Les mariages collectifs organisés par des associations caritatives locales pour la consécration de l’union conjugale constituent à Ouargla des moyens permettant aux jeunes d’accéder à la vie de couple et de s’épargner les lourdes dépenses induites pour de pareils projets sociaux.
La ville d’Ouargla renoue à chaque rentrée sociale avec ces fêtes nuptiales collectives permettant aux jeunes célibataires de sceller leur union à moindres coûts, une voie que semble emprunter nombre de jeunes pour fonder un foyer à l’instar de leurs congénères. Ils sont nombreux ces jeunes à avoir tardivement porté leur bague de mariage en raison de coûts faramineux du mariage et de «l’insurmontable» contrainte de la dot qui a même poussé certains à renoncer carrément à ce projet social, a déploré le président de l’association «Ayadi El-Kheir» (bienfaiteurs) du quartier El-Gara Nord, une grande concentration urbaine de la ville d’Ouargla. Ahmed Réda Bazine a indiqué, dans ce contexte, que l’association entreprend d’intenses préparatifs pour l’organisation, au début du mois de novembre prochain, d’un mariage collectif au profit de 27 couples. Ces actions caritatives louables, dit-il, ne peuvent être le fruit d’une seule association, mais impliquent tout un chacun, dont des institutions, la mosquée où les imams, les Chouyoukh et notables de la région qui s’associent, armés d’une sagesse indéniable, pour inciter et encourager les jeunes Ouarglis en âge de mariage à emboiter le pas à leurs ainés et à maintenir ces ancestrales de consécration des liens du mariage et de rejet du célibat. Pour M. Bazine, ces mariages collectifs ne concernent pas uniquement les familles et jeunes défavorisés, mais profitent également à toute la société, y compris les catégories nanties, en considération des dimensions socioreligieuse et culturelle que véhiculent de pareilles actions, dont le refus de la vie célibataire, la lutte contre les fléaux sociaux et la stabilité psycho-sociale des mariés.
«Des jeunes d’El-Gara ayant atteint l’âge nubile n’ont pas cru pouvoir fonder un foyer et mener une vie de couple, mais leur rêve se concrétise pour peu qu’ils en manifestent le souhait», a soutenu le président de l’association. Il a expliqué qu’entre-autres conditions requises et à remplir par le futur marié, la nécessité d’avoir une occupation stable à même de lui permettre d’assumer ses responsabilités de père de famille, en sus du soutien de l’association et du consentement des familles des futurs mariés. Un membre d’une autre association «Wassit El-Kheir» du quartier de Bamendil (périphérie Ouest d’Ouargla) signale que pas moins de 35 couples s’envoleront en justes noces en mars prochain, soulignant que cette tradition sociale ne cesse de susciter d’une année à une autre, l’intérêt de nombreux jeunes de la région, eu égard à sa réussite et à l’importante entraide et solidarité que véhiculent ces initiatives sociales. Selon Fethi Hebbal, l’association a à son actif depuis 2007 (date de sa création), l’organisation de mariages collectifs au profit de sept couples la première année, pour passer à 10 puis 20 couples les années suivantes, avant d’atteindre un total de 35 couples durant les trois dernières années. La réussite des unions dans la cohésion sociale et la consécration des valeurs d’entraide et de solidarité est le fruit des efforts de jeunes jouissant d’une grande maturité et du sens des responsabilités qui se sont mis au service de la société, a-t-il estimé. Selon M.Hebbal, ces fêtes font l’objet d’intenses préparatifs sur de longs mois, donnant lieu à la préparation des couples, sous l’encadrement d’enseignants et Morchid (guides), de Chouyoukh et d’un psychologue, inculquant les futurs époux le devoir d’œuvrer à cimenter la cohésion sociale, en plus de la distribution de divers cadeaux, des appareils électroménagers notamment, aux mariés.
Diverses activités au menu des mariages collectifs
Le cérémonial des mariages collectifs qui se déroule dans la pure tradition en présence de Chouyoukh, notables et de nombreux invités, donne lieu au scellement, au premier jour de la fête, de l’acte de mariage, suivi par la lecture de versets du saint Coran. Des chants religieux et des Madih, des prêches d’explication de la dimension religieuse et sociale du lien sacré du mariage, font partie du programme qui s’étale sur trois jours, et qui est couronné par le partage du Couscous, mets indétrônable dans ces heureuses occasions, par les invités qui assistent ensuite à des spectacles de Fantasia et de chants et danses folkloriques. Quelque 500 couples ont, depuis le début de cette année, accédé à la vie conjugale dans le cadre des mariages collectifs à travers les différentes régions de la wilaya d’Ouargla, à l’initiative d’associations caritatives locales, dont des associations de quartiers et d’autres à caractère religieux et social. Le plus grand mariage collectif a été organisé en mars dernier et a permis à plus de 260 couples de fonder un foyer, à l’initiative des associations sociales et caritatives.
