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Afrique

Transfert des marchandises vers les ports secs : Les nouvelles règles des Douanes

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 22:03

 L’administration des Douanes a établi, dans une récente note, une nouvelle procédure pour le transfert des marchandises vers les ports secs. Ainsi, le choix du port sec devant recevoir les marchandises importées se fera par l’administration des Douanes, suivant un “système d’affectation aléatoire”. Sauf autorisation préalable de l’administration des Douanes, le transfert des marchandises devra concerner la totalité de la cargaison conteneurisée et être dirigé vers un seul port sec rattaché au port maritime. Cette procédure de transfert des marchandises vers les ports secs sélectionnés est conçue pour “éviter les risques de fraude et asseoir l’équité et la transparence en la matière à même de contrecarrer tout risque de collusion en termes de leur vérification et contrôle”. La note des Douanes précise que les marchandises dangereuses ne peuvent être admises que dans les ports secs disposant d’installations aménagées et agréées.

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Les journalistes face à leur responsabilité

24 Heures au Bénin - Sun, 05/27/2018 - 21:35

Suite à la suspension du journal La Nouvelle Tribune, plusieurs questions se posent sur l'urgence et la responsabilité du président de la Haac. La question a fait objet de débat sur 90 min pour convaincre ce dimanche 27 mai 2018 sur la radio nationale à travers le thème : « Régulation et Co-régulation des médias au Bénin ».
« Le Président de la Haac est outillé selon la loi à prendre les mesures conservatoires. C'est une mesure qui vient en dernière position. Constitutionnellement, il peut l'exercer. Il faut le faire selon les conditions. La manière dont le président l'utilise est trop », dénonce Irénée Agossa, ancien conseiller à la Haac. Abondant dans le même sens, Agapit Napoléon dira que « l'article 40 donne les priorités au président ». L'ancien membre de la Haac pense que cela fait partie des pouvoirs discrétionnaires du président de la Haac. « Il n'y a pas de condition. C'est une mesure discrétionnaire », ajoute-t-il. « Quand on était à la Haac, on a pris des mesures conservatoires. Quand on estime que le président de la Haac abuse, c'est l'Assemblée qui doit régler avec la relecture de la loi. On ne peut pas lui denier ce pouvoir », fait comprendre l'ancien conseiller et rapporteur de la Haac. Conseiller à la Haac et responsable de la Commission éthique, déontologie et carte de presse, Marie Richard Magnidet martèle qu'il revient au président de la Haac de prendre les dispositions qui s'imposent en matière de dérapage. Si le président prend des mesures conservatoires, « n'attendez pas que les gens applaudissent », dira-t-il. « Aucun de nous ne peut apprécier mieux que le président c'est pourquoi il a pris la décision. C'est lui qui juge que ce que tel organe fait est mauvais et peut créer un problème », renseigne le conseiller. Secrétaire général de l'Observatoire de la déontologie et de l'éthique dans les médias (Odem), Fortuné Sossa se demande « Est-ce que ce n'est pas préserver la liberté qu'on demande à un organe d'attendre d'abord pour revoir ces positions ? ». C'est à Agapit Napoléon d'inviter à ce que « les Béninois lisent les lois ». Il pense bien que « la loi organique donne tous les cas possibles dans lesquels on peut limiter la liberté de la presse ». « Personne ne peut denier à la Haac de prendre des mesures conservatoires. Ceux qui dénient à la Haac son pouvoir n'ont qu'à aller lire la loi organique. Quand il y a dérive, on ne peut pas rester à l'extérieur pour punir », insiste-t-il.

