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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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L’ambassadeur palestinien salue le soutien de la police algérienne à son homologue palestinienne

Sun, 10/07/2018 - 22:03

ALGER – L’ambassadeur de l’Etat de Palestine à Alger, Louai Issa, s’est félicité, lors de l’audience que lui a accordée le Directeur général de Sûreté nationale (DGSN), Mustapha El-Habiri, du soutien constant apporté par la police algérienne à son homologue palestinienne en matière de formation, indique un communiqué de la DGSN. 

La police algérienne est  » devenue un modèle à suivre, notamment en matière de formation, a affirmé le diplomate palestinien saluant à cet égard, « le soutien constant qu’apporte la police algérienne à la police palestinienne dont de nombreuses promotions bénéficient de formations dans différentes spécialités au sein des écoles de police algérienne ».

Les deux parties ont également abordé les voies et moyens « du renforcement de la coopération entre les polices des deux pays », tout en mettant l’accent sur « l’importance d’échanger les expertises et de consolider les liens en matière de formation policière, scientifique et technique (PTS), pour le développement des performances de la police en vue de faire face à toute forme de criminalité et protéger les personnes et leurs biens », conclut le communiqué.

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Prix littéraire Mohamed Dib : Les trois lauréats connus jeudi à Tlemcen

Sun, 10/07/2018 - 20:55

Le 16e prix littéraire Mohamed Dib sera remis, jeudi, aux trois lauréats parmi les neuf participants figurant dans la «short list» des textes rédigés en arabe, en français et en tamazight, a-t-on appris de l’association culturelle «La Grande Maison» de Tlemcen, organisatrice de l’événement. La «short list», dégagée par le Conseil du Prix, lors de sa dernière rencontre du 13 septembre dernier

, est constituée pour les œuvres en langue arabe de : «Maoussem el ‘aouda ila dhat» de Badr’Eddine Khelifi, «Maraya Amazighiya» de Nadjet Dahmoune et «Moul el hayra»de Smaïl Yabrir. Les trois œuvres en tamazight retenus sont : «Tifawtin»de Djedjiga Anaris, «Tazemmurt tcud akal is» de Belkacem Mezghouchene et «Anza» de Fahim Messaoudene. Enfin pour les œuvres en français, le Conseil du prix a retenu «Débâcle» de Mohamed Sadoun, «Le Roman des Pôv’cheveux» de Lynda Chouiten et «1994» de Adlène Meddi. La cérémonie aura lieu au palais de la culture «Abdelkrim Dali» qui abritera, outre cet événement, plusieurs activités s’étalant sur deux jours. Les organisateurs ont prévu la présentation d’une pièce de théâtre «El Batéma» par son atelier théâtre, une rencontre sur la préparation du centenaire de Mohamed Dib, une projection expo sur le projet «La Grande Maison de la photo» et un concert de musique andalouse sur le thème «un legs, une continuité» animé par Idriss Zahmani, finaliste de «Alhan Wa Chabab», Lila Borsali et Cheikh Toufik Benghabrit. Ce prix littéraire, portant le nom l’un des illustres écrivains algériens, Mohamed Dib (1920/2003), a été créé en 2001.
Il récompense les jeunes auteurs algériens produisant dans les trois langues (arabe, tamazight et français), rappelle-t-on.

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Fibda 2018 : Le renouveau de la bande dessinée marocaine, au-delà des circuits classiques de l’édition

Sun, 10/07/2018 - 20:55
Écrit par Nadir Kadi

Invité de la 11e édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger, Mohamed  El Bellaoui, artiste emblématique de la « nouvelle génération » de bédeistes marocains, a notamment abordé, vendredi dernier, en marge de la rencontre «Une BD pour changer le monde», la situation de la bande dessinée marocaine.

Cette dernière se démarque par des œuvres abordant des sujets variés, souvent humoristiques, sociaux ou historiques et qui, au-delà des circuits classiques de l’édition, trouvent aujourd’hui de nouveaux chemins vers le grand public à travers Internet et les réseaux sociaux.
Le bédéiste marocain, auteur en 2013 de l’album «Le Guide casablancais », a débuté dans le «Street art». Il nous précisera qu’il doit une grande partie de sa notoriété à l’impact des réseaux sociaux, d’Internet et des nouvelles technologies. Une situation qui apparaît également être le principal moteur du renouveau de la BD marocaine. En effet, rappelant que le neuvième art au Maroc, en tant qu’industrie, est relativement récent, bien que ses origines remontent à l’indépendance du pays, Mohamed El Bellaoui précise à ce sujet que «si l’on parle de la bande dessinée marocaine en tant qu’industrie, cela est très récent et remonte seulement à quelques années. Mais la BD à bien existé auparavant en étant rattachée à la presse et au dessin de presse. En fait, depuis l’indépendance du Maroc, des journaux donnaient des espaces à des artistes pour des caricatures ou des bandes dessinées sur une page ».
En ce sens, la bande dessinée marocaine est passée par plusieurs étapes historiques, marquées entre autre dans les années quatre-vingt par le travail de l’artiste et opposant politique Abdelaziz Mouride, souvent considéré comme le précurseur de cette forme d’expression au Maroc. Notre interlocuteur affirmera que la bande dessinée marocaine est aujourd’hui « dynamique » et, par ailleurs, est officiellement soutenue par l’Etat marocain, qui a notamment lancé une formation dédiée à l’Institut des beaux-arts de Tétouan. Il souligne à ce sujet que «depuis les années 2000, plusieurs magazines sont apparus et l’Institut national des beaux-arts a ouvert une branche dédiée à la bande dessinée et organise un festival depuis près d’une décennie ». Ajoutant qu’il y a eu énormément d’initiatives indépendantes à Casablanca, Rabat ou Fès, des festivals sont apparus, bien que certains n’ont pas réussi à survivre par manque de moyens, mais cette dynamique a lancé une nouvelle génération, dont je fais partie ».
Cependant, il semble néanmoins que les maisons d’édition privées n’arrivent pas à suivre cette nouvelle tendance. «Il n’y avait que deux maisons d’édition privées qui publiaient de la BD, et l’une d’elles a fait faillite. Les artistes maintenant s’orientent vers l’auto-édition. C’est mon cas et celui des membres du collectif», explique ainsi le bédéiste Mohamed El Bellaoui.
Il met toutefois en exergue le fait que cette situation n’était pas propre au Maroc. «Il y a un public mais, à mon avis, que ce soit au Maroc ou ailleurs, l’industrie du livre traditionnelle vit une sorte de chute, avec l’apparition du livre électronique et des nouvelles technologies. Même dans les pays les plus développés, les personnages de BD les plus emblématiques sont aujourd’hui repris pour des films d’animation. Le médium a changé, les gens n’ont plus le temps d’acheter et de lire un livre, la tendance est à l’animation, à la vidéo sur téléphone ». En ce sens, invitant ses confrères à s’adapter, Mohamed El Bellaoui s’est lui-même orienté vers l’auto-entrepreneuriat et son l’expérience semble aujourd’hui concluante.
L’artiste également membre du collectif « Skef Kef», et travaillant actuellement sur le deuxième tome de son album, explique ainsi, que d’autre bédéistes marocains misent aujourd’hui sur les nouvelles technologies. Il affirme à ce sujet : «J’ai édité une BD en 2013 intitulée « Le Guide casablancais », nous avons fondé un collectif de BD «Skef Kef » qui a été publié à 10 numéros et, actuellement, nous avons énormément de lauréats de l’Institut des beaux-arts de Tétouan qui commencent à publier des albums ».

