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Afrique

Mauritanie: recours de l'opposition contre la composition de la CENI

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 05/27/2018 - 18:00
Le360 - L'Institution de l'opposition mauritanienne a introduit un recours contre le décret présidentiel désignant les membres de la Commission...
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Orden Alladatin donne son avis sur des questions d'actualité

24 Heures au Bénin - Sun, 05/27/2018 - 17:51

Le député Orden Alladatin était l'invité de l'émission Zone Franche de Canal 3, ce dimanche 27 mai 2018. Le député du parti Alternative citoyenne a donné son avis sur certains faits d'actualité, la gestion du pouvoir par Patrice Talon et bien d'autres sujets.

La question de la lutte contre la corruption a attiré l'attention de l'honorable Alladatin. La gestion de ce fléau par le chef de l'Etat est pour ce dernier, une gloire. Au sujet de la levée de l'immunité de certains députés indexés dans des affaires de scandales financiers, le député se dit rassuré que les dispositions iront jusqu'au bout. « Je ne sais pas s'il aura tempête. C'est quelque chose demandée par les populations depuis longtemps », confie-t-il. La lutte contre la corruption lancée par le chef de l'Etat, « il fallait que cela aboutisse ». En ce qui concerne la procédure enclenchée contre les députés, suite à la demande de levée d'immunité sollicitée par le procureur, Orden Alladatin soutient que « c'est dans l'ordre normal des choses. Nous allons apprécier. S'il faut que les mis en cause aillent se faire écouter pas la justice, nous le ferons ». Selon lui, « il y une commission qui a commencé par écouter les mis en cause et après ils vont déposer un rapport qui sera soumis à la plénière. La commission a été mise en place de façon spécifique et va traiter le dossier de façon spécifique››. « Nous sommes dans un milieu hautement politique et quand on entend les membres du BMP (Bloc de la Majorité Présidentielle, ndlr), le problème ne se pose pas », soutient-il. Pour lui, c'est difficile de voir que « tout le monde s'étonne que les affaires dans lesquels on s'est plaint qu'on revienne sur ces affaires. Moi, je crois qu'il faut le faire parce que personne n'ignore ce qui s'est passé sous le mandat de Boni Yayi et il faut qu'on accorde l'opportunité à la justice de faire son travail ». Le député martèle que « nous sommes des Béninois et nous avons vu la manière scabreuse avec laquelle, ils ont géré les affaires du pays dans un passé récent. Je souhaiterais que les amis qui sont en cause puissent aller laver leur honneur ». Tant que le juge n'a pas parlé, dira-t-il, « je peux avoir des soupçons mais ce n'est pas avéré. Il faut que les gens aillent se faire écouter. Peut-être qu'ils ont des choses à dire. Il faut qu'on lève leur immunité et qu'ils aillent se confier à la justice ».

Des initiatives diverses
« Je ne savais pas que le bâtiment était dans cet état. Je ne pouvais pas savoir que l'on puisse le faire avec tant de désinvolture, tant de médiocrité, tant de méchanceté », se désole Orden Alladatin, par rapport au scandale du chantier du nouveau siège du parlement. Il ajoute : « Je ne savais pas que les travaux ont été si gravement galvaudés ». Il s'est dit être dans un état de choc lorsque les images ont été projetées. « Personne ne savait que le siège était dans cet état de décrépitude. Quand on a géré avec tant de médiocrité, il faut que la population en générale prenne la mesure pour réclamer les sanctions », affirme-t-il. « C'est totalement irresponsable ce qui est fait. Le gouvernement n'a pas encore pris de décision. Il va prendre les décisions pour savoir ce qui sera fait », explique-t-il. « Parfois, nous accusons le gouvernement de ne pas nous montrer ces images. Le gouvernement ne met pas l'accent sur les désastres du genre. Je recommande au gouvernement de le faire davantage », suggère Ordener Alladatin. Aussi souhaite-t-il que d'autres affaires soient portées sur tapis. « J'ai recommandé au gouvernement d'aller faire des enquêtes sur les logements sociaux. Pour ce qui est du siège de l'assemblée, les responsabilités sont situées. Il faut aller montrer les dessous de ce genre de scandale », propose-t-il.

La mise en place du Cos-Lépi et la suite du processus d'actualisation de la liste électorale n'a pas manqué au débat. « Je sais qu'il y a une décision de la Cour qui demande au Cos-Lépi qu'ils ont à travailler jusqu'en fin juin », affirme-t-il. Pour lui, « le code électoral fixe le délai. Et ils vont statuer sur ça ». Le député ne voit pourtant pas l'urgence en la matière. « Qu'on ne soit pas menacé par les élections et que la Cour fasse injonction, c'est ça qui pose problème », dit-il. Quant à savoir si la Ravip sera utilisé pour extraire la liste électorale, Orden Alladatin pense qu'on en est pas encore là. Pour lui, « une liste électorale, c'est la liste des Béninois en âge de voter et qui jouissent de leur droit ». Mais il pense que « le Ravip ex nihilo ne peut pas servir. Des gens se sont enregistrés à Natitingou, et autres. Vous n'êtes pas arrimés à un bureau. Le Ravip n'est pas un instrument d'élection ». Il estime qu'on peut extraire la liste mais la question ne pourra venir de lui. Seuls tous les députés pourront en décider. La relecture de la loi électorale a été abordée par le député. Il soutient que des amendements nécessaires seront faits par rapport à cette loi. Sur les rumeurs relatives à la suppression de la CENA, le député pense que si les représentants du peuple jugent opportun que cela se fera. En ce qui concerne l'organisation des élections par le ministère de l'intérieur, « c'est une question de confiance sinon le ministère est bien outillé pour le faire. On fera des discutions et ce sera dans l'intérêt du peuple ? », fait-il savoir.

