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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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A cause d’une dette impayée de 43 milliards de cts : La Sonelgaz coupe le courant à la Mairie d’Oran !

Sat, 12/01/2018 - 21:00
L’importante municipalité d’Oran est endettée par un montant de plus de 43 milliards de créances impayées par la deuxième ville d’Algérie, du fait que cette forte somme a été cumulée depuis des années et n’a point été réglée pour le motif de mauvaise gestion. Jeudi dernier, plusieurs dépôts et structures centrales de l’APC dont le siège du secrétariat général de la Mairie ont été privés d’électricité suite à une coupure décidée par les services de la Sonelgaz. Une coupure en raison des factures impayées cumulées depuis le troisième trimestre 2016 et dont le montant global s’élève à 43 milliards de centimes. Il est vrai que l’APC d’Oran, l’un des plus importants clients de la Sonelgaz au niveau de la wilaya, souffre depuis toujours de difficultés financières cumulées par les carences et les dysfonctionnements liés à une gestion budgétaire obsolète presque impossible à équilibrer. Tant il est vrai que la première commune du pays, en termes d’habitants, est loin de pouvoir réunir les ressources fiscales nécessaires à faire face à toutes les dépenses en constante augmentation, quoique  la Sonelgaz n’ait pas cessé d’avertir ses «mauvais payeurs» d’opérations de coupure de l’énergie qu’elle vient de lancer depuis quelques jours. Ce débat qui animait depuis les «mauvaises langues» attablées au café des jérémiades, allait vite tourner aux critiques et dénonciation de certains mandats d’APC, chacun évoquant l’histoire de ces anciennes gestions communales porteuses de tous les maux et de toutes les dérives connues sur ce terrain oranais. Actuellement, devant cet état des faits qui ne fait que nuire à la municipalité d’Oran qui s’est retrouvée en de pareilles circonstances , face aux  coupures d’électricité dans ses structures de bases, notamment le siège du secrétariat général, il est temps que l’actuel maire prenne le taureau par les cornes pour honorer ses engagements vis à vis de la Sonelgaz afin que ses répercussions de coupures d’électricité ne se reproduisent plus dans de pareilles circonstances de mauvaise gestion émanant d’une deuxième ville d’Algérie. Il est difficile de croire que l’APC d’Oran réussira rapidement à assainir toutes ses dettes cumulées depuis plus de vingt ans.

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Oran : Une fille de 14 ans portée disparue

Sat, 12/01/2018 - 20:54
Une collégienne de 14 ans est portée disparue depuis ce  jeudi 29 novembre, à Oran. L’adolescente était sortie de chez elle dans le quartier dit Cité Petit pour rejoindre le CEM Abdelmoumen où elle est scolarisée. Depuis, elle n’est plus rentrée chez elle. Ses parents ont porté plainte au commissariat. La police a enclenché un vaste dispositif decherches pour tenter de la retrouver saine et sauve.

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Hygiène en milieu scolaire : Des toilettes devenues des foyers d’infection !

Sat, 12/01/2018 - 20:36
Qui se souvient de ces toilettes scolaires qui brillaient d’un blanc éclatant et dégageant de loin les bonnes odeurs de l’unique « Omo » de l’époque et que les inspecteurs d’antan visitaient en premier lieu, car, elles reflétaient l’image de l’établissement scolaire…Aujourd’hui, elles sont devenues un sujet tabou qui ne s’aborde plus et elles ne s’inspectent plus ni par le directeur ni par toute autre personne…Elles restent inondées par les eaux usées et les matières fécales qui débordent de partout …!

Les blocs sanitaires des écoles de la ville de Mostaganem et de quelques-unes des communes que nous avons visitées, sont plus que sales et l’hygiène est presque inexistante.  Des parents se sont plaints de l’état hygiénique plus que déplorable de ces lieux où la saleté règne en maîtresse. Cette situation dramatique pousse les malheureux élèves à retenir le plus longtemps possible les urines et les selles en supportant d’atroces douleurs selon les déclarations de certains pères attendant la sortie des écoliers. En ces lieux de l’ex-aisance, qui a fini par les déserter et se faire remplacer par le mot « dégoût », l’atmosphère est insupportable par les odeurs qui se dégagent, l’urine se sent à des dizaines de mètres, l’eau manque, le savon n’existe pas, les robinets et les portes ont presque disparu de ces lieux de sinistre. Les écoliers n’osent plus s’aventurer en ces coins qui ne parviennent plus à cacher leur intimité, et leur offrir un abri décent pour la satisfaction de leurs besoins naturels. Ils préfèrent s’abstenir en s’exposant aux vives douleurs qu’ils ressentent au ventre et attendre le retour au foyer pour se soulager. Le manque flagrant d’entretien et d’hygiène des toilettes de l’école, constitue de véritables sources de propagation de maladies infectieuses qui se contractent facilement par le passage forcé des élèves en ces lamentables lieux. Les filles restent les plus exposées à ces infections, elles ne peuvent se retenir d’uriner et sont contraintes à s’asseoir à quelques centimètres de la mare des eaux usées et autres saletés. En de tels constats de désolation, le mieux serait l’entretien régulier de ces toilettes qui ne doivent plus sombrer de jour en jour dans la saleté indésirable et nuisible à la santé des élèves au sein de ces établissements scolaires, censés dispenser le savoir et respirer la propreté…!

