Dans un communiqué rendu public aujourd’hui, Le conseil national de l’ordre des médecins algérien met en garde les institutions chargés d’examiner la validité des certificats médicaux, délivrés aux candidats à la présidence, et attire l’attention sur l’obligations des auteurs des dits certificats , de leur inscription au tableau de l’ordre des médecins.
D’autre part, l’ordre des médecins salue le mouvement populaire contre le 5e mandat du candidat Bouteflika, et adopte « toutes les positions exprimées par le peuple ».
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Le championnat a été complètement relancé, ce week-end, suite à la défaite du leader face au PAC sur le score de deux buts à un mais aussi à la victoire de la JSK contre l’Entente de Sétif par la plus petite des marges, un but à zéro. Les Canaris, qui traversaient des moments difficiles, ont réussi à renouer avec le succès et réduire par la même occasion l’écart sur les Rouge et Noir à cinq unités seulement. C’est dire que le rêve de remporter le championnat est dans les esprits des Kabyles qui croient plus que jamais en leurs chances, eux qui estiment qu’ils ont un effectif capable de tenir le coup et de surprendre tous les observateurs. Mais pour que la JSK puisse aller au bout de son rêve, il lui faudra d’abord enchaîner une nouvelle victoire, le 16 mars prochain contre l’Olympique Médéa. Un déplacement très difficile contre une formation qui n’a toujours pas assuré son maintien en Ligue 1 Mobilis. Mais pour booster ses joueurs, nous avons appris d’une source officielle que la direction kabyle envisage de motiver de manière conséquente les coéquipiers de Nabil Saâdou. C’est ainsi qu’une prime de 20 millions leur sera versée, en cas de victoire, ce qui devrait encourager davantage les joueurs qui reprendront le travail ce mardi matin à Tizi Ouzou.
La direction sort le chéquier
Alors que l’objectif était d’assurer le maintien, les choses ont changé et le rêve est devenu plus grand. Après la victoire face à l’ESS et la défaite des Usmistes, le championnat a été complètement relancé. De ce fait, la direction de la JSK a décidé de jouer ses chances à fond. D’ailleurs, le président Mellal ne devrait pas hésiter à sortir son chéquier et accorder aux joueurs une prime conséquente, en cas de victoire. En cette fin de saison, la carte de la motivation pourrait bien fonctionner.
L’heure de la confirmation a sonné
De leur côté, les joueurs de la JSK que nous avons accostés à la fin de la rencontre face à l’ESS tenaient tous le même discours : rester sur la lancée et aller chercher une victoire à Médéa, dans moins de deux semaines. Ce qui explique qu’ils sont tous motivés et déterminés à terminer la saison sur le podium et prendre part à une compétition africaine la saison prochaine.
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Vous avez retrouvé votre vitesse de croisière en battant par la plus petite des marges l’Entente de Sétif, quel est votre sentiment ?
Effectivement, après nos derniers résultats négatifs, nous avons réussi à retrouver notre efficacité en gagnant un match très important contre l’Entente. Sincèrement, on n’avait pas droit à l’erreur, notamment devant nos supporters qui ont répondu présents. Ce fut un match très difficile mais nous avons quand même réussi à avoir le dernier mot. Ce succès va nous permettre d’aborder les prochains matchs avec un bon moral.
Finalement, la direction a bien fait de programmer un mini-stage à Tigzirt qui vous a permis de vous remobiliser, n’est-ce pas ?
Oui, les dirigeants ont vu juste, c’était important de regrouper les joueurs, loin de la pression, notamment après la défaite face au CRB. Le stage de Tigzirt nous a fait beaucoup de bien, même s’il n’a duré que quatre jours. Ça nous a permis de nous retrouver mais surtout d’ouvrir une nouvelle page. Nous allons maintenant faire tout notre possible pour terminer la saison en force. Il ne reste que sept rencontres, donnons-nous à fond pour faire plaisir aux supporters qui méritent tout le bonheur du monde.
Avec cette précieuse victoire, vous avez consolidé votre position et aussi mis plus de pression sur l’USMA. Sincèrement, pensez-vous pouvoir terminer champions ?
Avec cette victoire, nous avons prouvé que nous sommes solides et qu’on n’était pas prêts à lâcher notre deuxième place. Maintenant, puisque nous sommes à quelques points de l’USMA, nous allons essayer de leur mettre plus de pression mais aussi de gagner des matchs. Rien n’est encore joué, il reste encore des matchs très difficiles à domicile et à l’extérieur. Il faut savoir bien gérer cette période.
