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Afrique

Les protégés du Prophète/ Ces Compagnons venus d’ailleurs (8) /Par Moussa Hormat-Allah

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 21:00
Le Calame - Dans l’inconscient collectif, quand on évoque les noms de Bilal, Ammar, Salem…, la première chose qui vient à l’esprit, est...
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Un antibiotique serait responsable de la mort des poissons

24 Heures au Bénin - Mon, 05/28/2018 - 20:52

Le drame du lac Toho continue de faire parler de lui. Invités sur l'émission hebdo ce week-end, Cyrille Aholoukpè et Théophane Ayi ont fait part de leur analyse des faits.
Les deux invités de Océan FM sont revenus sur les circonstances du phénomène qui a laissé des milliers de poissons sans vie dans le lac Toho. Cadre au ministère de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche, Cyril Aholoukpè, et Théophane Ayhi, vice-président de l'Union des producteurs aquacoles du Bénin, ont révélé aux auditeurs la présence d'un antibiotique dans la chair des poissons. Ils ont expliqué que les premières analyses ont permis de détecter de l'oxytétracycline dans les poissons prélevés. L'antibiotique serait probablement utilisée par le pisciculteur Zaga pour anticiper sur une affection. Il s'agit d'un antibiotique puissant selon M. Aholoukpè. Il estime que cet antibiotique aurait certainement été utilisé à titre préventif. Ce qu'a confirmé Théophile Ayhi, spécialiste de l'acquaculture. « Il n'y a pas de lien entre l'usage de l'oxytétracycline et l'effet de mortalité dans l'écosystème. La population peut consommer du poisson sans aucune crainte », rassure Cyril Aholoukpè. Ainsi, le risque de probable intoxication alimentaire serait écartée. Une manière de rassurer les populations de la zone du lac Toho qui sont encore sous la psychose de ce drame.

G. A.

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Recul du nombre d’accidents les dix premiers jours de Ramadhan 2018 par rapport à 2017

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 20:19

ALGER- Les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont enregistré au cours des dix (10) premiers jours du mois de Ramadhan un recul du nombre d’accidents par rapport à la même période en 2017, a indiqué dimanche le lieutenant Mouloud Ibazatene, chargé de la communication à la sûreté de wilaya d’Alger.

Le nombre d’accidents de la route enregistrés au cours des dix premiers jours du mois de Ramadhan 2018 dans la wilaya d’Alger a reculé par rapport à la même période en 2017, a déclaré le lieutenant Ibazatene à la presse au niveau d’un barrage sur l’autoroute entre El-Harrach et Ben Aknoun où ont été dressées deux (2) tentes d’iftar collectif pour les usagers de l’autoroute.

Dix (10) accidents de la route ont été enregistrés les dix premiers jours du mois de Ramadhan en 2018 contre quinze (15) accidents à la même période en 2017 grâce à l’intensification des opérations de sensibilisation menées par le services de sûreté, notamment au niveau des barrages.

Pour éviter l’excès de vitesse, notamment juste avant l’iftar, les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont, dans le cadre de la police de proximité, dressé des tentes d’iftar collectif au niveau de certains barrages pour offrir des repas chauds aux conducteurs dans leurs voitures, a-t-on constaté au niveau du barrage sur l’autoroute reliant El-Harrach à Ben Aknoun. Une initiative qui a été saluée par de nombreux conducteurs.

Les citoyens qui ont pris part aux tables d’Iftar au niveau des tentes, ont salué cette initiative qui leur a permis de ne pas faire de la vitesse et d’éviter les accidents de circulation, d’autant plus que la majorité d’entre eux est venue d’autres wilayas, à l’instar de Sétif, Tébessa, Tizi Ouzou et autres.

– Renforcement de la sécurité dans les lieux publics très fréquentés par les citoyens-

Lors d’une sortie sur le terrain dans les différents quartiers de la capitale et notamment au niveau des barrages sécuritaires du centre commercial d’Ardis, de la cité des Bananiers, du Métro d’Alger et de la Place des martyrs, le dispositif sécuritaire a été renforcé en ce mois sacré dans les différents lieux publics très fréquentés par les citoyens, en vue de les rassurer.

