un peu différents des autres». Faut-il signaler également que la grande majorité des parents s’opposent à cette pratique : la pose du piercing, selon eux, est synonyme de vulgarité , les risques sanitaires sont, également l’une des raisons qui les poussent à interdire cette pratique à leurs enfants.
L’hygiène au service du tatouage …
Par ailleurs, les médecins spécialistes mettent en garde contre les dangers du tatouage. Selon eux le percieng et le tatouage sont donc des actes traumatisant pour la peau, ajoutant, toutefois, que la pose d’un piercing peut provoquer d’énormes complications. De son côté, le dermatologue (K. M), nous affirme, également que les mauvaises conditions d’hygiène sont la cause de transmission de plusieurs maladies. Tout en insistant, dans ce contexte, sur l’hygiène et la stérilisation des outils utilisés avec l’utilisation du matériel à usage unique.
D’autre part, ce spécialiste exhortera le tatoué à effectuer, autant que possible, une toilette avec du savon liquide ou savon neutre de la région à tatouer (douche, bain de pied, lavage des mains et avant-bras, ….). Évoquant la cicatrisation du tatouage, notre interlocuteur met l’accent, également, sur la nécessité d’une application de vaseline à l’endroit tatoué : «Celle-ci doit se faire dans des conditions d’hygiène bien strictes», a-t-il ajouté, dans ce sens. Et il n’a pas manqué de préciser, dans ce contexte, que le tatoueur doit se protéger contre les effets toxiques des produits utilisés lors du tatouage tout en portant des gants et des lunettes.
Mehdi Isikioune
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De nombreux projets ont été réceptionnés et d’autres le seront prochainement dans la région touristique de Chréa (hauteurs de la ville de Blida) en prévision de l’affluence des visiteurs avec l’arrivée des premières neiges, a-t-on appris lors d’une visite d’inspection du wali, Youcef Chorfa, au niveau de cette réserve naturelle.
Cette région, perchée à 1600 m d’altitude, est chaque hiver le point de convergence d’un grand nombre de touristes et de visiteurs, issus des quatre coins du pays, en quête de ses paysages féeriques et de son air pur. Pour faire face à cette affluence, une série de mesures a été prise par les autorités de Blida aux fins d’assurer le confort nécessaire aux visiteurs. Il s’agit du lancement de nombreux projets ayant fait l’objet d’une visite d’inspection du wali, Youcef Chorfa. Le chef de l’exécutif s’est rendu sur le chantier d’aménagement des routes et pistes menant vers cette réserve naturelle et ses sites touristiques, afin d’assurer une meilleure fluidité du trafic au profit de leurs usagers. Certains de ces projets seront réceptionnés en novembre prochain, alors que la réception du reste des projets est programmée «au plus tard pour la fin de l’année», a assuré le wali, lors de son inspection du projet d’aménagement de la route reliant la région de Tabainate à Chréa, qui s’étend sur une trentaine de km. Outre la fluidification du trafic sur la RN37 (Blida-Chréa), le projet, «attendu à la réception à la fin 2018», devrait mettre un terme aux problèmes de glissement de terrain qui interviennent lors des fortes chutes de pluies et qui sont à l’origine de la fermeture de cette voie, a-t-on expliqué. Un autre projet de réaménagement a également été lancé sur un axe de 17 km de la route reliant Bouarfa à Chréa.
Ce projet doit être réceptionné à la fin de l’année en cours. De nouvelles pistes ont été, en outre, ouvertes pour faciliter les interventions des services des Travaux publics (en cas de fermeture de routes par la neige), à l’instar du projet de raccordement de trois sites d’habitation (site Kerrat, site des trois oiseaux et site belle vue). Il est, aussi, question du parachèvement des travaux d’aménagement de places publiques, et leur équipement avec des chaises, des tables et des aires de jeux, ainsi qu’un club de ski. Durant cette visite ayant conduit le wali de Blida vers cette commune considérée parmi les plus pauvres de la wilaya en termes de revenus, en dépit de son potentiel touristique, un aperçu des difficultés administratives et foncières entravant la bonne marche des projets d’investissement dans la région, à l’exemple du projet de réalisation d’un hôtel de 60 lits, a été exposé. M. Chorfa s’est engagé à la prise en charge dans les prochains jours et de manière «prioritaire» de cette préoccupation, de façon, a-t-il dit, à encourager les hommes d’affaires à venir investir dans cette région de Chréa. à l’issue de sa visite, le wali s’est également réuni avec les représentants de la société civile, qui lui ont exposé différents problèmes enregistrés dans cette commune, en matière de transport et raccordement au gaz naturel, mais surtout concernant le foncier, notamment celui concernant l’interdiction qui leur est faite d’ériger des constructions, en dépit des actes de propriété en leur possession. Il s’est engagé à la prise en charge de ces préoccupations «dans les plus brefs délais».