Il reste encore 7 rencontres, comment comptez-vous les aborder ?
Avec beaucoup d’intensité, de sérieux et de volonté. Il est grand temps de sortir le grand jeu, de se sacrifier pour l’équipe. Nous nous sommes donnés à fond depuis plusieurs mois déjà, ce n’est pas le moment de baisser les bras. Sincèrement, on souhaite offrir quelque chose à nos supporters. Personnellement, je vais continuer à me donner à fond et mouiller mon maillot pour cette équipe.
Le prochain déplacement vous mènera à Médéa pour défier l’équipe locale, comment comptez-vous vous y prendre ?
C’est un match très difficile devant une équipe qui traverse des moments difficiles. Nous allons subir une énorme pression, mais rien ne nous fera reculer. Au contraire, nous allons nous rendre à Médéa avec la ferme intention de réaliser un bon résultat. L’objectif est de ne pas perdre, afin de garder intactes nos chances de terminer en haut du tableau.
Ne pensez-vous pas que la trêve est tombée au mauvais moment ?
Oui, je le pense. On aurait aimé enchaîner une autre rencontre en fin de semaine. Nous avons retrouvé notre efficacité, ç’aurait été mieux pour nous de jouer juste après le match contre l’ESS. C’est dommage, on n’a pas vraiment le choix, il faut respecter la programmation. Nous allons profiter de cette trêve pour corriger nos lacunes et préparer le reste du parcours.
Les supporters ne vous lâchent plus, qu’avez-vous à leur dire ?
Les supporters de la JSK sont uniques, ils nous ont soutenus depuis le début de la saison. A chaque rencontre, ils remplissent les gradins, que ce soit à Tizi Ouzou ou à l’extérieur. Ils méritent qu’on leur offre quelque chose à la fin de la saison. Le moins que je puisse dire est que nous allons continuer à nous donner à fond jusqu’au dernier match.
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Le président de la FAF, Kheiredine Zetchi, qui se trouve à Doha au Qatar, a rencontré ce mardi le Directeur Général d’Aspetar, le Dr. Abdulaziz Al Kuwari. C’est ce qu’a indiqué la FAF sur son site internet tout en étalant que: «Les deux responsables ont abordé plusieurs points concernant le partenariat qui pourrait lier la FAF à Aspetar. Une présentation des lieux, notamment les services en matière de soin et de récupération qu’offrent Aspetar, a été faite aux membres de la délégation algérienne composée en plus du président, du membre du bureau fédéral et manager général de la sélection nationale Hakim Medane, du médecin fédéral le Dr Benazieb Mohamed Larbi et de l’entraineur des gardiens de but de la « A », M Azziz Bouras.»
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Saphir Taïder fait partie de l’équipe type de la première journée de la MLS. Le joueur Algérien de l’Impact Montréal s’était illustré lors de la première rencontre du championnat face aux Earthquakes de San Jose en inscrivant le but de la victoire de son team.
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Youcef Atal a réussi à s’imposer comme un titulaire indiscutable à l’OGC Nice depuis son arrivée en juillet dernier. Les performances de l’arrière droit de 22 ans ont attiré l’Atlético Madrid qui s’intéresse à son dossier en vue du mercato estival prochain. En effet selon les informations du quotidien régional Nice-Matin, L’Atlético Madrid s’intéresse fortement à Youcef Atal. Les dirigeants des Rojiblancos ont l’intention de soumettre une offre aux patrons de l’écurie niçoise en vue d’enrôler leur protégé. Le journal n’a pas précisé le montant que ces derniers sont prêts à mettre sur la table pour concrétiser leur ambition. Reste à savoir si le président Gauthier Ganaye voudrait céder son joueur pendant l’été. Rappelons que le numéro 20 azuréen est sous contrat jusqu’en juin 2023 rapporte foot-sur7.fr.
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Avec seize points d’avance sur son dauphin, la Juventus Turin file sûrement, mais pas sereinement, vers un nouveau titre de champion. Malgré tout, il y a toujours des remous au sein de la Vieille Dame. En effet, les dirigeants de la Juve auraient reçu peu après la victoire ce dimanche face à Naples, la demande de démission de Massimiliano Allegri.
Selon le Corriere Dello Sport et Les-Transferts.com, le technicien italien souhaiterait démissionner à cause des nombreuses critiques qu’il aurait reçu après la défaite contre l’Atlético Madrid. Le président des Bianconeri, Andrea Agnelli, a toutefois refusé sa requête et un rendez-vous devrait avoir lieu après le match retour le 12 mars prochain pour évoquer l’avenir de l’entraineur..