L'application de la loi

Les justifications relatives à cette décision ne semblent pas fondées. Irénée Agossa soutient que « le président n'a pas donné les arguments qu'il faut pour convaincre ». Il se désole du fait que le président de la Haac dit que « depuis janvier, il y a eu des articles qui portent atteinte au président. L'intéressé n'est pas invité une seule fois pour être écouté » et on prend cette décision de suspension. Selon lui, « l'instauration de l'audition publique est pédagogique. On ne peut pas condamner quelqu'un sans l'avoir écouté. On ne peut pas suspendre ainsi ». Irénée Agossa dira « je ne vois pas l'urgence pour que le président prenne cette mesure ». Martelant qu'il ne dénie pas au président de la Haac son droit, puisque « nous l'avons aussi fait en notre temps ».
Il ne voit pas le président aller justifier son acte devant les médias mais plutôt devant les conseillers. Autrement, la présidence n'a plus de sens. En notre temps explique-t-il, « quand les gens parlent, nous disons ce pourquoi et nous avons des arguments nécessaires pour convaincre ». Mais le conseiller Richard Magnidet confie ‹‹ qu'il relève de la discrétion du président de prendre des mesures conservatoires ». Il ajoute qu' « aucune loi ne lui demande d'informer d'avance les autres conseillers ». Pour lui, « dès qu'on va se retrouver en plénière, on va discuter. Il va nous expliquer et on posera des questions ». Il insiste que « le seul à qui les textes donnent ce pouvoir, c'est le président››. Il reconnaît aussi que c'est la plénière qui décide. « On met en demeure, on donne des avertissements. La mesure conservatoire n'est pas une sanction. C'est comme pour dire, arrêtez vos dérives et on verra après ce qu'il faut faire », explique-t-il. Pour lui, « le président est plus informé théoriquement que nous ». Le secrétaire général de l'Odem pense que le rôle de la Haac est assuré. « Quand on voit la manière dont la loi est taillée, le Président est dans son rôle », dira-t-il. Dans le cas de l'Odem, « nous avons organisé en février dernier une conférence de presse pour rappeler aux directeurs des organes, leur sens de professionnalisme. Nous avons souligné le lynchage des présidents d'institutions. Nous avons mis l'accent sur les attaques aux présidents de la République et au Président de la Cour constitutionnelle. », met-il en exergue pour signifier que l'Odem joue sa partition. Au niveau de l'Odem explique-t-il, il n'y a pas de mesures conservatoires. « C'est sur ces plaintes que nous statuons. Il ne faudrait par que parce que la Haac prend une mesure conservatoire que l'Odem aussi prendra de mesures », fait-il comprendre. ‹‹ Ce qui arrive c'est la banalisation de l'Odem qui amène à ces dérives », affirme Agapit Napoléon. Pour lui, « quand on créait l'Odem, c'est pour régler les dérives à la déontologie. Les propos qui ont été tenus ne peuvent pas être écrits dans les journaux ».

La responsabilité

« Pour quitter les textes de la Haac, il faut revoir la loi organique », dira Agapit Napoléon. Mais il estime « qu'il faudrait que les professionnels s'approprient les lois et évitent les dérives. Les journaux n'ont qu'à s'approprier le code et quand il y a dérive se référer à l'Odem et on aura moins de ces situations ». Les invités de Henri N'dah Sékou et Cécile Goudoukpangon ont opiné sur le dernier rapport de Reporters sans frontière. Pour Richard Magnidet « le classement de Reporters sans frontière beaucoup ont commenté et eux-mêmes ils sont conscients que ça ne reflète pas les réalités du pays ». Selon lui, « la presse est libre. Et ce qui a renforcé cette liberté est le vote du code. La liberté est synonyme de responsabilité. Il y a suffisamment d'articles dans le code de l'information et la déontologie qui donne la liberté », estime le conseiller. Irénée Agossa se demande : « qu'est-ce vous voudrez de Reporters sans frontière si les responsables de la Haac ne savent pas que les fréquences sont brouillées. Si les effets perdurent dans le temps, ils ne peuvent pas ignorer ». Fortuné Sossa dira que « nous n'avons pas été surpris par ce classement. Nous n'aurons pas avancé mais nous avons dit qu'on n'aurait pas baissé si tant dans le classement ». Pour lui, « Reporters sans frontière tient compte d'un certain nombre de choses pour faire son rapport ». Quant à la suspension de certaines télévisions dont a fait cas le rapport, il pense que « la loi dit que même si vous n'avez pas un siège et c'est une correspondance, vous devez demander l'autorisation à la Haac ». Agapit Napoléon quant à lui dira : « le classement de Reporters il y a longtemps je ne tiens plus compte. Ils n'ont qu'à continuer ». Selon lui, « avec Reporters sans frontière on ne doit pas appliquer les lois du pays ». Il soutient qu'il faut appeler les professionnels des médias à la responsabilité.
Giscard AMOUSSOU