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Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a affirmé, avant-hier, que les filières animales ont enregistré un développement notable au niveau national lors de ces dernières années. S’exprimant depuis le pupitre du Sénat, lors d’une séance consacrée aux questions orales, le ministre a fait savoir, chiffres à l’appui, que le cheptel ovin a atteint 28 millions de têtes, dont 17 millions de brebis outre 2,5 millions de têtes bovines. Pour ce qui est du cheptel national camelin, le ministre a précisé qu’il s’élève à 434 000 têtes dont 250 000 camelles. Dans le même ordre d’idées, le ministre a relevé que le rendement du secteur de la faune contribue graduellement à la réalisation de l’autosuffisance en matière de viandes rouges (ovins) et blanches (volaille) tandis que les viandes rouges (bovins) enregistrent encore quelques insuffisances. Autrement, l’Algérie a réalisé son autosuffisance en matière de viandes rouges ovines, tandis que la filière bovine enregistre encore des insuffisances. Sur un autre plan, le premier responsable du département de l’Agriculture a fait savoir qu’une enveloppe de 800 millions de DA a été débloquée, par Le Fonds national de développement de l’investissement agricole pour l’acquisition des produits pharmaceutiques à usage vétérinaire. Cette enveloppe concerne, notamment, l’acquisition des vaccins contre la fièvre aphteuse.
Tout en précisant que la campagne nationale de vaccination a été lancée au niveau national pour protéger le bétail contre les épidémies, notamment la fièvre aphteuse chez le cheptel bovin, le ministre a fait savoir qu’en 2018, 6 400 têtes de camelles ont été vaccinées, contre 16 000 têtes en 2017. Dans l’ensemble, il a précisé que la production agricole contribue dans le PIB du pays à hauteur de 17 milliards de DA. Bouazghi n’a pas manqué de signaler que son département envisage de créer, prochainement, un Conseil national des professionnels de la filière de l’élevage camelin pour préserver cette espèce animale et la protéger.
« L’État est conscient de l’importance de cette espèce animale, son rendement économique et ses dimensions culturelles » a souligné le ministre, ajoutant que « »son secteur tend à la préserver à travers une décision qui prévoit la création prochaine d’un Conseil national des professionnels de la filière de l’élevage camelin; ce qui contribuera à l’organisation et la promotion de cette filière à l’image des autres filières agricoles ».
Plus loin, le ministre a souligné l’importance des investissements consacrés aux régions du Sud notamment la protection et le développement de la faune dans le cadre du programme de soutien et du renforcement du secteur de l’agriculture, décidé par le président de la République. Le ministre a mis l’accent sur l’accompagnement des éleveurs par les services de l’agriculture et leur encouragement afin de protéger ces espèces, développer la production et encourager la création des laiteries, outre la subvention des éleveurs en orge, le suivi du programme de vaccination des animaux contre les épidémies et les maladies. Ces démarches, sont à même de contribuer à la garantie de la sécurité alimentaire du pays, devenue aujourd’hui une priorité pour le gouvernement.
Lamia Boufassa
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Le président de l’association « Adem des maladies rares », Dr Mohamed Tahar Hamlaoui a appelé, samedi à Alger, à la mise en place d’un registre national pour la prise en charge des maladies rares qui permettra de recenser les malades et améliorer leur prise en charge.
