Au regard de ce démarrage en flèche, avec 630 000 exemplaires vendus depuis vendredi, le disque pourrait devenir le plus gros succès commercial de Johnny.
Disque de diamant en trois jours : Mon pays c’est l’amour, l’album posthume de Johnny Hallyday, s’est vendu à 631 473 exemplaires physiques (CD et vinyles) depuis sa sortie vendredi, un chiffre historique en France, a annoncé lundi Warner Music France. « Nous sommes face à des ventes historiques, qui certifient Mon pays c’est l’amour, 51e opus de Johnny, disque de diamant », a indiqué à l’AFP Thierry Chassagne, patron de Warner, sans pouvoir affirmer si un tel score en si peu de temps constitue un record absolu dans l’histoire du disque français. Ce chiffre concerne la période du « mid-week », c’est-à-dire la fenêtre entre vendredi matin et dimanche soir.
Au terme de son premier jour de commercialisation, l’album avait déjà atteint la barre hors norme des 300 000 ventes physiques. Un record pour un disque de Johnny, qui avait écoulé 250 000 exemplaires en vingt-quatre heures de Sang pour sang en 1999. « Plein de magasins étaient en rupture de stock dès vendredi soir. Et tous les disques vinyles que nous avions mis en vente, à savoir 25 000 exemplaires, ont été écoulés dès le vendredi matin », a précisé Thierry Chassagne.
Nouveaux CD édités
Compte tenu du fait que les trois quarts des 800 000 disques mis en place ont été vendus, Warner a également relancé la fabrication de nouveaux CD. Sur les plateformes de streaming, l’album a cumulé 7 millions d’écoutes depuis vendredi, soit une progression de 1 000 % par rapport à son précédent album, De l’amour, sorti en 2015. Autre chiffre éloquent, Mon pays c’est l’amour cumule 7 millions de vues sur la plateforme YouTube, sur laquelle il est possible d’écouter tout l’album et de voir notamment le clip de « J’en parlerai au diable » (1,8 million de vues à lui seul). Au regard de ce démarrage en flèche, le disque pourrait devenir le plus gros succès commercial de Johnny Hallyday, décédé en décembre dernier à l’âge de 74 ans. A fortiori alors que s’ouvre la période pré-Noël, traditionnellement la plus faste de l’année pour le secteur (40 % du chiffre d’affaires).
The post Musique: L’album posthume de Johnny est déjà disque de diamant appeared first on .
ALGER- La visité effectuée par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar à Tunis, a été couronnée par la signature, mardi, du programme pilote de mobilité étudiante et enseignante portant le nom de « Ibn Rachiq », et de quatre (4) procès verbaux (PV) relatifs notamment à la recherche scientifique, le développement et l’innovation technologiques et la création d’écoles doctorales entre les deux pays.
Ce programme pilote est « un saut qualitatif supplémentaire » encourageant la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’enseignement supérieur et de recherche scientifique et permettra de combler le vide juridique qui entrave cette mobilité, et de mettre en place des outils et mécanismes flexibles et efficaces susceptibles de stimuler la mobilité des doctorants, a indiqué un communiqué du ministère.
Le programme donnera, en outre, une meilleure visibilité à cette mobilité et permettra la mobilisation d’opportunités de financement au niveau régional afin de garantir un meilleur positionnement des établissements des deux pays dans la réponse aux programmes européens, de l’organisation islamique et de l’union africaine dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
Cette visite a été, également, sanctionnée par la signature de quatre (4) PV relatifs à « la recherche scientifique, le développement technologique et l’innovation, la coopération entre la conférence nationale des universités algériennes et son homologue tunisienne, outre la coopération pédagogique à travers l’établissement de partenariats et de programmes de diplômes communs, et la création d’écoles doctorales entre les deux pays », selon le communiqué.
Les deux parties se sont accordés également sur l’identification des mécanismes appropriés pour l’élaboration de projets de recherche unifiés et structurants ayant une valeur ajoutée dans le domaine de la recherche scientifique en associant le secteur socio-économique, particulièrement dans les domaines se rapportant aux ressources en eau, l’agriculture, l’économie et la gestion intégrée des eaux, le développement durable, les énergies renouvelables et l’électronique.
The post Hadjar signe à Tunis le programme pilote de mobilité étudiante et enseignante appeared first on .
ALGER- Les participants à la conférence nationale sur la gestion des risques de catastrophes ont salué, au terme de leurs travaux, lundi à Alger, la décision du président de la République, Abdelaziz Bouteflika d’élaborer et de mettre en oeuvre la stratégie nationale de prévention des risques.
« Nous saluons votre décision et directives concernant l’élaboration et la mise en oeuvre de la stratégie nationale de prévention des risques de catastrophes que nous aurons l’honneur d’enrichir dans le cadre d’une approche participative intégrée à même de permettre l’amélioration de la capacité de notre pays à faire face aux différents risques », ont écrit les participants dans leur message adressé au président de la république, lui exprimant, ainsi, leurs remerciements pour ses directives visant « la prise en charge des séquelles des dernières perturbations météorologiques ».
Les participants ont exprimé, dans leur message lu en leur nom par la Directrice générale du Centre d’études de la Ligue arabe, Mme Luna Abu Souireh, leur reconnaissance au chef de l’Etat pour avoir placé sous son haut patronage, les travaux de cette rencontre, et pour son vif intérêt à garantir une meilleure gestion des risques de catastrophes naturelles et une bonne préparation qui précède les mesures de prévention contre ces risques.
Ils se sont félicités, en outre, des efforts du président de la République visant à « donner un fort élan au pays ».
Les participants à cette conférence ont sollicité, dans leur message, le président de la République, pour l’organisation par l’Algérie de la prochaine conférence arabo-africaine sur la réduction des risques de catastrophes naturelles.
The post Gestion des risques de catastrophes-Conférence: la décision du président Bouteflika d’élaborer une stratégie nationale saluée appeared first on .
PARIS- « 1, 2, 3 Kabylie » est un concert qui mettra, le 12 janvier 2019, correspondant à la fête de Yennayer 2969, sous les projecteurs trois légendes de la chanson kabyle Idir, Aït-Menguellet et Allaoua à sur la grande scène parisienne de Bercy.
« Une grande fête qui doit rassembler tous les amoureux de la chanson kabyle, les fans (en famille ou entre amis) et toutes générations confondues », ont annoncé mardi après-midi à Paris les organisateurs dans une conférence de presse à laquelle ont assisté l’auteur-compositeur-interprète Idir et l’artisan d’un nouveau groove Mohamed Allaoua.
L’autre monument de la chanson kabyle n’a pu être à la conférence de presse en raison d’un « ennui de santé sans gravité », a-t-il précisé dans un message audiovisuel, donnant rendez-vous à Bercy.
Le concert, le premier du genre dans cet Everest du spectacle à Paris, est en co-production entre Alliche Productions, Harissa Music et Chek’Tour Events, des promoteurs qui veulent mettre sous les projecteurs, le temps d’une soirée, la richesse et la diversité de la culture algérienne. Comme ils veulent valoriser la culture kabyle par le prisme de ces trois légendes qui « distillent la poésie, l’intelligence, l’amour, la révolte, la langue berbère, la beauté, l’universalité auprès d’un public fidèle ».
