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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 4 hours 30 min ago

Algérie-Roumanie: signature à Bucarest d’un mémorandum d’entente en matière de relations avec le parlement

Thu, 09/06/2018 - 20:41

ALGER – Un mémorandum d’entente a été signé, jeudi à Bucarest, entre l’Algérie et la Roumanie, visant à établir un cadre pour développer des programmes dans le domaine des relations avec le parlement, à même de promouvoir les relations d’amitié, à travers la création d’espaces communs de coopération et le développement de programmes spécialisés par les experts des deux pays, a indiqué un communiqué du ministère.

Signé à l’occasion de la visite de travail qu’effectue le ministre des Relations avec le parlement, Mahdjoub Bedda à Bucarest (Roumanie), le mémorandum d’entente porte sur « les études parlementaires, les procédures d’élaboration des règles juridiques et de coordination des relations entre le pouvoir exécutif et le parlement ».

M.Bedda a rencontré son homologue roumain avec lequel il a passé en revue l’état des relations bilatérales, notamment dans le domaine des relations avec le parlement, a conclu la même source.

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Categories: Afrique

L’Algérie est un « pôle de stabilité » dans la région

Thu, 09/06/2018 - 20:34
ALGER- L’Algérie est un « pôle de stabilité » dans la région, a indiqué jeudi à Alger le ministre espagnol des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la Coopération, Josep Borrel Fontelles, saluant le rôle « responsable » qu’elle joue au niveau régional.

« Nous sommes des pays amis. Nous partageons une stratégie commune devant les problèmes communs. Le rôle responsable que vous jouez au niveau régional nous soulage. Dans cette région du monde secouée par beaucoup de problèmes, l’Algérie est un pôle de stabilité », a déclaré le chef de la diplomatie espagnole au terme de son entretien avec le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel.

Il a relevé que les deux pays sont liés par une coopération « très utile et très performante » touchant tous les sujets « sensibles », mettant en avant « la vivacité et la profondeur » des discussions sur « toutes les affaires » qui lient les deux pays.

Les discussions ont porté également sur « les rapports euro-méditerranéens et la réunion qui se tiendra bientôt à Barcelone, ainsi que la situation en Libye », précisant que ce sont autant de « sujets vifs qui ont trouvé une position commune, positive et amicale ».

De son côté, M. Messahel a mis en avant « l’excellence » des relations bilatérales, ajoutant que les deux pays sont dans une dynamique créée par la 7ème session du Comité de haut niveau lors duquel de « grandes décisions » ont été prises et qui sont en phase de mise en oeuvre pour « renforcer le  partenariat au bénéfice mutuel des deux pays ».

Il a précisé que ce partenariat porte notamment sur les énergies renouvelables, l’industrie, l’agriculture et l’énergie, rappelant dans ce sillage le renouvellement des contrats de fourniture de gaz jusqu’à 2030 en faveur de l’Espagne.

Le chef de la diplomatie algérienne a fait savoir qu’au plan régional, les deux pays étaient confrontés aux mêmes problèmes de la migration, au sujet desquels « nous avons échangé nos approches et nous devons dialoguer et poser les bonnes questions pour avoir de bonnes réponses ».

Les deux parties ont également évoqué la coordination dans la lutte antiterroriste, à la lumière des mécanisme existants entre les deux pays, pour la renforcer davantage et être « vigilants dans une zone de grande turbulence », a-t-il souligné.

M.Messahel a indiqué également avoir évoqué avec son homologue espagnol la situation en Libye et dans la région du Sahel et qu’il a présenté, à ce sujet, l’approche algérienne qui prône la solution politique de ces conflits.

La question du Sahara Occidental, qui est inscrite à l’agenda des Nations Unies, a été, pour sa part, au menu de ces discussions et, à ce titre, M. Messahel a mis en avant la position de l’Algérie visant un règlement de ce conflit à travers la mise en £uvre des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU.

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Categories: Afrique

Eloge de la belle-mere de Ahmed Zitouni: Ce «monstre» qui sommeille en chacun de nous

Thu, 09/06/2018 - 17:36

Que les lecteurs ne s’y trompent pas, ce livre n’est pas seulement «à l’usage des gendres et belles-filles soucieux de préserver la paix de leur ménage» (sous-titre de la une de couverture). Bien au contraire, l’essai devrait intéresser tous les amoureux de la littérature.