Les éléments de la sûreté mobilisés au niveau des barrages ont été renforcés par des brigades de la police judiciaire qui procèdent au contrôle et à la surveillance en vue de parer à tout éventuel acte  criminel.

S’agissant du Métro d’Alger, la brigade de la Police judiciaire chargée de sa sécurité, a été renforcée par une brigade cynotechnique, ainsi que par des moyens techniques et des caméras en vue de surveiller les colis suspects.

A ce titre, le lieutenant Mouloud Ibazatene a fait savoir qu’à l’occasion du mois sacré de Ramadhan, les services de Sûreté de la wilaya d’Alger avaient déjà mobilisé 7.000 policiers de différents grades en vue de sécuriser les grands centres commerciaux, les places publiques, les marchés et les gares de transport des voyageurs, y compris le tramway et le métro.

Des citoyens approchés par l’APS au niveau du Métro d’Alger et de la Place des martyrs ont fait part de « leur satisfaction » de ces mesures, affirmant que la capitale connaît une amélioration de la sécurisation des quartiers et des rues cette année, grâce au renforcement du dispositif sécuritaire  « particulièrement dans les endroits très fréquentés par les citoyens ».

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Une rencontre internationale sur la réforme pénitentiaire à Alger fin juin prochain

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 20:16

ALGER- Une rencontre internationale sur la réforme pénitentiaire en Algérie devrait se tenir fin juin prochain à Alger, en vue de présenter l’expérience algérienne en la matière, aux pays de la région, a-t-on appris lundi d’un responsable au ministère de la Justice.

Dans une déclaration à la presse en marge du lancement officiel des épreuves du Brevet de l’enseignement moyen (BEM) au niveau de l’établissement de rééducation et de réadaptation d’El Harrach, le directeur général de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion,  Mokhtar Felioune a annoncé la tenue, fin juin prochain, « sur proposition de l’Union Européenne (UE), d’une rencontre internationale sur la réforme pénitentiaire en Algérie, dans le but de présenter l’expérience algérienne dans ce domaine aux pays voisins qui veulent s’engager dans cette démarche ». 

Soulignant l’importance de mettre en avant les réformes engagées par l’Algérie dans le secteur de la Justice, notamment en matière de réforme pénitentiaire, le même responsable a indiqué que l’UE jugeait l’expérience algérienne « apte à être généralisée, particulièrement dans notre pourtour  régional ».

M.Felioune a rappelé, par la même occasion, le rôle de l’UE dans l’opération de réforme pénitentiaire en Algérie, notamment à travers l’échange d’expertise et l’envoi de missions aux établissements de rééducation et de réadaptation.

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Le Syndicat des pharmaciens de Mauritanie menace d’aller en grève

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 20:16
Alakhbar - Le Syndicat des pharmaciens de Mauritanie (SPM) a déposé ce lundi un préavis de grève au Ministre de le Santé. Dans un...
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Solidarité durant le ramadhan et l’aïd el-fitr : Tem-Tem et l’Etusa pour acheminer les dons

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 20:14

La société de chauffeurs de taxis privés Tem:Tem vient de déployer gratuitement sa flotte pour acheminer les dons des citoyens à la Fondation Ness El-Khir pendant ce mois de Ramadan. Ainsi, il suffirait d’un simple clic sur l’application Tem:Tem pour que le citoyen bienfaiteur bénéficie d’un transport gratuit, pendant tout le mois, de ses dons alimentaires et vestimentaires en toute discrétion.
Pour réussir un tel pari, Tem : Tem a mobilisé ses chauffeurs partenaires, l’entreprise Etusa, et ce, aux côtés de la fondation Ness El-Khir. Cette dernière sera chargée de distribuer les denrées alimentaires dans sa khaïma sise à la place Kettani, à Alger, pendant le Ramadhan, et les vêtements à travers son réseau basé dans la capitale pour l’Aïd El-Fitr.

