The post La marche contre le 5e mandat a commencé à Alger ! [Vidéo] appeared first on .
Des centaines de manifestants ont défié l’important dispositif policier met en place, dès les premières heures de la matinée, pour dire non à ce mandat de trop.
The post Rassemblement contre le 5e mandat à la place 1er mai d’Alger ! appeared first on .
Ali Benflis a exprimé à Place Audin d’Alger son soutien à la marche prévue aujourd’hui contre le 5e mandat.
The post Ali benflis : « non au 5e mandat, non au 5e mandat ! « appeared first on .
Ancien officier de l’armée nationale et écrivain algérien le plus connu au monde (il est traduit en 56 langues et a vendu des millions d’exemplaires de ses livres), Yasmina Khadra suit attentivement la situation en Algérie alors que de nouvelles manifestations contre le régime sont attendues ce vendredi.
Aviez-vous senti, dès l’annonce d’une candidature à un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, que cela ne passerait pas ?
YASMINA KHADRA. Non, il faut être sincère, j’espérais ce mouvement, mais je ne l’attendais pas parce que les Algériens nous ont habitués à beaucoup de renoncements, de désistements, de démissions. Pendant des années j’ai écrit que l’Algérie avait renoncé. C’est un vrai bonheur aujourd’hui de m’apercevoir que je me trompais.
Pour l’instant le clan Bouteflika au pouvoir semble sourd et rigide vis-à-vis de la contestation ?
Non, il n’est pas rigide, il continue d’infantiliser le peuple algérien. Il croit pouvoir le berner comme il l’a fait par le passé en lui disant que dans neuf mois la vie sera améliorée. Mais le peuple algérien ne veut plus d’eux, il refuse leur « charité ». C’est un peuple intelligent qui a, c’est vrai, été sévèrement traumatisé par le terrorisme. Dans le livre « Qu’attendent les singes » (éditions Julliard 2014), j’écrivais déjà que la convalescence n’avait que trop duré. Aujourd’hui le peuple algérien se rétablit.
Ce mouvement est-il selon vous inarrêtable ?
Je n’en sais rien ! C’est imprévisible. D’autant qu’aucune alternative politique n’est prête. Il existe, je crois, 66 partis politiques en Algérie qui tous, à l’exception de quelques-uns comme le RCD (Rassemblement pour la culture et la démocratie) ou le FFS (Front des forces socialistes) et deux ou trois autres, sont pour la reconduction du régime. Je suis un passionné d’histoire et je ne connais pas d’exemple de dictateur ou d’empereur qui ait continué à régner tout en étant dans les vapes. Aucun régime au monde n’a produit une telle absurdité ! Sauf en Algérie.
Le régime a-t-il encore les ressources pour s’en sortir ?
Bien sûr. Les ressources sont du côté du régime. Il va tout faire pour essayer de calmer les esprits et continuer de régner sur les êtres et sur les choses. Mais les Algériens sont fatigués. Ils ne veulent plus voir leurs enfants traverser la Méditerranée sur des bateaux de fortune et mourir au large.
Pourquoi le régime n’a-t-il pas organisé la succession de Bouteflika ?
Parce que tout repose sur Bouteflika, que beaucoup de gens aiment toujours. C’est le talisman de ce régime car il a une légitimité historique. Les gens du clan autour de lui sont, eux, vomis par le peuple algérien. Ils ont atteint un tel niveau de stupidité qu’ils ne savent même plus ce qu’ils disent. Il faut les écouter débiter des âneries quand ils sont sur des tribunes !
Y a-t-il des failles possibles dans le soutien de l’armée au régime ?
Je ne le pense pas car cela fait vingt ans que le régime a corrompu jusqu’aux consciences. Pour l’instant, le chef d’État-major et son entourage immédiat pourraient faire le jeu d’apaisement du gouvernement. Mais si ce même État-major venait à donner l’ordre à l’armée de se dresser contre le peuple il ne serait pas obéi car ce n’est pas l’intérêt de l’armée.
La seule évolution ne peut donc venir que du peuple ?
Oui, c’est le peuple qui peut changer les choses, et il le sait.
Redoutez-vous la violence ?