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Après l’Organisation nationale des moudjahidine : La Cnec apporte son soutien à Saïd Bouhadja

Sun, 10/07/2018 - 19:20

Le président de la Coordination nationale des enfants de chouhada (Cnec), Khaled Bounedjma, vient d’apporter son soutien au président de l’Assemblée populaire nationale, Saïd Bouhadja, dans le conflit qui oppose ce dernier aux députés de la majorité Joint hier par téléphone, Khaled Bounedjma nous a affirmé que son soutien à M. Bouhadja intervient

«d’abord, dans la même ligne que celui annoncé par l’Organisation nationale des moudjahidine, car le président de l’APN est un ancien moudjahid, ensuite, dans une logique de faire face à ceux qui veulent déstabiliser cette institution et donc déstabiliser le pays tout entier». Si le président de la Cnec se garde d’identifier nommément ceux qui tentent de déstabiliser le pays, il dira néanmoins que ce sont, à ses yeux, «des gens qui ont beaucoup d’intérêts».
M. Bounedjma nous a fait ces déclarations alors qu’il animait une conférence à Berrouaghia, dans la wilaya de Médéa, lors de laquelle, au même titre que celles tenues à Aïn Defla et Blida, il a appelé à un sit-in, aujourd’hui à Alger, dans le but de dénoncer «les entraves de l’administration contre la Cnec». Cela a été l’occasion d’apporter publiquement le soutien de la Coordination à Saïd Bouhadja. C’est dans la même optique que M. Bounedjma devait se réunir, hier en fin d’après-midi, avec les membres du bureau national de la Cnec. «S’il faut descendre à l’APN pour le soutenir, nous le ferons, mais cette décision appartient au bureau politique et pas uniquement à ma personne», nous dira-t-il.

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Bejaia : Secousse tellurique d’une magnitude de 3,1

Sun, 10/07/2018 - 19:20

Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,1 degré sur l’échelle de Richter a été enregistrée samedi à 17h05 dans la wilaya de Bejaia,

a indiqué le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué. L’épicentre de la secousse a été localisé à 7 km est de Aoukas, précise la même source.

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Amar Ghoul à propos du front populaire : «Les orientations du président n’ont pas été respectées»

Sun, 10/07/2018 - 19:15

Le chef de Tajamou amel el Djazair (TAJ), Amar Ghoul, réaffirme son désaccord avec le patron du FLN, Djamel Ould Abbès, à propos du front populaire de soutien au président de la République. Après avoir annoncé, récemment, que ce front ne doit pas être confiné dans un espace partisan, donc exclusif, Amar Ghoul revient à la charge et tacle encore une fois Ould Abbès. C’est lors d’une conférence qu’il a animée, hier, avec plusieurs universitaires que le patron de TAJ a souligné que «les orientations du président concernant la constitution de ce front n’ont pas été respectées».

Amar Ghoul a estimé que le chef de l’Etat «veux un front pour défendre le pays en entier» et «non pas une structure qui activera comme le font les partis et les associations de la société civile». Il a indiqué, à ce propos, que l’objectif du chef de l’Etat est «de mettre sur pied un espace de débats et de concertations qui réunira toutes les forces vives de la Nation et non pas une structure saisonnière». Dans sa lancée, Amar Ghoul s’est dit opposé «à toute manipulation ou réorientation de ce front à des fins autres que celles voulues par le président».
«Ce Front doit être le rempart contre les menaces qui guettent le pays , a-t-il encore dit, estimant que «sans l’adhésion du peuple, cette initiative est vouée à l’échec», ajoutant, dans ce même ordre d’idées, que «le président veut un front pour prémunir le pays». Toujours à propos de ce front, qui semble lui tenir à cœur, au chef de TAJ estime que «cette initiative doit réunir les intellectuels, le maximum de partis politiques et les associations de la société civile», afin «de mobiliser le peuple autour d’objectifs qui le concerne directement». Avec cette insistance, c’est un message au SG du FLN, qui a voulu en faire une structure directement rattachée au FLN. Après le RND et le MPA, qui ont refusé de souscrire à l’initiative selon la vision du FLN, Amar Ghoul ne veut pas moins qu’un divorce en bonne et due forme avec ce front tel que conçu par Ould Abbès. Concernant la situation qui prévaut à l’Assemblée populaire nationale (APN), Amar Ghoul, dont le parti s’est engagé dans la bataille contre Saïd Bouhadja, a appelé au dialogue afin de trouver une issue à ce problème. «Nous privilégions le dialogue en toutes circonstances», a-t-il dit, ajoutant que la dissolution de cette institution «n’est pas envisagée», car «le pays est à la veille d’une élection présidentielle».

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Ali Laskri à Boghni (Tizi Ouzou): « Ce qui se passe à l’APN est dangereux »

Sun, 10/07/2018 - 17:03

Par Aomar MOHELLEBI 

Il a encore une fois plaidé en faveur du changement pacifique du système qui dirige le pays.