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Amical : la RDC accroche le Nigeria

Afrik.com - Mon, 05/28/2018 - 20:13
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Train ALGER-ZÉRALDA : Pas de navettes après le f’tour

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 20:13

 Les habitants de Zéralda, dans la banlieue ouest d’Alger, qui seraient pris d’envie d’une virée au cœur de la capitale pour une soirée ramadhanesque, ne doivent pas espérer emprunter le rail. Le train desservant Zéralda depuis Alger et inversement n’assure pas de navette après le f’tour. La communication n’étant pas le fort de la SNTF, de nombreux citoyens font chaque soir le déplacement jusqu’à la gare ferroviaire pour revenir dépités de trouver les lieux déserts.

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L’Algérie s’apprête à expulser 105 terroristes maliens

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 20:10

ALGER – L’Algérie s’apprête à expulser 105 terroristes maliens qui ont été arrêtés, jugés et condamnés par la justice pour des actes liés à l’activité terroriste, rapporte lundi le quotidien national el Watan citant une source sécuritaire.

Ces terroristes maliens « ont été arrêtés dans cinq wilayas du Sud du pays et faisaient partie d’un vaste réseau chargé de la mise en place d’une base-arrière sur le territoire algérien pour les groupes armés activant au Nord du Mali, notamment Ançar Eddine qui avaient pour mission de créer de nombreuses cellules sur le territoire algérien et en faire une base-arrière à leurs activités terroristes », ajoute le quotidien El Watan.

Ces terroristes « sont en rétention administrative et ne peuvent être reconduits à la frontière en raison de leur statut de personnes dangereuses qui doivent être rapatriées sous bonne escorte »,  précise-t-on de même source.

Selon El Watan, l’Algérie « est obligée de les rapatrier par avion jusqu’à Bamako, après concertation avec les autorités consulaires maliennes à Alger », affirmant que « la décision de les renvoyer au Mali a été prise dans le cadre de la convention d’entraide judiciaire algéro-malienne ».

Le plus grand nombre de ces terroristes, parmi lesquels figurent des responsables connus et recherchés pour leurs activités criminelles dans la région du Sahel, « ont été arrêtés dans les wilayas de Tamanrasset, Adrar, Illizi, Ghardaïa et Alger », explique le journal, ajoutant que « le  démantèlement de ce réseau ayant été possible grâce à des informations fournies par des terroristes repentis qui activaient au nord du Mali ».

Le journal a rappelé que la région montagneuse de Tamanrasset qui partage une longue frontière avec le Mali « est confrontée au fléau de la contrebande et de l’immigration clandestine et du terrorisme ».

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M.Guitouni évoque la coopération énergétique avec le ministre des affaires étrangères de la Bosnie Herzégovine

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 20:08

ALGER- Le ministre de l’Energie, M. Mustapaha Guitouni a reçu lundi à Alger le ministre des Affaires étrangères de la Bosnie Herzégovine, M.Igor Crnadak avec qui, il a discuté de la coopération énergétique entre les deux pays, a indiqué un communiqué de ce ministère.

Lors de cette rencontre, les deux parties ont examiné les relations de coopération entre l’Algérie et la Bosnie dans le domaine de l’énergie et les perspectives de leur renforcement.

Ainsi, ils ont  passé en revue les possibilités de coopération et d’investissement dans le domaine de l’énergie notamment les hydrocarbures et l’électricité.

Le ministre bosnien a déclaré que la dynamisation des relations est une « volonté partagée » entre les deux pays, ajoutant  dans ce cadre qu’un forum d’affaires est en cours de préparation pour faire rencontrer les entreprises des deux pays au courant de l’année 2019.

A cet effet, M. Igor Crnadak a exprimé sa satisfaction des discussions fructueuses avec la partie algérienne en souhaitant renforcer la coopération entre les entreprises des deux pays.

Pour sa part, M.Guitouni a réitérer la volonté et la disponibilité de l’Algérie à établir une coopération mutuellement bénéfique entre les deux pays et à échanger les expériences dans le domaine des hydrocarbures, de l’énergie et des énergie renouvelables ainsi que dans le domaine de la formation.

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Le doyen des commentateurs Mohamed Sellah est décédé à l’âge de 82 ans

Algérie 360 - Mon, 05/28/2018 - 20:01

L’ancien commentateur sportif de la Radio nationale Mohamed Sellah Sobhi a tiré sa révérence lundi à l’âge de 82 ans dans son domicile familial sis à Ain Taya, Est d’Alger.