Le pouvoir est capable de la provoquer : dans un sursaut de désespoir absolu, il va faire en sorte que les choses dégénèrent pour renvoyer le peuple au plus profond de ses traumatismes. Mais je souhaite de tout mon cœur que le peuple ne tombe pas dans ce piège.
La présence des islamistes ne complique-t-elle pas la situation ?
Vous savez, il faut vraiment connaître l’Algérie pour comprendre que l’islamisme n’a été qu’une manœuvre politicienne. Une horrible et effarante manœuvre politicienne. Aujourd’hui il existe quelques sectes, que j’assimile à un repli sur soi, de gens qui veulent divorcer d’avec la société. Mais ils n’ont plus cette force de frappe et de nuisance qu’ils avaient dans les années 1990. Parce que le peuple algérien ne leur pardonnera jamais les atrocités qu’ils ont commises. Les islamistes ne sont là que pour faire peur au peuple algérien et ils ne sont là que grâce au régime algérien. C’est un atout majeur dans son jeu.
Même si vous vivez en France, votre lien avec l’Algérie est toujours très fort ?
Oui bien sûr. L’Algérie c’est ma maladie, cela a toujours été ma maladie…
Drôle de formule pour parler de son pays !
C’est ma maladie car je l’aime atrocement. Je souffre à cause de l’Algérie. Un pays qui a sacrifié tellement de braves n’a pas le droit de baisser les bras. Ne pas croire, c’est mourir. Il faut donc que ce peuple algérien continue de croire pour ne pas mourir.
Le Parisien
The post Yasmina Khadra: « Le peuple peut changer les choses » appeared first on .
Des centaines de personnes ont commencé ce vendredi matin à marcher dans les rues de Bouira et tiaret, contre le 5e mandat.
The post Les premières manifestations anti-5e mandat commencent à Tiaret et Bouira (vidéos) appeared first on .
Le chef de la zone autonome d’Alger Yacef Saadi est encore en vie !
Yacef Saadi a fêté ses 91 ans le 20 janvier dernier. “Il se porte très bien”, assure son frère.
Nous avons dépublié l’information. Nous nous excusons pour cette méprise auprès de Yacef Saadi, sa famille et de nos aimables lecteurs.
The post Yacef Saadi est bel et bien vivant ! appeared first on .
Ce vendredi matin, la capitale est déjà très bien quadrillée. Polices comme gendarmeries ont déjà pris place sur les grandes artères de la ville.
Au centre ville d’Alger des camions de CRS sont déployés sur tous les grands axes : Didouche Mourad, Larbi Ben M’hidi, Boulevard Zigoud Youcef et le Boulevard Mohamed 5 . Les routes menant vers les institutions importantes comme la Présidence ou le Palais du gouvernement sont particulièrement surveillés.
De la Grande Poste Square au s’alignent les fourgons des forces de sécurité. Des camions à eau sont alignés aussi.
The post Manifestations anti-5e mandat: la capitale sous haute surveillance ! [Images] appeared first on .
Amnesty International a appelé hier soir les forces de l’ordre à la « retenue » contre ceux qui manifestent contre la candidature de Bouteflika à la présidentielle du 18 avril, quelques heures avant de nouvelles manifestations annoncées.
Depuis une semaine, le pays est le théâtre d’un mouvement massif de contestation, essentiellement pacifique, contre la perspective d’un 5e mandat de Bouteflika, au pouvoir depuis 1999.
« Tandis que la tension monte en même temps que la contestation, les forces de sécurité algériennes doivent s’abstenir de recourir à une force excessive ou inutile pour disperser des manifestants pacifiques », souligne l’ONG de défense des droits humains dans un communiqué, à la veille de nouvelles manifestations annoncées demain à travers le pays. « Le monde a les yeux braqués sur l’Algérie et la façon dont le gouvernement choisira de répondre à ces manifestations sera un indicateur crucial de la force de son engagement à respecter les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique », estime Amnesty.
Amnesty précise que la police ne doit utiliser la force « qu’en dernier recours et, même à ce moment-là, elle doit être proportionnée et absolument nécessaire ». L’ONG ajoute que les arrestations arbitraires ou poursuites de manifestants « représenterait une violation flagrante du droit à la liberté d’expression et de réunion » et appelle les autorités à « veiller à ce que les journalistes soient en mesure d’effectuer librement leur travail autour de ces événements, sans qu’une censure soit exercée sur leur couverture médiatique ».