« L’avenir d’Allegri n’est pas lié au résultat d’un match en Champions’ League ni à un championnat gagné ou perdu, mais à un projet avec nous » a déclaré Fabio Paritici, le directeur sportif de la Vieille Dame.
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Plus de 140 exposants nationaux et étrangers sont attendus à la deuxième édition du Salon international de l’environnement et des énergies renouvelables qui se déroulera du 7 au 10 mars à Alger, a annoncé mardi la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatma-Zohra Zerouati.
Placée sous le thème « Les énergies renouvelables hors réseau au service d’un environnement durable dans le sud algérien et les zones enclavées » cette nouvelle édition verra la participation de 120 exposants professionnels et institutionnels algériens et 22 exposants étrangers issus de sept pays dont la Chine qui sera « l’invitée d’honneur », a indiqué Mme. Zerouati, lors d’une conférence de presse tenue à l’occasion de cet évènement qui se déroulera au Palais des expositions d’Alger.
Le salon a consacré une superficie de 5.000 mètres carrés (contre une superficie de 2.500 mètres carrés durant l’édition précédente), ce qui dénote, selon Mme Zerouati, de l’importance de ce rendez-vous incontournable aux acteurs du secteur de l’environnement et des énergies renouvelables.
Le salon cible un public professionnel dont des opérateurs économiques versés dans le domaine de la protection de l’environnement et des énergies renouvelables, des scientifiques et des étudiants mais aussi, le grand public, en prévoyant « un nombre de 15.000 visiteurs » qui devraient affluer vers ce salon tout au long de ces quatre jours.
L’édition précédente, a-t-elle rappelé, avait enregistré 12.000 visiteurs dont 6.000 professionnels, durant laquelle 42 contrats entre différents opérateurs économiques ont été conclus.
Durant cette édition 2019, la ministre a annoncé la signature prévue de plusieurs conventions entre son département et les ambassades des pays étrangers qui prendront part à cet évènement.
Outre la Chine, elle a cité les ambassades de l’Allemagne, la France, l’Italie, la Turquie, les Pays-Bas et la Corée du sud.
« Ces accords nous permettront d’effectuer des visites de terrain et d’échanger des connaissances en matières des énergies renouvelable et de l’économie verte « , a-t-elle fait savoir.
Elle a également annoncé la signature d’une convention entre son ministère et celui de la Communication portant sur la formation des journalistes pour assurer un meilleur impact médiatique des campagnes de sensibilisation et d’information relatives à l’économie circulaire et la promotion et la valorisation des énergies propres et renouvelables.
Quant au choix du thème de cette édition consacrée au rôle des énergies renouvelables dans le développement durable du sud et les zones enclavées, la ministre a souligné l’impératif de se pencher sur ces zones à travers la promotion des énergies propres génératrices de richesse et d’emploi, en exploitant leurs capacités et richesses pour réaliser des investissements adéquats aux spécificités de chaque région sans altérer l’environnement.
« Cela permettrait de lutter contre la pauvreté et de stabiliser les populations de ces zones et de réduire le fossé entre le nord et le sud, à travers la création de la richesse et de l’emploi, a-t-elle soutenu.
En marge du salon, des conférences thématiques seront organisées par des experts nationaux et étrangers pour débattre autour de plusieurs thèmes, dont la stratégie adoptée par le secteur pour promouvoir, valoriser et développer les énergies renouvelables, et leur apport dans le développement durable des régions éloignées du sud et des hauts plateaux, le rôle des énergies renouvelables dans le développement d’une économie circulaire en Algérie, notamment à travers les filières de valorisation énergétique et la gestion intégrée des déchets.
Au terme de cette rencontre, la ministre a annoncé la tenue des Assises nationales de l’environnement qui auront lieu les 17 et 18 mai à Alger.
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Des mesures ont été prises par les autorités françaises afin de faciliter aux Algériens inscrits en candidats libres de passer les épreuves du bac français, a indiqué le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.
« Des mesures ont d’ores et déjà été prises afin de faciliter (aux Algériens) la passation des épreuves du baccalauréat des candidats inscrits en candidats libres », a répondu le Quai d’Orsay à une question écrite du député M’jid El Guerrab (Libertés et Territoires – Français établis hors de France) à l’Assemblée nationale française, dont la réponse a été publiée mardi au Journal Officiel.
