« M’hamed Issiakhem : père de la peinture moderne algérienne », est le titre d’un documentaire sur la vie et l’œuvre de ce peintre réalisé par Hafida Meraksi, a appris l’APS de cette artiste oranaise.
Cette œuvre, soutenue par la maison de la culture « Zeddour Brahim Belkacem » d’Oran, est l’aboutissement d’une recherche approfondie sur M’hamed Issiakhem (1928/1985), sa vie, son itinéraire artistique et sa contribution au développement de l’art pictural national, a souligné Hafidha Meraksi, cadre de cet établissement culturel.
Ce documentaire se base sur des témoignages des proches du défunt artiste et traite également de ses œuvres artistiques qui reflètent ses souffrances, ses blessures physiques et intérieures et son fort attachement à son peuple et à sa société.
Cette oeuvre audiovisuelle vise à faire découvrir aux jeunes artistes M’hamed Issiakhem, cette figure de la peinture algérienne, l’une des plus connues et des plus appréciées à l’échelle mondiale.
Le documentaire a été projeté, lors de la cérémonie de clôture du salon national d’arts plastiques, organisé dernièrement à Oran en présence d’un grand nombre d’artistes de différentes générations.
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Le MB Rouissat, club évoluant en Inter-régions, a composté mardi son billet pour les huitièmes de finale de la Coupe d’Algérie de football en s’imposant devant le CRB Aïn Oussara sur le score de 2-0 (mi-temps: 1-0), alors que le match CR Village-Moussa – MC Alger a été arrêté par l’arbitre en raison de débordements.
Les deux buts du MBR ont été inscrits par Sayeh (38′) et Jeram (83′).
A Jijel, l’arbitre a décidé d’arrêter la partie dans le temps additionnel de la première mi-temps alors que les Mouloudéens menaient au score 3 à 0, grâce à Bourdim (5′, s.p), Souibaâ (17′) et Benchouiyeb (30′, c.s.c).
Cette rencontre a été interrompue une première fois pour 13 minutes à la suite de la blessure du milieu de terrain du MCA, Sofiane Bendebka, à la tête, puis pour 6 autres minutes, avant que l’arbitre ne décide de l’arrêter définitivement en raison des débordements.
La dernière rencontre de ce tour entre l’Amel Boussaâda et l’ES Sétif est reportée à une date ultérieure.
Mardi 1er janvier:
MB Rouissat – CRB Aïn Oussara 2-0
Déjà joués:
IB Lakhdaria – CS Constantine 0-1
USM Khenchela – NA Husseïn-Dey 1-1 NAHD qualifié aux t.a.b : 7-6
USM Alger – USM Bel-Abbès 2-1 (a.p)
CR Bouguirat – CRB Kaïs 1-1 Bouguirat qualifié aux t.a.b: 4-2
SA Mohammadia – ARB Ghriss 1-0
USM Annaba – MB Bazer Sakhra 3-0
RA Aïn Defla – MC Oran 1-2
AS Aïn M’lila – JSM Béjaïa 1-2 (a.p)
CABB Arreridj – WA Tlemcen 0-0 CABBA qualifié aux t.a.b: 6-5
US Remchi – NC Magra 0-3
USM El-Harrach – MO Béjaïa 1-0 (a.p)
CA Batna – CR Belouizdad 0-1
USB Douala – Paradou AC 0-2
Reporté à une date ultérieure:
A Boussaâda : Amel Boussaâda – ES Sétif.