Intervenant lors d’une journée de sensibilisation au profit des familles des malades, le Dr. Hamlaoui qui est pédiatre à l’Etablissement hospitalier universitaire, Nafissa Mahmoud (ex Parnet) a mis l’accent sur la nécessaire mise en place d’un registre national pour la prise en charge des maladies rares devant « faciliter aux décideurs la mobilisation du budget nécessaire pour le traitement de ces pathologies ».
En dépit de la prise en charge, par la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), d’une partie des médicaments et aliments destinés à ces malades, cette prise en charge « ne profite pas à toutes les personnes atteintes de ce genre de pathologies rares, au vu de leur nombre important et leur degré de complexité qui diffère d’une personne à une autre », a expliqué Dr.
Hamlaoui, appelant, à ce propos, a l’élargissement de la liste des bénéficiaires de ces produits à tous les malades.
Evoquant l’article de la nouvelle loi sanitaire relative à la prise en charge des pathologies rares, le président de l’Association Adem a exprimé son souhait de voir le ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière associer les acteurs du domaine lors de l’élaboration des textes en rapport avec ces maladies.
Appelant les familles algériennes qui constatent l’apparition de troubles chez les enfants à se présenter, dès leur apparition, pour les diagnostiquer et éviter des complications qui peuvent conduire à l’handicape, le même intervenant a plaidé pour l’ouverture de laboratoires équipés au niveau des EHU pour procéder instantanément aux analyses biologiques et génétiques et alléger, partant, les souffrances des familles qui se déplacent à l’étranger pour les faire, et protéger l’héritage génétique national exploité par ces laboratoires pour des fins purement commerciales. Il a salué, dans ce cadre, les efforts déployés par l’Etat en matière, notamment, de distribution gratuite des médicaments aux malades, et ce en dépit de certaines insuffisances qui se « dressent devant eux et les privent de bénéficier de ce genre de traitements ».
Par ailleurs, Mme. Khedidja , une mère de trois enfants âgés de 30 à 37 ans, venue de la wilaya de Boumerdès pour assister aux travaux de cette rencontre dans l’espoir de bénéficier d’orientations ou de médicaments qui pourraient améliorer l’état de santé de ses enfants, nous a raconté son histoire avec la maladie de ses enfants, une maladie qui leur cause des troubles du sommeil et des comportements violents, en sus des lourdes charges liées aux frais des médicaments.
La même histoire est partagée par Mme. Houria d’Alger, mère d’un enfant de sept ans souffrant de troubles cellulaires et manque d’enzymes qui lui ont causé un retard mental et des troubles de l’élocution.
Cette dame a regretté l’absence d’une école spécialisée permettant à son enfant de suivre une scolarité normale, soulignant, à ce titre, que les écoles publiques spécialisées souffrent d’un déficit en places pédagogiques, tandis qu’au niveau de la seule école privée à Alger, les frais d’inscription sont très élevés (15.000 par mois) et ne sont pas à la portée des familles à revenu moyen ou faible.
Un autre couple de Boumerdès, parents d’un enfant atteint du syndrome de Williams, nous a expliqué qu’en dépit de l’amélioration de l’état de santé de leur enfant, la rareté et parfois la rupture de stocks pour certains médicaments demeurent parmi les entraves qui se dressent devant eux.
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Le Secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, a indiqué, samedi à Alger, que la crise qu’a connu ces dernières semaines l’Assemblée populaire nationale (APN), était « une affaire interne, en voie de solution dans les jours à venir ».
S’exprimant à l’ouverture d’une rencontre avec les secrétaires des Mouhafadate du parti de plusieurs wilayas de l’Ouest, organisée au siège du parti, M. Ould Abbès a indiqué que « ce qui se passe actuellement à l’APN est une affaire interne, en voie de solution dans les jours à venir », affirmant que « cette situation ne conduira nullement à la dissolution de l’Assemblée, ni à un changement quelconque dans les délais constitutionnels des échéances présidentielles », prévues en avril 2019.
Estimant que l’appel des députés à la démission du président de l’APN, Said Bouhadja, était « une action légale et ordinaire », le SG du FLN a soutenu que « le problème est venu du 5è étage de l’APN (ndlr: bureau de Bouhadja), pour s’élargir aux cinq groupes de la majorité puis aux présidents de groupes et de commissions permanentes ».