Le député a attiré l’attention du ministère sur la possibilité, pour les lycéens algériens, de passer en candidats libres les épreuves du baccalauréat français au niveau du lycée français Alexandre Dumas (LIAD) d’Alger, rappelant qu’il a été confronté à un accroissement « important » de candidats libres souhaitant passer les épreuves du baccalauréat.
Le ministère a indiqué que le nombre d’inscrits à la session 2018 du baccalauréat général s’établit à 710 candidats (épreuves terminales) en Algérie parmi lesquels 180 candidats scolaires et 530 candidats libres, soit une augmentation pour ces derniers de 13 % par rapport à la session 2017.
« Cette situation a conduit à réfléchir à de nouveaux modes de fonctionnement dans le cadre du plan pour l’enseignement français en Algérie, mais également à une échelle régionale », a expliqué le ministère qui a relevé une « très forte » augmentation des inscriptions.
« C’est ainsi que 772 candidats libres se sont inscrits aux épreuves anticipées de la session du baccalauréat 2019 (épreuves se déroulant en 2018) soit une augmentation de 40 % par rapport à 2017, a-t-il précisé, indiquant que le passage des épreuves orales a nécessité le renfort de deux professeurs supplémentaires par rapport aux années précédentes, effort consenti par l’académie d’Aix-Marseille.
Il a ajouté que le service de Coopération et d’Action culturelle et les services du consulat général sont « mobilisés » pour accompagner les écoles partenaires et les candidats en vue de leur inscription en candidat libre dans les académies françaises, ainsi que dans leurs démarches d’obtention de visa, en particulier ceux qui doivent composer dans les filières technologiques.
Selon les chiffres avancés par le député, en 2016, 460 candidats algériens ont pu passer les épreuves du baccalauréat français, ajoutant qu’en 2017, la situation a été « particulièrement compliquée » car 800 candidats algériens n’ont pas été en mesure de passer les épreuves en candidats libres, « faute de place dans les locaux et faute de personnel surveillant suffisant ».
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Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib a posé, mardi, la première pierre de réalisation d’un complexe de production de tuyaux dans la zone industrielle de Sidi Khettab (wilaya de Relizane) dans le cadre d’un partenariat algéro-turc.
Hocine Necib a indiqué que ce projet s’inscrit dans le cadre de la politique de l’Etat visant à diversifier l’économie nationale hors hydrocarbures et à réduire la facture d’importation.
Le ministre a souligné que ce complexe est un acquis pour la wilaya et l’Algérie qui satisfera les besoins du secteur des ressources en eau et le marché national, mettant l’accent sur la position stratégique de Relizane, proche du port de Mostaganem facilitant l’exportation du produit de ce complexe.
Cet investissement d’une valeur de 80 millions d’euros obéit à la règle de partenariat 49/51 entre le groupe algérien Cosider et la société turque « Samssan Makina Industries ».
Cette usine, dont le délai de réalisation est fixé à 18 mois, produira plus de 100.000 tonnes de tuyaux par an, ce qui devra satisfaire les besoins du marché national et permettre de s’orienter vers l’exportation. Elle sera réalisée sur une superficie de 33 hectares et devra créer 160 postes d’emploi, selon les explications fournies.
En outre, Hocine Necib a mis en service, au début de sa visite dans la wilaya, un réservoir d’eau d’une contenance de 1000 mètres cubes dans la commune de Belacel, destiné à alimenter la population de la région en eau potable.
Il a procédé aussi à la pose de la première pierre d’une station de pompage d’eau de 40.000 m3/jour dans la commune de Oued El Kheir (wilaya de Mostaganem) pour alimenter la zone industrielle de Sidi Khettab en eau.
Le programme de la visite du ministre dans la wilaya prévoit la pose de la première pierre d’une autre station de pompage à Heraiziia dans la daïra de Zemmoura d’une contenance de 19.700 m3 pour alimenter les communes de Zemmoura, Dar Benabdellah, Mendès et Oued Slam en eau de mer dessalée, ainsi que l’inauguration d’un réservoir d’eau de 1000 m3 dans la nouvelle ville de Benadda Benoauda (Relizane).
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La ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Houda Imane Faraoun, a affirmé mardi à Khenchela que l’Etat était « déterminé » à faire parvenir les services d’internet et du téléphone aux campagnes et villages reculés de toutes les wilayas du pays dans « des délais proches ».
La ministre a reconnu, à l’issue de la présentation d’un exposé sur son secteur, l’existence « d’un retard dans le raccordement de plusieurs localités isolées à l’internet et au téléphone notamment dans les wilayas au relief montagneux à l’instar de Khenchela », affirmant à ce propos la détermination de son département à desservir ces localités dans un proche avenir.