Le doyen des commentateurs est né en 1936 à la capitale syrienne Damas. Il a rejoint la chaine 1 de la Radio Algérienne en janvier 1964 où il a exercé jusqu’à sa retraite en 1995.

Feu Mohamed Sallah a fait un long parcours radiophonique durant lequel il a commenté les plus grands évènements sportifs. Il avait l’art de commenter  avec spontanéité et s’est rendu célèbre parmi le large public lors de ses longs cris suite aux buts marqué de Beloumi et Madjer dans le match gagné (2-1) contre l’Allemagne au mondial de 1982, en Espagne.

Il a gravi des échelons le long de sa carrière journalistique dont le dernier fut chef du service sportif de la Chaine 1.

En cette triste occasion, le ministre de la Communication Djamel Kaouane et le DG de la Radio nationale Chabane Lounakel présentent leurs sincères condoléances à la famille du défunt.

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Des professeurs de l’enseignement supérieur en sit-in devant la présidence

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 19:30
Sahara Medias - Un certain nombre de professeurs, collaborateurs de l’institut supérieur des études et de recherche scientifique ont observé...
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Talon ou un homme de conviction

24 Heures au Bénin - Mon, 05/28/2018 - 19:25

« Ma conviction, c'est que ce mandat sera celui de la responsabilité, de la reconnaissance du devoir envers notre pays (…), il n'y a rien de plus réconfortant et de plus satisfaisant pour l'esprit que de se donner tout entier à une tâche difficile », a déclaré le Président Patrice Talon, en décembre dernier, dans son discours sur l'état de la Nation. Quelle sagesse ? « Je voudrais pour cela vous donner l'assurance que je garderai toujours à l'esprit l'intérêt général, rien que l'intérêt général », une preuve que Patrice Talon interpelle la conscience des politiciens béninois, du moins ceux qui ont déjà pris part à la gestion de la chose politique. Tous les Béninois comprennent désormais que la politique n'est pas que du mensonge. Parfois, la conviction s'y cache si l'on découvre un homme de conviction pour guider nos pas. Talon semble être un exemple. Sidéré par le discours d'un homme de valeur qui aime le goût et tient parole, les politiciens béninois n'ont d'yeux que d'envier celui qu'ils considèrent, il y a encore quelques mois comme le plus « escroc » de la planète. Il a fallu un temps de léthargie seulement pour que les agités de la république pensent que le leader aujourd'hui n'est que le miraculeux. Toujours engagé, Talon montre à travers ses sorties que la politique n'est pas un recyclage de discours mensongers, de diversion ni de division. Pendant longtemps, les apprentis politiciens n'ont cultivé que le règne de la division et du mensonge. Un comportement anti démocrate qui constitue un frein pour tout développement. Patrice Talon lance un signal de conversion. « La République n'est-elle pas toujours forte quand elle finit par réunir tous ses enfants au-delà de toutes les contradictions inhérentes à l'animation de la vie politique pour faire converger leurs forces vers les mêmes objectifs d'unité nationale et de développement économique et social ? », affirme-t-il avec conviction que beaucoup de choses pouvaient changer si la raison guide chacun. Mais l'actuel homme fort a trouvé le moyen de les rassembler tous autour d'une conviction. Celle de porter haut une même nation. Comme autres temps forts, « le diagnostic est fait, les remèdes sont identifiés et la machine est en voie d'être relancée. Si ma démarche est comprise, il nous faudra un peu plus de patience. Mais nos rêves ne deviendront réalité que si nous portons tous les mêmes espoirs, changeons de mentalité, faisons nôtres les valeurs cardinales telles que le respect de l'autorité, de la loi et de la chose publique ». L'homme montre que même sur un talon très pointu, on pouvait équilibrer les esprits. Les politiques doivent désormais aller à l'école d'un leader qui séduit par ses sorties. Dans son discours, Patrice Talon qui croit en ses convictions, inculque un nouveau dynamisme à la classe politique. L'homme d'affaires devenu personnalité d'Etat marque ainsi un point dans l'arène politique où la reconstitution de la classe politique s'impose désormais.