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Après les aveux de l’Arabie saoudite sur la mort du journaliste Jamal Khashoggi, tué au consulat du royaume à Istanbul, de nombreuses zones d’ombre demeurent et les Occidentaux ont réclamé davantage d’explications sur une version saoudienne jugée incomplète de cette affaire au retentissement international.
Après la disparition le 2 octobre de Jamal Khashoggi, les autorités saoudiennes ont admis samedi ce que tout le monde redoutait: ce journaliste saoudien, critique du pouvoir saoudien et exilé aux Etats-Unis, a bien été tué dans le consulat de son pays à Istanbul. La confirmation de sa mort est venue, via l’agence de presse officielle SPA. «Les discussions entre lui et les personnes qui l’ont reçu au consulat ont débouché sur une bagarre et sur une rixe à coups de poing, ce qui a conduit à sa mort», a dit le procureur général Saoud al-Mojeb sans préciser où se trouvait son corps. Le ministère saoudien de l’Information a affirmé que les personnes qui avaient interrogé Jamal Khashoggi, 59 ans au moment des faits, avaient cherché à «dissimuler ce qui est arrivé», sans fournir d’autres précisions. Mais ces explications sont loin de satisfaire tous les pays qui se disaient préoccupés par le sort du journaliste, alors que des responsables turcs n’ont cessé d’affirmer que Khashoggi avait été torturé et sauvagement assassiné par des agents saoudiens venus spécialement de Ryad. Selon des journaux turcs, le corps du journaliste qui collaborait avec le Washington Post, aurait ensuite été démembré.
«Ni crédible, ni cohérent»
Le numéro deux du Renseignement saoudien, le général Ahmed al-Assiri, et trois autres officiers de ces services ont été limogés, de même qu’un conseiller «médias» à la cour royale, Saoud al-Qahtani, selon Ryad. Dix-huit suspects, tous Saoudiens, ont été interpellés. Avant de reconnaître la mort du journaliste, les autorités saoudiennes avaient pendant plus de deux semaines démenti la mort de Khashoggi, affirmant qu’il était entré au consulat et en était ressorti peu après. Certains analystes occidentaux ont vu dans ces limogeages et arrestations une tentative de désigner des boucs émissaires et d’épargner le prince héritier Mohammed ben Salmane, considéré comme l’homme fort du royaume, qui considérait Jamal Khashoggi comme sa «bête noire». D’ailleurs, le Canada a jugé «ni crédibles ni cohérentes» les explications de Ryad sur cette affaire qui a suscité une onde de choc mondiale et terni l’image de Ryad. L’Allemagne les a trouvées «insuffisantes», la France a déclaré que «de nombreuses questions restent sans réponses» et l’Union européenne a demandé une enquête «approfondie» et «transparente». Allié des Saoudiens, le président américain Donald Trump avait dans un premier temps jugé crédibles les explications saoudiennes avant d’estimer qu’elles étaient trop courtes. «C’était un gros premier pas», mais «je veux obtenir la réponse», a-t-il affirmé sans préciser la nature de la «réponse» attendue. Il a néanmoins de nouveau refusé de remettre en cause des méga-contrats, notamment militaires, avec l’Arabie saoudite, qui selon lui sont susceptibles de générer des centaines de milliers d’emplois aux Etats-Unis.
«Rendre des comptes»
Les principaux alliés de Ryad dans la région -Emirats arabes unis, Bahreïn, Egypte, Jordanie, Oman et Autorité palestinienne- ont salué les annonces saoudiennes. Hier, la presse gouvernementale saoudienne s’est félicitée des décisions et mesures prises par le royaume. «La justice continue», des responsables vont «rendre des comptes», a titré le quotidien Okaz. «Le royaume de la justice et de la fermeté», a écrit à la Une Al Riyadh. Les demandes occidentales de plus d’explications sont intervenues alors que la presse turque a publié ces derniers jours de nouvelles révélations accablantes pour les Saoudiens. Les enquêteurs turcs ont poursuivi leurs investigations, fouillant une vaste forêt proche d’Istanbul. Et Ankara a déclaré s’apprêter à «tout» révéler sur le sort du journaliste, sans préciser quand. Les organisations de défense des droits de l’Homme restent mobilisées. Les conclusions saoudiennes ne sont «pas dignes de confiance», a indiqué Amnesty International en demandant une enquête indépendante pour empêcher toute «dissimulation saoudienne». Reporters sans frontières a appelé à maintenir la «pression» sur Ryad. Outre une crise de crédibilité, le scandale international provoqué par la disparition de Khashoggi a alimenté des spéculations selon lesquelles le prince héritier, risquait d’être délogé du pouvoir par des membres de la famille royale irrités par ses «abus». Mais, parmi les décrets de samedi, son père, le roi Salmane, a annoncé la formation d’une commission ministérielle, dirigée par le prince héritier pour réorganiser les services de renseignement, montrant t ainsi son intention de le garder à sa place à ce stade.