Le bel esprit des uns et l’inlassable curiosité de tous les autres pourront ainsi apprendre tant et tant de choses nouvelles «sous le soleil de la belle-mère», en même temps que de se délecter de la musique, de la langue et de la prose jubilatoire de Ahmed Zitouni.
Car il s’agit aussi d’un exercice de virtuosité pure. Tout l’art de jongler avec les mots, en plus de l’emploi nouveau et hardi que l’écrivain fait des mots. Une prose tout en pétillements, en éclats vifs, pleine de verve, de passion, d’éloquence, d’invention, et riche d’humour, de fantaisie créatrice. Et comme il s’agit d’un essai sur un «monstre incomparable» (pris au sens de «monstre sacré», rectifie l’auteur), Ahmed Zitouni s’attachera à prouver qu’il maîtrise parfaitement le sujet qu’il va développer. La démonstration mathématique, ici, c’est la démonstration d’une vérité que l’ignorance, le mensonge, l’absurdité, les bobards, les contes, la fausseté, les apparences, la fiction, les traditions, les médias, les religions, les sociétés, les familles, etc, ont depuis toujours occultée, travestie, tue, combattue ou vouée aux gémonies. Cette vérité-là, celle que l’auteur est allé chercher au fond du puits, et avec toute son âme, est la suivante : «L’enfer, ce n’est pas la belle-mère. C’est un monde sans belles-mères.»
Belle façon de sortir des sentiers battus ! Ne pas prendre le droit chemin. Le cerveau du lecteur commence à se bouger  les neurones, à quitter ses pantoufles. «Eloge de la belle-mère» est déjà un titre qui invite à sortir du «prêt-à-penser» pour explorer de nouvelles pistes, de nouvelles idées, à s’aventurer dans  l’imaginaire tout en prenant plaisir à caresser, à rebrousse-poil, les opinions préconçues qui s’opposent à l’émancipation de l’intelligence.
Sortir la belle-mère de sa gangue d’associations habituelles pour la montrer sous un autre angle, pour la présenter avec un autre code, en renversant sa façon de penser, voilà un excellent exercice imaginatif qui donne l’occasion au lecteur de voir différemment son environnement et les choses humaines.
«L’homme est la tête, la femme le cou, et la tête regarde toujours dans la direction où le cou se tourne», rappelle le proverbe russe. Ahmed Zitouni a su tirer profit de cet enseignement et, grâce aussi à «une forme de lucidité héritée d’une habile pratique de la belle-mère», il a osé un essai (à partir d’une idée qui peut paraître absurde ou délirante) qui s’adresse d’abord au psychisme des lecteurs, hommes et femmes. Une invitation au bonheur et un juste retour à la sérénité du raisonnement et de la logique pour tout ce qui concerne le personnage complexe, si humain, de la belle-mère.
Le livre a été édité en France, il y a près de trente ans (éditions Robert Laffont, paris, 1990) et n’a pas pris une ride. Il est aujourd’hui disponible en librairie, en Algérie, grâce aux éditions Frantz-Fanon.
Heureuse initiative qui permet de (re) découvrir un auteur très peu médiatisé, mais qui n’en est pas moins un des meilleurs écrivains algériens de langue française. Ahmed Zitouni est né le 31 juillet 1949 à Saïda. Après des études de mathématiques à l’école normale d’Oran, il enseigne au collège d’enseignement technique de sa ville natale. A 24 ans, après son service national, il part en France et s’installe à Aix-en-Provence (à 28 km de Marseille, dans les Bouches-du-Rhône). Il enchaîne les petits boulots, poursuit des études en sciences politiques.
En 1980, à l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence, il décroche son diplôme de 3e cycle. Depuis, il est enseignant universitaire tout en se consacrant surtout à l’écriture, sa première passion. Ahmed Zitouni a publié son premier roman  Avec du sang déshonoré d’encre à leurs mains  en 1983, chez Robert Laffont. Son deuxième livre Aimez-vous Brahim ? est sorti en 1986, suivi de Attilah fakir en 1987 (prix de l’Evénement du jeudi). Eloge de la belle-mère (1990),  La veuve et le pendu (1993), Une difficile fin de moi (1998), Amour, sévices et morgue (1998), Y a-t-il une vie avant la mort ? (2007), Au début était le mort (2008) sont parmi les autres œuvres de l’écrivain. Des livres qui bousculent les paresseuses habitudes de pensée, mettent à nu la duplicité, le mensonge et l’hypocrisie de ceux qui considèrent le jeu de la comédie comme étant une nécessité des époques (le bonheur est à ce prix !), dénoncent l’exclusion ordinaire… Des livres qui donnent aussi à réfléchir sur l’absurdité d’un monde où l’invraisemblable touche à la tragédie. De là à s’interroger, bien sûr, sur le sens de la vie et de la mort… Quant au déterminisme, fondement de l’induction, l’écrivain profond en précise la singularité :
«Le déterminisme de l’exil a fait de moi un éclopé rageur.» Cette formule résume la trajectoire de Ahmed Zitouni, qui, enfant de la guerre, avait ouvert trop vite des yeux désenchantés sur les illusions perdues de ses rêves de jeunesse, pour se retrouver un insomniaque  de l’exil réceptif à tous les bruits et jugeant d’un œil perspicace, sans passion, la pièce de théâtre jouée par ses contemporains. L’écrivain singulièrement pluriel, en esprit libre, peut ainsi écrire dans ce livre consacré à «la belle-mère dans toute sa plénitude» : «Jetant un regard lucide et presque désabusé sur son enfance, Jean-Paul Sartre nous dit : ‘’Ma vérité, mon caractère et mon nom étaient aux mains des adultes ; j’avais appris à me voir par leurs yeux ; j’étais un enfant, ce monstre qu’ils fabriquent avec leurs regrets.’’ Comme Sartre, chenille j’ai été. Contrairement à lui, je n’ai jamais rêvé de devenir papillon. Comme lui, je me retrouve monstre parmi les monstres. Non pas celui que les adultes fabriquent avec leurs regrets, mais le produit d’une identité et d’une personnalité conquises à l’arraché. Par moi seul. Grâce à ce cocon de belles-mères où j’ai eu le loisir de me retirer pour naître une seconde fois.» à lui seul, ce passage illustre un exercice qui relève du grand art.
Pour mieux parler de son héroïne, Ahmed Zitouni a composé onze chapitres aussi différents les uns que les autres mais qui racontent tous la même chose, suivant une eurythmie en mouvement réfléchie par le langage, les sons et les images. C’est alors un personnage aux multiples facettes, le plus souvent insoupçonnées, que l’on découvre. Grâce aux idées hétérodoxes de l’auteur et par la magie de sa plume, la «belle-mère maudite», celle qu’on considère comme «une fatalité ordinaire dont nul n’est, a priori, épargné, sauf cas extraordinaires», se retrouve véritablement grandie, transformée, rendue à toute sa noblesse. Cette étrange empathie peut paraître bizarre, voire saugrenue. Elle a pourtant une première explication : le propre vécu de l’auteur. Dans les deux premiers chapitres, les seuls où il use du «je» personnel pour raconter une enfance vécue «sous le soleil» de marâtres successives, à cause d’un père «esthète, amoureux des femmes, de toutes les femmes», l’essayiste évoque «le mythe d’un état de grâce permanent, pour cause de rencontres heureuses et de cohabitation harmonieuse avec une flopée de belles-mères».
Enfance singulière, faite d’une longue suite de mères «de rechange». Et «de manifester une sincère reconnaissance», d’abord à ce père, «ce fier loustic aux yeux tendres et pervers, incorrigible amateur de chair fraîche», un «lascar volage» qui jamais ne tardait «à remettre le couvert» ; une infinie reconnaissance, ensuite, à toutes «ces jeunes dames qui enchantaient mon existence».
Cette enfance peu banale a forgé un caractère rare, remarquable, iconoclaste. «De là, probablement, un goût immodéré pour la liberté, ou plutôt un rejet quasi viscéral de toute forme de contrainte et de convention. (…) De là, aussi, une fascination et un intérêt dont je ne me suis jamais départi pour les minorités, les boucs émissaires, les victimes expiatoires. Persistance d’une souterraine solidarité avec mes belles-mères, et à travers elles avec toutes les belles-mères, toutes les femmes mal-aimées», confie le narrateur. Tel un Gavroche, l’enfant singulier, solitaire, «condamné à devenir l’héroïque inventeur de soi-même», a surtout fréquenté l’école de la vie. «Et tout au bout, la fin du tunnel, avec une main tendue pour me hisser (vers l’aveuglante lumière de l’âge adulte. Une main bienveillante et désintéressée. Une main de belle-mère, est-il utile de le préciser.»
Le lecteur peut, bien sûr, se demander si l’auteur a vraiment vécu, ce «paradis perdu» de l’enfance, ou s’il a inventé cette histoire pour les besoins de son essai. L’artiste de la plume, en tout cas, l’a mis en appétit et lui a donné envie de savourer un bon texte, qui est à la fois un chant éclatant de tendresse, à la gloire des femmes, et le lieu d’une réflexion poussée autour de multiplies problématiques, perceptions, représentations, symboles, mythes, etc., entourant la belle-mère. Perversions, faussetés, falsifications, mensonges et hypocrisies sont, par exemple, légion dans le dictionnaire, une «citadelle réactionnaire» à laquelle toutes celles et tous ceux qui se sont attaqués se sont cassés les dents. Tout en se promenant dans le temps et l’espace, l’auteur revisite les diverses définitions que donnent les dictionnaires de la belle-mère. Des définitions «en fait terrifiantes». Notamment «cette savoureuse définition :  ‘‘femme qui joue le rôle d’une mère’’. En plus de la voleuse d’image et de fonction, on a ici droit à la mauvaise mère de remplacement, cette chose qu’on prend faute de mieux. Quant à l’autre belle-mère, la mère de l’autre, elle est donnée en quelque sorte en héritage, à la fois boulet et poison ordinaire, le prix à endurer si on tient à l’être cher».
Mine de rien, cette forme de représentation «est en fait inhérente à toutes les femmes qui sont toutes des belles-mères en puissance». Ne dit-on pas que «dans la femme, un diable jubile…» Il y a aussi les «ravages occasionnés par les proverbes qui suivent les citations dans tout dictionnaire digne de ce nom». Et là, «les proverbes nous apprennent surtout que le rejet de la belle-mère est une valeur universellement partagée». Poursuivant son tour d’horizon anecdotique, l’auteur nous fait part des expressions orales où «la belle-mère»  désigne un objet, un végétal, un outil… Ici la métaphore, le transfert de sens par substitution analogique donnent une image évocatrice de fardeau, voire de castration.
Dans son travail de déconstruction et de démythification, l’auteur s’appuie sur la rigueur de l’analyse et de la démonstration. Le souffle de l’humour corrosif, sublime, libérateur accompagne le voyageur qui, dans sa lecture, découvre un personnage unique et réellement différent de tout ce que les idées et valeurs reçues lui avaient inculqué. De plus en plus d’éléments particuliers, de détails en apparence anodins, d’informations nouvelles captant l’attention du lecteur. Poncifs, clichés, lieux communs et autres contrevérités sur la belle-mère sont passés à la moulinette.
Subversion du propos et éclairage didactique présentent la belle-mère sous son véritable jour. Et pas seulement, car l’essai prend de l’ampleur, gagne en profondeur. Ainsi, la belle-mère a toujours été à l’ombre de la mère : «Souvent réceptacle d’amour, parfois de haine, la mère omniprésente trône en femme aimante, quoi qu’il advienne. (…) Derrière la mère, la femme s’efface. Ne reste qu’une figure emblématique, le socle d’airain de notre édifice symbolique. Résultat d’une efficacité éprouvée, due à des siècles d’apprentissage et de vénération, d’aliénation et d’intériorisation. L’ordre hiérarchique, entre hommes et femmes  était à ce prix.»
La belle-mère maudite, elle, a été effacée «de la grande bibliothèque humaine», a été bannie et enterrée partout. Pourtant, elle n’est pas morte, nous dit l’auteur, «elle attend son heure». Question : «Et si l’histoire de l’humanité n’était pas l’histoire de la lutte des classes, mais celle de la lutte des sexes ?»
Dans le chapitre intitulé «De Marie à Lilith, la longue marche de la belle-mère», l’auteur revisite les mythes qui fondent les figures de la femme, dont les mythes bibliques et la mythologie antique (Lilith, Eve, Marie). Les chapitres suivants sont consacrés à l’étude de «l’autre côté du miroir symbolique».
Autrement dit, explique Ahmed Zitouni, «par le biais de la condition féminine et de la sexualité — à vrai dire la peur qu’inspire la sexualité de la femme libre ­—, il nous faut saisir les racines sur lesquelles s’est bâtie la réputation de la belle-mère.
Comprendre pourquoi et comment ce mythe secondaire de la mauvaise mère a prospéré». L’esprit lucide, profond, subtil de l’essayiste fait alors foisonner tout ce qu’il touche : le tabou de l’inceste, la nuit de noces, la contraception et la libéralisation des mœurs, le féminin subversif, «la belle-mère, ciment de la famille», la belle-mère des villes et la belle-mère des campagnes, les stéréotypes et le tabou linguistique et culturel (à travers la littérature, le conte, le cinéma, la télévision, la publicité, la presse écrite, les sondages…). Après avoir navigué à contre-courant, souvent entre les écueils, le lecteur arrive au bout de son voyage. Il découvre des signes qui ne trompent pas.   La famille subit des bouleversements, «une étoile renaît» (la belle-mère en l’occurrence). Peut-être bien que ce lecteur fait partie des «pères (qui) ont tendance à jouer les  ‘‘belles-mères’’».
Aujourd’hui, en effet, «dans le ‘‘papa poule’’, éjecté par la modernité de son carcan de père sévère, émerge souvent la mère abusive qui sommeillait en lui, la caricature de la belle-mère».
Hocine Tamou