C’est là où Idir, qui a exprimé sa joie de participer à ce concert, a souligné que la chanson kabyle « s’accroche beaucoup plus à sa kabylité », préconisant son extension vers l’extérieur pour lui « donner de la visibilité » pour qu’elle s’épanouisse.
« Le message qu’on veut donner à travers ce concert c’est l’union et l’affut du positif que nous portons », a-t-il dit, considérant que l’institution de Yennayer en tant que fête nationale fériée est un « bon pas », mais « il faut désenclaver la chanson kabyle », a-t-il insisté.
C’est dans ce cadre que les promoteurs souhaite, à travers ce concert, « transmettre un message d’amour transcendant les frontières et les peuples » et « faire vivre le patrimoine musical commun dans une même unité de temps et de lieu, à ceux qui sont éloignés de leur culture parfois depuis des générations ».
Le concert, sous forme de show, promet beaucoup, à en croire les organisateurs, sur le plan technique et artistique avec des jeux de lumières et des effets spéciaux « dignes » des artistes.
Tous les ingrédients sont réunis pour la réussite de ce spectacle grandiose et inédit, a-t-on, estimé : le trio d’exception, la journée de Yennayer qui sera fêtée un samedi et la salle Aréna Accord de Bercy,
restera le public qu’on espère nombreux. Pour cela, les organisateurs ont promis que dès mercredi la campagne d’information commencera dans le métro de Paris.
The post « 1, 2, 3 Kabylie », un concert à Bercy animé par le trio Idir, Aït-Menguellet et Allaoua appeared first on .
M. Nadir
La 4ème séance ordinaire du tribunal criminel de 1re instance près la cour d’Oran, s’ouvrira le 4 novembre, pour s’achever le 21 décembre 2018. Au rôle de cette dernière session de l’année, 126 procès dont plus de la moitié concerne le trafic de produits stupéfiants (77 dossiers). On enregistre, également, le retour des affaires de terrorisme avec 6 procès portant, essentiellement, sur l’adhésion à des groupes subversifs ou apologie au terrorisme. Quelque 360 personnes seront au banc des accusés, dont 8 femmes poursuivies dans le cadre de différentes affaires de trafic de drogue ou d’association de malfaiteurs et vol qualifié. Alors qu’elles ont constitué près de la moitié des procès traités lors de la 3ème session qui a pris fin, ce 22 octobre, les affaires d’attentat à la pudeur ou de viol sur mineurs enregistrent un recul significatif avec « seulement » 17 cas enrôlés pour cette dernière session. Deux meurtres (dont un lié au terrorisme) et 6 tentatives de meurtre sont, par ailleurs, au programme de la prochaine session.Pour rappel, lors de la dernière session qui a commencé le 19 septembre avec le procès de l’assassinat de la petite Salsabile, le tribunal criminel de 1re instance a examiné 55 affaires impliquant 123 accusés.
The post Tribunal criminel de 1re instance: Près de 130 affaires au rôle de la 4ème session appeared first on .
Rachid Boutlelis
Des représentants de parents d’élèves de la localité Les Coralès, située à mi-chemin du village de Cap Falcon, se sont rapprochés du Quotidien d’Oran et ce, pour interpeller le wali d’Oran dans le but d’intercéder en leur faveur dans l’inscription d’un projet de réalisation d’une école primaire. Notons que cette localité, qui abrite environ 2 000 âmes, dépendante administrativement de la municipalité de Bousfer, est durement confrontée au déficit d’établissement scolaire. Qu’il vente, qu’il pleuve ou sous un soleil de plomb, les écoliers sont ainsi dans l’obligation de se rendre, assez souvent à pied, à l’unique établissement primaire, surchargé de surcroit, du village de Cap Falcon, à trois kilomètres de leur lieu de résidence. Nos interlocuteurs ont également dénoncé la criarde défaillance du transport scolaire. Les mêmes doléances sont formulées par les représentants des parents d’élèves de la localité mitoyenne des Coralès, en l’occurrence La Madrague, qui compte plus de 2 000 habitants. Les écoliers sont confrontés aux mêmes désagréments pour se rendre à l’unique établissement scolaire de Cap Falcon, dans cette zone qui est confrontée à une démographie galopante. A l’occasion, des parents d’élèves de plusieurs localités de la daïra de Ain El Turck viennent de lancer un appel pressant au wali d’Oran, pour mettre un terme au calvaire de leurs enfants scolarisés à des kilomètres de leurs lieux de résidence. En effet, le sempiternel problème de transport des collégiens et des lycéens, domiciliés dans le village de Cap Falcon et les localités La Madrague et Les Coralès, revient encore, une fois de plus, s’inscrire sur la liste de l’absence de la prise en charge sur ce volet. En effet, le même calvaire est imposé chaque début de l’année scolaire, à l’instar des années précédentes, aux dizaines de collégiens et de lycéens et ce, en raison de l’absence d’un véhicule de transport pour se rendre à leur collège et/ou leur lycée, situés dans la commune d’Aïn El Turck. Qu’il vente, qu’il pleuve ou sous un soleil de plomb, des grappes d’adolescents devront poireauter au bord de la route, reliant le village de Cap Falcon à ladite commune, en attendant le passage d’un taxieur clandestin. Nombre d’entre eux arrivent ainsi en retard à leur collège et/ou leur lycée. Le désolant spectacle, qui s’identifie à travers ces écoliers marchant au bord de la route, entre la localité de la Madrague et le village de Cap Falcon, ne semble plus émouvoir quiconque. Des enfants, âgés entre six et dix ans, dont certains ne sont pas plus haut que de trois pommes, domiciliés à la Madrague, parcourent, quotidiennement, près de trois kilomètres à pied pour se rendre à leur école primaire, sise dans ledit village. Ces innocents ignorent en réalité le danger qui les guette au bord de cet axe routier à grande vitesse, reliant Cap Falcon au site des Andalouses, où l’infraction relative à la conduite en état d’ivresse est très répandue.The post Les Coralès et La Madrague: Les habitants revendiquent une école primaire et le transport scolaire appeared first on .
