You are here

Afrique

Six trafiquants de migrants sanctionnés par l'ONU

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 06/08/2018 - 15:10
BBC Afrique - Les sanctions de l'ONU contre des passeurs de migrants en Libye sont une première mondiale. Le Conseil de sécurité de l'ONU a...
Categories: Afrique

Devoir d'Ingratitude et d'Indépendance !

24 Heures au Bénin - Fri, 06/08/2018 - 14:33

La 5e mandature de la Cour Constitutionnelle a vécu, vive la 6e mandature !
Ainsi, le mercredi 6 juin dernier, les tout nouveaux membres de la Cour Constitutionnelle, 6emandature, ont été installés et ont prêté serment. Une obligation constitutionnelle qui leur est faite, avant leur entrée officielle en fonction aux fins de jouer pleinement et convenablement le rôle qui leur est dévolu par l'article 114 de la Constitution béninoise du 11 décembre 1990.
« La Cour Constitutionnelle est la plus haute juridiction de l'État en matière constitutionnelle. Elle est juge de la constitutionalité de la loi et elle garantit les droits fondamentaux de la personne humaine et les libertés publiques. Elle est l'organe régulateur du fonctionnement des institutions et de l'activité des pouvoirs publics ». C'est dire que depuis le mercredi 6 juin 2018, nos 7 juges ont davantage conscience de la lourde et délicate mission que vient de leur confier tout le peuple béninois, à travers cette disposition ou cet article de sa constitution actuellement en vigueur. Car faut-il rappeler que, c'est pour éviter les dérives dictatoriales, les abus de pouvoir, la confiscation du pouvoir, les privations de liberté sous leurs formes qui avilissent, oppriment et arrachent à l'Homme sa dignité, que bien des dispositions ont été prises en ce sens. Et un pan du préambule de la loi fondamentale du Bénin ne les rappellent que si bien : « Affirmons solennellement notre détermination par la présente Constitution, de créer un État de droit et de démocratie pluraliste dans lequel les droits fondamentaux de l'Homme, les libertés publiques, la dignité de la personne humaine et la justice sont garantis, protégés et promus comme la condition nécessaire au développement véritable et harmonieux de chaque Béninois tant dans sa dimension temporelle, culturelle que spirituelle […..] ». Ce sont là des passages très édifiants de la Constitution que doivent avoir à l'esprit les membres de la Cour Constitutionnelle, toutes les fois qu'ils sont appelés à se prononcer sur des faits de violation des textes et lois de la République, des décisions et des initiatives qui ne cadrent pas avec les principes sacro saints du processus démocratique encours dans notre pays depuis février 1990. C'est conscients des avatars et des péripéties enregistrés au lendemain de notre indépendance en 1960, sur le plan de la gestion du pouvoir d'État ; et davantage aggravés par la confiscation du pouvoir, des privations des libertés, sans oublier la concentration du pouvoir d'État dans les mains d'une poignée d'individus qui décidaient de tout, en lieu et place du peuple souverain, que les constitutionnalistes ont balisé le terrain et mis des garde-fous. Mais la question qu'il convient de se poser, c'est celle-là de savoir si nonobstant tout cela, tous nos gouvernants et dirigeants, depuis1990 à nos jours, font de la stricte observance des dispositions de la Constitution, du respect et de la mise en application des décisions de la Cour Constitutionnelle une réelle et sincère préoccupation. À ce sujet, il ne faut point se voiler la face. La plupart ne s'appuient que sur les dispositions de cette loi fondamentale pour se tirer d'affaire quand ça les arrange, pour fouler aux pieds celles qui les empêchent d'opérer des passages en force dans la République, afin d'imposer leur volonté au peuple. Espérons qu'avec cette Cour constitutionnelle, 6e mandature, les Béninois et les Béninoises aient une bonne perception de l'institution qu'à tort ou à raison certains avancent qu'elle est « aux ordres », qu'elle est « godillot », qu'elle est « partiale et monocolore ». Aux membres actuels de démontrer par leurs décisions qu'ils sont de véritables juges et garants du respect de notre Constitution, en ne se laissant influencés par qui que ce soient et quels que soient leurs pouvoirs et puissances au sein de la République.
« Ce n'est pas une légère tâche à assumer… Je leur souhaite de réussir » ; « À présent qu'ils sont installés, il faut qu'ils affichent un devoir d'indépendance et d'ingratitude nécessairement », ont déclaré respectivement Élisabeth Pognon, la présidente de la 1ère mandature et maître Robert Dossou, le président de la 4e mandature pendant que le secrétaire Général, Sylvain Nouwatin, l'un des 7 juges actuels parle de confiance : « Le peuple nous a fait confiance, il faut la mériter. » Un peuple qui attend donc des décisions justes à travers lesquelles les juges mettront en évidence leur impartialité et leur véritable indépendance, pour que vive l'État de droit et de démocratie pluraliste. https://croixdubenin.com/articles/editoriaux/752-devoir-d-ingratitude-et-d-independance