La ministre a donné des instructions fermes aux responsables locaux du secteur pour rouvrir tous les centres postaux fermés en attendant l’affectation de nombre suffisant de travailleurs pour les exploiter assurant que l’objectif de la politique de son département est de placer un bureau de poste au service de toute agglomération de 1000 habitants.Elle a fait état en outre du recrutement de 180 agents dans la wilaya de Khenchela au cours de l’exercice 2019 dont 107 par Algérie télécom et 73 par Algérie poste et a promis de relever ce chiffre en « juin prochain » en cas de manque en ressources humaines.
A son arrivée à Khenchela, la ministre a lancé deux projets de connexion de Khenchela à Tébessa et Oum El Bouaghi sur 70 km dans le cadre du projet national de raccordement des wilayas au réseau de fibre optique haut débit et a ordonné de livrer les deux projets dans deux mois.
La ministre a procédé aussi à la mise en service du projet de fibres optiques FTTH à la cité 2000 logements AADL et a ordonné le lancement de la commercialisation du service internet aux habitants « la semaine prochaine au plus tard ».
Mme Faraoun s’est rendue vers la commune d’Ouled Rechach pour y ouvrir un nouveau bureau de poste réalisé sur un financement du Fonds national de garantie et solidarité des collectivités locales et a insisté notamment sur le bon accueil des citoyens.
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L’alimentation en électricité sera interrompue jeudi 7 mars dans plusieurs localités de la commune de Reghaïa (Alger) en raison de travaux d’entretien, a indiqué mardi la Société de distribution d’électricité et de gaz d’Alger (SDA) dans un communiqué.
Cette coupure, programmée jeudi de 9h00 à 16h00, concernera les cités dénommées « Saidani Allel », « 168 logements Saidani Allel », « Ali Khoudja » ainsi que le bidonville « Saidani Allel », précise la même source.
Cette coupure est due à des travaux d’entretien menés sur la ligne HTA 30 kilovolts.
La Direction de distribution de Sonelgaz d’El Harrach met à disposition de sa clientèle le numéro « 3303 » pour de plus amples informations.
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La Commission européenne a appelé aujourd’hui au respect « de la liberté d’expression et de réunion » en Algérie, où les manifestations se poursuivent contre la 5ème candidature de Bouteflika.
« Quand on parle de manifestation, les droits de liberté d’expression et de réunion sont inscrits dans la Constitution algérienne », a déclaré Maja Kocijancic, porte-parole de la Commission européenne, lors d’un point presse à Bruxelles. « Nous attendons que ces droits puissent être excercés de façon pacifique et soient garantis dans le respect de l’Etat de droit ». Maja Kocijancic a également souligné « l’importance du partenariat entre l’UE et l’Algérie » et réaffirmé l’engagement de Bruxelles « pour continuer à approfondir nos relations dans le but de créer un espace commun de stabilité, de démocratie et de prospérite partagées ».
Aujourd’hui, plusieurs milliers d’étudiants défilaient à nouveau dans la capitale et dans plusieurs villes d’Algérie contre la 5ème candidature de Bouteflika, repoussant les promesses du chef de l’Etat de réformer et de ne pas aller au bout de son éventuel nouveau mandat.
« Plusieurs candidats ont soumis leur candidature », a constaté Maja Kocijancic. « Il appartient maintenant au conseil constitutionel algérien de confirmer leur conformité par rapport à la Constitution et la loi électorale ».
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ALGER – L’Algérie prospecte pour exporter de l’électricité vers la Libye, a annoncé mardi à Alger le ministre de l’Energie Mustapha Guitouni.
Le ministre s’exprimait en marge de la signature d’un protocole d’accord entre le groupe Sonelgaz et la société libyenne General Electricity Company Of Lybia (GECOL) portant sur une « coopération durable » dans la production de l’électricité en Libye.
« L’Algérie et la Libye sont liées par des liens de fraternité exceptionnels, des liens que nous tenons à renforcer en continu de façon à servir les intérêts des peuples des deux pays (…). Notre volonté est sincère pour renforcer la coopération bilatérale et travailler ensemble pour développer nos relations économiques dans le domaine de l’énergie à travers des projets de partenariat », a affirmé M. Guitouni.
« C’est dans ce sens que nous travaillons pour exporter de l’énergie électrique vers la Libye », a-t-il poursuivi.
Le protocole signé entre les deux sociétés permettra, selon le ministre, de renforcer la coopération entre les deux pays dans le domaine de l’énergie.
