“Nous pouvons aujourd’hui choisir notre travail, genre, orientations politique et sexuelle. Nous avons même le droit de changer de nom. Alors pourquoi ne pas avoir le droit de changer d’âge ?”
C’est par ces mots qu’un Néerlandais de 69 ans, mécontent d’être à la retraite et “victime de discriminations” à cause de son âge sur le marché de l’emploi et en amour, demande à la justice de le rajeunir de deux décennies.
La “sérieuse” demande d’Emile Ratelband a laissé sans voix les magistrats d’un tribunal du sud-est des Pays-Bas. Il indique avoir essayé, en vain, de stopper son droit au minimum vieillesse, se disant vexé d’y avoir droit.
Devant le tribunal d’Arnhem, M. Ratelband a argué une demande “tout à fait légitime”, au même titre que celles des personnes unisexes qui ont obtenu le droit d’être inscrites en tant que tels sur leur passeport. Après avoir été confronté dans un premier temps aux “ricanements” des magistrats, M. Ratelband estime que son avocat, le pénaliste renommé Jan-Hein Kuijpers, a réussi à “déstabiliser” le juge. “Cette affaire est inédite, il n’y a pas de jurisprudence. Les chances de succès sont infimes mais nous estimons que la législation doit évoluer avec son temps”, a commenté M. Kuijpers
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S’il est vrai que les responsables de la commune montagneuse de M’Kira, dans la daïra de Tizi-Gheniff, à une cinquantaine de kilomètres à l’extrême sud de Tizi Ouzou, avaient fait des mains et des pieds pour trouver une assiette foncière pouvant accueillir une partie des locaux commerciaux réalisés dans le cadre de la fameuse opération appelée communément “les locaux commerciaux du Président” destinés aux jeunes chômeurs, leur réalisation a pris beaucoup de temps et leur livraison se fait désirer.
Le fameux projet des 64 locaux commerciaux implanté au lieu-dit Akerrouch-Oufella, lancé en 2008, a fait l’objet, entre-temps, d’un état de dégradation avancée. “Ces locaux n’ont pas été pris en charge comme il se doit. Une fois achevés, ils ont été laissés à l’abandon”. C’est ainsi que les vitres et la boiserie ont été saccagées alors que des carences de construction ont été relevées, nous confie un élu de l’exécutif communal. Sans omettre que lesdits locaux sont toujours dépourvus d’électricité. Les jeunes chômeurs, qui devaient en bénéficier, sont, quant à eux, dans l’expectative.
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Le journaliste-fixeur Saïd Chitour, emprisonné sans procès depuis 500 jours a été libéré ce dimanche. Il a été condamné par le juge d’instruction près le tribunal de Dar El Baida, à 16 mois de prison ferme, déjà purgés, et une année avec sursis.
Le procureur de la république avait requis cinq ans de réclusion criminelle. Saïd Chitour, correspondant de médias étrangers anglophones et fixeur pour les journalistes étrangers, a comparu devant le tribunal de Dar El Beida en juin 2017 avant d’être placé sous mandat de dépôt. Il était accusé d’“espionnage, remise de documents classés confidentiels à des diplomates étrangers dans le but de nuire à la sûreté nationale”.
En plus d’être diabétique et hypertendu, Said Chitour souffre de problèmes au cerveau. « La dégradation de son état de santé nous fait craindre le pire » avait déclaré sa famille lors du rassemblement organisé par un collectif de journalistes, militants des droits de l’Homme et certaines ONG, à l’occasion de la journée nationale de la presse, le 22 Octobre dernier. Devant le juge Said Chitour a affirmé : « Je suis innocent. Fils de ce pays, de parents Algériens. J’ai milité pour ce pays, et j’ai voulu embellir l’image de notre Algérie ». K
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Une association française de pieds noirs a récemment sollicité une réaction du président français au sujet de l’état dans lequel se trouvent les cimetières chrétiens et juifs en Algérie.
Le président de cette organisation, l’avocat Me Jacques Cavanna, qui a récemment séjourné en Algérie à l’occasion de la Toussaint où il a visité avec une quinzaine de membres de l’association certains cimetières de chrétiens et juifs français morts en Algérie durant la période coloniale, pointe un doigt accusateur sur les représentants de l’Etat français en Algérie. Il leur reproche de ne pas en faire suffisamment pour protéger les sépultures de ses aïeux morts en Algérie.