Ali Laskri, membre de l’instance présidentielle du Front des forces socialistes (FFS), multiplie ses sorties publiques dans la wilaya de Tizi Ouzou.
A peine une semaine après le meeting animé au chef-lieu de la wilaya de Tizi Ouzou en compagnie de Mohamed Hadj Djilani, premier secrétaire du parti, dans le cadre de la commémoration du 55e anniversaire de la création du FFS, Ali Laskri est revenu à la même wilaya pour rencontrer les partisans et les sympathisants du FFS au chef-lieu de la daïra de Boghni.
Ali Laskri n’a, bien entendu, pas raté cette occasion pour évoquer le blocage de l’Assemblée populaire nationale (APN), suite à l’appel lancé par 360 députés pour la démission de Saïd Bouhadja, président de l’Assemblée. «Ce qui se déroule à l’APN depuis quelques jours est la preuve tranchante que le pays est en danger véritable», a déclaré Ali Laskri. Ce dernier a qualifié la situation de l’APN de «farce» inédite dans les annales de la politique en Algérie. L’orateur a rappelé que cet épisode s’ajoute à tant d’autres du même genre et de même nature,, ayant été enregistrés durant les dernières années. «La situation regrettable que vit l’APN actuellement est le résultat du fait indéniable qu’il s’agit d’une Assemblée illégitime», a expliqué Ali Laskri. Et d’ajouter que «cette APN a été bâtie sur «le mensonge, l’hypocrisie et une majorité préfabriquée» et le résultat, «on le voit maintenant».
Ali Laskri a encore une fois plaidé en faveur du changement du système qui dirige le pays. Cette option constitue, d’après le même responsable politique, «la seule issue pour sortir de la crise multidimensionnelle qui secoue le pays». Ce meeting a été, en outre, une autre occasion pour Ali Laskri d’aborder les questions politiques. Ce dernier a suggéré que la journée du 19 septembre soit décrétée journée nationale chômée et payée car c’est en cette journée qu’a été fondé la Gouvernement provisoire de la République algérienne.
Ali Laskri considère que la journée du 19 septembre est l’une des étapes les plus importantes de l’histoire de notre pays.
L’orateur a indiqué que c’est grâce à la mise en place du Gouvernement provisoire de la République algérienne que la Guerre de Libération nationale a pris un tournant décisif, en mettant en place un cadre organisationnel adéquat comme cela fut bien sûr le cas suite au congrès de la Soummam, tenu le 20 Août 1956 à Ifri Ouzellagen, dans la wilaya de Béjaïa.
Toujours lors du même meeting, qui s’inscrit dans les cadre des cérémonies commémoratives du 55e anniversaire de la création du FFS, jumelées avec la commémoration de la révolte du 5 octobre 1988, Ali Laskri a répondu à ceux qui colportent, selon lui, des rumeurs concernant un supposé revirement dans la ligne politique du FFS. Ali Laskri a rassuré les militants et les sympathisants que le parti reste fidèle à la ligne imprimée au FFS dès sa création en 1963 et à aucun moment, a ajouté l’intervenant, il n’a été question de se renier et de remettre en cause les principes fondateurs du plus vieux parti d’opposition. Ali Laskri a indiqué en outre que le FFS ne tombera jamais dans le piège des «dérapages» où certaines parties veulent entraîner le FFS. Il va sans dire que Ali Laskri a voulu par cette mise au point dénoncer les pratiques des partisans du pourrissement, voire du chaos, qui voudraient précipiter le pays dans l’inconnu.
L’orateur a également saisi l’occasion de cette rencontre pour réitérer le point de vue de son parti concernant la situation que vit l’Algérie qui est, selon lui, en danger. Et la construction d’une consensus national, proposé par le FFS depuis quelques années, reste aux yeux de Ali Laskri, à concrétiser dans les meilleurs délais.
Enfin, concernant l’élection présidentielle, prévue en avril 2019, Ali Laskri a exprimé le souhait du FFS que cette élection soit libre et indépendante, et qu’elle puisse exprimer la volonté populaire.

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Trump interpelle, une nouvelle fois, le roi Salmane: « L’Arabie doit payer »

Sun, 10/07/2018 - 17:01

Par Chaabane BENSACI

Donald Trump n’a que faire de la mesure diplomatique et c’est pourquoi il a pris à partie le roi et la famille régnante en ces termes: «Nous protégeons l’Arabie saoudite. Ils sont riches. J’aime le roi Salmane. Mais je lui ai dit: ‘‘Nous vous protégeons mais vous ne resteriez pas au pouvoir deux semaines, sans nous ».»

On connaissait la propension du président américain Donald Trump aux superlatifs quand il s’agit de manifester un enthousiasme pour telle ou telle opération. Or, un excès en cache toujours un autre, quoique de nature contraire, et le milliardaire républicain verse aussi allègrement dans le vocable le plus péjoratif, selon les circonstances. C’est ce qu’il a fait mardi dernier, à l’occasion d’un meeting rassemblant ses partisans du Mississipi, ravis de l’entendre descendre en flammes, à travers des railleries féroces, la victime supposée du candidat à la Cour suprême Brett kavanaugh.
Mais il n’y a pas eu que cela. Faisant fi des salamalecs qui ont jalonné sa visite officielle en Arabie saoudite, «sanctionnée» par une pluie torrentielle de dollars (près de 500 milliards pour des achats essentiellement d’armes et de munitions) et confortant par-là même la stratégie de son administration aussi bien sur le plan interne que dans la région proche-orientale où Jared Kushner impose sa doctrine sioniste très engagée, Donald Trump a violemment pris à partie ses «amis» saoudiens, avec, à leur tête, le roi Salmane qui les avait couverts d’or, lui et son épouse.
Evidemment, ces sommes colossales n’étaient pour lui qu’un gage avilissant destiné à payer le parapluie américain face aux «menaces» d’une puissance chiite dont la montée inquiète au plus haut point la monarchie saoudienne. Point besoin, donc, de manifester une quelconque reconnaissance, pas même une retenue teintée de condescendance. Face à la vache à traire, Donald Trump n’a que faire de la mesure diplomatique et c’est pourquoi il a pris à partie le roi et la famille régnante en ces termes: «Nous protégeons l’Arabie saoudite. Ils sont riches. J’aime le roi Salmane. Mais je lui ai dit: Nous vous protégeons mais vous ne resteriez pas au pouvoir deux semaines, sans nous. Vous devez payer pour vos capacités militaires ».» Sans trop s’attarder sur les détails de cet entretien dont le moins qu’on puisse dire est qu’il n’est pas des plus protocolaires, surtout entre deux supposés pays «amis», voire même «alliés», au gré des circonstances, le président américain a sans doute réagi à vif par rapport à la situation des fluctuations énergétiques récentes.
Il avait demandé à l’Arabie saoudite d’accroître sa production pétrolière, considérablement, voire d’obtenir des autres membres de l’Opep qu’ils en fassent autant. Mais Riyadh a ses propres contraintes et la guerre menée au Yémen coûte fort cher, sans qu’on sache d’ailleurs de quel côté la balance va réellement pencher. Déçu par la réaction tempérée des Saoduiens, Donald Trump qui a la fâcheuse habitude de bousculer ses interlocuteurs, une habitude propre à l’homme d’affaires qu’il est et qu’il entend rester, n’a pas hésité à apostropher ainsi le roi Salmane, humilié par celui-là même auquel il avait réservé un accueil…royal. Un entretien téléphonique a bien eu lieu, si l’on s’en tient à une dépêche de l’agence saoudienne SPA, il y a une semaine, entre les deux dirigeants et Trump a effectivement réclamé une intervention saoudienne pour abaisser sensiblement le prix de l’or noir.
Mais ce n’est pas la première fois que Donald Trump bouscule les usages diplomatiques et s’en prend ainsi au Royaume saoudien. Durant la campagne électorale, il avait déjà annoncé la couleur en affirmant que les Ibn Saoud doivent payer beaucoup plus cher le parapluie américain s’ils ne veulent pas perdre leur trône!
Apparemment, son message n’avait pas été correctement décodé.