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Pour le chef du service de néphrologie à l’hôpital d’Hussein Dey (Alger), « le gros problème » qui se pose en matière de greffe rénale, est constitué par la difficulté à prélever cet organe sur des personnes décédées. Accueilli, le dimanche 30 décembre 2018, à l’émission ‘’L’Invité de la rédaction’’ de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le professeur Tahar Rayan explique que toutes les greffes effectuées, « depuis plus de 30 ans », l’ont été à partir de donneurs vivants apparentés. Commentant la loi qui vient d’être adoptée, laquelle confirme l’autorisation de pratiquer des greffes d’organes, de tissus et de cellules souches, il estime qu’elle a ouvert de nouveaux horizons, en permettant des prélèvements sur des personnes décédées qui ne se sont pas opposées, de leur vivant, à cette possibilité, ce qui n’exclut pas, relève-t-il, le consentement préalable de leur famille. Concernant ces prélèvements sur des cadavres, il annonce que l’Agence nationale des greffes en collaboration avec le ministère de la Santé, est en train de multiplier la création de centres habilités à faire ce type d’opération, dont trois ont déjà été agréés à Blida, Batna et Alger . Revenant aux prélèvements d’organes sur des personnes apparentées au malade, ce praticien précise que la nouvelle loi autorise désormais d’élargir « le cercle des donneurs» potentiels, c’est-à-dire aux conjoints, aux frères, aux sœurs, aux pères aux mères, aux cousins, aux tantes, aux neveux et nièces et jusqu’aux membres de la belle famille. En matière de transplantations rénales, à propos desquelles il fait état d’un taux de réussite de 90 à 95%, il signale qu’il ne s’agira plus de se contenter de « faire du chiffre », mais d’accorder un plus grand intérêt à l’aspect qualitatif de ces types d’interventions. Annonçant, par ailleurs, l’élaboration en cours d’une liste des personnes en attente d’une greffe rénale, le professeur Rayan indique que celle-ci va regrouper tous les malades dialysées, les enfants en priorité, parmi lesquels, précise-t-il, seront sélectionnées sur des « bases équitables » et dans le plus strict anonymat, ceux susceptibles d’être « greffables ».
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Le douar d’Ouled Youcef dans la commune d’Achaacha,dans la wilaya Mostaganem, est dépourvu d’école primaire, ce qui a poussé les habitants de cette localité en question à protester, revendiquant ainsi la construction urgente d’un établissement scolaire.
En effet, malgré la disponibilité d’une terre, offerte par un bienfaiteur pour la réalisation d’une école primaire, des centaines d’élèves se trouvent dans la difficile situation de se déplacer à trois kilomètres, obligés de parcourir chaque jour à pied pour rejoindre leurs classes. Cette situation est durement vécue par leurs parents, impuissants et inquiets sur la scolarité de leurs enfants qui se fait dans des conditions insupportables, surtout en hiver, vu l’éloignement, le froid, les intempéries, le réveil de bonne heure, la fatigue, De plus, il n’y a pas d’éclairage public.
En ce sens, les habitants du douar d’Ouled Youcef interpellent les autorités locales pour la construction d’une école primaire, qui tarde à se concrétiser.
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Le directeur des services vétérinaires (DSV) au ministère de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, M.El Hachemi Karim Kaddour a fait état, le dimanche 30 décembre 2018, de la perte de 1.000 à 1.200 têtes de bétail en raison de la peste des petits ruminants à travers 12 wilayas.
Ces pertes ont été enregistrées au niveau de plusieurs wilayas, dont Biskra, Djelfa, Oum el Bouaghi, Tébessa, Médéa, Saïda, Tiaret, Laghouat, Naama et Tlemcen, a précisé M. El Hachemi lors d’une réunion avec les services vétérinaires relevant des directions des services agricoles des différentes wilayas.
A ce propos, il a indiqué qu’une enveloppe de 400 millions de dinars a été débloquée pour l’acquisition, début 2019, d’un vaccin contre cette épidémie. Concernant la fièvre aphteuse qui touche les bovins, le même responsable a évoqué « un doute ou une suspicion » d’existence de cette épidémie dans trois wilayas, en l’occurrence Blida, Djelfa et Tébessa, soulignant que des échantillons prélevés sur les bêtes mortes ont été envoyés à des laboratoires internationaux pour confirmer la nature du virus et acquérir le vaccin adéquat. Les éleveurs dont les bovins ont été abattues au niveau des abattoirs publics pour raison de santé ont été remboursés pour un montant global de 85 millions de dinars.
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Durant les 11 premiers mois de 2018, pas moins de 3.091 personnes ont trouvé la mort sur la route en Algérie alors que 30.561 autres ont été blessées dans les 21.568 accidents enregistrés, a indiqué lundi directeur du Centre national de prévention et de sécurité routière, M. Ahmed Naït El Hocine. Ce dernier, qui intervenait sur les ondes de la radio nationale, a souligné que le nombre de morts dans les accidents de la route continue de baisser depuis 2016 en rappelant que celui-ci était passé de 4500 à 3600 morts en 2017.Néanmoins l’Algérie continue de recenser ses morts sur les routes avec une moyenne de 8 à 12 décès par jour. Pour M.Ahmed Naït El Hocine, d’énormes efforts ont été déployés par l’Etat pour parvenir à cette tendance baissière en dépit d’une « croissance effrénée » du parc automobile notamment, ce travail de sensibilisation et de contrôle renforcé sur le terrain par les différents services concernés.