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Le 60e anniversaire de l’amitié sino-algérienne et le deuxième depuis l’inauguration officielle de l’Opéra d’Alger, ont été célébrés samedi soir, à Alger, par un concert inédit, animé par une fusion prolifique entre les orchestres symphoniques, de l’Opéra d’Alger et le Philharmonique du grand Théâtre de Shenzhen (Chine), devant un public nombreux.
La scène de l’Opéra d’Alger Boualem-Bessaïh, accueillant, 60 musiciens algériens et autant d’instrumentistes chinois, a pris des allures solennelles, avec un grand orchestre de 120 musiciens, dirigé, 70 mn durant, par le maestro Amine kouider, dans des atmosphères de grands soirs. La cérémonie à commencé dans la solennité, avec l’interprétation des Hymnes nationaux, chinois et algérien, retentissant devant un public debout, avant de présenter un florilège d’une dizaine de musiques, entre populaire des deux terroir et symphonique de célèbres compositeurs de la musique classique universelle. «Danse of yao People», une musique populaire chinoise aux gammes pentatoniques et à la beauté mélodique empreinte de douceur et de finesse, a été rendue, d’abord, dans sa partition originale, avant d’être réinterprétée dans un nouvel habillage, signé Hacène Belkacem Benalioua et Ryad Boudjemaa, deux étudiants de l’Institut national supérieur de musique (Insm).
Les deux étudiants, au qanun et au luth, respectivement, soutenus par deux percussionnistes issus du même institut, ont donné plusieurs colorations à la mélodie chinoise, l’interprétant dans plusieurs cadences du terroirs algérien, dont le 6/8 (berrouali), le tergui et le tindi. «Zheng Qiufeug» (I Love you China), interprétée par la soprane chinoise, Lilin Liu avec une voix cristalline et puissante, jouissant d’une tessiture large, que le public a longtemps applaudi. La célèbre pièce, «O sole Mio» d’Eduardo di Capua, a été rendue par le ténor chinois, également époustouflant, de maîtrise et de technique, Teng Ma, qui a ensuite interprété en duo avec sa compatriote Lilin Liu, «Traviata Brendisi» de Giuseppe Verdi. Le grand orchestre a ensuite exécuté les pièces, «Le barbier de Séville» (Ouverture) de Gioachino Rossini, «Leichte Kavalerie» de Franz Von Suppé, «Pas de deux» et «Slave Marche» de Piotr Ilitch Tchaïkovski, «Danses Polovtsiennes» (Prince Igor) d’Alexandre Borodine et «Afak», une suite de musiques algériennes dans différents genres, arrangée par Hocine Bouifrou.
Le public, prenant part à ce voyage aux diverses escales, a longtemps applaudi les artistes, savourant chaque instant du spectacle dans la délectation. Auparavant, en début de cérémonie, les ministres algériens de la Culture, et des Affaires Etrangères, ainsi que l’ambassadeur de la République Populaire de Chine en Algérie, sont intervenus pour évoquer les relations amicales «fortes et de longue date», entre l’Algérie et la Chine, «Premier pays non-arabe, a-t-on déclaré, a avoir reconnu le +Gouvernement provisoire de la révolution algérienne+ (GPRA) en 1958». Les intervenants ont également rappelé, en présence de plusieurs autres membres du gouvernement, que l’«Opéra d’Alger», était un des «symboles» de cette amitié entre les deux pays. Le concert célébrant le 60e anniversaire de l’amitié sino-algérienne, et la deuxième année d’ouverture de l’Opéra d’Alger, a été organisé sous l’égide des ministères, de la Culture et des affaires étrangères.
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A l’occasion de la célébration de la Journée nationale de la presse, le 22 octobre, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a adressé dimanche un message, dont voici la traduction APS: Mesdames, Messieurs, La célébration, cette année, de la Journée nationale de la presse se veut, une fois encore, l’expression de notre considération à la famille de la presse nationale, une halte pour évaluer les réalisations de la corporation et une opportunité pour méditer la situation de notre pays et les défis auxquels il est confronté. Oui, mesdames et messieurs, Femmes et Hommes des médias, vous appartenez à la corporation d’une noble profession, une corporation qui s’est taillée, avec mérite, une place de choix de par le monde. La presse algérienne a contribué, en effet, à notre lutte de libération et a accompagné, dans l’Algérie indépendante, le processus de construction et d’édification. De même qu’elle a payé un lourd tribu de martyrs du devoir national face au terrorisme abject.
La célébration de cette journée est également l’occasion de se recueillir à la mémoire des Chouhada de la Glorieuse révolution de Novembre et des martyrs du devoir national parmi les Femmes et Hommes de la presse algérienne. Mesdames, Messieurs, A la faveur de la paix recouvrée et de la consécration de la Réconciliation nationale, la presse de notre pays a enregistré une avancée notable, au diapason de la reconstruction de l’Algérie dans tous les domaines. Forte, aujourd’hui, de plus de 150 titres, la presse écrite a connu un essor fulgurant les deux dernières décennies et le secteur de l’audio-visuel s’est consolidé avec la création d’une vingtaine de chaînes privées, sans oublier le développement de la presse électronique. Ce sont là, des acquis qui sont venus enrichir le système d’information national ainsi que les divers medias publics. Durant ces deux dernières décennies, l’intérêt particulier qu’accorde l’Etat au développement de l’information et de la communication s’est traduit également par l’ouverture d’un grand nombre d’instituts spécialisés, formant chaque année des centaines d’étudiants ayant choisi cette noble profession. Le souci de l’Algérie de développer une presse nationale professionnelle et indépendante s’est manifesté aussi à travers les nombreuses réformes introduites dans la Constitution de notre pays.