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Ouyahia s’exprime sur la crise au parlement: « La présidence n’a rien à voir »

Sun, 10/07/2018 - 17:00

Par Hasna YACOUB

La prochaine présidentielle aura bien lieu en avril 2019 et son report «est une pure illusion politique», a certifié le patron du RND.

Ahmed Ouyahia «lâche» Saïd Bouhadja. Le secrétaire général du RND et néanmoins Premier ministre prend position avec la centaine de députés RND qui ont signé la motion de retrait de confiance au président de l’Assemblée, et appelle ce dernier à partir sereinement. Il le fait avec beaucoup de doigté d’ailleurs en exprimant un voeu de voir la crise qui bloque la chambre basse du Parlement prendre fin «dans le calme» et que le président de l’Assemblée, «le moudjahid respectable et qui s’est acquitté d’importants rôles dans sa vie de militantisme, garde son image positive et que ce blocage au sein de l’APN soit levé, tout en tirant les enseignements du message qui lui a été adressé par 361 députés». Lors de sa conférence de presse, en marge d’un séminaire national des militantes du parti, Ahmed Ouyahia a tenu également à démonter l’argument de Saïd Bouhadja qui s’accroche à son «siège» en attendant un «coup de fil» de la présidence. Le téléphone rouge ne sonnera pas.«La présidence de la République n’a rien à voir dans ce qui se passe au sein de l’hémicycle du Parlement» a tranché le patron du RND non sans glisser subtilement que même si le retrait de confiance au président de l’Assemblée et la demande de sa démission n’étaient pas prévues dans la loi, «ses collègues députés qui l’ont élu à la tête de l’instance, se trouvent en désaccord avec lui, ceci est un fait». A bien voir, Saïd Bouhadja a eu la maladresse d’engager la responsabilité de la Présidence dans cette affaire en sollicitant son arbitrage sur le dossier alors que ses adversaires, eux, se sont montrés plus adroits politiquement en mettant en avant l’argument de la majorité parlementaire qui n’a plus confiance dans le président de l’APN.

L’APN ne sera pas dissoute
Et il est à ce demander maintenant, après les déclarations de Ouyahia, qui viennent appuyer celles du secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, si le sort de Saïd Bouhadja est définitivement scellé? Ce dernier va-t-il finalement abdiquer et jeter l’éponge? L’homme qui en appelle au respect des lois de la République est certes tenace, mais dans ce bras de fer qui bloque le pouvoir législatif, il ne s’agit pas uniquement de lois. Et si Ahmed Ouyahia certifie qu’il n’y aura pas de dissolution de l’Assemblée populaire nationale, cela revient à dire que l’une des deux parties du conflit devra faire marche arrière. En affirmant que l’APN ne sera pas dissoute, le patron du RND a voulu dissuader Bouhadja de persévérer dans son jusqu’au-boutisme car il est plus facile pour un seul homme de reculer que pour les 361 députés de le faire. La sortie médiatique d’Ahmed Ouyahia, hier, visait non seulement d’afficher clairement la position du secrétaire général du RND vis-à-vis de la crise de l’APN, mais aussi de mettre un terme à certains «bruits» qui ont fait leur petit bout de chemin dans l’agitation actuelle de la classe politique, à savoir l’hypothèse d’un report de la présidentielle en raison de l’hypothétique dissolution de l’Assemblée. «La prochaine présidentielle aura bien lieu en avril 2019 et faire lien entre une dissolution du Parlement et des élections législatives anticipées et le report de l’élection présidentielle est une pure illusion politique», a dit Ouyahia ajoutant que «tout remaniement ministériel relève des prérogatives du président de la République, cela n’est pas nouveau». Ahmed Ouyahia qui certifie donc qu’aucun changement n’est prévu dans l’agenda électoral, ne manque pas d’appeler à nouveau le président Bouteflika à briguer un nouveau mandat tout en avançant les raisons de ce choix «certains opposent à notre analyse l’alternance démocratique. Nous plaidons pour notre part, l’exemple des pays qui ont réussi leur décollage économique et social en Asie du Sud-Est ou en Amérique du Sud par exemple, des décollages accomplis il y a quelques décennies déjà, grâce aux mérites de la continuité».

Le RND est partie prenante du Front populaire
Le patron du RND a assuré, à l’occasion, que sa formation politique est «partie prenante» dans le Front populaire solide auquel a appelé le chef de l’Etat, de même qu’il est «un allié» dans cette même initiative, avec le parti du Front de Libération nationale. Il précise cependant que «chacun de nous a sa propre méthode et nous travaillons dans le même sens afin de concrétiser le même objectif, qui est la préservation de la paix et de la stabilité». Une réponse claire à tous ceux qui mettaient en doute l’engagement du RND dans le Front. Ahmed Ouyahia a enfin évoqué la situation socio-économique du pays résumant en quelques points les défis que l’Algérie doit relever pour continuer d’avancer sur la voie du développement et du bien-être. Il a cité l’anarchie, la violence, le populisme, la démagogie, le travail et a insisté sur la préservation de la stabilité du pays. Pour relever l’ensemble de ces défis, Ahmed Ouyahia préconise la poursuite du «Moudjahid Abdelaziz Bouteflika de son engagement et son sacrifice au service de l’Algérie (…) pour une Algérie qui avance, pour une Algérie de justice sociale, pour une Algérie d’égalité entre les hommes et les femmes devant les efforts, les sacrifices, mais aussi dans les droits, pour une Algérie fière et souveraine dans le monde».