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La nouvelle année démarre avec un drame à Owodé. Le commissariat frontalier de Owodé est parti en fumée. C'est un camion chargé des produits pétroliers a pris feu juste à hauteur du commissariat vers 3 heures, ce 1er janvier 2019. Le bilan ne fait état d'aucune perte en vie humaine mais de dégâts matériels. Plusieurs véhicules en fourrière, ceux des agents et les bureaux du commissariat sont partis en fumée.
G.A.
Près de 4000 ‘’harraga’’ ont été interceptés par les éléments des garde-côtes algériennes durant l’année 2018, indique mardi un communiqué du Ministère de la Défense Nationale (MDN).
Durant l’année écoulée les éléments des garde-côtes ont mis « en échec 3983 tentatives d’émigration clandestine », précise la même source. Le même bilan du MDN fait état de l’arrestation de 6834 immigrants clandestins de différentes régions du pays notamment, celles de la bande frontalière au Sud de l’Algérie.
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Douze (12) personnes ont été arrêtées et 3 fusils de chasse, des munitions et des outils d’orpaillage ont été saisis lundi lors d’opérations distinctes menées par des détachements de l’Armée nationale populaire (ANP) à Tamanrasset, Bordj Badji Mokhtar et In Salah dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, indique mardi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’Armée nationale populaire ont intercepté, le 31 décembre 2018 lors d’opérations distinctes à Tamanrasset, Bordj Badji Mokhtar et In Salah (6ème Région militaire), douze (12) personnes et saisi trois (3) fusils de chasse, une quantité de munition, quatre (4) véhicules tout-terrain, trois (3) groupes électrogènes, (3) marteaux piqueurs, ainsi que divers outils d’orpaillage », précise le communiqué.
Par ailleurs, d’autres détachements de l’ANP « ont appréhendé deux (2) contrebandiers et ont saisi à El Oued et Biskra, 1.550 boites de tabac et une quantité de différentes boissons tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale ont arrêté, à Bejaïa (5ème RM), un individu en possession de six (6) drones équipés de caméras », note la même source.
D’autre part, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont mis en échec, à Annaba et Jijel, des tentatives d’émigration clandestine de huit (8) personnes », ajoute le communiqué.
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La pièce théâtrale « Baccalauréat » du théâtre régional de Mostaganem a remporté le Prix du meilleur spectacle, le Grand prix de la 13ème édition du Festival national du théâtre professionnel (FNTP), qui a pris fin lundi à Alger.
Mise en scène par Azzedine Abbar, cette pièce traite de nombreux problèmes sociaux des jeunes à travers l’histoire d’un groupe d’étudiants qui se préparent à passer le Baccalauréat.
La pièce de théâtre « Khawana Wa Sareq » (des traitres et un voleur) du théâtre régional de Djelfa s’est vue également attribuer le Prix du Jury, tandis que le Prix de la meilleure interprétation masculine est revenu à Mohammed Lahouas pour la même pièce.
La pièce théâtrale « Mackbett », produite par le théâtre national algérien et mise en scène par Ahmed Khoudi, a décroché le Prix de la meilleure mise en scène, alors que la Prix de la meilleure interprétation féminine est revenu à Fissa Monira Rouabhi.
La pièce théâtrale « Juba II », produite par le théâtre régional de Tizi-Ouzou a décroché le Prix du meilleur texte, attribué à Lyes Mokrab, tandis que le Prix de la meilleure scénographie est revenu à Youcef Djamel, du théâtre régional de Mascara pour la pièce « Hanine ».
Le Prix de la meilleure musique a été décroché, en ex-aequo, par Mohammed Zani du théâtre régional d’Annaba pour « Rabie En ‘Nissae » (Le printemps de femmes), et Djamel Kelouane du théâtre régional de Tizi-Ouzou pour la pièce « Juba II ».
A cette occasion, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi s’est félicité « du retour en force » du théâtre, estimant, dans ce cadre, que cette 13ème édition a été marquée par la variation des sujets traités. Dans ce sens, il a salué « la nouvelle génération de metteurs en scène, des acteurs et des scénographes… »
Pour sa part, le jury a critiqué « la majorité des œuvres participant à cette édition.