Pour M. Ould Abbès, les députés « ont assumé leurs responsabilités et sauvé une institution constitutionnelle centrale de l’Etat avant des échéances importantes ».
Apportant un démenti catégorique à « une quelconque intervention du parti dans cette crise », il a affirmé que « les interprétations à ce propos ne nous inquiètent pas », avant d’ajouter que « dans pareils cas, il faut faire prévaloir l’intérêt général ».
Par ailleurs, M. Ould Abbès a fait état de la mobilisation de tous les secrétaires de Mouhafadate à travers le territoire national pour superviser les assemblées générales et écouter les préoccupations des militants, afin de « réaliser une victoire » lors des échéances du renouvellement de la moitié du Conseil de la Nation, le 19 décembre prochain, rappelant que « la note N 5 garantit le droit à la candidature libre de tous les militants sans exclusion aucune, et réitère la lutte l’achat des soutiens ».
Soulignant la nécessité d’élargir la base militante du parti à la veille de cette échéance, M. Ould Abbès a évoqué « l’adhésion de 20.000 nouveaux militants au parti durant un seul mois » ainsi qu’un « large ralliement de militants au Front populaire solide auquel avait appelé le président de la République ».
D’autre part, le SG du FLN a annoncé l’organisation, dans trois semaines, d’une conférence nationale sous le slogan « l’Algérie: vision 2030 », en vue d’expliquer « la vision du président de la République de l’Algérie à l’horison 2020-2030 ».
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Les rouges et bleus ont rapidement mené au score puis fait le break, par José Luis Morales (7e) et Roger Marti sur penalty (13e). Les Merengue avaient déjà fait leurs trois changements à l’heure de jeu, et Marcelo a fini par réduire la marque sur un service de Karim Benzema (72e) comme l’indique Sport24. Le Français, remplaçant au coup d’envoi, a même trouvé le poteau cinq minutes plus tard. Mais rien n’y fera. Il s’agit du quatrième match sans victoire consécutif pour le Real Madrid en championnat, et le cinquième toutes compétitions confondues (1 nul, 4 défaites).
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Trois (3) éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés vendredi à Boumerdès par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique samedi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation efficiente de renseignements, un détachement de l’Armée nationale populaire a arrêté, le 19 octobre 2018 à Boumerdes (1e Région militaire), trois (3) éléments de soutien aux groupes terroristes », précise la même source.
Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, un détachement de l’Armée nationale populaire « a appréhendé à Tamanrasset (6e RM), six (6) contrebandiers et saisi (2) marteaux piqueurs, (2) groupes électrogènes et (2) motocyclettes ».
De leur côté, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont intercepté un narcotrafiquant en possession de 1,5 kilogramme de kif traité à Tlemcen (2e RM) ».
D’autre part, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont saisi, lors de deux opérations distinctes, menées à Mila et Souk Ahras (5e RM), (224) grammes d’or et (12.380) unités de produits pyrotechniques », rapporte le communiqué.
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Les forces de police des sûretés des wilayas d’Alger, Blida, Oum El Bouaghi, Biskra, Batna et Sidi Bel Abbes ont interpellé 81 présumés auteurs de différents crimes et délits à travers le territoire de ces wilayas, indique samedi la Direction générale de la Sûreté nationale.
« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité, notamment la détention et le trafic de stupéfiants, les forces de police des sûretés de wilaya d’Alger et de Blida, ont mené des opérations de recherches à travers leurs secteurs de compétence, ce qui a permis l’interpellation de (73) individus présumés auteurs dans divers délits », a-t-elle souligné dans un communiqué.
Soixante et onze (71) présumés auteurs de différents crimes et délits ont été arrêtés suite à des descentes dans plusieurs quartiers de la capitale, lesquelles se sont soldées également par la récupération de 71 grammes de kif traité et 598 comprimés psychotropes, et des armes blanches.
Par ailleurs, les forces de police judiciaire de la sûreté de wilaya de Blida, ont interpellé deux (02) présumés auteurs dans une affaire liée au trafic de drogue suite à l’exécution d’un mandat de perquisition dans un domicile sis dans la localité de Larbaa, a ajouté la même source.
