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Updated: 15 hours 42 min ago

Le secrétaire général du syndicat d’entreprise de Sider installé: Les défis qui attendent Redha Djemai

Mon, 11/12/2018 - 15:26

Par Wahida BAHRI

La réussite du projet d’investissement, la préservation du pacte social et les acquis socioprofessionnels, sont entre autres défis retenus dans l’agenda.

Élu, dimanche dernier, secrétaire général du syndicat de l’entreprise Sider El Hadjar, Redha Djemaï a été installé, hier dans ses fonctions. Le nouveau conseil syndical se compose, outre Redha Djemaï, de six autres membres dont, pour la première fois, une représentante des femmes travailleuses du complexe. Il s’agit d’Aïssani Hayat. Ont été présents à la cérémonie d’installation, organisée au siège de la direction générale du complexe El Hadjar, Maâtallah Chameseddine, P-DG de Sider, le directeur des ressources humaines (DRH) et un représentant de l’Ugta, bureau de wilaya de Annaba, le chargé de la réglementation en l’occurrence. Après la cérémonie d’installation, les porte-paroles des employés de Sider, ont, aussitôt ouvert le bureau syndical.

Celui-là resté fermé, depuis la destitution des ex-syndicalistes. Ainsi, conscient de la responsabilité qui lui incombe, la nouvelle équipe syndicale de Sider/Annaba, a immédiatement vaqué à ses fonctions, a entamé la prise en charge des employés et leurs préoccupations. Une démarche signifiant la défense des intérêts et les acquis des travailleurs, à travers la garantie des conditions de stabilité et la réussite du programme d’investissement. Des objectifs qui demeurent tributaires de la préservation de l’outil de production et sa promotion pour améliorer l’environnement au sein de l’usine et lui permettre de réaliser les objectifs d’efficience économique, pour lesquels d’énormes ressources ont été mobilisées. Rappelons que le complexe d’El Hadjar a été réanimé grâce au financement de l’Etat, sur instruction du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour le soutient de l’entité économique par de nouveaux investissements.

De ce fait, les métallurgistes sont, plus que jamais, appelés à relever les défis pour, rembourser dans les délais les crédits accordés par l’Etat. Mais surtout être à la hauteur des attentes de celui-ci. Surtout que le complexe n’est plus seul sur le terrain et fait face à une «féroce» concurrence. Ainsi, les métallurgistes du complexe d’El Hadjar, sous la coupe de la nouvelle équipe syndicale, pour la préservation de ce fleuron de l’industrie, doivent doubler d’efforts pour atteindre les objectifs tracés.

Un défi nécessitant la mobilisation et le concours de toutes les parties, travailleurs, responsables et partenaire social. Sur un autre volet, faisant désormais partie des instances syndicales, affiliées à l’Ugta et relevant du secteur de l’industrie, dont la Fédération nationale des travailleurs de la métallurgie, mécanique, électricité et électronique (Fntmmee); les secrétaires généraux des 15 unités de production de Sider, dont Redha Djemaï SG du syndicat de Sider, ont été convoqués jeudi dernier, par Kamel Friteh SG de l’Ugta bureau de wilaya, les informant du renouvellement de la Fntmmee. Des échéances prévues pour le 17 du mois courant, et auxquelles six parmi les 15 SG des unités de Sider ouvrent, d’ores et déjà droit. Par ailleurs et selon certaines informations, l’ex-SG du syndicat d’El-Hadjar, Noureddine Amouri, figure parmi les postulants au poste de SG de la Fntmmee. Cette dernière affiliée à l’Ugta compte sous sa coupe, tous les syndicats des entreprises qui exercent dans les domaines de l’industrie. Il s’agit de pas moins de 12 groupes industriels relevant du ministère de l’Industrie et des Mines sont représentées par cette fédération.

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La Birmanie se dit «prête» au rapatriement des Rohingyas: Des concessions et des arrière-pensées

Mon, 11/12/2018 - 15:18

Par Chaabane BENSACI

Il aura fallu toutes les capacités de persuasion de l’ONU et les réquisitoires de nombreuses ONG pour contraindre la Birmanie au dialogue avec le Bangladesh, ouvrant ainsi la voie à une feuille de route qui prévoit le rapatriement de 2251 Rohingyas à partir du 15 novembre.

Prenant en compte les pressions et les attendus de la communauté internationale, le gouvernement birman a fini hier par annoncer sa «disponibilité» pour accueillir les réfugiés Rohingyas actuellement entassés dans les camps de fortune, au Bangladesh, tout en pointant du doigt ce pays au cas où un quelconque retard serait observé dans l’acheminement des membres de la minorité musulmane. Faisant abstraction des craintes légitimes de la majorité des réfugiés, convaincus que le génocide dont leur peuple est victime pourrait perdurer sous différents prétextes, les dirigeants birmans se disent «prêts» et détaillent même les modalités du rapatriement en demandant au gouvernement du Bangladesh «de s’assurer que les délais seront respectés» et que tout retour s’effectuera sur une base volontaire.
Il aura fallu toutes les capacités de persuasion de l’ONU et les réquisitoires de nombreuses ONG pour contraindre la Birmanie au dialogue avec le Bangladesh, ouvrant ainsi la voie à une feuille de route qui prévoit le rapatriement de 2 251 Rohingyas à partir du 15 novembre, selon un rythme de 150 personnes par jour. Ce chiffre est évidemment à comparer avec celui des 720.000 Rohingyas qui ont été contraints de fuir le génocide birman exécuté à la fois par l’armée et les milices bouddhistes dans l’Etat de Rakhine. Un génocide dont l’objectif évident était de chasser l’ensemble de la minorité musulmane de ses terres malgré une présence apatride et dans des conditions particulièrement inhumaines. Les exactions ont été telles qu’ils ont fui par milliers, et dans des conditions effroyables, les attaques meurtrières, les viols et les exécutions sommaires condamnées par une commission d'(enquête de l’ONU et par l’ONU elle-même qui reconnaissent un véritable «génocide».
Cette opération de «rapatriement» inquiète au plus haut point les ONG et, déjà, 42 d’entre elles, dont Oxfam, Save the Children et Handicap International ont lancé un appel pour dénoncer le projet, indiquant que les Rohingyas sont «terrifiés» à la seule idée de se retrouver de nouveau en Birmanie, sans garantie aucune. Les Rohingyas craignent en effet de quitter les camps du Bangladesh pour se retrouver dans ceux de l’Etat de Rakhine, à l’ouest de la Birmanie. Or, 120 000 d’entre eux y sont cantonnés depuis le début du nettoyage ethnique, alors que l’armée et les autorités civiles birmanes s’efforcent d’empêcher coûte que coûte les ONG et les médias d’y accéder pour découvrir les conditions extrêmement précaires dans lesquelles se trouvent ces dizaines de milliers d’otages.
C’est ainsi que la rapporteuse spéciale de l’ONU pour la Birmanie, Yanghee Lee, a mis l’accent sur la peur des Rohingyas pour reconnaître aussitôt qu’ils sont réellement et toujours «exposés à un risque de persécution élevé». Preuve que la réaction de la communauté internationale a beau être sévère verbalement, rien ne changera en fin de compte tant que des sanctions pénales ne seront pas prises à l’encontre des criminels de guerre qui sont à la source et dans la mise en oeuvre du génocide. En outre, les mêmes autorités birmanes qui ont maintenu pendant des années, et dans l’ignorance la plus complète de la communauté internationale, le peuple Rohingya, sans droit à la citoyenneté, à l’éducation et aux soins, ne doivent-elles pas répondre de ce qui s’apparente à un crime de guerre? Rien de plus légitime, dés lors, si les Rohingyas réclament comme une des garanties préalables la délivrance d’une preuve de citoyenneté, de façon à sortir du néant apatride dans lequel la junte militaire longtemps au pouvoir les a constamment confinés, et ce depuis 1982.
En accueillant plus d’un million de ces réfugiés sur son sol, le Bangladesh, pays parmi les plus pauvres du monde, est en train de crouler sous la charge de cet exode imprévu. Et la Birmanie ne cesse de louvoyer en avançant toutes sortes de prétextes pour maintenir le statu quo, tout en faisant porter la responsabilité du «bocage» par le pays voisin. Pendant ce temps, Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la paix et chef de facto du gouvernement birman, va poursuivre à Singapour, lors d’une réunion de l’Asean (Association des Nations d’ Asie du Sud-Est) son discours falsificateur.