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Recette: Briochettes

Thu, 09/06/2018 - 17:30

200 g de farine, 40 g de margarine, 3 c. à s. de miel, 1 yaourt nature, 1 c. à c. de levure chimique, 1/2 c. à c. de sel 
Préchauffez le four th.4/5 (160°C). Mélangez la levure, la farine et le sel. Ajoutez la margarine et travaillez avec vos doigts jusqu’à  obtention d’une préparation granuleuse. Ajoutez le miel et le yaourt. Travaillez la pâte jusqu’à ce qu’elle devienne lisse et homogène. Etalez-la sur un plan de travail fariné à 1 cm d’épaisseur. A l’aide d’un emporte-pièce rond et cannelé d’environ 6 cm de diamètre, découpez 12 disques. Déposez-les sur la plaque du four. Badigeonnez-les de lait et laissez cuire 15 minutes à four moyen. Servez tiède.

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Air Algérie: les trois Boeing 767-300 à la recherche de repreneurs

Thu, 09/06/2018 - 17:30

Les fans des 767 d’Air Algérie vont être tristes!La compagnie aérienne nationale Air Algérie est à la recherche de repreneurs pour ses trois Boeing 767-300, en effet, le site d’information Alg24 rapporte que la compagnie cherche depuis mars 2018 des repreneurs pour ses plus anciens appareils.