Dans sa longue missive au chef de l’Etat français, le président de l’Association de la sauvegarde des cimetières français en Algérie dénonce « l’attitude méprisante des autorités chargées de représenter la France en Algérie. Nous avons été choqués pour les cérémonies de la Toussaint, début novembre, par l’attitude de l’ambassadeur de France en Algérie, entouré des attachés militaire et culturel, qui n’ont pas déposé une seule gerbe, couronne ou même une seule fleur fraîche. Notre délégation s’est déplacée avec quatre gerbes en hommage aux morts français en terre algérienne ».
Le président de l’Association de la sauvegarde des cimetières français en Algérie a donné l’exemple des carrés juifs et chrétiens du cimetière d’Aïn M’lila, lesquels auraient été rasés par un promoteur local à l’insu des autorités de la ville de Aïn M’lila. Une tentative de joindre le premier responsable de l’APC de la deuxième plus importante commune de la wilaya d’Oum El-Bouaghi a été vaine.
Le militant pied noir, un avocat montpelliérain, revient aussi sur une affaire de fosse commune qu’il aurait trouvé au cimetière chrétien de Bologhine, à Alger. Il a cependant qualifié la réaction du peuple algérien de correcte face aux « agressions » subies par les cimetières chrétiens. Il a relevé, dans une déclaration au journal régional Métropolitain, qu’au court de son voyage, il a pu constater cette réalité : « Le problème ne vient pas des Algériens. Ils nous aident dans nos démarches et se disent confus quand nos cimetières sont détruits. Le problème vient de la France. Il faut que M. Macron le comprenne bien », a-t-il assuré au tabloïd.
Le respect des morts reste aussi une ligne rouge à ne pas franchir. Les incessantes demandes de l’Etat algérien concernant notamment la restitution des crânes de résistants algériens exposés il y a quelques années au musée de l’Homme à Paris, le prouvent. Le respect des morts, quelle que soit leur appartenance religieuse, s’impose.
Le premier responsable de l’association est revenu, par ailleurs, sur sa demande formulée, il y a quelques années déjà, au ministère de la Justice algérien pour l’obtention de la nationalité algérienne. Un cas loin d’être isolé puisque selon le journal, près de 60% de pieds noirs établis en France souhaiteraient avoir la nationalité de leur pays de naissance. Une situation au sujet de laquelle l’Etat algérien semble ne pas encore être prêt à trancher dans la mesure où un grand nombre de ces Français avaient fait le libre choix de rallier la cause du colonisateur pendant la guerre de libération nationale.
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Les lecteurs du magazine automobile allemand Sport Auto ont placé l’Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio à la première place de la catégorie Berlines moyennes importées/breaks jusqu’à 100 000 Euros tandis que la Giulia Veloce remporte la catégorie Berlines moyennes importées/break jusqu’à 50 000 Euros.
Une fois par an, le célèbre magazine automobile allemand Sport Auto interroge ses lecteurs les plus amateurs de performance sur leurs modèles préférés. C’est pourquoi les résultats du Sport Auto AWARD, qui se concentre principalement sur les capacités dynamiques de chaque concurrent, sont considérés comme une référence pour les constructeurs de voitures sportives. Pour la deuxième fois consécutive, l’Alfa Romeo Giulia s’est particulièrement distinguée. Comme en 2017, le porte-drapeau de la gamme, l’Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio, propulsé par un moteur essence bi-turbo 2.9 V6 de 510 ch, a remporté la catégorie Berlines moyenne importées/ Break jusqu’à 100 000 Euros. L’Alfa Romeo Giulia Veloce, équipée d’un moteur 2.0 essence turbo 2.0 de 280 ch, a quant à elle été classée première voiture importée dans la catégorie ’Berlines moyennes importées / breaks jusqu’à 50 000 Euros.
Au classement général, ces deux Alfa Romeo Giulia ont également concouru dans le classement général de leurs catégories respectives, face à ses puissantes concurrentes allemandes. Les lecteurs de Sport Auto ont une nouvelle fois démontré leur préférence pour le design, le style et les performances italiennes. Ils ont classé les Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio et Veloce au troisième rang dans leurs catégories respectives.
L’Alfa Romeo 4C Spider s’est pour sa part classée au troisième rang dans la catégorie Roadster jusqu’à 100 000 Euros et se plaçant à nouveau dans le top 3 de la catégorie.
