La circulation automobile en milieu urbain est devenue un problème récurrent, puisque la ville subit quotidiennement une paralysie.
Métropole abritant plus de 180 000 habitants, le chef-lieu de wilaya accuse un énorme retard dans la circulation des véhicules en milieu urbain au grand dam de la population qui est manifestement pénalisée. Ce dossier avait été maintes fois débattu lors des sessions de l’APW afin d’attirer l’attention des autorités locales, mais ce problème perdure. Un bureau d’études spécialisé avait été requis voilà plusieurs années et un diagnostic avait été présenté en séance plénière aux services compétents aux fins d’entreprendre les démarches indispensables.
Pour des raisons inexpliquées, ces recommandations n’ont pas été concrétisées et seuls des feux tricolores ont été installés au carrefour de Snobour, au boulevard du 19-Juin. La circulation routière est devenue un problème récurrent puisque la ville subit quotidiennement une paralysie durant les heures de pointe et des bouchons sont enregistrés dans divers secteurs de la ville.
De toute évidence, il convient de reconnaître que le parc roulant a décuplé ces dernières années et aucune initiative n’a été entreprise dans le domaine de la signalisation routière.
Chaque jour des goulots d’étranglement sont visibles au centre-ville et même dans les quartiers périphériques et le code de la route est bafoué par des automobilistes irascibles qui refusent de respecter la priorité préconisée. Des sautes d’humeur, un charivari, des échanges de propos discourtois, des empoignades et des bouchons sont le quotidien des citoyens. Les agents de la Sûreté de wilaya font de leur mieux pour réguler ce flot ininterrompu de véhicules et des retards conséquents pénalisent les travailleurs, les élèves et les lycéens. Selon des professionnels de ce secteur, la mise en place de feux tricolores s’impose aux carrefours de l’hôtel de ville, de l’APW, de la mosquée El-Qods, de l’école La Maouna, du Palais de justice, Hadj Embarek, du cimetière des chouhada car ce sont les points noirs déplorés par les automobilistes qui restent coincés pendant d’interminables minutes ! Un directeur d’une agence d’auto-école nous confie : “Il est primordial d’apporter des correctifs au plan de circulation de la ville de Guelma car nous accusons un retard avéré comparativement aux autres wilayas. Nous espérons que cette doléance citoyenne sera prise en charge par le nouveau wali qui sillonne les communes depuis son installation à la tête de la wilaya de Guelma. Une commission pluridisciplinaire doit être opérationnelle afin de proposer des solutions à même d’améliorer la fluidité des véhicules.”
HAMID BAALI
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C’est dans une ambiance conviviale que s’est déroulée au siège de la wilaya la cérémonie marquant la célébration de la Journée nationale de la liberté de la presse à laquelle ont pris part les journalistes et correspondants locaux et de nombreux invités. Dans son allocution prononcée à cette occasion, Abbès Badaoui, wali de Médéa, soulignera le rôle de la presse dans l’accompagnement des actions des pouvoirs publics dans la réalisation des programmes de développement local. La famille du poète, journaliste et moudjahid M’hamed Aoun, décédé en juillet dernier, a été honorée au cours de la cérémonie marquée par un hommage appuyé à l’homme de culture et militant de la cause nationale qu’il a été.
M. EL BEY
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Lors d’une visite d’inspection à la nouvelle aérogare, M. Zaalane a mis l’accent sur l’importance d’une bonne coordination entre les différents services et l’intensification des essais concernant les systèmes techniques et informatiques notamment le système de contrôle des bagages, l’enregistrement des voyageurs, les ascenseurs et les escalators pour parer à tout imprévu lors de la mise en exploitation de cette infrastructure.
L’objectif de la visite dudit projet est de s’enquérir de près des conditions et préparatifs de mise en service de cet important ouvrage d’art, en veillant à assurer une bonne coordination entre les services concernés en termes de prestation de services et de sécurité pour garantir des services de qualité au niveau de cette réalisation.
