Après trois matchs amicaux sans victoire des Fennecs. Aujourd’hui, les heures de Rabah Madjer en tant que sélectionneur national sont comptées. D’après les informations du site ‘’Observalgerie’’, Rabah Madjer soit bel et bien sur un siège éjectable au u profit d’Hervé Renard, actuellement à la tête du Maroc.
Après sa nouvelle défaite contre le Portugal, la FAF aurait ainsi décidé de signifier à Rabah Madjer son limogeage de son poste dès son retour au pays, selon des sources bien informées.
Si Rabah Madjer a une nouvelle fois assuré qu’il ne comptait pas démissionner suite à cette nouvelle défaite, la FAF en aurait, pour sa part, décidé autrement, assurent les mêmes sources.
La défaite de la sélection nationale face au Portugal ne serait néanmoins pas la seule raison qui aurait motivé la FAF, qui voit également d’un très mauvais œil les déclarations tenues par Madjer lors d’une conférence de presse qui a précédé le match face aux coéquipiers de Cristiano Ronaldo, ont indiqué les mêmes sources. En tout état de cause, il est à rappeler que le président de la FAF, compte réunir le bureau fédéral de l’instance qu’il préside dans les prochains jours pour faire une évaluation et décider du sort du très impopulaire sélectionneur national.
Par ailleurs, le site ‘’Algérie-focus’’ révèle que Kheiredine Zetchi et son équipe sont entrain de négocier avec des entraîneurs étrangers pour driver la sélection nationale. Plusieurs noms figurent dans le tableau de chasse de la FAF. Il s’agit de l’Algérien Djamel Belmadi et du Français Hervé Renard, qui entraine actuellement l’équipe du Maroc.
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Les sites de vente en ligne en Algérie se sont multipliés ces dernières années notamment depuis le lancement de la 3G en 2014 et 4G en 2016 et tout récemment la promulgation d’un texte de loi encadrant ce marché, qui attire de plus en plus les citoyens vers ce mode de transactions jugé « aisé ».
En effet, le développement constant des technologies numériques dans le pays a touché bien des secteurs, y compris celui du commerce, qui a vu depuis le début des années 2010 une prolifération de sites de vente en ligne, lancés par des pure players (des commerçants exerçant leurs activités uniquement sur Internet).
Le déploiement du très haut débit fixe et mobile à travers la 3G et la 4G (plus de 34,5 millions d’abonnés à l’internet en 2017), a « grandement » contribué au lancement de dizaines de sites de vente en ligne en Algérie.
Selon des experts, la démocratisation de l’internet dans le pays est une condition sine qua non du succès de ce type de transactions qui s’effectue via PC ou Smartphone.
La promulgation de la loi relative au commerce électronique en avril 2018, une législation tant attendue par l’ensemble des acteurs du secteur devra également propulser encore plus ce domaine. Ce nouveau texte législatif recadre ainsi ce marché à travers plusieurs dispositions permettant d’assurer la sécurité du e-commerce tout en définissant les obligations des fournisseurs et des consommateurs.
Le texte, qui conditionne l’exercice du e-commerce par l’inscription au registre du commerce, définit les informations qui doivent accompagner l’offre commerciale électronique (identification fiscale, adresse, numéro de téléphone, numéro du registre du commerce, garantie commerciale…). La commande d’un produit ou d’un service passe ainsi par trois étapes obligatoires: la mise à disposition du e-consommateur des conditions contractuelles, la vérification des détails de la commande par ce dernier et la confirmation de la commande qui conduit à la formation du contrat.
Il est relevé, par ailleurs, que la multiplication de cartes électroniques interbancaires en Algérie comme les cartes CIB et Edahabia lancée récemment par Algérie Poste devraient permettre aussi la multiplication des transactions financières en ligne, estiment pour leur part des gérants de sites marchands.