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InMotion Ventures, le fonds de capital-risque de Jaguar Land Rover, annonce qu’il investit dans ARC qui a dévoilé, à l’Eicma de Milan, ‘Vector’ – la première moto 100% électrique au monde avec une Interface Homme-Machine (HMI).
Arc a dévoilé au salon de Milan son premier modèle « Vector » avec sa combinaison haptique intelligente et son casque connecté HUD (affichage tête-haute). La Vector est un roadster totalement électrique d’une autonomie d’environ 320 km en cycle urbain et de presque 200 km sur autoroute.
Fondateur et CEO d’Arc, Mark Truman explique que » notre objectif a toujours été d’associer la technologie, les performances et la sécurité pour proposer une expérience complètement différente sur deux roues. Vector n’est pas qu’une simple moto ; c’est le premier Café racer électrique au monde. Son casque innovant à affichage tête haute et sa combinaison tactile agissent de concert pour créer une expérience unique. Nous sommes très heureux du soutien que nous apporte InMotion en cette phase de lancement. Leur équipe partage nos objectifs et nous avons hâte de travailler ensemble pour créer de nouveaux produits révolutionnaires ».
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L’usine Renault Algérie Production d’Oued Tlélat a fêté hier son quatrième anniversaire depuis son entrée en activité le 10 novembre 2014 en présence PDG de l’alliance Renault-Nissan, Carlos Ghosn.
Dès 2015, la capacité de production installée est passée de 25.000 à 35.000 véhicules/an avec l’intégration d’une seconde équipe et l’augmentation de la cadence de production de 7 à 10 véhicules/heure, le cap des 10.000 unités assemblées ayant été atteint au mois de septembre 2015, année qui a enregistré 20.000 véhicules produits .
En juin 2016, une 3eme équipe de fabrication est opérationnelle, portant ainsi la capacité de production installée à 50.000 véhicules/an et plus de 700 emplois directs, soit 2 fois plus de ce qui avait été prévu dans le projet initial. Une année 2016 qui a enregistré plus de 42.000 unités assemblées avant de voir la production passer à un peu plus de 60.000 véhicules en 2017 avec 30.131 Renault Symbol et 30.458 Dacia Sandero Stepway.
Il a fallut attendre l’année en cours pour voir l’usine Renault Algérie Production lancer un troisième modèle sur le marché, la Renault Clio 4après avoir opéré une extension de la ligne de montage pendant l’été 2017, l’usine d’Oued Tlélat devenant ainsi le quatrième site de la marque française à voir sortir de ses lignes ce modèle tout en offrant à RAP les premières automatisations du site et de l’installation d’un premier robot.
L’usine RAP c’est désormais 1 voiture assemblée toutes les 4 minutes, soit 14 chaque heure (25 unités/jour lors de l’inauguration) et le montage d’un véhicule en entier dure 120 minutes. Notons que les modèles RAP subissent un taux d’assemblage de 2500 pièces/véhicule. Ceci dit, l’usine doit tourner actuellement presque au maximum de sa capacité de 75.000 unités, ce qui ferait d’ici la fin de l’année en cours, un total de 200.000 véhicules sorties de Renault Algérie Production dont l’objectif est de passer à plus de 100.000 unités/an après l’entrée en activité de la seconde phase avec les bâtiments « Tôlerie » et « Peinture », et atteindre un investissement total de 800 millions d’euros.
Une nouvelle phase qui devrait booster la présence des sous-traitants, au nombre de cinq actuellement, et le porter à « 17 manufacturier puis passer à 25 », selon les déclarations de Fabrice Combolive, (Directeur des Opérations AMI du Groupe Renault)
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Honda dévoile, à l’occasion de l’ouverture du salon EICMA de Milan, la totalité de sa gamme européenne 2019 avec l’arrivée de deux nouveaux modèles ainsi qu’une profonde mise à jour pour trois modèles supplémentaires.