Selon lui, l’accord, à long terme, permet aux filiales de Sonelgaz de fournir leurs prestations à GECOL dans tous les domaines liés à la production de l’électricité.
Il s’agit notamment, a-t-il poursuivi, de la maintenance et le développement des centrales électriques, la fourniture des équipements, la participation dans l’assemblage de nouvelles centrales, la formation des travailleurs des centrales relevant de GECOL, mais aussi la contribution directe dans l’exécution de projets de centrales électrique.
De son côté, le P-dg de Sonelgaz, Mohamed Arkab, a précisé que la coopération bilatérale prévue dans ce cadre devrait commencer par la formation des cadres et travailleurs de Gecol par les cadres des filiales de Sonelgaz et la maintenance des centrales libyennes en activité, avant de passer à la seconde étape portant sur l’investissement direct dans la production.
« Ca fait une année et demie que nous sommes en train de négocier avec notre partenaire libyen pour créer ensemble un partenariat dans la production de l’électricité en Libye et surtout pour ce qui concerne la maintenance, la réparation de la pièce de rechange, dont les pièces nobles dans les turbines à gaz et turbines à vapeur et aussi la mise en service de centrales électriques », a-t-il détaillé.
Toutes ces chaines de valeur « sont maîtrisées par le groupe Sonelgaz à travers ses sociétés. Le but recherché avec nos frères libyens est de mettre en place un partenariat gagnant-gagnant qui va nous permettre aussi de transférer notre technologie. Nous allons commencer par la formation et la maintenance. Ensuite nous allons passer vers d’autres horizons tel que la réalisation des centrales, la réalisation de réseaux de haute tension et de très haute tension ainsi que la distribution de l’énergie électrique », a-t-il poursuivi.
Ainsi, Sonelgaz pourrait investir dans la réalisation de centrales combinées et de centrales rapides réalisables sur un mois ou 45 jours pour répondre à des besoins urgents en Libye, selon M. Arkab.
Interrogé pour savoir si la situation sécuritaire dans ce pays voisin ne rendait pas difficile un tel partenariat, il a répondu par la négation. « La situation sécuritaire (en Libye) est bien étudiée, nous travaillons dans le cadre de la coordination existant entre les deux pays », a-t-il dit.
Quant aux montants qui y seront investis, le premier responsable de la Sonelgaz a estimé qu’il était « encore prématuré de parler de montants. Nous allons commencer par un premier contrat dans la maintenance dont le montant sera connu prochainement. Cette après-midi, nous allons justement aborder les détails du protocole d’accord qui sera suivi par la signature de plusieurs accords », a-t-il répondu à une question de l’APS.
Interrogé sur le projet d’exportation de l’électricité vers la Libye, il a indiqué que la question fait l’objet actuellement d’études techniques et commerciales visant à évaluer la faisabilité de « l’installation de lignes électriques de 400 kilos voltes entre l’Algérie et la Libye qui vont porter la distribution globale à 2000 kilos voltes d’électricité ».
Une fois validé, ce projet se fera en partenariat avec les libyens, a-t-il ajouté.
Pour sa part, le P-dg de Gecol, Abdelmadjid Mohamed Hamza, a salué la signature de ce protocole d’accord qui « marque le début d’une coopération durable entre Gecol et Sonelgaz ».
Reconnaissant la réticence des investisseurs européens et américains vis-à-vis de la Libye « sous prétexte de l’insécurité », dit-il, M. Hamza a assuré que Sonelgaz profitera d’un « traitement privilégié » une fois qu’elle aura investi en Libye.
« Nous avons recouru à l’Algérie en raison de la similitude du processus de génération d’électricité dans les deux pays, parce que les Algériens sont arrivés à un niveau très élevé en termes de maintenance et de production de pièces de rechange des unités de production d’électricité, pour profiter de l’expérience algérienne et parce que les étrangers refusent, dans la plupart des cas, de venir en Libye sous prétexte de l’insécurité », a-t-il confié.
« C’est sûr que la priorité (en matière d’investissements) sera donnée à nos partenaires algériens, vus les liens de fraternité qui nous relient, la proximité géographique et la performance dans les prestations de Sonelgaz », a-t-il soutenu.
Il a avancé que la coopération bilatérale devrait s’élargir davantage dans le future pour englober le créneau du transport d’électricité.
« D’ailleurs, cette après-midi nous allons discuter des moyens de connecter le réseau électrique libyen avec le réseau algérien », a-t-il dit
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ALGER- Le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, Mohamed Mébarki a annoncé, mardi à Alger, l’organisation ,par le ministère, en coordination avec la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR), d’un concours national sur la culture financière au profit des stagiaires du secteur de la Formation professionnelle.