Toutefois, les acteurs activant dans ce domaine n’ont pas attendu toutes ces dispositions pour conquérir le web, ils se sont lancés dès le début des années 2010 à créer des sites de vente en ligne, voyant en ce nouveau créneau un marché « lucratif ». Le secteur s’est ainsi progressivement professionnalisé sous l’impulsion d’entrepreneurs qui ont d’emblée misé sur une croissance rapide de ce nouveau marché une fois les contraintes technologiques et législatives levées.
Des sites de vente en ligne de produits de toutes sortes allant de l’alimentaire, l’habillement et l’art et déco, à l’électroménager, l’électronique et les services, ont ainsi vu le jour à l’image de Jumia.dz, Batolis.com, Vendita-dz.com, eChrily.com, Zawwali.com, Eshop.dz et Guiddini.dz.
Il faut savoir qu’un site de vente en ligne est un magasin virtuel qui peut être généraliste (proposant divers produits) ou spécialisé (dans l’électronique par exemple), et dont les transactions sont garanties à la différence des sites d’annonces comme ouedkniss.com, Dlalaonline.com et Vitamine.dz où les transactions se font entre des citoyens ou entre un citoyen et un magasin par téléphone pour la vente ou l’achat de produits, des biens immobiliers ou des véhicules.
L’achat en ligne entre progressivement dans les mœurs des Algériens
Le consommateur algérien s’est intéressé progressivement à ce nouveau mode de transactions, en optant de plus en plus pour la commande des produits ou des services via le web, évitant ainsi les aléas de la vie quotidienne telle que la circulation, le problème de stationnement et le manque de temps, explique à l’APS un spécialiste en TIC, Samir Bouazabia, pour qui utiliser l’internet pour faire ses achats, son shopping, payer ses factures, ou commander un chauffeur, un repas ou un plombier « entre de façon graduelle dans les mœurs des Algériens ».
Il est relevé, toutefois, que les transactions financières en ligne en Algérie ne s’effectuent actuellement que pour le paiement des factures téléphoniques, d’électricité, du gaz et de l’eau, ainsi que pour certains autres services comme les assurances et le transport. En 2017, quelques 100.000 paiements électroniques ont été effectués pour le règlement des factures, alors que le règlement par cash continue à prédominer, selon un responsable du Groupement d’intérêt économique de la monétique, Madjid Messaoudène.L’absence, durant des années, d’une législation encadrant et sécurisant ce marché ainsi que le manque d’utilisation des cartes interbancaires par les Algériens, a incité les web marchands algériens à proposer d’autres alternatives en l’occurrence le paiement de la commande à la livraison en espèces, par carte électronique, par virement bancaire ou CCP ou par bons d’achats.
Il est ainsi enregistré chez l’un des leaders du e-commerce dans le pays, Jumia.dz, quelque 1,5 million de visiteurs sur ce site par mois en 2017, soit une croissance de 50 % par rapport à 2016, selon l’entreprise (installée en 2014 dans le pays), pour qui le paiement en cash n’a pas empêché le nombre de commandes « d’augmenter de façon constante » et le chiffre d’affaires de « s’accroître » enregistrant « entre 10.000 et 20.000 commandes mensuellement ».
Pour ce qui est de l’autre site 100% algérien, Batolis.com, lancé en 2015, l’entreprise, dont « les chiffres sont motivants », propose de nombreux produits qu’elle livre à travers tout le territoire national, explique à l’APS Samir Bouazabia, co-fondateur du site, qui regrette que les clients préfèrent toujours le paiement par cash, une solution risquée pour les e-marchands, et ce à cause des fausses commandes.
Il a appelé, à cette occasion, à hâter la publication des textes d’application de la loi sur le e-commerce, une mesure qui devra, selon lui, donner plus de confiance aux clients dans l’utilisation de leurs cartes de crédit en ligne pour les achats.
L’e-commerce « informel » en croissance sur le Net
L’e-commerce en Algérie ne se résume pas qu’aux pure players, des centaines de sites proposant la vente de produits en ligne pullulent actuellement sur les réseaux sociaux comme Facebook.