Des réformes visant à consolider la liberté de presse et le droit des médias à l’accès à l’information en plaçant cette profession sous le couvert de la loi, qui protège toutes les libertés et impose le respect de tous les devoirs. Mesdames, Messieurs, Même si nous nous félicitons, légitimement, à chaque occasion des progrès de notre pays, nous ne devons pas ignorer, cependant, les insuffisances qu’il connait dans plusieurs domaines, de même que nous ne devons mésestimer les dangers qui le guettent à plusieurs niveaux. Certes, des insuffisances et des fléaux désolants persistent en termes de bureaucratie, de favoritisme et de corruption. Néanmoins, la volonté de l’Etat à lutter contre ces fléaux et à remédier à ces lacunes est incontestablement évidente tant au plan juridique que politique. Cette finalité requiert la conjugaison des efforts de tout un chacun, y compris de la part de la presse et des médias. Souligner les insuffisances existant à travers notre vaste pays ou les dérives enregistrées ici et là, est une contribution précieuse de nos médias au redressement de la situation et au renforcement de l’Etat de droit. Partant, je vous exhorte, vous journalistes, de jouer votre rôle dans ce sens et de contribuer à l’orientation de la société vers le droit chemin, en vous assurant de la protection de l’Etat et de la Loi. Mesdames, Messieurs, J’ai déjà évoqué, dans mon dernier message à l’occasion de la journée nationale du Moudjahid, les défis auxquels est confronté notre pays mais le sujet est tellement important que je me dois de le reprendre.
En effet, si aujourd’hui, et Dieu merci, nous vivons dans la paix et la sécurité, nous évoluons également dans un environnement régional caractérisé par de multiples crises et conflits ainsi que par les fléaux du terrorisme abject, du crime transfrontalier et du trafic d’armes et de drogues. Des dangers qui menacent notre société et requièrent de notre part vigilance et mobilisation pour préserver l’intégrité de notre peuple et de notre patrie. Il est vrai que nous avons en l’Armée nationale populaire (ANP), digne héritière de l’Armée de libération nationale (ALN), un rempart dont nous nous enorgueillissons , une Armée dont je salue les éléments et le Commandement et me recueille à la mémoire de ses vaillantes victimes, une Armée dévouée au service de la patrie et à ses missions constitutionnelles. Toutefois, l’immunisation de l’Algérie contre les risques externes implique également un front populaire, pétri du sens du patriotisme et du souci de la préservation de l’Algérie contre tout dérapage ou atteinte quelle qu’en soit l’origine. Nous devons être attachés à notre intégrité territoriale et soucieux de la protection de notre société contre les complots ou les manœuvres politiciennes, malheureusement nombreuses, chaque fois que notre pays a rendez-vous avec une importante échéance politique.
A l’instar de plusieurs pays émergeants, l’Algérie fait face à des défis majeurs dans le domaine économique, essentiellement celui de sortir de la dépendance excessive aux hydrocarbures au vu des fluctuations du marché mondial et des enjeux de la conjoncture économique mondiale vulnérable, auxquels nul n’est à l’abri. Face à cet état de fait, notre société entière est appelée à davantage d’efforts pour une meilleure rentabilité de l’économie nationale à travers d’inéluctables réformes. Des réformes qui doivent vaincre les slogans creux mais demeurées attacher à la justice sociale et à la solidarité nationale, en tant que constantes nationales émanant de la Déclaration du 1er novembre 54. Les Femmes et Hommes de la presse nationale ont, face à ces défis, un rôle prépondérant à jouer au service de la patrie, un rôle que vous assumez, à la différence de vos obédiences et tendances politiques, étant donné que nous connaissons un pluralisme dont nous sommes fiers et auquel nous nous attachons. Mesdames, Messieurs, La Journée nationale de la presse est célébrée cette année sous le slogan « Le vivre ensemble en paix ». Un noble et louable objectif dont l’Algérie a porté l’étendard dans le concert des Nations.
L’Algérie qui a pris conscience, à travers les siècles, que la paix et le vivre ensemble dans la prospérité sont le couronnement d’une lutte, voire même de sacrifices. Aujourd’hui que nous jouissons de paix et de sécurité, notre patrie attend de nous de la servir avec dévouement et abnégation, d’agir pour la manifestation de la vérité au service du pays et de son peuple et de veiller à la préservation de son intégrité, et à la sensibilisation à l’importance de sa sauvegarde. Ce sont là des objectifs et des missions tellement honorables, des objectifs et des missions qui sont au cœur même de votre noble profession, vous Hommes et Femmes de la presse algérienne. Confiant en votre réponse à cet appel au service de la patrie, je vous adresse mes salutations fraternelles et vous souhaite davantage de progrès et de prospérité.