Le 13e Festival national du théâtre professionnel qui a débuté le 22 décembre 2018 a mis en lice 18 spectacles.
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Le tribunal criminel près la cour de Biskra a prononcé mardi une peine capitale à l’encontre de cinq accusés et la perpétuité pour deux autres d’une même famille impliqués dans l’assassinat d’une jeune fille et la mutilation de son corps.
L’affaire, selon l’arrêt de renvoi, remonte au 27 février 2018 suite à la découverte de sachets en plastiques contenant des membres d’un cadavre humain démembré, jetés dans plusieurs quartiers de la ville de Biskra.
Les services de la Protection civile sont intervenus avec les éléments de la brigade anti-criminalité de la police judiciaire et les premières investigations ont permis d’identifier la victime, la jeune fille, H.S. âgée de 2 3ans au moment des faits et signalée disparue.
L’intensification des investigations de la brigade anti-criminalité a permis l’arrestation de 7 personnes d’une même famille, une mère et ses 6 enfants (3 garçons et 3 filles), voisins de la victime, impliqués dans cette affaire.
L’identification de ces personnes a été possible grâce aux enregistrements d’une vidéo surveillance montrant la victime arrivée à son domicile familial, dans un immeuble, et puis les personnes arrêtées, sortir du même immeuble, le lendemain, emportant des sachets en plastiques, indique le même document selon lequel le principal accusé a été identifié parmi le groupe arrêté par l’ADN de la victime qui, dans sa tentative d’échapper au meurtrier, avait éraflé son visage.
Lors du procès de 16 heures, l’accusé principal (S-M) âgé de 34ans a reconnu les faits qui lui sont reprochés et avoué qu’il n’entretenait aucune relation avec la victime et qu’il avait agi par vengeance parce que la victime avait refusé sa demande au mariage, d’une manière qu’il a jugée « humiliante ».
Le meurtrier a avoué avoir tendu à la victime un guet-apens et l’avait forcé à rentrer à son (meurtrier) domicile familial, où il l’a étranglé avant de lui asséner des coûts à l’aide d’un outil tranchant et de découper, par la suite, son corps avant de le mettre dans des sachets en plastique.
Les membres de la famille du principal accusé dans l’affaire, représentés par la mère (H-B) 61 ans, ses fils (M-M) 36 ans et (W-M), 27ans et sa fille (A-M) 32 ans, ont nié les faits qui leur sont reprochés d’homicide volontaire avec préméditation, guet-apens, actes de barbarie et délit de mutilation et dissimulation du corps de la victime.
Les deux autres sœurs (S-M) 39 ans et (K-M) 28 ans ont avoué le délit de dissimulation du corps de la victime et sa dispersion dans plusieurs endroits de la ville, arguant avoir agi sous la menace de leur frère, l’accusé principal dans l’affaire.
Lors du réquisitoire, le représentant du parquet avait requis la peine maximale pour tous les accusés sans aucune circonstance atténuante car, a-t-il considéré, « ce crime crapuleux, qui a choqué l’opinion publique était injustifiable ».
Dans leur plaidoirie, les avocats de la défense ont plaidé pour une expertise psychologique et mentale de l’accusé principal, et ont réclamé l’annulation du chef d’inculpation de constitution d’association de malfaiteurs pour, selon la défense, « absence d’un accord au préalable entre les membres de la famille accusée du meurtre de perpétuer ce crime ».
Le tribunal a prononcé la peine capitale pour l’accusé principal, sa mère et ses frères (A-M), (M-M) et (S-M), et la perpétuité pour (K-M) et (W-M) qui ont bénéficié de circonstances atténuantes.
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Le complexe intégré des métiers du textile « Tayal » implanté dans la zone industrielle de Sidi Khettab dans la wilaya de Relizane, est entré en production en mars 2018, ouvrant de larges perspectives pour le développement de la région.
Ce projet est le fruit d’un partenariat algéro-turc dans le domaine des textiles selon la règle 49/51. C’est une joint-venture entre la société turque Intertay (filiale du groupe Taypa) et des sociétés algériennes publiques « S & H » et « TEXALG », ainsi que la société nationale de tabac et des allumettes (SNTA). Le partenariat a donné lieu à la naissance de la société mixte « Tayal ».