Giscard AMOUSSOU

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La coopération entre Toulouse et Abomey renforcée

24 Heures au Bénin - Mon, 05/28/2018 - 19:19

Le maire d'Abomey, Blaise Ahanhanzo Glèlè, a rencontré son homologue de Toulouse, Stéphanie Guiraud-Chaumeil, en France dans le cadre du renforcement des liens de coopération entre les deux villes. Plusieurs sujets étaient au menu des échanges entre les deux personnalités. Il s'agit entre autres, du renforcement de la coopération entre Abomey et Toulouse, notamment le pavage et l'assainissement des rues, la gestion des déchets solides et la signature d'un accord d'octroi de bus de transport commun à la cité historique.
Cette visite a été l'occasion pour Blaise Ahanhanzo Glèlè, de recevoir les responsables de l'association Coopération santé Albi. Ces derniers envisagent de doter prochainement la capitale historique du Bénin d'équipements médicaux. En Juillet prochain, elle prévoit faire le test de dépistage du diabète gratuitement aux femmes enceintes et des soins adéquats.
Le don d'une ambulance et des tenues aux sapeurs-pompiers de la cité historique d'Abomey sont entre autres les actions que l'association entend mener au profit de la ville d'Abomey.
Le maire Ahanhanzo Glèlè sera également reçu pendant son séjour par le préfet du Tarn, toujours au sujet des questions qui touchent au développement de la ville d'Abomey.
Ces différentes rencontres ont été faites en marge de la participation du maire d'Abomey au sommet de l'association Light Urban Cities.

F. A. A.

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La santé et la protection sociale au cœur des échanges de l'UEMOA

24 Heures au Bénin - Mon, 05/28/2018 - 19:07

Les membres de la Commission de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) ont tenu une séance de sensibilisation sur la santé et de la protection sociale, le 25 mai dernier, avec les responsables à divers niveaux. Elle s'est déroulée à l'hôtel Link de Lokossa, en présence des autorités locales et administratives.
Selon le préfet du département du Mono, Comlan Zinsou, la protection des couches les plus vulnérables et de la population contribue à la paix et à une unité sociale. Pour le représentant de l'UEMOA, M. Komlan Agbo, l'objectif de chaque État membre de l'Union est de développer une croissance économique capable d'assurer une meilleure qualité de vie pour ses populations. Les questions de la santé et de la protection sociale occupent une place importance parmi les travaux de la commission de l'UEMOA, a-t-il ajouté.
Le représentant du ministre de l'économie et des finances, Dr Firmin Danhoundo, a martelé que le but de la séance est de rapprocher les initiatives et succès communautaires de la population des pays membres de l'UEMOA. Il a ajouté que la commission accompagnera les projets qui visent à assurer une couverture sociale matérielle et personnelle équitable et à promouvoir l'égalité de traitement et la portabilité des droits sociaux de tous les travailleurs ressortissants des États membres au sein de l'espace communautaire.

Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Les populations fuient l'eau des forages pour les marigots

24 Heures au Bénin - Mon, 05/28/2018 - 19:01

L'eau est source de vie dit-on. Mais dans le village de Tchicomey, situé dans la commune d'Athiémé, il est difficile d'avoir accès à l'eau potable, malgré le forage aménagé par la mairie. Certaines populations préfèrent toujours consommer l'eau du marigot. Les raisons sont diverses et variées.