Hadj Mostefaoui
Alors qu’il n’était au début des années soixante qu’un groupement de tentes de nomades créé par les forces d’occupation durant la guerre de libération pour priver les moudjahidine de leur unique source d’approvisionnement en denrées alimentaires, Kef El-Ahmar a connu depuis une véritable mue avec le statut de chef-lieu de commune. D’innombrables quartiers viabilisés et bénéficiant de toutes les commodités de la vie sont sortis comme par enchantement au beau milieu de la steppe. La position de ce village sur un important axe routier (RN 6) lui a permis de développer les échanges commerciaux avec les autres communes. A vocation foncièrement pastorale, la commune, selon M.Smain Bekri, président de l’APC, s’est résolument tournée vers l’agriculture et les premiers résultats enregistrés dans ce domaine sont très concluants. Des activités agricoles nouvelles tels le maraichage et l’arboriculture côtoient les hangars réservés à l’engraissement du cheptel ovin. Des productions record de pomme de terre et légumes de saison inondent les étals des marchés environnants. Pas moins d’une soixantaine de périmètres verdoyants a été recensée depuis le début de la mise en place des mécanismes d’investissement privé.Cela ne veut pas dire que tout baigne dans l’huile. Le chômage frappe de plein fouet une jeunesse qui ne trouve pas de débouchés sur place, hormis l’élevage ovin. Quelque 300 jeunes chômeurs diplômés ont été recensés. Le filet social constitue pour eux une véritable bouée de sauvetage. Sans le soutien financier de l’Etat qui injecte des sommes colossales dans les caisses de la collectivité, cette dernière aurait touché le fond depuis longtemps. Au titre du PCD /2018, la commune a pu bénéficier d’une enveloppe financière réservée à la concrétisation de 17 projets destinés à améliorer la viabilisation et l’aménagement urbain des 06 quartiers de cette localité et la part du lion de ce programme a été accordée à l’extension du réseau d’assainissement de la ville. Mais en dépit de ces efforts, de nombreux problèmes restent encore insolubles et empoisonnent la vie des habitants de cette région, estimés à plus de 12.0000 âmes. Véritable casse-tête pour les chefs des 06 établissements scolaires, le problème de la surcharge des salles de classe demeure insoluble. On compte plus de 50 élèves par classe au seul CEM prévu pour accueillir 300 élèves, mais qui accueille 800. Le système de la double vacation pose problème. Même cas pour le cycle primaire où la situation n’est guère reluisante pour les élèves qui doivent s’entasser dans le seul et unique internat primaire pour enfants de nomades, prévu pour 80 élèves seulement et qui accueille 180 écoliers.
The post El-Bayadh: Surcharge des classes et double vacation appeared first on .
K. Assia
Un réseau de crime organisé activant dans le faux et usage de faux et escroquerie vient de tomber dans les filets de la brigade spécialisée dans la lutte contre la cybercriminalité de la sûreté de la wilaya d’Oran. Quatre individus âgés entre 30 et 40 ans dont trois ressortissants nigériens et maliens et un algérien faisant l’objet d’un mandat d’arrêt pour des affaires d’escroquerie et d’arnaque ont été neutralisés par les policiers à l’issue d’investigations approfondies menées dans le cadre de la lutte contre le crime organisé.En effet, c’est sur la base de renseignements indiquant qu’un réseau criminel activait à travers dix wilayas du pays via les réseaux sociaux avec des comptes fictifs que l’enquête a été enclenchée. Les mis en cause sont parvenus selon les enquêteurs à extorquer d’importantes sommes d’argents en dinars et en devises à leurs victimes en les convaincant qu’ils étaient issus de familles royales africaines et également des fils de politiciens connus et qu’ils avaient des comptes bancaires gelés à l’étranger. Les recherches diligentées ont permis aux éléments de la brigade de la lutte contre la cybercriminalité ont réussi à identifier les auteurs de ces arnaques et à les arrêter en possession de six smartphones, 30 puces utilisées dans l’escroquerie, deux microportables, une paire de jumelles, deux radios talkie walkie, 200 récépissés de versement et de retrait d’argent, des documents falsifiés pour des identités étrangères et nationales, des relevés bancaires en dinars et en devises et des reçus de comptes bancaires. Les policiers ont récupéré dix millions de centimes, deux permis de conduire et cartes grises d’une moto et d’un véhicule Golf série 6.
Ils ont été présentés au tribunal pour association de malfaiteurs, faux et usage de faux et escroquerie. Ils ont été placés sous mandat de dépôt.
The post Ils se faisaient passer pour des familles royales africaines: Un réseau d’escrocs et de faussaires sur le Net neutralisé appeared first on .
Houari Barti
Surcharge, vétusté des équipements et présence « d’intrus» dans certaines résidences universitaires, sont parmi les principaux problèmes soulevés par des étudiants internes de la wilaya d’Oran, à l’occasion de la rentrée universitaires 2018-2019. Une réalité confirmée par les représentants des Organisations estudiantines actives, à l’instar de l’Union générale des étudiants algériens (UGEA), dont la représentation locale dresse un tableau noir de la situation qui prévaut, particulièrement, dans les résidences, relevant de la direction des uvres universitaire (DOU) d’Es-Senia.Dans un communiqué, transmis hier, à notre rédaction, l’UGEA d’Oran fait état de «situation difficile qui caractérise les résidence «U», relevant de la DOU d’Es-Senia. Une situation marquée par «un problème accru de surcharge» mais aussi par un problème de «vétusté» des blocs, ce qui a minimisé d’avantage les capacités d’accueil de ces résidences, souligne l’organisation estudiantine, avant de s’interroger sur « la véritable destination du budget consacré, par les pouvoirs publics, pour la réhabilitation et l’entretien de ces structures.» Pour illustrer son propos, l’UGEA cite, à titre d’exemple, le cas de la cité Volontaire’ surnommée, note-t-on de même source, par les étudiants Guantanamo’ et où les «opérations d’entretien et de réhabilitation font défaut, depuis plusieurs années.» La représentation locale de l’Union générale des étudiants algériens ne manque pas, par ailleurs, de signaler la présence de ceux qu’elle qualifie «d’intrus» dans la cité. Des résidents qui «n’ont pas la qualité d’étudiants mais qui bénéficient, quand même, de chambres depuis des années.» L’UGEA considère, toutefois, la résidence des filles Belbouri Said’ comme étant la pire de la wilaya, vu les problèmes de gestion qui y prévalent et l’absence de dialogue avec les étudiants et leurs représentants, de la part de l’Administration. Les représentants des étudiants affirment compter saisir le ministère de tutelle, sur ce cas précis. Sollicitée pour donner une réponse aux critiques avancées par les étudiants et leurs représentants, la direction des uvres universitaires d’Es-Senia n’a pas trouvé nécessaire de répondre à notre sollicitation. En effet, nos tentatives de se rapprocher des responsables de cette structure ont, toutes, échoué.
The post Les étudiants tirent la sonnette d’alarme: Les Résidences «U» d’Es-Senia mises à l’index appeared first on .
Hadj Mostefaoui
Ouverte en ce début de semaine, la première session criminelle ordinaire aura à examiner 13 affaires dont deux liées au trafic de stupéfiants, deux autres pour incendie volontaire et destruction de bien d’autrui et enfin une tentative de meurtre. Trente sept prévenus impliqués dans différentes affaires défileront devant la barre tout au long de cette session.The post 17 affaires à la barre appeared first on .
M. Aziza
Les partis de l’opposition ont choisi de boycotter la plénière programmée aujourd’hui pour la validation de la «vacance» du poste du président de l’APN et pour l’élection d’un nouveau président de la chambre basse du Parlement en remplacement de M. Said Bouhedja. S’il faut prendre en compte les divergences relatives au blocage des activités de l’APN par les députés de la coalition et le forcing exercé sur Said Bouhadja, on ne peut que s’attendre à une plénière houleuse.Certains partis de l’opposition ont déjà mis sur la table la possibilité d’organiser une action de protestation commune au sein de l’hémicycle, sans parler autant du boycott d’office de la plénière.
