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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 3 days 30 min ago

Liga : Le Real Madrid à l’agonie !

Sat, 10/20/2018 - 16:24

Les rouges et bleus ont rapidement mené au score puis fait le break, par José Luis Morales (7e) et Roger Marti sur penalty (13e). Les Merengue avaient déjà fait leurs trois changements à l’heure de jeu, et Marcelo a fini par réduire la marque sur un service de Karim Benzema (72e) comme l’indique Sport24. Le Français, remplaçant au coup d’envoi, a même trouvé le poteau cinq minutes plus tard. Mais rien n’y fera. Il s’agit du quatrième match sans victoire consécutif pour le Real Madrid en championnat, et le cinquième toutes compétitions confondues (1 nul, 4 défaites).

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Trois éléments de soutien aux groupes terroristes arrêtés à Boumerdès (MDN)

Sat, 10/20/2018 - 16:23

Trois (3) éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés vendredi à Boumerdès par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique samedi le ministère de la  Défense nationale (MDN) dans un communiqué.  

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation efficiente de renseignements, un détachement de l’Armée nationale populaire a arrêté, le 19 octobre 2018 à Boumerdes (1e Région militaire), trois (3) éléments de soutien aux groupes terroristes », précise la même source.

Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, un détachement de l’Armée nationale populaire « a appréhendé à Tamanrasset (6e RM), six (6) contrebandiers et saisi (2) marteaux piqueurs, (2) groupes électrogènes et (2) motocyclettes ».

De leur côté, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont intercepté un narcotrafiquant en possession de 1,5 kilogramme de kif traité à Tlemcen (2e RM) ».

D’autre part, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont saisi, lors de deux opérations distinctes, menées à Mila et Souk Ahras (5e RM), (224) grammes d’or et (12.380) unités de produits pyrotechniques », rapporte le communiqué.

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Plus de 80 présumés auteurs de différentes crimes et délits interpellés dans plusieurs wilayas

Sat, 10/20/2018 - 16:14

Les forces de police des sûretés des wilayas d’Alger, Blida, Oum El Bouaghi, Biskra, Batna et Sidi Bel Abbes ont interpellé 81 présumés auteurs de différents crimes et délits à travers le territoire de ces wilayas, indique samedi la Direction générale de la Sûreté nationale.

« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité, notamment la détention et le trafic de stupéfiants, les forces de police des sûretés de wilaya d’Alger et de Blida, ont mené des opérations de recherches à travers leurs secteurs de compétence, ce qui a permis l’interpellation de (73) individus présumés auteurs dans divers délits », a-t-elle souligné dans un communiqué.

Soixante et onze (71) présumés auteurs de différents crimes et délits ont été arrêtés suite à des descentes dans plusieurs quartiers de la capitale, lesquelles se sont soldées également par la récupération de 71 grammes de kif traité et 598 comprimés psychotropes, et des armes blanches.

Par ailleurs, les forces de police judiciaire de la sûreté de wilaya de Blida, ont interpellé deux (02) présumés auteurs dans une affaire liée au trafic de drogue suite à l’exécution d’un mandat de perquisition dans un domicile sis dans la localité de Larbaa, a ajouté la même source.

La perquisition a permis également la récupération de plus de 500 grammes de kif traité, a-t-on encore souligné.

A Oum El Bouaghi, les éléments de la police judiciaire qui agissaient sur information, faisant état qu’un groupe d’individus suspects en possession d’une quantité de comprimés psychotropes à hauteur de la ville, ont interpellé récemment 5 présumés auteurs impliqués dans une affaire liée au  trafic de psychotropes et ont récupéré 720 comprimés psychotropes.

Dans le même contexte, les éléments de la police judiciaire relevant de la sûreté de wilaya de Biskra, ont interpellé un présumé auteur à bord d’un véhicule au centre ville, en possession de 476 comprimés psychotropes.

Dans le cadre de la lutte contre la criminalité notamment le trafic de drogue, les forces de police des sûretés de wilaya de Batna et de Sidi Bel Abbes, ont interpellé récemment 2 présumés auteurs impliqués dans une affaire liée au trafic de drogue, et ont récupéré 7,7 kg de cannabis.

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Une rencontre nationale lundi et mardi sur la prévention des risques des catastrophes

Sat, 10/20/2018 - 16:13

Le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire organise, lundi et mardi prochains au Centre international des conférences (CIC), Abdelatif Rahal (Alger), une rencontre nationale sur la prévention des risques des catastrophes, a indiqué samedi un communiqué du ministère.

 Organisée sous le haut patronage du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, la rencontre verra la présence de plus de 600 participants, notamment des acteurs et des experts nationaux et internationaux qui se pencheront sur les principaux axes de la stratégie nationale de prévention des risques des catastrophes dans le but de mettre sur pied un plan d’action multisectoriel pour la période 2019-2030, a précisé le communiqué. 

Un espace d’exposition dédié aux différents organismes opérant dans le domaine est prévu dans le cadre de cette rencontre, en sus de quatre ateliers pluridisciplinaires devant émettre des recommandations à même de mettre en place des mécanismes efficaces pour une meilleure prise en charge de ces phénomènes.

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Massacre à la réserve naturelle de l’Edough: Plus de 100 arbres abattus !

Sat, 10/20/2018 - 16:08

Cela intervient à quelques jours de la célébration de la Journée nationale de l’arbre.

Pour réaliser son complexe, un investisseur a procédé à l’abattage de centaines d’arbres sur la route reliant Aïn Achir à Séraïdi, avons-nous constaté sur place. Le nombre est appelé à augmenter, puisque, ledit investisseur pour la réalisation de son projet, doit raser des milliers d’arbres de toutes variétés. Ce massacre est le résultat d’une concession, validée par entre autres, l’ex-wali qui ne s’est pas soucié outre mesure des dégâts pouvant impacter la faune et la flore. Pis encore, l’ex-wali, les responsables du Calpiref et les services des domaines entre autres, en apportant leur approbation à la fin de la concession d’une grande partie de la forêt, ont cautionné un «génocide» qui sera inévitablement à l’origine d’un déséquilibre dans la reproduction de cette ressource naturelle.
Contacté, M. Halimi, président de l’Association nationale pour la protection de l’environnement et la lutte contre la pollution (Anpep) rappellera que «le patrimoine forestier est une ligne rouge infranchissable», a d’emblée lancé l’interlocuteur. En expliquant qu’il s’agit d’une grave atteinte au territoire de la réserve de l’Edough. «Depuis 1964 elle est classée réserve naturelle nationale et mondiale. Sur 50 km de long et 15 km de large, C’est-à-dire de Aïn Achir jusqu’à Séraïdi et de Chétaïbi à Bouguentasse, ce sont 765 km2 de réserve naturelle», a précisé le président de l’Anpep.
Il a indiqué dans le sillage qu’un rapport sur ce dépassement sur le patrimoine forestier, dont nous détenons une copie, vient d’être transmis à Toufik Mezhoud, wali de Annaba, aux fins d’ordonner l’arrêt des travaux de terrassement par cet investisseur. Aux termes du rapport, il est fait état du constat de l’abattage, avec des engins, de centaines d’arbres séculaires de la forêt de Aïn Achir, relevant de la réserve mondiale de l’Edough. Dans le rapport, il est rappelé les atteintes perpétrées sur le parc forestier de Berrahal, où un autre investisseur, pour réaliser un projet industriel, a massacré des milliers d’arbres bicentenaires. L’interlocuteur affirme entreprendre toutes actions et user des droits qui lui sont conférés dans le cadre de son statut de président de l’Anpe pour arrêter ce massacre contre la nature.