The post Marches contre le 5e mandat: le amnesty appelle les forces de l’ordre de faire preuve de retenue ! appeared first on .
Après Paris, Londres et Montréal, la communauté algérienne établie au Kansas et au Missouri, aux États-Unis, rejoint le mouvement populaire de rejet du 5e mandat du président Bouteflika et du système politique. Elle compte organiser un rassemblement citoyen le 10 mars prochain.
Pour ce faire, une réunion préparatoire aura lieu samedi, a-t-on appris auprès des initiateurs de l’action de protestation. “Ayant la conviction que l’émigration algérienne à travers l’histoire a toujours été l’amorce et le déclencheur des grands mouvements historiques, la communauté algérienne au Kansas et au Missouri adhère, corps et âme, au combat pour la liberté et la dignité”, affirme le comité organisateur dans un communiqué répercuté sur les réseaux sociaux.
The post Rejet du 5e mandat et du système : Les Algériens du Kansas et du Missouri rejoignent la contestation appeared first on .
Par Tighilt Kouceila
Le premier responsable de la wilaya a tenu à rappeler, à l’occasion, que la wilaya de Tizi Ouzou a reçu, entre 2000 et 2018, un montant de 26 000 milliards de centimes, soit un montant de 4 milliards de dollars.
Le wali de Tizi Ouzou a effectué avant-hier une longue tournée dans les deux daïras montagneuses d’Ath Yenni et d’Ath Ouacif pour promettre plein de choses aux populations des communes reculées d’Ath Yenni, Iboudrarène, Ath Ouacif, Ath Boumahdi et Ath Toudert.
Une telle virée en haute Kabylie s’apparente, en fait, à une véritable sortie préélectorale, puisque le premier responsable de la wilaya a tenu à rappeler, à l’occasion, que “la wilaya de Tizi Ouzou a reçu entre 2000 et 2018 un montant de 26 000 milliards de centimes, soit 4 milliards de dollars, dont 1142 milliards du Fonds de la caisse de solidarité et de garantie des collectivités locales (ex-FCCL) qui, dit-il, dormaient malheureusement dans les caisses de la wilaya”.
À Ath Yenni, première escale de sa visite, Abdelhakim Chater a tenu à déposer une gerbe de fleurs sur la tombe de l’illustre écrivain Mouloud Mammeri, comme il a visité le projet de réhabilitation de l’auberge le Bracelet d’argent, dont le taux d’avancement est estimé à 70%, alors que sa réception est normalement prévue pour la fin avril.
Dans la même commune, le wali a également visité le projet de réalisation d’une salle omnisports pour un montant de vingt milliards de centimes et dont la réception est prévue en juin. Sur place, le wali a insisté sur le développement local dans “les communes montagneuses qui doivent bénéficier de leur part de projets, notamment dans le secteur de la jeunesse qui permet à nos jeunes de s’épanouir et d’éviter de s’adonner à d’autres pratiques nocives qui ne sont pas utiles pour la société et pour la famille”.
À Iboudrarène, où il a procédé à l’inauguration d’une agence postale, le wali a été interpellé par des citoyens de la localité sur le cas des 53 locaux pour jeunes non encore distribués, mais aussi sur le projet délaissé des logements APC-Cnep dont le taux d’avancement est à peine de 20%.
Sur-le-champ, le wali a instruit les autorités locales pour accorder un intérêt particulier aux jeunes promoteurs Ansej, Cnac et Angem qui doivent bénéficier, en priorité, de ces locaux destinés à cette frange, alors que, concernant les logements APC-Cnep, il a précisé que la situation de ces logements sera prise en charge d’une manière globale, car il pense que cette formule connaît une certaine souffrance à l’échelle de la wilaya. À Ath Boumahdi, où plusieurs points ont été soulevés par la population, comme les nuisances causées par l’invasion sauvage du singe magot, le wali a affirmé qu’une enveloppe de trois millions de dinars a été débloquée afin de construire des points d’eau et de nourriture à cette espère d’animaux protégée par la loi afin de la maintenir loin des habitations.
Dans cette même commune, le wali a assisté à la mise en service d’un nouveau réseau de gaz naturel au profit de 416 foyers, alors qu’à Ath Toudert, la délégation de la wilaya a visité le projet de réalisation du nouveau lycée dont la réception est attendue pour la rentrée scolaire de septembre prochain.