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FLN : Bouchareb fait appel à Belkhadem, Saâdani et Belayat

Sat, 12/01/2018 - 20:33
Quelques jours seulement après son intronisation à la tête d’une instance provisoire de coordination dont la mission est de préparer le congrès extraordinaire pour élire de nouveaux dirigeants, Mouad Bouchareb lance les consultations avec les personnalités du parti « marginalisées ».  Après avoir reçu le sénateur du tiers présidentiel, Salah Goudjil, pour aborder avec lui la réorganisation du FLN, le président de l’Assemblée nationale, qui semble le soutien des cercles de décision, compte, selon des sources proches du parti, inviter les anciens secrétaires généraux du FLN pour consultations et les faire s’impliquer dans cette entreprise de restructuration. Ainsi donc, on prête au député de Sétif l’intention de faire défiler au siège du parti à Hydra Abdelaziz Belkhadem, Amar Saâdani, Abderrahmane Belayat, Abdelkrim Abada, Abdelaziz Ziari, Mohamed Seghir Kara, Saïd Barkat, Rachid Herrouabia, Amar Tou, Mohamed Boukhalfa, Brahim Boulahia et bien d’autres personnalités et cadres écartés pour une raison ou une autre. Mouad Bouchareb veut, de son propre chef ou sur ordre d’en-haut, entreprendre la réunification du parti à quatre mois de la présidentielle d’avril 2019. Toutefois, cette volonté affichée a peu de chances d’aboutir en raison de profondes divergences entre ces personnalités, inconciliables et difficiles à réunir pour le même objectif.

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Déclassement des terres agricoles: «Un impératif extrême»

Sat, 12/01/2018 - 20:29

Pour le directeur central de l’Organisation foncière et la protection des patrimoines au ministère de l’Agriculture et du Développement rural, le déclassement des terres agricoles devient un «impératif extrême». Il insiste ainsi sur la rigueur dans ce domaine et la stricte application de la législation.

Intervenant jeudi dernier sur les ondes de la Radio nationale Chaîne 3, Hamid Hamdani a indiqué que le ratio national en terres agricoles est, aujourd’hui, à moins de 0,20 hectare par habitant. Selon lui, la sonnette d’alarme est effectivement tirée. «Le secteur de l’agriculture a participé dans le développement économique de notre pays en mettant à la disposition des équipements publics incompressibles du foncier agricole. Aujourd’hui, il faut revenir aux instruments d’urbanisme, à l’applicabilité des lois, à la redynamisation des comités locaux de constat de non-exploitation des terres», dit-il.
Il rappelle, à cet effet, qu’un programme d’assainissement foncier a été engagé dans les wilayas depuis plus d’un an. Ainsi, plus de 350 mille ha de terres agricoles cédées en concession et destinées à l’investissement ont été récupérés. Mais aussi, plus de six mille dossiers des exploitations agricoles collectives et des exploitations agricoles individuelles sont concernés par la déchéance. «Aujourd’hui, nous récupérons ces terres d’une façon administrative. Nous ne sommes même pas tenus de passer par les voies judiciaires. C’est une résiliation par voie administrative», précise-t-il.
Et d’expliquer qu’une fois le constat prononcé et les procédures appliquées, la résiliation de l’acte de concession devient effective par simple saisine par l’Office national des terres agricoles du domaine national.
S’agissant du déclassement des terres agricoles, le directeur central de l’Organisation foncière et la protection des patrimoines au ministère de l’Agriculture et du Développement rural affirmé que 40 mille ha ont été déclassés depuis 2005. «Aujourd’hui, il faut revenir à l’orthodoxie. Il faut revenir aux instruments d’urbanisme et à la législation. Le déclassement des terres agricoles devient un impératif extrême. Encore, faut-il que ces terres soient de très faibles valeurs agricoles», soutient-il.
Il souligne que le déclassement d’une terre agricole ou son orientation vers des équipements publics pour répondre à un besoin d’urgence est, aujourd’hui, soumis à un dispositif réglementaire. D’ailleurs, poursuit-il, «depuis plus de quatre mois, une circulaire du Premier ministre interdit formellement le déclassement des terres agricoles de très hautes valeurs agronomiques et celles qui relèvent des exploitations agricoles collectives ou individuelles».
Pour l’invité de la radio, le meilleur moyen de protéger les terres agricoles est de les travailler. «Nous ne pouvons pas parler de croissance économique si nous ne préservons pas notre foncier agricole, voire même augmenter notre foncier agricole notamment la superficie agricole utile», dit-il.
Il évoque, aussi, les nombreuses terres agricoles travaillées sans détenir un titre. Dans le but de réhabiliter ces agriculteurs qui les exploitent, un dispositif a été ainsi mis en place pour justement les conforter en les dotant d’actes de concession. Qualifiant dette disposition d’«avancée» et d’«historique», il assure que cette décision, prise conjointement avec d’autres ministères, intervient pour réhabiliter et sécuriser ces agriculteurs.

Un projet de loi pour la protection des terres agricoles
Hamid Hamdani évoque, par ailleurs, un projet de loi spécifique à la protection des terres agricoles adapté à la conjonction actuelle et aux défis futurs, en cours de finalisation. Prévu pour 2019, ce texte prévoit, d’abord, la classification des terres mais aussi des mesures législatives et réglementaires de résiliation ou bien fiscales.
«Il est temps qu’une terre agricole non travaillée qui relève du domaine privé doit faire l’objet de mesures fiscales ou doit être reprise», dit-il.
Ry. N.

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Harragas: Le gros dossier !

Sat, 12/01/2018 - 20:28

L’onde de choc provoquée par la disparition de plusieurs harragas en mer continue à secouer le pays. Le phénomène prend des dimensions inquiétantes et continue à s’étendre en dépit de toutes les mesures prises pour éviter justement ce genre de situations.