La perquisition a permis également la récupération de plus de 500 grammes de kif traité, a-t-on encore souligné.
A Oum El Bouaghi, les éléments de la police judiciaire qui agissaient sur information, faisant état qu’un groupe d’individus suspects en possession d’une quantité de comprimés psychotropes à hauteur de la ville, ont interpellé récemment 5 présumés auteurs impliqués dans une affaire liée au trafic de psychotropes et ont récupéré 720 comprimés psychotropes.
Dans le même contexte, les éléments de la police judiciaire relevant de la sûreté de wilaya de Biskra, ont interpellé un présumé auteur à bord d’un véhicule au centre ville, en possession de 476 comprimés psychotropes.
Dans le cadre de la lutte contre la criminalité notamment le trafic de drogue, les forces de police des sûretés de wilaya de Batna et de Sidi Bel Abbes, ont interpellé récemment 2 présumés auteurs impliqués dans une affaire liée au trafic de drogue, et ont récupéré 7,7 kg de cannabis.
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Le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire organise, lundi et mardi prochains au Centre international des conférences (CIC), Abdelatif Rahal (Alger), une rencontre nationale sur la prévention des risques des catastrophes, a indiqué samedi un communiqué du ministère.
Organisée sous le haut patronage du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, la rencontre verra la présence de plus de 600 participants, notamment des acteurs et des experts nationaux et internationaux qui se pencheront sur les principaux axes de la stratégie nationale de prévention des risques des catastrophes dans le but de mettre sur pied un plan d’action multisectoriel pour la période 2019-2030, a précisé le communiqué.
Un espace d’exposition dédié aux différents organismes opérant dans le domaine est prévu dans le cadre de cette rencontre, en sus de quatre ateliers pluridisciplinaires devant émettre des recommandations à même de mettre en place des mécanismes efficaces pour une meilleure prise en charge de ces phénomènes.
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Cela intervient à quelques jours de la célébration de la Journée nationale de l’arbre.
Pour réaliser son complexe, un investisseur a procédé à l’abattage de centaines d’arbres sur la route reliant Aïn Achir à Séraïdi, avons-nous constaté sur place. Le nombre est appelé à augmenter, puisque, ledit investisseur pour la réalisation de son projet, doit raser des milliers d’arbres de toutes variétés. Ce massacre est le résultat d’une concession, validée par entre autres, l’ex-wali qui ne s’est pas soucié outre mesure des dégâts pouvant impacter la faune et la flore. Pis encore, l’ex-wali, les responsables du Calpiref et les services des domaines entre autres, en apportant leur approbation à la fin de la concession d’une grande partie de la forêt, ont cautionné un «génocide» qui sera inévitablement à l’origine d’un déséquilibre dans la reproduction de cette ressource naturelle.
Contacté, M. Halimi, président de l’Association nationale pour la protection de l’environnement et la lutte contre la pollution (Anpep) rappellera que «le patrimoine forestier est une ligne rouge infranchissable», a d’emblée lancé l’interlocuteur. En expliquant qu’il s’agit d’une grave atteinte au territoire de la réserve de l’Edough. «Depuis 1964 elle est classée réserve naturelle nationale et mondiale. Sur 50 km de long et 15 km de large, C’est-à-dire de Aïn Achir jusqu’à Séraïdi et de Chétaïbi à Bouguentasse, ce sont 765 km2 de réserve naturelle», a précisé le président de l’Anpep.
Il a indiqué dans le sillage qu’un rapport sur ce dépassement sur le patrimoine forestier, dont nous détenons une copie, vient d’être transmis à Toufik Mezhoud, wali de Annaba, aux fins d’ordonner l’arrêt des travaux de terrassement par cet investisseur. Aux termes du rapport, il est fait état du constat de l’abattage, avec des engins, de centaines d’arbres séculaires de la forêt de Aïn Achir, relevant de la réserve mondiale de l’Edough. Dans le rapport, il est rappelé les atteintes perpétrées sur le parc forestier de Berrahal, où un autre investisseur, pour réaliser un projet industriel, a massacré des milliers d’arbres bicentenaires. L’interlocuteur affirme entreprendre toutes actions et user des droits qui lui sont conférés dans le cadre de son statut de président de l’Anpe pour arrêter ce massacre contre la nature.