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Le commissaire du SILA établit son bilan: « Les gens viennent pour acheter des livres, pas pour manger! »

Mon, 11/12/2018 - 15:14

Par O. HIND

«L’Algérie sera l’invité d’honneur au Salon du livre de Cuba en février 2019» a fait savoir Hamidou Messaoudi lors d’un point de presse affirmant aussi que 2 200 000 personnes ont visité le salon cette année.

Hamidou Mesaoudi est revenu samedi sur la 23 ème édition du Salon international du livre d’Alger, édition qui s’est tenue du 29 octobre jusqu’au 10 novembre. Une éidition ayant mis à l’honneur la République populaire de Chine avec une délégation de près de 160 invités dont cinq prestigieux écrivain chinois et notamment Mo Yan le prix Nobel de littérature en 2012. Comme le veut la tradition à chaque fin de Sila, le commissaire a tenu ainsi à faire son premier bilan le jour de clôture de ce prestigieux événement annuel qui, faut-il le noter, a été marqué le vendredi et samedi par une forte affluence des visiteurs. A ce propos il a annoncé le nombre de visiteurs enregistré samedi dernier à 11 h, à de 2.200.000 visiteurs, chiffre qui aurait atteint facilement le 2.300.000 en fin de journée a-t-il estimé.

Tout en indiquant que ce chiffre est l’un des facteurs de réussite chaque année du Sila, il rappellera tout de même que le pic a été atteint le premier jour de novembre avec 630.000 visiteurs et le lendemain avec 300.000 visiteurs. Se félicitant de la présence bien remarquée de la Chine en Algérie, il n’omettra pas de relever les signatures d’accords qui ont été réalisés entre l’Algérie et la Chine en matière de traduction et de distribution. Rappelant le riche programme qui a été tracé durant l’édition 2018 du Sila, il dira que 3000 ont été exposés et des ventes ont été réalisées en grande quantité que ce soit au niveau des éditeurs nationaux ou internationaux, donnant ainsi pour preuve que «les visiteurs ne viennent pas pour faire du tourisme culturel ou pour manger, mais achètent énormément de livres et ce, que ce soit des livres scolaires, parascolaires, des romans ou encore des livres religieux qui prônent la tolérance et la paix car nous n’acceptons pas les livres qui font l’apologie de la violence et des fetwas» a t-il souligné avec fermeté. Et de rajouter: «Les gens viennent de très loin et de tout le terroir national. Quand ils arrivent la journée exténués il faut bien qu’ils reprennent des forces en trouvant de quoi se nourrir ici.» Hamidou Messaoudi se félicitera également sur la qualité des activités culturelles au nombre de 45 qui ont mis au-devant de la scène et de «l’estrade» des personnalités éminentes.

Et de citer Costa Gavras (qui a reçu la médaille du mérite Athir du président de la République), Gilles Manceron, Amine Zaoui, Ahmed Djebar, Rachid Boudejdra etc. Il rappellera ainsi que l’Algérie s’est taillé la part belle avec 70% des invités, les 30% restants provenaient des autres continents comme l’Europe, l’Amérique latine, l’Asie etc De 1018, le nombre d’éditeurs, a été réduit à 1016 soit deux de moins sur le nombre apporté avant le Sila. Cela, le commissaire du Sila l’expliquera par la fermeture d’un stand d’un éditeur de la République islamique d’Iran qui «n’a pas payé la location de son stand, qui n’est même pas venu signer son dossier, mais a préféré déléguer un d’ici pour tenir son stand et faire du pur commerce sur le dos du Sila et en plus en nous envoyant cinq livres indésirables dont on lui a fait déjà la remarque. Mais en vain.» Aussi nous apprend -on «des livres ont été retirés de la part d’un éditeur libanais. Des livres qui font l’apologie de la sorcellerie et nous n’avons pas besoin de ça». Et de préciser: «Il faut savoir que les douanes n’agissent jamais seules mais toujours avec l’accord et l’ordre du comité de lecture et de suivi délégué par le ministère de la Culture.» Hamidou Messaoudi rappellera qu’aucun livre algérien n’a fait l’objet de mise en réserves de la part de cette commission de lecture suivant la loi 2015 article 08 et contre 130 livres. L’année dernière, seuls 60 ont été jugés cette année inappropriés pour être mis à la vente au salon pour les raisons déjà citées telles l’apologie de la violence, du racisme et l’atteinte aux moeurs.

Et d’annoncer aussi que l’Algérie sera le pays à l’honneur au Salon international du livre d’Alger à Cuba en février 2019. Revenant sur le problème qui frappe le Sila chaque année et dont beaucoup d’éditeurs, se plaignent, à savoir l’exiguïté de l’espace et l’absence de conditions idoines pour le stockage de livre, Hamidou Messaoudi reconnaîtra, dépité, avoir «honte…» en raison des infiltrations de la pluie dans les stands ce qui a endommagé certains livres. Un silence qui en dit long sur son appel aux autorités concernées lancé chaque année pour trouver une solution et surtout un autre endroit, moderne et plus conforme aux normes pour tenir ce Sila. Evoquant la nature et le profil des visiteurs, le commissaire du Sila révélera avoir sollicité une société pour faire un sondage auprès des gens pour évaluer leurs avis sur le salon et la nature des livres achetés pour comprendre qui achète et quoi. Il promettra ainsi d’animer prochainement un autre point de presse pour dévoiler «d’ici 15 jours les résultats de ces données».
Aussi les lourdeurs bureaucratiques pour transférer notamment les invendus ont été également évoquées ainsi que l’obligation de vendre les livres par unité et non pas «en gros» conformément aux lois en vigueur du salon. «Nous ne sommes pas un marché pour faire du commerce de gros.

Nous avons une réputation et une image à tenir. On ne permettra à personne de compromettre l’image du salon» répondra-t-il à une question d’un journaliste qui rapportait la demande d’un éditeur tunisien qui aurait souhaité liquider sa marchandise en vendant «en gros». A propos de la polémique qui a entaché le salon au début de l’événement qui s’apparente chaque année à un feuilleton concernant l’affaire de la maison d’édition Koukou, Hamidou Messaoudi s’est empressé de réfuter le mot «censure» en affirmant «il n’y a eu aucun incident» et d’expliquer les faits: «Le comité de lecture fait son travail en allant visiter tous les stands durant le salon, pas seulement celui de Koukou Editions. Selon le règlement intérieur, chaque maison d’édition est tenue d’envoyer la liste de ses livres. La date butoir est fixée au 31 juillet. A cette date-là les livres mentionnés sur la liste n’y figuraient pas. Ces livres n’ont pas été déclarés à temps. Néanmoins, ces livres n’ont pas été retirés du stand. Il y a eu juste un avertissement verbal. Je rappelle que cette année, aucun livre algérien n’a été retiré ni interdit d’exposer au salon», a-t-il conclu.
Aussi, à la remarque d’une journaliste estimant que le salon se base surtout sur les ventes commerciales et moins sur les activités culturelles, le commissaire du salon rappellera tout de même le nombre des activités qui dépassent les 45, lesquelles ont été déclinées sur les 13 jours du Sila sans oublier les activités propres de chaque éditeur ou organisme tel l’Institut français d’Algérie, l’Union européenne, Sédia Editions etc.