On y trouve les professionnels de la vente en ligne en l’occurrence les pure players, mais aussi des boutiques en ligne qui échappent à tout contrôle ainsi que de simples citoyens qui se sont lancés dans la vente via Facebook en proposant divers produits concurrençant ainsi les sites activant légalement.
« Certaines pages créées par de simples citoyens vendant nombre de produits en l’absence de toute légalité concurrencent de façon déloyale les sites qui payent leurs impôts », a-t-il dénoncé, tout en qualifiant cette forme de transactions en ligne de « commerce informel ».
Des citoyens se disent, pour leur part, favorables à l’achat en ligne dans des sites marchands professionnels encadrés par la loi donc plus fiables proposant des produits sous garantie, contrairement aux transactions effectuées entre particuliers sur Facebook qui sont, elles, sans aucune sécurité.
Toutefois, la question de la fiabilité de ces e-commerces se pose encore, car les clients, même s’ils sont globalement satisfaits des services fournis, regrettent l’absence de certaines garanties tels que les factures, les retards dans les livraisons, ou l’absence de services après-vente ou d’interlocuteur en cas de réclamation.
La mention de livraison dans un délai d’une semaine, après l’enregistrement de la commande, n’est pas souvent respectée par certains sites, note Omar, un habitué des achats par internet.
Pour d’autres clients, les prix affichés pour certains produits sur des « hypermarchés » en ligne sont souvent plus chers que ceux proposés par les commerces classiques, exprimant leur souhait de voir ces web marchands mettre en avant des produits originaux aux plus bas prix afin d’attirer plus de clients vers ce mode d’achat.
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Une tentative d’introduction par trois (3) narcotrafiquants de nationalité marocaine d’une grande quantité de kif traité s’élevant à plus de trois (3) quintaux a été déjouée, vendredi près de la zone frontalière de Oued Smeira à Tindouf, par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique le ministère de la Défense nationale dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée et grâce à l’exploitation de renseignements, un détachement de l’ANP a mis en échec, aujourd’hui 08 juin 2018, près de la zone frontalière de Oued Smeira, wilaya de Tindouf/3 Région militaire, une tentative d’introduction par trois (03) narcotrafiquants de nationalité marocaine d’une grande quantité de kif traité s’élevant à trois (03) quintaux et (25) kilogrammes », précise le communiqué.
« Lors de cette opération l’un des narcotrafiquants a été abattu, après avoir tenté de prendre la fuite, de franchir avec force le barrage dressé par les forces de sécurité et refuser d’obtempérer », ajoute la même source.
Dans le même contexte, « des détachements de l’ANP ont déjoué, lors d’opérations distinctes menées à Souk-Ahras, Tébessa et El-Taref/5 RM, des tentatives de contrebande d’une grande quantité de carburant s’élevant à (12176) litres », tandis qu’un autre détachement de l’ANP a intercepté, à Tamanrasset/6 RM, « deux (02) orpailleurs à bord d’un véhicule tout-terrain chargé de (10) sacs de mélange d’or et de cailloux ». Par ailleurs, des détachements combinés de l’ANP ont saisi, à Biskra/4 RM, « sept (07) motocyclettes neuves sans papiers », tandis que des Garde-côtes ont arrêté, « (29) immigrants clandestins de différentes nationalités à Tlemcen/2 RM », conclut le MDN.
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Une disposition portant l’établissement d’une taxe supplémentaire provisoire préventive aux importations de marchandises destinées à la consommation en Algérie a été proposée, dont le taux sera fixé entre 30 et 200 %, au sein de l’article 2 du projet de loi de finances complémentaire (PLFC) 2018, dont l’APS a reçu une copie.
Le champ d’application des règles d’assiette, de liquidation, de recouvrement et des contentieux en matière des droits douaniers sera élargi pour englober la taxe supplémentaire provisoire et préventive qui ne peut faire l’objet d’exonération.