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Constantine – 40 véhicules ont été vandalisées et endommagées par des inconnus au quartier Guitouni .
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GHARDAIA – L’expérience acquise par l’Algérie dans le domaine des énergies renouvelables a été mise en lumière par les participants au 5ème séminaire International sur les énergies nouvelles et renouvelables (SIENR), organisé mercredi au siège de l’unité de recherche en énergie renouvelable de Ghardaia.
Intervenant à l’ouverture de cette rencontre qui ambitionne d’accélérer le déploiement des énergies renouvelables ainsi que les technologies propres en Algérie, le président directeur général de Sharikat Kahraba wa Takat Moutajadida (SKTM, filiale du Groupe Sonelgaz), chargée des énergies renouvelables, a mis l’accent sur les objectifs ambitieux en matière d’énergies propres et renouvelables développées par l’Algérie pour réduire les centrales électriques à gasoil.
« Nous envisageons la création de centrales électriques hybrides (solaire ou éolienne/ gasoil) dans les wilayas frontalières du sud, en vue de réduire la dépendance énergétique fossile pour ces wilayas ainsi que le coût du transport de cette énergie fossile vers ces wilayas et les risques d’accidents », a affirmé Chahar Boulakhras.
Et d’ajoter que « depuis 2011, nous produisons plus de 350 MGW d’énergie propre et nous envisageons d’augmenter nos capacités pour porter à l’horizon 2030 la part d’énergie renouvelable à plus de 45% à l’échelle nationale », a-t-il expliqué.
Selon M. Boulakhras, l’Algérie a classé la promotion et le développement des énergies renouvelables comme ‘’une priorité nationale’’, eu égard à son rôle dans le décollage économique et le développement durable et propre, précisant que cette filière d’énergie renouvelable a créé plus de 3.500 emplois directs et indirects.
De son côté, le directeur de l’Unité de recherche appliquée en énergie renouvelable (URAER) de Ghardaïa, Djelloul Djaafar, a présenté que cette 5ème édition du SIENR comme une opportunité d’évaluation du secteur de la recherche en énergies renouvelables et une occasion pour déceler les points forts mais aussi les dysfonctionnements.
Cet évènement, qui constitue une tribune d’échange d’expériences et de pratique, vise à rendre compatible les référentiels pédagogiques entre spécialistes et à actualiser les connaissances et à s’imprégner des nouvelles technologies, a souligné M.Djaafar.
Il a encore précisé que l’objectif est de fournir une plate-forme interactive et collaborative pour les chercheurs-universitaires et les partenaires industriels, pour échanger le savoir-faire et les dernières découvertes fonctionnelles de la haute technologie en matière d’efficacité pour les appareils d’énergie verte et de leur fabrication.
Organisée par l’URAER de Ghardaïa, cette manifestation scientifique biennale tend à mobiliser les experts dans les différents domaines des énergies renouvelables et créer un réseau s’appuyant sur de fortes compétences afin de constituer une base de formation et d’échange entre les spécialistes et de contribuer à atténuer les effets induits par les changements climatiques.
Plus d’une centaine de communications portant sur la valorisation du gisement solaire et éolien, la maîtrise de l’énergie et l’environnement et sur le système énergétique hybride, sont animées par des chercheurs et universitaires algériens, selon les organisateurs.
Inauguré en 1999, l’URAER) de Ghardaïa est affiliée au Centre national de développement des énergies renouvelables.
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CONSTANTINE – Le président-directeur général (PDG) de la Société nationale de l’électricité et du gaz (Sonelgaz), Mohamed Arkab, a indiqué mercredi à Constantine qu’une « nette amélioration de la fourniture de l’énergie électrique a été enregistrée, ces dernières années en Algérie ».