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Ce que pensent les éditeurs du Sila 2018

Mon, 11/12/2018 - 15:12

Par O. HIND

Sofiane Hadjadj, Editions Barzakh
«Les lecteurs ont envie de lire des livres algériens»
Au regard de la situation du pays, les finances qui ne vont pas bien, on parle d’inflation, de cherté de la vie, on avait un peu peur que ça se répercute sur la vente de livres. Eh bien, on est très surpris de ce qui se passe parce qu’il y a un engouement certain pour le livre. J’ai l’impression qu’il y a encore plus de public que d’habitude et non seulement il y a du public, mais les gens achètent des livres et ils achètent aussi nos livres. On s’attendait à ce que les gens aillent acheter des livres dits «utiles» c’est-à-dire les livres universitaires, scolaires, parascolaires, des dictionnaires, des livres pour enfant Eh bien non, ils achètent aussi des romans et des essais sur l’histoire de l’Algérie et ils achètent beaucoup. Ce qu’on constate aussi c’est qu’il y a une grande demande des lecteurs algériens pour des livres algériens écrits par des Algériens sur l’Algérie. Sur l’histoire de l’Algérie, sa sociologie, des romans qui se passent en Algérie, je dirais tous points de vue confondus, il n’y a pas une orientation particulière et ça c’est vraiment notable. J’insiste sur ce point les lecteurs ont envie de lire des livres algériens, au sens très large du terme. Je rajouterai une chose c’est que malheureusement ni les organisateurs du salon, ni les institutions publiques en charge de la question du livre, au ministère de la Culture, la direction du livre etc. ne font des études d’analyse de ce public, des statistiques, des sondages pour savoir ce que les gens lisent, pourquoi ils lisent, quand lisent-ils? Quel budget accordent-ils à la lecture etc. et hélas on peut regretter de ne pas posséder les outils pour le faire car cela nous aiderait beaucoup.

Samia Zennadi (coéditrice à Apic)
«Nous avons un gros problème de distribution»
Comme d’habitude le salon a drainé beaucoup de monde. Beaucoup de gens sont venus des différentes wilayas du pays. Ça confirme une chose, c’est que nous avons un gros problème de distribution vu que les gens qui viennent, découvrent pratiquement nos
livres. On est là depuis 15 ans, mais apparemment, nos livres ne sont pas disponibles dans les librairies même à Alger, vu que ces dernières, soit elles sont petites, soit elles ne possèdent pas beaucoup d’espace pour exposer tout le catalogue des éditeurs. Aussi, il n’y a pas de travail de communication autour. S’il y a un livre qui manque, le libraire n’a pas le réflexe d’appeler le distributeur pour fournir sa librairie en livres qui sont demandés. Ceci est un premier constat. Côté influence, c’est vrai que tout le monde applaudit, nous les premiers, parce que ça nous a permis quand même d’écouler beaucoup d’exemplaires de nos titres, mais on devrait plutôt, en vrai, régler ce problème de distribution. Ce salon pose déjà le problème de la distribution des livres et devrait trouver une solution pour que les livres soient disponibles sur tout le territoire de l’Algérie.
Les lecteurs qui viennent ici au salon sont nombreux effectivement, par contre, les bibliothèques municipales sont absolument absentes, pareil pour les centres de recherches. Pourtant, nous avons une collection d’essai qui pourrait intéresser les chercheurs.
Les institutions qui sont censées fournir même pour un lecteur qui n’a pas les moyens d’acquérir un livre, ne viennent pas. J’entends la bibliothèque du quartier, la bibliothèque du lycée etc. Je parle des espaces de médiation qui sont entre l’éditeur et le lecteur qui permettent au texte de circuler. Car ce qui est important, ce n’est pas qu’on fasse un chiffre d’affaires dans ce salon, mais qu’on puisse avoir un contact pendant l’année avec les gens et ces institutions, notamment pour que les livres puissent circuler et c’est ce qui manque. On commence à être fatigué et usé car durant l’année on est invisible.

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Télévision, tablettes et smartphones…ces gadgets qui menacent la santé des enfants de moins de 3 ans: Le spectre de l’autisme via les écrans guette nos enfants !

Mon, 11/12/2018 - 15:10

Beaucoup de parents l’ignorent peut-être, mais l’exposition excessive des enfants de moins de trois ans aux écrans de téléphones portables, tablettes, ou de télévisions peut être fatale pour leur développement. En effet, des études ont démontré que les écrans de ces appareils engendrent un retard de développement chez les bébés, qui affecte toutes leurs compétences à savoir la motricité, les capacités cognitives, le langage, et la socialisation. Dans les cas les plus graves, les enfants développent des troubles du spectre autistique! Depuis quelques années, la révolution numérique s’est invitée chez les familles. De 3 à 10 écrans par foyer, il semble que personne n’arrive à s’en passer. La télévision ayant un écran de plus en plus grand s’impose, quant à elle, de manière plus significative, d’autant que les chaînes se sont multipliées et certaines sont spécialement dédiées aux enfants ou aux bébés.

De leur côté, les fabricants d’outils numériques ont bien compris l’enjeu, car le nouveau marché est celui des bébés. Nous voyons de plus en plus de télés, d’ordinateurs, et de tablettes spécialement créés pour les bébés de 6 mois. En outre, depuis près de 4 ans la tablette est le numéro 1 des ventes de jouets et les parents ne pensent pas mal faire, en s’en procurant afin de calmer leurs enfants, et les rendre sages. Pire ! Les parents pensent que leurs enfants apprennent avec les écrans, les jeux sur tablette, les applications sur téléphone, et les chaînes télé spéciales bébés, car ils répètent les lettres et les chiffres, les formes en français et même en anglais. Mais cela veut-il réellement signifier quelque chose pour un bébé qui ne parle pas encore ? La réponse est évidemment non, puisque celui-ci répète sans apprendre et ces mots n’ont aucun sens pour lui. C’est ce que tentent d’expliquer des médecins spécialistes ayant tiré des constats alarmants de leurs pratiques quotidiennes. En effet, de nombreux travaux montrent que l’enfant de moins de 3 ans ne gagne rien à la fréquentation précoce et excessive des écrans sans présence humaine interactive et éducative, mais il a plutôt beaucoup à perdre….

QUELS SONT LES RISQUES ?