Ce complexe, dont les travaux de réalisation ont démarré en février 2016 sur une surface de 250 has et pour un investissement de 171 milliards DA soit l’équivalant de 714 millions USD, est la plus grande usine de ce type à l’échelle africaine selon la direction locale de l’industrie et des mines.
Cet acquis économique s’inscrit dans le cadre du programme du gouvernement visant à réduire les importations, diversifier l’économie nationale et contribuer à former une main d’oeuvre locale spécialisée, comme l’avait souligné le ministre de l’industrie et des mines, Youcef Yousfi, lors de sa dernière visite en 2018 à ce complexe.
La mise en place de ce projet se subdivise en deux étapes. La première porte sur la réalisation de 8 unités de fabrication du textile et de filature dont quatre ont été réalisées, une école de formation dans les métiers du tissage pour une capacité de 40 stagiaires achevé avec le lancement de la formation des stagiaires.
Il s’agissait également de construire un pôle immobilier de résidence des personnels (567 logements). Le projet est en cours de réalisation.
Premières exportations
La seconde étape portera sur l’installation de dix usines spécialisées dans la production des matières premières de tissus (fibres synthétiques), ainsi que des tissus techniques et autres linges de maison.
Ce projet emploiera au total 25.000 personnes, soit 10.000 durant la première étape et 15.000 autres lors de la seconde étape, ont indiqué les responsables du complexe.
D’autre part, afin d’assurer les opérations d’exportation de ses produits, le complexe « Tayal » est entré progressivement en phase de production dès mars 2018.
La capacité productive de cette usine a atteint les 30 millions de mètres de fils pour le textile, 12.000 tonnes de filature et 30 millions d’unités pour la confection de pantalons et chemises.
Le complexe industriel a exporté le premier chargement de fils en juin dernier vers la Turquie, l’Italie, la Belgique, le Portugal et la Pologne. Ce chargement comprend 11 containers pour un volume global de 200 tonnes de matières premières (fils).
L’opération a été suivie par un autre chargement de 4 containers de fils de coton et des chemises vers la Belgique et la Pologne, selon le directeur-adjoint du complexe, Fikret Kobanglu, qui a signalé que jusqu’à la fin décembre 2018, il a été procédé à l’exportation d’un total de 40 containers représentant une valeur de 3,5 millions USD.
Ces quantités de filature et de textiles produites par le complexe permettront d’augmenter des capacités du secteur de textile en Algérie, notamment en ce qui concerne les tissus, la confection de vêtements et autres pour la couverture des besoins du marché national et atteindre des marchés internationaux selon les responsables du complexe.
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Les différentes opérations menées par les unités de l’Armée nationale populaire au cours de l’année 2018 se sont soldées par l’élimination de 32 terroristes, l’arrestation de 25 et la reddition de 132 autres aux autorités militaires, selon un bilan opérationnel rendu public mardi.
Selon la même source, l’année 2018 s’est distinguée par de « grands résultats » en matière de lutte antiterroriste, contre la contrebande, le trafic d’armes, le narcotrafic et la criminalité organisée et ce, par « la neutralisation et l’arrestation d’un nombre important de terroristes, le démantèlement de plusieurs réseaux de soutien et la destruction d’un grand nombre de casemates et d’abris servant de refuges aux groupes terroristes ».
En effet, Il a été procédé à l' »élimination de 32 terroristes, l’arrestation de 25, la reddition de 132 autres aux autorités militaires, l’arrestation de 170 éléments de soutien aux groupes terroristes et la reddition de 22 membres des familles de terroristes ».
Il a été également procédé, au cours de la même année, à « la découverte et la destruction de 499 casemates pour groupes terroristes et 8 ateliers de fabrication d’explosifs, la récupération de 707 pièces d’armement, 231 kalachnikov, 388 fusils, 25 pistoles, 48 mitrailleurs, 15 lance-roquettes, la récupération de 399 chargeurs, 52 chaînes de munitions et 94.764 balles de différents calibres, 42 grenades, 143 charges propulsives, 160 détonateurs, 457 capsules pour explosifs et 498 obus ».
Les éléments de l’ANP ont aussi découvert et détruit « 512 bombes de confection artisanale, 61 mines, 32 téléphones piégés, 2224.2 kg de matières explosives et 1659.87 kg de produits chimiques servant à la fabrication des explosifs ».
