Pour le ministre de l’Energie, «beaucoup de progrès» ont été réalisés dans le secteur des hydrocarbures en Algérie. Toutefois, il estime que le processus de la digitalisation du secteur nécessite d’être développé davantage afin d’«atteindre les objectifs du secteur de l’énergie».
Le secteur des hydrocarbures en Algérie a enregistré «beaucoup de progrès». C’est du moins ce qu’a affirmé le ministre du secteur, Mustapha Guitouni, lors d’une rencontre sur la digitalisation dans le secteur des hydrocarbures, organisée, hier, par Sonatrach au siège de la compagnie, à Alger. Pour illustrer ses dires, il cite, entre autres, les domaines de la sismique à trois dimensions, du traitement sismique, du forage horizontal, des diagraphies, de la modélisation de réservoir et du contrôle des installations.
Néanmoins, poursuit-il, «il nous reste beaucoup à faire dans le domaine d’imagerie du sous-sol, de la maintenance préventive et de l’optimisation des processus industriels et de gestion».
Le ministre de l’Energie estime que le processus mis en place pour la digitalisation du secteur des hydrocarbures dans notre pays est encore lent. Selon lui, des efforts restent ainsi à consentir pour développer davantage cette digitalisation dans le secteur.
«Une numérisation réussie dans les cours de métier comme la sismique ou la modélisation de réservoir aidera à atteindre les objectifs du secteur de l’énergie», explique-t-il.
Insistant sur l’intérêt du développement du processus de la digitalisation dans les hydrocarbures et leur production, il rappelle ainsi les objectifs de son secteur qui ciblent particulièrement à améliorer le taux de succès de l’activité d’exploration, à augmenter les réserves récupérables dans des gisements en exploitation, à optimiser des chaînes gazières et pétrolières et à en réduire les coûts d’exploitation. Même le volet environnemental n’est pas exclu puisqu’il y va de la protection de l’environnement.
Ry. N.
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L’ancien ministre de l’agriculture et actuel député du FLN, Sid Ahmed Ferroukhi, vient d’annoncer sa démission, rapporte le quotidien arabophone El Bilad dans son édition en ligne.
Le député a choisi d’annoncer sa démission via une publication Facebook.
Le ministre explique que le « vent de changement » qui souffle actuellement sur l’Algérie l’a poussé à quitter sa place de député.
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L’ordre des avocats de la région de Constantine (ORAC), un bâtonnat qui chapeaute les Cours de justice de quatre wilayas de l’Est du pays à savoir, Constantine, Skikda, Jijel et Mila, a décidé, aujourd’hui lundi, de suspendre, à partir de mercredi prochain, toutes leurs activités judiciaires auprès des Cours et tribunaux de justice et ce, jusqu’à nouvel ordre.
Cette action, explique l’ORAC dans un communiqué, «exprime notre rejet d’un cinquième mandat» du Président Abdelaziz Bouteflika.
L’ORAC qui dénonce par ailleurs «le viol de la constitution et des lois de la république», annonce également la tenue de rassemblements devant les Cours de justices dans les quatre wilayas, jeudi prochain, à Midi.
Kamel Ghimouz
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Le rassemblement pour la culture et la démocratie considère que «la lettre lue par le directeur de campagne du chef de l’Etat, spoliant l’opposition de son projet pour mieux le pervertir résonne comme une insulte de plus, une insulte de trop à l’intelligence collective du peuple algérien».
Dans un communiqué rendu ce lundi public, le RCD estime en effet que «l’opération de dépôt des dossiers de candidatures à l’élection du 18 avril a fini d’avilir l’ensemble des institutions officielles».
Il relève que «le viol de la constitution perpétré par la candidature illégale du chef de l’Etat est doublé d’un dépassement des procédures formelles exigées par le conseil constitutionnel».
Le RCD cite l’exemple d’«un général à la retraite délègue sa signature à son ‘’coordonnateur’’ de campagne ouvrant la voie à un candidat officiel impotent et hospitalisé à l’étranger depuis une semaine».
Aussi, «un hurluberlu, mystificateur de la jeunesse, délègue son homonyme pour déposer des signatures collectées sur son nom. Les Algériens sont humiliés. Aucun peuple, aucun groupe social, aucune personne ne peut accepter de supporter autant de mépris».
En ces heures critiques, graves et pourtant pleines d’espoir, poursuit le parti de Mohcine Belabbas, «le RCD en appelle à l’ensemble des forces politiques et sociales conscientes des enjeux et soucieuses d’offrir au pays les issues qui redonnent au peuple le libre choix de son destin».
Il s’agit, conclut-t-il, «de nous hisser au-delà des affiliations claniques, des tentations de carrières et des calculs opportunistes pour être à la mesure de l’extraordinaire élan de dignité et de témoignage de solidarité que nous prodigue notre jeunesse».