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Depuis le début du mois d’octobre en cours, la maladie de la fièvre aphteuse est signalée dans quatre communes de la wilaya de Tizi Ouzou.
Selon des informations concordantes, la maladie est apparue presque simultanément dans des communes comme Assi Youssef, près de Boghni, aux Ouadhias, à Azazga et à Tizi Rached. La sonnette d’alarme est désormais tirée au vu du nombre croissant de bêtes qui sont affectées par cette maladie. Des chiffres provisoires évoquent le nombre de bêtes ayant été touchées et abattues à titre préventif. Pour l’instant c’est dans la commune d’Azazga et à Assi Youssef que la situation est la plus grave puisque c’est dans ces deux localités qu’a été enregistré le plus grand nombre de cas. Dans la commune d’Azazga, a-t-on d’ailleurs appris, ce sont pas moins de vingt et une bêtes qui ont été abattues cette semaine après avoir constaté que ces dernières étaient atteintes ou suspectées d’être atteintes de fièvre aphteuse. Vingt autres bêtes ont été abattues dans la commune d’Assi Youssef dans la daira de Boghni, au sud du chef-lieu de wilaya, pour les mêmes raisons. Même si le nombre de bêtes ayant été atteintes de la fièvre aphteuse est moins important qu’Azazga et Assi Youssef, il n’en demeure pas moins que les autres localités, à l’instar des Ouadhias et Tizi Rached en sont aussi touchées. Pour les Ouadhias, neuf bêtes ont été abattues au courant de cette semaine alors que trois autres l’ont été à Tizi Rached, plus exactement dans la localité d’Aït Oumalou, a-t-on également appris. Notons que, d’après les responsables du secteur de l’agriculture, la première mesure à prendre en toute urgence en cas de suspicion de l’existence de cas de fièvre aphteuse c’est de saisir les services de la DSA pour que les mesures nécessaires, soit l’abattage des bêtes touchées, soient prises. C’est la seule issue afin d’éviter la propagation de cette maladie. Par ailleurs, dans le même sillage, il y a lieu de souligner que les responsables du secteur concerné ont prévu de lancer une large campagne de vaccination de tout le cheptel de la wilaya dans les tous prochains jours afin de se prémunir contre tout autre risque. Il y a lieu de préciser, en outre, que les éleveurs concernés par l’abattage de leurs bêtes seront remboursés et il n’y a donc pas lieu que les concernés s’alarment outre mesure surtout pour ceux d’entre eux qui n’ont que ce créneau pour subvenir à leurs besoins. Du côté des responsables de la direction des services agricoles de la wilaya de Tizi Ouzou, on se montre beaucoup moins alarmant. En effet, les responsables en question ont indiqué que sur la cinquantaine de bêtes appréhendées dans les régions de Azazga, Oudhias, Assi Youssef et Tizi Rached, il n’y a eu que deux cas qui ont pu être confirmés à 100%. Il n’y a donc pas péril en la demeure, d’après les mêmes responsables. Notons enfin, que nous avons appris que le ministère de l’Agriculture a adressé à tous les services agricoles des wilayas du pays une note, le 7 octobre dernier, leur demandant de surseoir à toute mesure d’abattage de bêtes jusqu’à la fin de la campagne de vaccination du cheptel qui sera lancée incessamment. La wilaya de Tizi Ouzou vient d’ailleurs de bénéficier de sa quote-part qui est de l’ordre de 70.000 doses de vaccin. En attendant le lancement de cette campagne de vaccination, et s’agissant des cas de fièvre aphteuse signalés dans la wilaya de Tizi Ouzou, les responsables concernés au niveau de la direction de wilaya des services agricoles ont saisi le ministère de tutelle et ils attendent les directives qui leur seront données pour passer à l’action.
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«Les médias contribuent à la consolidation de la démocratie et des droits de l’homme», a affirmé le ministre.