Les études ont démontré que les enfants n’ayant pas atteint l’âge de 4 ans, fortement exposés aux écrans, présentent des symptômes alarmants qui nécessitent une réaction urgente des parents. L’on remarque que ces enfants sont complètement dans leurs bulles, ne répondent pas à leurs prénoms, et ne communiquent pas. Ils sont indifférents au monde qui les entoure, ne jouent pas avec les autres, ne parlent pas, ou parlent en écholalie, répondent mot par mot la question qu’on leur pose, et ne comprennent surtout pas des consignes toutes simples. Ces enfants sont inhibés, ne bougent pas ou au contraire sont très agités, s’enfuient, jettent tout par terre, et sont intolérants à la frustration. Si on leur dit non, ils hurlent, se roulent par terre, deviennent parfois agressifs, mordent, tapent, et griffent. L’on remarque aussi chez ces enfants des gestes inadaptés, car ils battent des ailes avec leurs mains, regardent fixement une lumière, ou une vitre, jouent toujours avec le même jouet (comportements appelés stéréotypes). En termes plus clairs, ils développent des symptômes appelés troubles du spectre autistique, ou troubles envahissants du développement. Les enfants chez qui l’on constate ces troubles sont massivement exposés aux écrans soit de 6h à 12h par jour; n’ont pas ou peu de jeux d’imitation.

CE QU’IL FAUT RETENIR

Selon Dr Anne-lise Ducanda, médecin généraliste en France, connue sur la toile pour avoir dénoncé les ravages de ce phénomène, explique que les écrans ne sont pas des jouets comme les autres, car le développement du cerveau du petit enfant ne peut se faire qu’avec la manipulation des jouets avec ses mains (le toucher), qu’ils les goûte avec sa bouche et qu’il explore son environnement réel. Selon elle, le cerveau analyse les faits et gestes sur les objets réels et c’est une des conditions pour qu’il puisse établir des connections cérébrales et se développer. Or la succession de flashs lumineux et sonores très rapides des écrans captent l’attention involontaire de l’enfant qui a du mal à s’en détacher et à faire autre chose, le poussant ainsi à rester des heures fixé devant l’écran ce qui entrave l’exploration de son environnement réel par le toucher, mais l’isole aussi de toute relation humaine, indispensable à la communication et au langage. Les écrans de téléviseurs, de tablettes ou de téléphones portables ne permettent pas deux choses à l’apprentissage à savoir l’effort et la frustration, de plus ces flashs lumineux et saccadés venus de l’écran ne sont ni prévisibles ni rassurants, et génèrent chez l’enfant des émotions et des angoisses qu’il ne gère pas. Tout cela peut entrainer chez lui des comportements agressifs et violents. D’autant que ces écrans ont un pouvoir addictif très puissant, car petit à petit l’enfant ne peut plus s’en passer et le réclame de plus en plus.

Ania Nait Chalal

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Promotion aux grades dans le secteur de l’éducation : Le concours est soumis au même mode opératoire que le baccalauréat

Mon, 11/12/2018 - 15:08

Intervenant, hier, dans l’émission l’invité de la rédaction de la radio chaîne 3, le conseiller auprès de la ministre de l’éducation nationale, Farid Benramdane a assuré quant à la transparence du concours de promotion de grades qui auront lieu au mois de décembre et janvier. « Le concours est soumis au même mode opératoire que le baccalauréat », a assuré Farid Benramdane, en précisant que le ministère de l’éducation nationale est assez outillé pour assurer la transparence de tous les examens. Précisant que l’anonymat total des candidats est assuré, l’intervenant a, d’ailleurs, cité plusieurs critères qui visent à garantir la crédibilité de tous les concours et examens qui sont organisés par le ministère.

En ce sens, il a indiqué que « les copies ne sont jamais corrigées dans les mêmes wilayas. Il y a un degré poussé d’aléatoires, il est donc impossible qu’on sache où les copies ont été corrigées ».Pour lui, « le système d’évaluation a été mis en place pour assurer l’égalité des chances entre les candidats et permet à ce que les plus méritants réussissent ». Pour ce qui est du nombre de postes prévus dans les deux concours de promotion au grades de professeur principal et professeur formateur, l’intervenant a précisé que le concours par voie de commissions paritaires concerne 4106 postes, tandis que les examens professionnels concernent 40 894 postes. Le premier concerne les professeurs ayant 10 ans d’ancienneté, tandis que le second concerne les professeurs avec cinq ans d’ancienneté et aura lieu le 15 janvier prochain. Pour ce qui est de la réforme de l’école, l’hôte de la radio algérienne a affirmé que « l’école algérienne n’échappe pas aux mouvements de développement scientifique et technique ». Pour lui, « tout système éducatif doit connaitre à un moment donné une rupture avec les anciennes pratiques et une école est appelée à être flexible au changement ».

En ce qui concerne les cours de remédiation pédagogique, qui devaient être dispensés les samedis et mardi après-midi, et ont défrayé la chronique, Farid Benramdane a précisé que « ce dispositif vise à remédier aux lacunes accumulées chez l’élève ». « La remédiation n’est pas du soutien scolaire et ce n’est pas du rattrapage. La remédiation c’est la diversification des méthodes et des supports qui permet de déclencher l’apprentissage chez l’élève », a-t-il dit. « C’est un travail de pédagogie et non un travail administratif tel qu’il est perçu par certains », a-t-il lancé, tout en refusant à ce que le protocole soit perçu comme étant un instrument administratif. Affirmant que le taux d’échec et de déperdition scolaire dépasse les 20%, dans certains établissements, il a précisé la remédiation pédagogique est une « alternative » pour prendre en charge les lacunes d’apprentissage.

Pour ce qui est de la volonté d’instituer une école de qualité, l’hôte de la radio algérienne a précisé que le ministère a identifié certains « dysfonctionnements et oeuvres à y remédier ». Pour ce faire, il dira que le département de Nouria Benghebrit veut promouvoir la pensée scientifique, les mathématiques, compréhension de l’écrit, les sciences sociales et les langues. « Dans l’ensemble, c’est les normes d’une école de qualité », a-t-il soutenu.

Lamia Boufassa

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Il a sacrifié des joueurs et rappelé d’autres: Belmadi entame sa révolution

Mon, 11/12/2018 - 15:07

Bentaleb, Guedioura, Ghezzal et Belfodil, sont les principales victimes de la mini-révolution opérée par le sélectionneur national, Djamel Belmadi, qui n’a guère apprécié la prestation des Verts lors de leur défaite au Bénin en octobre dernier. Belmadi l’avait d’ailleurs prévenu : pas de places au sein de son effectif pour les joueurs qui ne mouillent pas leurs maillots. Il est allé ainsi vite en besogne en joignant l’acte à la parole, au regard de la liste des 25 éléments qu’il a dévoilée avant-hier soir en vue du match en déplacement face au Togo, le 18 de ce mois dans le cadre de la 5ème et avant dernière journée des éliminatoires de la CAN-2019 au Cameroun. Les deux sociétaires de l’USM Alger (Ligue 1 algérienne) Oussama Chita et Abderrahmane Meziane constituent les deux nouveautés de cette liste, alors que le milieu offensif Youcef Belaïli, fraîchement auréolé de son titre de champion d’Afrique avec l’ES Tunis, effectue son retour chez les Verts après plus de trois ans et demi d’absence.