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Le ministre des Affaires étrangères, M. Abdelkader Messahel prendra part, les 5 et 6 mars prochains au Caire, aux travaux de la 151e session ordinaire du Conseil de la Ligue arabe au niveau ministériel, a indiqué, lundi, un communiqué du ministère.
Cette session dont les travaux se tiendront au siège du secrétariat général de la Ligue Arabe, débattra des « derniers développements de la situation dans la région, notamment la question palestinienne ainsi que la situation en Libye, en Syrie et au Yémen ».
La session débattra, entre autres, de la promotion de l’action commune arabe et de thèmes à caractère international, à l’instar du terrorisme international et évaluera les relations arabes avec les groupements internationaux et régionaux, ajoute la même source.
Le chef de la diplomatie algérienne participera également, mardi au Caire, aux travaux de la réunion ministérielle tripartite (Algérie- Egypte- Tunisie) sur la Libye, et ce, après la réunion tripartie organisée à Alger le 21 mai 2018 pour débattre des derniers développements survenus dans ce pays frère, a conclu la même source.
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ALGER – Le projet de loi relatif aux activités nucléaires, présenté lundi à l’Assemblée populaire nationale (APN), vise à définir le cadre législatif et réglementaire des activités liées à la recherche, la production et la création d’une Autorité gouvernementale qui sera chargée de cette mission.
Présenté par le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, lors d’une séance plénière présidée par, Mouad Bouchareb, président de l’APN, le projet de texte a pour objectif d’assurer la protection de la santé humaine, de l’environnement contre les nuisances potentielles liées à l’utilisation des rayonnements ionisants.
Il fixe aussi « les principes de base régissant les installations nucléaires ainsi que l’utilisation pacifique de l’énergie nucléaire, la radioprotection, et l’application des garanties de non-prolifération nucléaire reprenant l’ensemble des obligations contenues dans l’accord signé avec l’AIEA ».
Ledit projet de loi exige, en outre, l’obtention d’une autorisation préalable avant que toute personne morale ou physique puisse mener une activité mettant en jeu les matières nucléaires et les sources radioactives. Ces autorisations sont délivrées, exclusivement, par « l’Autorité de sûreté et de sécurité nucléaire ».
L’Autorité est habilitée également à contrôler, à tout moment et à son initiative, toutes les installations nucléaires, en sus d’aider les autorités publiques à mettre en place un système national de protection physique des produits et installations nucléaires.
Ce projet de loi est structuré en 19 chapitres encadrant plus de 156 articles qui prévoient notamment le choix des sites devant abriter ces installations, leurs modes de conception et les mesures à prendre pour leur mise en service.
La présente loi institue un établissement public pour la gestion des déchets radioactifs, et définit les sanctions pénales liées aux infractions aux dispositions de la législation nucléaire nationale.
Selon l’exposé des motifs, ce projet de loi a été promulgué en raison de « l’absence d’un texte de loi régissant les activités nucléaires en Algérie ».
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ALGER – Une casemate pour terroristes contenant neuf (09) bombes de fabrication artisanale, ainsi qu’une quantité de substances explosives et divers outils de détonation ont été découverts et détruits, dimanche à Skikda, par les éléments de l’Armée nationale populaire (ANP), au moment où deux (02) éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés à Sétif et Oran, indique lundi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert et détruit, le 03 mars 2019, lors d’une opération de fouille et de ratissage menée à Skikda/5e Région militaire, une casemate pour terroristes contenant neuf (09) bombes de fabrication artisanale, ainsi qu’une quantité de substances explosives et divers outils de détonation », précise le communiqué.
« De même, des détachements combinés de l’ANP ont arrêté deux (02) éléments de soutien aux groupes terroristes, et ce, suite à deux opérations distinctes à Sétif/5eRM et Oran/2eRM », ajoute la même source.
Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des Garde-frontières ont saisi, à Tlemcen/2eRM, « une importante quantité de kif traité s’élevant à deux (02) quintaux et six (06) kilogrammes, tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale ont réussi à démanteler, à Oran/2eRM, un réseau de narcotrafiquants composé de dix (10) criminels, et ont saisi (20) kilogrammes de kif traité, (04) véhicules touristiques, (68) balles de calibre 9 mm et une (01) grenade, et ce, suite à l’opération ayant permis, hier, la saisie de (80) kilogrammes de drogues », indique le MDN.
Dans le même contexte, un détachement de l’ANP a appréhendé « deux (02) narcotrafiquants à bord de deux (02) véhicules chargés d’un (01) quintal et (5,7) kilogrammes de kif traité à Biskra/4eRM », souligne le communiqué.
D’autre part, un détachement de l’ANP a intercepté, à « Djanet/4eRM, huit (08) orpailleurs en possession de douze (12) sacs de mélange de pierres et de l’or brut », alors que « neuf (09) immigrants clandestins de différentes nationalités » ont été arrêtés à Tlemcen, Béchar et Laghouat, conclut le MDN.