Abbé Crépin M. Acapovi, Directeur de publication de l'Hebdomadaire catholique La Croix du Bénin

Categories: Afrique

Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 06/08/2018 - 14:30
L'Authentique - Ce qui est une vérité pour un peuple, une personne, peut être une erreur pour d’autres. Ce qui est valable pour l’un ne...
Categories: Afrique

Les commerçants appelés à vider les alentours du Ceg Dantokpa

24 Heures au Bénin - Fri, 06/08/2018 - 14:19

Les occupants des alentours du Ceg de Dantokpa sont appelés à vider les lieux dans les plus brefs délais. C'est l'information que le ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Mahugnon Kakpo, accompagné du préfet du Littoral, Modeste Toboula, a apporté cette semaine aux commerçants, lors d'une visite sur les lieux. Pour le ministre, le marché que ces commerçants ont créé autour de l'établissement ne permet pas aux apprenants de recevoir le savoir dans les conditions idoines. L'autorité préfectorale, lors de cette visite a mis en demeure les occupants qui s'opposeraient à cette décision du ministre. « Ils seront purement et simplement dégagés des lieux par la force publique », a lancé Modeste Toboula.

F. A. A.

Categories: Afrique

La police présente les prouesses de ses opérations

24 Heures au Bénin - Fri, 06/08/2018 - 14:05

Braqueurs et cybercriminels interpellés, ordinateurs portatifs, téléphones portables, armes, munitions, faux billets de banque, des faux médicaments et autres objets saisis. C'est le bilan des dernières opérations qui a été présenté lors d'un point de presse, ce jeudi 07 juin 2018, à la direction générale de la police républicaine à Cotonou.
Pascal Odeloui, secrétaire général, porte-parole de la police républicaine, a fait le point d'un braquage qui a échoué à Sèto dans le département de Zou, le 31 mai dernier. « Des hors-la-loi au nombre de trois, à bord de deux véhicules et armés de fusils de fabrication artisanale ont été maîtrisés par la patrouille de la zone », a-t-il expliqué.
Dans le département de la Donga, à Kika, cinq malfrats en opération, armés d'AKM ont été maîtrisés et mis hors d'état de nuire.
Le directeur de la police républicaine de l'Atlantique, Jean-Claude Kuika a affirmé que dans son département certaines unités ont démantelé un réseau de fabricant de faux billets de banque. Selon les informations, une somme 785 000 FCFA a été emportée par huit faussaires qui font croire aux victimes par des fausses manœuvres qu'ils possèdent un escargot qui a le pouvoir de multiplier les billets de banque. Toujours dans ce département, un réseau d'escrocs a été démantelé par la police à Allada. Il s'agit des individus qui prétendent être envoyés par le chef de l'Etat pour des avis de recrutement. Ils ont enregistré 920 dossiers et perçu 6.000 FCFA par dossier.
M. Gaudens Sègbo, directeur de la police républicaine de l'Ouémé a signalé l'interpellation de 25 cybercriminels, ainsi que la saisie de 25 portables Androïd, 24 ordinateurs portatifs utilisés à des fins d'escroquerie et 850 kg environ de faux médicaments.
Dans la commune d'Abomey-Calavi, un charlatan dit "Hounnon", a été arrêté par la police à Hêvié. Il a failli tuer un de ses clients qui était venu solliciter son aide pour la bonne marche de son commerce.
Le porte-parole de la police républicaine exhorte la population à coopérer davantage avec les unités de base des forces de sécurité.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

Categories: Afrique

La loi sur les hydrocarbures modifiée sera prête début 2019

Algérie 360 - Fri, 06/08/2018 - 14:01

Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a affirmé jeudi que la loi sur les hydrocarbures dans sa version modifiée, en cours d’élaboration, sera fin prête en janvier ou février prochains, précisant que cette loi requiert une étude approfondie en ce sens où elle “concerne l’avenir du pays”.