Le défenseur du FC Sion (Suisse) Ayoub Abdellaoui, souvent convoqué sous la conduite de l’ancien sélectionneur Rabah Madjer, signe également son retour. Une autre surprise de taille dans ladite liste et à laquelle personne ne s’y attendait. Il s’agit du retour de Mehdi Zeffane qui n’a plus été convoqué depuis sa piètre prestation contre le Cameroun à Blida en octobre 2016 pour le compte des éliminatoires du Mondial- 2018. Le défenseur de Rennes, qui comptabilise un temps de jeu appréciable cette saison par rapport aux deux précédentes, a été convoqué pour combler l’absence d’Aïssa Mandi, suspendu pour cumul de cartons. L’attaquant de Nottingham Forest (Div.2 anglaise) Hilal Soudani et le milieu de terrain de Dijon FCO (Ligue 1 française) Mehdi Abeid, blessés, sont officiellement forfaits. Au terme de la 4e journée, l’Algérie qui reste sur une défaite à Cotonou face au Bénin (1-0) le 16 octobre dernier, occupe le fauteuil de leader en compagnie du Bénin avec 7 points chacun, devant le Togo (5 pts). La Gambie ferme la marche avec 2 points.

Une victoire de l’Algérie à Lomé lui permettra de composter son billet pour la finale de la CAN-2019 au Cameroun (15 juin – 13 juillet). La sélection algérienne débute aujourd’hui un stage à Sidi Moussa avant de se rendre jeudi à Lomé à bord d’un avion spécial. La partie se jouera sur le terrain du stade municipal d’une capacité d’accueil de 15.000 places, et dont le terrain et vêtu d’une pelouse en gazon synthétique ce qui pourrait bien constituer un véritable handicap pour les joueurs algériens dont la majorité évoluent à l’étranger sur des pelouses en gazon naturel.

Liste des 25 joueurs :

Gardiens de but : Rais M’bolhi (Al-Ittifaq/Arabie saoudite), Mustapha Zeghba (ES Sétif), Azzedine Doukha (Al-Raed/ Arabie saoudite), Alexandre Oukidja (FC Metz/ France).

Défenseurs : Ilyas Hassani (Cherno More Varna/ Bulgarie), Ramy Bensebaini (Stade rennais/ France), Fares Mohamed Salim (SPAL/ Italie), Rafik Halliche (Moreirense/ Portugal), Jean Mehdi Tahrat (RC Lens/ France), Youcef Attal (OGC Nice/ France), Djamel- Eddine Benlameri (Al- Shabab/ Arabie saoudite), Ayoub Abdellaoui (FC Sion/ Suisse), Mehdi Zeffane (Stade rennais/ France).

Milieux : Sofiane Feghouli (Galatasaray/ Turquie), Saphir Taider (Impact de Montréal/ MLS), Yacine Brahimi (FC Porto/ Portugal), Riyad Mahrez (Manchester City/ Angleterre), Adam Ounas (Naples/ Italie), Ismaïl Bennacer (Empoli/ Italie), Oussama Chita (USM Alger), Abderrahmane Meziane (USM Alger), Youcef Belaili (ES Tunis/ Tunisie).

Attaquants : Islam Slimani (Fenerbahçe/ Turquie), Baghdad Bounedjah (Al- Sadd/ Qatar), Yassine Benzia (Fenerbahçe/ Turquie). Hakim S.

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Un projet de loi pour encadrer la commercialisation et l’usage des drones à des fins civiles est en cours d’étude: Pourquoi la vente de drones doit être réglementée en Algérie

Mon, 11/12/2018 - 15:04

Pourquoi les internautes algériens accordent-ils autant d’intérêt pour les objets volants pilotés à distance, communément appelés «drones» ? La réponse à cette question s’explique aisément par les spécificités de cette technologie reconnue pour sa furtivité et sa stabilité. Donc, c’est l’atout majeur pour les amateurs de l’actualité high-tech, désirant filmer ou photographier des images époustouflantes s du ciel, sous des lieux inaccessibles par voie terrestre. Notre interpellation par ce sujet, n’a pas pour but de prédire si cette technologie pourra mettre les smartphone et autres appareils photos dans les poches des Algériens, et delà, donc faire disparaître le mode selfie (l’autoportrait pris avec un appareil numérique). Elle vise à décrypter cette tendance, et les raisons qui ont poussé les autorités publiques à s’intéresser de plus en plus à l’utilité de ces engins volants qui sont capables de survoler le ciel sans limite ! L’information a été rapportée hier par plusieurs supports d’information nationaux, et selon lesquels «un projet de décret présidentiel pour l’encadrement de l’usage civil des drones est en cours d’élaboration». Ces sources concordantes renvoient aux déclarations du directeur de la plateforme du Centre de recherche en technologies industrielles (CRTI), qui a expliqué que ce texte de loi a pour but «de réglementer d’avantage l’utilisation et la commercialisation des drones en Algérie».

L’UTILISATION «DOUTEUSE» INQUIÈTE LES AUTORITÉS

Penser justement à l’élaboration d’un nouveau projet aura-t-il pour mission de remplir un vide juridique concernant l’utilisation des drones en Algérie? La réponse est à chercher dans l’usage initialement confié aux drones qui vont audelà d’un simple jouet ou objet de loisir. Quoi que, des versions civiles prennent cours depuis ces dernières années. Entendre, dans d’autres pays, car en Algérie, ces gadgets volants passent inaperçus, voire dans la discrétion la plus totale. Il faut savoir que l’utilisation des drones est jusque là interdite en Algérie en raison de ce qu’elle constitue comme danger à la sécurité pour une technologie aussi sensible qui renvoie au domaine militaire. L’interdiction du survol de drones à été jugée nécessaire en raison de la complexité de l’identification de ses utilisateurs. Toutefois, l’intérêt des jeunes pourcette technologie très sophistiquée a fait que des incidents ont été enregistrés dans le pays en raison d’un usage non contrôlé.

Pour rappel, en 2015, un ingénieur d’origine française, a été chargé de superviser le chantier de construction d’une centrale électrique dans le Sahara algérien, en consortium avec le groupe grec Metka pour le compte final de la société Sonelgaz. Ce dernier a été accusé d’espionnage industriel. Le mis en cause a pris des clichés du chantier de la centrale à l’aide justement d’un drone d’où les doutes qui ont pesé sur lui. Donc si les autorités décident d’élaborer un projet de loi pour la réglementation de la commercialisation et la vente libre des drones dépasse le stade d’une utilisation à des fins de loisir, mais imposée par le souci de sécurité nationale. Ainsi, selon l’ébauche de ce texte, la loi aura pour but de permettre à différents secteurs d’exploiter cette technologie à des fins civiles pour un moyen qui est devenu inévitable pour un épanouissement économique. D’ailleurs, dès à présent, «plusieurs demandes d’utilisation de drones ont été formulées par divers secteurs, notamment ceux de l’audiovisuel et la recherche», apprend le même responsable.

Mohamed Amrouni

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Vidéo: Ouyahia provoque une polémique

Mon, 11/12/2018 - 14:53

Lors de son passage à Paris le premier ministre Ahmed Ouyahia a qualifié les martyrs de la révolution de « morts ». Un mot qui aurait provoquer de vives réactions d’indignation en Algérie.

“Le peuple algérien a connu les horreurs de la guerre pour recouvrir son indépendance, au prix d’un million et demi de morts, de millions de victimes et de déplacés et de lourdes destructions”, déclare le premier ministre Ouyahia au forum de Paris sur la paix, en marge des commémorations du centenaire de l’Armistice.

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Forum de Paris: Ouyahia fait un plaidoyer sur la paix et la sécurité

Mon, 11/12/2018 - 14:24

PARIS – Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, qui prenait part à Paris au Forum pour la Paix, tenu dans le cadre de la commémoration du centenaire de l’armistice de la première guerre mondiale, a plaidé pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, le règlement pacifique des différends et des conflits, le respect de la souveraineté des Etats et de leur intégrité territoriale, ainsi que la non-ingérence dans leurs affaires intérieures.