Accroupie à côté d'un tonneau métallique servant de puits, enfoui dans le sol, dame Ayaba Sossou puise l'eau avec un bol pour remplir sa bassine. La scène se déroule dans le lit asséché du marigot, un affluent du fleuve Mono, situé à 200 m du village de Tchicomey-centre, dans la commune d'Athiémé. Le lieu qui ressemble plutôt à une carrière de sable.
« En période de crue du fleuve Mono, nous ne sommes pas obligés de creuser avant d'avoir l'eau. Mais en période de sécheresse, comme c'est le cas maintenant, nous avons juste à creuser à peine 50 cm à 1 m pour avoir de l'eau potable. Et dans ce cas, nous plaçons un tonneau dans le trou pour protéger l'eau et pour empêcher la fermeture du puits », explique Mme Sossou.
L'accès à l'eau potable est encore un luxe pour les populations de certaines localités dans le département du Mono. C'est le constat qui frappe à Tchicomey, un village de l'arrondissement d'Adohoun. Dans ce hameau de la commune d'Athiémé, une frange non négligeable de la population préfère l'eau du marigot, affluent du fleuve Mono, à celle des forages.
« Dans mon village, il y a trois forages desservis par un château d'eau. Il y a un dans le hameau de Tchivissa, un à Watchi et le troisième à Tchicomey-centre. Malgré cela, les gens préfèrent l'eau du marigot », témoigne Thomas Babato, chef du village Tchicomey.
C'est tout de même paradoxale ce choix fait par certains habitants de Tchicomey-centre et environs, alors que l'eau du forage ne coûte pas si chère.
« Nous nous sommes organisés dans le village et nos femmes n'ont pas besoin de payer grand-chose avant de prendre l'eau du forage. Avec 25 FCFA, elles ont une bassine d'au mois 25 litres d'eau », précise Honoré Houédonou, un conseiller de village résidant à Tchivissa.
Si l'eau du forage est presque gratuite et de surcroît potable, pourquoi tant d'engouement autour de celle du marigot qui, même à vue d'œil, pourrait rendre malade.

Une question d'habitude

L'eau du marigot à une couleur qui tire tantôt sur le jaune-or tantôt légèrement sur le brun. Et pourtant certains habitants de cette localité continuent de priser la consommation de ce liquide.
Les raisons évoquées par ceux qui ont fait de cette eau leur source première sont diverses. « C'est vrai que certains villageois continuent d'utiliser l'eau du marigot pour leurs besoins. Et quand j'ai cherché à comprendre ce qui les motivait à agir ainsi, il m'a été servi comme argument que l'eau provenant du forage et des bornes fontaines n'a pas le même goût que celle du marigot », rapporte le chef du village de Tchicomey, non pas sans peine.
« Cette eau, nos grands-parents et nos parents en ont consommé sans dégât. Nous aussi nous la consommons, même si actuellement bon nombre de personnes ont adopté l'utilisation de l'eau du forage. De plus, l'eau du marigot est plus douce que celle du forage et puisqu'on est à proximité, on n'a pas besoin de faire un long trajet avant d'en prendre. Alors que pour le forage, il faut encore effectuer une grande distance et aller débourser en plus 25 francs au moins », confie Ayaba Sossou, vendeuse de haricot.
Pour d'autres, le goût de l'eau n'est pas la seule raison qui les pousse à la consommer. Ils pensent que c'est une eau propre et qui ne contient aucun microbe du fait que ce n'est pas une eau stagnante.
« L'eau coule et le sable filtre les déchets en dessous de l'eau. Cette eau est donc potable et nous pouvons la prendre sans traitement juste après un petit temps de repos », renchérit Félix Comlan Elékoussi, un jeune du village.
Certains expliquent l'habitude de certains usagers du marigot comme une question d' « héritage ». Les gens ne sont pas prêts à laisser tomber cette « vieille tradition », expliquent-ils. «
C'est une question d'habitude. Les gens ne veulent pas se séparer des vieilles habitudes. Malgré tout ce qu'on dit, ils ne veulent pas comprendre. Mais ils évoquent aussi la raison du goût de l'eau du marigot », ajoute le premier adjoint au maire de la commune d'Athiémé.
Entre le goût de l'eau du marigot et le fait que leurs aïeuls aient utilisé cette eau toute leur vie, les points de vue sont divergents.
L'inquiétude se trouve au niveau de l'impact de la consommation de cette eau sur la santé des populations qui continuent de l'adopter.
« Mais au-delà de la question d'habitude, si les gens continuent d'aller vers l'affluent du fleuve, même quand il est sèche, c'est parce que l'eau des forages est impropre à la consommation. Car, quelque trente minutes après, l'eau des forages initialement incolore, devient rougeâtre avec des dépôts de déchets au fond des récipients. Et cela effraie les gens qui se trouvent renforcés dans leur choix de continuer la consommation de l'eau du marigot », avoue le chef du village, Babato.
Certaines personnes ne cachent pas qu'ils continuent d'aller au marigot par contrainte du fait de la « mauvaise qualité » de l'eau des forages. « Moi, je ne vais pas prendre mon argent pour aller acheter une eau qui va dégrader ma santé », s'insurge dame Collette Loko.
Mais les spécialistes de l'hydraulique assurent que les forages sont mis en service en tenant compte de la qualité de l'eau sur la santé des consommateurs.
« En fait, la couleur rougeâtre observée signifie simplement qu'il y a excès de fer dans cette eau et ceci est sans conséquence sur la santé. Dans tous les cas, avant qu'un forage ne soit mis en service, nous procédons à un prélèvement d'un échantillon que nous envoyons pour analyse à la direction générale de l'eau. Cette analyse nous permet d'avoir le taux de tous les éléments constitutifs de l'eau. Quand il y a anomalie, on signale et on procède à la fermeture pure et simple de l'ouvrage », clarifie un agent de la direction départementale de l'eau qui a requis l'anonymat.

