M. Zeggai
Le RC Relizane a-t-il hypothéqué ses chances d’accession ? C’est la question qui taraude l’esprit des fans du Rapid qui a concédé avant-hier sa neuvième défaite de la saison au stade Bouakeul face à l’ASMO. Réponse du coach Abdelkrim Latrèche : « Nos chances sont intactes et l’accession se jouera jusqu’à la dernière journée du championnat ». Pour de nombreux observateurs, le RCR a raté le match qu’il fallait à tout prix gagner. Par ce revers, les Relizanais ont quelque peu perdu du terrain avec le groupe de tête et n’ont pas réussi à exploiter les contre-performances du WAT et du MCEE.Mis à part la défaite, c’est la prestation guère convaincante du RCR qui a surpris tout le monde au cours d’un match où le Rapid n’a aucun moment confirmé son statut de sérieux postulant à l’étage supérieur. Ce qui peut justifier la mauvaise réaction des nombreux supporters relizanais qui ont eu, il faut le dire, un comportement condamnable ayant contraint l’arbitre Abid Charef à interrompre le match pendant une dizaine de minutes. Mais l’entraîneur Abdelkrim Latrèche a évoqué d’autres raisons extra-sportives pour expliquer la piètre performance de ses joueurs «qui ont été déstabilisés bien avant le match », selon lui. « Il faut arrêter le football en Algérie. Il ne reste plus rien à faire », nous a-t-il affirmé bien avant la rencontre, faisant allusion à certains dépassements ayant eu lieu dans les vestiaires. Pour lui, le sort du match a été déjà scellé bien avant son entame.
« C’est grave ce qui s’est passé. Maintenant que l’issue des matches se décide dans les tunnels est vraiment désolant. Les joueurs ont été déconcentrés par ces tentatives d’intimidations dans le tunnel, ce qui explique le but encaissé d’entrée. Sincèrement, ces actes n’honorent pas l’ASMO et son histoire. Avec une telle confusion, il est pratiquement impossible de jouer au football », dira avec beaucoup d’amertume Abdelkrim Latrèche en fin de partie.
Si pour certains cela pourrait s’avérer comme une excuse valable, ce n’est pas le cas pour les autres. Car, le Rapid de Relizane est passé inexplicablement à côté de son sujet avec certains joueurs dans un jour « sans ».
A présent, la problématique pour le RCR, c’est qu’il n’est pas maître de son destin. Avec 37 points à son actif, à trois longueurs de retard sur les deux troisièmes, l’ASO et l’USB, les Relizanais ne sont pas totalement écartés de la course aux trois premières places, du moins sur le plan mathématique. Avec la réception de l’USMAn, l’ABS et l’ASO, un concurrent direct, les sorties chez le RCK, l’USB et l’USMB, le Rapid parviendra-t-il à fausser les calculs et déjouer les pronostics ? C’est du moins le souhait des milliers d’inconditionnels du club de la Mina qui ne veulent pas désespérer.
Mis à part le NC Magra, qui a mis un pied en Ligue 1, rien n’est encore joué pour les deux autres tickets donnant accès à l’élite. Compte tenu du reste du parcours, l’USB, qui aura l’avantage d’accueillir le RCR, a trois sorties périlleuses à effectuer chez l’USMH, le MCEE et le WAT. Ceci est également valable pour l’ASO qui devra se rendre chez la JSMB, la JSMS et deux autres derbies à Mostaganem et à Relizane. Ce qui signifie clairement que le RCR est appelé à réaliser un sans-faute s’il veut réellement faire rêver ses fans.The post RC Relizane: Une défaite pénalisante appeared first on .
M. Zeggai
Dans le cadre de la relance du football national des jeunes et suivant les recommandations de la DTN, la direction technique régionale a élaboré un plan d’activités concernant toutes les jeunes catégories. Dans ce même contexte, la direction technique régionale, présidée par Bettayeb Driss, a présenté un riche rapport d’activité de sa structure en s’appuyant sur la stratégie préconisée par la DTN. Augmenter le nombre de licenciés des jeunes joueurs (6-12 ans), organiser des compétitions de qualité en respectant le niveau de pratique, organiser plus de festivals et de tournois (football adapté aux différentes tranches d’âge), mettre en place un système d’évaluation et de contrôle, tels sont les objectifs assignés, sans pour autant oublier les opérations de prospection de toutes les jeunes catégories au niveau régional.A cet effet, deux plateaux régionaux U 14 et U 15 ont eu lieu les 1 et 2 janvier dernier pour la présélection de ces deux catégories avec la présence de 35 joueurs de chaque tranche d’âge. Les regroupements inter-sélections Oran-Saïda-Béchar se sont déroulés au mois de janvier dernier au centre régional de Sidi Bel-Abbès. Dans ce cadre, un plateau national de présélection des joueurs devant constituer le noyau de la première académie de la FAF qui sera lancée prochainement a été organisé les 8 et 9 février au Centre technique national de Sidi Moussa par la direction technique nationale. 71 joueurs de moins de 14 ans représentant les neuf régions du pays ont participé à cette présélection au cours de laquelle dix joueurs de l’Ouest ont été retenus.
Pour les U 19, la sélection d’Oran, avant-hier, a battu son homologue de Saïda par 4 à 0 et celle de Béchar par 5 à 0. 18 joueurs ont été retenus pour le plateau national, treize d’Oran, trois de Saïda et deux de Béchar.