Par ailleurs, et dans le dans le cadre de la sécurisation des frontières et de la lutte contre la contrebande et le crime organisé, des détachements de l’ANP ont arrêté « 611 narcotrafiquants, 1.800 contrebandiers, 950 orpailleurs et 41 plongeurs sans autorisations ».
Ils ont également saisi, lors de leurs différentes opérations, « une importante quantité de drogue s’élevant à 701.995 kg de cocaïne, 24.96 tonnes de kif traité, 2.2 kg d’héroïne et 509828 comprimés psychotropes », ainsi que « 945 véhicules, 17 drones, 78 moyens de communication, 89 paires de jumelles ».Dans le même sillage, le bilan opérationnel de l’ANP relève la saisie de « 46.18 tonnes et 886.120 unités de tabacs, 995281 unités de différentes boissons, 1240.2 tonnes de denrées alimentaires destinées à la contrebande, 1032044 litres de carburants ,486 détecteurs de métaux, en plus de 1405 groupes électrogènes, 1215 marteaux piqueurs et 54 sacs de mélange de pierres et d’or brut et 3176788 unités de produits pyrotechniques ».
Pour ce qui est de la lutte contre l’immigration clandestine, des détachements de l’ANP ont arrêté « 6834 immigrants clandestins et mis en échec 3983 tentatives d’émigration ».
Ces différentes opérations reflètent « la volonté du Haut Commandement de l’ANP à mettre en échec les desseins macabres de ces criminels et démontrent le professionnalisme, la vigilance et la détermination de nos forces armées à la préservation des intérêts suprêmes du pays et la protection de la souveraineté du territoire national ».
Elles visent notamment au « renforcement des efforts et la vigilance, afin de préserver la disponibilité opérationnelle à son plus haut niveau, pour faire face à toute éventuelle menace visant la sécurité et la stabilité du pays », conclut la même source.
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Le secteur de l’habitat aura été marqué, en 2018, par une diversification de l’offre de logements à travers l’introduction de nouvelles formules adaptées aux besoins et aux moyens des citoyens, à l’instar du logement promotionnel aidé (LPA) et du logement locatif public (LLP), et ce, outre l’ouverture au profit la communauté nationale établie à l’étranger de la souscription au logement promotionnel public (LPP).
La formule LPA est basée sur la contribution du promoteur immobilier, du bénéficiaire et de l’aide de l’Etat sous la supervision de la Caisse nationale du logement (CNL).
Destiné à la location, le LLP vise à créer un marché locatif concurrentiel et à alléger la pression sur le budget de l’Etat.
Durant les dix premiers mois de cette même année, près de 295.000 logements de différentes formules ont été distribués.
En 2018, un programme de 120.000 logements de type Location-vente (AADL) a été lancé. En octobre dernier, la troisième opération de choix des sites a été lancée au profit des souscripteurs au programme AADL 2 (2013). 73.317 unités ont été soumises à l’opération de choix à travers 31 wilayas.
Certains souscripteurs au programme AADL 1 (2001 et 2002) attendent la remise des clés de leurs logements.
En2018, les derniers chantiers des projets du Logement promotionnel public (LPP) ont été lancés dans la nouvelle ville de Sidi Abdallah (Alger) portant sur la réalisation de 2.700 unités. Il s’agit des derniers projets LPP programmés à Alger.
Jusqu’en 2018, un programme de 45.000 logements LPP a été lancé à travers le pays, dont 42.000 unités sont en cours de réalisation tandis que près de 14.000 ont été livrés fin 2017.
L’année 2018 a été positive pour les demandeurs de logement rural qui ont bénéficié de facilitations supplémentaires pour encourager cette formule et contribuer, ainsi, au développement des régions rurales.
Le programme qui s’étale de 2015 à 2019 a porté sur la réalisation de plus de 1,2 millions d’unités de logements (réalisations restantes et nouveaux programmes), dont plus d’un (1) million d’unités ont achevé leurs travaux en septembre dernier et 773.647 unités sont en cours de réalisation et 334.024 unités de logement seront incessamment lancés. La plupart de ces logements ont été inscrits au titre de 2018.
Entre 1999 et fin octobre dernier, 4,1 millions d’unités de logement (toutes formules confondues) ont été livrées et 28.140 structures publiques ont été réalisées sur un total de 32.565 inscrites.