Après avoir dévoilé en 2018 ses roadsters CB1000R, CB300R et CB125R, Honda lance aujourd’hui son concept unique de « Neo Sports Café »dans l’arène des moyennes cylindrées. Le langage de style est moderne et minimaliste, mixant des inspirations « Café Racer » avec une forme trapézoïdale supercompacte qui ne manque pas d’attirer l’œil. La motorisation quatre cylindres en ligne est clairement placée en évidence, cernée par l’optique avant et le réservoir caractéristique de la famille des « Neo Sports Café » Honda. À ce dessin s’ajoute des équipements de haute qualité, à l’image de la fourche inversée Showa ø 41 mm de type ‘Separate Function’, des étriers avant 4 pistons à montage radial, du système de contrôle de couple HSTC (Honda Selectable Torque Control), de l’embrayage à glissement assisté ou encore de l’instrumentation digitale ultramoderne. Le résultat est un roadster de moyenne cylindrée particulièrement séduisant, avec sa combinaison d’esthétisme, de performances et de caractéristiques premium. Enfin, un kit de conversion 35 kW est disponible pour la CB650R.
Autre arrivée au sein de la gamme 2019, celle de la sportive CBR650R. Le nouveau style de cette machine s’inspire très nettement de celui de la CBR1000RR Fireblade, en particulier au niveau des lignes agressives, des larges panneaux latéraux, de la section arrière ultracourte ou encore de l’éclairage double optique avant confié à des diodes. La CBR650R est 6 kg plus légère que la CBR650F qu’elle remplace, avec une position de conduite plus sportive grâce aux bracelets repositionnés 30 mm plus bas ainsi qu’à des repose-pieds reculés et rehaussés. Son bloc quatre cylindres en ligne voit sa plage de régime étendu de 1 000 tr/min et délivre désormais 5 % de puissance supplémentaire pour arriver un total de 70 kW à 12 000 tr/min, alors qu’un kit conversion 35 kW est également disponible.
Le millésime 2019 des CB500F, CBR500R et CB500X dispose désormais d’une nouvelle suspension arrière, d’un embrayage à glissement assisté, d’un éclairage intégralement confié à des diodes, d’une instrumentation à cristaux liquides modernisées avec indicateurs de passage de rapports et de rapport engagé mais aussi d’un nouvel échappement à double sortie qui enrichit la sonorité.
Le roadster CB500F se distingue par un style plus aiguisé avec une pointe avant plus anguleuse et des écopes latérales qui s’intègrent plus étroitement avec le réservoir de carburant.
La CBR500R a également été redessinée : elle est plus étroite et plus acérée, avec une position de pilotage plus marqué, comme la Fireblade dont elle assume l’inspiration.
Quant au trail CB500X, il revendique encore plus fortement son caractère aventurier avec une nouvelle jante avant de 19 pouces, des suspensions dont les débattements ont été augmentés, une selle plus fine, un angle de braquage plus important et un carénage dont les formes plus musclées sont également plus efficaces en matière de protection contre le vent.
Enfin le salon de Milan permet également de découvrir les améliorations apportées aux CBR1000RR Fireblade et CBR1000RR Fireblade SP, X-ADV, GL1800 Gold Wing et SH300i.
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Le projet de l’usine Ford en Algérie en partenariat avec Atlantis Motors Company du Groupe GCIM aurait reçu le feu vert du Conseil National d’investissement (CNI).
En effet, c’est ce que rapporte la télévision privée El Djazairia One appartenant au même propriétaire que GCIM et dont la branche AMC est le partenaire du constructeur américain suite à la signature d’un pacte des associés à la fin de l’année dernière.
La source en question tout en confirmant l’accord du CNI annonce que les premières unités de cette usine installée sur une superficie de 100 hectares à Sidi Khettab (Relizane), proche de l’usine Sovac Production SPA, fruit d’un investissement de 200 millions USD, sortiront au mois de mars 2019 sur une superficie de 100 hectares. Toujours selon la même source, le taux d’intégration avoisinera dés son lancement les 30%, pour attendre les 40% durant la deuxième année.
Disposant de deux lignes d’assemblages et pour une capacité de départ de 25.000 unités, elle aura à assembler divers modèles avec dont la Figo et l’Ecosport avant de passer à 50.000 unités au bout d’une année avec l’élargissement de la gamme en incluant les utilitaires.
Enfin, le pacte des associés stipulait également qu’une académie Ford devrait également voir le jour afin de former les professionnels du métier de l’automobile.