The post Le wali de Tizi Ouzou en visite à Ath Yenni et Ath Ouacif : Une tournée aux relents électoralistes appeared first on .
Par B. Nacer
La station de traitement du barrage d’Ourkis, en cours de réalisation, sera opérationnelle en avril prochain, avons-nous appris auprès du chef de service AEP à la direction des ressources en eau de la wilaya, Nacer Mokhnache.
Le traitement qui se fait actuellement par une station monobloc avec 50 000m3 par jour, sera de 70 000 m3 une fois la station mise en service, sur deux filières pour alimenter régulièrement les villes de Aïn M’lilaz, Aïn Fakroun, Aïn Kercha, Oum El-Bouaghi et Aïn Beïda en plus du renforcement de la commune de Berriche à partir du réservoir de 20 000m3 de Aïn Beïda.
L’eau, a-t-il ajouté, sera disponible H/24 à Oum El-Bouaghi dès la fin mars et quotidiennement dans toutes les communes de la wilaya en avril.
B. NACER
The post Barrage d’Ourkis (Oum El-Bouaghi) : La station de traitement mise en service en avril appeared first on .
Par Ines Boukhalfa
Durant ces deux journées, il y aura un programme riche en workshops, ateliers thématiques et techniques ainsi que des rendez-vous B to B entre les deux pays
La CCIAF (Chambre de commerce et d’industrie algéro-français) a organisé, ces deux derniers jours, la première édition des rencontres algéro-françaises de la pharmacie et des équipements de santé à l’hôtel Marriott de Constantine.
Pour ces deux journées professionnelles, la CCIAF, en partenariat avec French Healthcare, a regroupé plus de 100 entreprises algériennes privées et publiques qui opèrent dans le secteur pharmaceutique et des équipements de santé.
“Cette première réunion est dédiée à l’industrie pharmaceutique, dont l’objectif est de promouvoir les opportunités de partenariat et d’investissement dans le secteur de la santé et des équipements de santé qui est un secteur stratégique et en plein essor. Ce n’est pas par hasard si nous sommes à Constantine, mais parce que cette région connaît aujourd’hui le plus de développement de l’industrie pharmaceutique et l’industrie de santé au sens large, que ce soit dans le secteur privé ou public”, affirme Réda El-Baki, directeur général de la CCIAF.
Le même responsable ajoute qu’“à travers l’organisation de cette rencontre nous allons faire découvrir les opportunités dont dispose Constantine aux entreprises françaises et permettrons à ces dernières de prendre conscience des potentialités du marché algérien, notamment dans le secteur pharma et santé. Le plus important pour nous est que les entreprises françaises et algériennes puissent se parler, qu’elles puissent voir s’il y a des potentialités de travailler ensemble”.
Par la même occasion, M. El-Baki a tenu à préciser que “les entreprises françaises peuvent venir s’installer avec des partenaires algériens pour produire localement dans ce domaine”. Durant ces deux journées, il y aura un programme riche en workshops, ateliers thématiques et techniques ainsi que des rendez-vous B to B entre les deux pays. Signalons que la CCIAF est une association agréée par l’État depuis 2011, avec pour mission statutaire de faciliter, de promouvoir et de développer la mise en relation entre les entreprises des deux pays.
Selon le communiqué de la CCIAF, celle-ci “compte aujourd’hui 2000 entreprises adhérentes regroupées en 28 secteurs d’activités, dont 205 entreprises françaises implantées sur les 240 recensées, et 1795 entreprises algériennes dont 400 représentent des marques ou produits français”. Notons que 45% des adhérents sont dans le secteur de l’industrie et 55% dans les commerces et services. Avec un chiffre d’affaires avoisinant 2 milliards d’euros, la CCIAF emploie plus de 210 000 salariés sur le territoire national.
Le même document mentionne que la CCIAF “fournit des services aux entreprises françaises et algériennes, notamment l’information économique et réglementaire sur l’Algérie, la mise en relation d’affaires, la diffusion d’opportunités d’affaires et de partenariat. L’échange, la confrontation des besoins et des propositions entre les chefs d’entreprise français et algériens sont les objectifs de cette première rencontre avec pour résultat attendu la conclusion d’accords de partenariats industriels”.