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par El-Houari Dilmi
«Une production céréalière nationale de 60 millions de quintaux a été réalisée au titre de la saison agricole 2017-2018», a indiqué samedi à Tiaret le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Aek Bouazgui, lors de l’ouverture d’une journée d’étude sur la filière des céréales à la maison de la culture «Ali Maâchi».Le ministre a également indiqué que la production céréalière a connu une hausse appréciable de plus de 74,4%, passant de 34 millions de quintaux l’année dernière à plus de 60 millions cette année contre 27 millions engrangés au niveau des coopératives des céréales et légumes secs (CCLS). En valeur marchande, la production de céréales et légumes secs est de 220.257 milliards de dinars contre 135.302 milliards de dinars l’année dernière, soit une augmentation de plus de 63%, a encore indiqué Aek Bouazgui, ajoutant que la consommation moyenne en céréales est de 251 kilos par habitant et par an.
«Plus de la moitié des exploitations agricoles dans le pays est consacrée aux cultures céréalières avec une superficie globale de 3,5 millions d’hectares et 600.000 postes d’emploi; sans parler du secteur de la transformation primaire et secondaire des céréales», a encore expliqué le ministre de l’Agriculture.
Concernant les légumes secs, le ministre a indiqué que la production nationale a atteint 1.300.000 quintaux contre à peine 770.000 en 2016, et que pour «garantir le meilleur déroulement de la campagne labours-semailles, plus de 3 millions de semences et autant d’engrais phosphatés et azotés ont été mis à la disposition des fellahs, de même que des guichets uniques qui ont été ouverts aux 42 CCLS réparties sur le territoire national».
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Apparemment, l’Union des handicapés algériens et le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition féminine, qui viennent de confectionner un guide national des handicapés algériens, n’ont pas pris la peine de vérifier les informations liées aux établissements spécialisés auxquels on a attribué de fausses adresses et des numéros de téléphone erronés. L’annuaire des centres pour personnes aux besoins spécifiques, devant servir à l’orientation de cette frange vulnérable et non le contraire, doit être impérativement mis à jour et actualisé pour rectifier le tir et donner sens aux sommes d’argent dépensées pour ce travail témoignant de l’amateurisme de ses initiateurs.
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Le tribunal de Tizi Ouzou a rendu son verdict dans l’affaire qui opposait l’APC de Fréha au comité du village Ajerar dans l’affaire du terrain qui devait abriter un projet de 888 logements sociaux et plusieurs autres équipements publics, un terrain sur lequel le village en question aura déjà entamé des travaux de réalisation d’un cimetière. Selon les termes du jugement rendu par le tribunal compétent, la plainte de l’APC de Fréha est rejetée pour défaut de qualité du mis en cause, à savoir Ibesayen Belaïd, le président du comité du village Ajerar.
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Des Algériens de Marseille, en France, se sont mobilisés récemment pour se solidariser avec des élèves trisomiques en Algérie, plus exactement à Tlemcen. Ceux-ci, dont la majorité exerce dans le commerce, ont réussi à réunir une somme d’argent conséquente pour l’achat de matériel didactique à destination d’enfants trisomiques de cette ville de l’Ouest algérien. Selon le quotidien La Provence de Marseille, même les conseils départemental et régional ont participé à cet élan de solidarité.
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ALGER – L’ambassadrice de la République de Cuba en Algérie, Clara Margarita Pulido Escandell, a appelé dimanche les Etats-Unis à respecter, « en urgence », les résolutions relatives à la levée du blocus imposé à son pays par l’administration américaine, depuis une soixantaine d’années.
« Les Etats-Unis doivent totalement éliminer le blocus, unilatéralement et inconditionnellement », a déclaré Mme Pulido, à dix jours avant le vote de l’Assemblée générale des Nations Unies, sur une résolution non contraignante appelant à la fin du blocus imposé au pays caribéen.
S’exprimant lors d’une conférence de presse tenue à la salle Ernesto Che Guevara, au sein de l’ambassade à Alger, la diplomate cubaine, a évoqué le rapport de Cuba sur la Résolution 72/4 de l’Assemblée générale, intitulé « Nécessité de lever le blocus économique, commercial et financier appliqué à Cuba par les Etats-Unis d’Amérique », qui sera soumis devant l’Assemblée le 31 octobre courant.
Pour Mme Pulido, « cette politique d’injustice » de plus d’un demi-siècle qui continue aujourd’hui, s’est renforcée depuis l’arrivée de Donald Trump à la tête des Etats-Unis ».
La diplomate cubaine considère ce système de sanctions « unilatérales » comme « le plus injuste, le plus sévère et le plus prolongé », jamais appliqué à aucun pays.
Le blocus a couté à Cuba une manne financière dépassant les « 933.000 millions de dollars », affectant ainsi le peuple de ce pays caribéen dans tous les domaines, dont le développement du pays et également le programme de coopération avec plusieurs pays du monde, a dénoncé la diplomate.
