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Updated: 2 days 22 hours ago

Hyundai Motors : Design avant rafraîchi et nouvelles fonctionnalités de sécurité pour la i40

Thu, 10/18/2018 - 22:39

La berline et la familiale i40 du segment D de Hyundai Motor ont droit à une mise à jour en matière de conception stylistique, de sécurité et un nouveau moteur.

Le passage aux moteurs Euro 6D Temp, la i40 s’offre le moteur diesel Smartstream 1,6 litre nouvellement développé disponible en deux puissances en remplaçant le 1.7 diesel. La version de moteur standard offre 115 ch et 280 Nm de couple jumelé à une transmission manuelle à 6 vitesses (6MT). Pour plus de puissance, la version hautes performances du moteur diesel Smartstream 1,6 litre fournit 136 ch et 320 Nm de couple jumelé à la transmission efficace à double embrayage et 7 vitesses (7DCT). L’i40 est également disponible avec le moteur essence 1,6 litre. Le 1,6 litre GDI avec une transmission manuelle à six vitesses génère 135 ch. L’ensemble de la gamme de moteurs de l’i40 est conforme aux nouvelles normes d’émission Euro 6d Temp.

La Hyundai i40 profite de cette mise à jour pour se rafraîchir avec un nouveau motif de la grille de calandre (Cascading Grille) et de nouvelles jantes, soit de légères retouches cosmétiques par rapport à son restylage. Elle se dote également de l’assistance de prévention des collisions avant (Forward Collision-Avoidance Assist ou FCA).

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Salon de Los Angeles : La nouvelle Mazda3 s’annonce en teaser

Thu, 10/18/2018 - 22:37

La nouvelle génération de la Mazda3 fera ses débuts au prochain Salon de Los Angeles au mois de novembre, le constructeur nippon faisant augmenter la température avec un premier teaser.

Un premier teaser-vidéo de cette nouvelle mouture a été ainsi mis en ligne par le constructeur nippon laissant voir, à l’occasion, quelques détails de ce que sera la prochaine Mazda3. Ainsi et dés le début de la vidéo, on peut apercevoir comment sera une partie de l’arrière allant de la ligne de toit aux feux. On peut également apprécier la ligne de caisse et la forme des rétroviseurs extérieurs.

La nouvelle génération a été anticipée par le KAI Concept et devrait se parer du langage stylistique KODO avec une calandre verticale reliée aux optiques effilés et une calandre bombée, dégageant un air agressivement sportif.

Mais la grosse nouveauté attendue est le nouveau moteur SkyActiv-X, le nouveau groupe propulseur de Mazda, moteur essence à allumage par compression, une hausse du couple entre 10 et 30% par rapport au moteur essence Skyactive-G3 et une amélioration du rendement énergétique du moteur de 20-30 % par rapport au moteur Skyactive-G et même par rapport au moteur diesel Skyactive-D sur ce dernier point.

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Autobest 2019 : La liste des finalistes connue

Thu, 10/18/2018 - 22:36

Le jury d’Autobest a dévoilé la liste des finalistes concourant pour le titre “Best Buy Car of Europe in 2019”, dont l’annonce des résultats se fera le 15 décembre prochain.

Les Citroën Berlingo / Peugeot Rifter / Opel Combo, Citroën C4 Cactus, Dacia Duster, Ford Focus, Kia Ceed et Toyota Corolla sont les finalistes du concours européen « AUTOBEST 2019. Une liste qui dévoile une première, celle d’une marque disposant de deux finalistes, à savoir Citroën avec le Berlingo et le C4 Cactus. La décision définitive interviendra après de nombreux essais routiers et des tests complémentaires effectués sur la piste d’essai de Vairano (Italie). Le gagnant –meilleur achat des voitures européennes – sera annoncé à la mi-décembre.

Soumises aux votes de 31 journalistes spécialisés, issus de 31 pays européens, les voitures en compétition seront prochainement évaluées sur la base de 13 critères, dont le rapport qualité-prix, le design, le confort et les technologies ainsi que la qualité des services et la disponibilité des pièces de rechange dans les réseaux de distribution. À l’issue de tests comparatifs entre les 6 finalistes qui se tiendront les 27 et 28 novembre 2018, le modèle qui totalisera le plus de votes décrochera le titre de cette prestigieuse élection.

Prix très populaire dans la région Centre et de l’Europe, le prix Autobest consacre les voitures proposant un rapport qualité-prix convaincant, car en plus des qualités classiques d’une automobile, le jury accorde aussi une grande importance aux coûts d’entretien, à la disponibilité des pièces de rechange et à l’offre de service du concessionnaire.

Pour rappel, le tire de l’année dernière avait été décerné à au crossover Citroën c3 Aircross.

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Seat : Le hayon de la nouvelle Léon se fait la…malle

Thu, 10/18/2018 - 22:35

La nouvelle génération de la Seat Léon sera dévoilée l’année prochaine avec plus d’équipements et une version Plug-in Hybrode disposant d’une autonomie de 50 kilomètres.

La future Seat Léon, qui sera également un peu plus grande que l’actuelle mouture pour plus d’espace intérieur, arborera les derniers codes stylistiques de la marque avec des feux effilées, comme ceux du Tarraco, et un capot plus marqué. L’arrière disposera d’un hayon légèrement plus incliné rehaussé par des feux,inspirés également du SUV 7 places ibérique, à la forme triangulaire plus marquée mais surtout reliés entre eux par une bande lumineuse, artifice de plus en plus usité par les constructeurs ces derniers temps.

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Chronique des 2 rives / Littérature engagée : procès et malentendus

Thu, 10/18/2018 - 22:31
Écrit par Abdelmadjid KAOUAH

Au nom d’une conception étriquée de l’engagement de l’écrivain, la littérature a connu par le passé maints procès en sorcellerie. Littérature engagée ? Ecrivain engagé ? Par quels temps, quels contextes ?

Pour quelle cause ? Autant d’interrogations que suscitent les œuvres littéraires et la démarche de leurs auteurs, citoyens par ailleurs dans la vie concrète. Retour sur un « malentendu » édifiant, « La Colline oubliée » de Mouloud Mammeri et ses avatars d’aujourd’hui.

Mouloud Mammeri ne manqua pas de passer sous les fourches caudines de la critique au début des années cinquante. Littérature engagée ? Pour lui «la formule tient lieu de réflexion, à la limite elle en dispense», a-t-il dit dans un entretien emblématique. Mais pour lui aussi, le principe de l’engagement reste «une protestation de l’intelligence contre la violence» qui doit s’affirmer par la médiation de l’art. Mouloud Mammeri fait remarquer que «pour que des milliers d’hommes répètent après lui que la question était d’être ou de ne pas être, il a fallu que l’évènement passe par le cerveau de Shakespeare et en sorte se transfigure».