M. Ouyahia a mis en exergue le rôle central de l’Organisation des Nations unies dans la promotion et la préservation de la paix et de la sécurité, en soulignant que cela exige le respect des principes fondamentaux de la Charte de l’organisation, notamment le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, le règlement pacifique des différends et des conflits, le respect de la souveraineté des Etats et de leur intégrité territoriale, ainsi que la non-ingérence dans leurs affaires intérieures.

« Ces principes méritent d’être rappelés car ils demeurent bafoués dans de nombreuses situations, et il leur a même été opposé des concepts nouveaux du devoir d’ingérence » et « du devoir de protéger, des approches nouvelles qui ont eu des conséquences désastreuses dans plusieurs régions du monde », a-t-il indiqué.

Le Premier ministre a également insisté sur l’importance « du soutien que les Etats doivent apporter, sans calculs nationaux, aux différents émissaires onusiens nommés pour le règlement des conflits ».

M. Ouyahia a indiqué, par ailleurs, que « le monde a besoin d’une coopération internationale plus active contre le terrorisme et le crime transnational organisé, en mettant un accent particulier sur la mise en œuvre effective des décisions nées de cette coopération ».

Il a souligné, d’autre part, la nécessité pour la communauté internationale de « faire barrage aux divisions et aux extrémismes qui pointent ici et là en indiquant que l’Islam, religion de paix et de concorde, ne doit pas être outragée au motif des crimes de terroristes qui sont en fait des ennemis de l’Islam ».

« Ces principes méritent d’être rappelés car ils demeurent bafoués dans de nombreuses situations, et il leur a même été opposé des concepts nouveaux du devoir d’ingérence » et « du devoir de protéger, des approches nouvelles qui ont eu des conséquences désastreuses dans plusieurs régions du monde », a-t-il indiqué.

Le Premier ministre a également insisté sur l’importance « du soutien que les Etats doivent apporter, sans calculs nationaux, aux différents émissaires onusiens nommés pour le règlement des conflits ».

M. Ouyahia a indiqué, par ailleurs, que « le monde a besoin d’une coopération internationale plus active contre le terrorisme et le crime transnational organisé, en mettant un accent particulier sur la mise en œuvre effective des décisions nées de cette coopération ».

Il a souligné, d’autre part, la nécessité pour la communauté internationale de « faire barrage aux divisions et aux extrémismes qui pointent ici et là en indiquant que l’Islam, religion de paix et de concorde, ne doit pas être outragée au motif des crimes de terroristes qui sont en fait des ennemis de l’Islam ».

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Dialogue sur la sécurité régionale et lutte contre le terrorisme: Mogherini en visite à Alger

Mon, 11/12/2018 - 14:20

ALGER – La Haute Représentante de l’Union européenne (UE) pour les Affaires étrangères et la Politique de Sécurité et Vice-présidente de la Commission européenne, Federica Mogherini, est arrivée lundi à Alger, pour une visite en Algérie, dans le cadre de la 2ème session du Dialogue Algérie-UE de Haut Niveau sur la sécurité régionale et la Lutte contre le terrorisme.

La responsable de l’UE a été reçue par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, avec lequel elle co-présidera les travaux dudit Dialogue, lancé en octobre 2017 à Bruxelles.

Les deux parties « poursuivront, à cette occasion, leurs échanges sur les menaces terroristes et leurs connexions avec le crime organisé transfrontalier et examineront les voies et moyens d’approfondir leur coopération dans ce domaine et procèderont également à un échange sur l’évolution récente des questions régionales et internationales d’intérêt commun ».

Cette visite « sera en outre une opportunité pour les deux parties d’examiner l’état et les perspectives de leurs relations bilatérales denses et globales régies par l’Accord d’association en vue de les renforcer davantage dans l’intérêt mutuel face aux défis communs de sécurité et de développement dans la région ».

Ces relations « ont enregistré, par ailleurs, une évolution qualitative à la faveur de l’adoption des Priorités Communes de Partenariat au titre la Politique Européenne de Voisinage rénovée », selon le ministère des Affaires étrangères.

La venue de la Haute Représentante de l’UE, qui fait suite aux visites récentes en Algérie de la Chancelière Allemande, du Président du Conseil italien et du Chef de la diplomatie espagnole ainsi que de la visite effectuée par le ministre des Affaires étrangères à Paris au titre du COMEFA, soulignent « la densité et l’étendue des relations algéro-européennes au double plan bilatéral et multilatéral, et la volonté commune de les élever au rang de partenariat stratégique ».

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Chlef: Une centaine de familles privées d’électricité depuis 9 ans

Mon, 11/12/2018 - 11:48

Bencherki Otsmane

Une centaine de logements ruraux répartis sur la commune de Talassa demeurent sans branchements électriques depuis neuf ans. Les habitants ont interpellé toutes les autorités concernées, mais aucune suite ne leur a été réservée à ce jour. «Toutes nos démarches auprès des responsables locaux sont demeurées vaines. Nous ne savons plus à qui s’adresser pour une solution urgente à notre problème», déclare l’un d’eux qui a pris attache avec notre journal. D’après lui, les habitants encourent des risques réels, car ils sont tous branchés anarchiquement sur les ouvrages électriques existants. Le P/APC, M. Attalah Radouane, qui gère la commune depuis une année, tout en reconnaissant le bien-fondé des préoccupations des habitants, tient à préciser que la direction de l’énergie a donné son accord pour l’électrification de 5 quartiers sur les 10 dépourvus d’énergie. Le reste sera raccordé en fonction des disponibilités financières.

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El-Bayadh: Les périmètres agricoles «abandonnés» seront récupérés

Mon, 11/12/2018 - 11:47

Hadj Mostefaoui

L’eau coule à flots. Il suffit, nous dit-on, de gratter le sol pour que des gerbes d’eau jaillissent sans discontinuer. Des puits artésiens d’un débit de plus de 60 l/s dans les environs immédiats du hameau de Sidi Khelifa. Dans la plaine d’Oued Fayaet qui compte pas moins de 20.000 hectares de terres alluvionnaires, l’arboriculture a connu ses années de gloire avec des productions records de 15.000 quintaux d’abricots, 12.000 autres de pèches, de 18.000q entre melons et pastèques de qualité exceptionnelle. Au titre de la dernière saison agricole, on a enregistré des rendements de 250 q de pomme de terre à l’hectare et à ce jour des petits fellahs peinent à écouler plus 3.500 quintaux d’oignons qui leur sont restés sur les bras. Ils espèrent voir un jour la réalisation de chambres froides pour la conservation du surplus de production. Pour l’heure, l’on estime à plus de 45 exploitants agricoles disposant chacun de 40 hectares dotés de 50 forages. Mais en dépit de cette production fruitière record, des dizaines d’exploitants ont baissé les bras et remis la charrette dans les hangars en raison du manque d’électricité. Dans la commune de Kheiter, des milliers d’hectares de terres fertiles ont été prises d’assaut, au début des années 2000, par une faune de faux agriculteurs dans le cadre de la concession agricole, sans jamais y mettre les pieds. Sitôt acquises, elles ont été cédées à des tiers sous forme de location et abandonnées en raison des prix de location exorbitants. Pas moins d’une cinquantaine de périmètres agricoles est abandonnée et laissée en jachère. Cette situation préoccupe aussi bien le maire que le responsable de l’agriculture de la wilaya. D’ailleurs l’on a su que dans les tout prochains jours, toute concession abandonnée fera l’objet d’un retrait définitif. Dans la région de Mosbah, l’investissement agricole privé a porté ses fruits. Une ferme agricole, créée dans ce cadre, est sortie comme par enchantement au milieu des touffes d’alfa. Une superficie de 10.000 hectares de terres a été consacrée à la plantation d’oliviers.