Mme Pulido a, par la même occasion, rappelé la mobilisation des autorités de son pays contre le dictat américain, soulignant que le président cubain, Miguel Diaz-Canel Bermudez, a récemment fustigé le blocus devant l’Assemblée générale de l’ONU, le qualifiant de « politique cruelle qui punit les familles cubaines et toute la nation ».
Ce blocus qui viole aussi les droits du peuple cubain, « est un vrai acte de guerre économique, politique, commercial et financier contre le peuple Cubain », a-t-elle insisté, avant de s’élever contre les mesures américaines considérées par Cuba comme « politique génocidaire ».
Intervenant à la même occasion, le représentant des services médico-cubains en Algérie, Pr Menéndez Garcia Reinaldo, a fait savoir que le secteur de la santé a été le « plus affecté par le blocus américain ».
« Les principaux préjudices causés par la politique de blocus se traduisent par des difficultés à acquérir des médicaments, des réactifs, des instruments médicaux, des pièces de rechange pour des équipements (..), ce qui oblige le pays à faire appel à des marchés lointains, très souvent, par le biais d’intermédiaires », a-t-il expliqué.
Le spécialiste a révélé, dans la foulée, que le blocus « n’affectait pas uniquement le peuple cubain, mais également le peuple américain », suite au recul des échanges et déplacements entre les professionnels de la santé, outre le manque de certains traitements fabriqués à Cuba, efficaces contre certaines pathologies dont les pieds diabétiques.
Pour sa part, la Conseillère économique et commerciale auprès de l’ambassade cubaine, Mirte Rippes Aller, a indiqué que les préjudices causés par le blocus sur le commerce extérieur, se chiffrent à plus de 3,3 milliards dollars d’avril 2017 à mars 2018.
Pour les préjudices monétaires et financiers, ils sont montés selon l’intervenante, à plus de 538 milliards de dollars.
Mme Aller a regretté le fait que les institutions financières cubaines faisaient l’objet d’une « politique d’hostilité et de persécution » de la part de l’Administration américaine, en raison entre autres, de l’interdiction des transactions financières avec des personnes physiques ou morales américaines.
Evoquant les relations bilatérales entre l’Algérie et Cuba, l’ambassadrice cubaine a rendu hommage à l’Algérie, indiquant que « le gouvernement et le peuple algériens, nous ont depuis toujours accompagnés ».
« Nous leur exprimons au nom du Gouvernement et du peuple cubains nos remerciements puisque les relations gagnant/gagnant, entre les deux pays, sont historiques depuis bien avant 1960, et les différents chefs d’Etat algériens nous ont tous soutenus », a-t-elle poursuivi.
Pour la diplomate, la coopération internationale cubaine avec le monde « est née à partir de l’Algérie », s’est-elle félicitée, avant de conclure que près de 900 professionnels cubains de la santé exercent en Algérie, outre le renforcement de la coopération bilatérale dans d’autres domaines d’activité.
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Les descentes effectuées par les forces de police relevant de la sûreté d’Alger dans différents quartiers de la capitale ont permis l’arrestation de 73 personnes ayant commis différents crimes, dont « possession et trafic de drogue et de psychotropes » et « port d’armes blanches prohibées », a précisé la même source.
Ces opérations ont permis la saisie de 191 grammes de kif traité, 3.657 comprimés psychotropes et 27 armes blanches de différents types et calibres, a ajouté le communiqué.
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ALGER – Des pluies localement « assez marquées » parfois sous forme d’averses orageuses affecteront lundi la wilaya de Tindouf, selon un bulletin météo spécial (BMS) émis par les services de l’office national de météorologie (ONM).
Des rafales de vent sous orages affecteront également la wilaya de Tindouf durant la journée du lundi, a souligné l’ONM.
La validité du BMS s’étale de 06h00 jusqu’à 21H00, a ajouté la même source alors que les cumuls estimés atteindront ou dépasseront localement 25 mm durant la validité de ce bulletin.
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ALGER- Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a annoncé, samedi à Alger, l’ouverture « prochaine » à Tlemcen de l’Ecole nationale des ingénieurs de la ville qui devra accompagner les efforts des collectivités locales dans le domaine de l’aménagement urbain.
« Nous ouvrirons dans les tous prochains jours, l’Ecole nationale des ingénieurs de la ville, qui sera un pôle d’excellence en matière d’accompagnement des efforts des collectivités locales dans le domaine de l’aménagement urbain », a indiqué M. Bedoui, dans une allocution à l’occasion du lancement de l’année scolaire (2018-2019) au niveau de l’Ecole nationale d’administration (Ahmed Medaghri), en présence de membres du gouvernement, de responsables et de représentants d’institutions nationales.