UN CERTAIN HAMLET
Il y a bien longtemps, j’avais initié dans un hebdomadaire une sorte de feuilleton consacré à la nouvelle. Je m’étais mis à rêver à y publier au-delà de toute étiquette les auteurs algériens contemporains. Parmi les premiers, bien entendu, Mouloud Mammeri. Le regretté Tahar Djaout m’avait remis ses coordonnées. Je crois que ce fut le coup de fil le plus intimidant de ma vie. Il avait lu la recension que j’avais écrite sur son «livre d’entretien avec T. Djaout» (Laphomic, 1987). Ce fut un évènement avec un autre consacré à Kateb Yacine. Les deux grands écrivains, et ce n’est pas peu dire, n’étaient pas en odeur de sainteté auprès des appareils officiels. Il faudrait rendre hommage au travail pionnier de Laphomic et de son équipe de l’époque. «Le livre d’entretien» réalisé par Tahar Djaout comprenait aussi un inédit, «La cité du soleil» de M. Mammeri. L’écrivain y tenait de fortes paroles. La littérature dite engagée. «La formule tient de la réflexion, à la limite elle en dispense. L’engagement ainsi utilisé n’est pas seulement un instrument commode, c’est aussi un bon instrument de terrorisme intellectuel ; il permet de condamner ceux qui pensent différemment». Mais il ne manque pas de nuancer sa sentence en précisant que le principe de l’engagement reste «une protestation de l’intelligence contre la violence. Il en appelle aux pouvoirs de médiation de l’art : «Il a effectivement existé un Hamlet, prince danois, qui a réellement joué la folie pour venger son père assassiné. Mais pour que des milliers d’hommes répètent après lui que la question était d’être ou de ne pas être, il a fallu que l’évènement passe par le cerveau de Shakespeare et en sorte se transfigure». Et à Tahar Djaout qui lui rappelait qu’il avait été qualifié par une certaine critique comme «le plus français des écrivains algériens», il avoua «n’en tirer «ni gloire ni honte», se considérant nourri de culture ancestrale, prédisposé «à l’ouverture la plus large sur les plus divers horizons». Il a accepté alors sur le champ de donner à cette série une nouvelle. Comme je l’ai déjà mentionné par ailleurs, Mammeri a tenu à se déplacer lui-même jusqu’au petit café de la place Emir Abdelkader pour me remettre sa nouvelle, intitulée «Escales», reprise des années plus tard à la Découverte (1992). Ce fut un moment bref mais de ceux qui comptent dans un parcours d’homme. J’ai été frappé par sa modestie et son ouverture d’esprit. Pour mieux comprendre l’analyse que fait Mouloud Mammeri à propos de la littérature dite engagée, il faut remonter à l’accueil de la critique algérienne à son roman «la Colline oubliée» – qui atteste avec «le Fils du pauvre» de Mouloud Feraoun, et «la Grande Maison» de Mohamed Dib – la naissance du roman algérien de langue française.

SUSPICION, CONTRESENS ET TRANSFIGURATION
Au lendemain de la parution de «la Colline oubliée», Mohammed Chérif Sahli, connu comme l’un des premiers historiens algériens, écrit notamment dans «la Colline du reniement» (in Le Jeune musulman, 2 janvier 1953 – n° 12) : «Nous avons constaté la confusion jetée dans les esprits et les erreurs accréditées par une propagande au sujet d’une œuvre […]. Lorsqu’à peine sorti des presses et encore inconnu à Paris, ce roman est répandu aux quatre coins de l’Algérie, lorsque les journaux colonialistes, habitués à étouffer par le silence les écrits patriotiques, lui tressent des couronnes en de longs articles dithyrambiques, nous sommes fondés à trouver l’affaire suspecte.» On croirait ces lignes écrite aujourd’hui. On a lu de semblables à propos du «Fleuve détourné» de Rachid Mimouni. Et, récemment encore, des plus incisifs, au sujet de certains romans et romanciers algériens qui connaissent une consécration médiatique remarquable, attestée par l’obtention de prix prestigieux. Dans les usages littéraires, on prend souvent le soin de séparer l’homme de son œuvre. C’est du moins, la faveur dont a bénéficiée L.-F. Céline en dépit de son antisémitisme échevelé. Kateb Yacine ne manquait pas de faire état de son admiration pour l’art romanesque de Faulkner, dont il ne doutait pas, par ailleurs, de son racisme –lequel participait paradoxalement de la justesse de son écriture. Mais souvent ni l’homme ni ses écrits ne laissent des souvenirs impérissables. Mohammed Chérif Sahli écrivait ses critiques du temps de la colonisation, avec une ferveur nationaliste certes, expéditive, qui participait d’une mythologie patriotique. On sait moins de quelle manière lui avait répliqué sans ambages Mouloud d Mammeri : «…M. Sahli ne nous dit-il pas […] ce qu’il a lu, ce qu’il a vu dans mon roman ? Est-il si enfant qu’il lui faille pour juger d’une œuvre les yeux des autres ? Pourquoi la seule fois qu’il me cite est-ce à contresens et à travers un article d’«Arts» ? On sait maintenant que le roman «la Colline oubliée» s’est retrouvé otage des turbulences qui ont habité le nationalisme algérien au sein du MTLD. Ce dernier avait opté pour une culture nationale rattachée à la geste arabo-islamique». Mostéfa Lacheraf n’épargna pas non plus l’écrivain en s’attaquant aux «particularismes étriqués», retournant, ironiquement, des réflexions développées des années plus tôt par Mouloud Mammeri lui-même… Autre reproche servi toujours en lieu et place d’une critique circonstanciée de l’œuvre en présence : pourquoi ne pas l’avoir écrite dans la langue du peuple. Dans ces conditions «la Colline oubliée», vite classée dans la catégorie ethnographique, pouvait-elle être lue, reçue à sa juste dimension ? Querelle des Anciens et des Modernes, comme on l’a laissé entendre, au point que ce que nomme Nabile Farès «la critique directrice» transforme terme à terme le contenu d’une œuvre. «De même que le réalisme critique prend les mots pour des choses, de même la critique directrice prend les livres, les travaux «romanesques» pour des intentions d’auteur. Dans un autre contexte historique, dans le feu de la lutte anticolonialiste, Mohamed Dib affirmait : «Toutes les forces de création de nos écrivains et artistes, mises au service de leurs frères opprimés, feront de la culture et des œuvres qu’ils produiront autant d’armes de combat. Armes qui serviront à conquérir la liberté». L’objectif est clair : il s’agit de mettre au service d’un combat politique pour la liberté, la littérature. Il ne peut s’agir que d’un art engagé. Pour l’heure, une telle définition du rôle de la littérature est en adéquation avec l’air du temps et les exigences de la réalité algérienne. Les nuances sur la vocation de la littérature ne sont pas de mise à ce moment de l’histoire. Plus tard, cette définition par trop empirique montrera ses limites et Mohamed Dib sera parmi les premiers à déclarer qu’une telle conception n’était plus à l’ordre du jour au lendemain de l’Indépendance. Vieux débat qui s’était en grande partie essoufflé au soleil des indépendances ? On ne peut nier que les œuvres qui ont marqué notre histoire ont brillé à la fois par leur esthétique et leur engagement. Faut-il rappeler, par exemple, «Nedjma» de Kateb Yacine et la «Trilogie Algérie» de Mohammed Dib ?