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Les services de la wilayas d’Alger ont pris ont charge plus de 14.000 personnes sans abri en 2018, a indiqué samedi le directeur de la protection civile de la wilaya d’Alger, le colonel Mohamed Tigherstine. Intervenant lors d’une conférence organisée par la wilaya d’Alger et le Croissant rouge (CRA) sur l’action humanitaire, le colonel Tigherstine a fait état du transfert de 14.499 personnes sans abris aux centre d’accueil d’Alger.
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BLIDA – Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaàlane, a annoncé dimanche à Blida la concrétisation dans une « prochaine étape » d’un système d’entretien des routes et des infrastructures réalisées ces deux dernières décennies à l’échelle nationale dans l’objectif d’améliorer le service public.
« Le ministère de tutelle va oeuvrer, durant la prochaine étape, à l’instauration d’un système pour l’entretien des réseaux routiers et des infrastructures ayant coûté des sommes importantes au Trésor public », a indiqué M.Zaàlane dans une déclaration à la presse, en marge d’une visité de travail dans la wilaya, l’ayant conduit sur les chantiers de nombreux projets relevant de son secteur.
Citant un « manque d’entretien » de certains projets comme étant la cause principale de la « faiblesse des prestations offertes aux citoyens à leur niveau en dépit de la haute qualité de leur réalisation », le ministre a réitéré la nécessité d’ancrer une culture de la maintenance et de l’entretien « jusqu’à en faire un reflexe naturel chez les responsables en charge ».
Il a, à ce titre, signalé une hausse, en 2019, dans les dotations affectées au volet maintenance de ces infrastructures de base, ce qui est, pour lui, le reflet de « l’intérêt conféré par l’Etat à la promotion du service public ».
Interrogé sur le sort réservé à des projets « gelés » pour cause d’austérité économique, M. Zaàlane a révélé qu’ils (projets) seront « relancés progressivement, dés l’amélioration de la situation financière du pays ».
Il a cité, parmi eux, les projets des tramways de Blida, d’Annaba et de Batna.
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ALGER- Le potentiel et le savoir-faire nationaux de l’industrie de la sous-traitance sont sous-exploités, a indiqué dimanche le directeur de la Bourse algérienne de la sous-traitance et des partenariats (BASTP), Layeb Azziouz.
Intervenant au cours d’une conférence de presse de présentation de la 5ème édition du salon international de la sous-traitance industrielle (ALGEST 2018), prévue du 21 au 24 novembre au palais des expositions d’Alger , et co-organisée par le World Trade Center Algiers (WTCA) et la BASTP, M.
Azziouz a estimé que pour exploiter pleinement le potentiel de la sous-traitance en Algérie, il y a nécessité d’accompagner au plus près les entreprises du secteur, généralement des PME ou des TPE, pour insuffler une dynamique sur les moyen et long termes.
Prenant l’exemple de l’industrie automobile, il a plaidé pour l’incitation des équipementiers étrangers des constructeurs automobiles à créer des joint-ventures avec des entreprises locales lorsque le volume de production atteindra un seuil minimal de rentabilité pour les sous-traitants, soit 300.000 à 400.000 unités.
Le même responsable a expliqué que le développement de la sous-traitance est un processus « très lent », qui exige des entreprises du secteur de répondre aux exigences internationales et aux homologations.
Présent à la conférence, le président de la BASTP, Kamel Agsous, a indiqué que le salon accueillera cette année 92 exposants répartis entre donneurs et receveurs d’ordre dans les filières liées à la métallurgie, la sidérurgie, la mécanique, l’électricité, l’électronique et la plasturgie ainsi que les métiers relatifs aux services.
Au-delà des secteurs traditionnels, cette édition verra la présence « marquée » des secteurs du montage automobile, de l’énergie (Sonatrach et Sonelgaz notamment), du transport, du développement durable et de l’industrie militaire relevant du ministère de la Défense nationale (MDN).
Des conférences se tiendront également au cours de l’événement et des rencontres B to B.
Pour sa part, le directeur général du WTCA, Ahmed Tibaoui, a fait savoir que ce salon intervient au moment où émerge une « réelle prise de conscience » de l’intérêt de diversifier l’économie nationale à travers une production locale intégrée, des investissements étrangers et des partenariats, notamment publics-privés.
Une orientation qui est soutenue par une « politique volontariste » du gouvernement pour que les entreprises aillent vers plus d’industrialisation, selon M. Tibaoui.