La liste des marchandises soumises au droit supplémentaire provisoire préventif et aux taux approuvés est fixée périodiquement au sein de la règlementation.
Concernant les motifs de la formulation de cette proposition, le projet a pour objectif la création d’une taxe supplémentaire provisoire préventive à l’importation, pour le rééquilibrage de la balance des paiements en déficit actuellement, la promotion de la production nationale et la préservation des moyens de production.
Il est à noter que les branches de la production nationale font face à la concurrence directe d’importations considérables dont certaines bénéficient de mesures de subvention dans leurs pays de production et pénètrent souvent le marché algérien via le système d’acquisition par exonération des droits douaniers, leur portant de graves préjudices.
Cette nouvelle proposition s’inscrit dans le cadre des dispositions visant la protection de la production nationale et la défense commerciale prévue dans l’ordonnance N 03-04 du 19 juillet 2003 relative aux règles générales applicables aux opérations d’importation et d’exportation de marchandise, modifiée et complétée.
Ces mesures, rappelle-t-on, découlent des règles de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), qui permettent à titre exceptionnel, aux pays concernés de prendre des mesures devant assurer la défense de leur production nationale contre les importations considérables qui portent préjudice à leurs économies.
A ce propos, l’article 9 de l’ordonnance 03-04 du 19 juillet 2003, modifié et complété, stipule que des mesures de défenses commerciales peuvent être instaurées par voie réglementaire, sous la forme de mesure de sauvegarde, compensatoires ou anti-dumping.
En application de ces dispositions, il est proposé de prendre une mesure sous forme de taxe supplémentaire provisoire préventive à percevoir, outre les droits douaniers.
Il a été proposé dans ce cadre de définir les produits concernés et les taux des taxes supplémentaires y afférentes par voie réglementaire (dans la limite d’un taux allant entre 30 à 200 %).
Les produits concernés et les taux arrêtés seront définis après consultation de la commission intersectorielle chargée du suivi des mesures de sauvegarde. Il s’agit des secteurs ministériels concernés et de la Chambre algérienne de Commerce et d’industrie.
Cette commission étant le meilleur moyen pour définir et proposer les produits et les taux des taxes supplémentaires y afférentes, en cas de besoin et dans les délais fixés.
Le solde de la balance des paiements a enregistré un déficit à partir de 2014 (-5,9 milliards de dollars) pour atteindre un déficit de (-3,23 milliards de dollars en 2017 contre -26,3 milliards de dollars en 2016).
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Dans la plupart des 52 communes de la wilaya de Sidi Bel Abbès, le fameux couffin du mois sacré de Ramadhan qui tire vers sa fin n’a pas fini de faire parler de lui ,devenant ainsi le sujet principal de toutes les discussions quotidiennes.
Une centaine d’élus d’A.P.C, d’appartenances politiques différentes, dont des maires, viennent d’être interrogés par les éléments de la brigade de recherches relevant du groupement de la gendarmerie nationale, sur les 10 couffins alimentaires que chacun d’eux a bénéficié de la part d’un postulant aux prochaines élections sénatoriales de décembre 2018, a-t-on appris de source bien informée.
Ce dernier, d’obédience TAJ qui vient de rallier l’ex-parti unique et se présenterait d’ores et déjà comme un candidat potentiel de « gros calibre » ayant de fortes chances pour remporter les prochaines élections prévues pour le renouvellement de la moitié des membres du conseil de la nation, s’est investi dans les actions de charité, en faisant don de plusieurs centaines de couffins au profit des couches sociales démunies et ce, par le biais de membres d’APC.
Chacun de ces élus se serait chargé de remettre les 10 packs alimentaires dont il a bénéficié à leurs vrais destinataires, notamment ceux de la région sud de la wilaya connue pour sa forte densité de population .Néanmoins, ces dons auraient été détournés.