Par ailleurs, M. El-Baki fait savoir que dans le but de valoriser ce lien concret avec les entreprises et le marché, “nous organisons différentes activités”. “Il n’y a pas que la santé, la semaine prochaine nous serons sur le pétrole à Oran, l’agriculture à Annaba au mois de juin, etc., donc l’objectif pour nous est de sensibiliser les entreprises aux opportunités qui existent”, conclut-il.
The post Rencontre Algéro-Française de la pharmacie à Constantine : Des opportunités de partenariat à promouvoir appeared first on .
Par Loukil D
L’inspection interne de la pharmacie centrale a découvert qu’au service infectieux un manque de 126 boîtes d’antirétroviraux a été constaté.
Une nouvelle affaire de vol de médicaments au CHU d’Oran, en l’occurrence des antirétroviraux destinés aux personnes porteuses du VIH, et d’un potentiel trafic a été découverte mardi après-midi. En effet, tout a démarré de manière fortuite, lorsque des agents des forces de l’ordre, en faction au barrage fixe de la police faisant face à la maison d’arrêt de M’dina J’dida, ont aperçu le comportement suspect d’un véhicule et de deux personnes.
Une femme portant des sacoches de plastique qu’elle remettait à un individu, s’empressant de les cacher dans le coffre de sa voiture. Intrigué, l’officier de police est intervenu et découvrira que les sacs en question contenaient une cinquantaine de boîtes de médicaments antirétroviraux, qui sont justement en rupture de stock dans l’établissement hospitalier et au service infectieux.
Conduite au commissariat, la dame indiquera être une femme de ménage exerçant au service infectieux et que c’est une collègue, ancienne femme de ménage, qui lui aurait demandé de remettre les sacoches de médicaments à l’individu qui l’attendait. Les enquêteurs qui se sont rendus au service infectieux ont interpellé la seconde femme pour être entendue. La direction du CHUO que nous avons jointe nous a confirmé les faits et l’affaire.
Le chargé de communication indique qu’une plainte de la DG de l’hôpital a été déposée au commissariat de la 1re sûreté, ainsi qu’une enquête administrative immédiatement enclenchée. L’inspection interne de la pharmacie centrale a déjà découvert qu’au service infectieux un manque de 126 boîtes d’antirétroviraux a été constaté. Une seule boîte de ces médicaments coûte aux alentours de 5000 DA et même plus.
Cette affaire, qui n’a pas encore abouti à la découverte de toutes les implications, met en relief justement la situation des malades porteurs du VIH, qui souffrent de la rupture des stocks de médicaments et ne peuvent plus se soigner. En début d’année, une association de malades avait dénoncé, lors d’un point de presse, les pénuries récurrentes des antirétroviraux au service infectieux du CHUO. Une commission ministérielle avait été envoyée.
Désormais, la direction du CHUO souhaite qu’une nouvelle commission vienne contrôler le service infectieux et la gestion des médicaments. Est-ce que cette énième commission mettra fin, pour une fois, à ces scandales de trafic de médicaments destinés aux malades ?
The post Deux personnes entendues et une enquête en cours : Vol d’antirétroviraux au CHU d’Oran appeared first on .
Par CHENAOUI AHMED
Les habitations des deux localités rurales de Kouadri et de Mgharsa dans la wilaya de Aïn Defla sont enfin raccordés au réseau de gaz naturel. La joie des bénéficiaires (100 familles à Kouadri et 300 autres à Mgharsa) de cette source d’énergie était indescriptible le jour où il a été procédé à la mise en service du réseau en question, en début de semaine, par le wali qui était accompagné des autorités civiles et militaires de la wilaya. “Cela fait des années que nous attendions ce jour que nous considérons comme une véritable fête que nous devons impérativement célébrer. Nous vivions, plusieurs fois dans l’année, le calvaire de la pénurie de gaz butane, particulièrement durant la période hivernale. Mais avec l’arrivée du gaz naturel, toutes nos préoccupations à ce sujet feront partie désormais du passé”, racontent avec satisfaction plusieurs familles bénéficiaires dans les deux localités.