Plus aucune nouvelle des sept jeunes qui se sont jetés à la mer en cette sombre nuit du 14 novembre. Ils faisaient partie d’un groupe de treize personnes agglutinées dans une embarcation de fortune en partance vers l’Italie.
Un incident comme il en arrive souvent dans ce genre d’aventure survient malheureusement ce soir. Les harragas tous partis d’un même quartier, Raïs-Hamidou, apprennent que les moteurs de la barque sont à l’arrêt. En panne. Selon les témoignages des rescapés, ils se trouvaient alors non loin des rives italiennes. Le groupe se jette à la mer. Sur les 13 jeunes partis, seuls trois d’entre eux ont la chance d’être repêchés par les gardes-côtes italiens. Deux corps sont retrouvés sans vie mais les sept autres demeurent introuvables. Disparus comme beaucoup d’autres avant eux. Les familles en émoi réclament des pouvoirs publics une intensification des recherches pour retrouver les corps.
Entourés de plusieurs citoyens, proches et habitants du quartier endeuillé, les parents des malheureux se sont mobilisés la semaine dernière pour faire pression. Jeudi, des dizaines de jeunes sortis d’on ne sait où ont défilé dans les rues d’Alger-Centre pour réclamer la même chose. Le fait a surpris, soulevé plusieurs interrogations. Les autorités se retrouvent ainsi face au plus gros dossier qu’elles n’aient eu encore à gérer dans ce genre d’affaires. Toutes les mesures prises pour tenter de réduire le phénomène des harragas semblent avoir échoué.
La surveillance accentuée des côtes, la menace des peines d’emprisonnement ont très peu donné. Régulièrement, des communiqués émanant du ministère de la Défense annoncent d’ailleurs avoir intercepté des embarcations pleines de candidats à la «harga» un peu partout sur les côtes. Aucun bilan disponible pour autant. Les spécialistes du dossier évoquent, en revanche, les causes ayant accentué la dimension des départs à travers ces traversées incertaines.
Au Centre de recherches anthropologique et sociale (Crasc) certains chercheurs sociologues ont élargi la liste des causes ayant mené à l’apparition de ce phénomène. Au manque de perspectives, misère sociale ou absence de débouché pour les diplômés s’ajoute désormais un autre élément. Le durcissement des conditions d’octroi du visa est présenté comme ayant un «lien direct et certain avec le phénomène de la harga». «Comme partout ailleurs dans le monde, nos jeunes éprouvent le besoin de voyager, d’aller voir ce qui se passe ailleurs à travers le monde, tenter leur chance et s’insérer dans le grand concept de ce siècle, c’est-à-dire se transformer en citoyen du monde mais ils se heurtent à ce problème de visa», explique Bouabdellah Kacemi. Les difficultés, voire l’impossibilité d’accéder à ce document «poussent cette catégorie de personnes à tenter l’aventure autrement, pour eux, l’essentiel est de rejoindre ce monde qu’ils ne connaissent en fait qu’à travers les publicités qu’on leur montre à la télévision. Arrivé là-bas, peu d’entre eux ont en réalité la possibilité de démarrer une nouvelle vie. Beaucoup sont obligés de mendier, supplier, parfois voler pour manger. Ils sont humiliés, malmenés, finissent aussi très souvent en prison et s’aperçoivent alors qu’ils se sont trompés, qu’ils ont commis une grande erreur. Dans le cadre d’un voyage régulier, la situation pourrait se dérouler autrement probablement».
Des chercheurs s’arrêtent aussi sur le fait que des universitaires, «des diplômés puissent se retrouver dans des embarcations transportant des jeunes exclus par le système scolaire ou des marginaux parfois. Cette situation démontre bien les liens de cause à effet entre les difficultés d’obtention du visa et la harga».
L’aggravation du phénomène, poursuivent les mêmes sources, «est due au malaise grandissant qui s’est emparé de la société au-delà du problème du chômage ou de tous les maux auxquels font face les Algériens il y a aussi l’absence d’attractivité des villes dans lesquelles nous vivons, le transport n’est pas développé, les loisirs inexistants, les pressions multiformes y sont intenses, alors on veut fuir, aller ailleurs…»

A. C.

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VIH Sida: Nécessité de renforcer et cibler le dépistage

Sat, 12/01/2018 - 20:13

Le Pr Fatiha Razik, chef du service des Maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital El-Hadi Flici (ex-El-Kettar) à Alger, a souligné samedi la nécessité de renforcer le dépistage du VIH Sida pour la population, tout en ciblant les personnes à risque.

Intervenant à l’ouverture des travaux d’une journée de sensibilisation sur la maladie, le Pr Razik a considéré que la soixantaine de centres institutionnels de dépistage répartis sur le territoire national était « insuffisante » comparativement aux besoins nationaux.

Elle a appelé au renforcement de ces structures, tout en déplorant la « mauvaise répartition » géographique de celles existantes, citant l’exemple de l’Est du pays où la prévalence de la maladie est « plus faible » qu’ailleurs.

Le Pr Razik, également vice-présidente de l’Association nationale de la protection contre le Sida, a également mis en avant la nécessité de sensibiliser la population sur l’existence de ces centres et de leur fonction, dans la mesure où, a-t-elle précisé, il y a une méconnaissance à ce sujet.

L’intérêt de cette démarche, a-t-elle expliqué, étant d’encourager les citoyens à recourir au dépistage volontaire, « même si cette pathologie chronique ne tue plus et le séropositif peut mener une vie normale ».

« Sur les 4000 à 5000 dépistages effectués annuellement au niveau de notre hôpital, seuls 17% sont volontaires », a-t-elle relevé, tout en se félicitant de « l’efficacité du traitement mis gratuitement par les pouvoirs publics à la disposition des patients ».

Sur un autre aspect, elle a recommandé aux pouvoirs publics de favoriser le « dépistage ciblé » s’agissant de la population vulnérable.

Dans le même sens, le Pr Christine Katlama, de l’hôpital la Pitié-Salpêtrière (France) a présenté l’expérience française en matière de prise en charge du VIH Sida à travers son exposé sur « Les nouvelles armes thérapeutiques antirétrovirales ».

A l’adresse des malades, elle a notamment recommandé le « suivi rigoureux » de leur protocole de traitement, tout en appelant leur entourage familial ainsi que leur environnement sociétal à éviter la « stigmatisation ».

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La situation des non-voyants de plus en plus précaire et préoccupante

Sat, 12/01/2018 - 20:07

La situation à laquelle sont confrontés les non-voyants à travers le territoire national « est de plus en plus précaire et préoccupante », a déploré le président de l’Association nationale des non-voyants « El-Irada », Abdelkrim Akkouche, appelant, samedi dans une déclaration à la presse à Bouira, les pouvoirs publics à apporter plus de soutien et être plus solidaire envers cette frange vulnérable.

« Notre situation est de plus en plus précaire, et elle s’aggrave davantage en raison de la cherté de la vie et du chômage dans lequel se débattent les jeunes non-voyants à travers le pays, surtout ceux ayant des diplômes universitaires », s’est plaint le président de l’Association El-Irada devant la presse.