Des actions indispensables
Le système partisan et la création de grand bloc politique reste pour le député une avancée pour la démocratie. Pour lui, « on devrait faire un séminaire sur la charte des partis politiques. Si le groupe de la majorité n'avait pas fait de proposition, on aurait fait le séminaire avec des sujets innovants. Comme il y avait une proposition, cela a servi d'outils de discussions. Il ne faut pas faire de la fixation là-dessus, c'est des projections ».
Il déclaré que « les questions qui ont dérangé, c'est le nombre de personnes fondateurs. Il s'agira pour la commission de voir ce qui est raisonnable et corriger. Il y a beaucoup de consultations sur ça. Il y aura des consultations qui se feront et in fine et quand on aura écouté tout le monde, c'est le parlement qui décidera ». Mais pour le moment la commission des lois travaille sur la question. « Les critères de sélection pour bénéficier de financement public, le quota de représentativité par département, l'agence qui a en charge de suivre les partis politiques... ne seront pas du reste. « Si nous tenons à ces réformes, il faut qu'on parvienne à faire diligence puisqu'on ne doit pas toucher à la loi six mois avant les élections. Il y a cet engouement partagé pour que nous fassions des concessions, pour que nous votions cette loi importante pour le pays », explique le député de la seizième. Il n'a pas manqué de parler de son parti et les perspectives pour les prochaines élections. Elu dans la seizième circonscription électorale, le député pense qu'il y aura les coalitions pour les prochaines élections. En ce qui concerne les conflits d'intérêt sur certaines actions du chef de l'Etat, Orden Alladatin pense que « Bénin control n'est pas dans les appels d'offres, les fournitures de bureau et autres ». Il soutient que « c'est très bien de préciser ancienne structure puisque le président a eu à dire qu'il se démarque de ses affaires. Il a dit comment la démolition va se faire ». Le député a démontré l'importance de Bénin control dans l'économie nationale. Il est revenu sur l'obligation de la reprise des activités de Bénin control. Il n'a pas manqué de donner son avis sur la suspension du journal Nouvelle Tribune. Le député estime qu'il s'agit de libertinage qu'il faut combattre de la part du journal. Même s'il estime que la Haac est celle du gouvernement Yayi, Orden Alladatin estime qu'il s'agit d'outrage au chef de l'Etat. Le député appelle chacun à faire son travail dignement.

Giscard AMOUSSOU

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Algérie : des politiques et des intellectuels appellent Bouteflika à "renoncer" à un 5e mandat

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 05/27/2018 - 17:37
Jeune Afrique - Des figures politiques et intellectuelles algériennes ont adressé samedi une lettre à Abdelaziz Bouteflika l'appelant à...
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5 villages alimentés par des mini-centrales solaires photovoltaïques

24 Heures au Bénin - Sun, 05/27/2018 - 17:34

Une mission conjointe conduite par le Ministre d'État chargé du Plan et du Développement, Monsieur Abdoulaye Bio Tchané, et celui de l'énergie, Monsieur Dona Jean-Claude Houssou, s'est rendue les 24 et 25 mai 2018 dans les départements des Collines et de la Donga. La délégation est allée sur les sites de Fita (Dassa-Zoumé), Té-Foungou et Kokohou (Pélébina-Djougou) dans le cadre du projet PANA Énergie. Un projet de renforcement de la résilience du secteur de l'énergie aux impacts des changements climatiques au Bénin.

Cette mission a un double objectif. Visiter et réceptionner des sites de reboisement et ensuite mettre en service des hangars, des mini-centrales solaires photovoltaïques résilients à Fita (Dassa-Zoumé), Té-Foungou et Kokohou (Pélébina-Djougou) grâce au projet PANA Energie.

Dans le village de Fita situé à près d'une quinzaine de kilomètres de la ville de Dassa-Zoumè, c'est un domaine de 100 ha sur les 400 disponibles qui a été reboisé. Dans le cadre de ce projet, ce village a également bénéficié d'un système innovant photovoltaïque résilient composé de 7 lampadaires solaires et un kiosque solaire à but multiple doté d'un congélateur, d'un écran de télévision, 200 lampes avec un ban de charge et de 100 prises pour les portables.

Dans l'arrondissement de Pélébina, commune de Djougou, c'est 400 ha de terre reboisés sur les 12.000 ha disponibles à Té-Foungou. Aussi, le village de Kokohou s'est vu doter du même système photovoltaïque résilient comme à Fita, mais cette fois-ci avec 10 lampadaires solaires.

Le ministre d'État Abdoulaye Bio Tchané, face à la population, a rappelé l'objectif du Président Patrice Talon et de son gouvernement qui est de réduire les conséquences des changements et de la vulnérabilité climatiques pour le secteur énergétique au Bénin. 《 Si nous avons un village parmi les 5 villages de la phase pilote où désormais l'éclairage est effectif, 200 ménages ont de la lumière, le village a la télévision, les vaccins disponibles, il y a donc une vie sociale qui s'organise autour de ce centre>>. Il a aussi remercié le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) qui ont été pour ce projet des partenaires stratégiques du Bénin.

Le ministre Dona Jean-Claude Houssou a, pour sa part, indiqué que le secteur de l'énergie est aujourd'hui caractérisé par la prédominance de l'utilisation traditionnelle de biomasse et la difficulté d'accès des ménages aux énergies modernes. 《Je voudrais que ce joyau soit entretenu, soit porté comme un bijou de famille. C'est pour cela que la gestion doit prendre toute une dimension à laquelle je voudrais que chacun d'entre vous s'engage à y contribuer>>, a-t-il ajouté avant d'inviter les populations à soutenir les actions du Président Patrice Talon et son gouvernement.