L’affaire scabreuse n’à créé que mépris et indignation au sein de la population locale. D’autres sources indiquent que l’enquête aurait été déclenchée suite à des renseignements parvenus aux services concernés de la gendarmerie nationale ,donnés vraisemblablement par un autre adversaire farouche du candidat F.L.N.
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Le drame du lac Toho continue d'impacter négativement le commerce du poisson dans la localité. Les femmes spécialisées dans la vente et la transformation des produits halieutiques sont les principales victimes.
« Tu amènes du poisson mais tu ne vends rien », se plaint une vendeuse de tilapias, rencontrée cette semaine dans le village d'Azonlinhoué. Cette mévente à laquelle sont confrontées les commerçantes dans la commune est la conséquence de la polémique nourrie à travers les médias et les réseaux sociaux sur le drame du lac Toho avec la mort mystérieuse de milliers de poissons.
Malgré l'incinération par les autorités des poissons morts, les populations continuent de subir les effets de ce drame. La mévente quotidienne empêche les commerçantes de jouir de leurs activités. Dame Aline, vendeuse de poissons, accuse les autorités d'être responsables de leur malheur. « C'est parce qu'on a dit que le poisson n'est pas bon. Ils ont dit que c'est du poisson empoisonné, alors que c'est pas vrai ». Conséquence : « Lorsqu'on amène du poisson, personne n'achète », ajoute-t-elle. Charlote Hounza renchérit : « Les gens racontent que ce sont des poissons morts que nous vendons. Et depuis, les clients ne viennent plus ». Aline Awe soutient que « les poissons morts ont été ramassés et brûlés ». Mais cette mesure est loin de décourager les populations friandes des poissons du lac Toho.
« La substance dont il est question n'est pas venue chez nous. Ces poissons que je suis entrain de frire, je les ai payés ce matin au niveau du lac », témoigne Agathe Agbo. Dame Sodjihoun confie que « si ce sont des poissons empoisonnés, il n'y aurait pas de poissons vivants parmi eux ». Selon elle, « tous ces poissons dont il était question sont déjà morts. On continue toujours d'aller pêcher des poissons vivants », rassure-t-elle.
Une polémique qui perdure
« Nous entendons à la radio qu'il a été interdit de vendre des poissons du lac et qu'ils vont analyser les eaux avant que nous ne reprenions la pêche. Mais jusque-là plus rien », déplore Marceline Adjikou.
Les difficultés rencontrées par les femmes dans les localités de Lokossa et Athiémé sont liées à la polémique sans fin de cette situation du lac Toho. Malgré les assurances de certains, le mal continue de ronger le peuple. Ce mal est singulièrement relatif aux rebondissements relatifs aux diverses contestations des résultats du laboratoire central. Si certains spécialistes soutiennent qu'il faut une contre-expertise pour détecter le mal, les acteurs de la filière piscicole estiment qu'il n'y a pas péril en la demeure. Néanmoins, les populations continuent de se montrer très méfiantes afin d'éviter une probable intoxication alimentaire. Aujourd'hui ce qui est sûr, les femmes des localités riveraines du lac Toho sont les plus touchées par ce drame.
Il faut une nouvelle intervention des autorités pour lever le doute sur la consommation des poissons du lac.
Frappés par les rumeurs d'intoxication alimentaire au Bénin et l'interdit d'exportation vers le Togo, les tilapias du lac Toho sont devenus pour le moment comme des pestiférés.
Giscard AMOUSSOU
Le site touristique du plateau de « Lalla Setti », surplombant la ville de Tlemcen, est devenu, en cette période de ramadhan, un site de prédilection pour les Tlemceniens devant son attrait incomparable.
Culminant à 800 m d’altitude, cet endroit est visité, durant toute la journée, par de nombreux citoyens, venus non seulement passer le temps en cette période de jeûne, mais aussi pour admirer ses paysages d’une beauté inouïe et contempler la ville de Tlemcen située en aval. C’est surtout le calme et l’air frais du site qui attirent ces citoyens en quête de détente et de moment villégiature.