« Les programmes de développement affectés au bénéfice des différentes wilayas depuis janvier 2015 ont permis de réduire de manière significative les coupures d’électricité signalées particulièrement durant l’été », a précisé le même responsable au cours d’une conférence de presse tenue dans un hôtel de la ville, à l’issue d’une séance de travail avec les cadres de Sonelgaz de la région est du pays.
M. Akrab a dans ce contexte, souligné que plus de 300 nouveaux postes de transformation électrique ont été installés au titre de ces programmes dans l’ensemble des régions du pays entre 2015 et 2017, attestant que ces équipements ont contribué à porter le taux de couverture en cette énergie à l’échelle nationale à 99 %.
Il a également indiqué que 2.000 projets de raccordement au réseau électrique d’une centaine de pôles urbains, sont actuellement en cours de réalisation à l’échelle nationale.
La réception de ces opérations, a-t-il affirmé, « permettra de renforcer la sécurisation de l’alimentation électrique dans les wilayas du pays et contribuera, dans le futur, à améliorer la qualité de service ».
« Notre objectif à court terme est d’améliorer la qualité de services et de renforcer le réseau de distribution pour satisfaire la demande croissante dans les différentes wilayas du pays, dans divers secteurs à l’instar des secteurs industriel et agricole’’, a-t-il encore détaillé.
« L’Algérie produit actuellement 18.000 MGW d’électricité et couvre l’ensemble de la demande nationale », a ajouté le PDG de Sonelgaz, rappelant que l’objectif du groupe qu’il dirige est d’accroître cette production à 20.000 MGW et d’en exporter vers les pays voisins.
La stratégie de développement du groupe Sonelgaz, l’amélioration de la qualité de service et la formation continue des cadres, des techniciens et agents du groupe, ont été parmi les thèmes débattus au cours de cette rencontre.
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Une quantité de près d’un (1) million de quintaux (qx) de pomme de terre stockés sera mise sur le marché progressivement durant la période fin octobre-début décembre afin d’assurer la disponibilité de ce tubercule et de stabiliser son prix, a indiqué mercredi à Alger un responsable au ministère de Agriculture, du Développement rural et de la Pêche.
Ces quantités déstockées avaient été conservées dès juin dernier dans des chambres froides appartenant à 69 opérateurs conventionnés avec l’Office national interprofessionnel des légumes et viandes (Onilev), répartis sur 14 wilayas, selon les explications du directeur de la régulation des produits agricoles au ministère, Mohamed Kherroubi, lors d’une conférence de presse.
Alors que la récolte de saison tire à sa fin, l’Onilev a procédé samedi dernier à la première opération de déstockage de pomme de terre, selon le même responsable précisant que 50.000 qx ont été commercialisés jusqu’à présent, soit 5% du volume global stocké.
Le déstockage se fera régulièrement sur cinq (5) étapes d’une durée de dix (10) jours chacune, et ce, jusqu’à l’entrée, en décembre prochain, des premières récoltes de l’arrière-saison, notamment celles provenant d’El Oued et de Mostaganem.
Les mois d’octobre et de novembre constituent une période de soudure qui intervient à la fin de la récolte de la saison (mai-octobre) et avant le début de la récolte de l’arrière-saison (décembre-mars). Généralement, les prix de ce tubercule enregistrent une nette hausse durant cette période.
Toutefois, « la marché a vite réagi cette année aux opérations de déstockage », selon le directeur général de l’Onilev, Farid Abdouche.
Le kilogramme de pomme de terre est cédé entre 37 et 45 dinars sur le marché de gros, alors que son prix avait augmenté à 65 dinars juste avant le début du déstockage, d’après les chiffres avancés par M. Abdouche.
Interrogé sur la qualité de la pomme de terre stockée, il a assuré que ce produit agricole a été conservé selon les normes internationales dans des chambres froides contrôlées, conformément au cahier des charges qui régit cette activité.
L’opération de déstockage s’inscrit dans le cadre de la nouveau programme du ministère visant à réguler la distribution des produits agricoles stratégiques, notamment lors de la période de soudure.