Supervisant avec le P-dg de la BADR, Boualem Djebbar, le lancement d’une journée d’information sur ce concours, M. Mébarki a précisé que cette activité visait à « ancrer et diffuser » la culture financière chez les stagiaires entamant la dernière phase de leur cursus de de formation et s’apprêtent à accéder à l’emploi, notamment par la création de micro-entreprises.
Le concours qui se déroulera au niveau d’un nombre d’instituts de formation, répartis sur le territoire national, a pour objectif de fournir aux participants des informations sur le secteur bancaire et tertiaire en vue d’acquérir les compétences professionnelles ayant trait aux activités économiques et financières qui sont parmi les conditions essentielles pour la réussite des projets de création d’entreprises, a ajouté le ministre M.Mébarki a rappelé, par ailleurs, que le ministère avait introduit un module sur les modalités de création et de gestion des micro-entreprises dans programme de formation, et ce en coordination avec les différents dispositifs de soutien à l’emploi, notamment l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ) et la Caisse nationale d’assurance-chômage (CNAC), afin de faire connaître les systèmes fiscaux, la gestion financière et administrative de l’entreprise et les transactions commerciales et bancaires.
Par ailleurs, le ministre a indiqué que le secteur a enregistré 314.000 diplômés en 2018, dont plus de 16.000 diplômés dans des spécialités liées aux finances, à l’instar de la comptabilité, des banques, des assurances, de la commercialisation et des techniques de comptabilité.
Pour sa part, M. Djebbar a indiqué que ce concours s’inscrit dans le cadre de la contribution de la BADR dans l’ancrage de la culture financière chez les diplômés du secteur de la formation professionnelle et sera couronné par des prix « considérables » aux trois premiers lauréats de chaque wilaya.
Le premier lauréat bénéficiera d’un carnet d’épargne de 25.000 DA, le deuxième (20.000 DA) et le troisième (15.000 DA). Les dix premiers lauréats au concours bénéficieront de comptes bancaires, de carnets d’épargne avec des montants financiers symboliques et de cartes bancaires.
M.Djebbar a souligné que les trois premiers lauréats au niveau national seront recrutés dans les spécialités demandées par la BADR, outre la contribution de la banque dans l’accompagnement des diplômés du secteur de la formation professionnelle désirant créer des micro-entreprises et accéder au monde de l’entrepreneuriat.
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ALGER – L’ancien journaliste de l’Agence Algérie Presse Service Omar Zeghmi s’est éteint mardi à l’âge de 75 ans à l’hôpital de Kouba, à Alger des suites d’une longue maladie, a-t-on appris auprès de ses proches.
Connu pour sa bonhomie et son professionnalisme, le défunt a exercé au sein de l’APS en sa qualité de journaliste et responsable du service Economie, et a supervisé la publication de la Revue économique de l’Agence édité durant les années 1980-1990. Il était également correspondant de l’APS à Rabat de 1997 à 2000.
Le défunt est aussi connu pour avoir été parmi le collectif ayant lancé la revue Algérie et Développement, édité à l’époque (1972-1974) par le quotidien El Moudjahid.
Il était marié et père de deux enfants.
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ALGER- Le développement de l’industrie pharmaceutique en Algérie et l’exportation de sa production, nécessitent une révision des prix des médicaments pour encourager l’investissement dans ce domaine, a estimé mardi, à Alger par le président de l’Union nationale des opérateurs de pharmacie (UNOP).
L’Algérie produit localement 50% de ses besoins en médicaments, mais les prix appliqués actuellement, qui sont bas par rapport à ceux de certains pays européens et méditerranéens, peuvent constituer un « obstacle » à l’investissement, a précisé M. Abdelouahed Kerrar, à l’occasion de la présentation d’une étude sur les prix des médicaments pratiqués en Algérie.
Selon lui, l’absence de prix rémunérateurs des médicaments empêche l’accès à la technologie de fabrication des produits innovants ou des produits de biotechnologie.
Les prix actuels vont à terme « casser la dynamique de croissance et surtout le développement de la production locale, indispensable à la réalisation des objectifs de la politique nationale de santé publique »,a-t-il mis en garde.
Il a, toutefois, avancé qu’il était possible de concilier entre l’objectif consistant à assurer un accès élargit aux soins, avec celui, non moins important, de rémunérer correctement les producteurs et leur permettre ainsi de se développer.