Par ailleurs, les intervenants ont insisté sur la nécessité du développement de la sous-traitance au moment où les importations de l’Algérie en matière de pièces de rechange ont atteint les deux (2) milliards de dollars Pour rappel, le nombre actuel de sous-traitants en Algérie est entre 900 et 1.000 entreprises, soit 10% des entreprises du tissu industriel.
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ORAN- La 3ème édition du Salon de l’emploi « Tamheen » est prévue du 28 au 30 novembre à Oran, a-t-on appris dimanche auprès de l’association organisatrice « Santé Sidi El-Houari » (SDH).
Cet événement se propose de « contribuer à la mise en place de passerelles entre les demandeurs d’emploi et les entreprises à l’effet de faciliter leur insertion professionnelle », a indiqué à l’APS Assia Brahimi, vice-présidente chargée de la communication à « SDH ».
En plus de sa vocation à favoriser le contact direct entre postulants à l’emploi et recruteurs, cette nouvelle édition mettra également en relief « la démarche entrepreneuriale » afin d’encourager les jeunes à créer leur propre micro-entreprise, a fait valoir Mme Brahimi.
Les dispositifs publics d’insertion et de facilitation seront présentés à ce titre par des cadres des organismes compétents à l’instar des agences de l’emploi (ANEM) et de gestion du micro-crédit (ANGEM).
Le salon « Tamheen » est initié par « SDH » en partenariat avec l’organisation internationale à but non lucratif « World Learning », basée à Alger, avec l’appui de l’ambassade des Etats-Unis dans le cadre de l’Initiative de partenariat avec le Moyen-Orient (MEPI).
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– Les députés intervenant à la séance plénière de l’Assemblee populaire nationale (APN), consacrée au PLF 2019, présenté, dimanche, par le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, ont exprimé leur satisfaction de la non-imposition de nouveaux impôts et de la préservation d’un niveau élevé de dépenses sociales, au titre de ce projet, en dépit de la conjoncture financière qui demeure difficile.
Lors d’une séance plénière, présidée par le président de l’APN, Mouad Bouchareb, en présence de plusieurs ministres, le député Abdelhamid Si Afif (FLN) a valorisé les dispositions prévues dans le PLF, visant à préserver les acquis sociaux des citoyens et à consacrer la levée du gel sur certainsprojets vitaux, saluant l’affectation d’une enveloppe de 100 milliards Da au financement des plans communaux de développement (PCD).
Le député a plaidé, au nom de son parti, « la continuité », louant par la même les efforts du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, visant à préserver les dépenses sociales et à protéger le pouvoir d’achat des citoyens, appelant à maitriser davantage le taux d’inflation.
Pour sa part, le député Mohamed Kidji (RND) a salué les efforts du chef de l’Etat qui « s’est attelé à épargner au peuple les retombées de la crise financière », se félicitant de la non imposition de nouveaux impôts et de l’affectation d’une enveloppe importante aux dépenses sociales, dans le cadre du PLF 2019.
S’agissant du financement non conventionnel, lancé fin 2017, le député a qualifié ses résultats de positifs jusqu’à présent, ajoutant qu' »au moment où certains annonçaient des scénarios dramatiques sur l’impact de ce financement, nous ne constatons aujourd’hui aucune retombée, ni augmentation conséquente des prix depuis son application, ni dévalorisation de la monnaie, ni de nouveaux impôts en 2019″, a-t-il soutenu.
D’autre part, le député à plaidé pour une évaluation des nombreux avantages offerts par le gouvernement aux investisseurs privés, quasi-inexistants sur le plan socio-économique.
Le député Mohammed Laid Bibi, du même parti a insisté sur la revendication de « continuité », au regard de la réussite de la politique du président de la République à contenir les conséquences de la crise financière qui a secoué le pays, selon lui, saluant l’adoption du mécanisme de financement non conventionnel.
Le membre de l’APN a évoqué le secteur de l’Industrie et la filière de montage de véhicules, s’interrogeant sur la capacité du gouvernement à contrôler la surfacturation des pièces détachées et du taux d’insertion jugé, selon lui, trop bas à l’heure actuelle.
Il est revenu, en outre, sur la levée du gel sur les importations, en imposant de nouvelles taxes sur les importations, en vertu de la loi de finances complémentaire 2018, mettant en garde contre « la gravité » d’une telle mesure sur les entreprises locales ayant connu un essor, grâce, a-t-il dit, à la suspension de l’importation des produits fabriqués localement.