Ce programme comprend actuellement deux dispositifs de stockage/déstockage dédiés à la pomme de terre et à l’ail.
Ces dispositifs ont pour objectif principal de stabiliser l’approvisionnement du marché et de préserver les intérêts des agriculteurs qui souffraient, dans les années précédentes, du manque des débouchés à leurs excédants de production.
Pour rappel, la production de la pomme de terre a été de 46 millions qx en 2017 (contre 47,8 millions qx en 2016 et 46,73 millions qx en 2014), soit un taux de croissance de 9,4% entre 2014 et 2017.
Par catégorie, la production en 2017 a été de 26,37 millions de qx pour la pomme de terre de saison, de 1,07 million de qx pour la pomme de terre de primeur et de 18,62 millions de qx pour la pomme de terre d’arrière-saison.
Les wilayas les plus productives en pomme de terre sont El Oued avec une production de 11,53 millions de qx, Ain-Defla avec 6,88 millions de qx et Mostaganem avec 4,47 millions de qx.
Quant aux superficies cultivées de la pomme de terre, elles sont passées de 105.121 hectares en 2009 à 148.692 hectares en 2017.
L’Algérie est classée parmi les plus gros pays consommateurs de pomme de terre avec plus de 111 kg consommés annuellement par habitant, alors que la consommation mondiale moyenne est de 31 kg/habitant/an.
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ALGER – Le nouveau président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Mouad Bouchareb, s’est engagé, mercredi à Alger, pour la consécration de la culture du partenariat au sein de la chambre basse et pour l’ancrage des règles de coopération avec le Gouvernement, sur la base de la séparation des pouvoirs.
Lors de sa première allocution en tant que président de l’APN en remplacement de M. Said Bouhadja, M. Bouchareb « s’est engagé à consacrer la culture de partenariat, d’entente, de construction et de communication permanente avec l’ensemble de la composante afin de hisser le niveau institutionnel de l’Assemblée pour en faire un édifice de démocratie participative et une tribune de défense des intérêts suprêmes de la patrie ainsi qu’à oeuvrer pour « l’ancrage des règles de coopération, d’entraide et de complémentarité avec le Gouvernement sur la base de la séparation des pouvoirs et avec le Conseil de la Nation et les autres institutions et organes constitutionnels ».
Affirmant qu' »il sera ouvert à toutes les opinions et propositions à même de parfaire la performance de l’APN et de la rapprocher davantage du citoyen », M. Bouchareb s’est engager à « asseoir la concertation avec toute la composante de l’Assemblée qu’elle soit de la majorité ou de l’opposition ».
A ce propos, M. Bouchareb a appelé les députés à « adhérer en force au projet de développement initié par le président de la République pour l’édification l’Algérie de la modernité, du développement durable, de la solidarité et de la justice sociale dans le cadre de l’attachement à la souveraineté nationale, à l’unité du peuple, aux constantes de la Nation et composants de l’identité nationale ».
Le président de l’APN a exhorté, dans ce sens, les membres de l’Assemblée à « la confrontation civilisée des vues (…) et à la promotion du débat démocratique ». Il a appelé, à ce propos, à « faire prévaloir l’intérêt de la patrie sur toute autre considération ».
« La priorité de l’APN pour l’heure est la poursuite de ses nobles missions afin de continuer à représenter avec dévouement les citoyens », a déclaré M. Bouchareb avant d’ajouter que « la responsabilité du poste de président de l’Assemblée est, à la fois un fardeau et un défi, ce que nous donne, plus détermination pour la consécration de la place du Parlement conformément à la Constitution et aux aspirations du président de la République et du peuple algérien ».
Il a estimé, à ce propos, qu' »un grand travail » attend la chambre basse aussi bien en matière d’examen approfondi de plusieurs projets de loi et leur tête le projet de la loi de finances 2019 qu’en termes d’accomplissement de contrôle et de diplomatie parlementaire.