Les trois Boeing 767-300, réceptionnés par Air Algérie en 1990, devaient être retirés de la circulation depuis de nombreuses années, mais devant l’absence d’offre de rachat, a décidé de retarder la vente de ses derniers.

La mise en vente des légendaires Boeing 767-300 s’inscrit dans le cadre du programme de développement de l’entreprise publique, et visant à acquérir 35 nouveaux appareils d’ici 2035.

Vidéo d’illustration: le Boeing 767-300 d’Air Algérie qui atterrit à Manchester (Royaume-Uni)

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Forme: Travaillez régulièrement votre ligne

Thu, 09/06/2018 - 17:28

La surcharge pondérale vous guette ? 
Pas de panique, ce petit exercice réalisé plusieurs fois par jour agit efficacement sur les cuisses, les fessiers et les abdominaux.
Position de départ : 
Debout, buste étiré et tête droite, bras tendus vers le plafond, jambes tendues et écartées (d’environ 40 cm), pieds parallèles.
Travail : 
Inspirez, puis, en expirant, pliez les jambes sans décoller les talons du sol (comme si vous vouliez vous asseoir) et descendez vos bras en les étirant devant vous au niveau des épaules. Inclinez légèrement le buste vers l’avant. Maintenez la position 3 secondes en respirant normalement.
Revenez à la position initiale en tendant les jambes.
Résultat : 
Pratiquez une série de 8 mouvements 3 ou 4 fois par jour selon votre capacité pendant 8 semaines (minimum). Afin d’optimiser la musculature, réalisez l’exercice le plus lentement possible.
Conseil :
Faites attention à ne pas vous cambrer, la colonne vertébrale doit être droite et le bassin basculé !

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Professionnalisation des pratiques d’enseignement et de gestion, réaménagement du bac… »Les défis de Benghabrit pour cette année »

Thu, 09/06/2018 - 17:25

La ministre de l’Education nationale a donné hier le coup d’envoi officiel de la rentrée scolaire 2018-2019. Une année charnière pour Nouria Benghabrit qui se lance le défi d’atteindre les plus hautes normes de qualité dans l’éducation et l’enseignement à travers la mise en place d’un large programme de formation. La ministre doit également convaincre cette année la société sur le projet de réaménagement de l’examen du bac.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Nouria Benghabrit, qui sera sur plusieurs fronts à la fois, a du pain sur la planche cette année. La ministre de l’Education nationale doit ainsi mener tout au long de l’année scolaire un travail de sensibilisation au projet de réaménagement du bac.
Avant de faire passer ce projet, la première responsable du secteur a indiqué qu’elle doit d’abord expliquer aux élèves, à la famille éducative et à la société civile le contenu de ce projet qui entrera en vigueur à partir de la rentrée scolaire 2019-2020. Un travail qui se fera à travers les plateaux de télévision, les radios, l’ensemble des médias et à travers également des conférences avec des pédagogues.
Benghabrit veut convaincre de la nécessité de ce réaménagement et si ce n’est pas le cas, elle dit être prête à lancer une consultation d’ensemble. Au cours de cette année également, la première responsable du secteur se lance le défi de professionnaliser les pratiques d’enseignement et de gestion et faire de l’école un établissement au service des apprentissages des élèves. Pour ce faire, Benghabrit et son équipe ont tracé un large programme de formation et de formation continue au profit de l’ensemble des enseignants.
La ministre a lancé par ailleurs un large programme de formation au profit des directeurs des établissements. «Le directeur d’un établissement doit être un manager dorénavant», a indiqué Benghabrit qui lance la concurrence entre les établissements scolaires avec la mise en place de la classification des établissements à compter de cette année.
La ministre de l’Education, qui a adressé un message, mardi soir, à l’occasion de la rentrée scolaire, a indiqué que l’objectif de cette année est d’arriver à une école de qualité. Cette année est placée d’ailleurs sous le signe de «la formation par excellence». Le programme de formation qui s’inscrit dans le cadre du plan national de formation touchera toutes les catégories, outre les enseignants et les inspecteurs. L’objectif, dit la ministre de l’Education, est d’atteindre «les plus hautes normes de qualité dans l’éducation et l’enseignement». Ce qui nécessite un haut niveau de professionnalisme dans les pratiques d’enseignement et de gestion.
La dynamique sur laquelle repose le secteur de l’éducation nationale cette année scolaire, rappelle la ministre de l’Education, consiste en la mise en œuvre des trois objectifs définis lors des deux conférences nationales d’évaluation et de soutien à la réforme de l’école, organisées en juillet 2014 et 2015. Il s’agit de la refonte pédagogique, l’amélioration de la gouvernance de l’école et le renforcement de la place et de l’importance de la formation.
Le secteur de l’éducation, a déjà déclaré la ministre, s’engage à l’amélioration du niveau des élèves, notamment au cycle primaire qui constitue le fondement de l’opération éducative. D’ailleurs, Benghabrit estime qu’il «n’y a pas d’enfants à échecs mais il y a des écoles en échec». Selon elle, l’enseignant doit identifier les zones de compétences de chaque élève car «on rentre à l’école pour réussir et il y a plusieurs types de réussite».
S. A.

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Un chef de protocole plus important que son wali

Thu, 09/06/2018 - 17:15

Dans une wilaya côtière de l’est du pays, on raconte que le chef de protocole du wali est beaucoup plus puissant que ce dernier. Des directeurs de wilaya ne peuvent s’opposer à ce qu’il dicte. Par la force des choses, il est devenu le personnage phare de la ville. D’où tire-t-il cette force ?

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Handball – Championnat d’Afrique 2018 des U21 (Garçons): Harous : «notre objectif, se qualifier au mondial»

Thu, 09/06/2018 - 17:13

La sélection algérienne U21 (Garçons) de handball «ambitionne d’atteindre le dernier carré» lors du prochain championnat d’Afrique des nations, prévu du 7 au 14 septembre 2018 à Marrakech (Maroc), car cela lui permettra de se qualifier pour le Mondial 2019 de la discipline, a expliqué le sélectionneur national Djalal-Eddine Harous.
Pour bien préparer cette CAN et augmenter leurs chances de performance, Les Verts ont effectué deux stages bloqués au Centre de regroupement et de préparation des élites sportives à Souidania (Alger). Le premier du 9 au 18 août et le second du 24 août au 4 septembre courant. Le staff technique national a retenu 18 joueurs qui devaient rejoindre Marrakech mercredi après-midi. «Pendant le premier stage de préparation, nous avions considérablement augmenté la charge de travail pour essayer de faire progresser les joueurs sur le plan physique, car ils sortaient d’une assez longue période de repos et il fallait donc commencer par les requinquer. Nous avions travaillé suivant un programme biquotidien et globalement, je suis satisfait de ce qui a été accompli» a assuré Harous.

