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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 12 hours 20 min ago

PSG: Alves a repris la course

Tue, 09/11/2018 - 16:23

Victime d’une entorse du genou droit, lors de la finale de la Coupe de France, Daniel Alves (35 ans) est sur le retour. Le latéral droit, qui a été opéré le 5 juin, a repris la course. Il pourrait retrouver la compétition courant le mois de novembre rapporte Topmercato.com.

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Messahel: “Rien ne peut affecter la relation entre l’Algérie et l’Irak”

Tue, 09/11/2018 - 16:15

Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel a  affirmé mardi que “rien ne pouvait affecter les excellentes relations entre l’Algérie et l’Irak”.

Le ministère des Affaires étrangères a indiqué, mardi, dans un communiqué que le chef de la diplomatie algérienne, Abdelkader Messahel s’était entretenu avec son homologue irakien, Ibrahim Al-Jaafari, en marge de la 150e session ordinaire du Conseil de la Ligue des Etats arabes.

Les deux ministres ont loué la profondeur des relations historiques entre Alger et Bagdad, a indiqué la même source, ajoutant que ” Ibrahim Al-Jaafari a invité Abdelkader Messahel à se rendre en Irak”.

De son côté, Messahel a salué l’invitation de son homologue irakien, affirmant que cette visite permettra de renforcer les excellentes relations qu’entretiennent les deux pays.

Pour le chef de la diplomatie algérienne, cette invitation est de nature à barrer la route à ceux qui tentent de saborder les relations liant les deux pays.

Cette invitation intervient dans un contexte marqué par une tension suscitée ,par les slogans pro-Saddam scandés par les supporters de l’USM Alger, lors du match retour des 32e de finale de la Coupe arabe face aux  Forces aériennes.

Rappelons que la partie s’était arrêtée à la 70e après que le staff et les joueurs du club irakien ont regagné les vestiaires en guise de contestation contre les cris des supporters usmistes.

Echoroukonline

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Auteur, compositeur et parolier du genre chaâbi Karim Aouidat: la magie de l’attraction

Tue, 09/11/2018 - 15:21

Tant que la musique populaire algérienne, appelée «le chaâbi» continue d’attirer de nouvelles générations, elle a encore de beaux jours devant elle. Tous ses interprètes sont en train d’oeuvrer pour maintenir très haut la barre de ce genre musical, qui se veut celui de la constance, de la convivialité et des simples.

Parmi ceux qui veillent à suivre les pas et traces de leurs aînés, figure Karim Aouidat, fils de Bab El Oued, l’ex-quartier populaire européen d’avant l’indépendance, le pendant du «quartier musulman», la Casbah (Basse-Casbah). Il s’est frayé un chemin qui le dirige tout droit vers le rang des grands. Pas évident d’y parvenir quand on se remémore les noms des «monstres sacrés» qui ont marqué le genre chaâbi de leurs empreintes. Cependant, ceux qui suivent de près les oeuvres de Karim Aouidat, savent pertinemment et se disent persuadés que l’homme a tous les atouts en sa faveur pour se placer au rang qui lui sied… celui de cheikh (maître, ndlr), de par, entre autres, sa voix d’or et sa dextérité instrumentale au mandole.
Dès son jeune âge, il se distinguait de ses camarades par sa curiosité. Et c’est cette curiosité, justement, qui l’avait mené vers la découverte du genre chaâbi dans un quartier où émergeait, alors, celui qu’on surnommait «Cheikh el bled», feu Amar Ezzahi en l’occurrence. «A mes débuts, je l’imitais sans cesse avant de prendre un autre chemin. Toutefois, il restera toujours mon repère», se rappelle Karim. Il assistait, souvent, à ses fêtes de mariages et s’inspirait de lui. Ceux qui se trouvaient avec lui, savouraient l’interprétation, mais le jeune Karim s’intéressait à d’autres choses en parallèle, tels la façon de se comporter sur scène d’Ezzahi, ses enchaînements ainsi que d’autres aspects qui lui ont été, on ne peut plus, bénéfiques dans la suite de sa carrière. Ezzahi comme repère, certes, mais celui qui avait pour autant marqué sa carrière, n’est autre que le poète, musicien, et ami de Hadj M’hamed El Anka, Abdelkader Zouaoui, qui a quitté ce bas monde il y a à peine deux mois. Le défunt, qui a été pour beaucoup dans l’émergence d’Ezzahi, El Koubbi, Bourdib et autre H’cène Saïd, a décelé en Karim Aouidat les qualités d’un futur ardent défenseur de la musique chaâbie et surtout son porte-flambeau. Il lui avait conseillé d’intégrer une école de chant et de musique afin d’évoluer et se mettre sur le droit chemin. «Et c’est chose faite puisque j’ai intégré l’école El Assilia, sous la conduite de Abdelkader Moukli, qui, faut-il le signaler, m’a été d’un grand apport», nous a-t-il dit précisé. Karim n’oublie pas et n’oubliera jamais ce mélomane érudit, qui lui a mis le pied à l’étrier. Preuve en est, dans chacun de ses textes, Karim fait un clin d’oeil à son maître dans «Beyt Esselem». «Je voyais, et je vois toujours, en la musique un compagnon dans la vie quotidienne de chaque individu. En d’autres termes c’est une thérapie ou une cure», dit-il.
Après plusieurs années où il fut un des chouchous des fêtes de mariages et circoncisions – et il l’est encore -, il décida, en 2006, de sortir son premier album «Ennes taâef ennas», qui fut une réussite, de par les avis des spécialistes et mordus du chaâbi. Et cet album a été le dernier pour lui, refusant, par la suite, de travailler avec les éditeurs. «Les éditeurs dans leur grande majorité, suivent la tendance. Ils veulent sortir gagnants en éditant un album live, fait dans un cabaret avec des mots mal placés et qui nuisent aux jeunes, que de le faire avec des chanteurs du chaâbi, où se trouvent toujours les paroles sages», regrette-t-il.
Mais malgré cela, Karim ne baisse pas les bras et continue de suivre le chemin de ses aînés, en rappelant aux nostalgiques, à chaque soirée animée, ce bon vieux temps.
Chose qui fait qu’on joue des coudes pour espérer marier son fils, son frère ou son cousin sur les airs de son concert. «La nouvelle génération de la musique chaâbie ne doit pas baisser les bras et devra continuer son chemin de bataille pour atteindre l’objectif qu’elle s’est assigné», insiste-t-il. Toujours à la recherche des textes rares, Karim se place dans cette catégorie de chanteurs antimonotonie. Il ne veut jamais imiter, mais innover. D’ailleurs, tout le monde aura remarqué le nouveau souffle qu’il donne aux anciens textes, avec, dans un seul qcid, quatre à cinq mélodies, si ce n’est plus. Chose qui témoigne de sa parfaite maîtrise de ce qu’il est en train de faire. «Depuis mon plus jeune âge, j’essaye d’écrire des textes et leur attribuer des musiques, avant que je ne le fasse d’une façon organisée. En somme, et en toute modestie, je dirais que je ne suis qu’un petit chanteur – auteur-compositeur», souligne-t-il encore. Ses textes sont souvent tirés d’expériences personnelles. «Parfois, mes textes sont tirés d’autres expériences de personnes que je connais ou de ce que vit la société algérienne actuellement», explique-t-il, non sans reconnaître que le terrain n’est pas du tout favorable à la jeune génération du chaâbi.