Selon nos sources, la réalisation de ce réseau dont la conduite est estimée à 7,2 km a coûté, au total, 13 milliards de centimes (65% du budget de la wilaya et 35% à la charge de Sonelgaz). Toujours d’après nos sources, seules 9 communes des 36 que compte la wilaya ne sont pas encore raccordées au réseau de gaz naturel. “Mais deux d’entre elles, à savoir Bathia et Tarek-Ibn Zyad ne tarderont pas à être raccordées au même réseau, car les travaux relatifs à la réalisation des conduites pour son acheminement vers les habitations concernées sont actuellement en cours et battent leur plein.
Des travaux similaires sont également lancés pour faire bénéficier de la même source d’énergie un total de 4913 familles notamment à Oued Zeboudj, Zenbadra, Aïn Eddem et Djababra”, ajoutent encore nos sources. Celles-ci indiquent aussi que pour ce qui est des chefs-lieux des communes d’El-Hoceïnia, El-Maïene, Oued Chorfa, Birbouche et Djemaâ Ouled Cheïkh (7125 foyers) qui figurent parmi les 9 communes qui ne sont pas raccordées en gaz naturel, le choix des entreprises qui prendront en charge la réalisation de réseaux de gaz de ville est déjà fait, et les travaux seront incessamment lancés. “Une fois les chefs-lieux de communes raccordés définitivement, la couverture en gaz naturel sera dans toute la wilaya”, indiquent enfin nos sources.
AHMED CHENAOUI
The post Aïn Defla : Du gaz naturel pour les foyers de Kouadri et Mgharsa appeared first on .
Les postulants à la candidature à l’élection présidentielle, Abdelhakim Hamadi et Ali Zeghdoud ont déposé, jeudi après midi, au Conseil constitutionnel leurs dossiers de candidature.
M. Hamadi est ainsi le deuxième candidat à formaliser sa candidature pour l’élection présidentielle du 18 avril prochain avant la clôture de la période de dépôt de dossier fixée au 3 mars à minuit.
Dans une déclaration à la presse, au terme du dépôt de son dossier de candidature, M. Hamadi a indiqué qu’il avait présenté un dossier complet comme le dispose la loi, rappelant qu’il avait déjà déposé un dossier de candidature à l’élection présidentielle en 2014.
Le président du parti du Rassemblement algérien (RA), Ali Zeghdoud est le premier à déposer son dossier au Conseil constitutionnel avant la clôture de la période de dépôt de dossier de candidature fixée au 3 mars à minuit.
La déclaration de candidature à la présidence de la République doit satisfaire certaines conditions prévues par la Constitution et la loi organique relative au régime électoral.
Outre un dossier administratif contenant les renseignements du postulant, ce dernier doit notamment présenter soit une liste comportant aux moins 600 signatures individuelles de membres élus d’assemblées populaires communales, de wilayas ou parlementaires et réparties, au moins, à travers 25 wilayas, ou bien une liste comportant 60.000 signatures individuelles, au moins, d’électeurs inscrits sur une liste électorale.
La demande est aussi accompagnée d’un dossier comportant plusieurs pièces notamment une déclaration sur l’honneur attestant que l’intéressé possède uniquement la nationalité algérienne d’origine et qu’il n’a jamais possédé une autre nationalité, une déclaration sur l’honneur attestant de sa confession musulmane, un certificat de nationalité algérienne d’origine du conjoint de l’intéressé et une déclaration sur l’honneur attestant que le conjoint jouit uniquement de la nationalité algérienne.
Elle doit comporter également un certificat de nationalité algérienne d’origine du père et de la mère de l’intéressé, une déclaration sur l’honneur attestant la résidence exclusive, en Algérie, pendant 10 ans, au moins, sans interruption, précédant immédiatement le dépôt de candidature de l’intéressé, une attestation de participation à la révolution du 1er novembre 1954 pour les candidats nés avant le 1er juillet 1942 et une attestation de non implication des parents du candidat, né après le 1er juillet 1942, dans des actes hostiles à la révolution. APS
The post Présidentielle 2019: Ali Zeghdoud dépose son dossier de candidature auprès du Conseil constitutionnel appeared first on .
Un voyageur algérien a été arrêté en possession d’une somme d’argent en devises d’une valeur de 40 000 euros par les agents de la garde douanière de Sousse, au niveau de l’autoroute A1.