Lors d’une plénière du Conseil de la nation, consacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que “cette révision est indispensable car cette loi n’est plus attractive pour les opérateurs et investisseurs algériens”, ajoutant que tous les pays producteurs ont adapté leurs lois qui ont été reformulées en adéquation avec les changements que connaissent les cours du pétrole marqués par une baisse ces dernières années.

“Il est n’est plus possible de continuer à travailler avec une loi appliquée lorsque le prix du baril était à 140 USD alors qu’il est actuellement de 30 dollars. Nous ne pouvons restés comme ça figés”, a déclaré le ministre.

Le ministre a fait état, dans ce sens, de l’infructuosité de 5 à 6 appels d’offres internationaux, estimant que cette loi “manque d’attractivité”.

Rappelant que le secteur travaille avec les partenaires étrangers dans le cadre d’une relation “gagnant-gagnant”, le ministre de l’Energie a déclaré: “nous ne céderons pas nos droits”.

A une question sur l’octroi de l’étude technique relative à la nouvelle loi sur les hydrocarbures à un bureau étranger (américain), le ministre a précisé que “l’octroi de l’étude à un bureau américain ne veut pas dire qu’il n y a pas de compétences en Algérie”. Cependant, “il est inconvenable que le pays se mette dans une situation d’isolement, car de telles lois requièrent une expérience nationale et étrangère”, a-t-il ajouté.

Guitouni considère que la nationalité du bureau d’étude n’était pas importante. L’essentiel  est de parvenir à formuler des lois qui soient bénéfiques pour le pays, à attirer les investisseurs et à préserver les stocks nationaux.

“Le plus important est que le secteur bouge, d’autant plus que les investisseurs ont de nouveau confiance en l’Algérie”, a soutenu le premier responsable du secteur.

Pour lui, il est essentiel d’œuvrer actuellement à l’attrait des investisseurs eu égard à la diversité des offres et de la concurrence au niveau du marché international.

“Le prix du pétrole change chaque heure et l’investisseur doit trouver un intérêt pour accepter de travailler avec nous. C’est pour cela que Sonatrach a entamé sa restructuration. Si nous n’accordons pas des garanties suffisantes aux investisseurs, ils n’accepteront pas de venir”, a-t-il expliqué.

Concernant la demande formulée par des sociétés étrangères, dans le cadre des consultations en cours pour l’élaboration de la loi amendée sur les hydrocarbures, pour un retour au travail avec des contrats du partage de la production, le ministre a indiqué qu’il n’est pas pertinent de travailler avec une loi qui “muselle” le secteur, d’où la nécessité pour cette loi de s’adapter avec toutes les problématiques posées.

S’agissant de la règle 49/51 appliquée sur les investissements étrangers contenus dans la loi sur l’investissement en Algérie, le ministre a indiqué que cette règle restera de mise et “notre travail sera dans le cadre de celle-ci”.

The post La loi sur les hydrocarbures modifiée sera prête début 2019 appeared first on .

Categories: Afrique

Affaire des pieds noirs: L’organisation des Moudjahidines dénonce les propos des responsables

Algérie 360 - Fri, 06/08/2018 - 14:00

Le secrétaire général de l’Organisation Nationale des Moudjahidines, a réitéré, en marge d’un communiqué récemment rendu public, dont une copie est parvenue à notre rédaction,le refus de cette dernière ainsi la famille révolutionnaire de toute normalisation avec l’Etat français, sans présentation d’une excuse formelle.

La même organisation n’a notamment pas apprécié les déclarations du premier ministre Ahmed Ouyahia, incitant les hommes d’affaires à s’appuyer sur les anciens pied-noir d’Algérie pour constituer des lobbys.