Madame Jeanne Josette Acacha Akoha, Directrice de cabinet du Ministre du Cadre de vie et du développement durable a été très émue d'apprendre que les femmes participent fortement au reboisement dans ces différentes localités. Elle les a encouragées à continuer dans ce sens.

《Les mini centrales solaires photovoltaïques qui vont nous être présentées ont l'avantage de cumuler plusieurs fonctions. Non seulement elles fournissent des services énergétiques à la communauté à la base mais également contribuent à réduire la vulnérabilité de ces populations face aux effets négatifs du changement climatique>>, a indiqué Monsieur Siaka Coulibaly, Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies et Représentant Résident du PNUD au Bénin avant d'inviter les populations à faire un bon usage des joyaux.

Les populations, les autorités politico-administratives et têtes couronnées ont remercié le Chef de l'État pour les efforts qu'il fournit pour leur bien-être quotidien. Elles ont pris l'engagement de veiller au bon usage de ces infrastructures.

Étaient également présents à ces différentes manifestations, Monsieur Raoul S. Armand Dakehoun, Directeur de cabinet du ministre de l'énergie, Monsieur Bitayo Amine Kaffo, Directeur Général de l'Energie, des représentants du Fonds pour l'environnement mondial (FEM), du ministère de l'Agriculture, de l'Élevage et de la Pêche.

FINAFA H.

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Bir El Djir: Relogement prochain de 400 familles à Chahid Mahmoud et Hassi Benokba

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 17:11

Par J. Boukraa,

  En perspective de l’attribution de 400 logements sociaux au profit des mal-logés de Haï Chahid Mahmoud et Hassi Benokba, le wali a instruit les responsables de la daïra de Bir El Djir, pour assainir les listes des bénéficiaires et ce, avant la fin du mois en cours, a-t-on appris de sources proches de la wilaya d’Oran. Nos sources indiquent qu’il s’agit de 300 logements pour les habitants de Haï Chahid Mahmoud et 100 autres pour les habitants de Hassi Benokba.

Cette opération intervient quelques jours après l’attribution de 434 logements sociaux, réalisés au pôle urbain de Belgaid.

Ces logements ont été attribués aux familles d’un bidonville à Sidi El Bachir, détentrices de pré-affectations. Ce quota entre dans le cadre du programme des 1.250 logements publics locatifs destinés aux habitants de la commune de Bir El Djir. Cette importante opération de relogement profitera aux bénéficiaires des pré-affectations dans la commune de Bir El Djir. Les bénéficiaires doivent payer une redevance de 30.000 DA et 6 mois de loyer. La commune de Bir El Djir a déjà connu, le mois de février, une opération de distribution de 167 logements sociaux, à la cité 4.400 logements de Belgaïd.

Pour rappel, près de 12.000 logements sociaux seront livrés avant la fin de l’année, en cours et 6.000 unités seront bientôt distribuées. Parmi ces logements, un quota de 490 unités, dans la commune de Béthioua. Selon l’Office de promotion et de la gestion immobilière (OPGI), ces logements publics locatifs seront attribués à leurs bénéficiaires, le mois de juillet prochain, suite aux instructions du wali. Les entreprises de réalisation ont été exhortées à respecter les délais de livraison de ces logements. Elles ont été instruites et informées que le responsable de l’exécutif ne pardonnera aucun retard, dans les travaux. Ces logements sont répartis sur le chef-lieu de la commune (350 logements) et la localité de Araba (140 unités).

La commune de Bethioua a, déjà, connu en début du mois, une opération de distribution de 93 logements sociaux, au lieu-dit ‘Ararsa’, dans le cadre des opérations de lutte contre l’habitat précaire. Cette opération a permis l’élimination d’un bidonville érigé dans cette localité et la récupération d’une importante assiette foncière.

Plusieurs mesures ont été prises pour faire face aux entraves, particulièrement en ce qui concerne les programmes de LPL (logements sociaux). La priorité, pour les autorités locales et les services concernés, est de régler les problèmes de retard dans l’achèvement des chantiers des logements sociaux.

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FFS: «Le pouvoir fait tout pour que les choses restent en place»

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 17:01

Par R. N.

       Dans une allocution prononcée lors du conseil fédéral d’information, le premier secrétaire du Front des Forces Socialistes (FFS), tenu hier à Tizi Ouzou, a réitéré l’appel du parti à «toutes les forces sociales et politiques» pour «préserver l’Etat social en opposition à l’Etat libéral que le régime est en train d’imposer au peuple algérien», considérant que le pays «fait face à l’un des moments les plus décisifs de son histoire» marqués par une «crise multidimensionnelle, politique, économique, sociale, culturelle et environnementale».

Il a rappelé que sur le plan politique, le «problème de légitimité des institutions ne date pas d’aujourd’hui» et que les «élections n’ont jamais permis l’émergence d’institutions réellement démocratiques représentatives de la population».

«Le pouvoir, qui a fait du Parlement une chambre d’enregistrement, est en passe de le transformer en une caserne, piétinant la liberté d’expression et étouffant toutes les voix qui lui sont discordantes. Le FFS rejette avec vigueur le projet du règlement intérieur tel que proposé devant l’Assemblée populaire nationale», a-t-il déclaré.

Le FFS estime «qu’au lieu de donner plus de prérogatives aux députés pour exercer leur pouvoir de contrôle sur le gouvernement», le projet de règlement intérieur de l’APN «propose plusieurs articles verrouillant la libre expression des députés lors des séances plénières, et excluant la langue amazighe des travaux de l’Assemblée, en violation de la Constitution».

Sur le plan économique, «le pays ne parvient pas encore à assurer son développement», a-t-il ajouté, estimant que «s’en remettre au secteur privé étranger n’est pas la solution car cela constitue une hypothèque pour son indépendance et à terme pour sa souveraineté».