Les handicapés visuels à Bouira ainsi que dans plusieurs wilayas du pays se plaignent de l’insuffisance de la pension sociale qu’ils perçoivent chaque mois qui est de l’ordre de 3000 dinars seulement. « Avec la cherté de la vie et le chômage, les non-voyants vivent dans la précarité la plus totale. Je lance un appel aux pouvoirs publics pour qu’ils interviennent afin de nous aider de façon à vivre dans la dignité en nous fournissant du travail », a souligné M. Akkouche.

« Nous demandons aussi l’augmentation de la pension sociale de 3000 DA actuellement à 10 000 DA au moins pour permettre de réduire un tant soit peu les souffrances des non voyants, notamment vu la conjoncture actuelle difficile », a-t-il insisté

L’Algérie compte plus de 220 000 personnes atteintes de cécité, dont près de 10 000 d’entre eux sont des jeunes, qui cherchent du travail afin de subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles, a souligné le président de l’Association nationale « El-Irada ». « Nous voulons que l’Etat œuvre pour faire travailler ces quelque 10 000 jeunes non-voyants, dont plusieurs d’entre eux ont des compétences et de la volonté pour travailler, afin de les insérer dans la société », a-t-il soutenu.

A Bouira, « nous comptons une quinzaine de jeunes non-voyants diplômés de l’université. Ils travaillent et ils ont pu réussir à améliorer leur situation, mais, il y’en a plusieurs autres qui n’arrivent pas à le faire et qui chôment », a indiqué M. Akkouche.

Ce dernier a déploré, entre autre, le fait de voir « certains handicapés visuels âgés mendier dans les rues de nos villes à travers le pays, c’est très touchant et accablant », appelant « le ministère de la Solidarité nationale et les pouvoirs publics à prendre urgemment en charge nos doléances ».

Le président de l’Association El-Irada a saisi cette occasion pour appeler les responsables d’entreprises privés à œuvrer de façon à aider les non-voyants et à leur fournir notamment un emploi « dans certains postes où ils sont capables d’assurer le travail en toute responsabilité ».

« Nous demandons un travail décent pour ces jeunes non-voyants afin de leur éviter d’aller quémander de quoi vivre et de se rallier au nombre déjà important des mendiants », a expliqué M. Akkouche, qui a appelé à la révision de la loi relative à l’obligation faite aux employeurs de compter au sein de leur personnel 1% des personnes handicapées et rehausser ce pourcentage pour donner plus de chance aux personnes non voyantes de trouver un emploi.

« Cette loi n’est pas appliquée, ce qui rend très difficile aux demandeurs d’emploi de trouver du travail. Plusieurs entreprises privés refusent de recruter des non-voyants, et c’est très décevant pour nous », a déploré le même responsable.

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Police judiciaire: une session de formation sur la protection des droits de l’Homme

Sat, 12/01/2018 - 20:04

Une session de formation sur le renforcement de la protection des droits de l’Homme dans les missions de sécurité « comme impératif juridique et éthique » a débuté, samedi à Alger, au profit des éléments de la Police judiciaire.

Dans une allocution à l’ouverture de cette session, organisée sous le thème « les concepts fondamentaux et l’approche basée sur les droits de l’Homme », en collaboration avec l’Organisation internationale pour la réforme pénale dans la région MENA, la présidente du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Mme Benzerrouki Fafa Sid Lakhdar a indiqué que cette formation, qui vient en continuité du programme de partenariat lancé depuis 2009, visait à « renforcer la confiance entre les corps de sécurité et la société », et à « appréhender ces corps comme partie intégrante de la société, ayant pour mission de veiller à l’application de la loi ».    

« Les corps de sécurité étant souvent aux premières lignes face aux individus, aussi bien lors des manifestations et des marches pacifiques qu’à titre individuel, l’Etat et ses organes sécuritaires sont dans l’obligation de garantir le respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales », a-t-elle affirmé soulignant que « c’est là, l’objectif escompté sur le plan opérationnel lors de l’application de la loi, comme impératif juridique et éthique ».

Précisant que cette formation sera focalisée sur nombre d’axes principaux, dont « la couverture judiciaire et les droits de l’Homme » et « l’enquête et le mécanisme de garde à vue », la présidente du CNDH a rappelé que la Constitution, révisée en 2016, a défini explicitement les principes fondamentaux sur lesquels se repose cette mesure, en stipulant que la garde à vue ne peut excéder 48 heures, que la personne gardée à vue a le droit d’entrer immédiatement en contact avec sa famille et qu’elle doit être informée de son droit à entrer en contact avec avocat, outre le droit de bénéficier, à sa demande, de l’examen médical, en sus d’autres garanties.

De son côté, le Directeur des programmes de l’Organisation internationale pour la réforme pénale dans la région MENA, Mohamed Chabana, a évoqué l’importance de ce type de formation pour les corps sécuritaires, affirmant que « la Sûreté nationale est partie prenante dans le système de protection des droits de l’Homme », néanmoins, a-t-il ajouté, « il demeure nécessaire de veiller à l’équilibre du pouvoir dont elle jouit en vertu des lois en vigueur et le degré de protection des libertés et la relation aux individus ».

Estimant que la création d’un Bureau des droits de l’Homme au sein de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), était « une initiative à valoriser et à prendre en exemple par les autres pays », il a affirmé que, « le travail sécuritaire dépasse la lutte contre la criminalité et constitue, en premier lieu, un travail humanitaire et social basé sur le professionnalisme et sur la confiance avec les tous les membres de la société « .

Cette session de formation de 5 jours, destinée aux formateurs dans les milieux de la Police judiciaire portera sur des  programmes pratiques sur notamment les mécanismes internationaux de protection des droits de l’Homme, les droits de la femme, les droits de l’enfant et lu droit à exprimer son opinion.