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La fièvre aphteuse sévit à Tizi Ouzou !

Sat, 10/20/2018 - 16:04

Depuis le début du mois d’octobre en cours, la maladie de la fièvre aphteuse est signalée dans quatre communes de la wilaya de Tizi Ouzou.

Selon des informations concordantes, la maladie est apparue presque simultanément dans des communes comme Assi Youssef, près de Boghni, aux Ouadhias, à Azazga et à Tizi Rached. La sonnette d’alarme est désormais tirée au vu du nombre croissant de bêtes qui sont affectées par cette maladie. Des chiffres provisoires évoquent le nombre de bêtes ayant été touchées et abattues à titre préventif. Pour l’instant c’est dans la commune d’Azazga et à Assi Youssef que la situation est la plus grave puisque c’est dans ces deux localités qu’a été enregistré le plus grand nombre de cas. Dans la commune d’Azazga, a-t-on d’ailleurs appris, ce sont pas moins de vingt et une bêtes qui ont été abattues cette semaine après avoir constaté que ces dernières étaient atteintes ou suspectées d’être atteintes de fièvre aphteuse. Vingt autres bêtes ont été abattues dans la commune d’Assi Youssef dans la daira de Boghni, au sud du chef-lieu de wilaya, pour les mêmes raisons. Même si le nombre de bêtes ayant été atteintes de la fièvre aphteuse est moins important qu’Azazga et Assi Youssef, il n’en demeure pas moins que les autres localités, à l’instar des Ouadhias et Tizi Rached en sont aussi touchées. Pour les Ouadhias, neuf bêtes ont été abattues au courant de cette semaine alors que trois autres l’ont été à Tizi Rached, plus exactement dans la localité d’Aït Oumalou, a-t-on également appris. Notons que, d’après les responsables du secteur de l’agriculture, la première mesure à prendre en toute urgence en cas de suspicion de l’existence de cas de fièvre aphteuse c’est de saisir les services de la DSA pour que les mesures nécessaires, soit l’abattage des bêtes touchées, soient prises. C’est la seule issue afin d’éviter la propagation de cette maladie. Par ailleurs, dans le même sillage, il y a lieu de souligner que les responsables du secteur concerné ont prévu de lancer une large campagne de vaccination de tout le cheptel de la wilaya dans les tous prochains jours afin de se prémunir contre tout autre risque. Il y a lieu de préciser, en outre, que les éleveurs concernés par l’abattage de leurs bêtes seront remboursés et il n’y a donc pas lieu que les concernés s’alarment outre mesure surtout pour ceux d’entre eux qui n’ont que ce créneau pour subvenir à leurs besoins. Du côté des responsables de la direction des services agricoles de la wilaya de Tizi Ouzou, on se montre beaucoup moins alarmant. En effet, les responsables en question ont indiqué que sur la cinquantaine de bêtes appréhendées dans les régions de Azazga, Oudhias, Assi Youssef et Tizi Rached, il n’y a eu que deux cas qui ont pu être confirmés à 100%. Il n’y a donc pas péril en la demeure, d’après les mêmes responsables. Notons enfin, que nous avons appris que le ministère de l’Agriculture a adressé à tous les services agricoles des wilayas du pays une note, le 7 octobre dernier, leur demandant de surseoir à toute mesure d’abattage de bêtes jusqu’à la fin de la campagne de vaccination du cheptel qui sera lancée incessamment. La wilaya de Tizi Ouzou vient d’ailleurs de bénéficier de sa quote-part qui est de l’ordre de 70.000 doses de vaccin. En attendant le lancement de cette campagne de vaccination, et s’agissant des cas de fièvre aphteuse signalés dans la wilaya de Tizi Ouzou, les responsables concernés au niveau de la direction de wilaya des services agricoles ont saisi le ministère de tutelle et ils attendent les directives qui leur seront données pour passer à l’action.

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Kaouane: « C’est la responsabilité des journalistes »

Sat, 10/20/2018 - 15:28

«Les médias contribuent à la consolidation de la démocratie et des droits de l’homme», a affirmé le ministre.

«Le rôle des médias dans la consécration des valeurs du vivre ensemble en paix.» Tel a été le sujet dominant de la Conférence nationale présidée, jeudi, à Mostaganem, par le ministre de la Communication, Djamel Kaouane. Dans son intervention, le ministre a tenu un véritable plaidoyer par le biais duquel il a invité, les journalistes à agir et réagir interactivement en défendant le précepte du vivre ensemble.
Ainsi, il a estimé que «le vivre ensemble en paix est un mécanisme nouveau qui renforce les acquis par une approche participative de tous les acteurs, à leur tête les journalistes, dans une démarche positive se démarquant de la subversion et de l’incitation à l’hostilité et à la haine». Sur sa lancée, il a plaidé pour «la participation constructive des médias à la promotion des valeurs de l’humanité, de la culture de la paix et de la tolérance, à l’ère de la mondialisation et des technologies modernes». «Les médias contribuent à la consolidation de la démocratie, des droits de l’homme et à la concrétisation du développement durable», a-t-il ajouté tout en mettant l’accent sur ce qu’il a qualifié de «rôle d’intermédiaire que doit assumer la presse pour renforcer les valeurs de paix, de dialogue et du vivre ensemble».
Dans ce sillage, le ministre de la Communication n’a pas omis de souligner au passage que «la presse plurielle doit oeuvrer avec professionnalisme pour offrir des tribunes d’expression libre et de débat responsable, rapprocher les points de vue et jeter les ponts de la connaissance et de l’acceptation de l’Autre». Résumant le fond de sa pensée, le ministre soulignera ensuite, le fait qu’«un tel climat aide le journaliste à faire preuve d’esprit de responsabilité et de respect de l’éthique de la profession dans la recherche de la véracité de l’information en se démarquant de la propagande, de la rumeur, de la manipulation et des tendances qui favorisent la haine et la discorde».
Djamel Kaouane a rappelé que «la presse nationale a accompagné avec engagement et efficacité la démarche et le processus de paix initiés par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et plébiscités par le peuple algérien». Cela, a-t-il ajouté, a «permis l’ouverture d’une nouvelle ère de réconciliation et de renforcement de la foi dans une Algérie stable qui prône cette valeur dans ses relations internationales». Lakhdar Ibrahimi, revenant sur le rôle de l’ONU dans la promotion du vivre ensemble, a, pour sa part «félicité l’Algérie pour le travail accompli jusqu’ici».
Il dira en marge de la conférence que «le vivre ensemble est le projet de toutes les sociétés et de la communauté internationale, notamment à travers les Nations unies créant, encourageant, favorisant les conditions permettant aux peuples, aux régimes différents et aux sociétés de coexister ensemble». «C’est l’objectif suprême. Ce n’est qu’un début», a-t-il souligné. Idem pour Khaled Bentounes qui a, pour sa part, affirmé que «c’est une réalité qui se réalise». Plus on avance dans le temps, plus cette réalité du vivre ensemble s’impose». «Tout le monde voit l’importance de ce thème», a-t-il ajouté.
Cette Conférence nationale a été organisée à l’initiative du ministère de la Communication dans le cadre des festivités de la Journée nationale de la presse célébrée le 22 octobre de chaque année. Elle a été marquée par la participation de spécialistes, de professionnels de la presse et d’universitaires, en présence de Lakhdar Brahimi, du directeur général de la Radio nationale et du président de l’association mondiale soufie Alaouie, cheikh Khaled Bentounes.