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Médecins: "La grève handicape tous les hôpitaux et nous renouvellons notre volonté au dialogue"

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 05/27/2018 - 21:00
Adrar Info - Le Comité Mixte des Syndicats des Médecins Généralistes et Spécialistes, chargé du suivi de la grève des médecins a...
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Fin d’année scolaire mouvementée à Collo : Des œufs contre les enseignants

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:35

 La fin de l’année scolaire a été mise à profit par certains élèves pour régler leurs comptes avec les enseignants et même avec les élèves studieux. Ce qui s’est passé, jeudi, à la sortie de certains établissements scolaires, des CEM, nous a laissé penser qu’une autre étape de déliquescence de notre école a été franchie. Dans deux CEM de Collo, au dernier jour des compositions, des élèves qui sèment la terreur pendant l’année scolaire n’avaient trouvé mieux que de lancer des œufs et même des sachets de lait contre certains enseignants qui sortaient des établissements scolaires. Même les élèves studieux qui enregistrent les meilleurs résultats scolaires ont été ciblés.

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Il dit accomplir les “Tarawih” devant le petit écran : Ould Abbès se prosterne devant la télévision !

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:34

Le secrétaire général du Front de libération nationale, Djamel Ould Abbès, n’en finit pas d’étonner son monde, ces derniers mois, avec à la clé des déclarations aussi renversantes les unes que les autres. Il s’est de nouveau distingué, jeudi, par des propos pour le moins cocasses sur la prière durant le mois de Ramadhan. Se sentant obligé de répondre à une question d’une journaliste, Ould Abbès n’a pas manqué de faire sourire autour de lui en affirmant qu’il ne faisait pas les prières des tarawih à la mosquée, mais devant la télévision ! Il a ajouté, comme pour justifier ses propos, qu’il ne va pas à la mosquée depuis la décennie noire des années 1990.

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La proposition est faite par les élus locaux de Annaba : “Edough” au lieu de Draâ Errich pour la nouvelle ville

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:31

“Edough” au lieu de “Draâ Errich”. C’est là la proposition faite par les élus locaux lors de la dernière session de l’APW de Annaba pour rebaptiser la nouvelle ville. Une proposition qui aurait intéressé le wali Mohamed Salamani. Plusieurs facteurs plaident pour cette rebaptisation. Hormis Bouna, Bône la Coquette ou encore la ville du Jujube, Draâ Errich est un nom qui ne renvoie à rien qui aurait un lien avec Annaba. En revanche, le nom d’Edough constitue le lien naturel avec la ville, car la nouvelle cité est située au piémont de l’Edough.

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1 400 km pour un concours de recrutement : Un centre d’examen pour les candidats d’In Salah

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:29

Contraints de se déplacer jusqu’au chef-lieu de la wilaya de Tamanrasset et parcourir ainsi une distance de 1400 km en aller-retour, les candidats au concours de recrutement de l’éducation nationale relevant de la wilaya déléguée d’In Salah s’en remettent au ministère de tutelle pour l’ouverture d’un centre d’examen au niveau local. Les concernés par cette opération, dont le nombre s’élève à 800 candidats, ont même sollicité l’intervention du wali de Tamanrasset pour résoudre cette situation problématique et pour qu’ils puissent participer au concours sans avoir à subir les péripéties du voyage en cette période des grandes chaleurs, ou encore celles d’une route qui se trouve dans un piteux état.