Par Mohamed BENHAMLA

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Categories: Afrique

ABDELLAH HAMANE : Le parcours du combattant immortel

Tue, 09/11/2018 - 15:19

«À Oran, nous avons abordé la question amazighe. Abane Ramdane a été catégorique en priorisant la cause nationale», a confié un jour Dda Abdellah.

L’homme de toutes les causes nobles et justes, l’infatigable moudjahid Abdellah Hamane, est décédé dimanche à l’âge de 82 ans. Il a été enterré, hier, dans le cimetière de Aïn El Beida, dans le sud-ouest de la ville d’Oran. Homme de culture, Abdellah Hamane a consacré un grand pan de sa vie aux recherches en langue et écriture amazighes. N’est pas «Dda» qui veut. Après Mouloud Mammeri, Abdellah Hamane est le deuxième homme qui s’est taillé ce titre et…dans la ville d’Oran. Malgré la chape de plomb qui a frappé la cause amazighe dans les années 1960 et 1970, le défunt n’a pas lâché d’un iota son militantisme. D’ailleurs, il est rentré en clash avec l’état civil d’Oran en le poursuivant en justice pour son refus, quant à la transcription de son fils au prénom de Massinissa. Dda Abdellah n’est pas méconnu des Oranais, son nationalisme sans frontières et sa hargne et boulimie pour la fructification de la cause amazighe lui ont valu le respect de tous les Algériens, mais aussi des Oranais le connaissant pour ses activités, son activisme et sa présence dans tous les forums et les rencontres dédies aux causes algériennes et l’identité amazighe.

Moudjahid de la première heure
Abdellah Hamane était encore jeune lorsqu’il a rallié en 1955 la cause algérienne. Il a été galvanisé par les débats militantistes tenant le commerce de son frère Ferhat fréquenté par Mbarek Aït Menguellet, Mohand Amokrane Khelifati, Ben Abdelouahed et tant d’autres. En 1955, le défunt a rencontré Abane Ramdane tout près du marché Michelet, dans le centre-ville d’Oran. «Nous avons abordé l’identité amazighe. Abane Ramdane, visionnaire qu’il était, a été catégorique en priorisant la cause nationale, en combattant le colonialisme et éviter la division», a confié un jour Abdellah Hamane. Le défunt a rejoint le maquis en 1956, suite à la rencontre qu’il a tenue avec Ahmed Lefrouz. «Savez-vous qui était Ahmed Lefrouz?» a-t-il confié, «Larbi Ben M’hidi qu’on nous a présenté en tant que vendeur de boissons gazeuses», a-t-il répondu. «L’ayant rencontré près du port d’Oran, Larbi Ben M’hidi nous a demandé d’organiser une grande manifestation pour dénoncer l’assassinat du docteur Benzerdjeb», a-t-il ajouté. Une telle manifestation grandiose lui a valu son repérage et son identification par la police des renseignements généraux, d’où les recherches lancées à son encontre et son repli dans la ville de Sidi Bel Abbès. Il prend attache de nouveau avec Larbi Ben M’hidi. Il fut orienté vers Kaci Mohand Boussaâd propriétaire d’un commerce où a été préparée une action d’envergure consistant en l’élimination d’un indicateur de la police coloniale. Arrêté en 1956 pour sa participation à une action «fidaï» à Sidi Bel Abbès, il fut condamné à 10 années de prison et connaîtra la torture ainsi que les affres et les conditions inhumaines d’incarcération dans plusieurs centres de détention de l’ouest du pays.

«Couturier» de l’amazighité
Après le recouvrement de l’indépendance, il s’adonnera au métier de couturier tout en se consacrant à la création culturelle en produisant des pièces de théâtre, des poèmes, des traductions d’oeuvres universelles en tamazight. Parfait trilingue, feu Abdellah Hamane a également contribué à la création de l’association culturelle Numidia, investie depuis des années dans la promotion et le développement de tamazight dans la wilaya d’Oran. Abdellah Hamane est d’une pensée universelle, moderniste dans sa vision, mais très attaché à sa terre et ses traditions et culture ancestrales. Pour le défunt, ces garde-fous ne sont jamais transgresses ni à prendre comme simple point de vue: il place son algérianité et l’amazighité en tant que premières priorités pour lesquelles la mobilisation est à la fois infailliblement et inconditionnellement totale et sans relâche. C’est pourquoi le défunt n’a, durant toute sa vie, ou encore là ou il passe, pas cessé de plaider pour l’Algérie dans toute sa richesse culturelle et linguistique. «La langue et culture amazighes nécessitent la mobilisation de leurs enfants», s’est-il confié récemment à L’Expression lors de la célébration du Printemps berbère organisée par l’association culturelle Numidia. Poésie, théâtre, conférences-débats sont autant d’activités pour lesquelles le défunt a consacré les trois quarts de sa vie. Ressemblant à Mouloud Mammeri et décisif comme Abane Ramdane, l’homme incarne toutes les vertus: élève de l’école d’El Fallah des oulémas, moudjahid de la première heure, chercheur, poète et écrivain en langue amazighe. Lui reconnaissant son engagement, sans faille, au seul profit du développement et la promotion de la langue amazighe. Dans un témoignage de ses amis, «Mouloud Mammeri, qui prenait part à un séminaire sur la méditérannéité, tenu à Oran en 1987, a demandé de lui organiser une rencontre avec Abdellah Hamane», a-t-il affirmé ajoutant que «les deux hommes, aussitôt réunis m’ont, à force de leurs retrouvailles et nostalgie, oublié pendant un bon bout de temps, c’est à ce moment là que l’on a réalisé l’importance de l’homme». Cela n’a été qu’un début pour tant d’autres faits racontés par les amis du défunt ayant relevé le défi pendant les années de plomb et ce, en se mettant à l’écriture et à la composition des poèmes en langue amazighe malgré les interdits d’alors. Le président de l’association Numidia, Saïd Zamouche, dira que «Abdellah Hamane est l’un des piliers importants de la langue et culture amazighes dans la wilaya d’Oran».De tels hommages ne tombent pas des suites d’un simple hasard. Tout comme l’a été le défunt Mouloud Mammeri, Abdellah Hamane a jalonné le terrain aux chercheurs investis dans la langue et la littérature amazighes. Désormais, les Quatrains de Omar Khayyâm sont disponibles en langue amazighe, l’honneur revient au défunt Abdellah Hamane qui a traduit l’oeuvre. Cette oeuvre a, d’ailleurs, constitué le sujet important, d’un autre homme des lettres et sous-directeur de la recherche culturelle et scientifique près le Haut-Commissariat à l’amazighité, Boudjemaâ Aziri ayant pris part récemment dans une rencontre littéraire consacrée à Abdellah Hamane, alors qu’il était encore vivant. Boudjemaâ Aziri est longuement revenu sur le manuscrit découvert plusieurs siècles après la disparition de Omar Khayyâm. Idem pour Houari Bessaï, professeur de sémiologie à l’université de Saïda ayant évolué «Merwas di l’burj n Yitij, Merouas dans le Fort du soleil. Tawaghit di tayri (drame de l’amour) est le dernier roman de l’auteur édité par le HCA. Tel qu’ambitionné par ses amis, académiciens et chercheurs en langue amazighe, l’oeuvre de Abdellah Hamane, doit être introduite dans les écoles, et également faire l’objet de recherches universitaires. Repose en paix Dda Abdellah.