L’ONM a dénoncé des déclarations attentant à la dignité du peuple algérien et portant atteinte à son histoire, faites par de hautes responsables de l’Etat.

«De telles déclarations constituent une insulte pour la mémoire de la nation. Elles proviennent de hauts responsables ignorant les crimes commis par les pieds noirs contre le peuple algérien durant la colonisation », affirme le communiqué.

Selon la même source, ces déclarations démontrent une erreur de jugement et une sous-estimation des sacrifices consentis par les fidèles parmi les enfants du peuple algérien ».

«Ces déclarations sont  contradictoires avec les constantes nationales et les principes de sa révolution », ajoute le communiqué.

Pour rappel, M. Ouyahia a appelé les entrepreneurs algériens à s’appuyer sur la communauté algérienne mais aussi sur les anciens d’Algérie ou les pieds noirs pour exporter.

Imane Kimouche / version française: Rachel Hamdi

The post Affaire des pieds noirs: L’organisation des Moudjahidines dénonce les propos des responsables appeared first on .

Categories: Afrique

Le Bénin en lice pour abriter l'Académie francophone de Tennis

24 Heures au Bénin - Fri, 06/08/2018 - 13:58

Candidat pour accueillir une Académie Francophone du Tennis, le Bénin à travers son Ministre du Tourisme de la Culture et des sports, et le President de sa Fédération de Tennis a dévoilé son ambition au Forum de la Francophonie du Tennis réuni à Paris le 6 juin dernier.

"Ensemble, Osons l'avenir du tennis sur terre battue" tel est le projet proposé par la Fédération Beninoise de Tennis (FBT) sous le haut patronage de la Présidence de la République. L'ambition du Benin est de proposer aux pays francophones, de façon solidaire et responsable, l'invention et le partage du tennis sur terre battue en Afrique. L'objectif visé est de contribuer au renforcement et à la pérennité du plus grand tournois sur terre battue, le prestigieux Roland Garros.

Le Benin prétend pouvoir être le catalyseur d'un levier de développement partenarial équitable sur un continent riche de ressources et talents, puissance économique et démographique qui marquera le 21eme siècle.

Le Président de la FBT affirme que "Promouvoir un sport pas encore populaire, mais qui peut faire naître et émerger ses champions, est un acte politique fort au sens noble de l'intérêt commun, pour porter le présent et dessiner l'avenir"

Jean Claude Talon est convaincu que le partage des expériences, des savoirs et talents des fédérations francophones expérimentées justifie la promotion et le développement d'une école francophone marquée par l'originalité du jeu sur terre battue. Il a ainsi imaginé un projet innovant et global, s'inscrivant dans l'intérêt de toutes les fédérations de tennis d'Afrique (francophones ou non), bâti sur l'excellence de toutes ses composantes : sportives, éducatives, sociales, économiques, environnementales et architecturales.
La localisation d'un tel projet au coeur du large mouvement de développement qu'est le PAG prend sens sur la route des pêches au Bénin.

L'académie sera ouverte aux jeunes champions des 27 pays francophones, sur des cycles de 9 mois pour les 12-18 ans, et sur des stages de 15 jours pendant les vacances scolaires pour les 6-11 ans.
Elle formera des tenniswomen et tennismen du continent de haut niveau, spécialistes de la terre battue, et surtout des femmes et des hommes autonomes, citoyens de demain. Elle proposera également des formations diplômantes d'entraîneurs et des formations d'arbitres.
L'académie sera aménagée autour de 20 courts en terre battue dont un central, des salles de cours, 50 chambres individuelles, des parcours sportifs, des espaces "practice", une piscine, une salle de fitness, une salle de soins, un restaurant, un self, une boutique, un club house....

Au total, Oswald Homeky et Jean-Claude Talon ont défendu un projet sur un modèle économique structuré, qui capitalise tous les acquis et enjeux en matière d'environnement et de développement durable, qui remplira sa mission sportive et éducative sur la durée parce qu'elle s'inscrit dans un modèle économique viable, financé et pérenne. Ce projet se positionne comme une illustration de la capacité et du talent du continent à bâtir son avenir sous des formes singulières, originales et référentes.