IMPASSE ET CONCEPTS 
EN VOGUE
Il y a quelques années, dans les colonnes du quotidien «Le Soir d’Algérie» (20/02/2012), une «contribution» de l’universitaire Abdellali Merdaci entendait apporter «une nécessaire clarification» sur «Les impasses du champ littéraire en Algérie». Ce texte critique, qui n’est pas passé inaperçu, évoquait «la dénationalisation» des littératures du Sud dans les discours théoriques occidentaux. Cette dénationalisation, selon le contributeur, se conforte par l’adhésion consciente des écrivains originaires du Sud qui valident les concepts en vogue, tels que «écriture migrante», «migritude», voire «littérature-monde»… Autant d’interrogations dérangeantes mais intéressantes et à même d’ouvrir le débat, n’était une trop rapide conclusion renvoyant ces écrivains à une «faille identitaire» à «une identité fictive» (empruntée à Barthes) et finalement au reniement de soi. Cette critique s’accompagne par un procès de la globalisation et d’une mondialisation à sens unique -qui n’est pas sans pertinence- et la défense du nationalisme selon Abdellali Merdaci «couvert d’opprobre» sur la rive Sud de la Méditerranée, alors que le «nationalisme culturel» reste un cheval de bataille en Europe et en Amérique du Nord (on ne peut plus tonitruant depuis l’arrivée à la Maison-Blanche de M. Trump). Faut-il penser que derrière ce texte se réactive une lecture critique normative de la création littéraire, dont l’essence reste le rapport au politique ? Au détriment de la singularité du fait littéraire et qui nous ramènerait dans ces conditions aux dérives d’une approche restrictive n’ayant plus prise ni sur la réalité ni sur l’imaginaire qui l’accompagne ? Cette approche a posé les jalons d’un débat qui prend de l’ampleur au fur et à mesure que s’élargit le panorama littéraire algérien dans ses différentes expressions linguistiques.

AU-DELA DU TEXTE
Ainsi la leçon de «la Colline oubliée» n’a pas fini de nous instruire. Mohammed Dib, dans une postface à «La Nuit sauvage» (1995), a posé les termes de la problématique à laquelle devait faire face un écrivain du Sud, qu’il vive au pays natal ou en exil. «A quelle interrogation plus grave que celle de sa responsabilité, un écrivain pourrait-il être confronté ? C’est mal poser la question, elle doit être retournée ; nous dirions mieux en nous demandant : cela a-t-il un sens qu’on se répande en écrits et n’ait pas en répondre ? Pour les avoir écrits et tout bonnement pour avoir écrit. L’Occident aujourd’hui paraît s’être libéré de cette préoccupation, avoir disjoint les deux choses : écriture (romanesque) et responsabilité (morale) Doit-on, et peut-on, partager partout une telle position ?», s’interrogeait Mohammed Dib. Pour sa part, Mouloud Mammeri fut incontestablement un écrivain d’une grande rectitude morale, hautement responsable de ses écrits comme de sa conduite. C’était aussi un homme de longue patience, convaincu que l’histoire rendrait justice à ses convictions et ses choix solidaires, souvent en solitaire. En poésie, la filiation de l’engagement remontait à une époque plus lointaine. Après la conquête coloniale, quand lettrés et notables observèrent le silence, la parade est venue des poètes populaires qui, dans les dialectes arabes et berbères, se firent les porte-parole du petit peuple. Leurs poésies ont constitué un long chapelet de lamentations et d’exhortations au fur et à mesure de la progression de la colonisation à l’intérieur du pays et participé à susciter les foyers de rébellion et de sédition sporadiques durant tout le XIXe siècle et le début du XXe. Ainsi, Si Mohand ou Mohand imaginait «des larmes de granit à cause de ce siècle sans pudeur». Dans sa traduction des «Poèmes kabyles anciens» (Maspéro, 1980), Mouloud Mammeri écrit à propos de la culture orale : «Le vers dit par un homme à des hommes, en des circonstances données, souvent au cours d’un rite où la faveur de l’attente, orchestre et multiplie les réussites de la réalisation, dépasse de partout les limites formelles d’un texte».

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L’UE et l’Algérie collaborent pour renforcer les capacités régionales en matière de garanties nucléaires et de non-prolifération

Thu, 10/18/2018 - 22:28

Le Centre Commun de Recherche (CCR) de la Commission européenne, en collaboration avec le Commissariat à l’Energie Atomique algérien (COMENA), organisent à partir de dimanche 21 octobre, une formation régionale d’une semaine relatives aux garanties et non-prolifération nucléaires pour la région de l’Afrique du Nord et du Sahel. Il s’agit d’un thème d’une grande importance pour les questions de sécurité internationale et régionale, elles-mêmes objet d’un dialogue stratégique de haut niveau entre l’Union européenne et l’Algérie.

Le but principal de cette formation est de soutenir et d’appuyer le renforcement des capacités universitaires dans le domaine des garanties nucléaires et de la non-prolifération, qui n’est généralement pas suffisamment couverte dans les programmes universitaires existants.

Dans ce cadre, la formation sera dispensée par des formateurs et experts internationaux de renom et verra la participation de 10 pays de la région et une soixantaine de participants représentant divers secteurs (instituts de recherche, universités, organismes de formation, autorités réglementaires, pouvoirs publics…).

Elle couvre un large éventail de thèmes relatifs aux garanties et à la non-prolifération nucléaire, et se compose d’un chapitre théorique, à travers des  présentations, ainsi que d’exercices pratiques, des études de cas et une démonstration sur l’utilisation d’instruments de détection de matières nucléaires dans les conditions simulées d’une inspection sur un site nucléaire. Elle sera clôturée par une séance d’évaluation.