En ce qui concerne les U 17, les présélections débuteront prochainement. Par ailleurs, la DTR de l’Ouest vient de clore le stage de trois groupes pour les diplômes FAF 3, le quatrième groupe débutera le 17 mars, alors que le cinquième et dernier groupe est programmé pour le 31 du même mois. Quant au stage de FAF 2, il sera consacré à deux groupes. Toutes ces activités sont prises en charge par le département formation de la DTR qui a également inscrit dans son programme des stages de formation fédéral gardien de but (DFE 1, DFE 2 et DFE 3).
En somme, comme la pratique du football nécessite une maîtrise de connaissances scientifiques et méthodologiques afin d’améliorer la performance des joueurs et le développement de la discipline, la DTN a renouvelé sa confiance à l’encadrement technique de la DTR de l’Ouest qui est composé de Bettayeb Driss (DTR), Djeradi Mohamed (directeur de la formation), Guessoum Sofiane (directeur des sélections), Kouaidia Rachid et Bendoukha Belebna, membres.
Driss Bettayeb nous a indiqué que les clubs sont appelés à contribuer aux objectifs assignés par la DTN. Car, et c’est une vérité, on déplore la négligence de la formation des jeunes joueurs comme en témoigne le désintérêt pour cette discipline.
Les clubs sont pourtant dans l’obligation de participer au développement de la formation des jeunes, notamment après les derniers communiqués de la FAF relatifs aux mécanismes de solidarité aux clubs formateurs et à l’instauration de nouvelles règles concernant les indemnités de formation afin de se mettre en conformité avec le règlement de la FIFA qui encourage les clubs formateurs.
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M. Z.
Le seul changement dans ce groupe à l’issue de cette journée s’est opéré au bas du tableau où l’USR a cédé sa place de lanterne rouge au CRB Ben Badis, dont la situation risque de se compliquer davantage puisqu’il aura à accueillir la JSMT lors de la prochaine journée. Les Maghnaouis de l’IRBM, en s’imposant face au CRBBB, se sont donné un peu d’air en renouant avec les succès après de longs moments de disette. Pour sa part, l’US Remchi poursuit sa marche en avant pour assurer son maintien. Après trois victoires consécutives, les Remchaouis sont allés à Sidi Moussa ramener un bon point face au CRBDB. Le SKAF, quant à lui, continue de manger son pain noir et se trouve sérieusement menacé à la suite de sa onzième défaite de la saison concédée à Arzew devant l’OMA. Les gars de Khemis Miliana sont tombés à quelques minutes de la fin du match, ce qui prouve que l’OMA a éprouvé toutes les peines du monde à glaner les trois points.Ce n’est pas le cas du dauphin, la JSM Tiaret, qui a fait voler en éclats la défense de l’USMMH. 4 à 0, net et sans bavure pour les Tiaretis qui affichent leurs prétentions.
A El-Kerma, l’IRBEK a pleinement profité de la défaite du SCMO pour s’accaparer seul de la troisième place à la faveur de son succès sur le GCM.
Menés au score par 3 à 0, les Mascaréens ont réagi tardivement devant le relâchement de l’Ittihad qui a su gérer les derniers moments de la partie.
Le SCMO, lui, est tombé à Mohammadia devant le SAM qui a atteint le seuil des 30 points, largement suffisant pour son maintien. En revanche, le RCBOR, qui n’est pas encore sorti de l’auberge, a encore une fois trébuché chez lui et laisse passer une belle opportunité de se dégager de la zone des turbulences.
Cette fois, c’est l’ASB Maghnia qui a pris un point. A Saïda, le MB Hassasna a dû son salut à El-Abidine, auteur du but victorieux sur un penalty à cinq minutes de la fin du match, face au MCB Oued Sly qui a tout de même laissé bonne impression.
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M. B.
La course au titre est entièrement relancée, alors que l’étau s’est resserré en bas du tableau du championnat de Ligue 1 Mobilis, au terme de la 23e journée, disputée samedi et dimanche, mais amputée des rencontres CSC-MCA et NAHD-ASAM, renvoyées à des dates ultérieures. En effet, c’est le Paradou AC qui a réalisé la meilleure opération en s’imposant face au leader, l’USM Alger, au stade de Bologhine. Un succès mérité pour les hommes du Portugais Francisco Chalo, qui leur permet de relancer complètement la course à la première place, puisque la JS Kabylie s’est imposée à domicile devant l’ES Sétif et revient à cinq longueurs de l’USMA. En revanche, les Sétifiens, installés à la 7e place, ont hypothéqué leurs chances de rejoindre le podium. A Béchar, la JS Saoura n’a pas été en mesure de passer l’écueil du MO Béjaïa, qui lui a imposé le match nul. Un précieux point pour les Béjaouis, qui croient dur comme fer au maintien. Dans la partie basse du classement, le CA Bordj Bou Arréridj et le DRB Tadjenanet, vainqueurs, enregistrent une excellente opération au détriment de leurs adversaires du jour, l’USM Bel-Abbès et l’O. Médéa, qui se compliquent un peu plus l’existence et plus particulièrement le team de la Mekerra, qui continue de manger son pain noir. Enfin, à Oran, le MCO a concédé un énième match nul à domicile face au CRB, cette fois. Un résultat qui fait beaucoup plus les affaires des visiteurs.The post Football – Ligue 1: L’étau se resserre en bas du tableau appeared first on .