Sur le plan social, le FFS considère que «le pays ne dispose plus de ressources suffisantes pour assurer un niveau de vie décent à une population croissante et une protection sociale des plus démunis».

Seule la société «fait bouger les lignes», grâce à la mobilisation des «syndicats, des associations», au moment où le «pouvoir fait tout pour que les choses restent en place», affirme le FFS par la voix de son premier secrétaire, Mohamed Hadj Djilani. «Tout est figé en haut, mais tout bouge en bas. A nous donc d’accompagner ces hommes et ces femmes qui, par le bas, font bouger les lignes», dit-il. «Notre parti a accompagné, et accompagnera toujours, les forces du changement, jusqu’à l’aboutissement de leurs revendications légitimes», ajoute M. Hadj Djilani.

Dans son allocution, le premier secrétaire du FFS a insisté sur la nécessité de «préserver l’Etat social en opposition à l’Etat libéral».

«Désormais, tenir un discours à la fois libéral et social ne devrait tromper personne. Avoir un pied dans le pouvoir, un autre dans l’opposition, c’est de l’opportunisme politique. Les citoyens ne sont plus dupes, il faut choisir son camp», a-t-il déclaré.

Le FFS affirme qu’il continuera à agir pour «l’ouverture du champ politique, médiatique et associatif, gangrené par la multiplication de groupuscules téléguidés par le pouvoir qui poussent à la pollution du débat politique et la démission d’une partie des élites de la société». «Nous continuerons à agir et à conjuguer nos efforts avec les acteurs autonomes politiques, économiques et sociaux, en vue de l’ouverture d’un véritable débat démocratique. Nous continuerons à œuvrer inlassablement pour créer les conditions nécessaires à la reconstruction du consensus national».

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El-Oued: Un incendie ravage une partie d’un hôpital

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 16:50

Par R.N.

            Un incendie s’est déclaré, vendredi, dans l’établissement hospitalier public spécialisé Mère-Enfant ‘Bachir Bennacer’, au centre-ville d’El-Oued, à cause d’une étincelle électrique dans une chambre et sans faire de victimes, a-t-on appris des sources médicales. L’incendie, qui s’est déclenché à 16h30, a touché le rez-de-chaussée et le 1er étage, provoquant une panique chez les malades et leurs accompagnateurs. «Le pavillon de la Médecine et la Chirurgie des nouveau-nés contenait 9 enfants sous contrôle médical et 9 femmes gardes malades», a affirmé la direction de l’EHS.

Le wali de la wilaya d’El-Oued, M. Abdelkader Bensaid s’est déplacé sur les lieux pour s’enquérir de l’ampleur des dégâts occasionnés par cet incendie et des opérations de nettoyage pour la réhabilitation des pavillons endommagés. Il convient de souligner que les malades hospitalisés dans cet établissement ont été transférés dans l’établissement public de santé ‘Ben Omar El-Djilani’ de Chatt.

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Accès aux gisements pétroliers algériens: Discussions soutenues entre Sonatrach et Exxon Mobil

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 16:36

Le gisement de pétrole de Hassi-Messaoud a été abordé au cours des discussions, révèlent nos sources.

La compagnie nationale Sonatrach et le géant pétrolier américain Exxon Mobil mènent des discussions assez soutenues depuis quelque temps. Des discussions qui ne concernent pas que le rachat de la raffinerie d’Exxon Mobil en Italie par Sonatrach, a-t-on appris d’une source proche de la partie américaine.
À l’issue de plusieurs rounds de discussion, qui se sont tenus aux États-Unis et à Alger, les deux parties ont convenu de conclure un accord global portant sur plusieurs domaines de l’activité pétrolière. En premier lieu, sur ce qui constitue le cœur du métier des deux groupes pétroliers : l’exploration et l’exploitation de gisements. Il est clair que, compte tenu de son poids, Exxon Mobil s’attend à ce que Sonatrach lui permette d’accéder à un gros gisement pétrolier ou gazier.

Le gisement de pétrole de Hassi-Messaoud a été abordé au cours des discussions. “La compagnie américaine a la conviction que l’Algérie recèle encore d’importantes richesses dans le gisement géant de Hassi-Messaoud et à la périphérie, voire dans le bassin d’Amguid-Messaoud”, a laissé entendre la même source.
Hassi-Messaoud recèle 7 milliards de tonnes de pétrole, dont 20% seulement ont été consommés Sur quoi pourrait porter ce partenariat avec Sonatrach dans ces gisements du Sud-Est algérien. Il faut savoir que Hassi-Messaoud recèle 7 milliards de tonnes de pétrole, dont 20% seulement ont été consommés.
Sonatrach est intéressée par l’amélioration du taux de récupération de ce champ qui est loin d’être optimal. Si on améliore d’un point son taux de récupération, c’est comme si on découvrait un nouveau gisement, soit l’équivalent de 500 millions de barils, soutiennent d’anciens P-DG de Sonatrach qui ont eu à gérer ce champ. Cette optimisation passe nécessairement par la conclusion d’un partenariat. Pour plus d’une raison, Hassi-Messaoud a été toujours écarté de la liste des gisements à ouvrir au partenariat dans ce domaine précis de l’amélioration du taux de récupération. Il ne faut pas oublier que Sonatrach a déjà permis l’accès d’une grande compagnie à un gros gisement dans le cadre de la loi 86-14.