Le député RCD, Sadat Fetta, a affirmé que les groupes parlementaires se concertent déjà pour mener un rassemblement de protestation au sein de l’hémicycle pour dénoncer cette «mascarade».
Faut-il le mentionner, le parti de Mohssen Belabess a, à travers un communiqué, appelé les députés de l’opposition de toutes les formations politiques à une concertation pour justement dénoncer cet état de fait, et ce «pour amplifier le désaveu d’une destitution violente qui s’ajoutera à une multitude de coups de force et de viols de la légalité tout au long de ces deux dernières décennies».
Pour le RCD, les partis de l’opposition sont appelés à dénoncer ce «putsch», en précisant dans le communiqué que «aujourd’hui que les tenants de l’autorité usurpée appellent à une plénière pour valider leur putsch et installer un président factice au perchoir de l’APN, les députés qui ne souscrivent pas à ce fait accompli doivent compter leurs rangs et exprimer leur condamnation».
Les parlementaires du RCD ont dénoncé «cette mise à nu en règle des pratiques d’un système politique réduit à gérer ses contradictions et ses urgences sur la scène publique est surtout un motif d’inquiétude de voir la précipitation de la déliquescence d’institutions en l’absence de recours pour la pérennité de L’État». Et de conclure : «le président légal de l’Assemblée, contraint à la désertion de l’hémicycle parlementaire, ne peut rester longtemps scotché à une hypothétique réponse d’une missive qu’il aurait adressée au chef de l’État», lit-on dans le communiqué.
Nasser Hamdadouche, chef du groupe parlementaire du MSP, a affirmé pour sa part que le bureau de son parti est en réunion pour décider des actions à mener. Sur l’idée d’aller vers une démission collective, Abderazak Makri s’est déjà exprimé sur cette question en écartant cette hypothèse. Il a plaidé sur sa page Facebook pour la poursuite de la résistance, au lieu de quitter le Parlement afin de protester contre le putsch perpétré par les partis de la majorité contre Saïd Bouhadja.
Le FFS devrait à son tour rendre public aujourd’hui même (mercredi) un communiqué dénonçant ce coup de force contre le président de l’APN.
The post Mouad Bouchareb candidat du FLN et du RND à la tête de l’APN: Boycott et protestation au menu de l’opposition appeared first on .
C’est donc aujourd’hui que sera connu le nom du nouveau président de l’Assemblée populaire nationale (APN).
En effet, sur convocation du bureau de l’APN, une séance plénière est prévue ce matin avec pour principal point à l’ordre du jour l’élection d’un nouveau président en remplacement de Saïd Bouhadja. Mais les députés devraient, au préalable, confirmer la vacance du poste de président de l’APN comme cela a été constaté auparavant par le bureau de l’Assemblée et la commission des affaires juridiques, administratives et des libertés. Il est quasi certain que le nouveau président sera issu des rangs du parti majoritaire à l’assemblée, à savoir le FLN. Si beaucoup de noms ont circulé ces derniers jours hier c’est celui du chef du groupe parlementaire du vieux parti,
Mouad Boucharab, qui est revenu avec insistance. Ce député élu dans la circonscription deSétif, et qui en est à son deuxième mandat,appartient, comme aiment à le dire ses pairs, à la nouvelle génération et ce contrairement à l’hadj Laib, député de Batna, dont le nom a aussi été avancé comme probable successeur de Bouhadja et qui présente la caractéristique d’avoir un âge avancé. Toutefois, à l’heure ou nous mettons sous presse, il n’y a aucune confirmation officielle sur le choix de Mouad Boucharab. Mais des députés affiliés au groupe parlementaire du FLN ont déclaré que des consignes ont été données pour voter en faveur de ce député. D’ailleurs le secrétaire général du parti, Djamal Ould Abbès, s’est réuni hier en fin d’après-midi avec les membres du bureau politique, les vice-présidents de l’APN et les présidents des commissions permanentes de l’Assemblée affiliés au parti.
Avec l’élection aujourd’hui d’un nouveau président les partis de la majorité parlementaire espèrent ainsi tourner la page de cette crise qui a perduré durant un peu plus de trois semaines. Carla résistance de Saïd Bouhadja, qui n’a pas du tout présenté sa démission refusant ainsi toute injonction, a compliqué davantage la situation. Il a alors fallu recourir aux gros moyens pour transcender cette situation. En effet face au refus deBouhadja de jeter l‘éponge, en présentant sa démission, ses adversaires ont dû recourir aux moyens très contestés pour arriver à leurs fins. Ils ont tout d’abord cadenassé les portes de l’Assemblée ainsi que le bureau de Saïd Bouhadja pour l’empêcher d’y accéder.Dans un deuxième temps ils ont réuni le bureau de l’Assemblée pour constater la vacance du poste de président.
Une décision vite entérinée par la commission des affaires juridiques. Ensuite le gel des activités de l’Assemblée a été levé par le bureau de l’assemblée qui a par la suite convoqué, pour aujourd’hui, une séance plénière élective. Pendant ce temps Saïd Bouhadja n’a eu de cesse de dire que toute l’entreprise est illégale et anticonstitutionnelle et qu’il demeure le seul président légitime. Un avis que partagent les groupes parlementaires de l’opposition qui, ne désirant pas cautionner cette démarche jugée illégale, vont boycotter la séance plénière d’aujourd’hui.
The post Il sera élu aujourd’hui Qui succédera à Bouhadja ? appeared first on .
Moncef Wafi
Un dispositif durable de remédiation pédagogique aux difficultés d’apprentissage ou, plus communément, des cours de rattrapage, pour les élèves en souffrance sera mis en place officiellement. La circulaire 247/002, destinée aux directeurs de l’Education (DE), aux inspecteurs de l’Enseignement primaire et moyen, ainsi qu’aux directeurs des CEM, et publiée par la direction de l’Enseignement fondamental, au ministère de l’Education nationale stipule que ce dispositif devra répondre aux besoins identifiés chez l’élève lors des différents types d’évaluation. Une circulaire, produit d’un travail mené par des experts, durant plus de quatre années et qui avait prouvé son impérieuse nécessité en vue de remédier au déficit relevé dans l’acquisition scientifique et pédagogique des élèves, avait expliqué la ministre de l’Education nationale, à partir d’El Oued. Ces cours de soutien concernent les élèves en difficulté pédagogique, notamment la 1re et 2ème années primaire ainsi que la 1re année moyenne (AM).Parmi les mesures phares prises dans ce sens, figure l’élaboration d’un calendrier fixant les horaires de ces cours en dehors des créneaux officiels, à savoir les jours de semaine y compris les mardis après-midi et les samedis. Nouria Benghabrit avait précisé que cette directive n’est pas obligatoire, le choix de son application revenant à l’enseignant. Ce caractère de bénévolat a, également, été rappelé par l’inspecteur en charge de l’Enseignement fondamental, Kacem Djahlan, qui a déclaré à la Radio nationale que ces «cours ne sont pas obligatoires». «Ces séances pédagogiques, décidées par le ministère, en faveur des élèves qui présentent des lacunes dans les matières essentielles (mathématiques, arabe, français, physique), ne sont pas obligatoires, mais l’enseignant, de par sa vocation, est tenu de les assurer», a-t-il indiqué avec, comme préalable, une «concertation entre le directeur de l’établissement, les enseignants, les élèves et les parents d’élèves». Ces précisions sont une réponse à la levée de boucliers des syndicats de l’Education qui ont été unanimes à dénoncer une décision unilatérale de la part de la tutelle. Ainsi, le secrétaire général du Syndicat national autonome des professeurs d’Enseignement secondaire (SNAPEP), Mohamed Hamidat affirme que cette circulaire pourrait priver, aussi bien, les professeurs du primaire que les chefs d’établissements des week-ends de repos «consacrés par la loi», arguant également que le volume horaire actuel dispensé dans les écoles primaires ne correspond pas aux capacités intellectuelles de l’élève et pèse sur le professeur qui se retrouve à enseigner entre 27 et 30 heures, par semaine. En substance, le contenu de la circulaire nuit à l’élève mais aussi au professeur, a-t-il ajouté. De son côté, le SG du Syndicat autonome des travailleurs de l’Education et de la Formation (SATEF), Boualem Amoura, s’est dit étonné de cette décision, précisant que la remédiation ne requiert pas une mobilisation exceptionnelle du professeur ni des autres éléments de la famille éducative.