Selon ces services, cet individu a reconnu avoir importé ces devises à partir de l’Algérie sans avoir déposé une déclaration auprès des services douaniers au poste frontalier.
Ainsi, après les aéroports d’Alger, de Constantine et d’Oran, les circuits organisés dans la fuite des capitaux tissent de nouvelles filières par voie terrestre.
The post Il a trompé la vigilance des services des douanes : Un Algérien arrêté à Sousse avec 40 000 euros appeared first on .
Un gang composé de 13 individus, dont 8 femmes, a escroqué 1 157 personnes dans le Grand-Alger.
Selon l’enquête menée par la section de recherche de la Gendarmerie nationale de Bir Mourad Raïs, les victimes ont été flouées par une société qui activait sur le réseau social facebook et qui proposait plusieurs services, dont l’achat de véhicules, les annonces publicitaires, les voyages à l’étranger et la vente de produits électroménagers.
Lors des perquisitions, les enquêteurs sont tombés sur 800 dossiers administratifs en cours de traitement.Autrement dit, ce gang s’apprêtait à escroquer d’autres clients.
Alors que la tête du réseau est en fuite en Europe, les 13 individus arrêtés ont été traduits devant la justice et placés sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs, escroquerie, fraude fiscale, abus de confiance, non-dénonciation et usurpation d’identité.
The post Le gang activait sur Facebook : Plus de 1 150 personnes escroquées à Alger appeared first on .
Lakhdar Bouherroud du MSP a estimé que le Gouvernement « était censé présenter sa Déclaration de politique générale vers la fin de l’année 2018 et non en cette conjoncture électorale, d’autant que nous avons eu droit à la présentation de réalisations accomplies en 20 ans, comme si nous étions en train d’examiner un programme électoral ».
Estimant que cette Déclaration de politique générale « ne vise qu’à camoufler la faiblesse de l’économie nationale marquée par la réduction de la dépense publique, le recours à la planche à billets, la hausse de l’endettement interne, le gel des salaires et la suspension du recrutement avec tout ce que cela induit en termes de hausse de l’inflation et de progression du marché parallèle », le même député s’est étonné du fait que le document n’évoque pas le phénomène de corruption, ni « les effets négatifs » de la dette interne sur l’économie.
De son côté, le président du Groupe parlementaire du Front El-Moustakbal,Hadj Belghouti, a indiqué que la programmation de cette présentation en ce moment précis imprime à cette Déclaration de politique générale « le ton d’une campagne électorale, à laquelle il ne fallait pas impliquer le Parlement ».
Il a ajouté que le Front El-Moustakbal tout en reconnaissant les réalisations accomplies dans divers domaines, s’interroge sur « la signification de tous les chiffres avancées ».
Pour ce député les questions à poser sont plutôt: « le niveau de vie a-t-il baissé? », « le rendement des entreprises s’est il amélioré? », les délais et les coûts de réalisation sont-ils maitrisés?, « quelle est la valeur réelle de notre monnaie nationale et quelles sont les raisons de sa régression? », »quelles sont les raisons du suicide de nos enfants en mer? » et « les causes de la poursuite des déséquilibres régionaux… », affirmant que « si le Gouvernement ne peut pas répondre à ces questions, c’est qu’il ne présente qu’un inventaire et non une évaluation et partant, il est dans une logique de justification de l’injustifiable ».
Abondant dans le même sens, le président du Groupe parlementaire de l’Union Nahda-Adala-Bina, Slimane Chenine, a affirmé que la éclaration de politique générale « a été programmé avec des intentions électoralistes », fustigeant dans ce sens, la progression de la corruption et du « népotisme » même dans des secteurs sensibles.
Le président du groupe parlementaire du PT, Djelloul Djoudi a estimé, pour sa part, que la programmation de la présentation de la déclaration de la politique générale du gouvernement, au moment où le pays connait des manifestations pacifiques pour le « changement », était une « provocation », en ce sens, a-t-il dit, que les « données qu’elle contient ne contrastent pas avec le vécu de la majorité des algériens ».
« On ne peut déguiser la réalité avec des chiffres sans aucune relation avec la réalité », a-t-il ajouté, estimant qu’il est « inconcevable d’avancer le recul des cours du pétrole pour justifier cette situation, la crise étant politique ».