«En revanche, le deuxième regroupement a été consacré essentiellement au volet technico-tactique. Il a été ponctué par trois matchs amicaux, et le dressement de la liste finale des 18 qui iront à Marrakech» a poursuivi le sélectionneur national. Malgré ce travail colossal sur les plans physique et technico-tactique, le sélectionneur national a considéré qu’il «reste beaucoup à faire pour être vraiment au top à Marrakech», car selon lui «les joueurs ont besoin d’être préparés sur le plan psychologique», notamment, pour pouvoir faire face à certains aspects de la compétition, comme la pression. Les Verts seront appelés en effet à défier de grandes nations du handball africain, contre lesquelles ils devront «savoir gérer les moments forts» pour espérer atteindre le dernier carré et concrétiser ainsi leur objectif qui est de se qualifier pour le prochain Mondial de la catégorie, prévu en 2019, en Espagne. Harous a tenu à préciser cependant que son équipe «a entamé la préparation du championnat d’Afrique relativement tard» et que malgré tous les efforts qui ont été consentis pendant les deux regroupements de Souidania, «elle n’a réussi à rattraper que 70% de son retard» a-t-il encore précisé. Concernant son plan d’action à Marrakech, Harous a affirmé qu’il sera «primordial» pour les Verts de «remporter leurs deux premiers matchs», respectivement contre le Nigeria et l’Angola, pour assurer d’emblée la deuxième place avant de «tenir tête à la Tunisie» pendant la troisième joute de la phase de groupes. «Si nous remportons nos deux premiers matchs, une éventuelle défaite contre la Tunisie sera sans conséquences graves, car nous serons quand même qualifiés pour les quarts de finale, où nous affronterons la nation qui terminera à la quatrième place de l’autre groupe» a détaillé le sélectionneur national. Le tirage au sort du championnat d’Afrique a versé l’Algérie dans le groupe (A), en compagnie du Nigeria, de l’Angola et de la Tunisie, au moment où le groupe (b) comporte le Maroc (organisateur), l’Egypte, la Guinée et la Zambie. Les nations qui prendront les quatre premières places à l’issue de cette compétition continentale se qualifieront pour le prochain Mondial de la catégorie, prévu en 2019, en Espagne, et qui n’est autre que le pays tenant du titre.

Liste des 18 joueurs algériens retenus 
Walid Amoura, Mohamed Reda Tobali, Ryad Azzaz, Fodil Malek, Amar Messaoud, Issam Kaci, Aleddine Boudekhana, Tarek Azzouz, Abdeldjalil Zenadi, Sami Belloucif, Mamar Chaouche Abderrahmane, Youcef El Houti, Youcef Rahmani, Abderrahmane Aïssani, Zahreddine Rizi, Zakaria Bey, Lokmane Ghoulia et
Malik Hammache.
Groupe A : Algérie, Tunisie, Angola, Nigeria.
Groupe B : Maroc (pays hôte), Egypte, Guinée, Zambie.

Programme des matchs
Vendredi 7 septembre
Groupe A
Algérie-Nigeria (14h)
Tunisie-Angola
Groupe B
Egypte-Guinée
Maroc-Zambie
Samedi 8 septembre
Groupe A
Algerie-Angola (19h)
Nigeria-Tunisie
Groupe B
Egypte-Zambie
Maroc-Guinée
Dimanche 9 septembre
Groupe A
Algérie-Tunisie (17h)
Angola-Nigeria
Groupe B
Guinée-Zambie
Maroc-Egypte.
Mardi 11 septembre
Quart de finale 
Mercredi 12 septembre
Demi-finale et matchs de classement 
Jeudi 13 septembre
Matchs de classement.

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Tennis – Classement mondial juniors: Un gain de 242 places pour Hamza Reguig…

Thu, 09/06/2018 - 17:11

Le joueur de tennis algérien Samir Hamza Reguig s’est hissé au 857e rang mondial de la catégorie juniors, grâce à un gain spectaculaire de 242 places dans le dernier classement de la catégorie, dévoilé mardi par la Fédération internationale de tennis (ITF).
Une belle ascension, que le jeune oranais doit à son dernier bon parcours à Téhéran (Iran), où il avait réussi à atteindre la finale d’un tournoi international de grade 5. Avec sa 857e place, Reguig se place au deuxième rang des Algériens les mieux classés sur le plan mondial de la catégorie juniors, juste derrière Youcef Rihane, qui lui s’est contenté d’un gain de 5 places dans le ranking de cette semaine, se positionnant ainsi au 149e rang. Chez les filles, la semaine a été un peu moins prolifique, puisque seule Lynda Benkaddour a gagné deux places, pour se hisser au 159e rang mondial, au moment où Houria Boukholda, Amina Ahlem Felloussa et Bochra Rehab Mebarki ont toutes enregistré une légère régression. Boukholda a perdu trois places, pour se retrouver au 1 451e rang, tout comme sa compatriote Felloussa, qui a reculé au 1 552e rang, après une perte de onze places. Pour sa part, Mebarki a perdu cinq places et se positionne désormais au 2 344e rang mondial de la catégorie.

… Et de deux places pour l’Algérienne Ines Ibbou 
La joueuse de tennis algérienne Ines Ibbou s’est hissée au 644e rang mondial, grâce aux deux places engrangées dans le dernier classement mondial féminin, dévoilé par la World Tennis Association (WTA). Sur une courbe ascendante au début du mois de juillet dernier, la joueuse de 19 ans avait réussi à atteindre le 618e rang mondial, mais une blessure, contractée lors d’un tournoi professionnel en Tunisie l’a privée de compétition pendant plusieurs semaines, ce qui a fini par se répercuter négativement sur son classement mondial. La championne d’Afrique de 2015 a connu en effet régression sur régression, dont une chute de 21 places, dans le classement du 30 juillet dernier. Néanmoins, les choses commencent à s’arranger pour l’Algérienne, qui s’est entièrement remise de sa blessure et qui a repris l’entraînement dernièrement, en travaillant d’arrache-pied pour préparer son retour à la compétition. Le classement mondial féminin est toujours dominé par la Roumaine Simona Halep, devant la Danoise Caroline Wozniacki et l’Américaine Sloane Stephens.