Giscard AMOUSSOU

La délégation béninoise trè en images
Jean Claude Talon, Tarak Chétif Président de la Confédération Africaine de Tennis et Silvere Henri Vissé Journaliste et modérateur

Eric Adja Représentant Régional de l'OIF à Lomé, jean Claude Talon Président de la Fédération Béninoise de Tennis, Oswald Homecky Ministre des Sports et de la Culture , Jean Marc Adjovi Boco Directeur du Centre Diambars au Sénégal et Audrey De La Croix déléguée aux sports de l'OIF

Categories: Afrique

Vidéo hostile à Bouteflika: le Parlement européen exprime ses « regrets » à l’Algérie

Algérie 360 - Fri, 06/08/2018 - 13:54

Le Parlement européen a exprimé jeudi ses « regrets » à l’Algérie suite à la diffusion d’une vidéo attentatoire aux symboles de l’Etat algérien, enregistrée dans les espaces de l’UE et grâce à des moyens mis par celle-ci à la disposition des médias, a affirmé l’ambassade d’Algérie à Bruxelles.

Le chef de cabinet du président du Parlement européen, Diego Canga Fano « a exprimé à l’ambassadeur d’Algérie, Amar Belani, ses regrets suite à cet incident », a-indiqué l’ambassade dans un communiqué.

Fano a affirmé à l’ambassadeur d’Algérie qu’ « une enquête interne » a été menée par ses services pour connaitre les circonstances dans lesquelles cette vidéo a été tournée, a ajouté la même source.

« Les  éléments de l’enquête ont fait ressortir que Mme Haddad-Lefèvre a délibérément enfreint les règles internes de l’institution et a abusé de la confiance des opérateurs du plateau de télévision du Parlement européen en dissimulant ses intentions malveillantes », a-t-on souligné.

Selon l’ambassade d’Algérie à Bruxelles, la direction générale de la Communication au Parlement européen a adressé, suite à l’enquête, « une lettre d’avertissement » à Mme Haddad-Lefèvre.

La direction générale de la Communication au Parlement européen a décidé également le 6 juin, et à titre conservatoire, de suspendre l’accès de Mme Haddad-Lefèvre aux studios d’enregistrement de l’institution européenne, « jusqu’à ce qu’elle rende compte de ses agissements irresponsables devant une commission appelée à statuer sur son accréditation », a-t-on encore affirmé.

L’ambassadeur d’Algérie à Bruxelles a « pris acte » de ces explications ainsi que des mesures adoptées en vue de « mettre un terme à cette manœuvre malveillante ».

Sur instruction du ministère des Affaires étrangères, l’ambassadeur d’Algérie à Bruxelles,  Amar Belani, a effectué « une démarche pressante » auprès de M. Diego Canga Fano, afin de demander des explications et clarifications sur l’utilisation frauduleuse par la correspondante de la Chaîne satellitaire « Al-Hiwar TV » des installations du Parlement pour l’enregistrement d’une vidéo attentatoire à l’honneur et à la dignité des symboles et des institutions algériennes.

The post Vidéo hostile à Bouteflika: le Parlement européen exprime ses « regrets » à l’Algérie appeared first on .

Categories: Afrique

Medjani : «Nous n’avons pas notre mot à dire concernant les décisions de la FAF»(vidéo)