Bedoui a souligné, à ce propos, que la création de cette Ecole est motivée par la nécessité de « soutenir les efforts de formation, conférer davantage de professionnalisme au travail des collectivités territoriales et augmenter l’efficacité de leur action », que ce soit au niveau de l’approche « stratégique de gestion des villes, ou pour répondre aux exigences complexes de la gestion publique locale », une gestion , a-t-il rappelé, qui doit prendre en compte l’ensemble des aspects du développement durable des villes.
Après avoir annoncé la signature, au cours de la semaine en cours, d’un accord avec l’Institut d’administration de Shanghai portant sur l’échange d’expérience, d’étudiants et de projets de recherche dans le domaine de l’administration et de la mise en place des politiques publiques et territoriales, le ministre de l’Intérieur a mis en avant les efforts déployés par son département qui ne « ménage aucun effort » pour la formation des cadres et fonctionnaires.
Il a rappelé, à ce propos, l’élaboration d’un « riche programme de formation » dans plusieurs domaines ayant pour objectif « l’amélioration de la performance des cadres et fonctionnaires ».
Se félicitant de la « place distinguée » de l’ENA dans l’édification de l’administration algérienne, et ce à la faveur de son expérience dans le domaine de la formation de cadres administratifs dans différents domaines, M. Bedoui a mis l’accent sur l’impératif, pour cette école, de se mettre au diapason des défis de l’heure, imposés au double plan national et international.
Il a rappelé que pour faire face à ces défis, l’ENA « se devait » d’actualiser ses programmes et moderniser ses structures, une démarche ,a-t-il dit, couronnée récemment par « la concrétisation de la réforme des structures de l’Ecole » pour former des cadres, conscient des nouveaux enjeux se rapportant aux politiques nationales en matière de dynamique territoriale dans ses dimensions participative et économique et en mesure de s’adapter aux nouveaux processus de développement relatif à l’économie numérique et l’économie durable.
Pour sa part, le Directeur général de l’ENA, Abdelhak Siahi a fait savoir que le concours d’accès à l’école a connu, pour cette saison, la participation de candidats venus des 48 wilayas, relevant que l’Ecole est « passée par un processus de modernisation qui a fait que toutes ses opérations se font électroniquement ».
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ALGER – Des essais relatifs à l’activation de la carte Chifa à distance, au niveau des pharmacies d’Alger conventionnées avec la Caisse nationale d’assurance sociale (CNAS), sont en cours afin d’éviter aux citoyens les déplacements aux services concernés, a-t-on appris dimanche au niveau des services de l’Agence CNAS d’Alger.
» Des essais relatifs à l’activation de la carte Chifa à distance sont en cours actuellement au niveau de huit (8) officines conventionnées avec la CNAS d’Alger. Ainsi, trois pharmacies ont eu des essais concluants alors que cinq autres ont échoué.
Des experts attèlent à trouver des solutions adéquates à ces carences afin de généraliser cette procédure dans l’ensemble du territoire nationale », a indiqué à l’APS le Directeur de l’Agence CNAS d’Alger, Mahfoud Idris.
« L’objectif principal de ces essais est d’identifier toutes les carences et les difficultés qui peuvent surgir lors du lancement de cette opération au niveau des officines ainsi que de leur trouver des solutions adéquates pour réussir l’opération », a expliqué le responsable.
Après la mise en place de cette procédure, le citoyen ne sera plus contraint de se déplacer au niveau d’une agence CNAS (Caisse nationale de la sécurité sociale) pour réactiver sa carte Chifa.
Il lui suffira de se présenter à l’une des officines conventionnée avec la Caisse pour réactiver sa carte et acheter son médicament, a-t-il souligné.
L’agence d’Alger a délivré 879322 cartes Chifa depuis le lancement de cette carte en 2008, a-t-il fait savoir, soulignant que plus de 47.346 cartes n’ont pas été retirées par leurs titulaires, dont 29.717 concernent des étudiants universitaires.
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Lors du forum d’El Moudjahid, le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi a affirmé que les pouvoirs publics étaient déterminés à exploiter tout le potentiel des gisements d’or existant dans le pays, précisant que pour y parvenir des discussions étaient menées pour le choix des partenaires étrangers, rapporte l’APS.
« L’exploitation du gisement d’or et le développement de cette activité en Algérie demeure une priorité pour nous. Malheureusement, nous n’avons pas les compétences nécessaires pour y faire face par nous mêmes, c’est pourquoi nous sommes en discussions avec des partenaires étrangers pour faire de véritables mines d’or », a précisé M. Yousfi. Estimant que les réserves des mines d’or connues actuellement dépassent les 100 tonnes, M. Yousfi a indiqué que le potentiel national existant « n’est pas encore connu de manière précise ».
Soulignant la nécessité de faire appel à des partenaires étrangers « qui ont l’expertise pour ça », le ministre a, en outre, déploré le choix de l’ancien partenaire qui « n’était pas bon », car « il se limitait à l’exploitation des couches superficielles sur des périmètres très larges, ce qui donnait une production « insuffisante » de l’ordre d’une (01) tonne par an ».