La modification du cadre juridique relatif aux prix des médicaments demeure la « seule solution » pour permettre une bonne croissance de l’industrie pharmaceutique en Algérie au bénéfice de l’économie nationale, a estimé le président de l’UNOP.
Réalisée par un cabinet international, cette étude relève que le marché des médicaments algérien est un marché « attrayant » occupant la troisième place dans la région Mena, ajoutant que le pays « maintient une croissance régulière de 6,6 % pour atteindre 4.1 milliards de dollars en 2021″.
Cependant, cette étude relève que » l’application des prix des plus bas pourrait affecter le potentiel d’exportation et décourager dans le même sillage les investisseurs ».
Elle indique également que cette tarification à la baisse « va inévitablement retarder le lancement de nouveaux produits dans le pays ».
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Le président de la Ligue de football professionnel (LFP) Abdelkrim Medouar a brandi la menace de quitter son poste, contestant la gestion de son instance, neuf mois après son élection en remplacement de Mahfoud Kerbadj.
« Je ne suis pas satisfait de ce qui se passe actuellement au niveau de la gestion de la LFP. Je ne suis pas venu pour entrer en conflit avec les gens et prendre constamment mes précautions vis-à-vis d’un fonctionnaire de la Ligue, d’un journaliste, ou d’un membre d’une structure. Si la situation persiste, je ne suis pas prêt à continuer. Je ne peux pas rester pour me torturer davantage », a affirmé Medouar lundi soir sur le plateau de l’émission « Studio Foot » de la chaîne Echourouk News.
Pourtant, en novembre dernier, Abdelkrim Medouar avait rejeté toute idée de démissionner de son poste : « Je n’ai jamais songé à démissionner. Je ne le ferai jamais. J’ai été élu démocratiquement en m’appuyant sur la confiance des membres de l’assemblée générale ». Des propos tenus à l’issue du conflit avec les membres du Bureau exécutif de la LFP.
« Jusqu’au jour d’aujourd’hui, je n’ai pas trouvé ce que je cherchais au niveau de la LFP. Je me vois comme un pompier, contraint à chaque fois d’éteindre le feu. Ce n’est guère la gestion d’une Ligue professionnelle », a-t-il conclu.
Ce revirement intervient au moment où plusieurs rencontres ont été reportées en raison du mouvement de manifestations populaires, ce qui va prolonger la compétition au-delà des délais fixés initialement.
Medouar, ancien président de l’ASO Chlef, avait été élu à la tête de la LFP le 21 juin 2018, récoltant 19 voix contre 7 pour Azeddine Arab (ES Sétif), 6 pour Mohamed El-Morro (ASM Oran) et 4 pour Mourad Lahlou (NA Husseïn-Dey).
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Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme a annoncé mardi avoir été obligé de fermer son bureau au Burundi, à la demande du gouvernement.
« C’est avec un profond regret que nous avons dû fermer notre bureau au Burundi », a déclaré la Haut-Commissaire de l’ONU, Michelle Bachelet, dans un communiqué précisant que le bureau a été fermé le 28 février.
Le gouvernement a demandé la fermeture du bureau de l’ONU le 5 décembre, expliquant, selon le Haut-Commissariat, que « le pays avait fait suffisamment de progrès pour mettre en place des mécanismes nationaux de protection des droits de l’Homme, de sorte que l’existence du bureau n’était plus justifiée ».
Mme Bachelet a relevé que « pendant de nombreuses années, nous avons travaillé avec le gouvernement sur la consolidation de la paix, la réforme du secteur de sécurité, la réforme du secteur de la justice et contribué à renforcer les capacités institutionnelles et de la société civile sur toute une série de questions des droits de l’Homme ».
« Malheureusement, un bon nombre de ces avancées en matière de droits de l’Homme ont été mises en péril depuis 2015 », a-t-elle dit.
Elle s’est dite « déçue par le manque de coopération du Burundi ces dernières années avec les mécanismes des Nations Unies en matière de droits de l’Homme – qui sont même allés jusqu’à inclure des menaces pour poursuivre les membres de la Commission d’enquête internationale indépendante » de l’ONU sur le Burundi.
En octobre 2016, le gouvernement burundais – en réaction à un rapport de l’équipe d’experts indépendants de l’ONU – avait déjà suspendu toute coopération avec le bureau des droits humains de l’ONU.
Début janvier, l’organisation Handicap International, présente au Burundi depuis 1992, avait annoncé quitter ce pays en raison notamment de l’obligation faite par le gouvernement burundais du « fichage ethnique » de ses employés.
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