A. L.
Comme nous l’avions pressenti dans l’article de présentation, les trois équipes installées sur le podium se sont imposées facilement et restent donc dans leurs positions respectives. Ni l’IBL à l’Arba, ni l’IBKEK à Ben Aknoun, ni l’ARO à Tizi Ouzou n’ont pu résister à la supériorité manifeste du trio de tête. A sept encablures de l’épilogue du championnat, il se confirme que le ticket donnant droit à l’accès en Ligue 2 se jouera entre le RCA, l’ESBA et l’USBD, tous trois réunis dans une petite fourchette de deux points. Un coup d’œil au sept dernières journées nous renseigne sur le programme des trois postulants. On signalera particulièrement les deux dernières journées.En effet, lors de la 29e étape, l’USBD reçoit le RCA, tandis que pour l’ultime journée l’ESBA accueillera le CRBAO. Pour le compte également de la dernière journée, le RCA reçoit l’ESBA alors que l’USBD jouera à Reghaïa face au NARBR. Décidément, le hasard du calendrier a bien fait les choses et le suspense risque de durer jusqu’à l’ultime journée où, peut-être, il sera fait appel à la règlementation en vigueur pour départager les postulants et désigner l’heureux lauréat. En ce qui concerne le bas du tableau, le chassé-croisé entre l’ARO et le WRM se poursuit.
Cette fois, c’est le Widad M’sila qui, en s’imposant largement au WAB, a doublé le club d’Ouargla, battu à Tizi Ouzou. Pour sa part, la JSHD, en s’inclinant à Touggourt, fait du surplace au même titre que le WAB, tandis que le RCB a été plus heureux en ramenant le point du nul de Reghaïa. On notera aussi la réaction de l’ESM Koléa qui a mis fin à une très mauvaise série (6 défaites consécutives) en prenant le meilleur sur le NTS.The post Division nationale amateur – Centre: Les trois postulants ne se lâchent plus appeared first on .
Le siège du Conseil constitutionnel, à El Biar (Alger), a vécu une journée bien particulière ce dimanche. Dès le début de la journée, les alentours étaient déjà bouclés par un impressionnant dispositif de sécurité. Les deux issues menant au siège étaient fermées aux piétons et aux véhicules. Les médias, algériens et étrangers, étaient venus en force.
Les médias étrangers présents
Plusieurs journalistes représentant des médias étrangers étaient présents dans la salle aménagée à l’intérieur du Conseil constitutionnel. Il y avait essentiellement les journalistes de chaînes télés arabes, « Al Mayadeen » (dont le siège est à Beyrouth, Liban), « Al Arabiya » et « Al hadeth » (Arabie Saoudite), « Al Hurra » (siège aux Etats-Unis) et « El Ghad » (Egypte). Les Chinois étaient présents avec CCTV. Un envoyé spécial de laWeb-télé française de la gauche alternative. « Le média » était également sur place pour couvrir l’«évènement».
Une partie des journalistes est restée dehors en face des deux entrées du Conseil constitutionnel, caméras et appareils photos en mains, une autre était à l’intérieur où une salle leur a été aménagée. C’est dans cet espace que les candidats qui déposeront leurs dossiers étaient attendus pour y animer des conférences de presse. Jusqu’à 10h30 environ, aucun candidat ne s’était signalé. Ali Ghediri, candidat indépendant, était le premier. Après avoir déposé son dossier, il a fait des déclarations aux journalistes dans lesquelles il affirmait avoir obtenu 120 000 signatures, soit le double du minimum requis. Il quittera les lieux vers 11h16. Il sera le seul de la matinée.
Les journalistes présents ont pu obtenir, aux environs de 12h30, le « programme » de la « valse » attendue des candidats. Onze noms étaient mentionnés. Amari Abdelkader (candidat libre) était programmé à 9h. Il était mentionné qu’il avait confirmé son rendez-vous, mais finalement il ne s’est pas déplacé. Un certain Rachik Khoudir devait se présenter à 11h mais aucune trace de lui. Ali Ghediri était le seul parmi les trois programmés la matinée qui a déposé son dossier.
La mise en ligne sur les réseaux sociaux, quelques heures après, d’un document présenté comme le récépissé du dépôt de candidature, signé par le coordinateur de campagne Mokrane Aït Larbi plutôt que par le candidat lui-même, pourtant présent, suscitait de nombreux débats entre les journalistes. Pour eux, ça ne pouvait que confirmer les infos qui circulaient depuis la matinée selon lesquelles ce serait le nouveau directeur de campagne du Président-candidat, Abdelghani Zaalane, qui déposera le dossier au niveau du Conseil constitutionnel. Sa venue était d’ailleurs attendue à 18h.
Les larmes de Bouacha
Dans le programme de l’après-midi huit candidats étaient attendus. Omar Bouacha, président du mouvement El Infitah, s’est présenté aux environs de 15H30 devant les journalistes. Il débuta sa conférence de presse en surprenant les présents. Quelques mots ont suffi pour qu’il commence à pleurer. Des larmes qui ont surpris plus d’un. Il expliquera son état par sa « peur de l’avenir du pays ». Rapidement, il enchaînera sur une longue présentation de son programme électoral. Avant la fin de sa conférence de presse, deux candidats étaient déjà signalés devant le portail du Conseil consultatif. Ghani Mahdi et Rachid Nekkaz.