Dans ce contexte, il a tenu à connaître les raisons d’une discrimination salariale puisque les cours de soutien bénéficient, seulement, aux professeurs d’Enseignement secondaire qui perçoivent des primes en la matière. Le chargé de l’Information au Conseil national autonome du personnel enseignant, du secteur ternaire (CNAPEST), Messaoud Boudiba, a affiché son désaccord vis-à-vis de cette décision qu’il a qualifiée «d’unilatérale». L’Union nationale du personnel de l’Education et de la Formation (UNPEF), affiliée à l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) a fait valoir la réglementation en vigueur concernant les fins de semaines, citant, preuve à l’appui, le décret exécutif n° 97-59, fixant l’aménagement et la répartition des horaires de travail, dans les institutions et administrations publiques. Idir Achour, le SG du Conseil des enseignants des lycées d’Algérie (CELA), estime, pour sa part, que cette décision n’a, en réalité, aucun intérêt pédagogique pour les élèves qui ont, plutôt, besoin d’un allégement du programme et de l’emploi du temps. Le manque de temps pour les loisirs est, selon ses propos, la cause de l’échec scolaire.
The post Les cours de soutien ne sont pas obligatoires: Benghabrit joue l’apaisement appeared first on .
Farid Haddouche
Des retraités, des radiés et autres invalides de l’Armée nationale populaire (ANP) de la wilaya de Bouira ont tenu, hier, un rassemblement sur l’esplanade de la maison de la culture Ali-Zamoum. Ils étaient nombreux à participer à cette action de protestation devant le siège de la maison de la culture qui jouxte celui de la wilaya, afin de réitérer leurs revendications dont les principales sont la prise en charge médicale pour les dommages moraux et physiques causés durant les années passées dans les rangs de l’ANP, l’accès prioritaire à l’emploi, au logement et à la régularisation de leur situation avec la sécurité sociale. «Nous nous sentons négligés, alors que nous étions fidèles aux valeurs de la République et à notre institution militaire que nous respecterons toujours», ont-ils déclaré. Et comme ils s’estiment lésés dans leurs droits les plus essentiels, ils sont venus hier pour rappeler aux responsables qu’ils doivent prendre en charge leurs doléances. Par ailleurs, certains bénéficiaires de crédits dans le cadre du dispositif de l’ANSEJ ont été empêchés d’organiser un rassemblement pour exiger l’annulation des poursuites judiciaires à leur encontre pour non-remboursement de dettes.The post Bouira: Rassemblement de retraités de l’ANP appeared first on .
D. B.
L’un des plus grands sites de l’habitat précaire, le bidonville de Sidi El Bachir sera totalement éradiqué le mois prochain, c’est ce qu’a annoncé lundi le wali d’Oran. Ce dernier a indiqué que l’opération de démolition des constructions sera entamée juste parès le relogement de quelque 1600 familles le 1er novembre prochain. Le wali a souligné qu’un important portefeuille foncier sera récupéré et consacré à la projection d’équipements d’utilité publique. A ce titre, d’intenses préparatifs sont menés depuis plusieurs jours en vue du relogement des familles de ce bidonville. Cette opération, l’une des plus importantes pour ce site d’habitat précaire, sera concrétisée le mois prochain. La wilaya d’Oran a connu une grande dynamique dans la lutte contre l’habitat précaire notamment ces dernières années. Dans ce cadre, près de 35.000 familles ont été relogées depuis juin 2014 à Oran. Ces opérations ont permis d’éradiquer 75 % des bidonvilles repartis sur la wilaya dont cinq bidonvilles ont été rasés suite au relogement des familles. Ceux-ci étaient implantés à Cheklaoua, Le Virage, Hayat Regency et Bab El Hamra, entre autres. Ces actions ont permis de récupérer plusieurs assiettes foncières qui seront destinées à la concrétisation de projets d’investissements et d’utilité publique. Aussi dans un passé récent, le wali d’Oran a indiqué que la wilaya d’Oran dispose de 25.000 logements sociaux en cours de construction et que le relogement se fera au fur et à mesure de la réception des nouvelles habitations. Cette offre sera attribuée aux demandeurs de ce type de logements par les différentes commissions locales chargées de l’étude des dossiers. Le wali a tenu rassurer les citoyens que ses services ne ménagent aucun effort pour satisfaire leurs besoins en logements. Il a aussi affirmé qu’il ne permettra aucun dépassement ou tentative de bénéficier de logement de manière frauduleuse et ce quelle que soit son origine. Il a aussi lancé un appel aux citoyens pour contribuer au bon déroulement des opérations de relogement pour barrer la route aux opportunistes. Des opérations de relogement seront programmées au fur et à mesure et en fonction de la réception des logements et de l’achèvement des travaux de VRD. Revenant au bilan des deux dernières décennies, selon les chiffres de la direction de logements, quelque 98.000 logements tous programmes confondus ont été réceptionnés et attribués dans la wilaya d’Oran durant la période allant de 1999 à 2017. Ce quota d’habitat réparti sur les quinquennats précédents comporte des logements publics locatifs (LPL), sociaux participatifs (LSP), des logements promotionnels aidés (LPA). Concernant le LPA, et pour parer à la forte demande pour ce type de logement, qui dépasse les 33.000, un quota supplémentaire devrait être accordé à la wilaya d’Oran par la tutelle. Ce nouveau quota devrait atténuer un tant soit peu la lourde tâche des services concernés. Ce nouveau programme qui sera accordé à la wilaya fait suite à la demande adressée par la wilaya d’Oran à la tutelle, faisant état de la forte demande pour cette formule au niveau de la wilaya. A l’instar du premier quota de 2.000 logements dont a bénéficié la wilaya, ce nouveau quota sera réparti sur les neuf daïras, affirme-t-on. Il y a quelques semaines, le wali d’Oran Mouloud Chérifi a annoncé sur les ondes de la radio locale qu’un nouveau quota de LPA sera inscrit au profit de la wilaya. Selon le premier responsable de l’exécutif, « vu l’intérêt que porte le citoyen pour cette formule, une demande a été formulé à la tutelle pour consacrer un autre quota pour Oran. La procédure est en bonne voie. », avait-il indiqué.The post Un des plus grands sites de l’habitat précaire à Oran: Le bidonville de Sidi El Bachir sera totalement éradiqué le mois prochain appeared first on .