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ALGER – L’Office national du pèlerinage et de la Omra (ONPO) a appelé, lundi à Alger, les hadjis algériens désirant voyager avec des agences de tourisme et de voyages à s’assurer que celles-ci figurent dans la liste des 42 agences agréées pour l’organisation du Hadj 2019, a indiqué un communiqué de l’Office.
Les hadjis peuvent vérifier la liste sur le site électronique de l’Office www.onpo.dz, a ajouté la même source.
A noter que pour la prochaine saison du pèlerinage, les frais du Hadj et du billet d’avion seront payés en une seule tranche au niveau de la Banque d’Algérie (BA), les services d’Air Algérie devant prélever leurs droits directement auprès de la BA.
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ALGER- Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni a reçu dimanche à Alger le secrétaire général du Forum des pays exportateurs de gaz (Gas exporting countries forum-GECF), Yury P. Sentyurin, a indiqué le ministère dans un communiqué.
Lors de cet entretien qui s’est déroulé en marge d’un atelier dédié à la digitalisation dans le secteur des hydrocarbures, M. Guitouni a salué les « avancées » accomplies dans l’implémentation en Algérie de l’Institut de recherche du gaz (GRI) relevant du GECF, tout en soulignant les efforts de cette organisation internationale à l’effet de désigner les membres du Conseil scientifique de son institut de recherche, qui tiendra sa réunion inaugurale lundi à Alger.
« Le GRI est un instrument stratégique qui illustre la décision des pays membres du GECF d’étendre leur collaboration à la recherche scientifique et technique dans le domaine du gaz », a déclaré M. Guitouni cité dans le communiqué.
Le ministre a également exprimé sa satisfaction quant au nombre et à la pertinence des projets de recherche proposés par l’Algérie et les autres membres du GECF et qui seront examinés par le Conseil scientifique.
De son coté, le secrétaire général du GECF a considéré que l’implémentation du GRI en Algérie était « une priorité », ajoutant que le comité scientifique est une composante « fondamentale » du processus de construction de l’Institut.
Pour rappel, la décision de créer, en Algérie, l’Institut de recherche sur le gaz (GRI) a été prise lors de la 19ème réunion ministérielle du GECF, tenue le 4 octobre 2017 à Moscou.
Le GECF a adopté cette décision à l’unanimité lors du 4ème sommet des chefs d’Etat et de gouvernement du forum, tenu le 24 novembre 2017 à Santa Cruz de la Sierra, en Bolivie.
Il a été également décidé de mandater le Conseil exécutif pour prendre toutes les mesures nécessaires à la mise en œuvre de cette décision et d’affecter 2,4 millions de dollars du fond de réserves du GECF pour financer la période d’initiation de deux ans, à partir de 2018.
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BERLIN – La délégation du Front Polisario aux négociations pour le règlement du conflit du Sahara occidental se trouvait lundi à Berlin pour des consultations avec l’envoyé personnel du Secrétaire général au Sahara occidental, Horst Koehler.
La rencontre restreinte entre M. Kohler et la délégation sahraouie est destinée à discuter de la relance du processus de négociations directes, entre les parties au conflit, le Maroc et le Front Polisario, en vue d’aboutir à une solution juste et durable à la question du Sahara occidental, qui garantit le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.
La délégation sahraouie est conduite par le membre du secrétariat national du Front Polisario, Khatri Addouh, président du Conseil national sahraoui.
Outre M. Addouh, la délégation comprend, M’hamed Khaddad, Coordinateur du Front Polisario avec la Mission de l’ONU pour l’organisation du référendum au Sahara occidental (Minurso), Fatma Elmehdi, ex- présidente du l’Union des femmes sahraouies, Sidi Mohamed Omar, représentant du Front Polisario auprès de l’ONU et Mohamed Ali Zerouali, Conseiller auprès du Secrétariat du Front Polisario, a-t-on appris de sources sahraouies.
Les mêmes sources ont précisé que la rencontre entre les Sahraouis et Kohler à Berlin intervient après celle tenue entre le responsable onusien et une délégation marocaine, la semaine passée, à Paris.
M. Kohler avait présenté en janvier dernier un briefing au Conseil de sécurité, dans lequel il a invité les parties au conflit, le Maroc et le Front Polisario, à tenir des consultations concernant plusieurs questions liées au processus politique, afin de préparer le deuxième cycle de négociations qui devra se tenir en mars à Genève.
Le Front Polisario a exprimé sa disponibilité d’engager des négociations directes dans un esprit constructif et sérieux sous les auspices des Nations Unies en vue de trouver une solution pacifique, juste et durable garantissant le droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination, conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale de l’ONU.
L’émissaire de l’ONU pour le Sahara occidental, Horst Kohler, va annoncer la date de la prochaine rencontre, en mars courant, avec les parties marocaine et sahraouie.
La rencontre s’inscrit dans le cadre des consultations que l’ancien président allemand compte tenir pour préparer la deuxième table ronde, a-t-on indiqué.