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Les registres cernent la période allant de 1830 à 1904 : L’état civil des colons en Algérie consultable sur “Filae”

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:23

 Le portail de généalogie “Filae” propose désormais l’état civil des colons européens ayant vécu en Algérie entre 1830 et 1904. Il s’agit en fait de l’état civil des premiers colons, puis de leurs descendants, puisque certains sont restés temporairement, mais d’autres ont fait souche. La consultation des registres permet de connaître le lieu d’origine des colons, France, Espagne, Italie ou d’ailleurs. L’état civil de cette période coloniale s’étalant de 1830 à 1904, qui ne concerne que les Européens, représente plus de 1,4 million d’actes de naissance, de mariage et de décès des Européens vivant en Algérie. Les deux tiers des registres ont été numérisés et transcrits.

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Inde : le bilan des victimes du virus Nipah passe à 13 morts

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:21

Un homme contaminé par le virus Nipah est décédé dimanche, portant à 13 le nombre de personnes tuées par ce virus en Inde, ont annoncé les autorités du Kerala, dans le sud du pays.

« Un homme est mort aujourd’hui du virus Nipah, ce qui porte le bilan total des décès à 13 », a déclaré le directeur des services de santé de l’Etat du Kerala, Sarita R.L. « Il y a deux autres cas confirmés de patients atteints du Nipah, en cours de traitement », a-t-il ajouté. Un précédent bilan faisait état de 10 morts.

L’Etat du Kerala a mis en place en mai des mesures d’urgence pour contrer l’expansion du virus et des dizaines de patients ont été mis en quarantaine.

Toutes les victimes ont contracté cette zoonose dans le district de Kozhikode (anciennement Calicut), une zone inédite pour le virus Nipah. Parmi les premiers morts figurent plusieurs membres d’une même famille et une infirmière qui les a soignés.

Bien connu en Asie du Sud et Sud-Est, le virus Nipah, transporté par la chauve-souris frugivore, est mortel dans 70% des cas. Il a coûté la vie à plus de 260 personnes en Malaisie, au Bangladesh et en Inde depuis qu’il a été identifié pour la première fois en 1998.

Mobilisés, les responsables de santé ont dressé des camps sanitaires et un centre de crise pour faire face à la situation. Ils ont appelé la population à ne pas céder à la panique et à adopter une certaine prudence.

Ce virus, dont des cas de transmission interhumaine ont été signalés par le passé selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), peut provoquer des encéphalites mortelles et comas. Il n’existe pas à ce jour de vaccin contre ce virus. APS

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Chlef : plus de trois millions de litres de lait de vache collectés durant le premier trimestre 2018

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:18

Une collecte de plus de trois (3) millions de litres de lait de vache a été réalisée à Chlef durant le premier trimestre 2018, a-t-on appris du chargé de l’Inspection vétérinaire à la Direction des services agricoles de la wilaya.

La wilaya a réalisé une collecte de plus de trois (3) millions de litres de lait de vache durant le premier trimestre de l’année en cours, a indiqué à l’APS Mâamar Bedhriate, estimant que la production de cette saison est en « hausse notable » comparativement à celle de la même période de l’année dernière.

Il a imputé cette bonification de la production laitière aux conditions climatiques propices ajoutées à la disponibilité des fourrages.

Le responsable a aussi souligné l’enregistrement d’indices de production augurant d’une « production de lait record » pour cette année à Chlef au vu, a-t-il dit, de la hausse de l’activité dans cette filière, qui a connu l’importation de quelque 1.344 têtes de vaches laitières.

En 2017, la filière lait a enregistré une production globale de 69,4 millions de litres de lait de vache, dont 13 millions collectés et orientés vers les laiteries de la wilaya.

Par ailleurs, M. Bedhriate a signalé la mobilisation de tous les moyens de l’Inspection vétérinaire dans le contrôle de la production et collecte de lait, à travers des sorties de terrain au niveau des laiteries et des exploitations agricoles, où un suivi vétérinaire est également assuré aux vaches laitières, outre des opérations de vaccination, notamment durant le mois sacré de Ramadhan connu pour une croissance de la demande sur le lait et ses dérivés, a-t-il ajouté.