M. Benboua
Un mois après la publication de l’enquête menée par le média britannique, la BBC, sur le phénomène de la corruption et les matches truqués dans le championnat algérien, voilà que le très renommé magazine français France-Football se met de la partie en publiant hier dans les pages de son quotidien sportif les détails de l’enquête de la BBC, sous le titre «Bienvenue au pays de la corruption». Déjà gangrené par de nombreux problèmes d’ordre sportifs, financiers et parfois même identitaires, le football algérien connait visiblement une période très difficile. En effet, France-Football estime qu’il est très facile de truquer les résultats d’un match du championnat Ligue 1. Et les tarifs sont aussi variés que les résultats escomptés. Ainsi, pou une victoire lors d’un match disputé à l’extérieur, il suffit de verser l’équivalent de 58.000 euros. Un match nul est négocié à partir de 14.000 euros, alors qu’un penalty se vend entre 7 et 14.000 euros par les organisateurs des matchs. Selon le média français, même en Ligue 2 il existe un barème des prix. Des révélations qui appuient les conclusions de l’enquête menée par la BBC pendant trois ans, mais qui n’apportent aucun témoignage concret ou objectif.D’ailleurs, France-Football indique avoir eu un accès exclusif aux documents sur lesquels s’est basée la radio publique britannique pour faire son travail. Le média français relève également que «les joueurs et les arbitres, eux, sont des proies faciles», tout en visant directement les présidents de clubs : «Le plus choquant n’est peut-être pas le nombre de matches suspectés d’avoir été arrangés, mais le fait que tous les acteurs de ce drame savent que ces arrangements ne relèvent pas de la fiction, et qu’on en parle même ouvertement entre fans et dans les médias locaux sans que les autorités fassent autre chose que s’en émouvoir », peut-on lire sur les pages du magazine français qui évoque une source qui soutient que «tous les présidents de clubs sont des voleurs et des escrocs qui se servent de leur position pour faire prospérer leurs affaires». Il fait remarquer que la masse importante d’argent qui circule dans les sphères footballistiques algériennes n’a pas rendu pour autant le football local plus riche bien qu’il ait pu embrasser le professionnalisme en 2010.
Par ailleurs, France-Football s’est attaquée directement au club algérois de l’USMA l’accusant indirectement de blanchiment d’argent. «Tout au plus sait-on que l’USM Alger, le mieux loti des seize clubs de l’élite, dépensa 6,5 millions d’euros en 2015, tandis qu’on estime le budget des formations les plus modestes au cinquième environ de cette somme», fait encore remarquer France-Football.
Et pourtant, la situation financière est à ce point critique, rappelle le journal français, qu’en juillet 2018 quinze des 32 clubs pros se virent infliger une interdiction de recrutement, leur endettement ayant dépassé le plafond de 10 millions de dinars mis en place par la LFP.
Même le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, n’a pas été épargné par le média français qui lui a consacré un article complet sous le titre: «Le président Zetchi dans la tourmente». Un acharnement sans précédent qui cache certainement des motivations autres que sportives. En tous cas, dans la lignée de ses prétentions, France-Football n’a pas manqué de préciser que toutes ces informations ont été remises à la FIFA, laquelle a saisi sa commission d’éthique et sa commission de discipline. Voilà qui risque tout simplement de plonger le football algérien dans l’abîme.
The post Corruption dans le football algérien: Le magazine «France-Football» met son grain de sel appeared first on .
Kamel Mohamed
Les dernières sorties médiatiques du porte-parole de la JS Saoura, Mohamed Zerouati et du directeur général du MC Alger, Kamel Kaci-Said, ne sont pas faites pour calmer les esprits et lutter contre la violence dans les stades.Au contraire, ce sont des sorties qui vont dans le sens d’attiser la violence et d’inciter les supporters à ne pas observer le fair-play.
Le porte-parole de la JSS a défié la FAF et son président Kheireddine Zetchi, allant jusqu’à déclarer dans une conférence de presse que l’actuelle fédération est «illégitime». Pour Zeroutai, «l’élection de Zetchi et de son bureau a été entachée d’irrégularité».
Zerouati qui avait fait partie de la commission d’organisation des élections à la FAF quand Zetchi a été «élu», a révélé qu’il dispose «de preuves concrètes concernant l’illégitimité de l’actuelle FAF». Auparavant, Zerouati avait directement accusé le frère de Zetchi qui est président du Paradou AC d’arranger les résultats des matches avec la complicité des arbitres. Zerouati a reproché à la FAF de l’avoir sanctionné sans l’auditionner.
En effet, la commission d’éthique de la FAF a prononcé une sanction de six mois de suspension contre Zerouati, alors qu’elle devrait le convoquer et entendre ses arguments avant de lui infliger une sanction. Cela n’a pas été le cas, ce qui exilique l’acharnement de Zerouati contre la FAF et son président.
Toutefois, des indiscrétions font état de la volonté du président de la FAF de sanctionner Zerouati dans le but de ne pas lui permettre d’assister à l’assemblée générale extraordinaire de la fédération samedi prochain, laquelle sera consacrée à l’approbation par les membres de l’AG du projet de réalisation des académies de la FAF et de l’annulation du projet de l’hôtel de la fédération.
La présence de Zerouati pourrait perturber le déroulement de l’AG de la FAF, a-t-on révélé d’où sa sanction de toutes les activités en relation avec le football pour une durée de six mois. Il faut aussi relever que le conflit entre Zerouati et Zetchi tend à attiser la violence notamment dans les régions du Sud, qui se sentent souvent marginalisées.
En plus de Zerouati, le directeur général du MCA vient mettre du sien quand il a appelé la FAF et la LFP à prendre des «sanctions sévères» contre le CA Bordj Bou Arréridj. Une déclaration qui accentue la violence et instaure une animosité entre les supporters du MCA et du CABBA, sachant que les énergumènes ayant envahi le stade à la fin du match CABBA-MCA (0-1), ne représentent pas les supporters de Bordj.
Les déclarations de Kaci-Said contrastent avec celles du président du CABBA, Anis Benhamadi qui a appelé à calmer les esprits, suggérant d’organiser un match amical et de gala entre le MCA et le CABBA dans le but d’éviter de semer la haine et l’animosité entre les galeries des deux clubs.
The post Violence dans les stades: Zerouati s’acharne sur la FAF appeared first on .