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Journée nationale de la liberté de la presse: Le geste sincère d’El Habiri !

Sat, 10/20/2018 - 15:28

La Dgsn ne ménagera aucun effort pour aider la presse nationale dans son travail et à aller de l’avant, a écrit le Dgsn dans son message.

Le directeur général de la Sûreté nationale le colonel Mustapha El Habiri a honoré les soldats de la presse comme il aime à les appeler affectueusement de la plus belle manière en cette veille de la Journée nationale de la liberté de la presse.
En effet, quoi de mieux que d’organiser une sortie de détente au profit des journalistes vers l’une des plus belles villes d’Algérie, la ville de Tipasa en l’occurrence. Les journalistes ayant répondu en nombre en ce jeudi matin à l’invitation de la Dgsn ont vite compris que l’idée de la sortie n’a pas été anodine. «Les hommes de terrain honorent leurs semblables sur le terrain», se sont accordés à dire les consoeurs et les confrères ravis de se retrouver de sitôt en cette matinée pour une fois non pas pour une couverture, mais juste pour se distraire. Le chef de la sûreté de la wilaya de Tipasa et ses cadres ayant reçu sans doute des instructions de la part de leurs supérieurs ont accueilli les représentants des médias avec tous les honneurs possibles au siège de la sureté de wilaya.
Outre le sourire qui ne quittait pas les lèvres, les hôtes de la ville de Tipaza ont eu droit à des fleurs et des écharpes frappées du logo de la Dgsn. Ce n’est pas fini, après l’accueil, les journalistes furent invités dans la splendide salle de la sureté de la wilaya réservée d’habitude pour les invités de marque. Autour des petits fours et toutes sortes de gâteaux et de limonades, Arslane Driad, chef de la sûreté de la wilaya, était aux anges a souhaité la bienvenue aux journalistes. «Je suis particulièrement ravi de vous accueillir parmi nous.
Cela est un honneur pour nous. Retrouver nos collègues de la presse en la veille de la Journée nationale de la liberté de la presse est un énorme plaisir. La police et les journalistes oeuvrent pour un seul but: servir le citoyen et le pays. Et à ce titre, je préfère vous accueillir sans protocole», a indiqué le chef de la sureté. Des propos qui ont mis de plus en plus à l’aise les journalistes qui se sont donné un énorme plaisir en visitant les différents services qu’abrite la sureté de wilaya. Accompagnés par le chef de la sureté et ses cadres, les invités de la police ont eu droit à des explications exhaustives quant à tous les services. Pour informer davantage les journalistes sur le travail et la disponibilité des hommes d’El Habiri, le chef de la sûreté de la wilaya a invité ces derniers à visiter la toute nouvelle unité de la brigade de la recherche et d’investigation (BRI) dans la localité de Fouka. Sur place, les journalistes qui furent accueillis avec les mêmes honneurs qu’au siège de la sûreté de la wilaya ont eu à s’enquérir du travail de la (BRI), des activités sportives et les arts martiaux auxquels sont soumis les éléments de cette brigade appelés à être disponibles à tout moment et dans toutes les circonstances. 13 h passée, les hôtes de la sureté de la wilaya de Tipasa ont été conviés à un déjeuner copieux. Avant de le savourer, le directeur de la cellule de la communication de la Dgsn a procédé à la lecture du message de Mustapaha El Habiri pour la corporation des journalistes à l’occasion de la Journée nationale de la liberté de la presse. Le Dgsn qui a tenu dans le préambule de son message à remercier le président de la République pour l’instauration de cette journée qui revient de droit à cette corporation, a tenu à remercier les différents organes de la presse nationale pour le travail accompli au profit à la fois du pays et de l’opinion publique.
Le colonel Mustapha El Habiri qui n’a pas omis de noter dans son message que la presse est un partenaire de marque pour la police a indiqué que cette relation est dictée par le souci de servir le citoyen et de préserver ses biens avec le maximum possible de professionnalisme.
Cette mission est désormais consacrée, note le Dgsn, par la Constitution. «La Dgsn ne ménagera aucun effort pour aider la presse dans son travail et à aller de l’avant», a conclu El Habiri dans son message.

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Une fillette de 15 ans violée par six personnes !

Sat, 10/20/2018 - 15:18

Les services de sécurité de la wilaya de Blida ont interpellé, au cours de cette semaine, un groupe de huit personnes impliquées dans le rapt et le viol d’une fillette âgée de 15 ans, a-t-on appris ce jeudi de sources concordantes.

Selon des sources locales, la victime se trouvait dans la wilaya de Tipasa (70 kilomètres à l’ouest d’Alger) lorsqu’elle a été approchée par deux inconnus qui l’ont forcée à monter dans un véhicule avant de la conduire vers un lieu désert dans la wilaya de Blida, où ils l’ont séquestrée et agressée sexuellement en compagnie de six autres individus.
Les services de sécurité, qui ont reçu une plainte de la famille de la victime signalant sa disparition, ont ouvert une enquête qui s’est soldée par la découverte du lieu où la fillette était retenue. Celle-ci a été libérée et ses agresseurs interpellés.