Algérie 360 - Fri, 06/08/2018 - 13:52

Tout d’abord, une analyse sur ce match perdu contre le Portugal ?
Je pense qu’il va falloir analyser le match à tête reposée pour pouvoir  parler du contenu. Je crois qu’on a vu quand même la différence centre une grande équipe et nous ce soir. Ce n’est pas à moi de tirer sur l’ambulance. Dans un match, il y a toujours des choses bonnes et d’autres moins bonnes. Le seul regret que l’on a, c’est que les trois buts qu’on concède, on aurait pu éviter. Ce sont des erreurs corrigeables c’est ce qui laisse des regrets sur le match.
La possession de balle était pour le Portugal, ça on le savait, mais bon il faut regarder devant. On est aujourd’hui une équipe qui est en difficulté, il ne faut pas se le cacher, maintenant il faut garder la tête haute.
On a annoncé le départ de Madjer et son staff après ce match, êtes-vous au courant ?
Vous savez, on suit un peu les choses de l’extérieur. On suit comme tout le monde les déclarations des uns et des autres. Après, une chose est sûre, tout le monde a des responsabilités. Après, la seule chose qu’on ne peut enlever à Rabah Madjer, c’est qu’il a voulu bien faire et quand il a parlé, il l’a fait avec son cœur.
Qu’avez-vous à dire sur cette décision ?
Maintenant, concernant les décisions qui seront prises par la fédération, je crois que nous n’avons pas notre mot à dire là dessus. On ne nous a pas demandé notre avis  pour ramener le coach et on ne le fera pas s’il doit y avoir une décision. On est là pour donner le meilleur de nous-mêmes sur le terrain. Malheureusement sur ces trois derniers matchs, on est en difficulté. Maintenant, il faut faire le constat et essayer de trouver des solutions à nos maux. Il faut être prêts pour le mois de septembre.
Vous avez subi presque tout le match, un commentaire ?
On a subi parce qu’on avait décidé de jouer bas, on avait décidé de jouer en bloc, donc on a eu des difficultés à remonter le ballon. C’est normal parce qu’on a décidé de jouer bas et essayer d’être dangereux sur les attaques rapides. C’est un jeu qu’on maitrisait bien en 2014, puis sous l’ère Gourcuff en 2015, lorsqu’il avait bien sûr décidé de reprendre les choses en main. C’est des choses qu’on a perdues depuis. Après, je crois qu’il  y a des choses à prendre en compte, car l’équipe n’est plus la même.
C’est-à-dire ?
Je veux dire que l’équipe des années passées n’est pas celle d’aujourd’hui. C’est difficile d’avoir une cohésion lorsqu’on est en recherche. Le coach l’a bien dit, il était en période de prospection. Il a donné la chance à pas mal de joueurs, donc quand on est en période de recherche, il nous faut forcément du temps et beaucoup de travail pour y arriver.
Comment vous voyez l’avenir de la sélection ?
Une équipe ne se construit pas en 6 ou 7 mois mais en deux ou 3 ans. Il va falloir être patient. Comme je l’ai dit, il y a quelque temps, nous avons besoin de reconstruire une équipe et le plus important est d’être opérationnel pour les prochaines éliminatoires de la Coupe du monde 2022.

The post Medjani : «Nous n’avons pas notre mot à dire concernant les décisions de la FAF»(vidéo) appeared first on .

Categories: Afrique

Mauritanie : le ministère de la santé menace de sanctionner les cliniques privées

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 06/08/2018 - 13:51
Saharamédias - L’inspection générale de la santé a menacé jeudi de sanctions les structures de santé privées en Mauritanie, à l’issue...
Categories: Afrique

Produits Algériens refoulés par plusieurs pays !

Algérie 360 - Fri, 06/08/2018 - 13:43

Le président de l’Association nationale des exportateurs Algériens (ANEXAL), Ali Bey Nasri, affirmé que plusieurs cargaisons de dattes et pommes de terre ainsi d’autres produits agricoles viennent d’être refoulées par la Fédération de la Russie, le Canada, La France ainsi le Qatar  car, elles ne sont pas conformes aux normes et ne correspondant nullement aux termes du contrat conclus entre les deux parties.

En effet, le commerce vire au cauchemar, la France qui avait saisi les autorités, a notamment découvert une énorme quantité de verres de terre dans les dattes algériennes. Résultat : celle-ci avait été entièrement brûlée.

Le président d’ANEXAL a fait savoir que la quantité des produits agricoles algériens exportés durant les quatre derniers mois de l’année en cours a atteint les 20 millions de dollars, un chiffre déclaré « très bas » par rapport au nombre attendu, chose qui a été provoquée par l’énorme quantité de produits renvoyés.

«Il ne suffit pas de produire. Il faut également savoir produire et respecter des normes afin qu’on n’entache pas la bonne réputation des produits algériens » a,-t-il estimé.

Selon lui, l’Etat algérien ne fait pas suffisamment pour stimuler l’acte d’exporter correctement. Les exportateurs doivent être encadrés et préparés pour ne pas se retrouver dans des situations de retour de leurs marchandises avec tout ce que cela induit comme pertes financières.