Intégration de la communauté nationale à l’étranger
Depuis 2018, les membres de la communauté nationale établie à l’étranger ouvrent droit à la souscription pour bénéficier d’un logement au pays. Jusqu’à fin décembre en cours, 20.038 souscripteurs établis dans 93 pays ont été inscrits, dont 7.000 ont fait le choix du site.
La première étape de ce programme a concerné la réalisation de 2.247 logements répartis sur 24 wilayas. Elle a été par la suite élargie aux autres wilayas.
C’estdans ce sens que le ministre de l’Habitat, Abdelwahid Temmar, a rencontré les membres de la communauté dans quatre villes françaises (Paris, Lille, Lyon et Marseille), ainsi qu’à Londres (Grande Bretagne) et à New York.
Pour sa part, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a rappelé, lors de sa rencontre avec les membres de la communauté nationale établie en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg, les mesures prises par le président de la République au profit de la communauté nationale établie à l’étranger pour leur faciliter l’acquisition du logement.
Des journées d’information sur le LPP ont aussi été organisées au profit des membres de la communauté nationale établie en Arabie Saoudite et aux Emirats Arabes Unies.
Prorogation des délais de régularisation des situations des constructions
Concernant les lois, l’année 2018 a été marquée par la prorogation des délais de régularisation de la situation des constructions à août 2019, et ce dans le cadre de la loi 15/08 fixant les règles de mise en conformité des constructions et leur achèvement.
Cette prorogation a pour objectif donner la chance aux citoyens n’ayant pas pu déposer leurs dossiers dans les délais et leur permettre de régulariser la situation de leurs constructions. Près de 57.000 dossiers ont été déposés depuis la deuxième prorogation des délais juridiques.
Jusqu’à présent, 873.573 dossiers ont été déposés au niveau des différentes communes du pays (soit 1.290.281 logements) et 624.539 dossiers ont été examinés (1.038.228 logements) dont 342.377 dossiers ont été régularisés (591.209 logements) et 107.311 dossiers ont été rejetés (127.714 logements).Le nouveau code de l’urbanisme englobera ceux de l’urbanisme 29-90, de la ville 06-06 et de la régularisation foncière 08-15.
Par ailleurs, le taux d’avancement des travaux de réalisation de la Grande mosquée d’Alger a atteint 90 %. Les travaux du gros œuvres ont été parachevés et ceux de la décoration et de l’ameublement ont été entamés.
La Loi de finances 2019 récemment adopté par les deux chambres du parlement prévoit « la poursuite du financement et la réalisation des programmes de logement, toutes formules confondues, notamment l’habitat de type location-vente et l’habitat rural, et ce en vue de répondre à toutes les demandes des souscripteurs ».
S’agissant des aides, l’exercice 2019 a inscrit 40.000 nouvelles aides pour l’habitat rural, outre 20.000 unités ayant été enregistrées dans le cadre des dépenses prévisionnelles non programmées au titre de l’exercice 2018.
Début 2019, un site sera ouvert aux souscripteurs au programme AADL pour le retrait de plus de 60.000 pré affectations et la formule de Logement Locatif Public (LLP) sera lancée.
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Le 3 juillet 2018 a été un jour particulier pour les Oranais qui ont accueilli l’emblème des Jeux méditerranéens en prévision de l’organisation par leur ville, capitale de l’ouest du pays, de la 19e édition de cette manifestation sportive régionale.
Ce jour là également, le siège du comité préparatoire de l’évènement s’est offert un nouveau look pour accueillir l’emblème, ramené par le ministre de la jeunesse et des sports, Mohamed Hattab, et les autorités de la ville d’Oran et celles de Tarragone (Espagne), cité qui avait abrité la précédente édition.
Un géant tableau électronique a été installé au niveau du siège, sis au boulevard de l’ALN (ex-Front de mer), doté un chronomètre, activé dès l’arrivée de l’emblème pour marquer le compte à rebours des JM de 2021.
Depuis, Oran est entré dans le vif du sujet, en passant à la vitesse supérieure en matière de réalisation des nouvelles infrastructures sportives, touristiques et autres, ainsi que la mise à niveau de celles existantes et ayant besoin d’une grande opération de toilettage.
« En 2021, les JM boucleront leurs 70 ans. Nous voulons que l’évènement soit inédit. Oran, grâce aux grands progrès qu’elle est en train de réaliser dans les différents domaines, n’a rien à envier aux autres villes du bassin méditerranéen », avait déclaré le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hatab, après son retour de Tarragone.