Après avoir reconnu les « réalisations accomplies dans le domaine de l’habitat et certaines réalisations dans le secteur du bâtiment, des travaux publics et de l’hydraulique », le représentant du PT a dénoncé « le pouvoir de l’argent dans la politique, la corruption, la politique d’austérité imposée au peuple, le système fiscal inique, le recul du pouvoir d’achat, le chômage et le gel des projets et des recrutements ».
A noter que le groupe parlementaire du MPA s’est absenté, tandis que le groupe du FFS a décidé de boycotté le Parlement depuis le début de la présente session.
Le Premier ministre devra répondre jeudi aux questions des députés.
The post L’Opposition remet en cause les chiffres avancés dans la Déclaration de Politique générale appeared first on .
Vingt orpailleurs ont été arrêtés et 12 groupes électrogènes, ainsi que 10 marteaux piqueurs et deux détecteurs de métaux ont été saisis lors d’opérations distinctes menées par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP) à Djanet, Tamanrasset et Bordj-Badji Mokhtar, indique jeudi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des détachements de l’ANP ont arrêté, lors d’opérations distinctes menées à Djanet (4ème Région militaire), Tamanrasset et Bordj-Badji Mokhtar (6ème Région militaire), vingt (20) orpailleurs et saisi douze (12) groupes électrogènes, dix (10) marteaux piqueurs et deux (2) détecteurs de métaux », précise le communiqué.
Dans le même cadre, des détachements combinés de l’ANP « ont arrêté, lors de deux opérations distinctes menées à Tlemcen et Oran (2ème Région militaire), huit (8) narcotrafiquants et ont saisi 146 kilogrammes de kif traité et trois (3) véhicules touristiques », note la même source.
The post 20 orpailleurs arrêtés par des détachements de l’ANP dans l’extrême sud du pays appeared first on .
La 17ème édition du Festival culturel national du film amazigh (FCNFA) s’est ouvert jeudi au théâtre régional Kateb Yacine de Tizi-Ouzou, en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, et des autorités locales.
La cérémonie d’ouverture qui s’est déroulée au théâtre régional Kateb Yacine a été marquée par la projection du court métrage « Banc Public » du défunt Djamel Allam, auquel est dédiée cette édition. Un film produit en 2012 et honoré de l’Olivier d’or de sa catégorie à la 13ème édition du FCNAFA.
Lors de son allocution d’ouverture, le ministre s’est félicité de la tenue de cette 17ème édition qui, a-t-il estimé « consacre le dynamisme culturel », qui caractérise la wilaya de Tizi-Ouzou, en annonçant à l’occasion, la
disposition de son département à apporter toute l’aide et le soutien nécessaire pour la réussite de ces manifestations culturelles.
« Nous avons décidé d’apporter d’avantage d’aide, dans la mesure du possible, aux différentes manifestations culturelles organisées ici à Tizi-Ouzou, une ville qui respire la culture », a-t-il indiqué, annonçant, à l’occasion, la décision de prendre en charge l’aménagement en moyens logistiques et techniques du théâtre de verdure « pour être opérationnel vers le mois de ramadhan ».
Pour sa part, le commissaire du festival, Amar Tribèche, a considéré que ce festival constitue « une fête du cinéma amazigh qui représente beaucoup pour les algériens et les amazighs où qu’ils se trouvent », et constitue aussi « un espace de rencontres où s’échangent les expériences des uns et des autres ».
Vingt-trois productions, 4 longs métrages, 10 courts métrages, 6 films documentaires et trois d’animation dans différentes variantes amazighs : kabyle, chaouie et mozabite, sont prévues en compétition pour l’Olivier
d’or, la plus haute distinction de ce festival qui s’étalera jusqu’au 4 mars prochain.
Les séances de projections des films en lice dans cette manifestation se dérouleront à la grande salle de la Maison de la culture Mouloud Mammeri, à raison de trois séances quotidiennes, dont une la matinée et deux
l’après-midi.
Quatre (4) conférences sur le cinéma animées par Salim Aggar, Saïd Ould Khelifa, Ali Mouzaoui et Ahmed Bedjaoui, sont également, prévues lors de ce festival.
The post Tizi-Ouzou : ouverture de la 17ème édition du festival culturel national du film amazigh appeared first on .