Par Wahib AïT OUAKLI

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La page de la Gambie tournée : L’avenir de l’EN version Belmadi

Tue, 09/11/2018 - 15:17

Le match que la sélection nationale algérienne a livré face à son homologue gambienne (1-1) à Banjul, dans le cadre de la seconde journée des éliminatoires de la CAN-2019, a énormément servi au nouveau patron des Verts, Djamel Belmadi, qui doit mettre en place une feuille de route pour les prochaines échéances.

Il faut dire que Belmadi n’a pas eu la mission facile pour sa première sortie. Il est vrai que l’adversaire de samedi dernier était loin de constituer un foudre de guerre et qu’il y avait de la place pour mieux faire, mais toujours est-il qu’au vu des conditions qui ont entouré ce match, ce point est toujours bon à prendre. Après le coup de sifflet final, Belmadi a commencé à tirer les enseignements et surtout prévoir la suite de son travail. Son prochain objectif sera de l’emporter, le 12 octobre prochain, face au Bénin, coleader du groupe, au stade Mustapha-Tchaker de Blida. Contrairement au rendez-vous gambien, le technicien algérien aura plus de temps pour voir plus clair, concernant les joueurs à convoquer et surtout le fond de jeu que son équipe doit retrouver. Des points positifs, il y en a eu après Banjul, comme l’émergence de certains éléments, tels que Mehdi Tahrat et Mohamed Farès. Le premier a donné de l’assurance à la charnière centrale qui constituait le maillon faible de cette sélection, alors que le second a prouvé que l’on peut compter sur lui pour pallier l’absence de l’habituel titulaire sur le flanc gauche de l’arrière-garde, Faouzi Ghoulam. D’autres éléments ont su tirer leur épingle du jeu et relancer la concurrence, comme c’est le cas pour le serial buteur, Baghdad Bounedjah, lequel a envoyé un signe fort à ses deux concurrents en attaque, Islam Slimani et Hillal Soudani.
Avec son discours franc et direct, Belmadi a su remettre le groupe en confiance et surtout à les solidariser. Ce qui s’est passé au vestiaire, peu avant la décision prise de jouer le match et le fait que les joueurs expérimentés tentaient de rassurer et de remettre en confiance leurs jeunes coéquipiers, a laissé Belmadi très confiant pour la suite, lui qui avait déclaré à l’issue de la rencontre que le résultat l’a déçu, mais qu’il a apprécié l’attitude des joueurs, allusion faite à cette solidarité, justement, ainsi que le courage qu’ils ont eu pour prendre part à ce match malgré des conditions défavorables. Pour lui, ses protégés ont prouvé qu’ils sont prêts à se sacrifier et à faire face à tous les obstacles pour honorer et défendre les couleurs nationales.
Mais tout cela n’empêche pas qu’un grand chantier attend Belmadi pour améliorer plusieurs points. La ligne médiane s’est montrée très fébrile, nécessitant, de par les avis unanimes, du renfort. Même chose pour la relance, puisque Mahrez et Brahimi n’affichaient pas le même visage que celui qu’ils montrent avec leurs équipes respectives. Le successeur de Madjer veut faire d’abord son constat avant d’apporter les solutions qui s’imposent, entre convoquer d’autres joueurs ou replacer ceux qui sont déjà en place. Pour convoquer des nouveaux, Belmadi ne veut rien laisser au hasard, histoire de ne pas se tromper dans ses choix. Il a supervisé des rencontres en Algérie et continuera à le faire afin de dénicher les joueurs qui sont «motivés et aptes» à apporter le plus escompté.
D’ailleurs, dès son retour de Banjul, il s’était dirigé vers le stade Omar Hamadi de Bologhine, où il a supervisé le match de l’USM Alger en Coupe arabe des clubs, face à l’équipe des Forces aériennes irakiennes. Un match, faut-il le rappeler, qui a été arrêté un quart d’heure avant la fin, après le retrait des joueurs irakiens, en guise de contestation contre des chants des supporters usmistes.

Par Mohamed BENHAMLA

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Categories: Afrique

Circulation à constantine : Un vrai casse-tête

Tue, 09/11/2018 - 15:14

Dans la réglementation, les poids lourds sont autorisés à pénétrer la ville de 7 heures du soir à 7 heures du matin. Néanmoins depuis un certain temps, cette règle n’est plus respectée.