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Assainissement du climat des affaires et réformes économiques: Haddad presse le gouvernement

Sun, 10/07/2018 - 17:00

Walid AÏT Saïd

Le patron des patrons appelle à l’ouverture de tous les secteurs à l’investissement privé, exception faite des industries militaires.

Le FCE veut éviter que les reformes économiques partent dans le…oued! Le président du Forum des chefs d’entreprise (FCE), pourtant soutien et partenaire du gouvernement, a réclamé un assainissement rapide du climat des affaires. Son président, Ali Haddad, a choisi la Californie algérienne, à savoir la wilaya d’El Oued pour lancer un appel des plus solennels au gouvernement afin qu’il «booste» au plus vite les réformes tracées par le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika. Le président du FCE, Ali Haddad, ne va pas par quatre chemins! «L’amélioration du climat des affaires doit être placée comme une priorité nationale et cela le plus vite possible», a-t-il soutenu lors de son allocation d’ouverture de la 4ème édition de l’université d’été du FCE qui s’est tenue hier au niveau du sublime complexe la Gazelle d’or, symbole de l’expansion économique de cette wilaya du Sud. «Pour vous donner la dimension du challenge qu’il nous faut assumer, de 2014 à 2018, moins de 200.000 entreprises ont été créées en Algérie alors que plus de 64.000 ont été créées en France rien qu’au mois de janvier 2018.

C’en est trop de la bureaucratie!
En second lieu et en corollaire de l’assainissement du climat des affaires, le FCE plaide pour l’ouverture d’ une dynamique entrepreneuriale. «L’accélération du rythme de création des entreprises est sans conteste l’enjeu fondamental et crucial des prochaines années. Ce n’est pas un choix dont il s’agit, mais un impératif qu’il faudrait réaliser pour garantir la diversification de notre économie», a insisté Ali Haddad dans un discours prononcé dans un arabe parfait. Néanmoins, le patron des patrons profite de cette occasion pour appeler à une privatisation tous azimuts! «Notre pays doit donner à l’adresse des opérateurs économiques nationaux et étrangers des signaux forts d’ouverture de son économie», a-t-il suggéré. «A l’exception des industries militaires, les autres secteurs doivent être ouverts, sans a priori, à l’investissement privé.
C’est un gage d’amélioration incontestable du climat de l’investissement et un impératif pour renforcer l’attractivité de l’Algérie», a-t-il défendu. Comprendre par là, l’application de la Charte de partenariat public-privé. Surtout qu’avant la fin de son discours, il plaide pour le renforcement du partenariat public-privé afin de densifier les sources de financement. «Au-delà du volet financier, l’introduction intelligente et bien étudiée du dispositif du partenariat public-privé est de nature à apporter plus d’efficacité dans la gestion et la conduite des projets de réalisation des infrastructures et des équipements de services publics», a-t-il assuré.
«De même qu’en termes de partenariat sociétaire, le processus de modernisation des entreprises publiques devra se poursuivre en les encourageant à aller vers des partenariats pour gagner en efficacité managériale et acquérir le savoir-faire technologique», a-t-il souligné avant de lancer un appel pour le «rapatriement» de notre diaspora.

L’appel à la diaspora…
«Je ne voudrai pas m’arrêter là, sans évoquer la question qui me tient particulièrement à coeur. Celle du rôle et de la place de notre diaspora. Notre communauté à l’étranger est une partie intégrante et indéfectible de notre nation», a-t-il soutenu. «Elle recèle un potentiel important de ressources humaines de haute qualité et financières en direction de laquelle nous lançons un appel fort pour la promotion de nouveaux projets à grande valeur ajoutée économique et technologique», a-t-il ajouté.

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Le Salon International de la Récupération et de la Valorisation des Déchets aura lieu du 08 au 11 octobre 2018

Sun, 10/07/2018 - 16:56
La Chambre Algérienne de Commerce et d’Industrie Organise en Collaboration avec l’AND-Agence Nationale des Déchets, la SAFEX- Société Algérienne des Foires et Exportations et la CCIAF- Chambre de Commerce et d’Industrie Algéro-Française, le 3éme Salon International de la Récupération et de la Valorisation des Déchets « REVADE » qui aura lieu du 08 au 11 octobre 2018 au Palais des Exposition des Pins Maritimes à Alger, sous le thème « l’entrepreneuriat circulaire, un levier de développement de la gestion des déchets ». Le salon REVADE est dédié à la collecte, au tri, au traitement, à la valorisation.

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Université de la formation continue: Des diplômés interpellent Hadjar

Sun, 10/07/2018 - 16:55

Par Abdelkrim AMARNI

Les textes officiels d’application sont «formels» là-dessus, estiment-ils.

Reçus hier samedi au niveau de notre rédaction, des membres du Collectif des diplômés et étudiants de l’université de la formation continue (UFC) sont venus pour dénoncer la non-considération de leur Diplôme d’études universitaires appliquées (Deua) par les services de la fonction publique.
En tant que titulaires d’un diplôme universitaire, nos interlocuteurs demandent à ce qu’ils soient classés à l’échelle 11, alors qu’on leur propose l’échelle 10, soit comme «attaché principal de l’administration».
Leur requête est, selon eux, conforme à un décret présidentiel datant de septembre 2014 certifiant la classification du «Deua» de l’UFC à l’échelle 11, ceci en sus du décret exécutif de création de l’UFC datant de mai 1990 qui reste de rigueur quant à son application.
Le diplôme «Deua» considéré auparavant comme une licence jusqu’en 1996, est devenu Duea en 1997 expliquent nos interlocuteurs.
Par ailleurs, en dépit des textes officiels parus sur la question, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (Mesrs) continue de «considérer à tort» le Deua comme un diplôme «non académique», mais comme une simple «attestation de formation» s’insurge le Collectif!
Cependant, il faut savoir que les conditions d’accès à l’UFC, émises en 1994, requièrent le bac ou une attestation. Pourtant, le ministère tutelle des universités a attesté, en mai 1991 et 1994, que les diplômes délivrés par l’UFC ont la même valeur «pédagogique, scientifique et juridique» que ceux émis par toutes les universités du pays.

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Décès de l’ancien ministre de l’Hydraulique Mohamed Douihasni

Sun, 10/07/2018 - 16:51

MEDEA – L’ancien ministre de l’Hydraulique, Mohamed Douihasni, est décédé dimanche à Ouamri, dans la wilaya de Médéa, à l’âge de 71 ans, a-t-on appris auprès de ses proches.