De son côté, le député du FLN, Brahim Laaroussi a salué les mesures prévues dans ledit texte, s’étonnant de « l’absence d’avantages spécifiques à la région du sud ».
Nadia Chouitem, du parti des Travailleurs (PT), s’est félicitée de la non imposition d’impôts ou de nouvelles taxes dans le PLF 2019, déplorant, toutefois, « une omission du chômage, le texte ne prévoyant pas suffisamment de postes d’emploi ».
A cet effet, Mme Chouitem a cité l’exemple du secteur de l’Education qui connaît un déficit de 45.000 postes d’emploi, au moment où la loi en propose 7000 nouveaux postes seulement, un nombre qu’elle a jugé « insuffisant », ajoutant que même la création de 18.000 nouveaux postes d’emploi en vertu dudit texte demeure « en deça » des attentes.
S’agissant de la politique « d’austérité » adoptée par le pays, la députée du PT a mis en garde contre « ses retombées sur l’unité nationale, en raison du recul du niveau de couverture sociale et du gel de plusieurs projets, en sus de la hausse du niveau de pauvreté ».
Elle a appelé, dans le même sens, à « sauver » le système de retraite et de sécurité sociale menacés, selon elle, de « disparition ».
Le débat du PLF 2019 se poursuivra jusqu’à lundi, avant que le ministre des Finances ne réponde aux questions des membres de la chambre basse du parlement. Le vote du projet de loi aura lieu jeudi prochain.
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La Révolution de Novembre demeurera « à jamais » le référent et la source d’inspiration dans lequel l’Armée nationale populaire (ANP) puisera les fondements de sa stratégie sur la voie du développement et de la modernisation, rapporte la revue el Djeich dans son dernier numéro.
« Si les Moudjahidine de la Révolution de Novembre se sont inspirés des sacrifices de leurs ainés en matière de lutte militante et de résistance, la Révolution de Novembre demeurera à jamais le référent et la source d’inspiration et le creuset fondamental dans lequel l’Armée nationale populaire puisera les fondements de sa stratégie sur la voie du développement et de la modernisation », souligne el Djeich dans son éditorial.
« Il en est pour preuve, la place privilégiée que l’institution militaire accorde à notre glorieuse Révolution qui se reflète à travers l’intégration de l’Histoire de la Révolution en tant que matière essentielle des programmes d’enseignement de toutes les institutions de son système deformation, conformément aux instructions et orientations du président de la République, chef suprême des forces armées, ministre de la Défense nationale, M. Abdelaziz Bouteflika », ajoute la même source.
Le 1er Novembre 1954 a inauguré « une ère nouvelle et une des plus belles pages du combat héroïque mené par le peuple algérien depuis que l’occupant colonialiste avait posé les pieds sur son territoire », note el Djeich pour qui « les descendants de l’Emir Abdelkader, Bouamama, EI Mokrani, Lalla Fatma N’soumer, Ahmed Bey et bien d’autres avaient la conviction qu’ils avaient rendez-vous avec l’histoire, que l’aube de la liberté allait poindre de nouveau et que l’affranchissement du joug colonial se concrétisera inéluctablement toutes les fois que le sang de nos valeureux Chouhada abreuvera chaque pouce du territoire national ».
L’édito rappelle, à ce titre, les propos du vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, qui a réaffirmé l’importance de « préserver la continuité du message des vaillants Chouhada et braves Moudjahidine de pérenniser ces valeurs au sein de notre armée et les ancrer dans les esprits, voire dans le coeur de tout un chacun » et « qu’elles soient une assise fondamentale sur laquelle se fonde le projet dedéveloppement constant et croissant de notre armée, de façon à assumer efficacement les différentes exigences de la défense et de la sécurité nationales ».
Sur un autre plan, el Djeich relève que parallèlement aux efforts soutenus déployés pour le développement et le renforcement du corps de bataille de l’ANP, les fabrications militaires de l’ANP, dans leur diversité, « ont opéré, ces dernières années, des avancées considérables sur le plan de lasatisfaction des besoins de nos forces armées, tout en contribuant grandement à l’effort visant à redynamiser et à développer l’économie nationale ».
« Ainsi, dans le prolongement de la dynamique nouvelle et novatrice conférée par le programme de relance de l’économie nationale, l’ANP s’est engagée sur la voie de la création d’industries militaires puissantes, à travers une base s’articulant autour de la technologie et des capacités de production au diapason de l’évolution et du développement des sciences », note la même source.