Chacun d’eux se dirigera vers les journalistes restés dehors, en face du portail d’entrée. Ghani Mehdi annonce qu’il ne sera pas présent le 18 avril parce que son dossier « a été refusé » ! Presque au même moment, l’information selon laquelle Ali Benflis a annoncé sa non-candidature faisait déjà le tour de l’auto-«rédaction » qui s’était créée à l’intérieur du chapiteau installé à l’intérieur du Conseil constitutionnel. Aux environs de 17h, plusieurs fourgons (au moins neuf) transportant les parrainages du Président-candidat sont entrés. Le suspense continuait. D’autres candidats sont attendus avant minuit. La nuit sera longue au siège du Conseil constitutionnel.
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Un important oléoduc d’une capacité de 150.000 barils a explosé vendredi dans le sud-est du Nigeria forçant des centaines d’habitants à fuir, a annoncé dimanche, la société nigériane d’exploitation de pétrole Aiteo, aucune victime n’a été déplorée. Il s’agit du Nembe Creek Trunk Line, un pipeline qui relie le terminal de Bonny à l’état de Bayelsa.
Les secours tentaient toujours hier d’éteindre l’incendie ayant suivi l’explosion. «Nous n’avons pas vraiment reçu d’informations à ce sujet, mais oui, cela a bien eu lieu», a confirmé le porte-parole de la police locale, Asinim Butswat, cité par des médias. «Il n’y a eu aucune perte humaine, et nous ne pouvons pas dire à ce stade s’il s’agit d’une attaque ou si c’est un dégât logistique, car la compagnie ne nous autorise pas à nous rendre sur les lieux et à mener une enquête», a-t-il poursuivi.
Dans un court message, le directeur de la communication de Aiteo, Ndiana-Abasi Mathew a confirmé l’incident, et s’est «réjoui de pouvoir annoncer que le feu était contenu et qu’aucune vie n’est à déplorer». Toutefois, des centaines de personnes ont dû fuir la zone, a rapporté de son côté, le chef traditionnel de la localité de Kalablomi, Oyinkro Jasper, qui se trouve sur le trajet de l’oléoduc.
«Le pipeline passe à travers les communautés de Kalablomi, Nembe Creek 1, Nembe Creek 2, Nembe Creek 3, Fatuo et Jalungo», a-t-il confié. «Et quand ca a explosé, ça a suivi le parcours du pipeline et causé un immense incendie».
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Les mêmes analystes pensent que le mouvement est en «phase intermédiaire» en attendant de voir si les résultats du «grand débat national» pourront éteindre la colère, née le 17 novembre dernier du ras-le-bol fiscal et de la dégradation du pouvoir d’achat.
Le mouvement des «gilets jaunes» semble marquer le pas samedi après seize semaines de mobilisation vu la baisse du nombre de manifestants par rapport aux semaines précédentes. Selon le ministère de l’Intérieur, 39.300 personnes ont manifesté en France, dont 4.000 à Paris, alors qu’elles étaient, selon la même source, 46.600 samedi dernier. De son côté, le mouvement a dénombré 92.000 manifestants à travers le territoire français. Cependant, aux yeux d’analystes, le mouvement, même si la mobilisation est en baisse, est loin de s’essouffler. Ils prévoient un regain de la mobilisation au cas où le «grand débat national», engagé par le président Emmanuel Macron et qui doit prendre fin le 15 mars, n’apportent pas de réponses satisfaisantes aux revendications des «gilets jaunes».
Les mêmes analystes pensent que le mouvement est en «phase intermédiaire» en attendant de voir si les résultats du «grand débat national» pourront éteindre la colère, née le 17 novembre dernier du ras-le-bol fiscal et de la dégradation du pouvoir d’achat. Pour la mobilisation de ce samedi, on relève moins de violences même si des échauffourées ont éclaté entre les manifestants et la police à Nantes, Lyon et Toulouse. Les manifestants brandissaient des banderoles sur lesquelles était écrit: «Gilets jaunes en colère, Stop aux taxes et à la vie chère!!!», revendiquant notamment le référendum d’initiative citoyenne (RIC). Dans la capitale, les manifestants ont débuté leur mouvement aux Champs-Elysées, avant de rejoindre le Sud à la place la place Denfert-Rochereau. Dans leurs banderoles était écrit: «Ric, pouvoir au peuple», «La France est pillée par l’oligarchie. Résistance».
La journée s’est déroulée dans le calme. A Paris, le cortège parti de l’Arc de Triomphe était pour la première fois encadré par des «gilets jaunes» faisant la sécurité à moto. S’il s’est déroulé sans incident, un homme a été blessé au visage en marge du rassemblement, «probablement» par un tir de lanceur de balles de défense (LBD), selon des sources concordantes. Cette arme est l’objet de vives controverses en France pour le nombre de blessés graves qu’elle a provoqués depuis le début du mouvement social le 17 novembre. A Nantes (au moins 1800 manifestants), Toulouse (quelques milliers) et Bordeaux (4000), les défilés ont été émaillés de heurts avec les forces de l’ordre, qui ont interpellé une quinzaine de personnes dans chacune de ces villes.