Pour le nouveau président de l’APN, son élection par les députés « dénote d’une profonde conscience de la nécessité de garantir la continuité de l’Assemblée, de poursuivre la consolidation de la démocratie et de relever les défis du présent de de l’avenir ».
Il a souhaité, dans ce sens, que « ce cautionnement soit un nouveau départ de l’APN pour une meilleure performance parlementaire dans le cadre du respect, du dialogue et de la confrontation par les idées au service de l’intérêt général ».
« Les acquis de la stabilité et du développement exigent la mobilisation constante dans le cadre du projet de relance du président de la République », a souligné M. Bouchareb ajoutant que « les défis de la satisfaction des demandes du citoyen et de la construction d’une économie forte ainsi que les menaces qui guettent les frontières de l’Algérie nous interpellent pour davantage de vigilance, de mobilisation et d’unification des rangs dans le cadre du front populaire fort auquel a appelé le président Bouteflika.
Aprés avoir exprimé ses remerciements et sa reconnaissance au président de la République pour « la confiance » placée en lui, M. Bouchareb s’est engagé à « ne ménager aucun effort pour être à la hauteur de cette confiance ».
Le Président de l’APN a tenu, en fin, à rendre hommage à l’Armée nationale populaire (ANP) pour son rôle dans la protection de l’Algérie, et à féliciter les journalistes à l’occasion de leur journée nationale.
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Global Group Algérie compte se lancer dans l’exportation de véhicules algériens de marque « KIA » vers la Mauritanie et investir dans les prestations logistiques, à la faveur de la signature, mardi soir, de deux conventions de coopération et de partenariat avec le groupe mauritanien « HB » Bouchraya.
Le groupe algérien compte, à travers ses deux filiales Diaz Export et Diaz Invest, s’associer au groupe HB Bouchraya, pour la distribution et la commercialisation, l’année en cours, de véhicules algériens de marque « KIA » en Mauritanie et dans les pays d’Afrique de l’Ouest, a annoncé le directeur général de Diaz Export, Sofiane Mourad.
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La responsabilité du prince héritier Mohammed ben Salmane paraît de plus en plus probable dans l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Et les États-Unis, qui ont besoin d’une Arabie Saoudite stable dans la région et pour l’approvisionnement pétrolier mondial, commencent à s’interroger sur la capacité du prince à pouvoir diriger le pays.
Depuis dimanche, Donald Trump qui, jusqu’alors, minimisait le rôle des autorités saoudiennes, a changé de ton. Il considère qu’il y a eu «manifestement tromperie et mensonges », jugeant que les récits saoudiens «partaient dans tous les sens».
Le président américain Donald Trump a précisé que le prince héritier, avec qui il a dit avoir échangé lundi, lui avait assuré ne pas être impliqué dans le meurtre du journaliste: «Il a fermement dit qu’il n’avait rien à voir avec cela, c’était à un niveau inférieur», a déclaré le président américain lors d’une réunion avec des chefs militaires.
Le chef des Etats Unis a critiqué ce crime abominable mais aussi, de façon plus surprenante, la manière dont il a ensuite été dissimulé.
«Ils avaient un très mauvais projet à l’origine, il a été très mal exécuté et l’opération de dissimulation a été l’une des pires de l’histoire des opérations de dissimulation. C’est un fiasco total », a-t-il martelé.
Selon Trump, la personne qui dirige ce genre de crimes et à ce niveau, est bel et bien le prince, et i une personne devait être impliqué, ce serait lui !
«C’est une partie du monde difficile, c’est un sale endroit, une sale partie du monde. Mais s’il s’est effectivement passé ce que l’on croit qu’il s’est passé, et si les faits le confirment, c’est vraiment quelque chose de grave» ,ajoute Donald Trump.
Le locataire de la Maison Blanche a pris soin de souligner combien Ryad était un « excellent allié» de Washington depuis des décennies, et a rappelé que le royaume sunnite était «l’un des principaux investisseurs aux Etats-Unis».