Au volet de la production des viandes carneés, le même responsable a fait cas de l’importation de près de 2.660 têtes de bovins destinés à l’engraissement, prévoyant une disponibilité des viandes rouges sur le marché local. Sachant que la wilaya a enregistré une production de plus de 5000 quintaux de viandes rouges, au premier trimestre 2018.

La wilaya de Chlef compte plus de 50.000 têtes bovines, dont 20.000 vaches laitières et plus de 30.000 bovins destinés à l’engraissement et à la production de viandes. La transformation du lait est assurée par quatre (4) laiteries locales. APS

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Le Conseil Supérieur de la Magistrature a décrété "une année judiciaire blanche"

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 05/27/2018 - 20:16
Oumar MOHAMED MOCTAR ELHAJ - Un mandataire doit, en toute circonstance, agir en bon père de famille. Cette obligation minimale s’applique à...
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Cherbet, attention à l’arnaque et à votre santé !

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:15
https://www.algerie360.com/wp-content/uploads/2018/05/cherbet-chemache.mp3

Parmi les produits incontournables de la table du F’tour, durant le mois de ramadhan, figure la cherbet. Cette boisson préparée à base de citrons pressés, sucrée et rafraichissante, très prisée par les familles qui la préfèrent aux boissons gazeuses.

Mais la cherbet vendue sur le marché est-elle vraiment une boisson faite à base de citron ?

Ahcène Chemache, journaliste de la radio Chaine 3, a posé la question à un agriculteur, fin connaisseur du marché, qui met en garde les consommateurs : « ils fabriquent la cherbet avec de l’acide, un produit chimique, et ensuite ils font semblant de couper quelques tranches de citrons. Cette cherbet n’est pas naturelle, parce que le citron fait 350 à 400 DA le kilogramme, alors que la cherbet est vendue à 60 DA le litre. Comment peut-on appeler cela de la cherbet ? »

« Il y a des gens, que Dieu leur pardonne, qui profitent de l’occasion du mois de ramadhan pour vendre de la cherbet faite à base de produit chimique », se désole Ami Said, résidant à Boufarik, une localité de la wilaya de Blida réputée pour sa zlabia et … sa cherbet.

« La vraie cherbet, souligne-t-il, se fait avec du citron naturel pressé, de la vanille, du sucre et du mazhar (eau de fleur d’oranger). Moi-même, des fois, j’ajoute soit de la menthe, soit de la menthe sauvage (fliou) ».

Donc, ce qui vous ai proposé comme du cherbet n’est, en réalité, qu’une boisson à base de colorants et de beaucoup de sucre. Vous êtes avisés, à bon entendeur !

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Batna : réception « prochaine » d’un complexe culturel dans la commune de Fesdis

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:08

Les infrastructures culturelles de la wilaya de Batna seront renforcées à la faveur de la réception « prochaine » d’un nouveau complexe culturel réalisé au pôle urbain de la commune de Fesdis, a-t-on appris dimanche du directeur de la culture.

S’exprimant en marge d’une visite d’inspection effectuée par le wali de Batna, Abdelkhalek Sayouda, au pôle urbain de la commune de Fesdis, Amor Kabour a indiqué que les travaux dans ce complexe affichent un taux d’avancement de l’ordre de 90% soulignant que la phase d’équipement a été entamée.

Il a également précisé que ce projet, dont la réalisation a nécessité un investissement de l’ordre de 164 millions de dinars, s’inscrit dans le cadre du programme de soutien au développement économique.

Selon les explications fournies sur les lieux au chef de l’exécutif local, ce complexe comprend une bibliothèque, une salle de lecture ainsi qu’une grande salle de conférence.

Le premier responsable de la wilaya a exprimé sa satisfaction pour la cadence des travaux de réalisation de ce complexe, notamment la qualité de la construction et des matières utilisées, a-t-on relevé.