Le défunt avait occupé plusieurs postes de responsabilité, dont celui de membre du Conseil de la nation, avant de devenir ministre de l’Hydraulique entre 2003 et 2004. Il a également été élu au sein du Madjlis Ech-choura de l’Union du Maghreb arabe (UMA).

Mohamed Douihasni sera enterré ce dimanche au cimetière de sa ville natale, Ouamri (33 km à l’ouest de Médéa).

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Cartes chifa bloquées par la CNAS: L’APOCE au secours des assurés et des ayants droit

Sun, 10/07/2018 - 16:40

Alors que la Caisse nationale des assurances sociales et des travailleurs salariés (CNAS) a gelé environ 90 000 cartes Chifa, en raison de la fraude, l’Association de protection et d’orientation du consommateur et son environnement (APOCE) a demandé audience auprès du ministère du Travail en vue de défendre les intérêts des assurés, notamment, ceux atteints de maladies chroniques. Considérant légitime de demander d’amples explications au sujet de la mesure, qui porte souvent atteinte au droit des assurés d’avoir accès aux soins, le président de l’APOCE, Mustapha Zebdi a regretté que la rencontre avec des cadres du ministère du travail n’ait pas éclairci certains points à ce sujet. « Est-ce que le blocage de la carte chifa est une procédure réglementaire ? Y-a-t-il une instruction ou une décision centrale, ou des décisions individuelles prises par les directeurs d’agences eux-mêmes ? Ce sont autant de questions restées sans réponses », a regretté Mustapha Zebdi, joint, hier, par nos soins au téléphone.

Tout en rappelant que son association « a reçu plusieurs requêtes par les assurés, qui ne comprennent pas les raisons ayant poussé la Cnas à bloquer leur carte chifa », le président de l’APOCE a appelé cette dernière à réfléchir à d’autres mécanismes pour lutter contre l’abus de consommation des médicaments sans prendre en otage les malades. Une chose est sûre, il dira que « certains assurés n’ont même pas été notifiés que leur carte sera bloquée, ce qui nous pousse à se poser des questions». Qualifiant la situation de « déplorable», notre interlocuteur a fait savoir que l’APOCE a demandé audience auprès du ministère du Travail dans la perspective d’« éclaircir les choses », mais malheureusement, « cette réunion a servi uniquement à faire remonter les données au ministre du secteur, Mourad Zemali ». « Nous n’avons pas eu les réponses à nos interrogations », a regretté le défenseur des droits des consommateurs, en précisant que les responsables du ministère du Travail n’étaient pas habilités à donner les réponses qu’on recherchait ».

Cependant, pour l’heure, il a indiqué que l’APOCE s’est occupée de lever les requêtes et les doléances des assurés au ministère, en attendant un retour de la part de ce dernier quant à ce « lourd dossier ». « C’est à l’administration de corriger la situation », a-t-il expliqué. Par ailleurs, il a précisé qu’en attendant une réaction de la tutelle, l’APOCE prévoit de lancer d’autres actions pour faire valoir les droits des assurés. « Le dossier est lourd, on aura certainement d’autres actions dans les jours à venir, surtout avec la pénurie des médicaments et la hausse des prix de consultation et les taux de remboursement qui restent inchangés », a-t-il expliqué à cet effet. À noter que l’APOCE a lancé une page sur internet pour collecter les requêtes des assurés et des ayants droit en ce qui concerne ce dossier. Pour rappel, le directeur général de cet organisme, Hassen Tidjani Haddam, avait déclaré en août dernier que plus de 90 000 cartes Chifa ont été bloquées pour fraude. Certains détenteurs de la carte, ont dû rembourser les médicaments pour débloquer celle-ci. Depuis, de nombreux patients se retrouvent dans la difficulté de se procurer leurs médicaments.
Lamia Boufassa

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Iran: le Parlement adopte un projet de loi contre le financement du « terrorisme »

Sun, 10/07/2018 - 16:38

Le Parlement en Iran a adopté dimanche un projet de loi contre le financement du « terrorisme », un texte critiqué par les conservateurs mais considéré comme vital pour sauver l’accord sur le nucléaire avec les partenaires de Téhéran, après le retrait américain. Ce projet de loi, l’un des quatre mis en avant par le gouvernement iranien pour répondre aux demandes du Groupe d’action financière (Gafi), a été adopté par 143 voix pour et 120 contre, selon l’agence semi-officielle Isna. Le Gafi est un organisme intergouvernemental fondé en 1989 par le G7, visant à développer et promouvoir des politiques nationales et internationales de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du « terrorisme ».

En juin, il avait donné trois mois à l’Iran pour adopter plusieurs lois nécessaires à son retrait de la liste noire des pays ou territoires non coopératifs. « Ni le président ni moi ne pouvons garantir que tous les problèmes seront résolus si nous adhérons » à la Convention onusienne, a affirmé le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, au cours d’un débat précédent le vote. « Mais je peux assurer que ne pas y adhérer donnera aux Etats-Unis plus d’excuses pour accroître nos problèmes », a-t-il ajouté. Le projet de loi a pour objectif de permettre à l’Iran –seul pays avec la Corée du Nord à faire partie de la liste noire du Gafi– de s’aligner avec les normes internationales et d’adhérer à la Convention de l’ONU pour la répression du financement du terrorisme.

AFP

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Une école de qualité ne saurait exister sans des enseignants de qualité: Nouria Benghebrit tance les enseignants

Sun, 10/07/2018 - 16:33

Selon la ministre de l’Éducation nationale, Nouria Benghebrit, l’édification d’une école de qualité ne saurait exister sans des enseignants de qualité. Pour ce faire, Benghebrit a appelé ce corps à améliorer ses compétences pour être en mesure d’améliorer ses performances pédagogiques et éducatives.

à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de l’enseignant qui coïncide avec le 5 octobre de chaque année, la ministre de l’éducation a donc adressé un message particulier aux enseignants, lors d’une cérémonie organisée hier à cet effet au lycée des mathématiques de Kouba. Ainsi, Nouria Benghebrit a exhorté les enseignants de s’éloigner de certains comportements Individuels qui ternissent l’exercice de cette « noble profession». Selon elle, pour mettre l’élève en disposition d’acquérir le savoir, il est essentiel de rester loin de l’usage de la violence mais aussi, de ne pas recourir massivement aux cours particuliers. «De tels comportements doivent être dénoncés par nous tous. Plus que jamais, aujourd’hui, notre vigilance doit être convoquée afin de préserver le service public gratuit qu’est l’Education, avec toutes ses exigences éthiques, morales et humaines », a-t-elle déclaré.