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Un nouveau président-directeur général vient d’être nommé à la tête de Mobilis, rapporte le site d’information Alg24.
Le nouveau DG, MEKKID Bellal, jeune énarque de 36 ans, vient remplacer le Pdg actuel, Sid Ahmed Zaïdi dans de nouvelles missions stratégiques.
M. Mekkid assure jusqu’à aujourd’hui la fonction de Président Directeur Général de l’Entreprise d’Appui au Développement du Numérique (EADN), précise le média.
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GHAZA – Des avions de chasse israéliens ont lancé dimanche soir une frappe aérienne contre une installation militaire appartenant aux Brigades al-Qassam, la branche armée du Hamas, dans le nord de la bande de Ghaza.
Selon des sources en milieu médical, aucun blessé n’est à signaler. Des sources au sein des forces de sécurité de Ghaza ont quant à elles déclaré que l’installation militaire en question avait été complètement détruite par la frappe aérienne israélienne.
C’est le deuxième jour de suite que les forces israéliennes lancent des raids aériens sur des installations militaires et des postes de guet à Ghaza, selon les forces de sécurité.
Peu de temps avant la frappe aérienne, des dizaines de militants palestiniens ont manifesté dans le nord de la bande de Ghaza, où ils ont brûlé des pneus et lancé des grenades étourdissantes sur les soldats israéliens stationnés le long de la frontière avec Gaza.
Ashraf al-Qedra, porte-parole du ministère de la Santé de Ghaza, a déclaré à la presse que quatre manifestants avaient été blessés par balle.
Cette manifestation s’inscrivait dans le cadre de la « Grande marche du retour », un rassemblement palestinien qui a débuté le 30 mars 2018 dans le but d’obtenir la levée du blocus imposé par Israël à Ghaza depuis 12 ans.
Selon des responsables du ministère de la Santé de Ghaza, les forces israéliennes ont tué au moins 260 Palestiniens et en ont blessé plus de 26 000 autres depuis le début de ce rassemblement anti-israélien.
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Ce grand concours national s’inscrit dans le cadre de nos passerelles avec le réseau académique et vise à encourager et à promouvoir les jeunes talents en architecture.
Le thème de cette année est « Repenser le tourisme balnéaire » avec plus de 420 étudiants déjà inscrits en provenance de quatre établissements d’excellence :
Cette année, les candidats sont invités à proposer des projets architecturaux répondants aux standards internationaux du tourisme balnéaire.
Les projets seront évalués par un comité mixte sur des critères de : créativité, d’innovation dans le choix des matériaux et des solutions constructives, modernité architecturale, budgétaire, délais de réalisation, réduction de l’empreinte environnementale, l’utilisation des matériaux locaux, l’efficacité énergétique des bâtiments, la durabilité et de la capacité de chaque concourant à défendre son projet.
La remise des prix, pour une valeur de 900.000 DZD, sera organisée lors du dîner de gala en juin de cette année.
Pour plus d’information sur le Grand Prix d’Architecture Etudiant LafargeHolcim 2019
Retrouvez nous sur www.lafargeholcim.dz
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Abdelaziz Bouteflika n’a pas renoncé à sa candidature, malgré l’opposition des Algériens qui ont dit massivement non au 5e mandat. Son engagement équivaut à une défiance envers le peuple.
Ni les manifestations réclamant son départ, ni le risque de paralyser le pays, ni encore le retrait des principaux candidats de l’opposition n’ont dissuadé le système de présenter Abdelaziz Bouteflika. Allant jusqu’au bout, dans une défiance qui dit bien son nom, le chef de l’État a maintenu sa candidature, présentée par procuration, comme il a appris à gérer le pays ces dernières années.
Comme attendu, c’est donc Abdelghani Zaâlane, le tout nouveau directeur de campagne, qui s’est chargé de déposer le dossier de candidature d’Abdelaziz Bouteflika. “Bouteflika ne peut pas se déplacer à cause de son état de santé. Mais je vais le remplacer au Conseil constitutionnel muni d’un certificat de bonne santé”, avait indiqué le directeur de campagne avant d’aller au Conseil constitutionnel. Une manière de confirmer, une nouvelle fois, que Abdelaziz Bouteflika et ses partisans maintiennent la candidature malgré un état de santé de plus en plus handicapant.
Devant des dizaines de journalistes présents, Abdelghani Zaâlane est venu faire lecture, hier en début de soirée, de la lettre envoyée, quelques minutes plus tôt, par Abdelaziz Bouteflika en guise de réponse politique aux manifestations enregistrées à travers tout le pays depuis maintenant deux semaines. En gros, le chef de l’État promet qu’il se présente pour la dernière fois et que son prochain mandat sera très court, puisqu’à l’issue d’une conférence nationale de consensus, une élection présidentielle anticipée aura lieu. Dans cette lettre, où il indique avoir entendu et compris les revendications des manifestants, Abdelaziz Bouteflika formule de nouveaux engagements.