Au cours de cette sortie, Abdelkhalek Sayouda, avait examiné plusieurs projets, dont celui de la réalisation des 1500 places pédagogiques à la faculté d’architecture de l’Université de Batna 2, projet qui accuse un retard sur les délais de livraison et dont le contrat de l’entreprise de réalisation a été résilié.

Le chef de l’exécutif local avait également donné des instructions fermes pour adresser des mises en demeure aux entreprises de réalisation et bureaux d’étude n’ayant pas respecté les normes de qualité et les délais de réalisation de 30, 60 et 120 unités de logement à la localité El Daha. APS

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Colloque international sur Syphax en septembre prochain à Ain Temouchent

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 20:05

Un Colloque international sur le roi numide Syphax (202-250 av.-J.C.) se tiendra en « septembre prochain » à Ain Temouchent, a annoncé dimanche à Skikda le Secrétaire général du Haut commissariat à l’Amazighité (HCA), Si El Hachemi Assad.

Placé sous le thème : « Le royaume des Massaessyles (Numidie occidentale), Syphax et le traité de Siga (202 a-JC) », le colloque réunira des chercheurs des universités nationales et étrangères pour débattre de l’histoire et des vestiges de la Numidie occidentale sous le souverain Syphax, a indiqué M. Assad au siège de la direction de la Formation professionnelle en marge de sa visite entamée la veille dans la wilaya.

Cette rencontre sera une opportunité pour relancer la recherche dans cette région et faire un bilan sur les travaux anciens et modernes consacrés aux cités et au territoire de ce royaume, a-t-il expliqué, proposant au président de l’APC de Skikda l’installation d’une statue à la mémoire de Jugurtha à l’instar de celle de Massinissa qui sera érigée « prochainement » à Alger.

Le SG du HCA avait annoncé samedi la mise en service du numéro vert 1066 pour la généralisation de l’utilisation de la langue amazighe en marge d’une conférence sur « Tamazight en Algérie, état des lieux et perspectives » tenue au Palais de la culture à l’occasion du 23ème anniversaire de la création du Haut commissariat à l’Amazighité. APS

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Les 15 membres nommés par le chef de l'État

24 Heures au Bénin - Sun, 05/27/2018 - 20:02

Signée le 20 mars 2018, par arrêté présidentiel, il est mis en place la Commission de réflexion sur la réforme du secteur de la pharmacie au Bénin. Elle est composée de 15 membres. La commission a été instituée en application des dispositions des articles 3 et 4 du décret 2018-106 du 30 mars 2018 portant sur la mise place d'une commission de réflexion sur la réforme du secteur de la pharmacie au Bénin. Ladite commission est présidée par le Garde des Sceaux, Joseph Djogbénou.
(Voir Arrêté)

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« La fin de Francophonie » selon Topanou

24 Heures au Bénin - Sun, 05/27/2018 - 19:57

Après sa charge à Michaëlle Jean Secrétaire générale de la l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) il y a quelques mois, le Professeur Topanou revient avec la même institution. Cette fois ci, c'est le soutien du président français Emmanuel Macron à la candidature rwandaise au secrétariat général de l'organisation qui le sort de ses gonds. L'ancien garde des sceaux du Bénin Prudent Victor K. Kouassivi Topanou Maitre de conférences de science politique, affirme que ce soutien vient signer l'acte de décès de la Francophonie. Lisez cette tribune à nous parvenue.