M. Zeggai
« Il n’y a ni mauvaises herbes, ni mauvais hommes. Il n’y a que des mauvais cultivateurs ». Ce proverbe sied bien à la situation accablante du football de l’Ouest et celui d’Oran particulièrement, où n’importe qui fait n’importe quoi.En l’absence d’un véritable projet sportif, les clubs de l’Ouest sont à la dérive et il ne serait pas étonnant de voir l’élite algérienne dans le futur sans aucun représentant de l’Ouest. Car, il y a des signes qui ne trompent pas en football. L’anarchie a « tué » le sport-roi de l’Oranie et envoyé au tapis de nombreux clubs, à l’image du MCO, l’ASMO, l’USMBA, le WAT, l’ESM, la JSMT, le RCR, le MCS, l’OMA, le SCMO, l’USMO, le WAM, le CRT, le GCM, le SAM, le CCS et la JSMT, sans oublier le RCGO et le RCO. La faute incombe à ces dirigeants qui ont, par leur comportement et leur incompétence, instauré un climat de pourrissement qui a fait fuir les compétences. L’exode des meilleurs talents vers d’autres cieux est également l’une des principales raisons de cet échec des clubs de l’Ouest, où la formation et le travail de base ne semblent pas intéresser grand monde aujourd’hui.
Où sont donc passés ces clubs formateurs, dont la réputation a dépassé les frontières et qui ont souvent alimenté les grandes équipes algériennes ? Par les temps qui coulent, il faut reconnaitre que seul le Paradou AC fait figure d’exception alors que son exemple devrait être suivi par des clubs bien plus nantis sur le plan financier.
MCO-ASMO-SCMO: Des promesses seulement !
Le grand club phare de l’Ouest, le Mouloudia d’Oran, est en train de traverser une mauvaise période qui risque de se répercuter sur son avenir. Jadis respecté et unanimement redouté, le MCO a perdu de sa grandeur pour devenir un centre d’intérêts personnels. Le Mouloudia d’Oran prétendu professionnel est géré sans conseil d’administration, avec des personnes étrangères au club et qui imposent des changements ici et là. Un constat amer et incompréhensible pour un club comme le MCO, représentant la deuxième ville d’Algérie. Le président Belhadj Ahmed « Baba » fait dans le bricolage en prenant des décisions irréfléchies qui s’avèrent en fin de compte dans l’intérêt de ses « conseillers » et nullement dans celui du club. Quant aux autorités, elles conditionnent leur aide par la concrétisation de bons résultats. Or, les clubs souffrent du manque de moyens financiers, alors que, par ailleurs, les subventions, peu conséquentes par rapport avec les dépenses et les charges, ne sont virées dans leurs comptes bancaires que plusieurs mois après le coup d’envoi des championnats. C’est une véritable quadrature du cercle. On précisera que plusieurs clubs d’autres wilayas du pays ont bénéficié, soit de parrainages de sociétés étatiques, soit d’aides conséquentes, ce qui provoque la rancune des dirigeants des clubs de l’Ouest, qui s’estiment lésés par rapport à leurs confrères.
Force est de reconnaitre qu’ils n’ont pas tort. Pour sa part, le MCO est devenu aujourd’hui otage de certains joueurs qui se distinguent par de graves fais d’indiscipline, des dirigeants et autres personnes et ce, en dépit de l’engouement considérable qu’il suscite. Ce ne sont pas les derniers remaniements opérés au sein de l’équipe professionnelle qui sortiront le Mouloudia de ce marasme. Au contraire. Ceci est également valable pour l’ASMO qui a du mal à retrouver l’élite comme le souhaitent ses fans et les autorités locales. A l’ASMO, on est passé du rêve de l’accession au spectre de la relégation. Une prise de conscience est plus que nécessaire, et les dirigeants asémistes sont dans l’obligation de tenir leurs promesses, ce qui leur facilitera la tâche pour trouver d’éventuelles ressources financières. Aussi, l’éclaircie n’est pas pour demain pour le Sporting de Medioni qui patauge dans l’anonymat les solutions faisant défaut pour une meilleure gestion.
A Arzew, on peut dire que l’OMA n’est pas à la place qui devrait être la sienne. Là encore, ce sont des conflits internes interminables qui pénalisent le club. On ne saurait oublier le WAT qui, après a voir figuré parmi l’élite durant de nombreuses saisons, en remportant deux coupes d’Algérie et une Coupe Arabe, se trouve en Ligue 2. Est-ce logique ? Nous ne croyons pas.
GCM-SAM-IST-CCS: La région de Mascara en perdition
Le football dans la wilaya de Mascara, où la médiocrité a pris le pas sur la compétence, est en train de disparaitre avec cette nouvelle race de dirigeants. Où sont passés les HB El-Bordj, le NC Maoussa, l’IST, le CCS des Benkada, Benmelih, Benhalima, le SAM des Timizert, Salguia et Hachouti pour ne citer que ces derniers? Quant au GC Mascara, il vit actuellement l’une de ses périodes les plus difficiles depuis sa création, où les mêmes personnes se sont accaparées du pouvoir dans la confusion générale, les dirigeants sincères refusant d’entrer dans ces batailles. Au Ghali, la guerre des clans, aveuglés par l’intérêt personnel, mène le club vers un gouffre où il lui sera très difficile de sortir.
Les autorités locales doivent intervenir pour faire respecter les critères, conformément à la réglementation qui existe bel et bien.
USMBA-RCR-WAM: Dans une véritable impasse
A ce rythme, ces trois clubs ne sont pas près de sortir de l’impasse dans laquelle ils se sont fourvoyés. L’USMBA paye aujourd’hui les dérives de la gestion des années précédentes ayant mis le club dans une situation compliquée, avec cette histoire de dettes évaluée à coups de milliards. Du statut de vainqueur de la coupe d’Algérie, le club est devenu une équipe médiocre donnant les pires appréhensions à ses fans. Les erreurs dans la gestion techniques et l’instabilité de l’équipe dirigeante risquent de déboucher sur l’irréparable pour le team de la Mekerra.
Comme quoi, l’USMBA est en train de récolter ce que ses responsables ont a semé durant l’intersaison. Quant au RCR, le président Mohamed Hamri gère dans la facilité, et semble être influencé par certains proches qui, selon notre source, sont à l’origine du départ de l’entraineur Cherif Hadjar. Ces personnes- là continuent à exiger le recrutement de leurs « joueurs », moyennant des commissions, sans prendre en considération la notion de l’équilibre technique du groupe. Le WAM, lui, est dans le flou depuis le départ du président Kaid Omar. Cette année, le Wided de Mostaganem a failli déclarer forfait, n’était-ce l’intervention de quelques bonnes volontés qui ont réussi à raviver la flamme et préparer l’équipe pour prendre part au championnat de la DNA. En somme, aujourd’hui, les clubs Oranais n’arrivent plus à se mettre au même diapason des autres formations du pays et, plus grave encore, ne suscitent aucun intérêt de la part des instances, tous paliers confondus, au point de perdre leur crédibilité. Est-il normal que le MCO, l’ASMO, le SCMO, l’USMO et le RCGO, jadis pourvoyeurs de talents, soient négligés en matière de sponsoring et de partenariat ? Heureusement qu’il y a des souvenirs que l’on ne saurait oublier et des moments qu’on ne peut effacer de la mémoire, tant les joies procurées par les clubs de l’Ouest demeurent vivaces. Mais, après tout, ce ne sont que des souvenirs, alors que la réalité actuelle est très amère, il faut en convenir.