Lesyeux sont depuis braqués notamment sur les chantiers du complexe sportif olympique ainsi que ceux du village méditerranéen, deux infrastructures implantées au niveau de la commune de Bir El Djir (Est d’Oran), et qui ont connu une véritable relance, après que les travaux aient connu, lors des dernières années, de nombreux arrêts pour diverses raisons.
Ainsi, et s’agissant du complexe sportif, son unité principale, à savoir le stade de 40.000 places, devra être livrée, lors du premier semestre de l’année à venir. Les travaux ont atteint les 80%, selon le directeur des équipements publics de la wilaya, Mustapha Banouh, assurant que les gros œuvres sont désormais achevés, en attendant de se tourner vers le terrain du stade recouvert d’une pelouse en gazon naturelle. Sa réalisation a été confiée, en début de ce mois de décembre, à une société franco-algérienne, celle-là même qui avait refait totalement la pelouse du stade du 5-juillet à Alger.
Les autres équipements du complexe sportif, à savoir, le stade d’athlétisme (4.200 places), la salle omnisports (7.000 places), et le complexe nautique, composé de quatre piscines, devaient être réceptionnés en fin de l’année 2019, selon les engagements de la société chinoise (MCC), réalisatrice du projet. Le village méditerranéen, d’une capacité d’accueil de près de 5.000 lits, sera réceptionné pour fin 2020.
Par ailleurs, pas moins de sept sites sportifs à Oran ont connu, en cette année 2018, le lancement de vastes travaux de réhabilitation et de mise à niveau. Il s’agit du Palais des sports ‘’Hammou Boutelilis’’, du centre équestre d’Es-Senia, du club de tennis de Haï Essalem, du stade Ahmed-Zabana, de la piscine olympique de M’dina J’dida et de l’Institut National de formation supérieur des cadres de jeunesse et du Sport d’Aïn El Turck.
Le premier test du CIJM passé avec succès
En tout et pour tout, une enveloppe financière de l’ordre de 48 milliards DA a été dégagée par les pouvoirs publics pour la réalisation du complexe sportif et du village méditerranéens, ainsi que la réhabilitation des autres édifices sportifs suscités, avait souligné le ministre de la tutelle, lors de sa dernière visite à Oran en novembre passé.
«Cette visite a conforté ma conviction concernant la réussite des JM de 2021 dont nous voulons en faire une manifestation historique. Je suis très satisfait par les progrès réalisés notamment au niveau des chantiers du complexe sportif et du village méditerranéen où le retard accusé en la matière a été rattrapé en l’espace de quelques mois», s’est réjoui M. Hattab.
Le ministre s’attend à ce que le stade de 40.000 places soit le premier à être livré de l’ensemble des quatre grands stades en cours de réalisation en Algérie.
«Par rapport aux stades de Tizi Ouzou, Baraki et Douera (Alger), celui d’Oran avance très bien. Il devrait être livré en début de l’année prochaine», a indiqué ce responsable à la presse, mettant l’accent sur l’importance vitale accordée par le Président de la république, Abdelaziz Bouteflika, à la réalisation de nouvelles infrastructures sportives, ainsi qu’à une organisation de premier ordre des JM-2021 à Oran.
Les éloges du ministre ont été précédés par ceux de la commission technique du comité international des JM (CIJM), qui a effectué en septembre passé sa première visite d’inspection à Oran.
Les membres de la commission n’ont pas cessé de vanter les préparatifs de la capitale de l’Ouest du pays en prévision du rendez-vous méditerranéens. Un premier examen passé avec succès par les organisateurs de cet évènement, confié pour la deuxième fois à l’Algérie après avoir abrité, à Alger, l’édition de 1975.
Les déclarations du président de la commission technique du CIJM, le Français Bernard Amsalem, après avoir visité différentes infrastructures sportives en cours de réalisation et de réhabilitation, ainsi sa réunion avec les responsables des secteurs concernés par l’organisation des jeux, sont venues rassurer les autorités locales qu’ils étaient sur la bonne voie.
Dans la foulée, le comité d’organisation des JM s’est doté d’un directeur général, en la personne de Mohamed El Morro, une personnalité issue du mouvement sportif local, et sur lequel beaucoup d’attentes sont fondées pour que la 19e édition soit un évènement inédit, exactement comme le souhaite le CIJM, et exprimé par sa commission technique dépêchée à Oran.
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