La circulation à Constantine pose un sérieux problème, notamment à la rentrée, chose pour laquelle, les services de sécurité ont lancé depuis le 1er septembre dernier une vaste campagne de sensibilisation aussi bien à l’égard des automobilistes que des élèves, collégiens et lycéens. Le sujet a été au coeur d’un débat le 8 septembre lors d’une émission radio où des spécialistes ont été invités à y participer. Ces derniers dont un universitaire docteur en ingénierie du transport à l’université des frères Mentouri de Constantine et Moncef Benatallah, président de l’association de prévention des accidents de la circulation «Essalama el mourouria (sécurité routière)», ont eu à plancher sur le décongestionnement de la circulation à Constantine, plus ardu au niveau de la nouvelle ville Ali Mendjeli, au centre-ville, Boussouf et au niveau de certaines périphéries. Plusieurs points ont été relevés, entre autres, le non-respect du Code de la route, les ralentisseurs qui ne répondent pas aux normes et les poids lourds qui circulent le long de la journée sans aucune gêne. Ce problème déjà souligné par L’Expression est un vrai danger, surtout que les chauffeurs s’imposent sur les routes sans tenir compte de la menace qu’ils véhiculent lors d’un dépassement au sein même d’une agglomération.
Le plus grand nombre d’entre eux scannent des autorisations de passage par le centre-ville pour tromper les services de sécurité. Dans la réglementation, les poids lourds sont autorisés à pénétrer la ville de 7 heures du soir à 7 heures du matin. Néanmoins, depuis un certains temps, cette règle n’est plus respectée.
Lors de cette émission radio, les participants ont été également d’un commun accord pour dire que «dans l’état actuel des choses, la solution réside dans l’application entière, et non partielle, du plan de circulation établi, il y a plusieurs années, par la direction du transport». A ce propos, le docteur Boulahbib Mohamed Salah, spécialiste en ingénierie du transport a estimé: «Nous craignons fort que, d’ici quelques années, il sera pratiquement impossible que l’on puisse prendre sa voiture pour se rendre au centre-ville, afin de faire des achats et accomplir quelque commission que ce soit.» Pour lui «il faut travailler dès maintenant pour préparer les alternatives de transport sachant que celles-ci ne peuvent être que dans le développement des moyens de transport en commun de haut niveau».
Les participants, mais aussi les auditeurs, ont dressé un tableau noir de la circulation à Constantine abordant également les bus qui se croient seuls sur la route qui ont été à l’origine de plusieurs accidents, au même titre que les poids lourds dont les semi-remorques. Ainsi, en mettant en évidence la géographie de Constantine, les participants ne manqueront pas de proposer des solutions en faisant le constat que ça reste des solutions provisoires de la circulation en milieu urbain.
Nul n’ignore que le parc véhicules a augmenté pour atteindre les 6 millions, selon l’Office national des statistiques, sans pour autant que la construction des infrastructures de base que représentent les routes et les voies de dégagement ne suit cette cadence. Les infrastructures nouvellement acquises telles que le transrhumel et le tramway dont une extension touchera la nouvelle ville sont suffisantes. Il faut, entre autres, y ajouter les trains de banlieue dont il faut activer le programme établi dernièrement qui allait de Zighoud-Youcef à El-Gourzi, couvrant 80 kilomètres environ. En effet, remettre le train en fonction peut être une solution de taille, notamment pour le transport de la marchandise pour diminuer le nombre des poids lourds.

Par Ikram GHIOUA

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Forte hausse de la production de la pomme : « Le paradis » se trouve à Batna

Tue, 09/11/2018 - 15:10

Une récolte d’un million de quintaux serait attendue cette saison à Batna.

La production de la pomme promet de s’intensifier au cours de cette saison. Si l’on se réfère aux prévisions de la direction des services agricoles (DSA), une récolte d’un million de quintaux serait attendue cette saison à Batna.

La DSA parle ainsi d’une augmentation «considérable» par rapport à l’année 2017 où cette production a été estimée à 825 000 quintaux, souligne le responsable du secteur, Smail Zerguine à l’APS. «Sur une surface de 258 hectares, une quantité de 40 575 quintaux de pommes a été à ce jour récoltée», a-t-il indiqué.

La même source a ajouté que les premières cueillettes ont été lancées il y a environ deux semaines, dans les régions sud de la wilaya à l’image de «Barika et El Djezzar connues par leurs productions anticipées des qualités pomme «Hanna» et «Royale Gala» augurent «une bonne récolte» du point de vue «qualité et quantité». Smail Zerguine fera encore savoir que ce rendement conséquent se traduira par une moyenne de production qui s’affichera à 250 quintaux l’hectare. Il poursuivra en avançant que malgré la grêle qui a touché de plein fouet cette région au mois d’avril dernier, «les surfaces labourées dont celle de la pomme n’ont pas subi de graves conséquences» suite à ces intempéries. Il dira néanmoins que «30 ha ont été endommagés dans la région de Rahouet dans la commune de Hidoussa», rappelant à ce titre que des dispositions avaient alors été prises par les agriculteurs pour limiter les ravages.

Par ailleurs, il y a lieu de signaler qu’en dépit de la réputation dont jouit ce fruit dans la wilaya de Batna, la production de la pomme a jusque-là été faible par rapport à son réel potentiel. Elle excédait ainsi rarement les 800 000 quintaux à chaque saison. Les services agricoles se sont alors employés avec le temps, à agrandir les superficies des vergers dans l’espoir d’avoir un meilleur rendement. Les besoins nationaux pour ce fruit seraient alors pleinement satisfaits, si l’Algérie venait à réaliser son autosuffisance en la matière. Par ailleurs, avec ce renforcement de la récolte qu’augurent les autorités concernées pour cette saison, peut-on voir plus loin et réussir à créer d’éventuelles opportunités d’exportation vers d’autres pays, si toutefois la production poursuit sur ce rythme pendant les saisons à venir? Mais avant d’en arriver là, il faut tenir compte de divers problèmes qui tendent à freiner la production de la pomme. Les spécialistes pointent du doigt entre autres raisons, le manque d’entretien des vergers ou encore, les connaissances limitées des agriculteurs algériens sur les techniques modernes relatives à l’arboriculture notamment.

D’autre part, Smail Zerguine a avancé que «65% de la production de pommes dans la wilaya de Batna sont composées d’espèces à cueillir tardivement, jusqu’à la fin du mois d’octobre, notamment dans les régions montagneuses considérées comme un véritable pôle de production de pommes.» A savoir, Ichmoul, Inoughiss, Arris, Foum Ettoub, et Oued Taga jusqu’à Meriel dans la commune de Ayoune El Assafir, où les variétés «Golden Délicious» et «Star Krimson» sont produites. Ce dernier fait enfin savoir que la superficie dédiée à la pomme à Batna est de 4 451 ha dont 3 817 ha productifs.

Par Massiva ZEHRAOUI

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ANNABA : Les automobilistes à rude épreuve

Tue, 09/11/2018 - 15:08

En dépit de la mise en service du nouveau pont et l’échangeur au niveau du pont Y, la circulation routière demeure un casse-tête chinois pour les automobilistes.