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Agriculture: Des performances notables à Aïn Defla

Sat, 10/20/2018 - 15:11

La wilaya de Aïn Defla s’est hissée au rang de wilaya agricole par excellence, ce n’est pas seulement un slogan mais une réalité que les chiffres des résultats obtenus et des défis surmontés l’attestent.
C’est ce qui ressort des interventions faites par des spécialistes lors du colloque que vient d’organiser, à la fin de la semaine écoulée, la Direction de l’agriculture dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de l’alimentation qui a adopté le slogan «Zéro faim» à l’horizon 2030. L’agriculture dans la wilaya de Aïn Defla s’est développée principalement dans la vallée du Chelif qui comptait une SAU (surface agricole utile) de 170 000 ha en l’an 2000 et qui est actuellement, estimée à 181 000 ha soit un accroissement de 6,62%. Les zones nord (le Dahra) et sud du Chelif (les piémonts de la chaîne de l’Ouarsenis), accidentées ne sont pas propices aux grandes cultures (céréales, pomme de terre et maraîchages) et l’arboriculture y est très peu développée, ce qui explique la faiblesse de l’augmentation de la SAU et qui motive de plus en plus le choix de l’agriculture intensive Toujours à propos de la SAU, il est utile de rappeler que le démembrement des grandes surfaces et leur morcellement en petits lots de 4 à 8 ha durant les années 70 sont devenus des contraintes insurmontables qui ont rendu le développement de l’élevage bovin (la production du lait et des viandes rouges) bien en deçà des attentes et des besoins. En plus de ces contraintes, il y a lieu de mentionner l’urbanisation galopante qui a réduit et qui continue à réduire la SAU l’urbanisation, les voies de communication, l’habitat, la naissance des zones d’activité et les zones industrielles, de nouvelles agglomérations, qui empiètent grandement sur le foncier agricole. A signaler aussi que les zones forestières des zones nord et sud ne se sont pas beaucoup développées et ont été même réduites, gravement atteintes pas la déforestation provoquée par les incendies, et l’utilisation de l’arbre dans la construction de l’habitat, et ce, avec un faible reboisement, ce qui a entraîné dans les zones touchées, l’érosion progressive et régressive des sols, notamment sur les bassins versants des grands barrages principalement. La SAU étant confinée à une large bande de part et d’autre du cours du Chelif, son extension n’étant plus possible selon les spécialistes, a dicté le choix d’une agriculture intensive, produire le plus possible sur des superficies limitées, et pour ce faire, cela a nécessité l’augmentation des superficies irriguées, superficies qui sont passées de 22 655 ha en l’an 2000 à 60 000 ha en 2018 soit un accroissement de ces superficies irriguées estimé à 160,42%, accroissement qui a été possible grâce aux 5 grands barrages et de la dizaine de retenues collinaires et des centaines de forages dont dispose maintenant la wilaya. Ces facteurs indique-t-on ont induit, selon les chiffres de la DSA, une augmentation considérable estimée à 315% de la production agricole qui est passée de 5 200 000 q en 2000 à 22 000 000 de q en 2018, avec comme corollaire une augmentation des revenus qui sont passés durant la même période de 13 millions de DA à 150 millions de DA. Soit un accroissement qui a été multiplié par 12. Parmi les autres facteurs ayant induit le développement agricole, il faut citer le soutien à la mécanisation des outils de production et de mentionner que maintenant, on dispose de 443 tracteurs, 28 moissonneuses- batteuses et 3 100 asperseurs. L’agriculture dans la wilaya de Aïn Defla est devenue le secteur le plus employeur de main-d’œuvre, le nombre d’emploi créé de 2000 à 2018 est passé de 38 000 à 84 000. Il faut mentionner aussi que le développement du secteur agricole a induit un retour d’exode des populations durant la décennie 1990 et leur fixation favorisée par le soutien à l’habitat rural dont le nombre d’aides octroyées est passé de 6 085 en 2000 à 53 418 en 2018. En résumé, la wilaya de Aïn Defla, dans le domaine de la production agricole, se classe sur le plan national 2e dans la production de la pomme de terre en fournissant 14, 93% des besoins du pays et 2e dans la production des produits maraîchers en mettant sur le marché 11,61% de la production nationale, 8e dans la production céréalière, mais seulement 32e dans la collecte du lait, 27e dans la production des viandes rouges, 19e dans la production d’œufs, 18e dans la viticulture, et ce, parmi tant d’autres indicateurs. Ces chiffres révèlent que beaucoup reste à faire dans le domaine de l’agriculture alors que les potentialités sont énormes entre autres l’eau, des dizaines de milliers d’hectares de terres fertiles, une main-d’œuvre qualifiée et expérimentée, des ressources hydriques à profusion mais, certainement un manque d’organisation et des orientations courageuses à promouvoir dans le domaine de la protection et la sauvegarde du patrimoine du foncier agricole et forestier, dans l’exploitation des zones intermédiaires et un développement plus harmonieux de l’arboriculture, rustique notamment dans ces zones, bien plus rentable que de continuer à soutenir par exemple la céréaliculture à très faible rendement dans les piémonts. 2030, c’est dans à peine 12 années, et l’autosuffisance alimentaire relève de la gageure, mais ce n’est pas une mission impossible si, toutefois, certaines conditions seront réunies.
Karim O.

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Ligue 1 (J11) : MCO 0 – JSK 0 : Les Kabyles toujours invaincus !

Sat, 10/20/2018 - 15:11

Les Canaris reviennent avec un précieux point et restent sur leur dynamique positive.

Portée par presque 4 000 Imazighen, la JS Kabylie a réussi à porter son invincibilté à onze rencontres, décrochant hier au stade Ahmed-Zabana un précieux point du nul à l’issue d’un choc engagé face à un MCO remobilisé. Dès la 4e minute de jeu, Uche allumera d’ailleurs hâtivement la première mèche de ce classique en enveloppant du gauche une balle cadrée sur laquelle Maâzouzi se couche sans souci. La réaction du Mouloudia ne se fera pas attendre plus de 120 secondes, puisque sur un bon service de Hammar à la 6e minute, Nadji contrôle le cuir de la poitrine mais, plus prompt, Salhi l’a finalement devancé.
Bien en place, le MCO attendra un autre coup franc peu avant la demi-heure de jeu pour se montrer réellement menaçant. Bien enveloppée par Hammar, la balle a, ainsi, été reprise d’une tête à bout portant par Sebbah avant d’être détournée par Salhi à la faveur d’une superbe parade. En embuscade, Nadji, toujours aussi lent à la détente, trouvera, dans la foulée, le moyen de rater l’immanquable et de mettre le cuir dehors (28′).
Solide derrière sans être géniale devant, la JS Kabylie touchera, par la suite, du bois sur un corner direct de Benyoucef, repoussé par le montant droit du dernier rempart oranais (31′). Contraint de remplacer Gherbi, blessé et Kodjo, à cours de compétition, l’entraîneur du MCO, Omar Belatoui, lancera alors la paire Bedbouda-Frifer (60′), au moment où Franck Dumas choisit de faire entrer Rennaï à la place de Benyoucef (63′) alors que le public kabyle présent s’égosillait à reclamer l’entrée de Mehdi Benaldjia, remplaçant au coup d’envoi et incorporé, finalement, qu’au dernier quart d’heure de la rencontre en lieu et place d’Uche, averti à sa sortie par l’arbitre Abid-Charef (75′). L’impact de ce remaniement de chaque côté ne sera que très peu visible sur la physionomie des débats, animés et engagés, mais sans réelles occasions de but.