Il promet ainsi la tenue d’“une élection présidentielle anticipée conformément au calendrier arrêté par la conférence nationale indépendante” et s’engage “à ne pas être candidat à cette élection qui assurera ma succession dans des conditions incontestables de sérénité, de liberté et de transparence. La date de cette élection présidentielle anticipée sera fixée par la conférence nationale”. Avant cette échéance électorale, Abdelaziz Bouteflika annonce que, s’il est élu, il convoquera “juste après l’élection présidentielle, une conférence nationale inclusive et indépendante pour débattre, élaborer et adopter des réformes politiques, institutionnelles, économiques et sociales, devant constituer le socle du nouveau système rénovateur de l’État national algérien en harmonie avec les aspirations de notre peuple”.
Par la suite, dira-t-il, les autorités vont aller vers “l’élaboration et l’adoption par référendum populaire d’une nouvelle Constitution qui consacrera la naissance de la nouvelle République et du nouveau système algériens”. Il promet également des politiques publiques “plus justes” et une “meilleure justice sociale” pour limiter le phénomène de la “harga”. Sur le plan politique, et contrairement aux déclarations de ses partisans, Abdelaziz Bouteflika indique avoir compris que c’est lui-même qui est visé par ces manifestations de rue.
Il indique d’ailleurs qu’il “a écouté et entendu le cri du cœur des manifestants et en particulier des milliers de jeunes qui m’ont interpellé sur l’avenir de notre patrie”. Il admet que ces jeunes (…) ont “exprimé une inquiétude compréhensible face aux incertitudes qui les animent”. Puis, a-t-il ajouté, “j’ai le devoir et la volonté d’apaiser les cœurs et les esprits de mes compatriotes. Je le fais aujourd’hui en tant que moudjahid fidèle à la mémoire de nos valeureux martyrs et au serment de tous les compagnons de notre épopée libératrice qui sont encore en vie. Je le fais également en tant que président de la République pleinement respectueux de la volonté populaire qui m’a accordé l’insigne privilège de me porter à la magistrature suprême. Je le fais enfin en qualité de candidat à la prochaine élection présidentielle, avec conviction”, indique-t-il, dans une tentative d’éviter de nouvelles manifestations de rue. Abdelaziz Bouteflika dit “sentir le devoir” de “concrétiser” les aspirations des manifestants.
À commencer par les revendications politiques qu’il repousse à plus tard car, dit-il, sa candidature “est justifiée par les demandes” des pans de la société. Mais également pour des raisons politiques, puisque le document lu par Abdelghani Zaâlane ne porte ni bilan des “réalisations”, ni autres louanges. Il fait même un constat d’échec puisqu’il promet “la mise en œuvre rapide de politiques publiques garantissant une redistribution des richesses nationales plus juste et plus équitable et l’élimination de la marginalisation et de l’exclusion sociales, y compris le phénomène de la harga, ainsi qu’une mobilisation nationale effective contre toutes les formes de corruption” et “la prise de mesures concrètes pour faire de tous nos jeunes des acteurs et des bénéficiaires prioritaires dans la vie publique à tous les niveaux et dans toutes les sphères du développement économique et social”.
Concernant la revendication portant sur son départ, le chef de l’État a répondu par un niet. Il espère être toujours celui qui mènera “la transition générationnelle”. Autant dire qu’il ne veut rien céder.
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À un moment où l’Algérie arrive à couvrir plus de 50% de ses besoins en médicaments, le président de l’Union nationale des opérateurs de la pharmacie juge indispensable d’en réévaluer les prix, faute de quoi prévient-il, il faudrait revenir à la case importation.
S’exprimant, lundi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, M. Abdelwahad Kerrar estime qu’en raison des investissements importants qui ont été consentis dans cette industrie, « il est normal que le système de prix change.
De la possible compromission de l’équilibre de la sécurité sociale au cas où cette proposition est prise en compte, ce dernier explique que le médicament ne représente pas seulement un enjeu social, mais aussi de développement de la filière pharmaceutique et des personnels qu’elle occupe, « un aspect aussi important que l’accès des Algériens aux soins ».
L’intérêt d’une telle mesure, si l’on en croit l’intervenant, contribuerait à assurer « l’accessibilité aux soins », à mettre à la disposition des patients « des médicaments de qualité » et à installer une industrie pharmaceutique « forte et performante ».
M. Kerrar relève qu’en Algérie, il n’y a jamais eu d’ajustement du prix du médicament, un produit, dit-il, qui « n’a jamais fait l’objet de débats », au vue de la croissante « fulgurance » qu’a connu ce secteur au cours des dix dernières années.
Quand on lui demande si les réajustements qu’il propose doivent se faire au détriment de la couverture de sécurité sociale des malades, il répond que c’est grâce à une bonne production des produits de soins que « nous avons réussi à baisser les prix » et a employer « des centaines de milliers d’Algériens ».