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Chlef: Lutte contre la bureaucratie

Thu, 09/06/2018 - 17:03

En prévision de la rentrée sociale, le Conseil de la wilaya de Chlef s’est réuni dimanche dernier sous la présidence du wali, un conseil qui a réuni outre les membres de l’exécutif, les élus locaux. A l’ouverture de la séance, le chef de l’exécutif de la wilaya a pris la parole pour aborder les principaux thèmes, notamment celui de la rentrée.
Il a été d’abord question des préparatifs de la rentrée scolaire. Dans ce cadre, en plus des 7 nouveaux groupes scolaires réalisés, de 13 classes d’extension pour diminuer la pression des effectifs dans certaines écoles et la réception prochaine de 3 nouveaux lycées, il a fait savoir ensuite avec satisfaction que tous les projets gelés du secteur ont été levés.
Toujours dans le cadre de la rentrée scolaire, il a enjoint aux représentants des autorités locales de procéder à l’entretien intérieur des établissements scolaires et des cantines. Aux maires, il leur a enjoint d’alléger les procédures et les formalités de délivrance des documents administratifs.
Aux uns et aux autres, a propos de moyens, il a été catégorique «ceux qui avancent cette justification, c’est inadmissible».
S’agissant des campagnes de propreté de l’environnement menées ça et là, il dira : «A Chlef, nous n’attendons pas les grandes occasions ou les fins de semaine pour procéder aux travaux de nettoiement, de l’enlèvement des déchets basiques et à l’éradication des points noirs, cela se fait au quotidien et à longueur d’année… nous rencontrons, certes, des problèmes mais nous maîtrisons la situation».
S’adressant aux élus, il leur rappelle que «l’APC ce n’est pas seulement le maire, mais chacun doit assumer ses responsabilités pleines et entières y compris les associations et les services de sécurité», et d’ajouter : «La concertation, la collaboration, la coordination entre toutes les parties sont indispensables».
A propos de la sensibilisation des citoyens, le wali trouve qu’il «s’avère qu’à elle seule, elle ne suffit pas, le temps est arrivé où les sanctions s’imposent».
Faisant son mea culpa, il dira : «A propos de sensibilisation, quelque part, nous avons échoué et nous n’avons pas su mobiliser justement les citoyens pour qu’ils s’impliquent dans l’amélioration du cadre de vie, mais ceux qui n’accomplissent pas leur devoir, au moins qu’ils ne détruisent pas.»
Au sujet de ceux qui contreviennent aux règles de la vie commune, de l’agression de l’environnement par le rejet de déchets solides ou ménagers n’importe quand et n’importe où, il assène : «Il n’y a plus de place au sentiment et à la complaisance et l’application de sanctions s’impose maintenant, donner des exemples et les autres suivront.»
S’agissant des gestionnaires de l’ADE, il rappelle que l’Etat a consenti une enveloppe de 8 milliards de dinars pour la réhabilitation et l’entretien des réseaux de distribution d’eau potable «il est inadmissible que l’eau se perd à travers les fuites alors que certains sont privés du précieux liquide vital, le suivi dans la réalisation des projets est mal fait, des séances d’évaluation ne sont pas faites», en ajoutant : «L’Etat a fait son devoir alors que les projets n’avancent pas et que le suivi n’est pas toujours au rendez-vous».
Plus directement, il s’adresse aux services de sécurité «ils doivent tous s’impliquer dans l’application des règlements et des lois dans toute leur rigueur si on veut qu’il n’y ait plus de foyers épidémiques».
Aux maires, il ordonne de réactiver de façon drastique les bureaux d’hygiène dont les agents doivent se tenir et être présents aux premières lignes de lutte contre le non-respect de l’environnement et de la salubrité publique.
A propos des constructions illicites, le chef de l’exécutif de la wilaya recommande d’appliquer immédiatement les mesures administratives légales et ensuite recourir à la justice. En cas d’infraction, ne pas se contenter d’envoyer des dossier à l’instance judiciaire mais prendre illico presto les sanctions prévues par la réglementation, «les deux procédés ne sont pas en rapport exclusif».
Karim O.

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Projet des 300 logements LPA confié à l’agence foncière de Bouira: Les souscripteurs, désemparés, reviennent à la charge

Thu, 09/06/2018 - 17:03

Encore une fois et après le sit-in observé en juillet dernier devant le siège de la Wilaya, des dizaines de souscripteurs au projet des 300 logements LPA confiés à l’Agence foncière de la wilaya, se sont rassemblés hier devant le siège de cette direction, pour réclamer la reprise sérieuse des travaux.
En effet, selon les protestataires, lors de leur rassemblement en juillet dernier devant le siège de la Wilaya, le chef de cabinet qui a reçu une délégation représentant les protestataires, a expliqué que le retard est dû à la crise qui secoue l’Agence foncière restée depuis avril dernier sans directeur, après la suspension provisoire de ce dernier.
Le chef de cabinet avait promis aux protestataires d’y remédier le plus rapidement possible pour que le projet des 300 logements LPA, implantés dans quatre sites différents de la ville de Bouira soit relancé le plus rapidement possible.
Il faut dire que la patience des souscripteurs a atteint ses limites puisque ceux-ci, dont le projet date de 2013, ont été bernés à plusieurs reprises.
En effet, le projet des 300 logements LPA a été initialement inscrit en 2013. Or, pour des raisons bureaucratiques, celui-ci n’a démarré que courant 2016 pour une durée de réalisation de 30 mois. Là aussi, et juste après le démarrage, alors que les souscripteurs ont tous payé leur quote-part pour leurs logements de type F3 dont le coût global était arrêté à 280 millions avec une aide de l’Etat comprise entre 40 et 70 millions, des retards commençaient à se faire voir.
Dans certains sites, les travaux ont à peine démarré. Début 2018, alors que les délais impartis pour l’achèvement de ces logements, étaient arrivés à leurs termes, les taux d’avancement étaient compris entre 10% et 70%.
Aussi, et voyant qu’aucun site n’était achevé, les souscripteurs qui vivent depuis des années en location, se sont rassemblés d’abord en juillet dernier, devant le siège de la wilaya pour réclamer une solution définitive et efficace à leur problème.
Ils voulaient avoir des garanties de la part du wali, quant à l’achèvement de ce projet des 300 logements dans un délai bien précis afin qu’ils soient tranquilles. Lors de leur rencontre avec le chef de cabinet, une promesse quant à la reprise immédiate du projet par les entreprises, a été donnée par ce responsable qui n’a pas omis de rappeler à ses interlocuteurs, la difficulté de l’heure et la crise que traverse l’agence foncière.
Plus de deux mois plus tard, la situation est toujours la même. Hier, lors de leur rassemblement devant le siège de l’Agence foncière, ce fut le DG par intérim qui reçut les représentants des protestataires, auxquels il a promis la reprise des travaux et leur achèvement dans les plus brefs délais.
C’est tout ce que demandaient en fin de compte les protestataires : que le projet redémarre avec une cadence acceptable pour en finir rapidement avec le calvaire des locations.
Y. Y.