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Reddition d’un terroriste aux autorités militaires à Tamanrasset

Sat, 12/01/2018 - 20:03

Un terroriste s’est rendu samedi aux autorités militaires à Tamanrasset, en possession d’un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce aux efforts des Forces de l’Armée nationale populaire, un terroriste s’est rendu, ce jour 1er décembre 2018, aux Autorités Militaires à Tamanrasset (6ème Région militaire), en possession d’un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et de deux (2) chargeurs garnis de munitions. Il s’agit en l’occurrence du dénommé ‘Berbouchi Ouennani’ dit ‘Abou Hamza’, qui avait rallié les groupes terroristes en 2012 », précise le communiqué.

Dans le cadre de la sécurisation des frontières et de la lutte contre la criminalité organisée, des détachements combinés de l’ANP « ont arrêté, à Tamanrasset et In Guezzam (6e RM), trois (3) orpailleurs et saisi un véhicule tout-terrain, huit (8) motocycles, des outils de détonation, cinq (5) groupes électrogènes, sept (7) marteaux piqueurs, cinq (5) détecteurs de métaux et 0,5 tonne de denrées alimentaires », note la même source.

Par ailleurs, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont intercepté, à Tamanrasset, vingt-six (26) immigrants clandestins de différentes nationalités », ajoute le communiqué.

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Une convention pour le paiement électronique des droits du registre de commerce

Sat, 12/01/2018 - 19:59

Une convention a été signée, samedi à Alger, entre le Centre national du registre de commerce (CNRC) et Algérie Poste portant sur le paiement des droits du registre de commerce par voie électronique.

Les Directeurs généraux du CNRC et d’Algérie Poste, respectivement MM. Mohamed Slimani et Abdelkrim Dahmani, ont signé cette convention, en présence du ministre du Commerce, Said Djellab et de la ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Iman Houda Feraoun, en marge d’une journée d’information placée sous le thème « le registre de commerce électronique (RCE), un instrument efficace pour la modernisation du contrôle économique ».

Lors d’une conférence de presse au terme de cette rencontre, Mme Feraoun a indiqué que « le CNRC, en tant que client d’Algérie Poste en vertu de cette convention, bénéficiera des services du paiement électronique ».

Rappelant que « la loi régissant le commerce électronique en Algérie impose à tous les commerçants de signer avec Algérie Poste, ou toute autre établissement bancaire, une convention permettant le paiement par voie électronique », elle a précisé que « la convention signée aujourd’hui entre les deux parties s’inscrit dans le cadre de cette nouvelle réglementation ».

De son côté, le ministre du Commerce a mis l’accent sur la nécessité pour les commerçants de passer du registre de commerce classique au RCE, et ce, avant la date du 11 avril prochain, soulignant que plus de 50% des affiliés au Registre de commerce national n’ont pas encore entrepris d’être  immatriculés au RCE.

Les procédures de contrôle, classiques et manuelles, seront effectuées désormais par voie électronique puisque les agents de contrôle se déplaceront chez les commerçants équipés de tablettes donnant accès à une base de données permettant de détecter rapidement les falsifications  touchant les registres de commerce, a fait savoir M. Djellab.

Le ministre a indiqué qu’après la généralisation du contrôle électronique à l’ensemble du territoire national, les services spécialisés se pencheront sur la numérisation de l’opération de communication du procès verbal aux juridictions, en cas de  falsification.

Dans un bilan, le CNRC a fait état de l’enregistrement de 282.654 nouveaux inscrits, dont 235.919 personnes physiques et 46.735 personnes morales (entreprises).

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Ouargla : assainissement « prochain » du fichier des chômeurs

Sat, 12/01/2018 - 19:59

Une opération d’assainissement du fichier des chômeurs de la wilaya d’Ouargla sera effectuée « prochainement », a -t- on appris samedi du directeur de l’Agence d’emploi de la wilaya (AEW) .

Intervenant lors d’un point de presse animé au niveau de l’office des établissements des jeunes (ODEJ), en présence des représentants des organes de presse, Mohamed Rayek a indiqué que des préparatifs sont entrepris pour le lancement « prochain » d’une opération d’assainissement du fichier des chômeurs dans la wilaya d’Ouargla pour bien déterminer le nombre exact des véritables chômeurs et veiller si possible à leur embauche.

Faisant le point sur les mesures mises en œuvre pour le traitement du volet emploi dans la wilaya, il a signalé que les Agences locales de l’emploi à travers la wilaya ont été invitées, dans le cadre de la consécration de la priorité d’emploi aux jeunes de la région, à opter, durant l’inscription et l’orientation, à obliger les postulants de présenter la carte d’identité nationale (CIN) délivrée uniquement par les services de la wilaya d’Ouargla.

Selon Mohamed Rayek, il sera également procédé, dans le cadre de ces mesures, à coordonner avec l’inspection du travail pour le contrôle des entreprises sous-traitantes et des compagnies étrangères pour s’assurer de l’application juste, par les employeurs des jeunes, des honoraires dus aux personnels, mais aussi de la formation et de l’embauche .

La même source a indiqué que les entreprises employeuses seront assignées à répondre aux demandes d’emploi dans les délais fixés, ajoutant que celles contrevenantes seront soumises à la suspension du registre du commerce ou à la résiliation des contrats.

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Le 11 avril 2019, dernier délai pour l’obtention du Registre de commerce électronique

Sat, 12/01/2018 - 19:48

Le ministre du Commerce, Said Djellab a annoncé, samedi à Alger, que le dernier délai pour l’obtention du Registre de commerce électronique (RCE) est fixé au 11 avril 2019, invitant les opérateurs économiques à se rapprocher des services locaux du Centre national du Registre de commerce (CNRC).

M. Djellab a appelé les organisations et associations du patronat ainsi que l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) à inciter les opérateurs économiques à se rapprocher des services territorialement compétents du CNRC pour l’obtention du nouvel extrait du registre de commerce, doté du code électronique, et ce avant le 11 avril 2019, date butoir.

Intervenant lors d’une journée d’information placée sous le thème « Le RCE, un instrument efficace pour la modernisation du contrôle économique », en présence de la ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Houda Imane Feraoun et de cadres des deux ministères, M. Djellab a déclaré que « le recours au RCE permettra inéluctablement, à nos services, de mieux maitriser l’encadrement et la modernisation du contrôle économique et le suivi et la régulation du marché afin de conférer transparence et efficience aux opérations de contrôle ».