Rachid BELARBI

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Intempéries dans plusieurs régions du pays: D’importants dégâts matériels enregistrés !

Sat, 10/20/2018 - 15:03

Les pluies torrentielles qui se sont abattues ces dernières 48 heures ont causé de sérieuses perturbations au trafic routier et provoqué d’énormes inondations.

à Oum El-Bouaghi, les éléments de l’unité secondaire de la Protection civile de Dhalaâ  d’Oum El-Bouaghi sont intervenus aux lieudits mechta Benaïm (route de Rafraf) et mechta Argoub dans la commune de Dhalaâ, mechta Ouled Fadhel et les cités 40-Logements et Mustapha-Benboulaïd dans la commune de Meskiana. Ils ont ainsi secouru pas moins de 11 personnes se trouvant à l’intérieur de véhicules et d’une maison cernées par les eaux pluviales. En outre, le blocage partiel de la RN88 reliant Dhalaâ à Meskiana a fait que 4 véhicules, une habitation ancienne et une étable ont été submergées par les eaux de pluie. Par ailleurs, des dizaines d’habitants de la ville de Bordj Menaïel, dans la wilaya de Boumerdès, ont cadenassé le siège de l’APC, en guise de protestation après les importants dégâts matériels qui ont été signalés un peu partout à travers leur ville à la suite de fortes chutes de pluie. Certains quartiers et institutions publiques se sont retrouvés, jeudi matin, carrément submergés par les eaux. Les deux cités les plus touchées sont la cité Mustapha-Ben Boulaïd et le lotissement Jolie-Vue. À Laghouat, pas moins de sept personnes ont été secourues et de nombreux véhicules ont été dégagés par les services de la Protection civile des oueds en crue dans différentes localités de la wilaya de Laghouat lors des intempéries qu’a connues la région mardi soir. Des pluies torrentielles ont été à l’origine de la perturbation du trafic routier. Tlemcen, chef-lieu de wilaya, et de nombreuses autres localités environnantes ont enregistré ces trois derniers jours des pluies abondantes, atteignant par endroit plus de 50 mm, à l’origine d’inondations des principales artères et des trémies, bloquant ainsi la circulation automobile.
À Azzaba, dans la wilaya de Skikda, les crues des oueds ont inondé les routes et les champs. Le débordement de l’oued Adjoul a complètement isolé la localité de Menzel El-Abtal. L’oued Mechekel a, quant à lui, inondé des routes de la localité d’Aïn Charchar alors que l’oued Fendek a provoqué des inondations à Azzaba-Ville. La boue et les différents détritus et gravas des chantiers de constructions diverses ont provoqué la paralysie de plusieurs routes du centre-ville d’Azzaba et certains édifices publics comme l’hôpital Mohamed-Dendane, les locaux d’Algérie Télécom et de l’Alem.
Un affaissement d’un tronçon de route entre Azzaba et El-Ghedir a été aussi signalé. Enfin à Oran, les averses orageuses qui se sont abattues ont été à l’origine de 9 accidents de la circulation, à l’origine de 6 blessés, enregistrés. Les éléments de la Protection civile ont dû intervenir également pour secourir des personnes dont les véhicules avaient été envahis par les eaux de pluie.

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Le FFS déterre sa proposition d’“une deuxième République” !

Sat, 10/20/2018 - 15:03

Le parti propose de “restituer le pouvoir aux Algériens par l’élection d’une Assemblée nationale constituante visant à instaurer un État de droit démocratique et social”.

Les cadres du Front des forces socialistes ont tenu, hier, une des sessions les plus délicates de leur conseil national. En plus des questions politiques de l’heure et des préparatifs en cours pour la tenue d’un congrès ordinaire l’an prochain, les militants du FFS ont également tranché la participation de leur parti aux prochaines élections sénatoriales. L’épineux problème de l’exclusion de la députée Salima Ghezali a été évacué des débats, qui ont pris fin en début de soirée.
Dans une résolution organique, le FFS a décidé de participer aux prochaines élections prévues le 29 décembre pour le renouvellement des membres du Conseil de la nation. Le parti, qui compte actuellement deux sénateurs, a décidé de choisir ses candidats par la voie des urnes pour, sans doute, éviter des troubles ou des protestations.
Sur le plan purement politique, le FFS remet sur la table sa proposition d’aller vers une deuxième République à travers notamment la mise en place d’une Assemblée constituante. Ainsi, le parti propose de “restituer le pouvoir aux Algériens par l’élection d’une Assemblée nationale constituante visant à instaurer un État de droit démocratique et social”. Il suggère également d’assurer “un développement durable qui garantisse le progrès social et le bien-être des citoyens”. Le communiqué du conseil national du FFS rappelle également que “la priorité des priorités” est la sensibilisation “des citoyens et des forces vives de la nation sur l’urgente nécessité d’un changement démocratique du système pour préserver la stabilité, l’unité et la souveraineté nationale, comme le préconise notre projet de reconstruction d’un consensus national populaire”.
Puisque le changement du système est “insuffisant”, le FFS considère que cette transformation de système politique “doit s’accompagner en même temps d’un changement de politique économique qui préserve la souveraineté nationale dans le contexte de la mondialisation. Ce sera la mission du futur gouvernement qui sera issu, avec l’avènement de la 2e République, de la future Assemblée nationale constituante démocratiquement élue”.
Pour arriver à ces propositions, le FFS est parti du constat qu’il n’y a “aucun doute que la prochaine élection présidentielle ne fera que pérenniser le système actuel, quel que soit le candidat parrainé par le régime”, tandis que le parti plaide “pour le changement du système et non d’un changement à l’intérieur du système”, ajoute le communiqué. “Cette élection qui s’annonce non démocratique, comme les précédents scrutins, si elle est tenue dans les conditions actuelles, ne changera rien à la situation actuelle”, précise le FFS, qui suggère ainsi qu’il ne participera pas au prochain scrutin.
Pour expliquer le secret de la pérennité du système, le FFS rappelle que “le système, servi par des ressources naturelles abondantes, a duré en s’achetant une légitimité sociale à défaut d’une légitimité politique. On peut dire que le système a travaillé pour lui-même tout en étant persuadé de travailler pour les Algériens, mais en tout état de cause, il n’a pas travaillé avec les Algériens”. Ce qui a conduit à la défaillance de tous les pouvoirs. À commencer par l’Exécutif qui n’est pas parvenu “à décentraliser l’administration et à diversifier l’économie en l’ancrant au plan régional et mondial”. De son côté, le législatif “mal élu” n’a pas constitué “un contre-pouvoir crédible en mesure d’être le porte-voix des aspirations réelles de la population”. Cela pendant que le pouvoir judiciaire pèche par “sa dépendance à l’égard de l’Exécutif” et son “silence devant la violation des lois, y compris de la Constitution, l’a rendu inapte à construire l’État de droit”. Une allusion au conflit qui oppose actuellement le président de l’APN aux députés de “la majorité”.
En somme, le FFS “et les forces d’opposition les plus représentatives”, “la société civile autonome et la population qui, dans sa majorité, n’attend plus rien de ce régime”, considèrent que “le système est usé”.