Il s’agit du champ pétrolier de Rhourde Baguel, confié à la multinationale BP. Cette compagnie devait porter la production de 25 000 barils à 100 000 barils/jour de pétrole grâce à l’amélioration du taux de récupération du champ. Pour dépasser ces considérations, les deux compagnies pourraient s’entendre sur un partenariat technique pour augmenter la production de ce gisement géant. Ce qui constituera une première. Mais plusieurs spécialistes doutent qu’un accord puisse être trouvé concernant ce champ. Par ailleurs, l’accord global ne se limitera pas à l’engagement d’Exxon sur un gisement ou plusieurs gisements conventionnels mais s’étendra à ceux recelant des ressources non conventionnelles, a ajouté la même source. À l’issue de ces discussions, il a été convenu également qu’Exxon accompagne Sonatrach dans la confirmation du potentiel de gaz de schiste algérien, considéré comme le troisième dans le monde.  Cet accord comme on l’a vu porte également sur la pétrochimie. Outre le rachat de la raffinerie Augusta en Italie, Exxon Mobil pourrait remporter le marché portant réalisation et exploitation d’un grand projet pétrochimique en Algérie.
Il faut savoir enfin que les discussions se poursuivent entre les deux compagnies. Un dernier round s’est tenu très récemment à Alger, a ajouté la même source. Les deux parties, au terme de ces discussions, ont convenu de conclure ce grand deal une fois promulguée la nouvelle loi sur les hydrocarbures, soit vraisemblablement en 2019.

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Le mystére continue d’entourer le sort d’un homme d’affaires mauritanien détenu aux EAU

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 05/27/2018 - 16:33
Adrar Info - Des sources dans la communauté mauritanienne aux Émirats arabes unis ont rapporté au site «Mayadin», que le mystère entoure...
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Tunisie : Le parti présidentiel soutiendra Caïd Essebsi, 92 ans, s’il veut rempiler

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 16:09
Le plus vieux Président en exercice du monde, le Tunisien Béji Caïd Essebsi, laisse, pour l’heure, planer le mystère sur sa volonté de se représenter. Même chose pour l’Islamiste Rached Ghannouchi, 76 ans à qui on impute des ambitions présidentielles pour fin 2019. Neuf ans après la « Révolution des jeunes », les vieux au pouvoir?

À 92 ans, le président tunisien Béji Caïd-Essebsi, le plus vieux dirigeant du monde en exercice, saura compter sur le soutien de son parti Nidaa Tounes s’il entend se présenter à un second mandat en 2019, a révélé le leader de cette formation dans une interview publiée mardi dans le magazine Middle East Eye. « C’est au congrès [du parti, nldr] de choisir [un candidat à la présidentielle de 2019, nldr], mais nous donnerons l’avantage au Président de la République s’il veut se représenter », a indiqué Hafedh Caïd-Essebsi, leader de Nidaa Tounes et fils du Président, en avouant ne rien savoir sur les intentions de ce dernier.

Hafedh Caïd Essebsi réagissait à la question de savoir si son parti, associé au pouvoir avec les islamistes d’Ennahda, soutiendrait Rached Ghannouchi, président de ce parti, s’il se présentait à la Présidentielle de 2019. La gérontocratie semble avoir de beaux jours devant elle en Tunisie.. « Ceux qui doivent le [Rached Ghannouchi, ndlr] soutenir, ce sont les gens de son parti. Nous aussi nous allons présenter un candidat », a affirmé le président de Nidaa Tounes dans la même interview.

À un an et demi de la prochaine élection présidentielle, les deux premières forces politiques du pays se mettent « discrètement » en ordre de bataille. Le parti Nidaa Tounes a renoncé, depuis des mois, au consensus impopulaire et contre nature noué avec Ennahda, déclarant se replacer, plutôt, en situation « concurrentielle ».

De son côté, et sans se distancier de Nidaa Tounes, le parti islamiste Ennahda accélère sa mutation « civile », depuis le tournant idéologique de l’été 2016. à son chef Rached Ghannouchi, qui s’affiche depuis un moment en costume cravate, on prête même des ambitions présidentielles, que l’intéressé n’a pas souhaité confirmer…. Ni infirmer! Seule certitude, pour l’instant: Ennahda n’observera pas la neutralité comme c’était le cas en 2014. D’où, entre autres, l’hypothèse d’une candidature commune avec Nidaa Tounes. Pour Adnane Limam, ancien professeur de Droit et spécialiste du mouvement Ennahda

« La candidature de Rached Ghannouchi aux présidentielles de 2019 est une éventualité destinée à mettre la pression sur le camp adverse ou à servir de monnaie d’échange; elle ne doit jamais, au grand jamais, être envisagée comme étant une option sérieuse ou réellement susceptible d’être mise en œuvre » analyse Adnan Limam pour Sputnik.

Tant le contexte international que la certitude, sur le plan interne, d’une levée de boucliers contre sa candidature, s’y opposeront, détaille Limam. Tout autre, en revanche, est la situation de Béji Caïd Essebsi, au regard de ces deux facteurs, nonobstant ses 92 ans. Une ineptie, toutefois selon certains, pour cette Tunisie qui a connu, en décembre 2010, un soulèvement populaire porté par des jeunes aspirant au changement.

Pour Abdejlil Bouguerra, historien tunisien, les ressorts de ce paradoxe sont à trouver dans une crise de leadership chez la jeune classe politique.

« Aujourd’hui, il y a clairement un retour aux anciens symboles, ce qui est paradoxal dans une société dont l’écrasante majorité est constituée de jeunes. Cet engouement s’explique par le fait que la nouvelle génération n’a pas encore trouvé sa voie. Elle patauge, piétine, ne sait pas quelle revendication mettre en avant, quel défi pourrait être rassembleur, comme a pu faire la génération de 1938 en portant au-devant la revendication d’un Parlement.