Il prévient, par ailleurs, que « si nous continuons comme çà », c’est à dire à maintenir le coût du médicament à son niveau actuel, « nous allons assister à un déclin de cette industrie » avec le risque de retour à la case « importation ».
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Depuis samedi, le Forum des chefs d’entreprise (FCE) connaît une série de démissions et de décisions de gel des cotisations par des membres de l’organisation dirigée par Ali Haddad. Pour avoir de plus amples informations, à ce propos, nous avons contacté, hier, Hassen Khelifati, PDG d’Alliance Assurance, qui a annoncé, samedi, sa décision de jeter l’éponge.
Contacté par nos soins, il nous a affirmé que le gel de son « appartenance au FCE remonte à 2017, quand j’ai arrêté ma cotisation» pour le Forum, en soulignant avoir exprimé auparavant son désaccord, notamment sur « le fonctionnement et les déviations du président du FCE Ali Haddad », a-t-il précisé.
Poursuivant, il dira sur le premier responsable du FCE, qu’il « s’éloigne des préoccupations et besoins des membres » de l’organisation patronale, et d’affirmer que ces derniers « sont utilisés comme un tremplin pour d’autres objectifs», a indiqué notre interlocuteur.
Dans le même contexte, le PDG de Alliance Assurance a affirmé avoir reçu « plusieurs appels » de la part des membres fondateurs du FCE qui lui ont exprimé leurs positions respectives, dont la décision « de se positionner » sur ce qui secoue le Forum des patrons, allant jusqu’à proposer « la création d’un mouvement au sein du FCE pour le redresser ». Sans manquer de rappeler que le FCE « appartient à l’ensemble de ses membres et non pas à une minorité qui le prend en otage»,Khelifati, a appelé les chefs d’entreprise« à se déterminer et à se positionner » sur la situation dont il fait part, en ajoutant « je pense que le FCE a été dévié de sa mission et, sans doute, il y aura prochainement une série de démissions et de gels d’appartenance », nous apprend notre interlocuteur sans citer de noms.
Pour avoir plus d’explications sur ce qui se trame dans le Forum des patrons, nous avons aussi contacté Laïd Benamor, PDG du groupe agroalimentaire Amor Benamor, désormais ex-vice-président du FCE, mais en vain. Notre interlocuteur a refusé de s’exprimer sur sa décision annoncée samedi, dans un communiqué.
Benamor a annoncé, en effet, le gel de ses cotisations au FCE et la démission du poste de vice-président de l’organisation patronale en raison, avait-il expliqué « de voir cette dernière s’éloigner de sa mission » qui consiste, a-t-il poursuivi « à mener les entreprises et l’économie du pays vers de meilleurs lendemains».
Contactée à ce propos, Karima Sebaï, chargée de la communication du FCE, a apporté un démenti quant à la démission du PDG de Macir-vie Assurance et celle de Mohamed Arezki Aberkane, président-directeur général de Sogemetal, du FCE, en indiquant que «ce sont des rumeurs et que le FCE va publier un communiqué de presse dans les heures qui suivent (hier :NDLR) » dans lequel, il sera question «de la réaction du FCE sur les derniers retraits de ses membres » nous a-t-elle précisé.
En revanche, l’homme d’affaires de Tizi-Ouzou, PDG de Sogemetal, Mohamed Arezki Abderkane, a affirmé sa démission dans une lettre rendue publique samedi dernier, et dans laquelle il affirme: «Je m’en soustrais du FCE pour des motifs objectifs que chacun pourra comprendre » et surtout, poursuit-il « pour ses (FCE ndlr) positions politiques incomptables, voire antagoniques avec ses missions statutaires auxquelles je n’ai jamais souhaité adhérer de tout temps. Je confirme donc mon retrait».
Sarah Oubraham
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L’ancien chef de gouvernement et président du parti Talaïe El Hurriyet, Ali Benflis, a annoncé, hier, qu’il ne sera pas candidat à la présidentielle d’avril prochain, en déclarant, quelques heures avant l’expiration, hier, à minuit, du délai légal de dépôt de dossiers de candidature à la candidature pour la présidentielle, qu’il ne déposera pas son dossier au Conseil constitutionnel, affirmant que « le pays traverse une période délicate » et que l’enjeu n’est pas simplement d’imposer seulement une élection sans fraude, mais de «changer tout le système » a déclaré, hier, Ali Benflis.
L’ex-candidat à la présidentielle d’avril 2014 a fini par décider de ne pas se présenter à la présidentielle d’avril prochain, décision annoncée, le dernier jour du délai de dépôt des dossiers de candidature à la présidentielle, hier, après-midi. Deux jours auparavant, l’ex-chef de gouvernement avait pris part à l’impressionnante marche populaire d’Alger, du 1er mars dernier, contre le 5e mandat du président sortant et hier, lors de son annonce en question, le président du parti Talaïe El Hurriyet a affirmé que « la tenue de l’élection présidentielle dans ces conditions aggravera la situation du pays » avant de souligner : « Ma place n’est pas dans l’élection mais avec le peuple » .