Ali Boukhlef

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Sonatrach: L’italien Chef Express Catering décroche le marché

Sat, 10/20/2018 - 14:57

La société italienne Chef Express Catering, appartenant à Marco Lucchesi, vient de décrocher le marché de restauration des personnels de la compagnie pétrolière nationale Sonatrach.

Selon Maghreb confidentiel, ce marché a été attribué le 8 octobre pour un montant de 522 millions de dinars. Chef Express Catering gérait depuis 2016 la restauration au siège de la division à Alger pour un montant de 287 millions de dinars et gérait également depuis 2017, dans les bases-vie de Gassi-Touil et de Zina, un marché de 711 millions de dinars.

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Université de Bouira: 10 000 DA/j contre l’UGEL en cas de grève

Sat, 10/20/2018 - 14:57

Se voyant perdre des avantages et son influence y compris sur l’administration, l’Union générale des étudiants algériens proche du MSP a commencé à réagir à travers des débrayages pour exercer des pressions. Dernière tentative à l’université de Bouira où le rectorat a déposé plainte et la justice a tranché sur l’illégalité de la grève décrétée par l’UGEL. Mieux encore, la justice a assorti sa décision d’une amende de 10 000 DA pour chaque jour de grève si jamais les étudiants s’opposent au verdict. D’autant plus que toutes ses revendications ont été satisfaites, selon le rectorat.

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Industrie automobile: Le groupe Benhamadi se lance dans la sous-traitance !

Sat, 10/20/2018 - 14:52

Actionnaire dans l’usine de montage automobile du groupe PSA (Peugeot-Citroën) située dans la future zone industrielle de Tafraoui, le groupe Benhamadi vient de s’engager dans la sous-traitance, avec la création, le 9 octobre, d’une entité sous le nom de Benhamadi Auto-Batterie, pour la fabrication des accumulateurs pour véhicules.

Selon Maghreb confidentiel qui rapporte l’information, cette société est située dans la zone industrielle de Ras El-Oued, à Bordj Bou-Arréridj. Selon la même source, le groupe Benhamadi compte également se lancer dans la pneumatique à travers une autre filiale, à savoir Condor Engineering.

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Azemour Oumeriem : un modèle à méditer !

Sat, 10/20/2018 - 14:50

Tout a commencé le 12 janvier 2018, jour de Yennayer, après une action de volontariat spontanément lancée par un groupe de jeunes. De là, il était devenu nécessaire de canaliser cette dynamique citoyenne naissante.

Azemour Oumeriem est encore tout sourire en cette douce et moite matinée d’automne. Nous sommes mercredi 17 octobre. Il est 9h à peine, et sur la spacieuse placette centrale de ce village, une dizaine de jeunes, pour la plupart en gilet orange fluorescent, sont présents. Ils veillent toujours au grain, cinq jours après la consécration de leur village, dimanche dernier, comme le village le plus propre de la wilaya de Tizi Ouzou. Deux d’entre eux achèvent de dresser un chapiteau rouge sous lequel tables et chaises sont déjà méticuleusement alignées.
De leurs échanges transparaît la même gaieté qui se lit sur tous les visages déjà croisés tout au long des 500 mètres environ parcourues depuis l’entrée du village. “Ce sont des membres du comité du village ! Ils vont vous accompagner”, nous indique un quidam, la soixantaine, qui vient à notre rencontre alors que nous descendions à peine du véhicule. Un clin d’œil de cet inconnu et trois jeunes se proposent de faire les guides. Sachant pertinemment qu’en remportant ce premier prix du concours Rabah Aïssat, Azemour Oumeriem devait sortir brusquement de l’anonymat, gagner en notoriété et donc, naturellement, attiser la curiosité des journalistes et même devenir une attraction pour de nombreux curieux, les habitants de ce village distant d’à peine 7 kilomètres de la ville de Tizi Ouzou, ne lésinent ni sur leur temps ni sur leur hospitalité pour accueillir et surtout faire découvrir aux visiteurs ces multiples réalisations qui ont permis à leur village de s’inscrire en lettres d’or sur la liste des localités qui sont en train de redonner peu à peu à la wilaya de Tizi Ouzou son lustre de l’époque où sa propreté lui valait le surnom de “la petite Suisse”. Une tournée à travers les ruelles, fleuries, du village suffit amplement pour se convaincre que la haute marche du podium qu’occupe désormais Azemour Oumeriem est amplement méritée. C’est un village radicalement transformé qui nous a été donné de visiter. Sa cascade décorée avec des objets traditionnels locaux et qui longe la placette centrale sur une longueur de 36 mètres a déjà de quoi laisser le visiteur pantois.
“Auparavant, cet espace était une décharge sauvage qui offrait un décor des plus hideux. En 28 jours de travaux chapeautés par un artiste nommé Houas, qui a des mains de génie, vous voyer le résultat”, nous explique Mohamed Smaïl, l’administrateur de la page facebook du village. Mais l’endroit n’a pas fini de livrer toute sa splendeur. Quelques marches plus haut, l’on débouche sur une vaste esplanade gazonnée, bordée d’arbustes, et au milieu de laquelle trône une fontaine sur laquelle on reconnaît vite la touche du même artiste. De l’eau pompée en continue d’un puits mitoyen à la mosquée ruisselle sans interruption sur la fontaine et la cascade.
Tout au long de la route traversant le village, de larges trottoirs qui feraient pâlir de jalousie le chef-lieu de wilaya, ont été réalisés par les habitants. Des arbres de différentes variétés bordent la route de l’entrée jusqu’à la sortie du village.
“Nous avons choisi des arbustes dont les feuillages peuvent être malléables à merci une fois grandis. Nous comptons par la suite les tailler sous des formes géométriques diverses”, nous explique Madjid Mofredj, membre du comité du village, précisant qu’au total plus de 500 arbustes sont plantés. Selon cet ancien journaliste, ces arbustes coûtent 3 000 DA l’unité et chaque membre du village en a payé un.
Notre accompagnateur nous explique ensuite que ce qui sert de pots à fleurs, qu’on retrouve dans tous les coins et recoins, ne sont autres que des pneus usagés, chauffés et taillés, avant qu’ils ne soient peints de différentes couleurs. Avec les pneus usagers, les habitants ont eu également l’ingénieuse idée de réaliser un escalier pour remplacer une pente reliant la route à l’école du village, située en contrebas de la chaussée. D’autres décorations artistiques sont visibles partout sur les murs. Mais, le plus frappant de tout le reste, sans doute, la propreté des lieux. “Chercher des déchets dans notre village reviendrait à chercher des poux sur la tête d’un chauve”, nous dira fièrement un jeune.