A noter que cette formation est financée par l’UE dans le cadre de l’Instrument de Coopération pour la Sûreté Nucléaire (ICSN), piloté par la Direction Générale de la Coopération Internationale et Développement (DG DEVCO) (https://ec.europa.eu/europeaid). Elle est la seconde en Afrique après celle de Pretoria (Afrique du Sud) en février 2018 à laquelle 13 pays avaient participé.

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Ouargla : Mise en exploitation d’une station de déminéralisation

Thu, 10/18/2018 - 22:21

OUARGLA- Une station de déminéralisation de l’eau potable a été mise en exploitation dans la commune frontalière d’El-Borma (420 km Est d’Ouargla),  dans le but d’améliorer la qualité de l’eau à la satisfaction de la population.

Réalisée au niveau du quartier Chouachine, pour un investissement de près de 80 millions DA puisé du programme communal de développement (PCD), cette station, d’une capacité de 50 m3/heure d’eau déminéralisée, a été mise en service mercredi par les autorités de la wilaya, dans le cadre de la commémoration de la journée nationale de l’émigration (17 octobre 1961).

Troisième du genre dans la région, cette station a été raccordée à un château d’eau de 500 m3 devant alimenter la commune d’El-Borma qui coiffe trois agglomérations, à savoir le chef lieu de la commune, Zenaïga et Chouachine, a expliqué le subdivisionnaire des ressources en eau d’El-Borma.

La commune d’El-Borma s’est vu accorder trois stations, dont la plus ancienne, implantée au chef lieu de la commune, avait fait l’objet d’une opération de réhabilitation en 2016 avant sa remise en service avec une production de 54 m3/heure, tandis que la seconde est localisée dans le quartier de Zenaïga et offre une production de 50 m3/heure d’eau déminéralisée.

Comptant une population de près de 5.300 âmes, cette commune frontalière a connu ces dernières années un essor en matière d’exécution des projets d’eau potable, portant le taux couverture à 96%.

Le wali de Ouargla, Abdelkader Djellaoui, a, lors de sa récente visite dans la région, procédé aussi au lancement d’un projet de système d’irrigation au périmètre agricole ‘‘El-Sisse’’ et du projet réfection d’une tranche de 173 km de la RN-53-A reliant El-Borma et Hassi-Messaoud.

Le chef de l’exécutif de la wilaya  a, en outre, inspecté des structures pédagogiques et un projet de 141 logements publics locatifs, avant de présider une rencontre avec les représentants de la société civile et de prendre connaissance des préoccupations de la population locale.

La commémoration de la journée nationale de l’émigration a été mise à profit par les autorités de la wilaya pour remettre 50 aides à l’habitat rural, et honorer des membres de la famille révolutionnaire et les vainqueurs du cross-country initié dans cette commune.

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Recueillement à El Alia à la mémoire Krim Belkacem

Thu, 10/18/2018 - 22:10

ALGER – Une cérémonie de recueillement a été organisée, jeudi au cimetière El Alia à Alger, en hommage à la figure historique du combat pour l’indépendance de l’Algérie, Krim Belkcacem, qui fut l’un des fondateurs du Front de libération nationale (FLN) et président de la délégation algérienne aux négociations d’Evian en 1962.

Des personnalité nationales et politiques ainsi que d’anciens moudjahidines ont rendu un hommage au « Lion des Djebels », louant son engagement indéfectible pour la libération de l’Algérie d’une longue nuit coloniale.

Né en décembre 1922, à Draâ El Mizan à Tizi Ouzou, le premier responsable des maquis de l’Armée de libération nationale (ALN) en Kabylie, a entamé sa carrière politique en adhérant en 1946 au Parti du peuple algérien (PPA).

Il avait implanté des cellules clandestines dans 12 douars autour de Draâ El Mizan.

Responsable du PPA-MLTD (Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques) pour la Kabylie en 1952, il avait prôné la lutte armée et réussi à entraîner au moins 500 éléments au maquis, dont Amar Ouamrane, à la veille du déclenchement de la Révolution de novembre 1954.

Il fut membre du Groupe des six qui était à l’origine du déclenchement de la Guerre de libération nationale.

C’est dans ce cadre qu’il avait rencontré à Alger, le 9 juin 1954, Mustapha Benboulaid, puis Mohamed Boudiaf et Didouche Mourad.

Suite au Congrès de la Soummam, le 20 août 1956, il devint l’un des membres les plus importants du Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA) et du Comité de coordination et d’exécution (CCE) qui s’installe à Alger.

Vice-président et ministre des Forces armées dans le 1er Gouvernement provisoire de la République Algérienne (GPRA), il fut désigné successivement, vice-président et ministre des Affaires extérieures dans le 2ème GPRA, le 18 janvier 1960 et vice-président et ministre des Affaires intérieures le 27 août 1961 à Tripoli.

Il fut désigné par les instances politiques de la Révolution à la tête de la délégation algérienne aux négociations d’Evian, à l’issue desquels il apposera sa signature consacrant le recouvrement de l’indépendance du pays.

Il fut parmi les acteurs les plus en vue de la crise de l’été 1962. Il intégra, dans ce cadre, le Groupe installé à Tizi Ouzou, auquel appartenait également Mohamed Boudiaf.

Krim Belkacem, qui a versé dans l’opposition après l’indépendance, fut condamné à mort par contumace. Il créa dans la clandestinité, avec ses compagnons de lutte, dont le commandant de l’ALN Slimane Amirat, le Mouvement pour la défense de la révolution algérienne « MDRA ».

Le 18 octobre 1970, Krim Belkacem est assassiné dans un hôtel à Francfort.

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Abane Ramdane a lutté « de toutes ses forces » contre la division

Thu, 10/18/2018 - 22:03

ALGER- Le défunt Abane Ramdane, une des principales figures de la Guerre de libération nationale (1954-1962) a lutté « de toutes ses forces » contre la division pour réaliser « l’union sacrée » qui aboutira au déclenchement de la révolution, a affirmé sa veuve Isa Dehilès, dans un témoignage écrit et publié jeudi à titre posthume par le quotidien El-Watan.

« (…) il combattit la division de toutes ses forces afin de réaliser l’union sacrée qui allait déboucher sur une véritable machine de guerre », a-t-elle écrit dans ce témoignage mis à la disposition de la rédaction d’El-Watan par ses enfants, Ali et Nafissa Dehilès.

Evoquant la démarche d’Abane Ramdane, « vivement » critiquée par certaines figures historiques, quand il a demandé à Ferhat Abbas de rejoindre le Front de libération nationale (FLN), Isa Dehilès a assuré que son défunt mari était « un rassembleur » qui estimait que « la Révolution doit être l’£uvre de tous, sinon elle sera vouée à l’échec ».