Attention danger !

Les populations du village de Tchicomey se retrouvent entre le marteau et l'enclume. Pour pallier le problème de consommation de l'eau souillée du fleuve, la mairie y a installé des forages. Malheureusement, l'eau de ces forages aussi est de qualité douteuse mettant plus en difficulté les populations.

« Les gens qui pensent que c'est parce que leurs grands parents ont utilisé l'eau du fleuve pour leurs besoins dans l'ancien temps qu'ils se doivent de perpétuer la tradition se trompent largement. D'abord, en plein 21ème siècle, les réalités ne sont plus les mêmes. Je ne comprends pas mes concitoyens qui soutiennent que les anciens ont toujours utilisé cette eau sans aucun danger. Mais là, ils se méprennent suffisamment puisque, le soin que les anciens prenaient de ce marigot n'est plus d'actualité de nos jours. Avant, les femmes ne se baignaient pas dans le marigot et pour leurs besoins de lessive ou autres, elles allaient prendre l'eau, s'éloignent complètement des rives avant d'en user. Mais aujourd'hui, ce n'est plus le cas. On fait tout dans le marigot sans gêne. Mais de l'autre côté aussi, l'eau des forages n'offre aucune garantie car, elle n'est pas potable. Du coup, nous sommes confrontés à un dilemme », souligne le chef village de Tchicomey.
Les constats faits sur le terrain montrent que populations utilisent anarchiquement cette ressource naturelle. Ce marigot sert à tout faire. Là dedans, on fait de la vaisselle, de la lessive. Aux abords, on y défèque en ignorant les latrines construites à grand coût. On se baigne dans le marigot et les femmes y font parfois leurs toilettes. Et c'est cette même eau qu'on trouve potable à la consommation.
« Je ne sais pas sur quoi se basent les gens pour affirmer que cette eau est sans danger sur la santé humaine. Rien que les matières fécales posent déjà de problème. On n'a pas besoin d'être médecin pour affirmer cela ! Et même si on suppose que l'eau du marigot coule, il n'est pas exclu que cette eau ne prend pas sa source à l'endroit où l'on la prend. Ce qui veut dire qu'elle coule et avec elle, les déchets également. Donc cela pose inévitablement un problème de santé. Même en période sèche où il faut d'abord creuser avant d'avoir accès à l'eau, les risques de contamination sont toujours présents. Sans une analyse au laboratoire pour connaître la composition, on ne saurait dire que cette eau est potable », explique le major du centre de santé d'Adohoun.
« Nous recevons régulièrement des patients qui souffrent de maux de ventre et autres maladies hydriques. Et c'est une situation qui est préoccupante », a-t-il ajouté.
« C'est vrai qu'il y a des cas de maladies liés à l'eau que nous consommons. Mais tout porte à croire que c'est plutôt l'eau des forages qui nous rend plus malade », affirme le chef du village.
« A priori, l'eau de forage est saine. Mais au cours du transport, elle peut devenir malpropre à la consommation », reconnais l'agent de la direction départementale de l'eau.
Face à la réticence des populations, les autorités communales n'ont pas cessé de multiplier des actions de sensibilisation.