Dans le même contexte, M.Nasri a appelé à la nécessité de conquérir le marché international. À cet effet, il s’est notamment déclaré optimiste, relevant l’existence de signaux d’espoir.

«Il faut se diriger vers la communauté algérienne établie un peu partout dans le monde et qui peut être un relais pour la promotion des produits algériens», a-t-il ajouté.

La même source a annoncé la tenue d’une réunion prévue le 12 du mois en cours au niveau du ministère de l’agriculture, afin de résoudre ce problème.

Imane Kimouche / version française: Rachel Hamdi

The post Produits Algériens refoulés par plusieurs pays ! appeared first on .

Categories: Afrique

Secousse tellurique à Batna !

Algérie 360 - Fri, 06/08/2018 - 13:41

Une secousse tellurique de magnitude de 3,7 sur l’échelle ouverte de Richter a eu lieu, vendredi à 03h15 dans la wilaya Batna, indique le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.

L’épicentre de la secousse a été localisé à 8 km au nord-est de la commune de Sefiane à l’ouest de la wilaya de Batna, précise la même source.

The post Secousse tellurique à Batna ! appeared first on .

Categories: Afrique

Insécurité à Nouakchott, le porte-parole du Gouvernement minimise vu ce qui se passe à Paris, Washington, Moscou

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 06/08/2018 - 13:20
Le porte-parole du Gouvernement mauritanien a expertisé jeudi l’insécurité et la criminalité à Nouakchott, estimant que la capitale...
Categories: Afrique

Cotonou, la ville généreuse qui encourage la mendicité des enfants

24 Heures au Bénin - Fri, 06/08/2018 - 13:00

Ils prennent leurs quartiers aux alentours des mosquées, dans les feux tricolores, autour des églises, devant les officines de pharmacie et les centres de santé. Leurs corps frêles parfois habillés en haillons abordent le premier passant pour lui réclamer une ‘'dette'' de générosité. Enfants mendiants, enfants mendigots, ces petits êtres abandonnés ou commandés par des adultes, font parfois montre d'une certaine agressivité pour arracher à leur cible, une aumône. A Cotonou, la population aussi joue le jeu, au nom de certains principes religieux ou de solidarité, encourageant de ce fait un fléau qui s'enracine au fil des ans.

Cotonou, il est 10h. Au carrefour du marché Missébo, le feu vient de passer au vert, Adjarath, vautrée dans un fauteuil roulant s'empresse de quitter la chaussée pour rejoindre le trottoir. Visage caché dans une burqa sale, elle pose un regard triste sur sa main droite qui expose quelques pièces de monnaie. Cette fille de 12 ans pratique la mendicité depuis l'âge de 8 ans. Autour d'elle, une nuée de petites filles de la même confrérie s'anime. Elles font partie des protégées d'Adjarath qui leur montre les ficelles de ce qu'elle considère comme un métier. La pitance quotidienne qu'elle tire de cette activité a du mal à lui donner tort.

« Je gagne entre 2500 et 3000 FCFA par jour », dit-elle avec un regard qui semble avoir renoncé à toute dignité.

Une partie de l'argent gagné permet de satisfaire quelques besoins féminins comme l'achat de chaussures, de tissus et de boucles d'oreilles. L'autre partie, Adjarath la remet à sa mère qui mendie comme elle au quartier Zongo, situé non loin de là.

Cette confession de la jeune mendiante étaye la thèse d'une filière de mendicité qui se développe à Cotonou.

Les géniteurs de ces enfants, qui ne sont pas moins des mendiants, n'ont aucun scrupule à en parler.

« J'ai quatre enfants et je les envoie tous mendier sur divers carrefours de la ville. Moi aussi, je fais la manche ici à Zongo. Je suis consciente que c'est mauvais. Mes enfants souffrent souvent de fièvre, de diarrhée et de fatigue, nous sommes très pauvres. Mon mari qui a quitté le Niger avec moi pour venir au Bénin est déjà décédé. Je n'ai pas le choix », explique Maïmouna.