Selon sa veuve, Abane Ramdane a appelé Ferhat Abbas à rejoindre les rangs du FLN parce qu’il estimait que ce dernier « est un symbole » et qu’il « va irradier le FLN de son aura », affirmant que son mari était « hors de lui » parce que les autres ne comprenaient pas qu’il ne voulait « rien laisser à la France ».

Isa Dehilès a assuré, en outre, qu’Abane Ramdane était un « fervent démocrate assumé » et non « pas un despote », soulignant qu’il « prenait en considération l’avis de son vis-à-vis et savait aussi reculer pour mieux sauter ».

« Il n’a jamais imposé ses décisions par la force. Il adorait débattre et se pliait devant la majorité », a-t-elle ajouté, citant pour preuve son inclinaison devant Ben M’hidi et Ben Khedda lorsque ces derniers ont préféré le nom d’El Moudjahid à ceux qu’il avait proposé pour le journal qui allait devenir « le journal de propagande du FLN ».

« Ben M’hidi et Ben Khedda proposèrent le nom d’El-Moudjahid qui fut d’emblée rejeté par Abane, car ce nom, selon lui, donnait une connotation religieuse. En revanche, il proposa Le Combattant ou Le Résistant qui pour lui serait le dénominateur commun pour toutes les différentes factions qui ont rejoint le Front. Comme Abane s’inclinait toujours devant la majorité, le nom d’El Moudjahid fut retenu et adopté », a-t-elle raconté dans son témoignage.

La veuve d’Abane Ramdane a témoigné également de la grande sensibilité qui caractérisait l’homme, assurant que ce dernier « a carrément sangloté pour Hachemi Hamoud » quand il a appris sa mort sous la torture.

« Ne sois pas étonnée qu’on vienne un jour t’annoncer ma mort!. On finira tous par y passer,…. », aurait-il confié à sa femme.

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Forêts: près de 2.239 hectares touchés par le feu depuis juin

Thu, 10/18/2018 - 22:01

ALGER- Une superficie de près de 2.239 hectares a été parcourue par les feux de forêts durant la période allant du 1er juin au 17 octobre 2018, a indiqué jeudi la Direction générale des forêts (DGF) dans un communiqué.

Il a ainsi été enregistré 780 foyers ayant parcouru une superficie totale de 2.238,95 hectares (ha) composés de 956,24 ha de forêts, de 509,63 ha de maquis et de 773,08 ha de broussaille, soit une moyenne de 6 foyers/jour et une superficie de 2,87 ha/foyer, détaille la même source.

La DGF indique que la région la plus touchée par les feux de forêts est celle de l’Est avec 1.105,08 ha et 154 foyers, suivie du Centre (813,77 ha, 430 foyers) et de l’Ouest (320,11 ha, 196 foyers).

Sur la même période de l’année 2017, la DGF avait enregistré 2.954 foyers ayant parcouru une superficie totale de 53.883 ha dont 28.817 ha en forêts.

Par ailleurs, pour la semaine allant du 11 au 17 octobre 2018, il a été enregistré sept (7) foyers d’incendie qui a  parcouru une superficie totale de 2,88 ha ayant affecté une superficie de 1,38 ha de forêts et de 1,5 ha de broussailles, soit une moyenne d’un foyers/jour et une superficie  de 0,41 ha/foyer.

Selon la DGF, le dispositif de prévention et de lutte contre les feux de forêts, mis en place depuis le 1er juin 2018 sera maintenu jusqu’à la fin de la campagne, prévue le 31 octobre en cours.

En raison des risques persistants durant cette période, la DGF fait appel aux citoyens, notamment aux populations riveraines, d’observer plus de vigilance et d’apporter leur contribution sur le plan d’alerte et de la prévention.

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Damas réitère son attachement à la solution politique qui préserve sa souveraineté

Thu, 10/18/2018 - 21:59

ALGER- Le gouvernement syrien a réaffirmé qu’il était prêt à réagir positivement aux initiatives visant à mettre fin à la crise syrienne à condition que celles-ci préservent la souveraineté, l’indépendance et l’unité de la Syrie et que le peuple syrien décide de l’avenir de son pays sans aucune ingérence extérieure.

« Le gouvernement syrien a confirmé sa volonté de réagir aux initiatives susceptibles d’aider les Syriens à mettre fin à la crise, à condition que celles-ci préservent les constantes nationales représentées par le gouvernement syrien, en vue de préserver principalement la souveraineté, l’indépendance et l’unité de la Syrie et pour que le peuple syrien ait le droit exclusif de déterminer l’avenir de son pays sans aucune ingérence extérieure », a déclaré mercredi l’ambassadeur syrien Bachar al-Jaafari, lors d’une session au Conseil de sécurité de l’ONU.

M. Al-Jaafari a souligné que « les pays soutenant le terrorisme exploitaient les plate-formes de l’ONU chaque fois que l’armée syrienne progressait face aux groupes terroristes afin d’exercer un chantage et une pression politique sur la Syrie et d’empêcher ces avancées », appelant le Conseil de sécurité à « faire clairement connaître sa position » et rejetant « la présence militaire étrangère sur le territoire syrien « .

Il a déclaré que le gouvernement syrien était engagé dans des discussions « positives et ouvertes » lors des pourparlers de Genève, du processus d’Astana et de la conférence de dialogue national syro-syrien à Sotchi (en Russie). « Mais l’obstruction venait toujours d’autres parties qui refusaient de négocier et de parier sur le terrorisme et les interventions extérieures. »

Damas refuse toute feuille de route sans sa participation

Suite aux nombreux appels à accélérer la formation du comité pour discuter de la Constitution en Syrie afin d’aller vers une transition dans le cadre de la solution politique à la crise, Damas a confirmé « son rejet de toute feuille de route n’y participant pas », notant que « la Constitution et tout ce qui s’y rapporte est purement syrien ».

Des membres européens du Conseil de sécurité des Nations unies ont appelé, mercredi, les acteurs politiques syriens, en particulier le gouvernement, à former un comité chargé de rédiger la Constitution et d’organiser des élections « libres et équitables » dans le cadre de la nouvelle Constitution sous les auspices de l’ONU.

« Nous appelons toutes les parties, et en particulier Damas, à s’engager de manière constructive avec l’envoyé de l’ONU dans le but – dans les meilleurs délais et sans retard supplémentaire – de former une commission constitutionnelle complète et crédible », ont déclaré les membres de l’UE dans un communiqué.