Plus de 120 000 véhicules traversent quotidiennement la ville de Annaba provoquant, à des heures de pointe, d’énormes bouchons causant des désagréments aux automobilistes. Autrefois retenue sur le compte de la saison estivale, période durant laquelle, le flux des vacanciers automobilistes apportent un lot supplémentaire de désagréments, notamment sur les principaux axes routiers de la Corniche. Depuis le centre-ville et jusqu’à Aïn Achir, en passant par le boulevard du 1er Novembre, il est difficile d’atteindre sa destination. Les habitants entre autres de Toch, Lakaroube, côté plage, n’ont pas cessé de créer leur désarroi. «En cas d’urgence, il est difficile pour le véhicule de la Protection civile de se frayer un passage dans un bouchon, de plus de 2 kilomètres», nous dira, un locataire dans l’un des lotissements de cette zone du Front de mer.
Aujourd’hui, la situation, même avec le départ des estivants, et bien que les embouteillages aient quelque peu diminué, il demeure néanmoins que la situation est encore insoutenable. C’est pour dire que le trafic routier à Annaba est depuis les cinq dernières années, devenu un véritable casse-tête pour les conducteurs, voire un enfer au quotidien. Chaouki, un chauffeur de taxi, nous déclare qu’avec toute son expérience dans les itinéraires à suivre, il n’arrive toujours pas à éviter les embouteillages sur tous les axes routiers à l’intérieur de la ville et même dans la périphérie.
Pour notre interlocuteur et bien d’autres, ces étranglements, ces embouteillages ne se forment pas seulement durant les heures de pointe, puisque dans tout le périmètre urbain, la situation est la même partout. Du côté du Cours de la Révolution, du boulevard El Amir Abdelkader, le boulevard d’Afrique, la rue Ibn Badis, Didouche Mourad, ou encore la rue de l’ALN, Sidi Brahim, Sidi Achour, Val Mascort, El M’haffeur, ainsi que le point giratoire du Pont-Blanc et bien d’autres rues et quartiers, le ralentissement, voire l’arrêt total de la circulation automobile cause bien des désagréments aux conducteurs et leurs véhicules. «Faire un tronçon de 500 mètres en première et deuxième vitesse, endommage fortement le véhicule, les plaquettes de freins notamment», ont déploré plusieurs conducteurs, qui ont mis en avant, la cherté de la pièce qui n’est d’ailleurs pas d’origine.
Si le problème de l’embouteillage demeure endémique pour la wilaya de Annaba, le centre-ville notamment c’est parce que et tout simplement, il n’existe à Annaba que deux entrées principales pour la ville. La RN 44 et la RN 16. Deux axes routiers menant des différentes communes de Annaba, avec en plus ceux des wilayas limitrophes. Ils sont par période plus de 70 000 automobilistes à circuler dans le tissu routier de Annaba, notamment durant les heures de pointe. Une période où tout un chacun veut arriver tôt soit à son travail soit à son domicile. Sans compter les conducteurs qui n’ont rien à faire, qu’à contribuer à accentuer la situation, déjà intournable pour le commun des mortels. Si la vie speedée des Annabis est pour quelque chose dans la formation des embouteillages, l’état des routes y est encore pour beaucoup. En effet, les crevasses et les routes défoncées ici et là dans les rues et ruelles de Annaba ont aggravé la situation.
Les automobilistes cherchant à contourner ces obstacles occasionnés par la négligence des responsables du secteur à Annaba, se retrouvent tous convergés sur le même tronçon, provoquant un interminable bouchon. Pour éliminer l’encombrement à Annaba, plusieurs projets avaient été retenus. Mais seulement le pont de la cité Seybouse, un projet avec deux échangeurs, dont un seul achevé et en service, arrive à peine à désengorger les lieux, notamment au pont «Y» situé à la sortie sud de la ville. Quant au projet qui avait été prévu sur l’axe ouest de la ville, à hauteur du Pont-Blanc, les autorités qui ne s’étaient pas fixées, à l’époque sur la nature de l’ouvrage qui balance entre une réalisation aérienne et une autre souterraine, aurait été annulé selon certaines sources.
La concrétisation dudit projet aurait certainement, contribué à désengorger cet axe routier, où sont implantées plusieurs institutions hospitalières et cliniques, notamment. En attendant que de vraies mesures soient prises, à la faveur de la délicate problématique des embouteillages, un plan antibouchons s’impose pour Annaba, afin de définir les points noirs et prendre les mesures adéquates permettant d’éviter les accidents, notamment en cette rentrée scolaire et sociale qui s’annonce rude pour les usagers des routes.
Ceux surtout occupant depuis quelques mois, les nouveaux pôles urbains, Kalitoussa et El Bouni, mais surtout ceux de Draâ Errich. Et comme dit l’adage: «La journée appartient à ceux qui se lèvent tôt», les fonctionnaires des administrations et écoliers de ces nouvelles cités, sont appelés à prendre au moins deux heures d’avance pour arriver à l’heure.

Par Wahida BAHRI

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Categories: Afrique

ALGER : L’enfer des embouteillages

Tue, 09/11/2018 - 15:07

Cette situation qui a pris une dimension problématique, à répétition, n’arrive pas à secouer les responsables de la gestion de la ville et des ensembles urbains dans le but d’alléger le fardeau des Algériens qui se voient chaque jour confrontés à ce genre de désagréments des plus fous.