La propreté, une question d’éducation
Des niches contenant quatre bacs à ordures chacune sont construites dans les quatre coins du village pour séparer le verre, le plastique, les déchets ferreux et les déchets organiques. Des corbeilles sont installées sur des murs, à vingt mètres l’une de l’autre. Dessus, des messages de sensibilisation sont imprimés. “La propreté est l’affaire de chacun”. “L’écologie : on le dit, on le fait”, lit-on à chaque fois. Ceci n’est toutefois pas la seule clef de ce succès. “L’éducation des enfants à l’environnement a été, depuis le début, un des objectifs principaux de notre comité.


La placette centrale : un véritable écrin de verdure. – ©Samir Leslous / Liberté

En plus de la sensibilisation parentale dont on a fait une devise, nous avions mis à contribution l’école où les enseignants consacrent quotidiennement quelques minutes pour la sensibilisation des écoliers à la protection de l’environnement”, nous explique Madjid Mofredj ajoutant que des ambassadeurs de l’environnement qui consistent en des brigades composées de femmes et d’enfants font du porte-à-porte pour sensibiliser sur le tri sélectif.

“Le tri sélectif commence dans la cuisine et c’est donc auprès des femmes que le gros du travail de sensibilisation devait être mené”, estime-t-il, considérant que cette trouvaille a vite porté ses fruits tant les déchets arrivent au centre de tri déjà pré-triés.
Les niches sont vidées chaque 48 heures et les déchets sont transportés au centre de tri réalisé sur un terrain mis à disposition par un particulier à la sortie du village. Les niches sont ensuite nettoyées au karcher et détergents, assure Mohamed Smaïl précisant que tout le monde participe à ces opérations. “Tout ce qui est plastique, verre et déchets ferreux sont stockés au centre de tri pour qu’ils soient revendus à des unités de recyclage, les déchets organiques font l’objet de compostage pour en faire des fertilisants”, nous explique Lounès Smaïl tout en nous montrant du doigt une dizaine de bacs en bois déjà pleins de futurs fertilisants. Des fertilisants que le village, pionnier en la matière, produit déjà à base de grignon et de margine d’olive.


La fontaine coquettement décorée  – ©Samir Leslous / Liberté

Derrière le succès, neuf mois de sacrifices
Tout a commencé le 12 janvier 2018 avec une première action de volontariat initiée d’une manière spontanée par un groupe de jeunes. L’idée de créer un comité s’imposait alors d’elle-même car il était devenu nécessaire de canaliser cette dynamique et cette énergie citoyenne naissante. Ce comité baptisé “Tadukli” a suscité une adhésion tellement massive qu’il a pu lancer grandes opérations de volontariat, se rappelle Madjid Mofredj.
Des volontariats qui se reproduisaient initialement chaque vendredi jusqu’au jour où, à l’occasion d’une assemblée générale du village, l’idée de participer au concours du village le plus propre a germé. L’idée a été vite adoptée par le village.
“L’idée de participer au concours n’existait pas au début, notre objectif était plutôt de répondre aux aspirations des habitants. Mais comme l’appétit vient en mangeant, cette idée a fini par s’inviter à l’assemblée générale du village en mai dernier et à peine entérinée, la ferveur et la dynamique née au village se sont multipliées et la cadence des travaux a connu une incroyable accélération”, nous raconte encore Madjid Mofredj.
“Durant tout l’été dernier, il n’y a pas eu un jeune du village qui a mis les pieds à la plage. Les volontariats sont devenus quotidiens, ils se faisaient parfois sous 47° et durent souvent jusqu’à minuit passée.
C’était un gros sacrifice qui fait aujourd’hui notre fierté”, nous dira Aboud Belaïd qui se rappelle que la grande cascade du centre du village a été réalisée en seulement 28 jours et la fontaine du village en quatre jours.
“Les volontariats rassemblaient plus de 400 personnes, sans compter les femmes qui étaient tout le temps mobilisées chez elles à préparer les repas. Même pour offrir ces repas, pourtant bien coûteux, il y avait tellement de volontaires qu’il fallait s’inscrire et attendre son tour”, témoigne Mohamed Smaïl.


Allées et trottoirs : un ensemble harmonieux de végétation et de propreté. – ©Samir Leslous / Liberté

Une dynamique à préserver
À Azemour Oumeriem, ce village fondé, selon ses habitants, aux environs de 1870 par des familles de l’aarch Ath Khelifa, établi à Thadarth Thamoqrant, sur les hauteurs de Tirmitine, l’on ne jure que par la poursuite de cette dynamique.
“Ce n’est que le début ! Le meilleur est à venir ! Nous avons encore les idées et les projets plein la tête. Ce prix ne fait que nous stimuler et nous encourager”, avise le jeune Aboud Belaïd avant de nous faire part de la volonté du village d’aménager la paradisiaque cascade naturelle d’El Aïnceur, située à la sortie du village, en un site touristique à intégrer dans un circuit qui ne manquera sans doute pas d’attirer des visiteurs et pourquoi pas créer des emplois dans ce village qui, comme tant d’autres contrées de Kabylie, compte de nombreux chômeurs.
Dans ce circuit, le village compte également intégrer Tisirt n’Ufella, une huilerie datant d’avant 1915 qui est en passe de se transformer en un musée. Mise à disposition du village par la famille Smaïl, cette vieille huilerie à traction animale renferme en son sein d’anciens outils agricoles qui constituent un véritable trésor à faire découvrir.
Au-delà de cet aspect environnemental et touristique, c’est surtout le vent de fraternité qui a soufflé sur les habitants et les liens sociaux recréés et plus que jamais renforcés entre eux, que le village tient jalousement à préserver.
Le village aura, sans doute, compris que c’est la meilleure arme pour combattre tous les fléaux, sinon, l’intraduisible “Zhir” contre lequel prévenait le défunt chanteur Matoub Lounès dans une de ses chansons.
Si le président du comité du village, Mohamed Hadjar, veut surtout que son village devienne un modèle de villages écologiques, l’ancien journaliste, Madjid Mofredj que l’esprit d’Azemour Oumeriem devient “une espèce d’épidémie positive” qui va contaminer toute la Kabylie. C’est dire qu’à Azemour Oumeriem l’on ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Reportage réalisé par : Samir LESLOUS

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Chaque année, des dizaines de personnes meurent de cancers liés à l’amiante !