Dans sa réponse à cet appel, Bachar al-Jaafari a déclaré que « la Syrie ne reconnaît aucune feuille de route qui n’y participe pas et que les Nations Unies ne devraient pas faire partie de rassemblements politiques hostiles ».

Il a souligné que « la Constitution et tout ce qui la concerne est une affaire syrienne. La Syrie n’acceptera aucune idée constituant une ingérence dans ses affaires intérieures ou pouvant y conduire ».

Le gouvernement syrien « a présenté une vision pratique et intégrée » sur la manière de constituer un comité pour discuter de la Constitution, du mandat et du mécanisme d’action et a remis la liste des membres soutenus par le gouvernement syrien aux Nations Unies, mais cette question est restée prise en otage par les divergences entre les parties concernées, y compris l’ONU.

Le gouvernement syrien refuse d’accepter la liste finale établie par les Nations Unies, car elle contient des noms « hostiles » pour Damas.

Pour sa part, le président russe Vladimir Poutine a loué les « mesures prises en Syrie », estimant que  » la tâche principale en Syrie à ce stade est la formation du comité constitutionnel et le lancement des opérations de reconstruction », ajoutant que « Moscou travaille avec ses partenaires à la mise au point de mécanismes permettant de faire avancer les travaux sur le terrain » .

De Mistura espère former un comité constitutionnel avant son départ

L’envoyé spécial de l’ONU en Syrie, Staffan de Mistura, a déclaré qu’il espérait que le comité de la constitution serait formé avant de quitter ses fonctions à la fin du mois de novembre pour des « raisons personnelles ».

Lors d’une réunion du Conseil de sécurité, il a reçu une invitation du gouvernement syrien à se rendre la semaine prochaine à Damas, où il envisage de discuter de la formation du comité de rédaction de la nouvelle Constitution en Syrie.

La liste du gouvernement syrien et des 50 membres de l’opposition à la commission « ne fait pas de doute », a déclaré de Mistura, ajoutant que l’objection restait principalement soulevée par le gouvernement sur une troisième liste créée par les Nations unies, comprenant des représentants de la société civile, des chefs tribaux, des experts et des femmes.

L’envoyé de l’ONU a déclaré qu’il espérait qu’il serait « en mesure » d’émettre des invitations à la convocation du comité constitutionnel, en espérant que ce serait le mois prochain.

« Les Nations Unies ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour trouver le moyen de convoquer un comité constitutionnel crédible et équilibré », a-t-il déclaré, s’engageant à faire plus de travail rapidement le mois prochain, profitant ainsi du créneau opportun d’Idleb, province du nord-ouest de la Syrie.

De Mistura est le troisième envoyé spécial de l’ONU en Syrie depuis le début du conflit en 2011 en Syrie, après l’ancien secrétaire général des Nations unies Kofi Annan et le diplomate algérien Lakhdar Brahimi.

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Cross du Challenge du nombre de l’ANP : 450 coureurs en compétition à Alger

Thu, 10/18/2018 - 21:59

ALGER- Le lancement de la saison sportive militaire 2018-2019 a été donné jeudi au Centre de regroupement et de préparation des équipes nationales militaires Messaoud-Boudjeriou à Ben-Aknoun (Alger) avec l’organisation du cross du Challenge du nombre de l’Armée nationale populaire (ANP).

Cette course a regroupé 450 athlètes dont 20 femmes, issus de ce centre sportif et scindés en trois catégories d’âge : moins de 28 ans, de 28 à 35 ans et plus de 35 ans pour les messieurs, outre une catégorie « ouverte » pour les dames.

Les coureurs de moins de 28 ans ont parcouru une distance de 12 kilomètres, ceux entre 28 et 35 ans ont disputé une épreuve de 10 km, alors que les plus de 35 ans se sont mesurés sur un parcours de 7 km. Quant aux femmes, elles ont couru sur un circuit ne dépassant pas les 4 km.

Chez les U-28, l’athlète Meziani Slimane a été sacré champion avec un temps de 39 minutes et 52 secondes, suivi de Goucem Riad (40:28) et Kadi Bouchakour (41:34).

Dans la catégorie 28-35 ans, la médaille d’or est revenue au coureur Houche Hamza en 32:12, laissant la médaille d’argent à Chafai Sami (33:24), alors que Boulouh Mohamed (35:10) a eu le bronze.

Negrous Rabah est monté sur la plus haute marche du podium à l’issue de la course des « vétérans », celle des plus de 35 ans, après avoir remporté l’épreuve en 27 mn 41 sec, suivi par Metali Ibrahim (28 mn 02 sec) et Salem Saouli (29 mn 38 sec).

Chez les dames, Zahra Bounoura a remporté la course en 23 mn 40 s, devant Chahrazed Bencherifa (24 mn 38 s) et Nabila Mihoubi (25 mn 40s).

Dans son allocution d’ouverture, le général Omar Griche, Chef du service des sports militaires relevant du département Emploi et Préparation de l’état-major de l’ANP, a souligné que cette compétition « s’inscrit dans le cadre des orientations du Haut Commandement de l’ANP visant la généralisation de la pratique sportive afin d’améliorer les capacités physiques et les résultats sportifs des personnels ».

Parallèlement à cette course, des compétitions similaires ont eu lieu jeudi à travers les différentes Régions militaires, Commandements de forces, grandes Unités et Ecoles.

Le Centre de regroupement et de préparation de Ben-Aknoun s’apprête à accueillir la 5è édition du championnat d’Afrique militaire de l’organisation du sport militaire africain, du 3 au 10 novembre prochain.

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Sanction : six mois de suspension pour le président de l’US Biskra

Thu, 10/18/2018 - 21:57

Le président de l’US Biskra, Farès Benaissa, a écopé d’une suspension de six mois, dont trois avec sursis, pour tentative d’agression envers officiel de match. La sanction a été infligée mercredi par la commission de discipline de la ligue de football professionnel (LFP).

Les faits reprochés au président de l’USB remontent au 13 octobre dernier à l’occasion de la rencontre US Biskra – MC Saida, comptant pour la 10e journée de la Ligue 2, soldée sur un score nul (1-1).

Selon la même source, Benaissa a été sanctionné « pour tentative d’agression envers officiel de match. Il a été signalé sur la feuille de match et le rapport de délégué pour avoir eu un mauvais comportement envers l’arbitre directeur devant les vestiaires », lit-on sur le site de la LFP.

Outre la suspension de six mois, dont 3 avec sursis, le patron de l’USB devra également s’acquitter d’une une amende financière de 80 000 DA.