Ne manquant pas, tout au long de son allocution , de porter des critiques virulentes contre le pouvoir. L’ex-chef de gouvernement a, encore une fois, prononcé un véritable réquisitoire, après avoir averti que « l’élection aggravera la situation » a-t-il affirmé, hier. Dans la matinée de vendredi dernier, en étant, présent dans les rues d’Alger , pour apporter son soutien aux manifestants pacifiques contre le 5ème mandat, il avait déclaré sur le slogan central des marches populaires que connaît le pays, depuis le 22 février dernier, que « le 5e mandat est une humiliation pour le peuple algérien».
Peu de temps avant l’annonce d’Ali Benflis, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a annoncé, hier matin, sa non-participation à l’élection présidentielle d’avril prochain « en cas de confirmation de la candidature du président de la République pour un 5e mandat » dans un communiqué rendu public.
Karima Bennour
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Ni le ministre de l’Énergie, Mustapha Guitouni, ni sa collègue de la Poste des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Houda Imane Feraoun, n’ont pas voulu émettre des déclarations, hier, devant la presse, lors de l’ouverture d’un workshop dédié à la digitalisation dans le secteur des hydrocarbures, au siège de Sonatrach à Alger, sur la candidature du Président Bouteflika.
Les deux représentants du gouvernement ont évité les questions des journalistes, portant également sur les marches inititées à travers le pays et s’opposant à la candidature du Président sortant.
En effet, à cette occasion, Guitouni s’est contenté seulement de prononcer son discours sur son secteur de prédilection. Il a indiqué que « le choix du thème de la numérisation pour ce séminaire est à ce titre tout à fait judicieux », précisant que « la numérisation est en train de modifier profondément le paysage énergétique, de l’amont jusqu’au niveau du consommateur final. » Il ajoute « le Président de la République Abdelaziz Bouteflika n’a jamais cessé d’exhorter tous les secteurs à développer des plans d’action pour des investissements dans les nouvelles technologies et dans la formation des ressources humaines pour les maîtriser et les développer », s’est-il prononcé lors de son allocution.
Parmi les facteurs dont la numérisation a contribué à l’évolution du secteur de l’Énergie, le ministre a cité quatre points qui lui paraissent importants, il évoquera la réduction drastique des coûts des composants électroniques et du stockage de données. La disponibilité de capteurs à bas coût et de plus en plus miniaturisés et performants. L’avènement de standards radioélectriques de haute performance, permettant la mobilité et l’échange de données, et en fin l’amélioration de la capacité des batteries et de l’algorithmique. Mustapha Guitouni a, par ailleurs, affirmé que « l’évolution du secteur va continuer à s’accélérer », en soutenant que « selon l’agence internationale de l’énergie, l’utilisation des technologies digitales existantes et émergeantes pourraient augmenter les réserves mondiales techniquement récupérables de 3% pour le pétrole et de 15% pour le gaz non conventionnel », a-t-il dit.
En sus, le ministre de l’Energie a fait savoir que « l’étude de faisabilité qui fut à la base de la création de l’institut de recherche du gaz a également démontré que la numérisation des processus, l’analyse avancée des données, le benchmarking, la robotique, l’automatisation et la connectivité peuvent conduire à dégager des plus values substantielles. » Elles permettent, poursuit-il « une meilleure connaissance et maîtrise des opérations, de faciliter la prise de décision, réduire les temps d’arrêt et les accidents.
En résumé, elles ont le potentiel de réduire les coûts et d’améliorer la valeur ajoutée de notre activité », précisera Guitouni tout en signalant que « les avantages de la numérisation sont également nombreux dans le secteur de l’électricité, le plus important étant de faciliter dans le futur l’intégration dans le réseau de sources d’énergies renouvelables, qui sont par nature variables et intermittentes. Un défi d’autant plus important que notre plan est fort prometteur en matière d’énergie solaire et éolienne.»
Pis encore, le ministre n’a pas raté l’occasion de rappelé qu’« il attend des résultats probants, lors de la réunion inaugurale du Comité scientifique de l’Institut de recherche du gaz du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF), qui aura lieu aujourd’hui à Alger », a-t-il souligné. Lors de son intervention, Guitouni a affirmé que, les membres du GECF ont décidé de créer un Institut de recherche du gaz, basé en Algérie, et qui couvrira des domaines de recherche diversifiés, l’un d’eux étant celui de la numération et de l’analyse de données.