Selon el Djeich, les fabrications militaires ont contribué à la mise en place de « pôles régionaux, répartis à travers le territoire national, qui ont réussi en un laps de temps très court, à développer différents produits, dont ceux adaptés aux particularités géographiques et climatiques du pays ».
Il est à relever que ce numéro d’el Djeich a consacré un supplément spécial 1er Novembre 1954 intitulé « La Révolution libératrice, source de fierté et de progrès » dans lequel ont été publiés, outre le message du président de la République et du Général de Corps d’Armée à l’occasion de la commémoration du 64ème anniversaire de la Révolution, plusieurs autres articles sur le parcours glorieux de l’Armée de libération nationale et des témoignages, notamment celui de la Moudjahida Sekkoura Houari sous le titre « La flamme éternelle de Novembre ».
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Le Premier ministre Ahmed Ouyahia a fait dimanche un don de l’ouvrage « L’Emir Abdelkader : l’épopée de la sagesse » à la bibliothèque du Forum de Paris sur la paix.
Le Premier ministre a indiqué que c’est le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui l’a chargé d’offrir cet ouvrage, en trois langues (arabe, anglais et français), en témoignage des sacrifices de l’Algérie pour la paix et la sécurité dans le monde.
La cérémonie de remise s’est déroulée en présence du ministre des Affaires étrangères Abdelkader Messahel.
La préface de l’ouvrage (paru en 2017) est signée par le président Bouteflika, rappelle-t-on.
Le Beau-Livre, se composant de cinq chapitres, raconte la vie et le parcours du fondateur de l’Etat algérien moderne. Il évoque l’Emir le stratège et l’homme d’Etat, le mystique, l’humaniste et l’intellectuel.
Il a été coécrit par 11 personnalités, spécialistes dans le domaine de l’histoire, la littérature et les religions, connus pour leurs écrits sur la pensée, l’humanisme et la culture de l’Emir.
Le Premier ministre Ahmed Ouyahia, accompagné du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a été désigné par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour prendre part aux cérémonies commémoratives du centenaire de l’armistice qui a marqué la fin de la Première Guerre mondiale, rappelle-t-on.
Après avoir pris part dimanche matin, aux côtés de 72 chefs d’Etat et de gouvernement, à la cérémonie commémoration de la fin de la Grande Guerre, il a participé au cours de l’après-midi au Forum de Paris sur la paix.
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La commission des Finances de l’Assemblée populaire nationale (APN) a introduit le nouvel article 35 Bis dans le Projet de loi de finances (PLF) 2019 stipulant la révision de l’article 57 portant loi de finances 2008. Il s’agit de l’introduction du nouvel article 35 Bis pour expliquer la disposition relative à la cessibilité des logements par les bénéficiaires, deux ans après l’établissement de leurs contrats, à l’exception du transfert de la propriété pour décès et des types de logements financés par l’Etat ou ceux ayant bénéficié d’une aide de l’Etat pour l’acquisition de la propriété. Il s’agit, donc, des logements sociaux participatifs (LSP), appelés actuellement Logements promotionnels aidés (LPA), des Logements locatifs publics (LLP) et des logements de type location-vente.
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Une peine de 12 ans de prison ferme a été prononcée dimanche en appel par le tribunal criminel d’Ouargla à l’encontre de B.B (40 ans) pour importation et transport illicite de produits stupéfiants dans le cadre d’une bande criminelle organisée. Selon l’arrêt de renvoi, les faits de l’affaire remontent au 15 octobre 2015 lorsque les éléments de la gendarmerie nationale ont intercepté au niveau d’un barrage routier à Touggourt un camion conduit par le mis en cause et à bord duquel a été découverte une quantité de kif traité estimée à 477,5 kilogrammes, soigneusement dissimulée.
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Des milliers de Bulgares ont manifesté dimanche à travers tout le pays contre les prix élevés des carburants, bloquant la circulation dans une vingtaine de villes et sur les principales routes du pays, ont rapporté les médias. A Sofia un millier de manifestants se sont rassemblés devant le siège du gouvernement, scandant notamment « Démission ». Ils ont défilé à pied en centre-ville, bloquant la circulation sur plusieurs carrefours importants.
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