Le soutien d'Emmanuel MACRON à la candidature rwandaise au poste de Secrétaire général de l'OIF : La fin de la Francophonie

Tout le monde souhaitait le départ de Michaëlle Jean pour sa gestion catastrophique sur les plans politique, financier et symbolique de l'OIF. Moi aussi je le souhaitais. Et plus encore depuis qu'elle a limogé abusivement le Professeur Kako Nubukpo pour « manquement à l'obligation de réserve », ce qui en fait dissimulait très mal un limogeage pour « délit d'opinion ». Elle n'avait pas eu le flair nécessaire pour comprendre que les sorties médiatiques de ce dernier épousaient très largement les aspirations profondes de cette jeunesse de l'Afrique francophone qu'elle était pourtant censée, en partie, de par ses fonctions, faire rêver. Pour autant, la remplacer par une candidate rwandaise, c'est vider la Francophonie de sa substance, non seulement en reniant toutes les valeurs communes qui structurent les relations entre la France et les pays francophones depuis 1990, à savoir la démocratie et la langue française en partage (I) mais aussi en donnant aux pays africains francophones une raison supplémentaire de quitter la zone CFA (II).

I / La dictature plutôt que la démocratie

Les relations franco-africaines sont marquées, depuis bientôt trente ans, par des valeurs démocratiques communes. En Juin 1990, à la désormais historique conférence de la Baule, le Président François Mitterrand avait solennellement posé ce qu'il convient d'appeler la « conditionnalité démocratique » qui consiste à lier l'aide française aux efforts de démocratisation. Ce fut dur et tout le monde le savait. Face aux plaidoyers pathétiques de certains Africains, il y a eu la Conférence de Chaillot qui a légèrement desserré l'étau : « la conditionnalité démocratique », oui « mais chacun à son rythme ». Depuis lors, le long et difficile apprentissage démocratique des pays africains francophones suit son cours avec plus ou moins de réussite. Ce long et difficile apprentissage a connu son apogée avec la Déclaration de Bamako du 3 Novembre 2000. Tout le monde sait aujourd'hui que la démocratie est la règle et la dictature, fut-elle éclairée ou de développement, l'exception.
C'est au tout début de ce long et difficile apprentissage (Avril-Juillet 1994) que survint le génocide rwandais qui a fait le lit de la dictature de Paul Kagamé devenue aujourd'hui, apparemment aussi pour la France d'Emmanuel MACRON, un modèle alternatif à promouvoir. Et pourtant, c'est un modèle singulier que l'on ne peut et l'on ne doit, pour rien au monde, promouvoir. Car le modèle rwandais, c'est d'abord un génocide pour lequel on tient la France pour partiellement responsable et coupable, même si in fine ce sont les Rwandais eux-mêmes qui, dans un élan de bestialité, se sont entretués ; c'est ensuite remplacer le français par l'anglais dans l'éducation nationale et en faire une langue officielle ; c'est enfin, instaurer une dictature.
Il faut appeler un chat, un chat. Le Rwanda n'est rien d'autre qu'une dictature avec quelques réussites économiques que beaucoup d'autres pays démocratiques aussi connaissent qu'il s'agisse du Botswana, du Ghana, du Sénégal, de la Côte-d'Ivoire et de beaucoup d'autres encore. C'est vrai, qu'une partie très intéressée de la doctrine s'évertue à faire accroire, sans trop convaincre, l'idée qu'il y aurait une démocratie formelle et une démocratie substantielle et que la deuxième serait en toute chose préférable à la première. Et toujours selon cette partie très intéressée de la doctrine, la première serait en œuvre dans les pays africains francophones et la seconde serait en œuvre au Rwanda. La Chine qui est une réussite économique ne demande à personne à être appelée « démocratie substantielle » ; elle assume son statut de pays dictatorial.
Dès lors, choisir Louise Mushikiwabo, c'est enterrer trente ans de long et difficile apprentissage démocratique, c'est promouvoir le contre-modèle. Et si en définitive, pour établir des relations équilibrées avec la France jupitérienne d'Emmanuel MACRON et obtenir d'elle un poste aussi symbolique et politique que celui du Secrétariat général de l'OIF il faut suivre le modèle rwandais, alors les pays africains francophones savent à quoi s'en tenir.
Mais en même temps, il est permis de penser qu'ils tiennent-là une occasion rêvée de prendre une vengeance symbolique sur la France en désignant leur propre candidat qu'ils soutiendront tous, jusqu'au bout, comme un seul homme. Même si à titre personnel, je ne les crois pas capable d'une telle prouesse, il me semble que c'est pourtant la seule, solution, pour eux, d'éviter l'inconfortable situation dans laquelle ils risquent de se retrouver de devoir choisir entre Michaëlle Jean et Louise Mushikiwabo. Et il est juste surprenant que ce choix diplomatique intervienne quelques temps seulement après la vive polémique, jamais connue par le passé, sur le CFA et qui a contraint plusieurs officiels (Présidents de la République et Ministres) aussi bien Français qu'Africains à prendre position publiquement.