Le secteur du Commerce, à l’instar des autres secteurs, mesure l’importance d’améliorer la performance de l’administration, d’où la nécessité de consentir des efforts énormes et continus pour hisser le Service à la lumière de la mondialisation, a poursuivi le ministre.

L’immatriculation au registre du commerce vise, en plus de la modernisation de l’organisation du registre du commerce, le remplacement des anciens modèles des extraits du registre du commerce par de nouveaux modèles, dotés du code électronique, en sus de l’assainissement et de la sécurisation de ce document contre la falsification, a-t-il précisé.

L’immatriculation au registre du commerce électronique permet d’obtenir des informations actualisées du CNRC sur la situation de l’opérateur, qu’il s’agit d’une personne morale ou physique, a fait savoir M. Djellab, soulignant qu’il s’agit de faciliter de développer et de moderniser le contrôle de l’activité commerciale, et de permettre l’identification du détenteur du registre du commerce et de l’activité effectivement exercée.

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DGSN: plus de 18 kg de kif traité saisis dans plusieurs wilayas

Sat, 12/01/2018 - 19:48

 Les éléments de la Sûreté nationale ont saisi, lors de différentes opérations dans les wilayas de Chlef, Batna et Annaba, plus de 18 kilogrammes de kif traité destinés au trafic, et arrêté 7 mis en cause, a indiqué samedi un communiqué de la Direction général de la sûreté nationale (DGSN).

Agissant sur informations, les services de la police judiciaire de Chlef ont arrêté trois (03) individus s’addonnant au trafic de drogue dans leur cité et saisi 12,350 kg de kif traité, précise lé même source. 

Les services de la sûreté de Daïra de Ras El Aioun (Batna) ont procédé à l’arrestation de deux (02) mis en cause et à la saisie de 2,189 kg de kif traité, auxquels s’ajoutent 3,525 kg récupérés lors d’une opération d’arrestation de deux (02) autres mis en cause par les éléments de police à Annaba.

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BM: l’année 2017 a battu de « funestes » records sur le front du changement climatique

Sat, 12/01/2018 - 19:42

 L’année 2017 a battu de « funestes » records sur le front du changement climatique, a alerté la Banque mondiale (BM) dans un nouveau rapport publié sur son site web.

Diffusé à quelques jours de la 24e  Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP24) qui se tiendra du 3 au 15 décembre à Katowice (Pologne), le rapport prévient contre les conséquences dramatiques des changements climatiques sur le développement.

Chiffres à l’appui, les auteurs du rapport affirment que pour la seule année 2017, les catastrophes d’origine météorologique et climatique ont amputé l’économie mondiale de 320 milliards de dollars.

« Ces pertes économiques sont appelées à augmenter, et ce sont les conditions de vie et les moyens de subsistance des populations les plus pauvres et vulnérables qui en pâtiront le plus », ont-ils averti.

Pire, « les effets des dérèglements climatiques pourraient faire plonger dans la pauvreté 100 millions de personnes supplémentaires d’ici à 2030, mettant en péril les acquis du développement », lit-on sur le rapport.

L’évolution du climat va également contraindre beaucoup d’individus, des familles voire des communautés entières à migrer vers des régions moins exposées aux changements climatiques, indique la même source qui prévoit que le nombre de ces migrants climatiques internes pourrait atteindre 143 millions à l’horizon 2050 (en ne tenant compte que de trois régions du monde (l’Afrique subsaharienne, l’Asie du Sud et l’Amérique latine).

La lutte contre le changement climatique est une source d’opportunités économiques

Le tableau est sombre, mais il y a des signes encourageants qui appellent à l’optimisme, ont toutefois assuré les auteurs du rapport.

« L’essor de l’économie climatique oriente de plus en plus la finance et les marchés vers le vivier que constituent les options sobres en carbone, tandis que le coût des énergies renouvelables et des batteries continue de chuter » ont-ils fait valoir.

Par ailleurs, « les arguments économiques plaident aujourd’hui, clairement en faveur d’un développement  climato-intelligent », ont-ils estimé.

Pour étayer ses propos, la BM cite le dernier rapport « New Climate Economy », selon lequel la lutte contre le changement climatique recèle un potentiel considérable sur le plan du développement et de l’économie, avec des gains chiffrés à 26.000 milliards de dollars et la création de 67 millions d’emplois d’ici à 2030.

 » Source de nouveaux emplois et débouchés, l’action climatique permet aussi de réduire la congestion du trafic routier et d’améliorer la qualité de l’air », a-t-elle encore souligné.

Concernant l’engagement financier de cette institution financière dans la lutte contre le changement climatique, le rapport rappelle qu’un montant de 20,5 milliards de dollars a été alloué à l’action climatique en 2018, en multipliant par deux le volume de financements pour le climat par rapport au montant engagé avant l’accord de Paris.

Par ailleurs, l’institution de Bretton woods a assuré avoir réalisé, avec deux ans d’avance, l’objectif qu’elle s’était fixé pour 2020 qui consiste à intégrer les enjeux climatiques dans l’ensemble de ses projets, conformément à son Plan d’action sur le changement climatique.

« En outre, la proportion des projets de développement qui engendrent des bénéfices climatiques en plus de leurs activités principales a presque doublé, pour passer de 37 % en 2016 à 70 % en 2018 », s’est-elle félicitée.

« Les financements du Groupe de la BM ont permis d’obtenir des avancées considérables, lit-on sans le rapport qui a cité à ce titre la production ou l’intégration de 18 gigawatts d’énergie renouvelable dans les réseaux électriques et la mobilisation de plus de 10 milliards de dollars de financements dans les énergies propres.

Egalement, l’élaboration de 22 plans d’investissement en faveur de l’agriculture climato-intelligente dans 20 pays.

Et enfin, l’accès de 38 millions d’habitants dans 18 pays à des informations météorologiques et des systèmes d’alerte rapide fiables afin de faire face à des catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes et violentes.