Med Wali
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Kamel Mohamed
Le président de la Ligue de football professionnel, Abdelkrim Medouar, a indiqué que les cinq dernières journées du championnat de Ligue 1 se dérouleront le même jour et au même horaire, afin d’éviter d’éventuels arrangements des résultats des matches. Du fait de la corruption qui a tendance à être banalisée dans le football algérien, la LFP prend toutes ses précautions pour empêcher des clubs de fausser la fin du championnat. Cependant, dans la pratique, et à chaque fin saison, on assiste à des matches douteux au cours desquels les équipes réserves sont alignées, ce qui fausse la fin de la compétition sans que la FAF ou la LFP ne réagissent. Une situation qui dure depuis plusieurs saisons et qui se reproduira certainement à la fin de cette saison. Des clubs non concernés ni par le titre ni par la relégation mettent leurs joueurs en vacances et alignent un effectif composé de jeunes joueurs, alors que ces clubs devaient jouer le jeu et aligner l’équipe-type pour ne pas fausser les résultats des matches de fin de championnat. Toutefois, ils ont recours à plusieurs procédés pour arranger des matches, comme l’arbitrage qui a toujours été mis à l’index.Des joueurs et des entraîneurs sont aussi impliqués dans l’arrangement des résultats des rencontres. En d’autres termes, la programmation des matches de fin de championnat le même jour et au même horaire ne suffit pas pour lutter contre la corruption dans le football algérien.
Sur un autre registre, les marches et les manifestations populaires organisées à l’approche de l’élection présidentielle du 18 avril prochain ont amené la LFP à reporter des matches. Ces reports sont décidés en concertation avec les autorités locales, mais aussi avec les services de sécurité. La LFP se retrouve déjà avec un nombre assez important de matches reportés qu’il faudra programmer le plus tôt possible, sachant que le championnat doit se terminer le mois de mai en prévision de la participation de l’équipe nationale à la phase finale de la CAN 2019 en Egypte.
Or, avec l’organisation des marches et des manifestations, sans oublier les meetings à l’occasion de la campagne électorale qui débutera le 24 mars, la LFP risque de se retrouver dans la contrainte de reporter des matches.
A ce rythme, le championnat risque de ne pas se terminer dans les délais prévus. Cette situation a amené les autorités à réfléchir à une éventuelle programmation des matches de fin de championnat à huis clos.
Le président de la LFP a affirmé le contraire, soulignant qu’il n’est pas question de terminer la saison à huis clos. Il a estimé que le décalage de la CAN (21 juin-19 juillet 2019) permet de gagner deux semaines et programmer ainsi deux ou trois journées de championnat.
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Chergui Abdelghani
Avant d’aborder leur match face au leader, les camarades de Bouguèche n’avaient qu’un seul mot d’ordre : battre le NC Magra pour réduire l’écart à deux points et prendre option pour l’accession. En fin de compte, la mission n’a pas été complètement remplie par les gars des Zianides qui ont été, une fois de plus, tenus en échec, se contentant ainsi du point du nul sur leur propre terrain. Eux qui étaient censés ne plus céder le moindre point au stade Akid Lotfi afin de conserver intactes leurs chances d’accession. Même si la situation n’a pas beaucoup changé en tête du classement puisque le WAT occupe une place au pied du podium, ce nul n’arrange pas les affaires des Tlemceniens, eux qui voulaient renouer avec la victoire pour ouvrir une nouvelle page car, sur neuf points possibles, le WAT n’en a récolté que deux au cours des trois derniers matches, soit deux nuls à domicile et une défaite à l’extérieur.Les protégés de Fouad Bouali qui, certes, n’ont pas démérité au cours de cette rencontre face au leader où ils ont raté plusieurs occasions nettes de scorer, devront réagir au plus vite pour que l’équipe retrouve sa dynamique de bons résultats enregistrés au cours de la phase aller. A la fin de la rencontre, les supporters présents au stade Akid Lotfi, exaspérés par ce énième faux pas, n’ont pas hésité à huer les joueurs et le staff technique, lesquels n’arrivent pas à comprendre ni à expliquer cette crise des résultats.
Est-ce le début d’une crise ? Chose que l’on ne souhaite pas, mais cela pourra bien le devenir en cas d’un autre faux pas lors du prochain match des camarades de Bahraoui qui recevront de nouveau sur leur terrain l’ASMO, une équipe qui lutte pour son maintien en Ligue 2 dans un derby passionnant.
« Nous sommes frustrés par ce qui nous arrive, mais nous devons nous montrer solides. Il ne faut surtout pas baisser les bras puisque rien n’est encore joué. Comme attendu, ce fut un match très disputé où l’adversaire s’est cantonné derrière. Nous avons fait le plus dur en prenant l’avantage. Il nous a fallu une déconcentration de quelques secondes pour encaisser le but égalisateur.
C’est vraiment dommage, nous avons laissé filer la victoire qui nous tendait les bras pourtant. Je pense que la meilleure façon de gérer cette situation est de mettre ce match aux oubliettes et se remettre au travail pour préparer le prochain. Je pense que c’est inutile de dramatiser ce passage à vide, ça ne sert à rien. Nous sommes tous déçus, mais on doit se serrer les coudes afin de nous racheter le plus vite possible. Nous comprenons la déception de nos supporters auxquels nous leur demandons pardon », dira en fin de match le défenseur latéral Benkhelifa.
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