Sat, 10/20/2018 - 14:36

Ce matériau tue silencieusement, lentement ceux qui ont été exposés, en leur infligeant des souffrances indicibles et des traumatismes irréversibles.

Il s’agit d’une véritable épidémie, voire d’une catastrophe sanitaire et qui ne cesse de progresser depuis trente ans, parce que, tout simplement, l’Etat n’a fait aucun investissement sérieux pour solutionner le problème, malgré les promesses des ministres aussi bien de la Santé publique, que ceux de l’Environnement qui sont passés durant les trente années écoulées. En 1994, l’ex-entreprise Enitro avait fait une étude de marché, pour l’enfouissement des 50 000 tonnes de déchets d’amiante déversés dans la périphérie de la cité à l’air libre, dont une grande partie se trouve jusqu’à l’heure actuelle à l’intérieur du site de l’unité ERCE. L’étude du marché de l’Enitro a fait ressortir un coût approximatif de 20 milliards de centimes, hélas cette opération n’a pas abouti parce que les habitants du village El Euch, (l’endroit où devait être enfouie l’amiante) ont signifié une fin de non-recevoir aux autorités locales au motif de la dangerosité de l’amiante sur la santé de la population. Le projet fut abandonné une deuxième fois, faute de terrain et l’argent destiné à cet effet, nul ne sait ce qu’il est advenu pourvu qu’il ait été dépensé pour les bonnes causes ? il est possible qu’il ait pu servir pour d’autres projets d’utilité publique de la wilaya. En 2006, l’Etat a dégagé une enveloppe budgétaire conséquente de 3 500 milliards de centimes destinés à l’enfouissement des déchets d’amiante des unités de production des villes ci-après : Zahana, Bordj-Bou-Arréridj, Gué de Constantine et Meftah. Une fois de plus, rien n’a été fait et les populations continuent à mourir de maladies respiratoires et de cancers. Les victimes n’ont jamais été reçues ni par la Présidence, ni par les autorités locales, ils n’ont pas fait la Une des journaux, il y avait juste leurs photos affichées sur les murs de la ville pour annoncer leur décès. Leur seul crime est d’avoir travaillé pendant des années dans l’unité amiante-ciment ERCE au contact d’un matériau éminemment toxique. La population du chef-lieu de la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj aujourd’hui aspire au droit à la protection contre les dangers de l’amiante et attend à ce que les décideurs politiques et commis de l’Etat trouvent une solution rapide à cette problématique.
Layachi Salah Eddine

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Sidi Saïd sollicité à Constantine !

Sat, 10/20/2018 - 14:35

Sur les 80 sections syndicales qui doivent renouveler leurs instances à Constantine, 31 sont en conflit avec leurs administrations respectives.

Une situation qui nécessite l’intervention de Sidi Saïd auprès des directeurs des entreprises publiques pour régler les crises internes que connaissent ces sections et ce, en vue d’achever le renouvellement des instances, nécessaire avant la tenue du congrès de wilaya.

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Indice de compétitivité 2018 du forum économique mondial: L’Algérie mal classée !

Sat, 10/20/2018 - 14:29

En fin de compte, même si pas beaucoup de monde en doutait, pratiquement tous les rapports émanant d’institutions ou d’organisations internationales, voire même nationales, se rejoignent dans leurs conclusions sur les performances de l’économie algérienne.

Le dernier en date, publié mercredi par le World Economic Forum, une des références dans le domaine, est venu nous rappeler, au cas où, combien est long le chemin pour que l’Algérie se fraye une place en adéquation avec, pourtant, une somme d’atouts que beaucoup de puissances lui envient. Ce n’est sans doute pas une grande découverte, mais la place de l’Algérie dans le concert des nations sur le plan de la compétitivité économique n’a pas de quoi réjouir. Si l’on se réfère au classement annuel établi par le Forum économique mondial (WEF) pour son édition 2018, l’Algérie figure dans le lot des pays ayant stagné en bas de la hiérarchie mondiale. Plus fin encore que ce fut pour les précédentes éditions, le classement 2018 de l’Indice mondial de compétitivité, appliqué pour 140 pays, prend en compte près d’une centaine d’indicateurs répartis en 12 piliers, comme les appelle le WEF, des groupes d’indicateurs, permettant de mesurer la compétitivité nationale des économies. Les institutions, les infrastructures, l’adoption des technologies de l’information et de la communication, la stabilité macroéconomique, la santé, la compétence, le marché de la production, le marché du travail, les systèmes financiers, la taille du marché, le dynamisme commercial et la capacité d’innovation, sont en effet les indicateurs pris en compte par les analystes du WEF pour établir le classement 2018 sur lequel trônent, évidemment, les Etats-Unis. Un rapport qui, pour ce qui concerne l’Algérie, confirme donc combien notre économie demeure aussi peu compétitive, et ce qui aggrave notre position dans le monde c’est que, pratiquement, aucun progrès n’a été accompli entre l’année dernière et cette année, bien au contraire ! En 2017, en accrochant la 92e place sur 135 pays, comme celles qui l’avaient d’ailleurs précédée, l’Algérie était dans le wagon des pays à compétitivité «moribonde». Sur les 140 pays passés au crible du Forum économique mondial pour l’édition 2018, l’Algérie a stagné à la même place. Une position due en grande partie à des scores pas très honorables, comme c’est le cas, par exemple, pour les indicateurs ayant trait aux institutions (120e place mondiale), le marché du travail (134e), le système financier (122e), le dynamisme dans les affaires (113e), et autre indicateur mesurant la stabilité macroéconomique qui voit l’Algérie occuper la 111e place. En fait, la taille du marché (le 38e au monde), l’indicateur ayant trait à la santé (66e), et les compétences (88e) permettent à l’Algérie de ne pas sombrer et d’espérer attirer encore le regard des investisseurs étrangers, avec une note globale de 53,8/100. Sinon, ce n’est pas la joie, surtout quand on voit ce à quoi sont lotis nos voisins de l’Est et de l’Ouest, pourtant théoriquement moins bien nantis dans bien des domaines.
Azedine Maktour

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