«Le rôle des médias dans la consécration des valeurs du vivre ensemble en paix.» Tel a été le sujet dominant de la Conférence nationale présidée, jeudi, à Mostaganem, par le ministre de la Communication, Djamel Kaouane. Dans son intervention, le ministre a tenu un véritable plaidoyer par le biais duquel il a invité, les journalistes à agir et réagir interactivement en défendant le précepte du vivre ensemble.
Ainsi, il a estimé que «le vivre ensemble en paix est un mécanisme nouveau qui renforce les acquis par une approche participative de tous les acteurs, à leur tête les journalistes, dans une démarche positive se démarquant de la subversion et de l’incitation à l’hostilité et à la haine». Sur sa lancée, il a plaidé pour «la participation constructive des médias à la promotion des valeurs de l’humanité, de la culture de la paix et de la tolérance, à l’ère de la mondialisation et des technologies modernes». «Les médias contribuent à la consolidation de la démocratie, des droits de l’homme et à la concrétisation du développement durable», a-t-il ajouté tout en mettant l’accent sur ce qu’il a qualifié de «rôle d’intermédiaire que doit assumer la presse pour renforcer les valeurs de paix, de dialogue et du vivre ensemble».
Dans ce sillage, le ministre de la Communication n’a pas omis de souligner au passage que «la presse plurielle doit oeuvrer avec professionnalisme pour offrir des tribunes d’expression libre et de débat responsable, rapprocher les points de vue et jeter les ponts de la connaissance et de l’acceptation de l’Autre». Résumant le fond de sa pensée, le ministre soulignera ensuite, le fait qu’«un tel climat aide le journaliste à faire preuve d’esprit de responsabilité et de respect de l’éthique de la profession dans la recherche de la véracité de l’information en se démarquant de la propagande, de la rumeur, de la manipulation et des tendances qui favorisent la haine et la discorde».
Djamel Kaouane a rappelé que «la presse nationale a accompagné avec engagement et efficacité la démarche et le processus de paix initiés par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et plébiscités par le peuple algérien». Cela, a-t-il ajouté, a «permis l’ouverture d’une nouvelle ère de réconciliation et de renforcement de la foi dans une Algérie stable qui prône cette valeur dans ses relations internationales». Lakhdar Ibrahimi, revenant sur le rôle de l’ONU dans la promotion du vivre ensemble, a, pour sa part «félicité l’Algérie pour le travail accompli jusqu’ici».
Il dira en marge de la conférence que «le vivre ensemble est le projet de toutes les sociétés et de la communauté internationale, notamment à travers les Nations unies créant, encourageant, favorisant les conditions permettant aux peuples, aux régimes différents et aux sociétés de coexister ensemble». «C’est l’objectif suprême. Ce n’est qu’un début», a-t-il souligné. Idem pour Khaled Bentounes qui a, pour sa part, affirmé que «c’est une réalité qui se réalise». Plus on avance dans le temps, plus cette réalité du vivre ensemble s’impose». «Tout le monde voit l’importance de ce thème», a-t-il ajouté.
Cette Conférence nationale a été organisée à l’initiative du ministère de la Communication dans le cadre des festivités de la Journée nationale de la presse célébrée le 22 octobre de chaque année. Elle a été marquée par la participation de spécialistes, de professionnels de la presse et d’universitaires, en présence de Lakhdar Brahimi, du directeur général de la Radio nationale et du président de l’association mondiale soufie Alaouie, cheikh Khaled Bentounes.
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La Dgsn ne ménagera aucun effort pour aider la presse nationale dans son travail et à aller de l’avant, a écrit le Dgsn dans son message.
Le directeur général de la Sûreté nationale le colonel Mustapha El Habiri a honoré les soldats de la presse comme il aime à les appeler affectueusement de la plus belle manière en cette veille de la Journée nationale de la liberté de la presse.