A cet effet, M. Yousfi a évoqué « plusieurs défis » d’ordres logistiques et sécuritaires à relever dans ce domaine, expliquant que la façon d’exploiter ces gisements d’une manière économique, à travers de grands groupes ou d’une façon artisanale, sera déterminée après achèvement des discussions « qui réalisent déjà des progrès importants ».
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ALGER – L’ancien directeur de l’Institut de la Magistrature de Bouzaréah (Alger), le moudjahid Salah Rahmani est décédé, samedi, à l’âge de 82 ans, dans un hôpital en France, des suites d’une longue maladie, a-t-on appris dimanche auprès du ministère des Moudjahidine.
Né à Sétif, le défunt à rallié les rangs de l’Armée de libération nationale en tant qu’officier en 1957 au niveau de la Wilaya II historique où il a mené, aux côtés de ses compagnons de lutte, plusieurs batailles féroces contre l’occupation française. Blessé en 1959, le moudjahid a été emprisonné de 1960 jusqu’à la fin de 1961. Le défunt a poursuivi son combat jusqu’au recouvrement de la souveraineté nationale.
Après l’indépendance, Rahmani a poursuivi son parcours et son militantisme politique en occupant notamment plusieurs postes de responsabilité dont inspecteur général au ministère des Moudjahidine, conseiller à la Cour des comptes, directeur de l’Institut de la Magistrature à Bouzaréah et enfin directeur de projet d’appui et de réforme de la justice (2003-2008).
En cette douloureuse épreuve, le ministre des Moudjahidine a adressé à la famille du défunt et à ses compagnons de lutte ses condoléances les plus attristées, priant Dieu, Tout-Puissant, de le combler de ses bienfaits et de l’entourer de sa grâce éternelle.
La dépouille du moudjahid, Salah Rahmani, sera inhumé au cimetière de Sétif.
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ALGER – La troisième phase de la campagne nationale de don de sang 2018 a été lancée dimanche à Alger, au sein des rangs de la Sûreté nationale et ce jusqu’au 25 octobre, à l’occasion de la Journée nationale du don de sang.
La campagne nationale lancée au niveau de l’hôpital « Les glycines », en coordination avec l’Agence nationale du sang (ANS) et la Fédération algérienne des donneurs de sang (FADS), a été supervisée par l’inspecteur général de la Sûreté nationale, le contrôleur de police Hachichi Mohamed Tahar, à la place du directeur général de la Sûreté nationale, Mustapha Lahbiri.
Dans une déclaration à la presse, le chargé de la communication à la Direction de la santé et de l’action sociale et conseiller de la sûreté nationale, Samir Hamidi a précisé que « toutes les mesures ont été prises pour assurer le bon déroulement de cette opération humanitaire à la quelle prennent part annuellement les agents, cadres et fonctionnaires de la Sûreté nationale qui font don de leur sang pour alimenter les hôpitaux en cette substance vitale ».
Cette opération de solidarité vise à « consacrer les valeurs de solidarité et à renforcer la coopération de proximité entre les catégories de la société », a indiqué M. Hamidi qui a ajouté que la première étape de cette campagne a été lancée en mars dernier et la deuxième en juin ».
Plus de 15.000 poches de sang seront collectées dans le cadre de cette campagne pour être distribuer aux différents hôpitaux publics, a fait savoir l’intervenant qui a rappelé que le nombre de poches de sang collectées depuis le début de l’opération en 2008 a atteint plus de 100.000 poches.
Pour sa part, le directeur de l’administration générale à l’ANS, Samir Houma, a indiqué qu’une coordination a été menée avec l’agence pour faire de cette campagne une réussite, appelant les citoyens en bonne santé, âgés entre 18 et 65 ans, à se rendre aux centres de transfusion sanguine au niveau des hôpitaux ou places publiques pour faire don de leur sang et contribuer ainsi à la consécration de cette culture dans la société.
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ALGER – Une cache d’armes et de munitions a été découverte dimanche à Bordj Badji Mokhtar par un détachement de l’Armée nationale populaire, en coordination avec les services des Douanes algériennes, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et de la sécurisation des frontières et grâce à l’exploitation de renseignements, un détachement de l’Armée nationale populaire, en coordination avec les services des Douanes algériennes, a découvert, aujourd’hui 21 octobre 2018, lors d’une opération de fouille et de recherche menée à Bordj Badji Mokhtar en 6ème Région militaire, une cache d’armes et de munitions « , a précisé la même source.
Il s’agit d’un fusil mitrailleur de type FM, de 6 fusils à répétition, de 4 fusils semi-automatiques de type Simonov, de 3.5 quintaux de substances utilisées dans la confection d’explosifs, de 337 balles de différents calibres ainsi que de 32.5 kilogrammes de kif traité, a ajouté la même source.
« Cette opération de qualité, vient s’ajouter à l’ensemble de résultats concrétisés sur le terrain et confirme la grande vigilance et la ferme détermination des Forces de l’ANP mobilisées le long des frontières, à déjouer toute tentative d’intrusion, d’introduction d’armes ou d’atteinte à la sécurité et la stabilité du pays », a soutenu le communiqué du MDN.
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