Il y est prévu l’implantation d’une unité de production de lait de vache et la création d’une unité de production de lait cru et de ses dérivés. Il est prévu dans ce cadre la création de 500 emplois saisonniers et de 30 autres à titre permanent.

M. Nasrdine Kadri, maire de cette collectivité locale, ne veut point baisser les bras et fait des appels dans tous les sens dans l’espoir de voir un jour faire fructifier ces milliers d’hectares, capables, nous dit-il, de satisfaire les besoins de tout l’ouest du pays en produits maraîchers de base.

A plus d’une cinquantaine de kilomètres au nord de Kheiter, la population de Bordj El-Mey estimée à plus de 500 âmes attend avec impatience le raccordement de leurs habitations au réseau public de gaz naturel. Région à double vocation, céréalière et pastorale, elle demeure incontestablement le grenier à blé de cette région mais, hélas, nous dit-on, les moyens mécaniques font cruellement défaut, ce qui se traduit par la non-exploitation de plusieurs milliers de terres à haut rendement céréalier.

La saison agricole arrive bientôt à terme et, compte tenu de la pluviométrie exceptionnelle de cette année, toutes les conditions de réussite sont réunies pour une exploitation rationnelle et optimale de ces milliers de terres qui n’attendent que des bras vigoureux.

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Des stations d’épuration pour le littoral

Mon, 11/12/2018 - 11:47

Abbad Miloud

A la deuxième journée de la session ordinaire de l’automne de l’APW tenue récemment figurait l’examen du bilan de la saison estivale 2018.

Lors des débats qui ont suivi la lecture du bilan par le directeur du tourisme de la wilaya, les élus ont soulevé plusieurs problèmes qui entravent la réussite de la saison estivale, et qu’il faut absolument solutionner. Parmi ces entraves le démarrage tardif des préparatifs, le rejet des eaux usées dans la mer, l’absence d’hygiène, l’absence de sanitaires, la faiblesse de l’investissement touristique. Pour ce dernier point, un élu a pointé du doigt la bureaucratie qui freine la promotion touristique.

Deux élus ont mis en exergue un point positif concernant la sécurité. L’un d’eux dira que «les services de sécurité ont fait un travail appréciable durant toute la saison estivale en vue d’assurer la tranquillité et la quiétude des estivants.

Les élus ont préconisé de diversifier le tourisme par la réalisation d’aires récréatives dans les forêts. Ils ont également demandé des explications sur le retard accusé dans la réalisation de la voie express Chlef-Ténès ainsi que les trois zones d’expansion touristique (ZET). Il s’agit d’Ain Hamadi localisée dans la commune d’El Marsa, celle de Mainis, dans la commune de Ténès, et celle de Oued Tigheza dans la commune de Beni Haoua, qui s’étendent sur une superficie globale de 630 ha. Dans son intervention, le directeur du tourisme et de l’artisanat a apporté les éclaircissements nécessaires. Il a déclaré que pour la SET de Oued Tigheza, les travaux ont démarré pour la réalisation d’un hôtel 4 étoiles.

D’autre part, le secteur a demandé une enveloppe financière importante où plusieurs opérations ont été inscrites, entre autres l’aménagement de certaines plages et l’éclairage public et a promis une réussite de la prochaine saison estivale. Le directeur des travaux publics a expliqué le retard pris pour la voie express Chlef-Ténès. Il a déclaré que pour la première tranche, les travaux ont débuté et pour la deuxième, les études sont sur le point d’être achevées. Sur le rejet des eaux usés, le directeur des ressources en eau a affirmé que des stations d’épuration des eaux usées seront réalisées sur toute la longueur du littoral de la wilaya, et ce avant la prochaine saison estivale. Le wali a instruit les directeurs concernés de prendre toutes les dispositions qu’ils jugent nécessaires pour solutionner l’ensemble des problèmes enregistrées afin d’assurer un franc succès à la saison estivale 2019.

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Mascara: Deux nouveaux stades de proximité

Mon, 11/12/2018 - 11:42

Belkecir Mohamed

  Répondant au vœu d’une jeunesse livrée à l’oisiveté et en quête de moyens pour meubler le temps qu’elle passe dans des bourgades démunies d’équipements, les autorités locales ont doté cette fin de semaine les villages de Khalouia et de M’Naouer relevant de la daïra d’El Bordj de deux stades de proximité engazonnés. Une enveloppe financière de 700 millions de centimes a été réservée à chacune des deux infrastructures sportives.

Une fois inaugurées, ces dernières ont fait l’objet d’une passation de consignes pour être gérées par une association de quartier qui se chargera de l’entretien et de l’exploitation de ces aires de jeux pour faire participer le maximum de jeunes.

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Constantine – Téléphones portables: Les commerçants dénoncent une «tromperie»

Mon, 11/12/2018 - 11:41

A. Mallem

Des commerçants de la ville de Didouche-Mourad tenant des magasins de vente d’articles de téléphonie mobile et leurs accessoires nous ont contactés hier pour nous signaler ce qu’ils ont appelé «un phénomène d’arnaque» sur les spécifications techniques de certains appareils de téléphonie mobile commercialisés sous le label d’une société nationale qui, en fait, ne fait que le montage.

Les pièces sont importées d’Asie. «Ces spécifications sont complètement fausses et trompeuses», nous a déclaré M.B., l’un des commerçants en décrivant les modèles de la marque incriminée qu’ils ont reçus récemment.

Ainsi, selon notre interlocuteur, sur le modèle «Nextip +» de cette marque il est indiqué que l’appareil comporte 32 Go de mémoire. «Mais lorsque le client ouvre la

mémoire intégrée du téléphone, il constate à ses dépens qu’il n’y a que 24 Go ! Il en est de même pour le modèle «Next i» de la même marque dont la fiche indique qu’il comporte 32 Go de mémoire mais il n’en possède en réalité que 24. «Pourtant, nous signalent nos interlocuteurs, les modèles en question, d’après une autre indication qu’ils comportent sur l’appareil, indiquent également qu’ils sont passés par l’agence de contrôle, l’agence de régulation des postes et télécommunications (l’ARPT) en l’occurrence, et que celle-ci aurait donc donné son aval pour la commercialisation du produit selon les spécifications techniques indiquées, qui sont, comme on vient de le dire, totalement fausses».

L’un d’eux affirmera ensuite que les commerçants à travers le territoire national qui ont reçu de grosses quantités de ce produit, s’en sont plaints à la société qui fait l’assemblage.

«Ce matin même, ajoute notre interlocuteur, je viens de protester auprès du directeur général de la société en question et il m’a répondu que sa société ne peut rien faire, car ces spécifications techniques viennent du fournisseur chinois lui-même qui fabrique les pièces.

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OPGI: En attendant le payement des loyers !