En encourageant ce corps du secteur de l’Education à persévérer, à continuer à apprendre et à se former afin de, constamment, aller de l’avant, Benghebrit a également recommandé aux enseignants de jouir d’une disponibilité intellectuelle qui leur permette de trouver, au moment voulu, les réponses idoines à l’inquiétude pédagogique qui les hante ou à des situations inattendues qui peuvent parfois surgir en plein cours. En un mot, la ministre a appelé les enseignants à améliorer leurs compétences pour être en mesure d’améliorer leurs performances pédagogiques et éducatives. « Le droit à l’éducation, c’est aussi le droit à un personnel enseignant qualifié», dira-t-elle à ce propos, et d’insister que le droit à l’éducation ne peut pas s’exercer sans le droit à des enseignants formés et qualifiés. Pour Benghebrit, des enseignants de qualité sont des enseignants disponibles en permanence, qui se remettent en cause et capables de s’ouvrir sur l’actualité pédagogique et scientifique, des enseignants au comportement exemplaire, avec une éthique professionnelle fondée sur l’équité, la tolérance et le respect et des enseignants engagés vis-à-vis de leurs élèves et de la communauté éducative.

Il convient de signaler que, lors de la cérémonie, la ministre a rendu hommage aux nombreux enseignants morts dans des circonstances poignantes durant la tragédie nationale, simplement, selon elle, parce qu’ils portaient en eux la vocation d’enseigner, et parce qu’il était inconcevable pour eux de ne plus croiser le regard admirateur de leurs élèves.
Ania Nait Chalal

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Ahmed Ouyahia à l’ouverture des travaux de la conférence nationale des militantes du RND : « 99% des 1000 milliards Usd ont été dépensés pour le développement de l’Algérie ! »

Sun, 10/07/2018 - 16:30

Sous sa casquette de secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia a présidé, hier, à la mutuelle des matériaux de construction à Zéralda, l’ouverture des travaux de la conférence nationale des militantes du parti. Après avoir lu son discours, le chef du parti a animé une conférence de presse pour répondre aux questions des journalistes sur l’actualité du pays.

La crise à l’APN, la 30ème commémoration des évènements tragiques du 5 Octobre 1988, la crise économique et le fameux livre de Bernard Bajolet, qui a fait couler beaucoup d’ancre, sont des sujets qui ont été abordés lors de cette rencontre. Très connu pour son parler en clair-obscur, Ahmed Ouyahia n’a pas hésité à répondre à toutes les questions posées par les journalistes. Avant de passer aux questions-réponses, Ahmed Ouyahia a, d’emblée, salué les femmes responsables qui ont organisé cette conférence nationale de formation et d’orientation des militantes de son parti ; « La femme algérienne a toujours été en première ligne dans tous les combats pour l’Algérie.»

Ensuite, Ouyahia a saisi l’occasion pour rendre hommage aux victimes des émeutes d’octobre 1988. Dans ce contexte, il a précisé que : « les évènements d’octobre 1988 ont plongé l’Algérie dans l’anarchie, puis l’instabilité et ensuite le terrorisme. Les jeunes martyrs de ces évènements ont été victimes d’une manœuvre politicienne », a-t-il estimé dans son discours. Pour ce qui est de la crise économique qui a paralysé l’Algérie depuis la chute dramatique du prix du baril en 2014, le chef de l’exécutif s’est montré rassurant en disant : « grâce à la sagesse du Président Bouteflika, l’état a mobilisé des ressources financières par un recours temporaire à l’emprunt interne, assurant ainsi la poursuite du processus de développement économique et social, en même temps que l’inflation demeure maitrisée. Le meilleur exemple du bien fondé de cette démarche présidentielle vient d’être donné par le projet de loi de finances pour 2019 qui se distingue par l’augmentation des transferts sociaux ainsi que par l’absence de toute nouvelle taxe ou impôt.»

Dans cette optique, le Premier ministre a précisé que : «la loi de finances 2019, ne connaîtra aucune hausse sur la TVA, alors que les dépenses de l’état et les transferts sociaux seront plus importants », a-t-il dit. Lors de la conférence de presse, il a mis en exergue les efforts consentis par le gouvernement indiquant que : « 99% des 1000 milliards de dollars sont partis pour le développement. »
B.M. Wali

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9ème Projet Numérique : Samsung Algérie inaugure une Tech School au Lycée Descartes à Alger

Sun, 10/07/2018 - 16:30

En tant que leader mondial dans le secteur de la technologie, Samsung Electronics consciente non seulement de son devoir d’apporter tout son soutien et ses expériences afin d’offrir des solutions à la pointe de la technologie facilitant la vie aux consommateurs, mais aussi convaincue de l’importance de soutenir des projets solidaires et affirmant son rôle d’entreprise citoyenne.

Samsung Algérie s’est engagée depuis son installation en Algérie à mettre la responsabilité sociétale au cœur de ses métiers, et cela, à travers plusieurs activités et initiatives.

De ce fait et dans une même continuité de ses projets « Tech School » entrepris depuis 2014, Samsung a procédé récemment à l’inauguration de sa Tech School au Lycée Descartes qui est le 2ème projet au niveau de l’établissement.

A ce jour 9 projets au total ont vu le jour en procédant à l’inauguration des classes numériques à travers le territoire national dont: le Lycée d’excellence des mathématiques de Kouba à Alger, le Lycée « Colonel Lotfi » à Oran, le Lycée « Ibn Badis » à Constantine, le Lycée « Hakkoumi Laid » à Adrar, un autre lycée à la Wilaya de Chlef, l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales EHEC à Koléa Pôle universitaire dans la Wilaya de Tipaza et 2 projets Tech School au niveau du lycée Descartes à Alger. En plus des établissements scolaires, l’entreprise a équipé une salle de cours d’outils numériques au profit des enfants malades au service de pédiatrie à l’hôpital de Belfort, à Alger.

Un projet permettant tant aux professeurs qu’aux élèves d’interagir en se partagent les cours, les exercices en alliant interactivité, technologie et web.

Le concept Samsung Tech School est une méthode à la fois pratique et facile à appliquer. Cette solution éducative offre une parfaite interactivité enseignant-élève en introduisant l’air numérique et digital dans l’éducation.

De ce fait, cette initiative de Samsung Algérie, qui est la 9ème de son genre après les différentes inaugurations des Tech School à travers le territoire national, confirme davantage sa vocation et son engagement dans le développement à travers les TICs.