Les Etats-Unis ont engagé la révocation du visa des Saoudiens impliqués dans le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi au consulat de son pays à Istanbul début octobre, a indiqué le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo.
Rachel Hamdi
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Par Dr Abderrahmane MEBTOUL
Depuis quelques mois, le sujet sensible du trafic de devises est commenté différemment. Ainsi l’APS annonce mi octobre 2018 que les services de la Police aux frontières (PAF) ont mis en échec des tentatives de transfert et que 300.000 euros et 26.000 dollars ont été saisis. Cette brève analyse est un éclaircissement pour éclairer l’opinion publique autour de quatre points essentiels, devant poser les vrais questions pour solutionner les vrais problèmes. Car les surfacturations, sans compter les trafics aux frontières des produits subventionnés, qui ne datent pas d’aujourd’hui, conséquence d’une gestion administrée, peuvent représenter plus de 98% des transferts illicites de devises, les saisies aux ports et aéroports environ 2% , portant atteinte à la sécurité nationale.
Premièrement, devant s’attaquer à l’essentiel, une nouvelle régulation de l’économie algérienne existant un théorème en sciences politiques : 80% d’actions mal ciblées ont un impact seulement de 20% sur le fonctionnement de la société avec un gaspillage financier que l’on voile par de l’activisme, mais 20% d’actions bien ciblées ont un impact de 80%, renvoyant à une vison stratégique qui fait cruellement défaut. Il ne faut pas se tromper de cibles, devant différencier stratégie et tactiques pour paraphraser le langage des stratèges militaires, existant souvent une confusion entre les sorties de devises résultant des importations de biens et services et le total des dépenses entre 2000/2017. Or sans prétendre détenir la vérité, les calculs de certains soi- disant experts sont erronés , prenant les dépenses données officielles du premier ministre algérien fin décembre 2017 devant l’APN d’environ 1100 milliards de dollars entre 2000/2017, budget de fonctionnement constitué en majorité de salaires et d’ équipement (environ 580 milliards de dollars) , appliquant un taux de surfacturation de 15/20% affirmant 150/200 milliards de dollars de transfert de devises entre 2000/2017 , induisant en erreur l’opinion publique nationale qui a une très faible culture économique.The post Le trafic de devises porte atteinte à la sécurité nationale appeared first on .
STRASBOURG (France) – Une délégation de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) a tenu des rencontres avec plusieurs députés et membres du Parlement européen et l’intergroupe « Paix pour le peuple sahraoui » pour sensibiliser aux conséquences du renouvellement de tout accord économique avec le Maroc incluant les territoires sahraouies.
« Les rencontres tenues par la délégation sahraouie au siège du parlement européen à Strasbourg ont pour objectif de sensibiliser les représentants des peuples européens quant à la gravité des tentatives visant à exploiter les richesses naturelles du Sahara Occidental et à contourner la légalité internationale et les arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) de 2016 et 2018 », a indiqué mercredi l’Agence de presse sahraouie (SPS).
La délégation sahraouie a expliqué aux députés européens les tentatives de la Commission européenne d’outrepasser la légalité internationale et la justice européenne qui avaient auparavant souligné que le Maroc et le Sahara Occidental étaient deux pays distincts et que tout accord entre l’Union européenne (UE) et le Maroc qui inclut le Sahara Occidental ou ses richesses est un accord nul.
La délégation a mis en exergue l’intention de la commission de signer des accords avec le Maroc, ce qui constitue un défi flagrant du droit européen et international.
Ces rencontres interviennent au terme de la séance qui a réuni la commission de la pêche relevant du parlement européen et le Front Polisario pour permettre au représentant du peuple sahraoui de donner son point de vue sur le devenir de l’accord de pêche entre l’UE et le Maroc, le renouvellement de l’accord après la promulgation de la dernière décision de la CJUE le 27 février 2018 étant impossible, selon SPS.