Des entraves de taille pour la LWF Oran
Plus grave encore reste la situation qui prévaut actuellement en bas de la pyramide du football à Oran. En effet, plusieurs clubs évoluant dans le championnat de la wilaya d’Oran ne se sont pas engagés pour la prochaine édition en raison de leur incapacité à s’acquitter des droits d’engagement. La Ligue de la wilaya d’Oran a pourtant accordé plusieurs facilités en retardant à plusieurs reprises le délai pour le paiement des droits d’engagement pour permettre aux clubs retardataires de trouver des solutions à leurs problèmes. Mais en vain. En conséquence, le championnat de la wilaya d’Oran devrait se jouer avec 18 formations, réparties sur deux groupes de sept équipes chacun, selon un responsable de la LWFO. Et ceci est en contradiction flagrante avec le premier objectif de la FAF et des ligues tous paliers confondus, qui demeure le développement du football dans toutes les régions du pays, mêmes celles qui sont enclavées, afin d’éviter les maux sociaux à notre jeunesse.
Outre ce problème financier, il existe une autre entrave de taille pour les clubs de ce palier, c’est le manque criard en matière d’infrastructures. Selon le même responsable, les efforts consentis par sa structure pour le développement du sport-roi dans la totalité des communes de la capitale de l’Ouest « ne sont toujours pas récompensés d’une manière totale ». Cette situation contraste par rapport aux objectifs en matière de développement du football dans la région. C’est là où devront intervenir les autorités locales pour donner plus de moyens aux formations inférieures pour une meilleure évolution. Ne dit-on pas que c’est à travers la quantité qu’on peut obtenir la qualité ?
The post Football à l’Ouest: De plus en plus malade appeared first on .
Adjal Lahouari
Aujourd’hui, il faut con sidérerque deux chocs émergent du programme. Il s’agit de Dortmund-Atlético et Paris SG-Naples. Les Allemands du Borussia et les Espagnols, dominateurs dans leur groupe, vont régler une question de suprématie, car ayant relégué les deux autres clubs, le FC Bruges et l’AS Monaco, au rôle de faire-valoir. La conjoncture actuelle est porteuse de grosses promesses, car il s’agit de deux équipes talentueuses, même si leurs styles de jeu sont différents. Repris en mains par le perspicace entraîneur Suisse Lucien Favre, le Borussia est en tête en Bundesliga, avec une attaque prolifique où brille l’international espagnol Paco Alcacer. Tout va bien pour Lucien Favre dont les conceptions vont subir un test grandeur nature face à l’équipe de Diego Simeone, très à l’aise en défense avec, probablement, le meilleur gardien de but de la planète, le Slovène Oblak, excelle dans les contres et pourrait surprendre les Allemands. En tout cas, c’est un choc à voir absolument.A Paris, le Parc des Princes s’apprête à vibrer avec son équipe emmenée par le duo Neymar-Mappé. Battus à Liverpool, les Parisiens ont passé six buts à l’Etoile Rouge, inférieure aux trois autres pensionnaires de ce groupe. Les Parisiens sont dans l’obligation de battre Naples pour s’accaparer la première place. Aussi, on devrait assister à un duel attaque Paris SG – défense du Napoli, qui n’a encaissé aucun but. Avec Carlo Ancelloti à la barre technique, les Napolitains ont des arguments à faire valoir, avec une défense centrale expérimentée composé par Albiol et Koulibaly, un stratège au milieu, le slovaque Hamsik et une division offensive efficace où brillent Insigne, Milik, Calejon et peut-être l’Algérien Adam Ounas. De son côté, Liverpool part largement favori face à l’Etoile Rouge, bien que les coéquipiers de Mohamed Salah nous ont paru fébriles ce week-end en championnat.
On suivra avec attention le match Barcelone-Inter, plus équilibré qu’on ne croit, du fait de l’absence du stratège et buteur Messi.
En tête avec six points, les deux clubs vont s’efforcer de rafler la mise avant le retour à Milan. Objectivement, les Catalans, avec leur entraîneur frileux Valverde, sont au pied du mur, car ce match est très important étant donné les absences au sein d’une défense poreuse où seul le gardien Ter Stegen est exempt de reproches. Dans ce même groupe, distancés, les Hollandais du PSV et les Anglais de Tottenham vont se livrer une bataille sans merci pour rattraper une partie de leur retard, et tout pronostic serait aléatoire car tout peut arriver au Philips Stadium d’Eindhoven. Du côté de Monaco, à notre avis, les dirigeants ont commis un impair de taille en limogeant Leonardo Jardin, qui en quatre saisons, a accompli de la bonne besogne, étant à l’origine de la renaissance du club de la Principauté. A Monaco, il est certain qu’on a mélangé le sportif avec les affaires juteuses des transferts. Et les conséquences n’ont pas tardé à apparaître. Pour tenter d’arrêter cette hémorragie, les responsables ont engagé Thierry Henry qui n’a pas de baguette magique. En Ligue 1, Monaco est sous la menace de la relégation, tandis qu’en Ligue des champions, il n’a rien à espérer. A Bruges, il y a fort à parier qu’une autre défaite leur est promise. Donc, aucun espoir d’accrocher la troisième place, le strapontin des équipes de seconde zone. Par ailleurs, on suivra avec attention le groupe où une furieuse bagarre est engagée entre trois équipes.
Les Portugais de Porto semblent bien placés pour tirer leur épingle du jeu en rendant visite au Lokomotiv Moscou, dont l’attaque, contrairement aux prévisions, n’a pas encore ouvert son compteur. Une opportunité pour les coéquipiers de Brahimi de conforter leur première place.
En effet, les allemands de Schalke où évolue l’Algérien Nabil Bentaleb, auront fort à faire contre l’équipe turque de Galatasaray de Sofiane Feghouli. Ce sera entre les deux internationaux algériens un match dans le match, étant donné leurs positions respectives sur le terrain.
Une curiosité pour les fans de l’équipe nationale, déçus par la prestation de ces internationaux il ya quelques jours au Bénin.
The post Ligue des champions d’Europe: Deux chocs haut de gamme à Dordmund et Paris appeared first on .
par A. Ouélaa
Les douaniers du Poste frontalier d’Oum Théboul viennent de déjouer, dans la soirée de lundi, une tentative d’introduction frauduleuse d’une importante somme de monnaie tunisienne (96 millions de dinars tunisiens), ainsi qu’une quantité appréciable d’accessoires pour téléphones portables. Le véhicule, une Mercedes, appartenant à un ressortissant tunisien a été fouillé de fond en comble et c’est à l’intérieur des garnitures du véhicule que l’argent et les accessoires pour téléphones portables ont été trouvés.
Cette somme importante de dinars tunisiens, introduite frauduleusement sur le territoire algérien, est destinée à l’achat de ce qui peut être écoulé, plus cher, en Tunisie. Ce flot d’argent, explique un peu la baisse de l’argent tunisien face au dinar algérien qui retrouve des couleurs chez les cambistes qui vendent ces jours-ci les 100 DT (dinars tunisiens) à 6.200 DA, alors qu’il y a 3 mois, les 100 DT étaient cédés contre 7.000 DA.
The post El Tarf: 96 millions de dinars tunisiens saisis à la frontière appeared first on .