Par ailleurs, cet engouement est symbolisé par des gens comme Béji Caïd Essebsi qui ont fait partie de la génération qui a fondé l’État national. C’est ce qui explique aussi le retour de Bourguiba, alors qu’il avait été oublié un moment », avait déclaré cet universitaire tunisien dans une précédente interview avec Sputnik. Premier Président élu au suffrage universel direct dans un scrutin transparent et démocratique, Béji Caïd Essebsi n’a jamais connu de crise sérieuse de popularité, en dépit de contestations sociales qui émaillent le pays depuis 4 ans. Élu en décembre 2014 au terme d’un second tour houleux face au sortant Moncef Marzouki, il est aussi, depuis la démission en novembre dernier du Zimbabwéen Robert Mugabe, le plus vieux dirigeant en exercice au monde. La Constitution du 27 janvier 2014 qui l’autorise à briguer un deuxième quinquennat ne fixe pas, en revanche, de limite d’âge à l’exercice de la fonction présidentielle.

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Trump confirme son sommet avec Kim pour le 12 juin

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 15:56

      Le président américain Donald Trump a indiqué samedi que les choses « avancent très bien » vers un sommet le 12 juin à Singapour avec le dirigeaient nord-coréen Kim Jong Un. « Ca avance très bien. On vise le 12 juin à Singapour. Ca n’a pas changé », a dit M. Trump à la Maison Blanche durant une rencontre avec un prisonnier américain rentré au pays après avoir été libéré par le Venezuela.

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En images : Clôture de la 2e édition de l’Académie des entreprises 2018: Promouvoir et vulgariser l’éco-construction

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 05/27/2018 - 15:56
Le Calame - Le Centre d’études supérieures techniques (CEST) a abrité, ce vendredi 25 mai, la cérémonie de clôture et de remise...
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Les raisons de l’absence de « Jeune Afrique » en Algérie

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 15:52

Suite à une décision du gouvernement algérien le magazine « Jeune Afrique » ne se vend plus dans les  kiosques algériens depuis le 23 avril. Les fidèles lecteurs du magasine s’interrogent sur l’absence du magasine en Algérie.

Les membres du magasine « Jeune Afrique » sortent du silence, et expliquent les raisons de cette absence en Algérie: «Ceci ne relève pas de notre choix, mais d’une décision qui nous a été imposée par le gouvernement algérien sans concertation et sans consultation. Fin mars, notre distributeur sur place reçoit une notification du ministère algérien de la Communication dans laquelle il lui est demandé de ne plus importer Jeune Afrique ainsi que d’autres titres édités par Jeune Afrique Media Group (The Africa Report et La Revue). Seul un quota de 350 exemplaires de JA, destiné aux diverses institutions, est autorisé à l’importation». En ajoutant : «Cette décision de mettre un terme à l’importation de la presse ne concerne pas uniquement nos publications. Elle touche de nombreux titres internationaux comme Le Monde, Le Figaro, Afrique Magazine, Paris Match, L’Equipe ou Le Canard Enchaîné. Mais contrairement à Jeune Afrique qui reste absent des kiosques, nos confrères sont toujours disponibles chez les buralistes d’Alger et ailleurs. Pourquoi ? Mystère», «L’argument qui justifie cette décision: les autorités algériennes, nous dit-on, entendent faire des économies en devises en supprimant ou en limitant drastiquement l’importation de la presse internationale. Sous couvert de l’anonymat, un conseiller au ministère de la Communication nous explique : « Il n’y a aucune censure qui frappe Jeune Afrique, rassure-t-il. En raison de la politique d’austérité imposée par la crise, le gouvernement a décidé de serrer la vis sur les importations. Aucun secteur n’est épargné, la presse étrangère est donc concernée. C’est une mesure temporaire peut être levée à un moment opportun. »

LDJ. Sarah

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Expert et initiateur du mouvement IBTYKAR: Sammy Oussedik est décédé

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 15:33

La terrible nouvelle est tombée tel un couperet avant-hier. L’expert en économie, fondateur du cercle de réflexion Ptolémée et initiateur du mouvement citoyen et politique Ibtykar, Sammy Oussedik, est décédé des suites d’une longue maladie vendredi à Paris.

Le défunt a occupé des postes clés dans de grandes institutions bancaires internationales. Il a été conseiller de 1995 à 1999 à la GP Banque, une banque rachetée plus tard par le Groupe Natixis, chargé du Pôle «Etudes et Conseil» à la Société de banque française et internationale de 1998 à 2000, président de la commission «Afrique du Nord» du Conseil français des investisseurs en Afrique et conseiller à la banque «Blom Bank France».
Diplômé d’un DEA en «sciences politiques et gouvernement», d’une maîtrise en «relations internationales» à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, le défunt a été également fondateur de Algiers Investment Partners, banque d’affaires de droit algérien, dont il était le président-directeur général.

Il a été par ailleurs titulaire d’un diplôme à l’Institut d’études politiques de Lyon en section «Economie et finances».
De même qu’il a été président du cercle de réflexion dédié aux questions méditerranéennes, Ptolémée, membre fondateur et premier vice-président du Care, initié en 2015 le mouvement citoyen et politique Ibtykar, dont il était également le coordinateur général. Son décès a suscité une immense tristesse au sein de la famille intellectuelle scientifique.
La nouvelle a provoqué de nombreuses réactions chez les internautes, militants, journalistes, chefs d’entreprises et économistes entre autres, qui ont rendu hommage sur les réseaux sociaux à son parcours, ses initiatives et son apport à l’Algérie.

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Mondial-2018 : Salah blessé, l’Égypte en colère retient son souffle

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 05/27/2018 - 15:17
Jeune Afrique - Les Égyptiens retiennent leur souffle quant à un possible forfait de leur attaquant vedette Mohamed Salah pour le Mondial-2018,...
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Casnos : L’institution table sur des recettes de 80 milliards DA pour cette année

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 14:33
La Caisse nationale d’assurance sociale des non-salariés (CASNOS) prévoit des recettes de près de 80 milliards DA pour 2018, a affirmé jeudi à Mila son directeur-général, Acheuk Youcef Chawki.