L’envoyé de l’ONU au Sahara Occidental, Horst Kohler se rendra au parlement européen pour assister à une audition que tiendra la commission des relations extérieures pour connaitre la position de l’ONU quant aux accords économiques que l’UE compte signer avec le Maroc et son impact sur la dynamique lancée par l’ONU pour trouver une solution à la question du Sahara Occidental.
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La cellule de communication de cet établissement a indiqué que 1.791 malades cancéreux ont été pris en charge durant la même période.
Ainsi, 608 personnes atteintes de cancer ont subi des interventions chirurgicales concernant les différents genres de tumeurs au niveau des différents services hospitaliers du CHU d’Oran. Parmi ces malades, figurent 347 femmes et 24 enfants dont 10 fillettes.
S’agissant du traitement par chimiothérapie, les différents services concernés ont reçu 1.072 malades pour 3.048 séances de chimiothérapie.
Le nombre de femme ayant subi des séances de chimiothérapie a atteint les 718 cas contre 354 hommes. Pour la radiothérapie, le nombre de malades accueillis par le service est de 111 malades ayant bénéficié de 699 séances de radiothérapie.
Par ailleurs, la wilaya d’Oran attend la réception d’un nouveau centre de traitement oncologique à Hai USTO dans les prochains mois.
Ce centre situé à proximité de l’EHU « 1er novembre » devrait être ouvert au premier trimestre de l’année prochaine après la fin des gros œuvres ayant atteint actuellement un taux d’avancement de l’ordre de 75%.
Ce centre sera doté en matériel médical sophistiqué et disposera de deux accélérateurs nucléaires de haute technologie en matière de diagnostic de la tumeur et son ablation sans toucher aux tissus sains et zones non infectées, a-t-on indiqué.
Les responsables du secteur sanitaire de la wilaya misent sur l’ouverture de ce centre qui atténuera de la charge sur le CAC de Misserghine et des services hospitaliers spécialisés en radiologie et en chimiothérapie qui connaissent une forte tension.
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Le Coordinateur résident du Système des Nations unies en Algérie, Eric Overvest, a indiqué mercredi à Alger que l’Algérie « fait partie des Etats membres de l’ONU les plus engagés » dans la promotion de la solidarité entre les nations, dans une allocution à l’occasion de la Journée des Nations unies, célébrée le 24 octobre de chaque année.
« L’Algérie fait partie des Etats membres les plus engagés à promouvoir la solidarité entre les nations et nous la félicitons du rôle déterminant quelle joue au sein des instances des Nations unies pour la paix, la justice et le développement », a notamment dit M. Overvest.
Dans ce contexte, M. Overvest a salué « l’attachement de l’Algérie aux valeurs universelles de paix, justice, d’égalité et de développement promues par la Charte des Nations unies », ce qui démontre, a-t-il soutenu, « un fort soutien au travail de l’ONU ».
Le responsable onusien a, à la même occasion, souligné qu' »afficher notre attachement à ces valeurs est plus que jamais nécessaire dans un monde où de nombreuses menaces pèsent sur le multilatéralisme ».
M. Overset, qui est également Représentant résidant du Programme de l’Onu (PNUD) en Algérie, a, en outre, indiqué que l’Algérie « s’est distinguée notamment par la proposition de célébrer le +Vivre ensemble en paix+ qui a abouti à l’adoption d’une résolution de l’Assemblée générale de l’ONU le 8 décembre 2017, instituant le 16 mai de chaque année +Journée internationale du Vivre ensemble en paix+ ».
« La paix, le dialogue, la tolérance et l’entente entre religions et les cultures constituent les principes des Nations unies et de sa charte fondatrice », a-t-il soutenu.
M. Overvest a également évoqué le rôle joué par l’Algérie à travers « sa coordination remarquable des initiatives de réformes du système de développement de l’Onu », citant à ce propos l’action de la diplomatie algérienne pour faciliter l’adoption de la résolution 72/279 de l’Assemblée générale pour le repositionnement du système du développement de l’ONU, qui sera effectif à partir de janvier 2019.