Chaque rentrée sociale le citoyen se pose la sempiternelle question de l’embouteillage qui taraude son esprit quotidiennement. Ce problème s’est transformé en un véritable stress qui guette le citoyen dans les grandes villes en général et la capitale en particulier.
La saturation routière est devenue un véritable feuilleton sans fin à telle enseigne que les usagers de la route songent à «contrer» cette espèce de situation embarrassante par des «solutions» ingénieuses consistant à se lever tôt pour échapper à «sentence» de la route et son lot de bouchons noirs et d’embouteillages causant parfois des accidents et des collisions de par l’état psychologique des usagers le moins que l’on puisse dire intenable et qui frise la nervosité.
Cette situation qui a pris une dimension problématique, à répétition, n’arrive pas à secouer les responsables de la gestion de la ville et des ensembles urbains dans le but d’alléger le fardeau des Algériens qui se voient chaque jour confrontés à ce genre de désagréments des plus fous.
Certes, la capitale n’est pas en mesure de supporter le potentiel démographique actuel qui a connu une évolution exponentielle, sachant que cette dernière, c’est-à-dire la capitale, avait conçue lors de sa création pour abriter 900.000 habitants. Depuis, l’Algérie a connu un développement humain et infrastructurel important, mais en aucun cas les experts et les responsables de la ville et de la mobilité urbaine n’avaient songé a remédier la situation caractérisée par une saturation infernale. Il est à rappeler que les experts de la sociologie urbaine avaient alerté depuis des années les pouvoirs publics sur les conséquences d’une situation de réseau routier qui se rétrécit tel une peau de chagrin sans pour autant réfléchir sur les voies et moyens pour contourner ces situations qui finiront par plonger les usagers et les grandes villes dans une spirale intenable quant à l’asphyxie qui pourrait produire un climat inadéquat avec les caractéristique d’une ville et de son schéma urbain conçu sur la base d’un mécanisme essentiel à savoir l’intermodalité qui est le pilier, voire le noeud gordien d’une ville du point de vue sociologique. Il faut dire que la capitale souffre de cette vacance criarde d’une interconnexion urbaine censée donner à la ville sa vitalité, à commencer par la gestion et la conception des voies et des réseaux routiers en étudiant leur optimisation en fonction du schéma directeur propre à ladite ville et ses besoins en matière de trafic et de capacités.
Le citoyen passe des heures dans la voie routière en menant un parcours du combattant dès la matinée pour réaliser «une prouesse» qui consiste à arriver à l’heure à son poste de travail, ce qui n’est pas le cas pour un grand nombre usagers de la route.
Il est urgent de mettre en place une commission qui s’attellera à dégager une réflexion sérieuse et concrète par rapport à ce phénomène de l’embouteillage qui prend de l’ampleur et qui désarçonne la quiétude des Algériens que ce soit lors de leur sortie de bon matin de leur domicile ou dès le retour le soir. Est-il temps de concevoir une nouvelle approche pour désengorger la capitale et les grandes villes?

Par Hocine NEFFAH

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Afghanistan: nouveau bilan de 19 morts dans l’attentat-suicide contre des manifestants

Tue, 09/11/2018 - 14:46

JALALABAD (Afghanistan) – L’attentat-suicide qui a visé mardi des manifestants près de Jalalabad, dans l’est de l’Afghanistan, a fait 19 morts et 51 blessés, selon un nouveau bilan rapporté par un responsable de la province de Nangahar.

« Le bilan s’élève désormais à 19 morts et 51 blessés », a indiqué le porte-parole du gouverneur de la province, Ataullah Khogyani, cité par l’AFP.

Un précédent bilan faisait état de 8 tués et 35 blessés.

Les manifestants étaient réunis à proximité de la frontière pakistanaise, en bloquant l’accès, pour protester contre la nomination d’un nouveau chef de la police, lorsque le kamikaze a fait exploser sa charge.

Mardi matin à Jalalabad, une double attaque visant une école de filles a par ailleurs fait un mort et quatre blessés. Une première explosion a retenti devant l’école de filles Malika Omaira vers 8H30 locale (4H00 GMT).

Une seconde explosion s’est produite alors que des élèves d’une école de garçons voisine se précipitaient sur les lieux.

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Quiche aux fruits de mer

Tue, 09/11/2018 - 14:42

1 pâte brisée, 1 pot de 500 g de crème fraîche, 3 gros œufs, 500 g de gruyère râpé, 250 g de crevettes, 2 blancs de poireaux, beurre pour le moule 

Faites revenir les poireaux dans une poêle avec une noix de beurre. Ajoutez-y un verre d’eau et laissez mijoter à feu doux jusqu’à évaporation de l’eau et que l’aspect soit comparable à une sauce épaisse.
En même temps, faites revenir avec une noix de beurre les crevettes. Lorsqu’elles sont cuites, dans une jatte, mélangez la crème fraîche, le gruyère et les œufs puis ajoutez-y les poireaux et les crevettes. Mélangez.
Beurrez 1 moule à tarte et déposez-y la pâte brisée. Aérez-la en la piquant avec une fourchette. Versez le mélange et enfournez pendant environ 35 min.

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Découverte d’une importante quantité de munitions à In Guezzam (MDN)

Tue, 09/11/2018 - 14:39

ALGER – Une cache contenant une importante quantité de munitions a été découverte lundi par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP) lors d’une patrouille menée près de la bande frontalière à In Guezzam, indique mardi le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et de la sécurisation des frontières, grâce à l’exploitation de renseignements et lors d’une patrouille menée près de la bande frontalière à In Guezzam (6ème Région militaire), un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert, le 10 septembre 2018, une cache contenant une importante quantité de munitions s’élevant à 2.600 balles de différents calibres », précise la même source.

Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des Garde-frontières « ont arrêté, à Bechar (3 RM, un narcotrafiquant en possession de 9,2 kilogrammes de kif traité, tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale ont saisi 1.200 unités de différentes boissons à Mascara (2ème RM), 20 quintaux de feuilles de tabac et 5.000 paquets de cigarettes, à El-Oued et Laghouat (4ère RM) », ajoute le communiqué.

D’autre part, des détachements de l’ANP et des éléments de la Gendarmerie nationale « ont intercepté, lors d’opérations distinctes, 26 immigrants clandestins de différentes nationalités à Adrar, Naama et Ghardaïa », relève le MDN.

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Un projet de complexe de gestion et de valorisation énergétique des déchets début 2019

Tue, 09/11/2018 - 14:21

ALGER- Un projet de complexe de gestion et de valorisation énergétique des déchets est prévu début 2019 en vue de réduire les déchets de 30 %, a déclaré lundi la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatma Zohra Zerouati.

Lors d’une rencontre avec le Wali d’Alger, Abdelkader Zoukh et les autorités locales de la wilaya, Mme Zerouati a indiqué que ce projet, d’une valeur de 30 milliards de da, permettra de prendre en charge les déchets dans quatre wilayas: Alger, Blida, Boumerdes et Tipasa.

La ministre a également évoqué la préparation des assises sur l’économie circulaire qui débuteront en fin d’année et porteront sur la gestion intégrée des déchets.

Mme Zerouati a souligné l’impératif de trouver des solutions opérationnelles de transport et de transfert des déchets, à l’instar de la création de centres de transit et de tri des déchets valorisables, pour gagner du temps.

Elle a, dans ce sens, appelé à mettre un terme au gaspillage et à la surconsommation pour préserver l’environnement.

La ministre a évoqué l’idée du transport des déchets par voie ferroviaire qui sera examinée dans le projet de valorisation énergétique pour une gestion rationnelle et efficace des déchets.

Mme Zerouati a mis l’accent sur la nécessité d’introduire un plan de gestion des déchets au profit des nouveaux quartiers, en vue de garantir un cadre de vie décent pour les citoyens et préserver l’environnement.