La beauté féerique de ce site a été davantage mise en valeur, cette année, après les chutes de neige et de pluies enregistrées, ces derniers mois, à Tlemcen, offrant au regard un aspect de verdure indescriptible à la forêt voisine de « Zarifet », en cette période d’été aux allures printanières où les couleurs se mélangent avec le rouge foncé des cerises, qui font la réputation de la région.
Rencontrés sur place, de nombreux citoyens ont relevé l’importance de ce site et des paysages naturels de cette partie du Parc national de Tlemcen où des travaux d’aménagement ont été effectués, ces dernières années, par les services de wilaya, rendant les lieux plus attrayants.
En dépit de la suspension, pour raison de réhabilitation, du téléphérique reliant la ville au plateau de Lalla Setti, des centaines de personnes continuent de s’y rendre en nombre.
Metloue, cerises et …jogging
Durant les après-midi, c’est un ballet incessant de véhicules dont les propriétaires et les passagers font une halte pour s’approvisionner en Metloue, ce pain très prisé pour accompagner la traditionnelle « H’rira » ou soupe d’entrée pour la rupture du jeûne.
Cet attrait et forte demande ont fait de ce pain traditionnel une source de revenus pour les habitants du plateau où devant toutes les maisons, une table est dressée pour mettre en valeur les différentes sortes de pain.
Cette activité a beaucoup aidé la population locale, composée essentiellement de fellahs, dans l’amélioration de leurs budgets familiaux, relève-t-on dans la localité de Attar où de nombreuses maisons ont été construites et disposant d’un espace pour la cuisson de pains traditionnels.
Cette période de fin mai-début juin est, également, propice pour l’apparition des premières cueillettes de cerises de ce site et qui, en dépit de la cherté de leur prix de vente pour les primeurs, sont achetées par les jeuneurs.
Cette année, le prix d’un kilo de cerises était proposé à 1.000 DA, avant que ce prix ne chute pour atteindre en moyenne entre 600 à 700 DA.
L’endroit élevé du site fait de la cerise de Attar un fruit très mûr, a indiqué un fellah, précisant, qu’au fur et à mesure que l’on se dirige vers le barrage d’El Mefrouche, situé à 1.200 mètres d’altitude, les récoltes se font plus tardives, le fruit murissant tout doucement.
En fin d’après-midi, de nombreux sportifs, tous âges confondus, se dirigent vers la forêt de Zarifet pour faire du jogging sinon une marche comme à leur habitude, profitant de l’air pur de l’endroit, donnant lieu à des incessants aller-retour de randonneurs au niveau des différentes pistes de course ou de marche aménagées par les services des forêts de la wilaya de Tlemcen.
Après la rupture du jeûne et les prières surérogatoires, une même affluence de visiteurs est constatée. De nombreuses familles préfèrent siroter leur thé ou café, accompagné de « Zlabià », de « Chamia » et autres gâteaux traditionnels connus chez les habitants de Lalla Setti, où des tables sont aménagées. Certaines familles, notamment durant le week-end, rompent le jeûne in situ, ramenant leurs « f’tour » complets avec eux.
Avec la remise en marche du téléphérique, prévue en août prochain, le plateau de Lalla Setti connaitra une véritable affluence de touristes qui, en moins de dix minutes, peuvent joindre à partir du Grand bassin ou « Sahridj M’bedda », ce site où, durant la saison estivale, l’activité se poursuit jusqu’à des heures tardives de la nuit.
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A la veille de la saison estivale et en plein mois sacré du Ramadhan, N’GAOUS lance sa campagne significative multi-supports d’envergure nationale, « Waqteha ! »
Alger, le 03 juin 2018 – Lors du mois du Ramadhan de cette année 2018, N’GAOUS, la marque algérienne phare de boissons soft – devenue au fil du temps patrimoine national, décide de monter d’un cran dans sa stratégie de communication. Il s’agit là de mettre en œuvre tous les moyens nécessaires afin de faire « redécouvrir » au grand public l’unicité et l’authenticité de cette marque de boisson « culte » pour les Algériens, tous sexes , âges et classes socioprofessionnelles confondus.