La CASNOS est dans  »une situation excellente » à la faveur du bond réalisé ayant permis d’augmenter ses recettes de 35,5 milliards DA en 2013 de près du double pour passer à 70 milliards DA en 2017 grâce à son réseau de 49 directions et la modernisation engagée, a soutenu son responsable en marge de l’inspection de l’agence locale de la caisse.

La CASNOS s’est acquittée de toutes les dettes des années passées qui avaient atteint 34 milliards DA envers plusieurs organismes dont la Cnas, a ajouté M. Acheuk qui a relevé que 50 % des adhérents à la CASNOS en dehors des agriculteurs n’ont pas encore payé leurs cotisations et ont été destinataires de mises en demeure. Après le délai fixé au 30 juillet 2018, les mesures légales seront engagées contre les retardataires, a-t-il ajouté avant de les inviter à profiter des facilités accordées et éviter les pénalités.

Affirmant que la Caisse n’acceptera pas la déclaration minimale de ceux exerçant des activités à grands revenus, le DG de la CASNOS a estimé que le dispositif de la caisse représente une forme de solidarité entre les individus et entre les générations.

Le responsable de la CASNOS a exhorté les employés de l’agence de Mila à travailler d’une manière complémentaire afin de parvenir aux rendements nécessaires et préserver la stabilité de la caisse. Evoquant les efforts d’amélioration des services engagés par la Caisse, M. Acheuk a notamment cité les formations ayant concerné le personnel d’accueil et l’enseignement du langage des signes aux assistants sociaux. A.S.

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Frontiére Algéro-malienne: Des armes de guerre découvertes par l’ANP

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 13:51

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et de la sécurisation des frontières et lors d’une opération de fouille et de recherche menée près de la bande frontalière à Bordj- Badji-Mokhtar, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert, la matinée du 26 mai, une cache d’armes et de munitions.

Cette cache contenait trois pistoletsmitrailleurs de type Kalachnikov, cinq fusils semi-automatique de type Simonov, huit fusils à répétition, un fusil de type G3, 10 grenades, quatreroquettes SPG-9, trois charges propulsives pour lance-roquettes de type SPG-9, huit chargeurs pour pistolet-mitrailleur de type Kalachnikov, deux bases pour mitrailleuse lourde de calibre 12,7 mm, un poste-radio émetteur-récepteur et 1.432 balles de différents calibres.

Cette « opération de qualité venant s’ajouter à l’ensemble des résultats concrétisés sur le terrain, confirme la ferme détermination des forces de l’ANP déployées le long de nos frontières, à déjouer toutes tentatives d’introduction d’armes ou d’atteinte à la sécurité du pays et sa stabilité », assure le minis ère de la Défense nationale.

Par R N.

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Gaz de Schiste : L’Algérie détient les 3èmes réserves mondiales techniquement récupérables

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 13:35
L’Algérie, un des premiers pays producteurs de gaz conventionnel en Afrique, détient les troisièmes réserves mondiales de gaz de schiste, techniquement récupérables, a indiqué un rapport de la CNUCED publié jeudi. Citant une étude de l’Agence américaine d’information en énergie (EIA) établie en 2015, la Conférence des Nations unies sur le Commerce et l’investissement estime les ressources techniquement récupérables mondiales de gaz de schiste à environ 7.566,6 trillions de pieds cubes (soit environ 214,5 trillions de mètres cubes). Ces volumes représentent environ 61 ans de la consommation mondiale au rythme de 2016. Selon les mêmes données, les dix premiers pays détenteurs des RTR (ressources techniquement récupérables) de gaz de schiste par ordre décroissant sont la Chine, l’Argentine, l’Algérie, les Etats-Unis, le Canada, le Mexique, l’Australie, l’Afrique du Sud, la Fédération de Russie et le Brésil. Ensemble, ces Etats représentent environ les trois quarts des RTR mondiales, précise ce rapport qui examine l’évolution de l’extraction du gaz de schiste, aux Etats-Unis et dans d’autres pays, afin d’évaluer sa pertinence vis-à-vis des engagements pris dans le cadre de l’Accord de Paris sur le climat dans un contexte de besoins énergétiques en pleine croissance. Environ la moitié de ces ressources mondiales se trouvent en Algérie, en Argentine, au Canada, en Chine et aux Etats-Unis. L’Algérie renferme près d’un dixième des RTR mondiales L’Algérie, à elle seule, détient 707 trillions de pieds cubes(Tpi3) de gaz de schiste, soit 9,3% des RTR mondiales. Elle représenterait plus de la moitié des RTR en Afrique. L’Afrique du Sud avec 390 Tpi3 (5,1% des RTR mondiales), possèderait également 28% des RTR du continent. Les pays d’Afrique subsaharienne sont quasiment absents de l’analyse, en dehors du Tchad (3,2% des RTR régionales). Pour le gaz conventionnel, l’Algérie représentait en 2016 environ 30% des réserves du continent, 43% de sa production et 56% de ses exportations. Aussi, environ 60% de la production de gaz naturel en Algérie étaient exportés en 2016, principalement vers l’Union européenne. Le bouquet énergétique du pays repose essentiellement sur les énergies fossiles, le pétrole brut et le gaz naturel comptant pour 99,6% de ce mix sur l’année 2016, selon les données du rapport. La CNUCED précise que  » du fait du déclin naturel de ces gisements d’hydrocarbures, l’Algérie a montré un intérêt grandissant pour ses ressources d’hydrocarbures non conventionnels  » qui se répartissent au sein de trois bassins principaux, à savoir Ghadames, Timimoun et Reggane. Elle précise que le groupe Sonatrach aura besoin en cas d’exploitation de cet important potentiel  »d’infrastructures et d’équipements adaptés » ainsi que  »de connaissances et de compétences spécifiques ». L’agence onusienne estime que l’avenir de l’exploitation de ce potentiel en Afrique, sera également envisagée du point de vue de l’Algérie et de l’Afrique du Sud, étant donné que ces pays sont considérés comme possédant les principales ressources du continent. Soulignant l’intérêt croissant pour ces ressources non conventionnelles, dont l’exploitation ne s’est avérée rentable que récemment, la CNUCED relève que la systématisation de l’utilisation combinée du forage horizontal et de la fracturation hydraulique depuis le début des années 2000 a permis aux compagnies pétrolières et gazières d’accéder aux importants volumes de gaz de schiste contenus dans les roches mères. Selon l’Agence pour la protection de l’environnement des Etats-Unis, plus de 300.000 puits ont été fracturés aux Etats-Unis entre 2000 et 2015 et environ un million depuis la fin des années 1940. Mais l’exploitation commerciale reste, toutefois, limitée aux Etats-Unis et au Canada, à l’heure actuelle. Un risque minime de contamination des aquifères La CNUCED qui cite de nombreuses sources, explique que le risque de contamination des aquifères par les opérations de fracturation hydraulique serait minime au regard du nombre d’opérations réalisées. La raison en serait que la fracturation hydraulique a généralement lieu à plusieurs kilomètres de profondeur, alors que les aquifères se situent, en principe, plus près de la surface (entre 100 et 500m). De plus, les fractures générées par la stimulation de la roche mère s’entendent, en principe, sur une distance n’excédant pas quelques centaines de mètres. L’agence onusienne donne l’exemple des sites de Barnett et Marcellus en Pennsylvanie, aux Etats- Unis, où le gaz de schiste est extrait à une profondeur comprise entre 1.300 et 4.000 mètres, tandis que les aquifères se situent entre 120 et 360 mètres. Cependant, l’Agence américaine pour la protection de l’environnement, précise que certains gisements présentent des caractéristiques géologiques différentes d’où la nécessité de développer des connaissances approfondies quant à la géologie locale et en particulier aux emplacements des aquifères et des autres ressources en eau afin d’écarter tout risque de contamination. Meriem L.