Mon, 11/12/2018 - 11:40

A.El Abci

  L’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) lancera, incessamment, en coopération avec la direction du logement, des travaux d’étanchéité au niveau des caves pour l’évacuation des eaux usées, des vides sanitaires et « peut-être de réhabilitation d’ascenseurs ». Le chef du service patrimoine de l’Office, Hichem Yahiouche, déplore que les équipes d’intervention rencontrent nombre d’entraves sur le terrain, à l’instar du problème que représentent les extensions réalisées par les propriétaires des locaux commerciaux, entre autres, dit-il. Et de poursuivre que l’Office a adressé des mises en demeure aux commerçants concernés qui seront suivies éventuellement de poursuites judiciaires, en considération que ces extensions bouchent les regards qui sont devant lesdits locaux. Surtout lorsque ces extensions sont faites avec des dalles de sol et d’autres aménagements du même genre.

Alors que les locataires aussi bien que les commerçants, qui occupent les rez-de-chaussée, sont également responsables, particulièrement des parties communes. Et de noter que ces reproches ne concernent pas tout le monde, mais une minorité qui fait fi de la réglementation en la matière, et qui nous causent d’énormes difficultés dans l’exécution des travaux. Par ailleurs et abordant la question du paiement des loyers par les locataires, il fait savoir que seule une minorité est à jour, alors qu’il est évident que l’importance des interventions de l’Office, concernant les caves, les vides sanitaires, les ascenseurs etc., est fonction dans une large mesure des sommes d’argent perçues au titre des loyers.

Malheureusement, le recouvrement des loyers reste très faible, d’où certainement la nécessité d’intensifier les campagnes de sensibilisation menées jusque-là, et qui ont, malheureusement, montré leur limite, dit-il.

«Mais, nous intervenons selon nos moyens et nous ferons beaucoup plus, dit-il, si les locataires veillent à être à jour vis-à-vis de l’Office, mais c’est peut-être, là aussi, à nous de sensibiliser et de communiquer plus et mieux avec ces derniers».

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Chambre des arts et des métiers: Sortie d’une nouvelle promotion de 128 artisans

Mon, 11/12/2018 - 11:38

A. Mallem

  Une promotion de 128 artisans sortant de l’école de formation de la Chambre des arts et métiers (CAM) de Constantine, a été honorée, hier, et ses lauréats ont reçu leurs diplômes des mains des autorités locales. Cette promotion est formée en grande majorité de femmes qui ont appris les métiers de la couture et de la confiserie traditionnelle et qui viennent d’être honorées au cours d’une cérémonie organisée dans les salons de l’APC de Constantine où elle ont exposé leurs réalisations et aussi pour célébrer la journée nationale de l’artisanat.

M. Benarab, le directeur de la CAM, est intervenu pour préciser que cette promotion est la 16éme du nom dans ces branches de la couture et de la confiserie traditionnelle. Après avoir rappelé que la CAM de Constantine compte aujourd’hui plus de 17.000 artisans dans différentes activités, dont plus de 5.000 dans le seul secteur de l’artisanat traditionnel, il a déclaré que cela fait de Constantine un pôle par excellence de l’artisanat traditionnel distingué à travers tout le pays.

«Cela en plus du fait, a-t-il fait remarquer, que chaque année, des promotions de plus de 150 artisans sortent de notre école de formation. Ce qui n’est pas rien quand on sait que beaucoup d’autres wilayas ne réalisent, dans le même temps, que des chiffres dépassant rarement la cinquantaine ». Et M. Gheddab, le président de la CAM, de compléter en disant que cet avantage pris par notre wilaya dans l’artisanat, surtout dans le secteur de la dinanderie, est attesté partout, même au niveau international. La preuve en est, dit-il, cette invitation qui vient de nous être lancée pour participer à la foire du Koweït qui va avoir lieu prochainement, pour représenter l’Algérie dans ce secteur ». Et l’orateur a reconnu que dans ce cadre, l’apport des dispositifs de l’emploi et du secteur de la formation professionnelle dont les représentants étaient présents à la cérémonie, a été remarquable et a permis à la CAM de réaliser ces performances. Et avant de terminer, M. Benarab a rappelé que « samedi, une exposition d’artisanat a été ouverte par la même occasion au centre culturel M’hamed

Lyazid d’El-Khroub et regroupant un certain nombre d’artisans et elle va durer encore une semaine».

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Université «3» Salah Boubnider: La faiblesse de la formation universitaire pointée du doigt

Mon, 11/12/2018 - 11:29

A. Mallem

  Intervenant dans un colloque international, organisé à l’université ‘3′ Salah Boubnider, un docteur en sciences économiques a révélé que les aptitudes techniques au travail des étudiants, notamment ceux issus des filières des sciences économiques, sont très faibles. « Cette évidence nous a été démontrée par l’étude que nous avons faite en suivant les étudiants de cette filière qui ont été recrutés au sein des banques publiques à Constantine. Il s’est avéré, en effet, que ces nouveaux employés ne possédaient pas le minima en matière de bagages techniques pour exercer les professions pour lesquelles ils ont été recrutés. Ce qui a démontré à l’évidence la faiblesse de la formation qu’ils ont reçue à l’université», a déclaré en substance le docteur Mohamed Boucheriba, enseignant à la faculté des sciences économiques de l’université ‘2′ Abdelhamid Mehri de Ali Mendjeli, dans la communication qu’il a faite hier au colloque international de deux jours, les 11 et 12 novembre, à l’université ‘3′ Salah Boubnider de Constantine. Le thème retenu pour cette rencontre est « la formation universitaire et l’environnement économique et social : défis et perspectives », sur lequel vont plancher les participants durant les journées des 11 et 12 novembre en cours. La rencontre est pilotée par le Laboratoire de l’architecture, de la ville, des métiers et de la formation.

Pour remédier à cette situation « désastreuse », le conférencier a recommandé de revoir complètement les schémas des programmes de formation dans nos universités et dans les établissements de formation supérieure et les mettre en adéquation avec la formation

exigée par le marché du travail. Il a recommandé également une refonte globale des programmes en introduisant les trainings et l’utilisation de la méthode de « simulation » afin de mettre l’étudiant dans des conditions de travail ressemblant à la réalité du poste auquel il est destiné, créer le climat du travail, etc. « Il faut aussi, selon lui, privilégier la qualité à la quantité et veiller à instaurer une coordination entre l’université et les organismes du

travail en mettant toujours en avant les facteurs de qualité et en adoptant une attitude axée sur la connaissance profonde des besoins du client fournisseur de l’emploi ».

A ce propos, plusieurs participants que nous avons contactés, hier, ont pensé que cette communication a mis le doigt sur des réalités qu’on ne peut nier et qu’elle vient de donner le ton de celles qui vont suivre durant ces deux journées de travail consacrées au thème

retenu par le colloque.

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Un camion-citerne se renverse: Près de 30.000 litres de mazout déversés dans la nature

Mon, 11/12/2018 - 11:20

A.Z.

  Le pire a été évité sur l’autoroute Est / Ouest, zone de Djebel El Ouahch, suite au dérapage suivi du renversement d’un camion-citerne transportant du carburant. L’accident a eu lieu dans la soirée du samedi, à 21 heures 10 minutes, indique un communiqué de la Protection civile, qui signale que les sapeurs-pompiers du centre avancé Boumaâza Abdelmadjid ont été dépêchés sur le lieu de l’accident, où ils ont constaté le renversement du camion-citerne et le déversement dans la nature de près de 30 000 litres de mazout. Le carburant ne s’est pas déversé sur la chaussée, évitant ainsi des glissades dangereuses aux autres véhicules en circulation dans la nuit, souligne le communiqué en question. Car, le camion-citerne a dérapé du côté de la forêt et il s’est renversé hors de la route, déversant le contenu de mazout dans la nature. On signale que l’accident n’a, fort heureusement, fait aucune victime.

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