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Haddad: “Il n’y a aucun lien entre le FCE et Kamel Bouchi”

Sun, 10/07/2018 - 15:33

Le président du Forum des chefs d’entreprise (FCE), Ali Haddad a nié tout lien entre le Forum et l’importateur de viande, “Kamel Bouchi” impliqué dans une affaire de cocaïne.

“Celui-ci participait aux réunions du FCE en tant qu’homme d’affaires ni plus ni moins”, a expliqué Ali Haddad.

Pour le président du FCE, tout ce qui se dit sur d’éventuels liens noués entre lui et Kamel El Bouchi (boucher) n’est qu’une rumeur sans fondement.

Pour ce qui est de l’absence des autorités officielles à la 4e édition de l’université d’été du Forum, Ali Haddad a expliqué qu’il n’avait envoyé  des invitations officielles qu’à des représentants, réaffirmant l’engagement de son organisation à servir et l’économie et le pays.

S’exprimant en marge d’une conférence de presse animée au terme des travaux de l’université d’été du FCE, Ali Haddad a dit qu’il attendait toujours une réponse à la demande formulée en vue de transformer le Forum en un syndicat: “Nous avons formulé une demande dans ce sens et nous attendons toujours une réponse…”.

Par ailleurs, il a fait savoir que cinq (05) formations politiques avaient invité le FCE à débattre de la politique générale du pays, affirmant que l’intervention de son organisation sera centrée  uniquement sur le volet économique, ajoutant qu’il était prêt à discuter en tête-à-tête et sans complexe aucun avec la patronne du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune.

Dans son allocution d’ouverture, le président du FCE a insisté sur la nécessité de booster l’économie nationale. Pour ce faire, le conférencier a soutenu que toute avancée dans le domaine économique est tributaire de la réduction de la facture d’importation, l’encouragement de l’investissement national qui implique, à ses yeux, la prise des décisions audacieuses et  cruciales.

En effet, Haddad n’a  pas manqué  de rappeler les réformes initiées par le chef de l’Etat en faveur de la promotion des exportations hors-hydrocarbures, la consécration de la liberté d’investissement ainsi que l’accélération de création des entreprises. C’est sur ce dernier qu’il s’est arrêté pour faire un commentaire: “En cinq ans, nous avons créé 200.000 entreprises, alors qu’en France pas moins de 64.000 entreprises ont été montées en mois de janvier dernier”.

De plus, il a plaidé en faveur de la libération de l’économie des  charges bureaucratiques: “Nous souhaitons l’épuration du climat des affaires par le biais de la suppression de tous les obstacles, en particulier ceux liés au foncier”, réclamant aussi l’ouverture du champ d’investissement devant les opérateurs privés, et ce dans les divers domaines à l’exception de l’industrie militaire qui est de nature, selon lui, à attiser l’appétit des investisseurs étrangers.

Comme il a tenu à lancer appel à la communauté nationale établie à l’étranger afin de contribuer à l’encouragement et au financement des nouveaux projets à forte valeur ajoutée: “la diaspora est  une partie intégrante du pays”.

Asma Bahlouli / Traduit par: Moussa. K.

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Fonds de la Zakat: plus de 1,4 milliard de dinars collectés en 2018

Sun, 10/07/2018 - 15:23

 ALGER – Le montant global officiel de la collecte de la Zakat pour l’année 1439 de l’hégire (2018) a atteint 1,456 milliard de dinars, a annoncé le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa.

Le ministre a indiqué, sur sa page Facebook, que ce montant « est le plus élevé enregistré depuis la création du fonds de la Zakat en 2002, dépassant, ainsi, le chiffre enregistré l’année dernière (près de 5 milliards de centimes) », ajoutant que ce bilan reflète « la confiance grandissante placée par les bienfaiteurs en ce fonds mais aussi l’efficacité et l’abnégation des responsables de ce projet ».

Selon les chiffres avancés, « la wilaya de Constantine est classée première en matière de fonds de Zakat, avec 72,6 millions da avant Sétif et Alger, tandis que la wilaya d’Adrar vient en tête en ce qui concerne la Zakat des récoltes avec plus de 16 millions da et Sétif en première position quant au montant de la Zakat d’El-Fitr (plus de 110 millions da) ».

« Ces sommes ont été distribuées au profit des familles nécessiteuses tout au long de l’année, avec une petite contribution consacrée à l’alimentation du fonds central de la Zakat qui a contribué, à son tour, à l’initiative « Le cartable de l’orphelin » et à la prise en charge des victimes des inondations de Bir Chouhada (W. Oum El Bouaghi), a précisé M. Mohamed Aissa.

Le ministère des Affaires Religieuses et des Wakfs avait fixé le nissab de la Zakat de l’argent et des offres commerciales pour cette année à cinq cent cinquante-deux mille et cinq cents dinars algériens (552.500, 00 DA).

La Zakat correspond au quart du dixième, soit 2,5 % de toute valeur ayant atteint le Nissab au terme d’une année, à savoir l’argent, les offres commerciales et les marchandises évalués au prix de vente actuel le jour de la Zakat.

Le nissab de la Zakat a été calculé sur la base de 20 dinars or dont le poids équivaut 85gr alors que l’Agence nationale de transformation et de distribution de l’or et métaux précieux (AGENOR) a fixé le prix du gramme d’or de 18 carats à 6.500, 00 DA.

Le ministère des Affaires religieuses a mis à la disposition des personnes devant s’en acquitter le Fonds de la Zakat sous le compte CCP national n 4780-10 et les comptes CCP répartis à travers les wilayas.

« Les œuvres de charité sont (destinées) aux besogneux, aux mendiants, à ceux qui s`occupent (de ces œuvres), aux sympathisants, aux esclaves, aux sinistrés au (combat) pour la cause de Dieu, aux voyageurs: (c`est là) un arrêt de Dieu qui est omniscient et plein de sagesse » (le verset 60 de Sourate Ettawba (repentance).

Par ailleurs, le ministère avait fixé le montant de la Zakat El-Fitr pour le mois de Ramadhan 2018 à 120 DA.

Les imams des mosquées avaient procédé, en collaboration avec les comités religieux des mosquées, à travers l`ensemble du territoire national, à la collecte de Zakat El-Fitr, à compter du 15ème jour du mois de Ramadhan, en vue de sa distribution aux nécessiteux, un ou deux jours avant Aïd El-Fitr.

Chaque musulman ayant les moyens financiers doit s’acquitter de la Zakat El-Fitr pour lui ainsi que pour les personnes dont il a la charge.

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