Dans la capitale, les autorités ont procédé à 33 interpellations. Ces échauffourées et le nombre des interpellations sont néanmoins sans commune mesure avec ceux que la France a connus dans les premiers actes de cette fronde populaire inédite. Ils étaient plus de 2.000 à Lyon; entre 1.000 et 2.000 à Lille, certains arrivés de Belgique. Plusieurs centaines ont été recensés à Marseille, un millier à Montpellier.Vendredi, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a déclaré au sujet des violences que «chaque blessé est un blessé de trop. Alors chaque fauteur de trouble, chaque brute qui a déclenché la violence sera trouvée, interpellée, punie». Pour sa part, le président Macron a appelé vendredi à un «retour au calme», estimant que le mouvement des gilets jaunes n’était «plus compréhensible par bon nombres de citoyens».
Pour lui, la France «a besoin d’un retour au calme», expliquant que «la situation que nous vivons n’est plus compréhensible par nombre de nos concitoyens». «J’espère que les semaines qui viennent permettront de voir une décrue», a-t-il lancé. Selon des sondages, 56% des Français souhaitent que le mouvement s’arrête, alors qu’il était soutenu par la majorité de la population tout au début. Une polémique agite cependant le milieu politique au sein duquel la France insoumise a saisi la police des polices à la suite d’un matraquage brutal d’un de ses députés par des forces de l’ordre soutenues par le préfet de région qui a justifié l’incident.
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Par Mohamed BOUFATAH
Le conseil a voté la décision de se retirer de la course pour la présidentielle à 145 voix pour et 97 voix contre.
Suite aux immenses marches contre le cinquième mandat pour Bouteflika, des candidats potentiels renoncent à leur candidature. Le président du MSP, Abderrezak Makri, qui a pris rendez-vous pour déposer son dossier ce 3 mars au Conseil constitutionnel, a, enfin de compte, annoncé, dans un communiqué, la perspective de renoncer à sa candidature à la présidentielle du 18 avril 2019, dans le cas où le président-sortant dépose son dossier de candidature pour briguer un cinquième mandat. La décision de son retrait de la course à l’investiture suprême a été tranché par son conseil consultatif du parti, qui a tenu sa session extraordinaire avant-hier.
Cela voudrait dire que Makri sera à l’affût de la candidature de Bouteflika jusqu’à l’expiration du délai légal à minuit. Par conséquent il se tiendra prêt pour déposer son dossier de candidature au Conseil constitutionnel avant minuit, délai de rigueur. Ce retrait, qui décrédibilise davantage l’élection présidentielle, est conditionné par la décision du président sortant de confirmer sa candidature en vue de rempiler pour un cinquième mandat. Après un débat houleux, le conseil a voté la décision, tard dans la soirée du samedi, de se retirer de la course pour la présidentielle, à 145 voix pour et 97 voix contre.
Le MSP a salué les manifestations populaires organisées à travers le territoire national contre le cinquième mandat. Il appelle «le pouvoir politique à répondre aux revendications du peuple, tout en mettant en garde contre la persistance du pouvoir à imposer cette perspective, qui constitue un saut dans l’inconnu», conclut le communiqué. Abderezzak Makri, dont la participation à l’élection présidentielle a été entérinée par le majliss echoura en fin janvier dernier, a affirmé avoir rencontré à plusieurs reprises, entre novembre et décembre 2018 dans une institution d’État, le conseiller et frère cadet du président de la République, Saïd Bouteflika.
Lors de ses rencontres, le chef de l’ex-Hamas a proposé le report consensuel (pouvoir-opposition) de l’élection présidentielle pendant une année qui sera consacrée à la refonte du système. L’échec à la fois de sa proposition liée au report de cette échéance et son initiative de recherche d’un candidat unique de l’opposition l’aurait amené à opter pour la participation à cette course électorale. Abderezzak Makri est l’un des rares candidats à avoir rendu public le contenu de son programme électoral, intitulé: «Le rêve algérien.»
Il convient de préciser que jusqu’à la matinée d’hier, le nom de Abdelaziz Bouteflika ne figurait pas sur la liste des rendez-vous convenus auprès du secrétariat général du Conseil constitutionnel. Mais d’autres sources affirmaient que le ministre des Transport, Zalène, déposera, bel et bien, le dossier du président-sortant vers 17 h. «Le peuple a clairement exprimé son refus catégorique et définitif du 5e mandat.
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Abdelkader Mesdoua, ambassadeur d’Algérie en France : « Je le dis en toute certitude : bien entendu Abdelaziz Bouteflika est vivant. » #LaMatinale pic.twitter.com/DNQXhoSkwd
— CNEWS (@CNEWS) 4 mars 2019
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Par Walid AÏT SAÏD
À Alger, des étudiants ont tenté de marcher vers le Conseil constitutionnel alors que dans les autres wilayas du pays ils ont organisé des marches contre la candidature du Président sortant.
Les étudiants se sont de nouveau révoltés contre la candidature du chef de l’État, Abdelaziz Bouteflika. En effet, hier, dernier jour de dépôt des dossiers de candidature pour l’élection d’avril prochain a été marqué par des manifestations d’étudiants à travers les quatre coins du pays. Des milliers de jeunes se sont rassemblés dans l’enceinte de leurs universités, avant de sortir pour marcher. Les forces de sécurité ont tenté de les empêcher. En vain! À l’instar des étudiants en médecine «Ziania» de Ben Aknoun qui ont sauté à travers les murs et les barricades de leur fac afin de gagner la rue. Ils voulaient rejoindre le Conseil constitutionnel pour faire entendre leur voix au président sortant.