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Béjaia: Les prix « flambent » les débats

Algérie 360 - Sun, 05/27/2018 - 13:29

Par Arezki SLIMANI,

Le mois sacré a dévoilé le véritable visage des acteurs politiques et associatifs. C’est aussi ça le bon côté du Ramadhan.

Voilà 10 jours que le Ramadhan s’est installé à Béjaïa avec ses bienfaits, ses habitudes, ses caprices, ses débats, ses déboires, qui ont largement influé sur le quotidien des habitants. Positifs ou négatifs, les faits du Ramadhan sont là pour nous rappeler ce que nous sommes réellement et ce que nous valons devant des situations qui s’invitent pour remplir le long silence des journées de jeûne. La première décade du mois sacré s’achève à Béjaïa mais non sans se singulariser, outre le comportement des consommateurs, qui est loin d’être une nouveauté, par des séquences d’une vie sociale très riche en enseignements.

Sur les réseaux sociaux et dans les cafés et places publiques, la nuit tombante, la politique tient bonne place. Entre les députés qui se plaignent de la marginalisation de la wilaya de Béjaïa et tentent de s’unir, mais sur la Toile pour contrecarrer les «visées diaboliques» du pouvoir et ceux qui soutiennent le courage des uns et la lâcheté des autres, le débat sur la situation socio-économique de Béjaïa a eu une grande part durant cette première décade du mois sacré. Même si on n’en est pas encore au bout de ses échanges, il reste que jusque-là il y eut plus de paroles que de faits. Un point à retenir et qui cadre avec cette volonté de s’associer pour décoller l’économie locale, reste l’intervention initiée par des parlementaires pour empêcher la mise dans la rue de 13 familles et là encore c’est un coup politique dont les conséquences sont désastreuses pour certains. L’autre fait qui a marqué cette première décade est cette marche initiée pour débloquer un projet privé au port de Béjaïa.

Certains députés ont cru bon de prendre part à la manifestation. Ils ont vite été critiqués par leurs pairs, soulignant qu’à Béjaïa, il n’y a pas un seul projet qui est bloqué et que s’il y a lieu de marcher marchons tous pour le déblocage de tous les projets de la wilaya, que certains ont quantifié à plus de 143 projets. Cela a suffi pour mettre à nu les desseins politiques des uns et des autres. Au chef-lieu de la wilaya de Béjaïa, les ordures ménagères ont fait le débat, notamment lorsque la wilaya a cru bon de clarifier la situation de blocage que vit le projet d’Epic. Le jeu du chat et la souris adopté par les autorités a fait sortir certains observateurs de leurs réserves pour apporter certaines vérités, pas du tout bonnes pour la majorité aux commandes de la municipalité.

Sur le plan culturel, il y a lieu de noter l’hommage rendu à Mohamed Haroun dont une statue est érigée au centre de la ville portant le nom du grand militant de l’amazighité et la démocratie. Hier un autre grand hommage a été rendu à Karim Tizouar à El Kseur. Deux hommages qui viennent rappeler à tout un chacun les sacrifices des enfants de la vallée de la Soummam pour la culture, la démocratie et l’identité. Mais la grossière manipulation vient de l’annulation d’un gala artistique à la Maison de la culture de Béjaïa. Alors que le gala est annulé faute de conformité des statuts de la boîte organisatrice, une page facebook s’est adjugée cette annulation voulant reproduire un peu ce qui s’est passé à Constantine par rapport au gala de cheb Khaled. Une séquence de vie qui a permis au uns et aux autres d’en savoir un peu plus sur les visées et les arrière-pensées des uns et des autres. Le Ramadhan a ça aussi de positif.

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