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Jijel: La réouverture de structures sanitaires

Thu, 09/06/2018 - 17:03

Les services de la Direction de la santé et de la population ont procédé, dimanche dernier à la réouverture de deux salles de soins dans les localités de Kherecha et du village touristique relevant de la commune d’El Aouana dans la wilaya de Jijel, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la wilaya.
La même source a ajouté que ces deux structures sanitaires ont fait l’objet de travaux de réfection et ont été dotées d’équipement médical en vue d’assurer une meilleure prise en charge des malades dans ces deux localités.
Le programme de permanence des médecins affectés à ces deux salles sera annoncé ultérieurement, a souligné la même source. D’autre part, deux points de garde au niveau des deux polycliniques d’El Ancer et de la commune de Ouled Yahia-Khedrouche ont été ouverts récemment par les services de la santé.
Ces actions sont en mesure de contribuer à l’amélioration de la couverture sanitaire dans ces régions notamment pour attenuer un tant soit peu le fléau d’évacuations des malades vers l’hôpital Bachir-Mentouri d’El Milia.
Bouhali Mohammed Cherif

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Direction du commerce de Naâma: Les articles scolaires au peigne fin

Thu, 09/06/2018 - 16:59

La Direction du commerce de la wilaya de Naâma a indiqué que des brigades d’inspection sont mobilisées à travers toutes les communes, à l’effet de procéder à des contrôles et à des analyses approfondies des fournitures scolaires. Cette opération de contrôle qui a été déjà lancée touchera la quasi-totalité des commerces (librairies, magasins, marchands ambulants, et autre… marché informel) ; elle déterminera l’identification de la fabrication des articles scolaires et leurs origines et permettra la garantie de la qualité et la conformité des produits et évitera en conséquence, les dangers sanitaires mettant en péril la santé des élèves.
Notons que beaucoup d’articles seront soumis à des prélèvements, ceux toxiques, notamment, ceux contenant des solvants, des conservateurs ou des métaux lourds pouvant causer des maux de tête, des irritations des yeux, du nez et du corps ; des effets nocifs qui se traduisent généralement par l’atteinte d’asthme, cancer ou autres pathologies.
Les produits soumis aux contrôles s ont pratiquement la colle, la craie, le plastique (protège-cahier), la pâte à modeler, la gomme, les crayons et bien d’autres….
B. Henine

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Sidi-Bel-Abbès: La commune de Lamtar récompense ses lauréats des examens scolaires

Thu, 09/06/2018 - 16:57

Dans la journée du lundi, la commune de Lamtar, qui a raflé la première place à l’échelle de wilaya aux épreuves du baccalauréat de juin 2018, a concocté une sympathique collation pour honorer ses lauréats, une cérémonie présidée par le P/APC, M. Bouheni Saâd, en présence du chef de daïra, des élus, du président de l’Association des parents d’élèves et d’autres invités.
Cet hommage concernait les lauréats des trois examens (baccalauréat, BEM et 5e année) que l’on tenait à récompenser pour leur mérite et pour le titre de premiers aux résultats des épreuves du baccalauréat.
Les cinq lauréats du baccalauréat longuement félicités ont reçu des ordinateurs, les cinq du BEM une tablette et les sept de l’examen de 5e année ont eu droit à un sac-à-dos contenant des fournitures scolaires en plus d’un autre cadeau symbolique.
La cérémonie qui s’est déroulée au niveau de la Maison de jeunes de la localité a ravi les lauréats, qui ont vu leurs efforts récompensés par des éloges formulés par les autorités présentes.
A. M.

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Blida: 287 403 élèves ont repris hier le chemin des classes

Thu, 09/06/2018 - 16:50

C’est hier matin que le coup d’envoi a été donné par le wali de Blida par intérim de la rentrée scolaire 2018-2019. C’est ainsi que 287 403 élèves ont repris les chemins des classes dont 29 459 ont fait leur baptême du feu. Une ambiance toute particulière a été vécue hier dans les 564 établissements scolaires, tous paliers confondus.
Pour le cycle primaire, 160 108 élèves ont rejoint les classes ainsi que 5 169 enseignants. Rappelons que le taux de réussite était de 97,09% pour l’examen du primaire.
Le cycle moyen, dont le coup d’envoi a été donné au niveau du CEM Benboulaïd de Blida, a connu également, comme à l’accoutumée, une effervescence vu le nombre important de collégiens qui s’élève à 101 434 adolescents contenus dans 143 CEM répartis à travers les 25 communes que compte la wilaya de Blida et pris en charge par 4 510 professeurs d’enseignement moyen. Le taux de réussite au dernier examen de brevet est de 61,06%. Le secondaire quant à lui verra cette saison scolaire moins de surcharge. En effet, la classe ne pourra dépasser 30 élèves ce qui leur permettra de suivre aisément leurs cours dispensés par 2 543 professeurs. Notons que le taux de réussite du bac de la session de 2018 a été de 58,26%.Sur un autre plan, les handicapés mentaux ne sont pas en reste puisque 93 élèves ont été inscrits dans 11 établissements primaires. Ces inscriptions ont été réalisées, notons-le, dans le cadre d’une convention signée entre le ministère de l’Education national et celui de la Solidarité et l’Action sociale où il a été établi un suivi tout particulier pour cette frange de la société. Il y va de même pour les enfants trisomiques qui sont au nombre de 75 à suivre leur scolarité dans trois écoles primaires.
Enfin, la sécurité des élèves a été assurée hier par un grand nombre de policiers en faction devant les établissements scolaires alors que d’autres effectuaient des patrouilles pédestres et motorisées. Dans le même sillage, les élèves ont été sensibilisés au comportement à prendre aux fins d’assurer leur sécurité notamment pour ne pas tomber dans les fléaux sociaux et les dangers qui en découlent.
M. B.