Leurs camarades des universités avoisinantes telles que celle de droit ou de sciences politiques ont tenté de les rejoindre. Une grande partie est arrivée au niveau du 11 Décembre1960, d’El-Biar. La police algérienne a utilisé des canons à eau pour disperser ces étudiants qui marchaient en direction des bureaux occupés par Tayeb Belaïz. Néanmoins, les brigades antiémeute ont vite été débordées puisque les étudiants des autres universités d’Alger ont essayé de les rejoindre. C’est le cas de ceux de Blida, mais surtout de Bab Ezzouar, Mohammedia, Dély Brahim. Les forces antiémeute ont été déployées sur tous les axes menant à Alger, que ce soit de l’Ouest ou l’Est.
La route de l’aéroport a été complètement fermée. Des affrontements ont eu lieu entre ces étudiants et les gendarmes. Alger était presque totalement paralysée. Le métro d’Alger a été fermé en début d’après-midi. Toutefois, cela n’a en rien impacté la détermination de ces étudiants qui voulaient dire non au 5ème mandat, oui au changement. D’ailleurs, le mouvement spontané des étudiants a vite été entendu par leurs camarades des quatre coins du pays, qui eux aussi sont sortis dans la rue pour la même raison. Tlemcen, Skikda, Tizi Ouzou, Ouargla,… Des marches et des mouvements de protestations de la même ampleur ont été organisés.
Les étudiants ont voulu sortir pacifiquement pour faire part encore une fois et appeler le candidat Bouteflika à ne pas déposer son dossier. Malgré le caractère pacifique de ces marches, une ambiance de «guerre» régnait dans le pays, avec le déploiement impressionnant des forces de sécurité, ainsi que les routes bloquées et les quelques affrontements enregistrés. Le 18 avril est encore très très loin…
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Par Hocine NEFFAH
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, Ali Ghediri a «pu» collecter, selon ses dires, 120.000 signatures dans 35 wilayas.
Ça y est, c’est officiel, Ali Ghediri, le prétendant à la candidature de l’élection présidentielle a déposé son dossier au niveau du Conseil constitutionnel. Cet ex-général-major et retraité de l’Armée nationale populaire semble prendre le timonier dans la perspective de mener la bataille de la présidentielle.
Dans cet ordre des choses qui évoluent de manière aussi rapide et spectaculaire sur le plan politique que traverse le pays, Ali Ghediri ne se bouscule pas, il maintient sa démarche d’aller jusqu’au bout dans son objectif en sa qualité de candidat à la joute de la présidentielle prochaine. C’est pour la première fois qu’un candidat à la candidature de la présidentielle, en sa qualité de général-major, se présente dans la foulée sans qu’il soit «parrainé» vertement et officiellement par les «décideurs» et le pouvoir en place comme c’était le cas pour Liamine Zeroual, un ancien général qui a été porté par les faiseurs de présidents.
Le dépôt du dossier de candidature de l’enfant de l’institution militaire paraissait au début, comme une rude tâche au vu des exigences que stipule la loi en la matière, à travers la collecte des signatures telle que délimitée par ladite loi.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, Ali Ghediri a «pu» collecter, selon ses dires, 120 000 signatures dans 35 wilayas. Alors que le temps n’était pas en sa faveur, compte tenu du moment choisi pour annoncer sa candidature à la joute de la présidentielle. Cette étape qualifiée de très cruciale et difficile, a été corroborée par un «franc succès» en collectant les signatures requises par la loi, selon ses dires, bien sûr.
Dans ce sens, le candidat à la candidature de la présidentielle prochaine a souligné lors de la procédure du dépôt de son dossier au niveau de Conseil constitutionnel que «c’est la fin d’une étape. Une étape qui était un peu difficile, parce que, nous avons rencontré beaucoup de difficultés dans la collecte des signatures. Et malgré cela, je déclare devant vous, que nous avons pu collecter le double des signatures de ce qui a été exigé par la loi. Le seuil des 1500 signatures a été dépassé dans 35 wilayas, et au niveau de la moitié de ces wilayas, nous avons dépassé les 3000 signatures», a-t-il mentionné a ce propos.
La situation politique traverse une zone de turbulence a cause des marches qui viennent d’imposer un rythme hors normes sur la scène nationale où la rue rejette de fond en comble le 5e mandat. Mais à suivre la démarche de cet ancien général-major de l’Armée nationale populaire on est contraint d’ouvrir une brèche qui ressemble à une espèce de supputations, quant au bien-fondé du dépôt du dossier de la candidature de Ali Ghediri dans un contexte aussi particulier et critique que traverse le pays. A-t-il reçu des garanties? Et si cela s’avère vrai, de qui? Un grand point d’interrogation qui entoure le parcours politique de Ali Ghediri depuis son annonce de principe, d’entrer en lice dans la joute de la présidentielle prochaine. Ali Ghediri s’est fait connaître par ses contributions publiées dans la presse nationale où il exigeait la «rupture, mais sans reniement».
Beaucoup d’observateurs s’interrogent sur la «rupture» que prône cet ex-général et à quelle force «occulte» obéit-il?