Cette résolution, a indiqué M. Overvest, vise à « revitaliser notre organisation, renforcer le multilatéralisme et promouvoir plus d’efficacité et d’efficience dans notre appui aux Etats membres en vue de les aider à mettre en oeuvre le programme du développement durable à l’horizon 2030 ».
M. Overvest a salué également « l’excellente coopération avec le gouvernement algérien au niveau national », indiquant que des progrès « importants » ont été réalisés par l’Algérie en matière du développement économique et social.
Il a, dans cet ordre d’idées, souligné que l’Algérie « demeure en tête du continent africain en matière du développement humain en 2017 ».
Dans ce sillage, M. Overvest a réitéré la disponibilité des Nations unies pour « appuyer et mettre au service » de l’Algérie l »‘expertise de toutes les Agences, Fonds et Programmes, pour capitaliser ses acquis, les valoriser et promouvoir un développement durable et équitable ».
Il a, par ailleurs, annoncé le lancement, d’un partenariat avec le Ministère des Affaires étrangères et le Comité interministériel de coordination et de suivi des objectifs du développement durable (ODD).
De nombreuses activités visant la sensibilisation aux ODD et l’engagement des parties prenantes dans leurs mises en oeuvre dont les premières actions cibleront les médias et la société civile, a-t-il fait savoir.
La cérémonie de célébration de cette Journée a été organisée sous l’égide du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, en collaboration avec le Système de l’Onu, en présence de membres de gouvernement et des représentants du corps diplomatique accrédité à Alger.
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Une soixantaine de diplomates étrangers, dont 15 ambassadeurs, ont participé à la 5e édition du programme « Marhaba » organisé du 14 au 18 de ce mois par l’Institut diplomatique et des relations internationales (IDRI), indique mercredi le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
« Ouverte par le secrétaire général du MAE qui a animé une conférence sur la politique étrangère de l’Algérie, cette nouvelle édition a enregistré la participation d’une soixantaine de diplomates, dont 15 ambassadeurs, qui ont interagi, lors de visites guidées, avec les responsables de divers institutions et organismes, comme le Conseil de la nation, la wilaya de Tipasa, le Comité olympique algérien, l’Agence nationale de développement de l’investissement, la Banque de développement local, la compagnie Sonatrach et les firmes industries médico-chirurgicales et Nestlé Algérie ainsi que le musée du Bardo et l’Opéra d’Alger », précise la même source.
Dans la même cadre, le MAE souligne que « le volet culturel, reflétant la diversité du patrimoine religieux de notre pays, n’a pas été en reste, puisque des visites ont été effectuées à la zaouïa Belkaïdia, la mosquée Ketchaoua ainsi qu’à la Basilique Notre Dame d’Afrique ».
Lancé par le ministère des Affaires étrangères en 2014, le programme « Marhaba » qui est composé d’une série d’activités tournée vers les diplomates étrangers, nouvellement accrédités en Algérie, comprend des visites d’institutions nationales, de sites à vocation économique, culturelle et touristique, mais aussi des conférences thématiques, ajoute le communiqué.
L’objectif étant de « familiariser le corps diplomatique avec le monde institutionnel, économique et culturel du pays.
Elle permet à ces diplomates de découvrir les potentialités que recèle notre pays, de prendre connaissance du fonctionnement des institutions nationales, de rencontrer leurs responsables et de les mettre en relation avec les opérateurs économiques, publics et privés », indique le MAE.
« L’on retiendra que l’initiative +Marhaba+, une fenêtre ouverte sur l’Algérie, plurielle et en mouvements, est marquée par un engouement et un intérêt, de plus en plus grandissants, de la part de la communauté diplomatique étrangère en Algérie qui y participe régulièrement et en nombre », conclut le ministère.
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