A une question posée par la presse sur la méthode traditionnelle de collecte des déchets à la Casbah, la ministre a indiqué que les ruelles de la Casbah sont exiguës et ne permettent pas l’accès aux camions de collecte des déchets, soulignant que cette méthode est usitée dans d’autres pays du  monde.

Elle a tenu à rappeler que l’implication des citoyens et de la société civile est nécessaire pour la préservation de l’environnement, mettant l’accent sur le rôle efficient du citoyen qui doit inculquer la culture environnementale aux générations montantes.

La ministre a, entre autres, évoqué la mise en place d’un plan d’action à court terme pour la troisième unité de tri du centre d’enfouissement technique (CET) de Hamici, pour une durée de 10 ans, et ce pour assurer son exploitation optimale.

De son côté, le Wali d’Alger, Abdelkader Zoukh a souligné l’impératif de conjuguer les efforts pour trouver des solutions à tous les problèmes liés à la situation environnementale qui est « en nette amélioration ».

Des sommes colossales ont été débloquées pour la prise en charge des questions environnementales, a indiqué M. Zoukh, appelant à une consommation rationnelle notamment du pain.

Il a rappelé les réalisations accomplies par la wilaya d’Alger et le ministère de l’environnement, particulièrement l’élimination de 500 points noirs à Alger qui ont été transformés en espaces publics et verts.

Cette rencontre a permis de passer en revue les mesures prises par la wilaya d’Alger pour la prise en charge de l’environnement, dont le lac de Reghaïa et l’aménagement de Oued El Harrach.

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Deux morts et dix blessés dans une attaque revendiquée par daech, Libye : le siège de la compagnie pétrolière visé à Tripoli

Tue, 09/11/2018 - 13:54

Entre le diktat des milices et la menace terroriste, les Libyens n’ont d’autre choix que l’éternelle attente d’un règlement politique de la crise qui dure depuis sept ans.

Une attaque terroriste contre le siège de la compagnie pétrolière nationale (NOC) à Tripoli a fait au moins deux morts et dix blessés, ont rapporté les médias locaux citant des sources officielles. Revendiquée quelques heures plus tard par la branche libyenne de l’autoproclamé État islamique, cette nouvelle attaque a été perpétrée par au moins trois terroristes, dont un d’eux s’est fait exploser à l’intérieur. Parallèlement, il y a eu un échange de tirs nourri, ont ajouté les mêmes sources. L’ampleur des dégâts matériels au sein du siège de la NOC témoigne de la violence de cette attaque. Les employés qui ont été exfiltrés par des milices locales ont affirmé avoir entendu des tirs sporadiques et des terroristes qui criaient “Descendez, bande de mécréants !”, lit-on sur les médias en ligne. Ces derniers avaient même évoqué une prise d’otages au début de l’attaque, durant laquelle la situation est restée confuse. Réagissant à cette attaque, le président de la NOC, Mustapha Sanaa Allah a affirmé que la production pétrolière ne sera pas affectée, mais il a estimé que “cette agression confirme la détérioration de la situation sécuritaire et sa fragilité dans le pays”. Ce pourquoi “il faut prendre des mesures sécuritaires supplémentaires pour permettre à notre compagnie de résister devant ceux qui se mettent devant la relance de la Libye”, a-t-il insisté. Quant à Fayez al-Serraj, le président du Conseil présidentiel et non pas moins Chef du gouvernement d’union nationale (GNA), issu de l’accord de l’ONU, il a immédiatement dénoncé cette attaque dans un communiqué rendu public sur les réseaux sociaux, tout en réunissant les responsables de la sécurité à Tripoli. Pour sa part, le président du Parlement de Tobrouk, Aguila Salah, a profité de l’attaque d’hier pour remettre sur la table la question de la levée de l’embargo international sur les armes en Libye, soulignant aussi la nécessité de se battre contre le chaos que vit le pays depuis la chute de l’ancien régime de Kadhafi en 2011. La mission de l’ONU en Libye (Manul) a, elle aussi, “condamné fermement l’attaque terroriste et lâche” et a appelé “les Libyens à renoncer aux conflits secondaires inutiles et à s’unir, en partenariat avec la communauté internationale, pour éradiquer le fléau de terrorisme à travers le pays”. La Manul fait référence aux récents combats entre groupes rivaux près de Tripoli, qui ont fait au moins 63 morts et 159 blessés entre le 27 août et le 4 septembre. Les affrontements ont marqué une pause après la signature d’un accord de cessez-le-feu, sous l’égide de l’ONU.  Globalement respecté, cet accord ne résout toutefois pas les dissensions entre les multiples groupes armés, qui ont maintenu leurs positions dans et autour de la capitale. Lors d’une nouvelle réunion dimanche sous l’égide de la Manul, les groupes rivaux se sont engagés à continuer à respecter le cessez-le-feu, selon la Manul.

Lyès Menacer

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12 000 Milliards de dinars de dettes non recouvrables : Les limites de l’administration fiscale

Tue, 09/11/2018 - 13:52

Concernant les opérations de recouvrement des amendes et autres contraventions devant être perçues par les services des impôts, le gouvernement a décidé de les confier à la justice.