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Le Groupe Sonelgaz a réussi à recouvrer 27% de ses créances en 2018

Thu, 10/18/2018 - 21:57

Le Groupe Sonelgaz a réussi à recouvrer 27% de ses créances en 2018, détenues par différents clients, sur un chiffre d’affaires global de 393 milliards de dinars.

« Nous avons avancé de 27% par rapport à l’exercice passé. C’est très important 27% pour un chiffre d’affaires de 393 milliards de dinars », a annoncé, jeudi, le DG Du Groupe Sonelgaz, Mohamed Arkab au micro de Noureddine Himed de la radio Chaine 3, en marge d’une rencontre, organisée à Alger par l’association générale des entrepreneurs algériens (AGEA), sur la mise à niveau des entreprises.

La Sonelgaz compte maintenir cette dynamique de recouvrement de ses créances, en poursuivant ses efforts de sensibilisation en directions de ses clients industriels et particuliers.

Sonelgaz a réussi à recouvrer 27% de ses créances en 2018, déclare son DG Mohamed Arkab au micro de Noureddine Himed de la Ch.3

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Brexit: Les dirigeants de l’UE constatent l’absence de nouvelles propositions

Thu, 10/18/2018 - 21:52

Les 27 dirigeants de l’UE ont acté mercredi soir l’absence de percée dans les négociations sur le Brexit malgré la «bonne volonté» de Theresa May, qui s’est montrée ouverte sur l’idée d’une prolongation de la période de transition après le divorce.

Correspondance depuis Bruxelles de Habib Bensafi pour la radio Chaine 3

L’UE à 27  n’a pas reçu de nouvelles propositions de la Première ministre qui auraient permis de relancer des négociations dans l’impasse.

Le sommet extraordinaire évoqué au mois de novembre n’est pour l’instant pas planifié, a indiqué une source européenne à l’issue du sommet.

«Malgré des négociations intensives, il n’y pas eu assez de progrès enregistrés», a résumé cette source à l’issue du dîner entre dirigeants.

«Je ne m’attendais pas à une percée, et il n’y a pas eu de percée» sur le sort de la frontière entre l’Irlande et la province britannique d’Irlande du Nord, le point principal sur lequel les négociations échouent actuellement, a déclaré le chancelier autrichien Sebastian Kurz.

Le dirigeant dont le pays occupe la présidence tournante de l’UE, s’est toutefois dit «optimiste» sur une solution «dans les prochaines semaines ou mois».

L’UE attendait de Mme May des propositions «concrètes» et «créatives», avait dit le président du Conseil européen Donald Tusk à la veille de la réunion.

Elle ne les a pas obtenues. «Je n’ai pas constaté de nouveautés majeures», a dit le président du parlement européen Antonio Tajani, qui a assisté à l’intervention de la dirigeante britannique lors du sommet.

Theresa May a parlé une quinzaine de minutes devant ses pairs qui commencent à s’inquiéter face à la nécessité urgente de trouver un accord de divorce, prévu le 29 mars 2019, pour qu’il se déroule de façon ordonnée.

«Nous avons montré que nous pouvons trouver des accords difficiles ensemble et de façon constructive. Je reste confiante», a déclaré la Première ministre à ses collègues, selon son porte-parole.

«La dernière étape demandera du courage, de la confiance et du leadership des deux côtés», a-t-elle ajouté. A son arrivée à Bruxelles, devant les journalistes, elle avait martelé qu’un accord était «réalisable».

«On a la volonté collective d’avancer mais nous n’y sommes pas encore», avait pour sa part estimé le président français Emmanuel Macron. Pour la chancelière allemande Angela Merkel, l’accord est prêt à «90%» mais «il y a encore du travail devant nous».

«Calme et patience» ont été les maîtres mots du négociateur en chef de l’UE Michel Barnier à son arrivée au sommet. «Nous avons besoin de temps, de plus de temps» pour arriver à un compromis à la fois sur les conditions du divorce et sur la future relation, a-t-il souligné.

Ce sommet était initialement présenté comme un «moment de vérité». Mais les dernières discussions entre l’UE et Londres sont restées vaines, butant principalement sur la solution qui permettrait d’éviter le rétablissement d’une frontière physique entre l’Irlande et l’Irlande du Nord, afin de sauvegarder les Accords de paix de 1998.

Afin de débloquer les négociations, l’une des options serait d’accepter de prolonger d’un an, soit jusqu’au 31 décembre 2021, la période de transition suivant le départ officiel, ont indiqué des sources diplomatiques citées par des médias.APS

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Djamel Kaouane :La presse doit renforcer les valeurs de la paix et du vivre ensemble

Thu, 10/18/2018 - 21:51

Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a insisté jeudi à Mostaganem sur le rôle d’intermédiaire que doit assumer la presse pour renforcer les valeurs de paix, de dialogue et du  vivre ensemble.

A l’ouverture d’une conférence nationale sur le rôle des médias dans la consécration des valeurs du vivre ensemble en paix, Djamel Kaouane a souligné que la presse plurielle doit œuvrer avec professionnalisme pour offrir des tribunes d’expression libre et de débat responsable, rapprocher les points de vue et jeter les ponts de la connaissance et de l’acceptation  de l’Autre.

« Un tel climat aide le journaliste à faire preuve d’esprit de responsabilité et de respect de l’éthique de la profession dans la recherche de la véracité de l’information en se démarquant de la  propagande, de la rumeur, de la manipulation et des tendances qui favorisent la haine et la discorde », a souligné le ministre.

« La presse nationale a accompagné avec engagement et efficacité la démarche et le processus de paix initiés par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, et plébiscités par le peuple algérien, ce qui a permis l’ouverture d’une nouvelle ère de réconciliation et de renforcement  de la foi dans une Algérie stable qui prône cette valeur dans ses relations internationales », a-t-il rappelé.

Djamel Kaouane a estimé que le vivre ensemble en paix est un mécanisme nouveau qui renforce les acquis par une approche participative de tous les acteurs, à leur tête les journalistes, dans une démarche positive se démarquant de la subversion et de l’incitation à l’hostilité et à la haine.

« La participation constructive des médias à la promotion des valeurs de l’humanité, de la culture de la paix et de la tolérance, à l’ère de la mondialisation et des technologies modernes, contribue à la consolidation de la démocratie et des droits de l’homme et à la  concrétisation du développement durable », a-t-il ajouté à ce propos.

Cette conférence nationale, organisée à l’initiative du ministère de la Communication dans le cadre des festivités de la Journée nationale de la presse célébrée le 22 octobre de chaque année, enregistre la participation de spécialistes, de professionnels de la presse et d’universitaires, en présence du président de l’association mondiale soufie alaouie, cheikh Khaled Bentounes.