« Les choses bougent aussi du côté des marchés du carbone », ont encore assuré les auteurs du rapport, en affirmant que « les initiatives de tarification du carbone, essentielles pour donner le signal-prix qui incitera les acteurs du marché à investir dans la transition vers une économie décartonnée, ont triplé en dix ans.

Trois ans après la signature de l’accord de Paris, les représentants de plus de 200 pays se retrouveront à Katowice, en Pologne, pour la 24e conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP24).

« Le Groupe de la BM qui sera présent à la (COP24), annoncera de nouveaux objectifs pour 2025, dont notamment une intensification de ses efforts en matière d’adaptation, et présentera ses travaux de recherche dans les domaines de la mobilité, du transport, de l’énergie et des enjeux sociaux de la transition, avec en fil rouge la promotion de trajectoires de développement sobres en carbone », a conclu le rapport.

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Université : hommage au comédien Bachir Benmohamed à l’ouverture de Cirta Show

Sat, 12/01/2018 - 19:42

Un hommage appuyé a été rendu samedi au comédien Bachir Benmohamed, plus connu sous le sobriquet de « Ammi Bachir », lors de la cérémonie d’ouverture de la troisième édition des Journées nationales universitaires du One man-woman show, « Cirta show », tenues à la faculté des arts et de la culture de l’université Salah Boubnider, (Constantine 3)

L’hommage se veut une reconnaissance au parcours de cet homme de théâtre, connu par le grand public pour ses rôles dans les série télévisées « Rih tour » et « Mani Mani » où encore « Aâssab oua aoutar » .

Affaibli par la maladie et n’ayant pas pu faire le déplacement, Bachir Benmohamed ou  »Ammi Bachir » comme aiment à l’appeler ses fans, a été longuement applaudi au travers de ses œuvres au cours d’une cérémonie haute en couleurs, où plusieurs scènes de la série  »Aâssab oua aoutar » ont été présentées, mais également des témoignages apportés par ses compères de toujours Anter Hellal et Nouredine Bechkri.

Organisée par les œuvres universitaires de Constantine-Ain El Bey sous la tutelle de l’Office national des œuvres universitaires et du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, la 3ème édition de  »Cirta Show », ouverte en présence de plusieurs membres des assemblées élues de Constantine et figures connues du théâtre local et national, verra la participation de plus de 50 jeunes talents, venus de plusieurs universités du pays pour se disputer les cinq prix de cette compétition artistique.

Le président des œuvres universitaires de Constantine , Mohamed Laaiour a indiqué que les lauréats seront désignés par un jury composé de professionnels et présidé par le comédien Djamel Dekkar, ajoutant que tous les spectacles prévus pour cette édition auront pour thème « la citoyenneté ».

Devant se poursuivre jusqu’au 4 décembre prochain,  »Cirta show » donnera également lieu à des ateliers de dessin, de poésie, d’écriture scénique et de comédie.

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Mouvement des « gilets jaunes »: heurts à Paris, 65 blessés et plus de 158 interpellations

Sat, 12/01/2018 - 19:33

 Les abords de l’une des plus belles avenues du monde, les Champs-Elysées, sont le théâtre samedi des scènes de heurts violents entre les manifestants et les forces de l’ordre qui ont fait 65 blessés et plus de 158 personnes interpellées.

Dans les rues adjacentes à la place Etoile-Charles-de-Gaulle, plusieurs voitures de particuliers ont été renversées et brulées par des manifestants en colère, en marge de la manifestation des « gilets jaunes » qui contestent la hausse des prix du carburant et l’érosion du pouvoir d’achat des Français.

Le ministère de l’Intérieur a indiqué qu’environ 1500 casseurs se trouvent parmi les manifestants pacifiques, venus en famille, retraités, travailleurs, jeunes et moins jeunes, pour exprimer leur ras-le-bol fiscal qui se nourrit davantage du fossé entre les citoyens français et le pouvoir incarné par le président Emmanuel Macron qui refuse de changer le cap de sa politique décriée par les Français.

Paris donne l’image d’une « révolte en marche » : voitures incendiées, banques brûlées et vandalisées, barrières arrachées, chantiers démantelés, pavés enlevés de la chaussée et lancés contre les forces de l’ordre, alors que dans les autres villes les manifestations se déroulent généralement sans incidents, sauf à Toulouse où des échauffourées ont éclaté.

En dépit de cette situation chaotique à Paris, où l’emblématique Arc-de-Triomphe a été pris d’assaut et tagué, les « gilets jaunes » sont décidés à maintenir la pression sur le gouvernement, même si un nombre d’entre eux se disent contre les violences. Mais ils restent solidaires et dénoncent les tentatives de discréditer leur mouvement qui est d’essence pacifique, a-syndical et apolitique.

Ce qui n’a pas empêché des observateurs a pensé que, face à la sourde oreille du pouvoir, le mouvement « se radicalise ».

Le Premier ministre Edouard Philippe a dénoncé les scènes d’une « violence rarement atteinte », se disant « choqué » des images vues. « Au risque de paraître vieux jeu, je veux dire combien j’ai été choqué par la mise en cause de symboles qui sont les symboles de la France », a-t-il affirmé, avertissant que le gouvernement « va faire en sorte que rien ne soit excusé a ceux qui viennent pour casser, provoquer les forces de l’ordre ».

Il faut rappeler que le mouvement des « gilets jaunes », d’essence pacifique, est soutenu par plus de 70 % des Français, selon les sondages, et ne semblent pas abdiquer tant que le gouvernement n’abandonne pas sa politique de « surtaxation » qui a conduit à l’augmentation des prix du carburants que les Français, dans leur totalité, rejettent.

Une première tentative de dialogue entre les « gilets jaunes » et le gouvernement a connu vendredi un échec, ce qui laisse indiquer, selon des observateurs, que le mouvement des « gilets jaunes » est en train de prospérer sur le fossé qui s’est creusé davantage entre les citoyens et le pouvoir.

L’échec de la réunion de vendredi, initiée par le Premier ministre Edouard Philippe, montre bien que le premier concerné dans ce bras-de-fer, qui est loin de s’estomper, reste le président Emmanuel Macron qui a réitéré, mardi dans un discours, sa volonté de maintenir le cap dans sa politique tout en faisant un geste, jugé « irrecevable » par les manifestants, pour apaiser la tension.