II / Une raison supplémentaire de quitter la zone CFA

Maintenant que le soutien de la France à cette candidature rwandaise est officiel, elle donne aux pays africains francophones une raison de plus de quitter la zone Franc. En effet, il est juste indécent pour les pays africains francophones de subir ainsi qu'ils le font depuis les indépendances une OPA hostile sur leurs économies à travers l'enfer du CFA pour ensuite se faire refuser les postes diplomatiques qui leur revient. Car après le coup de Michaëlle Jean par François Hollande, et celui de Louise Mushikiwabo par Emmanuel Macron, il y a de quoi désespérer les pays africains francophones !!!
Dans ces circonstances la question du CFA revient dans toute sa dimension symbolique. En effet, les pays membres de la zone CFA ne sont pas, du fait de leur monnaie, plus prospères économiquement que le Nigéria, le Ghana, le Rwanda ou l'Afrique du Sud qui ont chacun leur monnaie nationale. Et pourtant, ces pays éprouvent une fierté, justifiée ou injustifiée, à dire qu'ils ont leur monnaie propre. Ils éprouvent un sentiment national à dire qu'ils ont travaillé dur ensemble pour avoir cette monnaie ; qu'ils ont été responsables ensemble. Les nouvelles générations des pays de la zone CFA veulent souffrir ensemble et grandir ensemble ; elles veulent s'assumer et être vertueux et responsables ensemble : c'est tout. Ne pas le comprendre et leur permettre de le vivre, c'est faire preuve de myopie et courir le risque d'éclatement ultérieur de violence incontrôlée. Si la France réussit à faire élire sa candidate Rwandaise au poste de Secrétaire générale de l'OIF, ce serait la fin de la conditionnalité démocratique, de la langue française comme une référence commune et dans ces conditions, il ne restera plus aux pays africains francophones qu'à sortir du CFA et à remplacer le français par l'anglais et pourquoi pas comme le Rwanda adhérer au Commonwealth. Dès lors, ils retrouveront leur pouvoir symbolique de négociation et pourront exiger et obtenir de la France ce qu'elle leur refuse aujourd'hui.
Que faudra-t-il à la place du CFA ? Pourquoi pas des monnaies nationales le temps d'une transition avant d'aller vers des monnaies sous-régionales comme par exemple une monnaie commune puis unique pour les pays membres de la CEDEAO ? Il n'y a absolument aucune raison d'avoir peur des monnaies nationales et ceux qui prédisent le « scénario catastrophe » ne sont que des oiseaux de mauvais augure.
En revanche, nous garderons jalousement notre démocratie. Nous ne l'avons pas choisie parce que la France le voulait. Nous nous y sommes engagés par le biais de la conférence nationale de février 1990, soit quatre mois avant la conférence de la Baule de juin de la même année. Et nous l'avons fait parce que nous avons expérimenté un régime dictatorial marxiste-léniniste qui a conduit notre État à la faillite totale. Ce fut un choix consensuel et endogène et, pour cela, nous ne serons prêts à le tronquer contre aucune dictature, ni celle dite abusivement « éclairée » ou de « développement ». C'est tout cela que vient nous rappeler cruellement le soutien d'Emmanuel MACRON à la candidature de Louise Mushikiwabo.

*Par Topanou Prudent Victor K. Kouassivi*
*Maître de conférences de Science politique*
*Ancien Garde des Sceaux du Bénin*

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