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Le DGSN s’entretient avec l’ambassadeur russe à Alger sur les moyens de renforcer la coopération policière

Thu, 10/18/2018 - 21:50

Le directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le Colonel Mustapha El-Habiri a examiné jeudi, avec l’ambassadeur de la Fédération de Russie à Alger, Igor Beliaev, les moyens de dynamiser  les mécanismes de renforcement de la coopération entre les polices, algérienne et russe, en matière de formation et d’entrainement, a indiqué un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).

La rencontre qui s’est déroulée au siège de la DGSN a constitué «une occasion pour les deux parties d’examiner les moyens de dynamiser les mécanismes de renforcement de la coopération policière entre les deux pays, notamment en ce qui concerne la formation et l’entrainement, la police  scientifique et technique et la lutte contre les différentes formes de criminalité», ajoute le communiqué.

Les domaines d’échange d’expériences et d’expertises professionnelles sur le terrain et les moyens de les consolider dans le cadre du rapprochement des vues entre les deux parties ont également été débattus», selon la même source.

L’ambassadeur russe a salué les efforts consentis par la police dans la lutte contre la criminalité sous ses différents aspects et en matière de préservation de la sécurité», conclut le document. APS

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APN: La Commission des Affaires juridiques confirme la vacance de la présidence de l’Assemblée

Thu, 10/18/2018 - 21:50

La Commission des Affaires juridiques, administratives et des libertés à l’Assemblée populaire nationale (APN) a confirmé, jeudi, « la vacance » du poste de président de l’APN, indique le président de cette commission, Amar Djilani.

M. Djilani a précisé dans une déclaration à la presse que « la Commission a élaboré un rapport confirmant la vacance du poste de président de l’APN lors d’une réunion consacrée à l’examen de la saisine qui lui a été adressée par le bureau de l’Assemblée, lequel avait déclaré mercredi la vacance du poste lors d’une réunion d’urgence ».

A l’issue de la réunion, la commission a indiqué dans son communiqué que « tous les éléments juridiques de l’état de vacance sont réunies pour incapacité du président de l’APN (Said Bouhadja) à assurer ses fonctions, du fait de son désaccord avec les députés et son refus de démissionner ».

« Ce cas de figure s’inscrit dans le cadre des dispositions légales prévues par l’article 10 du règlement intérieur de l’APN, lequel prévoit qu’en cas de vacance de la présidence de l’APN par suite de démission, d’incapacité ou d’incompatibilité ou de décès, il est procédé à l’élection du président de l’APN suivant les mêmes modalités prévues par le présent règlement intérieur dans un délai maximum de quinze (15) jours à compter de la déclaration de la vacance », précise le communiqué.

« le bureau de l’APN se réunit obligatoirement pour constater la vacance et saisir la commission chargée des affaires juridiques. Cette dernière élabore un rapport confirmant la vacance et le soumet en séance plénière au vote de la majorité des membres de l’Assemblée ».

Dans ce cas, « le vote est dirigé par le doyen des vice-présidents non candidat assisté des deux plus jeunes membres de l’Assemblée populaire nationale ». APS

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Emploi: lancement d’un projet de jumelage algéro-français

Thu, 10/18/2018 - 21:48

ALGER- Un projet de jumelage entre l’Agence nationale de l’Emploi (ANEM) et « Pôle emploi » (France), d’un montant de plus de 1,2 million d’euros, a été lancé jeudi à Alger dans le cadre du programme d’appui à la mise en œuvre de l’Accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne (P3A).

Il s’agit d’un projet de jumelage d’une durée de 24 mois, financé par l’UE, d’un montant de 1 240.000 euros et intitulé « Appui à la modernisation du service public de l’emploi ».

La mise en œuvre de ce projet permettra à l’ANEM de renforcer son offre de services, y compris les services à distance mis en place pour les usagers du service public de l’emploi, et consolider l’organisation et les outils dont elle dispose, afin d’assurer une meilleure capacité d’évolution de ses services.

Ce projet vise également à instaurer la démarche de l’ingénierie de formation comme méthode permettant le développement des compétences du personnel de l’ANEM.

A cette occasion, le directeur général de l’ANEM, Mohamed Arrache, a indiqué que ce projet de jumelage constitue « une première » pour son organisme et vise à renforcer l’échange d’expériences entre les deux parties (ANEM et Pôle emploi).

Il a affirmé que ce jumelage permettra à l’ANEM de concrétiser « un certain nombre d’objectifs », dont notamment, l’instauration de nouveaux instruments à travers l’acquisition de l’expertise de « Pôle emploi » en matière d’innovation et de nouveaux outils d’information devant améliorer la prestation de services au profit du demandeur de l’emploi et de l’employeur.

Le même responsable a estimé que ce projet sera d’un « apport positif » pour la continuité de la modernisation du service public de l’emploi.

Pour sa part, Mme Silvia Severi, chef des opérations de coopération de la Délégation de l’UE, a indiqué que ce nouveau jumelage « vient compléter les résultats déjà atteints par le Programme d’Appui au secteur de l’emploi 2012-2016 (PASEA) qui a permis la mise en place, notamment, d’un système d’information en réseau avec un équipement rénové ».

« Nous avons une douzaine de jumelages institutionnels actuellement en cours d’exécution dans plusieurs secteurs, dans le cadre programme d’appui (P3A), notamment celui portant insertion des personnes handicapées en milieu du travail, lancé en 2017 », a-t-elle relevé, tout en se félicitant du partenariat entre l’NEM et « Pôle Emploi ».

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Lancement d’une application mobile permettant d’alerter tout acte nuisible à l’environnement

Thu, 10/18/2018 - 21:15

Une application mobile, permettant aux citoyens d’alerter tout acte ou incident nuisibles à l’environnement, sera lancée fin novembre en Algérie, indique la ministre de l’Environnement et des Energies Renouvelables, Fatima Zohra Zerouati.

L’application baptisée « Biati » (mon environnement, Ndlr), entre « dans le cadre d’une approche participative incitant les citoyens à s’impliquer dans la protection de l’environnement et l’amélioration des conditions de vie », a souligné la ministre lors d’une journée d’études sur la numérisation de l’information liée à l’environnement.

L’utilisateur de l’application doit cliquer sur « signaler une anomalie » pour être redirigé vers un formulaire qu’il va remplir et appuyer avec des photos et une description de l’anomalie constatée dont il précisera le lieu exact. Une fois l’alerte envoyée, elle est aussitôt reçue par la Direction de l’environnement de wilaya qui va la traiter et l’envoyer directement aux autorités concernées.

L’application est téléchargeable sur Play Store, sur les appareils Androïd et IOS (iPhone).

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