Invité hier de l’émission “l’Invité de la rédaction” de la Chaîne III de la Radio algérienne, le directeur général des impôts, Mustapha Zikara, a indiqué que les charges fiscales qui n’ont pu encore être recouvrées à ce jour s’élèvent à 12 000 milliards de dinars. Ce chiffre de 12 000 milliards de dinars, révélé hier, correspond exactement à celui annoncé par le même responsable en décembre 2017 comme “reste à recouvrer”. Est-ce à dire que durant ces derniers mois, l’administration fiscale n’a pas pu assainir ne serait-ce qu’une partie de ce montant ? La réponse semble affirmative puisque, hier, M. Zikara a estimé que, concernant ces 12 000 milliards de dinars, il ne s’agit pas d’impôts. Ce qui voudrait dire que ces
12 000 milliards de dinars ne sont plus une fiscalité réelle. Reprenant le même argumentaire que celui de décembre 2017, le directeur général des impôts a indiqué que sur ce montant, il y a près de 8 000 milliards qui sont des amendes judiciaires. Le reste, soit 4 000 milliards, représente, selon M. Zikara, des dettes très anciennes qui des fois dépassent les 15 années et dont certaines sont à l’indicatif d’entreprises publiques dissoutes. D’autres sont des montants qui bénéficient légalement d’un sursis de payement. Ce qui pousse à croire que ce sont des dettes fiscales non recouvrables. Ce qui met en évidence les limites de l’administration fiscale en matière de recouvrement quand il ne s’agit pas de prélèvement direct. D’ailleurs, concernant les opérations de recouvrement des amendes et autres contraventions devant être perçues par les services des impôts, le gouvernement a décidé de les confier à la justice. Cette décision a été prise en appui à une mesure similaire, entrée en vigueur en octobre 2017, qui a vu le transfert des opérations de recouvrement des services des finances vers ceux de la justice. En situation de crise, il était impératif de mettre le paquet sur le recouvrement des créances qui sont d’un grand secours pour le budget de l’État. C’est d’ailleurs pourquoi le gouvernement avait fixé comme objectif d’atteindre un taux de 11%. Mais cet objectif semble avoir été revu à la baisse. Pour M. Zikara, 11% n’est pas hors de la portée de l’administration discale. Mais un objectif doit être fixé en tenant compte de la réalité économique et de l’évolution de la conjoncture économique. Or nous sommes, qu’on le veuille ou pas, dans une période difficile, a-t-il ajouté. “Il y a une baisse de l’importation. Il y a un ralentissement de l’activité économique, notamment du secteur privé, un ralentissement également dans l’investissement public avec le gel d’un certain nombre de projets non engagés ou bien qui sont en démarrage. Tout cela altère le recouvrement fiscal.” Il a par ailleurs relevé le manque de moyens humains de la DGI qui ne dispose en tout et pour tout que de 611 agents de contrôle. Reste que le DG des impôts a rejeté l’idée d’une prétendue faiblesse du niveau de recouvrement fiscal. Tout en reconnaissant qu’il y a encore du travail, il a indiqué que, pour les 8 premiers mois de 2018, la fiscalité ordinaire a atteint 60,7%, soit un montant de plus de 2 020 milliards de dinars sur les 3328 milliards fixés par la loi de finances complémentaire.
Pour ce qui a trait à la fiscalité pétrolière, il note que le taux de réalisation a atteint de son côté 68,6%, représentant un total de 1610 milliard de dinars sur un montant de 2349 milliards de dinars attendus.

Saïd Smati

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Inde : 50 morts dans un accident de bus

Tue, 09/11/2018 - 13:43

Au moins 50 personnes ont péri, mardi, dans un accident de bus dans l’Etat du Telangana, au sud de l’Inde, ont indiqué les autorités locales.

Le véhicule transportant quelque 80 passagers, des pèlerins revenant d’un temple hindou, est sorti de la route dans le district de Jagtial, à environ 150 kilomètres au nord de la capitale régionale Hyderabad.

« Plus de la moitié des personnes tuées étaient des femmes et il y avait au moins trois enfants », a déclaré le responsable administratif local G. Narendhar.

Les routes Indiennes sur lesquels les accidents mortels sont fréquents figurent parmi les plus meurtrières du monde.

Plus de 150.000 personnes meurent, chaque année, dans les accidents de la route de ce pays d’Asie du Sud en raison notamment de la vétusté des voies de communication et des conduites dangereuses.

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Merkel en Algérie ce 17 septembre?

Tue, 09/11/2018 - 13:38

Angela Merkel effectuerait ce 17 septembre une visite en Algérie à en croire plusieurs sites électroniques qui citent la radio allemande DW. Elle sera à la tête d’une importante délégation d’hommes d’affaires pour assister au Forum des affaires algéro-allemand, organisé par la Chambre du commerce et de l’industrie en coordination avec la Chambre arabo-allemande du commerce, les 17 et 18 septembre prochains à Alger. La chancelière allemande abordera lors de sa visite, le renforcement de la coopération économique, mais aussi la question du rapatriement des migrants clandestins. Elle devrait notamment relancer la demande lancée par l’Union européenne (UE), et déjà rejetée par Alger, d’ouvrir des «centres de rétention» visant à accueillir les migrants clandestins.

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Le ministre de l’Agriculture l’assure : l’Algérie en mesure de stopper les importations de produits agricoles, d’ici trois ans

Tue, 09/11/2018 - 13:36

L’Algérie est en mesure d’arrêter les importations de produits agricoles, d’ici trois années a affirmé, lundi à Alger, le ministre de l’Agriculture, Abdelkader Bouazgui.

Les indicateurs de production sont à même de permettre au secteur agricole d’arrêter graduellement l’importation « d’ici trois ans », a-t-il indiqué lors sa participation à une émission de la Radio Algérienne.

Pour le ministre, ce niveau de production n’aura été rendu possible que grâce aux moyens mobilisés par l’Etat dans les domaines de la production, de l’élargissement des superficies irriguées, de la mise en valeur des terres et de l’encadrement des agriculteurs en matière de maitrise du processus technique de production.

M. Bouazgui a notamment qualifié la production céréalière de 60,5 millions de quintaux de « volume record » par rapport à celle engrangée en 2017.

Reconnaissant que les résultats obtenus dans la filière restaient cependant « insuffisants » pour arrêter les importations, il n’en a pas moins considéré que le maintien du même rythme de production dans les deux prochaines années à venir, permettrait à l’Algérie de réaliser une autosuffisance en matière de blé dur en particulier.

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Championnats d’Afrique de natation : 5 médailles récoltées par l’Algérie durant la première journée

Tue, 09/11/2018 - 13:32

La sélection Algérienne dames et messieurs de natation a récolté 5 médailles (1 en or, 1 en argent et 3 en bronze) lundi soir, lors de la première journée des Championnats d’Afrique 2018, qui se déroulent à Alger.

Celle en or a été remportée par Nefsi Rania Hamida sur le 400m/quatre nages, à laquelle se sont ajoutées l’argent du 4x200m nage libre et celles de bronze de Medjahed Nesrine, troisième sur le 100m nage libre, en 58.09, de Mellih Amel, troisième sur le 50m dos, en 29:67 et de Ardjoun Abdellah, également troisième sur le 50m dos, en 26.54.

Une moisson importante pour la sélection Algérienne, forcée de revoir ses prétentions à la baisse en raison de la défection de trois de ses meilleurs atouts, Oussama Sahnoun, Djaoued Seyoud et Nazim Belkhodja, qui avaient déclaré forfait 48 heures avant le début de la compétition.

Alors que Sahnoun avait évoqué une blessure aux adducteurs et Seyoud un problème à la cheville, Belkhodja s’était excusé pour des problèmes familiaux, a indiqué le président de la Fédération Algérienne de natation, Mohamed Hakim Boughadou.

Ces absences ont contraint la sélection Algérienne à revoir ses objectifs mais les cinq médailles récoltées durant la première journée semblent avoir redonné espoir à celle-ci.

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