C’est ce que nous explique à ce propos, monsieur Naïm MAAZOUZ : « Nos valeurs doivent inspirer notre comportement, notre communication, nos produits et nos actes. Ce sont elles qui soutiennent le développement de notre marque. Notre attitude est guidée par nos actes et nos prises de parole et c’est à travers elles que nous gagnons en affirmation« .
Dans ce contexte, une campagne a été lancée sur plusieurs supports médias. Elle a pour objectif de réaffirmer le positionnement de la marque sur le marché algérien des soft-drinks, son leadership et sa modernité. Cette campagne se traduit par un message publicitaire fort, dans un langage algérien, à la fois simple et compréhensible de tous : « Waqteha ! »
Une évasion le temps d’une boisson : Waqteha !, N’GAOUS est la boisson de tous les moments. Ces spots mettent en avant des scènes de vies réelles du commun des Algériens que N’GAOUS transforme, grâce à l’une ou à l’autre de ses boissons, en un moment de plaisir fort et privilégié. Que l’on soit seul face à une vue éblouissante, entre copains au milieu d’un jardin, ou simplement en bas de l’immeuble en train de jouer aux dominos, cette boisson accompagne tous nos bons moments.
S’agissant du lancement de cette campagne, la marque a mis sous le feu des projecteurs 10 spots qui se relayent les uns-les autres sur les différentes chaînes TV, mais aussi sur le digital. Nous en citons celui d’un chauffeur de bus exacerbé par une foule de voyageurs râleurs qu’une canette de N’GAOUS vient soulager, ou encore un chef de famille autour d’une table d’Iftar, assailli par les problèmes que viennent lui exposer les autres membres, les uns après les autres, et qu’une bouteille d’eau fruitée gazéifiée N’GAOUS semble le calmer.
Cet élan de dynamisme de la marque se poursuivra le long de la saison estivale. Traduisant tous les efforts consentis pour une continuelle modernisation de ses structures et l’amélioration de ses produits, cette vague vient apporter un nouveau souffle de vie à la marque. Les emballages relookés revalorisent toute la subtilité du mélange des arômes et le savoir-faire de N’GAOUS, mettant en exergue leur synergie ; garantissant ainsi l’harmonie entre tous les produits des autres gammes de la marque.
Cette nouvelle signature de N’GAOUS, qui se veut être comme un hommage aux instants ordinaires de la vie, vient consolider sa présence dans le paysage médiatique algérien à une période de forte saturation, tout en réaffirmant sa position parmi les leaders nationaux du secteur. Elle soutient et exprime en même temps son développement et créé une forte empathie entre elle et son large public… En en étant plus proche, à TOUT MOMENT !
A propos de N’GAOUS
N’gaous – Conserves, le leader du naturel, est composée de deux unités de production ; l’unité de N’gaous et l’unité de Menaa. Elle est parmi les plus anciennes entreprises algériennes, spécialisées dans la transformation des fruits, la fabrication et la commercialisation des eaux fruitées, jus & conserves. Située à N’gaous, dans la wilaya de Batna, à l’est de l’Algérie, une région agricole, riche de sa production d’abricot. Sa création date de 1979 par un contrat signé avec la société française CIFAL. 1981 marqua la première année de production, sous la tutelle du groupe ENAJUC (Entreprise Nationale des Jus et Conserves).
Le 01/01/1998, l’entreprise a été restructurée, dans le cadre de la filialisation de la société mère, ENAJUC, pour devenir N’gaous – Conserves. Privatisée le 17/02/2007, elle est actuellement détenue à 100% par le Groupe MAAZOUZ.
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