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Rentrée scolaire à Mostaganem: De la joie, des retrouvailles et des pleurs

Thu, 09/06/2018 - 16:48

La rentrée scolaire s’est passée dans de bonnes conditions mais elle n’est que le fruit d’un long travail en amont qui a pris naissance bien avant la pré-rentrée des enseignants et du personnel administratif qui se déroule quelques jours auparavant avec les inscriptions des nouveaux élèves, la constitution des classes et les plannings et emplois du temps divers.
Les élèves ont, donc, repris le chemin des classes entre pleurs pour les plus petits et joie de se retrouver pour les plus grands. Cette rentrée s’est globalement déroulée sans encombre dans la wilaya de Mostaganem.
Cartables préparés tôt la veille à la maison ou un simple cahier à la main ou sous le bras, ils étaient quelque 191 320 élèves à rejoindre les bancs, resplendissants de beaux vêtements d’été et un accueil des enseignants qui ne peut que permettre aux élèves d’effectuer une excellente année scolaire. L’école primaire accueillera 103 377 dont 65 955 élèves seront concernés par le cycle moyen tandis que le palier secondaire accueillera 21 988 élèves. Le coup d’envoi de la nouvelle rentrée a été donné dans tous les établissements sous le slogan « Faire du vivre-ensemble en paix : un acquis et un principe éducatif et citoyen».
Des supports pédagogiques, tels les manuels scolaires sont disponibles, a assuré le directeur de l’éducation M. Benchohra Larbi. 11 000 enfants dont les familles sont dans le besoin recevront des trousseaux scolaires et le manuel scolaire sera distribué à titre gratuit aux élèves scolarisés issus des familles nécessiteuses, dont les listes sont fixées par les commissions de commune et de daïra, et les enfants des enseignants.
Concernant la prime de scolarité, elle est destinée cette année à 86 000 élèves. A cet effet, le directeur de l’éducation a insisté sur le fait que cette prime de 3 000 DA doit être mise à la disposition des bénéficiaires dès les premiers jours de la rentrée.
La solidarité concerne également la cantine pour prendre en charge tous les élèves scolarisés dans le primaire.
Le transport scolaire est également assuré pour tous les élèves démunis de moyen de locomotion pour rejoindre à l’heure et dans de bonnes conditions les établissements du savoir. Enfin, la Direction de l’éducation de wilaya a transmis à tous les chefs d’établissements la liste des fournitures essentielles de la rentrée des classes dans les trois cycles (primaire, moyen et secondaire) afin de réduire non seulement le coût des achats mais aussi le rationnement de leurs utilisations.
A. Bensadok

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Aïn Defla: Triste record

Thu, 09/06/2018 - 16:43

Il semble que les campagnes incessantes de sensibilisation des conducteurs à longueur d’année aient échoué et les statistiques communiquées par la Direction de la Protection civile viennent étayer ce constat.
Selon cette source durant les 8 premiers mois de l’année 2018, il a été enregistré 867 accidents qui se sont produits sur le réseau routier, tous segments confondus, et le bilan est des plus lourds puisqu’ils ont fait 1 156 blessés et 55 décès dont 40 durant le semestre écoulé.
C’est le mois d’août qui vient de s’achever qui a été le plus meurtrier, et qui classe la wilaya de Aïn Defla à la tête de ce macabre podium. En effet, durant ce mois, il a été enregistré 122 accidents qui ont fait 160 blessés et 10 morts.
Il est quand même juste de noter que toutes ces victimes ne sont pas à mettre sur le compte des conducteurs de la wilaya de Aïn Defla puisqu’elle est traversée par un segment de 104 km d’autoroute et est un nœud de communications de 3 grandes routes nationales à savoir la RN4 Alger-Oran, la RN14 vers Tissemssilt, et la RN 18 vers Médéa, des axes où le trafic tend à s’intensifier d’année en année. Durant les 8 premiers mois de cette année, sur ces trois RN, il a été enregistré pas moins de 50 accidents, sur l’autoroute 230 accidents, sur les CW 141 accidents, sur les CC (chemins communaux) 139 accidents et sur la voie ferrée, 5 accidents.
A noter que tous ces accidents ont eu pour origine la défaillance des conducteurs qui ne respectent pas le code de la route.
Pour avoir une idée de la folie des conducteurs, il faut voir les fous du volant dans les incessants cortèges nuptiaux de jour comme de nuit sans que personne vienne rappeler aux conducteurs les règles les plus élémentaires de prudence pour eux-mêmes et pour tous les usagers de la route.
Karim O.

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Restitution des crânes des résistants algériens: Le Quai d’Orsay juge « complexe » l’opération !

Thu, 09/06/2018 - 15:02

L’épisode continu de la restitution des crânes des résistants algériens refait surface. Le ministère français des Affaires Etrangères a jugé complexe, l’opération de la restitution des carnes conservés au Muséum National d’histoire naturelle (MNHN).

«Le processus de restitution de ces restes humains est complexe car, au-delà de la problématique politique et mémorielle, il touche au statut juridique de ces restes humains qui ont été intégrés aux collections publiques nationales. Ceux-ci relèvent à ce jour de la domanialité publique et sont, à ce titre, inaliénables, insaisissables et imprescriptibles », a expliqué le Quai d’Orsay, soulignant que d’autres restes mortuaires nécessitent un travail d’identification.

La même source a notamment dévoilé qu’un travail législatif serait en préparation afin de restituer les crânes.

«Sur la nécessité de mettre en place une commission chargée d’identifier ces restes et de faire évoluer le cadre juridique français sur la question de la domanialité publique qui fait que ces crânes deviennent inaliénables, insaisissables et imprescriptibles», ajoute la source officielle.

Pour rappel, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères a été saisi en juillet dernier par une question écrite à ce sujet par la députée d’origine algérienne Fadila Khattabi (LREM).  Dans sa question, la députée a interpellé le ministère sur les critères du modus operandi adopté pour la restitution des crânes de résistants (chouhada) algériens du 19e siècle, conservés au Muséum national d’histoire naturelle, et réclamés officiellement par l’Algérie, ainsi que sur les délais de sa mise en œuvre.

Echoroukonline: Rachel Hamdi

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Pétrole algérien : les prix ont augmenté de 40% en 2018

Thu, 09/06/2018 - 14:56

Durant les sept premiers mois de 2018, le prix moyen du pétrole brut algérien, le Sahara Blend, est vendu à 71,82 dollars, soit une hausse de 22,20 dollars comparativement à l’année précédente.

Cette amélioration du prix du baril a permis une augmentation de 15,22 % des exportations des hydrocarbures durant la même période de comparaison, lesquelles sont passées à 22,021 milliards (mds) de dollars contre 19,111 msd de dollars, selon la même source.

Le taux de change moyen du Dinar contre le dollar a été de 115,31 DA pour un dollar entre début janvier et la fin juillet 2018 contre 109,39 DA/dollar durant la même période en 2017, soit une dépréciation de 5,41% du Dinar par rapport au dollar durant cette période.

Ce taux de change a été de 117,70 DA à la fin juillet dernier contre  108,44 dollars à fin juillet 2017 (-8,54%).

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