Des histoires difficiles à vérifier

Selon le sociologue Abdoulaye Benon Mora, rien ne justifie ce phénomène qui n'a même pas le prestige d'un fait social. Cet enseignant de l'Université d'Abomey-Calavi n'est pas convaincu par ces histoires que racontent les mendiants pour justifier leur comportement.

« La mendicité des enfants n'est pas un fait social. C'est un fléau au même titre que le vol, les braquages et les autres crimes. Elle fait partie des interdits sociaux. En conséquence, tous ces enfants doivent être ramassés des rues de Cotonou », préconise-t-il.

Sur le plan confessionnel, les religieux aussi ont leur point de vue sur le phénomène.

« Il n'est pas question de relier ce fléau à l'Islam », s'emporte d'emblée Roufaï Rashid, assistant du président de l'Union islamique du Bénin.

« L'Islam encourage l'aumône mais pas la mendicité ; encore moins la mendicité des enfants. Il n'y a aucune similitude entre ces deux faits », tranche-t-il radicalement.

Même si cette pratique n'est pas prônée par l'Islam, « l'apprenant de l'école coranique peut être amené à mendier pendant un mois. C'est considéré comme un rite de passage dans l'éducation religieuse de l'enfant », clarifie Dr Abdoulaye Bénon Mora.

L'universitaire précise que ce rituel religieux n'existe pas dans les villes du Sud Bénin comme Cotonou.

Selon une enquête réalisée en 2015 auprès d'un millier d'enfants impliqués dans la mendicité au Bénin par Princeton, une prestigieuse université américaine, Cotonou n'abrite pas d'enfants talibés comme Dakar au Sénégal (généralement un garçon âgé de 5 à 15 ans, issu d'une famille pauvre, confié par ses parents à un maître coranique ou marabout afin que celui-ci se charge de son éducation religieuse. Cette éducation a lieu dans un daara, une école coranique. En contrepartie, le talibé doit s'acquitter des travaux domestiques, et est généralement contraint à mendier dans les rues afin de subvenir à ses besoins et aux besoins de son maître et de sa famille.). Mais il n'y a pas de quoi pavoiser. La ville enregistre la deuxième plus forte population d'enfants mendiants du Bénin après Malanville (située à 800 km au nord de Cotonou), d'après la même enquête. Ils seraient au nombre de 1 404 à Cotonou contre 1 688 à Malanville.

Le phénomène préoccupe les autorités du Ministère de la fonction publique, du travail et des affaires sociales qui ont du mal à s'y attaquer sans en maîtriser les contours.

« Les enfants ne mendient pas de leur plein gré. Ils sont envoyés par des adultes à qui ils rendent compte en fin de journée. Il faut remonter à ces personnes et comprendre leurs motivations. C'est très important. Cela permet de savoir s'il s'agit d'un réseau de mendicité ou de parents en situation d'indigence avancée. C'est après avoir réuni toutes ces informations, qu'on pourra envisager une solution efficace contre ce fléau », affirme Bruno E.S.Y Gbehinto, directeur de la famille, de l'enfance et de l'adolescence.

Son département a mis en place une commission qui travaille à comprendre les contours du phénomène. En attendant ses recommandations, les populations de Cotonou, consciemment ou inconsciemment, continuent d'alimenter les réseaux d'enfants mendiants.

Rufin PATINVOH

Categories: Afrique

Droit de réponse de Monsieur Ould Cheine et flagrant délit de mensonge

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 06/08/2018 - 12:33
Le Calame - L’alliance électorale conclue récemment entre IRA/RAG et le Sawab, formation politique mauritanienne d’obédience Baathiste,...
Categories: Afrique

Le ministère de la Santé limoge de nouveaux spécialistes de leurs fonctions dans les hôpitaux (Noms)

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 06/08/2018 - 12:25
Alakhbar - Le Ministère de la santé poursuit ses mesures punitives contre les spécialistes en service dans les hôpitaux de l’intérieur du...
Categories: Afrique

Football : King’s et FC Nouadhibou en finale de la coupe du président

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 06/08/2018 - 11:35
Sahara Medias - L’affiche de la finale de la coupe du président de la république en football opposera une équipe de Nouakchott, King’s à...
Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.