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Rachid Boutlelis
A l’instar des autres communes de la daïra d’Ain El Turck, la commune d’El Ançor, s’attaque au phénomène des constructions illicites. Selon des sources proches de l’APC, suite aux dernières instructions du wali d’Oran, une commission s’attèle à recenser toute construction illicite érigée sur le domaine public et lance des opérations de démolition. Nos sources indiquent que plus d’une trentaine de constructions illicites répertoriées dans certaines localités et fermes ont été démolies, ces deux derniers mois.A ce titre une opération de démolition de constructions illicites menée dernièrement, a permis aux responsables de la commune de démolir une trentaine de constructions illicites
dans la coopérative Ghoulam Allah’, Sidi Hamadi et Gueddara. Selon les responsables de la commune, cette opération qui va s’inscrire dans le temps, touchera toutes les constructions illicites à travers le territoire de la commune. Les constructions démolies étaient érigées sur des terres agricoles qui seront ainsi récupérées et rendues à leur vocation initiale. Toujours dans la daïra d’Ain El Turck, les services de l’APC de cette localité avaient démoli, il y a quelques jours 4 constructions illicites dans la localité côtière de St Rock et au centre de cette même commune. A la fin de l’année dernière, 30 autres masures à Haï Zouhour sur les hauteurs de Mers El-Kébir et 4 autres dans la petite localité de La Madrague, près de Cap Falcon, ont été démolies.
Il importe, également, de signaler dans ce même registre que le phénomène des constructions et autres extensions illicites, a pris des proportions démesurées dans la daïra d’Aïn El-Turck et ce, avec tout l’impact négatif qui se répercute sur l’environnement de cette région côtière dont la principale vocation s’articule, comble de l’ironie, autour du tourisme.
En effet, cette triste situation est manifeste, ces 10 dernières années, avec des baraques, montées généralement durant la nuit, à la hâte, avec de la tôle et du parpaing, dans différentes zones de cette daïra qui s’étend sur une superficie de 19,410 ha. Leur nombre a atteint aujourd’hui 2.025.
«Dès son apparition, ce phénomène n’était en réalité qu’un vulgaire calque d’exode rural de familles prétendues sinistrées, venues de diverses contrées. Mais il s’est transformé, par la suite, en une monnaie d’échange pour l’acquisition d’un logement, souvent aux dépends des autochtones, sinon comment expliquer que les relogés ont depuis cédé ou loué leurs logements ? », a confié un retraité de l’APC d’Aïn El-Turck. Notons, encore, que le phénomène n’a pas épargné certaines infrastructures et biens communaux répertoriés. Les autorités locales ont, en effet, été confrontées à de grosses difficultés pour déloger les indus occupants. L’exemple le plus frappant est l’ex-camping de Claire Fontaine, transformé en un jardin public, où 47 familles ont élu domicile. Il y a lieu de signaler que le wali d’Oran a instruit l’ensemble des maires à s’attaquer au phénomène des constructions illicites qui a pris des proportions alarmantes à Oran.
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M. B.
Quatre matches seulement sur les huit programmés au départ lors de cette 23e journée du championnat se sont déroulés. Des reports de dernière minute, qui ne font les affaires ni des équipes engagées ni de leurs supporters. Quoi qu’il en soit, les rencontres ASK-CAB, USMK-UST, JSD-CRBAF et E.C-CRVM ont toutes été décalées. Soit des matches d’une grande importance, notamment en ce qui concerne le haut du tableau, où le duel à distance pour l’accession entre l’USM Khenchela et l’AS Khroub est plus que jamais attrayant. Cette semaine, l’avant-dernier du groupe, l’AB Merouana, a raté une belle opportunité pour fuir le danger en se faisant battre dans son antre par le MO Constantine, qui n’a pourtant plus rien à espérer de cet exercice. L’autre défaite surprise à domicile a été enregistrée à Ouled Djellal où les CRB local s’est incliné devant l’US Chaouia, alors que l’AB Chelghoum Laïd a assuré le service minimum face au CRB Kaïs et se met ainsi provisoirement à l’abri. Enfin, l’USM Aïn Beïda, qui a pris le meilleur sur le HB Chelghoum Laïd, garde du coup la tête hors de l’eau.The post Division nationale amateur – Est: Une journée tronquée appeared first on .
D.B.
Les travaux de réalisation de 3.000 nouveaux logements AADL au nouveau pôle urbain de Misserghine, seront lancés au courant du mois en cours, a-t-on appris, hier, de sources proches de la wilaya. Nos sources indiquent qu’une entreprise turque a été retenue pour la concrétisation de ce programme qui sera réalisé dans site n°18. Nos sources indiquent que ce quota fait partie des 5.000 logements qui seront réalisés au profit des derniers souscripteurs du programme AADL2.Sur ce programme 2.000 unités sont en cours de réalisation par une société syrienne. D’autre part et dans le cadre de la lutte contre l’habitat précaire, un quota de plus de 3.500 logements sociaux sera réceptionné dans ce nouveau pôle urbain, avant la fin de l’année en cours, indiquent les mêmes sources.
Ce programme sera consacré aux mal-logés de la wilaya. En effet, en parallèle au lancement des travaux d’aménagement au pôle urbain de Gdyel, le chantier de réalisation de plus de 3.500 logements sociaux, a été lancé, au nouveau pôle urbain de Misserghine, sur instructions du wali, dans le cadre du programme de logements accordé a la wilaya d’Oran par le ministère de l’habitat pour lutter contre l’habitat précaire. Selon nos sources, le terrain proposé au ministère de l’Habitat pour la concrétisation de ce programme a été approuvé.