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Volley: les clubs contestataires maintiennent leur boycott jusqu’au règlement de leurs problèmes

Sat, 12/01/2018 - 19:30

Les présidents des clubs de volley-ball qui animent le Championnat d’Algérie de Super-Division (messieurs) et de Nationale Une (dames), ont décidé, samedi à Blida, de poursuivre le boycott de la compétition, jusqu’au règlement de leurs problèmes, au plan financier notamment.

En effet, en dépit des appels du président de la Fédération algérienne de volley-ball (FAVB), Mustapha Lemouchi, lancés à leur intention, pour reprendre les compétitions, les présidents des clubs ont maintenu le choix de boycott du championnat national, dont le début a été reporté à maintes reprises depuis le 1er novembre écoulé.

Dans leurs interventions à cette rencontre les ayant réunis avec le président de la FAVB, au Centre de loisirs scientifiques de Blida, les présidents de club ont soutenu que la décision d’entamer les compétitions était tributaire de l’examen des différents problèmes posés.

Ils ont notamment exigé du président de la FAVB de soumettre le problème de manque de finances, qui est, selon eux, « un problème commun à la majorité des clubs », au ministre de la Jeunesse et des Sports, tout en appelant ce dernier à la « prise de toutes les mesures susceptibles d’améliorer leur situation, qui impacte négativement sur les résultats de leurs clubs sur le terrain », estiment-ils.

Selon Djamel Kharissat, président du NR Bordj Bou Arréridj, multiple champion d’Algérie chez les messieurs, les « subventions étatiques accordées aux clubs ne couvrent pas tous les frais des clubs de volley-ball ».

Une vision corroborée par le président du WA Tlemcen, Hakim Ben Abdellah, qui a critiqué le « soutien considérable » accordé par l’Etat aux clubs de football et au développement de ce sport « aux dépens d’autres disciplines sportives, dont le volley-ball » qui est, selon lui, « insuffisamment soutenu  en dépit de ses bons résultats sur le terrain ».

Outre le manque de soutien financier, les intervenants ont, également, abordé le manque de formation et d’encadrement accusés par les clubs, tout en appelant au soutien des structures dédiées à ce sport.

Après avoir insisté auprès des présidents de club sur le fait que la décision de boycott n’est pas la « meilleure solution pour venir à bout de ce blocage préjudiciable pour l’avenir du volley-ball national », a-t-il dit, Mustapha Lemouchi s’est engagé à transmettre leurs doléances au ministère de tutelle, tout en les appelant à privilégier la « sagesse et le dialogue et à assumer leurs responsabilités ».

A noter que sur les 22 clubs animant le championnat national de volley-ball messieurs et dames, seul le GS Pétroliers, sous la coupe de Sonatrach, s’est présenté sur le terrain à l’occasion de la première  journée.

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La Marine algérienne se dote d’un nouveau sous-marin de fabrication russe !

Sat, 12/01/2018 - 19:30

La Russie a remis à l’Algérie un nouveau sous-marin à propulsion diesel-électrique de classe Kilo qui a été construit aux chantiers navals de Saint-Pétersbourg, a annoncé le groupe média russe Mil.Press.

Selon Sputnik,ce sous marin est conçu pour plonger à 300 mètres de profondeur. Il appartient à la 3e génération de Sous-marins, avec une vitesse de 17 à 20 nœuds, détaille Sputnik. ce submersible peut être doté de quatre missiles Kalibr, de 18 torpilles de 533 mm (six tubes) et de 24 mines. Son équipage comprend 52 Sous-mariniers.

ce sixième sous-marin commandé par l’Algérie a quitté le 25 novembre dernier les chantiers navals de Saint-Pétersbourg où il a été construit pour l’armée algérienne. Le navire algérien Al-Mounjid, stationné dans le port russe de Kronstadt depuis le 19 novembre s’est mis en route pour accompagner le submersible, ajoute la même source.

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Le Prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane dimanche en Algérie

Sat, 12/01/2018 - 18:37

Le Prince héritier, vice-président du Conseil des ministres et ministre de la Défense d’Arabie Saoudite, Mohammed Ben Salmane, entamera, à partir de dimanche, une visite officielle de deux jours en Algérie, à la tête d’une délégation de haut niveau, indique samedi un communiqué de la Présidence de la République.

« Dans le cadre des relations fraternelles solides liant l’Algérie et le Royaume d’Arabie Saoudite, son Altesse royale, le prince héritier, vice-président du Conseil des ministres et ministre de la Défense d’Arabie Saoudite, Mohammed Ben Salmane Ben Abdelaziz Al-Saoud, entamera une visite officielle en Algérie, les 24 et 25 Rabie al Awal 1440 de l’Hégire correspondants aux 2 et 3 décembre 2018, à la tête d’une délégation de haut niveau qui compte des membres du gouvernement, des hommes d’affaires et des personnalités saoudiennes éminentes », précise le communiqué.

Cette visite s’inscrit, releve-t-on, dans le cadre de « la consolidation des relations privilégiées entre les deux pays et peuples frères et permettra de donner un nouvel élan à la coopération bilatérale et de concrétiser des projets de partenariat et d’investissement, en ouvrant de nouvelles perspectives aux hommes d’affaires, en vue d’augmenter le volume d’échange commercial et d’élargir le partenariat économique entre les deux pays ».

Elle permettra également de « relancer les différents ateliers bilatéraux issus de la 13ème session de la réunion de la commission mixte algéro-saoudienne, tenue à Riyad en avril dernier et qui a été sanctionnée par la signature de plusieurs accords de coopération », ajoute la même source.

« La visite de son Altesse royale, le Prince héritier saoudien sera l’opportunité d’examiner et d’échanger les points de vue sur les questions politiques et économiques arabes et internationales d’intérêt commun, et à leur tête la question palestinienne et les situations dans certains pays frères, outre les évolutions du marché pétrolier », conclut le communiqué.

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