La sensibilisation pour éviter l'épidémie

« Nous avons plusieurs fois mené des campagnes de sensibilisation sur l'assainissement et la nécessité de laisser l'usage de l'eau du marigot pour celle du forage dans cette localité. Nous avions même engagé des animateurs pendant plusieurs mois pour cette fin. Mais, grande est notre surprise de constater que jusqu'à présent, les gens continuent de consommer cette eau pour des raisons que je ne saurais vraiment apprécier. Car les plaintes majeures que nous recevons sont relatives au goût de l'eau du forage déprécié par les populations qui préfèrent l'eau du marigot », explique le maire de la commune d'Athiémé. « Toutefois, il est fort heureux de voir qu'un grand nombre de populations a compris la leçon et a commencé par utiliser le forage pour les besoins quotidiens », se réjoui Joseph Amavi Anani.
Une dame puisant l'eau d'un puits de fortune non loin de la borne fontaine
Les populations elles-mêmes reconnaissent qu'elles ont été sensibilisées sur les bienfaits de l'eau du forage et surtout sur les dangers qu'elles courent en continuant de boire l'eau du fleuve.
Les autorités communales et le chef du village ne veulent pas baisser la garde en matière de sensibilisation. Comme l'a souligné le maire, la tendance se renverse déjà peu à peu et le nombre des villageois qui utilisent l'eau du forage devient de plus en plus important, malgré la qualité douteuse qu'ils dénoncent. Le maire envisage d'inviter le médecin de l'hôpital pour une séance de sensibilisation avec les villageois.
« Quand nous élus nous parlons, les gens se demandent si nous sommes médecins. Je crois que quand un spécialiste viendra leur parler de l'opportunité d'utiliser de l'eau potable et leur expliquer comment cette eau du fleuve est impropre à la consommation, ils y accorderaient plus de crédit », espère le chef du village.
Du côté de la mairie aussi, des actions sont en cours pour amener les habitants du village à adopter définitivement l'eau du forage. « Nous sommes entrain de prendre les mesures pour corriger le tir. J'enverrai les techniciens sur le terrain pour vérifier la qualité de l'eau du forage car, ce forage dessert plusieurs localités », promet le maire d'Athiémé.
Les séances de sensibilisation visent à orienter les populations vers l'eau potable afin d'éviter une épidémie en cas de contamination des eaux de surface.

Cokou Romain AHLINVI

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Le FNDU se solidarise de Ould Ghadda devant la prison civile

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 19:00
Essahraa - Le Forum d’opposition a organisé lundi 28 mai courant, en milieu de journée, un sit-in de protestation contre la poursuite de...
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Les brigades civiles interdites d'activité

24 Heures au Bénin - Mon, 05/28/2018 - 19:00

Le directeur général de la police républicaine, Nazaire Hounnonkpè, a ordonné la fermeture de toutes les brigades civiles de sécurité sur le territoire national. Dans un communiqué radiodiffusé, le directeur général de la police républicaine, a instruit tous les directeurs départementaux de la police républicaine, aux fins de faire respecter cette décision qui est intervenue « suite aux nombreux désordres enregistrés dans le cadre des brigades civiles de sécurité dans les différentes localités ».
Les brigades civiles de sécurité travaillaient en synergie avec les chefs de quartiers et de villages, auprès de qui, elles étaient régulièrement enregistrées.
Elles avaient pour mission de relayer les forces de l'ordre lors des patrouilles de nuit afin de dissuader les hors-la-loi qui tenteraient de commettre des crimes.
F. A. A.

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Ardo. M. Dia, spécialiste en politique et sécurité africaines : "mettre l’accent sur la paix et la sécurité"

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 18:45
Elmoudjahid - Maître Ardo M. DIA est titulaire de deux maîtrises, en Science politique et en Droit international public, respectivement à...
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Didier Billion, directeur adjoint de l’Iris, analyse les rapports de force dans "le monde arabe"

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 05/28/2018 - 18:00
L'Echo - Dans son récent ouvrage, "Géopolitique des mondes arabes", Didier Billion, directeur adjoint de l’Iris (l’Institut des...
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