Selon nos interlocuteurs, ce programme vient s’ajouter à plus de 18.000 logements, toutes formules confondues, programmés par la wilaya d’Oran. Dans ce pôle, 4.000 autres logements de type AADL sont, actuellement, en cours de réalisation. Le nouveau pôle urbain de Misserghine a été retenu pour la réalisation de 10.000 logements AADL, dans le cadre du quota supplémentaire (13.000 logements), accordé dernièrement, par le ministère de l’Habitat.Ce nouveau programme vient s’ajouter aux 8.000 logements déjà inscrits, au même pôle. Selon nos sources, les travaux des 10.000 logements ont été lancés et avancent à un rythme soutenu. En décembre dernier, le wali d’Oran avait indiqué qu’à l’instar du nouveau pôle urbain de Belgaid où plus de 7.000 logements ont déjà été réalisés, plus de 8.000 logements et des équipements d’excellence seront réalisés, au nouveau pôle urbain de Misserghine. Les deux projets concernent la réalisation de 4.000 logements AADL et 4.000 autres logements sociaux locatifs.
Ces 2 programmes d’habitat constituent le 1er noyau d’édification du nouveau pôle urbain dont a bénéficié la wilaya sur un site important, dans la partie sud-ouest du Groupement urbain de la ville.
Pour la concrétisation des 4.000 logements sociaux de Misserghine, 2 entreprises ont été retenues pour l’étude et la réalisation. Elles ont été choisies à l’issue d’un avis d’appel d’offres national. Chaque entreprise prend en charge un quota de 2.000 logements. Le futur pôle urbain de Misserghine est situé dans le triangle Aïn Beïda – Es-Senia – Misserghine. Avec ses 1.300 ha, il constitue une réelle opportunité foncière de l’aire urbaine d’Oran. Il s’agit d’une ville devant accueillir une population de 200.000 âmes avec, à la clé, un programme mixte de 60.000 logements, d’équipements culturels, de santé, d’éducation, des espaces publics.
La commune de Misserghine, signalons-le, a bénéficié d’un programme de 1.050 logements sociaux destinés à éradiquer l’habitat précaire dans cette commune, 160 logements ont déjà été attribués, alors que plus de 900 sont en phase d’achèvement aux sites de Zabana et Haï Rabah. Outre ce programme, il est prévu la réalisation de plus de 900 logements, dans le cadre du programme réservé aux familles des Planteurs. Ces derniers seront implantés à Haï Zabana. Signalons, enfin, que le wali d’Oran a annoncé, la réalisation d’équipements d’excellence dans ce nouveau pôle. La priorité sera accordée aux infrastructures scolaires et sanitaires, aux espaces verts et aires de jeux et de loisirs ainsi qu’aux équipements de service.The post Une société turque retenue pour le projet: Lancement prochain de 3.000 logements AADL au nouveau pôle de Misserghine appeared first on .
Des milliers d’Algériens sont sortis dans la rue, ce soir, pour manifester contre le maintien de la candidature de Bouteflika à la présidentielle du 18 avril. Des manifestations sont en cours à Alger, Bejaia, Skikda, Mostaganem…
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Des centaines de personnes sont sortis manifester dans la rue contre le cinquième mandat de bouteflika à skikda !
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Rachid Nekkaz, prétendant à la candidature pour l’élection présidentielle du 18 avril prochain a fait savoir sur sa page Facebook qu’il a été «kidnappé» par la police à sa sortie du conseil constitutionnel.
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Le président du Mouvement El Infitah, Omar Bouacha, a déposé, dimanche au Conseil constitutionnel, son dossier de candidature à la présidentielle du 18 avril prochain.
Dans une déclaration à la presse à l’issue du dépôt de son dossier, M. Bouacha a indiqué que son parti « a pu collecter plus de 60.000 formulaires signés par des citoyens et des militants du parti », s’engageant à « respecter le processus démocratique et l’alternance du pouvoir ».
A ce propos, il a appelé à « remettre le flambeau aux enfants de la génération de l’indépendance et à leur donner l’occasion de gérer le pays », ajoutant que « les Algériens ont déjà payé un lourd tribut hier et ne veulent plus revivre cette douloureuse expérience ».
Pour être éligible à la présidence de la République, le candidat doit jouir uniquement de la nationalité algérienne d’origine, ne jamais avoir possédé une autre nationalité, attester de la nationalité algérienne d’origine du père et de la mère et doit être de confession musulmane.
Il doit également avoir quarante (40) ans révolus au jour de l’élection, jouir de la plénitude de ses droits civils et politiques et attester de la nationalité algérienne d’origine unique du conjoint.
Le candidat doit justifier d’une résidence permanente exclusive en Algérie durant un minimum de dix (10) années précédant le dépôt de la candidature, justifier de la participation à la Révolution du 1er Novembre 1954 pour les candidats nés avant juillet 1942 et justifier de la non implication des parents du candidat né après juillet 1942, dans des actes hostiles à la révolution.
Il doit également produire la déclaration publique du patrimoine mobilier et immobilier, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Algérie, outre un dossier administratif contenant les renseignements du postulant, ce dernier doit notamment présenter soit une liste comportant au moins 600 signatures individuelles de membres élus d’assemblées populaires communales, de wilayas ou parlementaires et réparties, au moins, à travers 25 wilayas, ou bien une liste comportant 60.000 signatures individuelles, au moins, d’électeurs inscrits sur une liste électorale.
A noter que le Conseil Constitutionnel statue sur la validité des candidatures à la présidence de la République par décision, dans un délai de 10 jours francs, à compter de la date de dépôt de la déclaration de candidature. L’acceptation ou le refus du dossier seront notifiés au concerné par une décision qui sera publiée au Journal officiel.
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