En effet, quoi de mieux que d’organiser une sortie de détente au profit des journalistes vers l’une des plus belles villes d’Algérie, la ville de Tipasa en l’occurrence. Les journalistes ayant répondu en nombre en ce jeudi matin à l’invitation de la Dgsn ont vite compris que l’idée de la sortie n’a pas été anodine. «Les hommes de terrain honorent leurs semblables sur le terrain», se sont accordés à dire les consoeurs et les confrères ravis de se retrouver de sitôt en cette matinée pour une fois non pas pour une couverture, mais juste pour se distraire. Le chef de la sûreté de la wilaya de Tipasa et ses cadres ayant reçu sans doute des instructions de la part de leurs supérieurs ont accueilli les représentants des médias avec tous les honneurs possibles au siège de la sureté de wilaya.
Outre le sourire qui ne quittait pas les lèvres, les hôtes de la ville de Tipaza ont eu droit à des fleurs et des écharpes frappées du logo de la Dgsn. Ce n’est pas fini, après l’accueil, les journalistes furent invités dans la splendide salle de la sureté de la wilaya réservée d’habitude pour les invités de marque. Autour des petits fours et toutes sortes de gâteaux et de limonades, Arslane Driad, chef de la sûreté de la wilaya, était aux anges a souhaité la bienvenue aux journalistes. «Je suis particulièrement ravi de vous accueillir parmi nous.
Cela est un honneur pour nous. Retrouver nos collègues de la presse en la veille de la Journée nationale de la liberté de la presse est un énorme plaisir. La police et les journalistes oeuvrent pour un seul but: servir le citoyen et le pays. Et à ce titre, je préfère vous accueillir sans protocole», a indiqué le chef de la sureté. Des propos qui ont mis de plus en plus à l’aise les journalistes qui se sont donné un énorme plaisir en visitant les différents services qu’abrite la sureté de wilaya. Accompagnés par le chef de la sureté et ses cadres, les invités de la police ont eu droit à des explications exhaustives quant à tous les services. Pour informer davantage les journalistes sur le travail et la disponibilité des hommes d’El Habiri, le chef de la sûreté de la wilaya a invité ces derniers à visiter la toute nouvelle unité de la brigade de la recherche et d’investigation (BRI) dans la localité de Fouka. Sur place, les journalistes qui furent accueillis avec les mêmes honneurs qu’au siège de la sûreté de la wilaya ont eu à s’enquérir du travail de la (BRI), des activités sportives et les arts martiaux auxquels sont soumis les éléments de cette brigade appelés à être disponibles à tout moment et dans toutes les circonstances. 13 h passée, les hôtes de la sureté de la wilaya de Tipasa ont été conviés à un déjeuner copieux. Avant de le savourer, le directeur de la cellule de la communication de la Dgsn a procédé à la lecture du message de Mustapaha El Habiri pour la corporation des journalistes à l’occasion de la Journée nationale de la liberté de la presse. Le Dgsn qui a tenu dans le préambule de son message à remercier le président de la République pour l’instauration de cette journée qui revient de droit à cette corporation, a tenu à remercier les différents organes de la presse nationale pour le travail accompli au profit à la fois du pays et de l’opinion publique.
Le colonel Mustapha El Habiri qui n’a pas omis de noter dans son message que la presse est un partenaire de marque pour la police a indiqué que cette relation est dictée par le souci de servir le citoyen et de préserver ses biens avec le maximum possible de professionnalisme.
Cette mission est désormais consacrée, note le Dgsn, par la Constitution. «La Dgsn ne ménagera aucun effort pour aider la presse dans son travail et à aller de l’avant», a conclu El Habiri dans son message.
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Les services de sécurité de la wilaya de Blida ont interpellé, au cours de cette semaine, un groupe de huit personnes impliquées dans le rapt et le viol d’une fillette âgée de 15 ans, a-t-on appris ce jeudi de sources concordantes.
Selon des sources locales, la victime se trouvait dans la wilaya de Tipasa (70 kilomètres à l’ouest d’Alger) lorsqu’elle a été approchée par deux inconnus qui l’ont forcée à monter dans un véhicule avant de la conduire vers un lieu désert dans la wilaya de Blida, où ils l’ont séquestrée et agressée sexuellement en compagnie de six autres individus.
Les services de sécurité, qui ont reçu une plainte de la famille de la victime signalant sa disparition, ont ouvert une enquête qui s’est soldée par la découverte du lieu où la fillette était retenue. Celle-ci a été libérée et ses agresseurs interpellés.
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