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Afrique

Khemis Miliana: Saisie de 600 comprimés psychotropes et 400 g de kif traité

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 16:05

L’affaire a débuté lorsqu’un jeune homme de 25 ans est allé déposer une plainte à la brigade de gendarmerie pour agression de la part d’un individu demeurant dans un quartier de l’est de la ville de Khemis Miliana.
Dans l’intention d’interpeller le prétendu agresseur, une patrouille est lancée en compagnie du plaignant. Le soi-disant agresseur a vite été localisé et interpellé.
Ce dernier interrogé a révélé que le faux plaignant voulait, en fait, acquérir une certaine quantité de psychotropes pour les revendre. Questionné au sujet de la drogue qu’il voulait vendre, l’individu a révélé qu’il s’approvisionnait chez une autre personne. Le revendeur en question est alors identifié et interpellé à son tour. Une perquisition au domicile du revendeur a permis de mettre au jour une quantité de 600 comprimés psychotropes de différentes variétés, qui ont été saisis ainsi qu’un paquet contenant 400 g de kif en plaques.
La poursuite des investigations, selon des sources dignes de foi, a permis de saisir le véhicule qui était utilisé pour se livrer à ce trafic, et d’identifier le grossiste qui approvisionnait les dealers de la région et qui demeure en fuite. Les trois incriminés ont été déférés au parquet de Khemis Miliana et placés en détention provisoire.
Karim O.

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Blida: 5 363 affaires traitées par la police et 6 715 personnes arrêtées en 2018

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 16:05

Les différents services dépendant de la Sûreté de wilaya de Blida ont traité, durant l’année en cours, 5 363 affaires et arrêté 6 717 personnes dont 1 155 ont été placées sous mandat de dépôt.
Ce sont les affaires inhérentes aux atteintes des personnes qui ont connu le plus grand nombre de cas traités avec 2 641 personnes arrêtées dont 193 ont été écrouées et 2 297 ont bénéficié du contrôle judiciaire.
Les affaires d’homicide volontaire sont au nombre de quatre impliquant 11 personnes dont 8 ont été placées sous mandat de dépôt et 3 sous contrôle judiciaire.
Par ailleurs, 12 affaires de tentatives de meurtre ont été solutionnées et 17 personnes ont été appréhendées dont 15 écrouées.
Les coups et blessures volontaires inquiètent à Blida puisque les policiers ont traité 1671 affaires avec 2 033 personnes arrêtées dont 147 ont été emprisonnées. Un phénomène récurrent qui continue à inquiéter les citoyens.
Pour les atteintes aux biens des personnes, il a été également constaté un nombre important d’affaires et l’arrestation de 1 453 personnes dont 326 ont été placées sous mandat de dépôt. Durant l’année 2018, les policiers ont traité également les affaires liées au vol qualifié avec 242 affaires et l’arrestation de 406 personnes.
Par ailleurs, 15 affaires de kidnapping ont été solutionnées et ont vu l’implication de 24 personnes dont 17 ont été écrouées et 6 placées sous contrôle judiciaire.
Enfin, la création de lieu de débauche n’est pas en reste dans les affaires traitées par la police avec 11 cas impliquant 28 personnes.
Tout comme l’atteinte à la pudeur avec 29 personnes écrouées et 17 mises sous contrôle judiciaire.
M. B.

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L'Irak a jugé plus de 600 étrangers pour appartenance à l'EI

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 12/31/2018 - 15:51
Le Figaro - Plus de 600 étrangers, quasiment tous des femmes, ont été jugés en Irak durant l'année écoulée pour appartenance au groupe Etat...
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L’année littéraire 2018 en Algérie: De belles pages et de belles plumes

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 15:46

L’année s’achève sur un bilan positif pour le champ littéraire, aidé par un dynamisme remarqué de l’édition algérienne  qui s’est distinguée en 2018 par une production prolifique d’œuvres d’auteurs confirmés et l’émergence de jeunes plumes. Faisant presque fonction de rentrée littéraire, le Sila (Salon  international du livre d’Alger) aura été, comme chaque année, l’occasion de découvrir les nouvelles publications des éditeurs locaux qui proposaient les dernières œuvres d’écrivains connus et de journalistes lancés dans l’écriture romanesque depuis quelques années.  Les romanciers Mohamed Magani et Mustapha Bouchareb auront été les premiers à donner le top-départ des publications en cette année avec la  sortie, respectivement, de L’année miraculeuse et La fatwa, tous deux chez Chihab, suivis de Khalil, dernier ouvrage de l’écrivain à succès Yasmina Khadra.

A partir du mois de septembre, plusieurs autres œuvres paraîtront : Le  naufrage de la lune de Amira-Géhanne Khalfallah, Nulle autre voix de Maïssa  Bey, Les yeux de Mansour de Ryad Girod, Le peintre dévorant la femme de Kamel Daoud, Sentiments irradiés de Djamel Mati, Aïzer, un enfant de  la guerre de Mohamed Sari, ou encore Les couffins de l’équinoxe d’Ameziane Ferhani, parmi d’autres.  Des journalistes et chroniqueurs de presse, également écrivains depuis  quelques années, ont signé leur retour en 2018 avec des romans et des recueils de nouvelles très remarqués à l’image de Mustapha Benfodhil avec son roman Body Writing, Amari Chawki qui a publié Balak, ou encore Lezhari Labter qui revient avec Laghouat, ville assassinée et un ouvrage  collectif, Hiziya, mon amour, coordonné par ses soins et rassemblant les textes de plusieurs écrivains et poètes autour du souvenir de Hiziya, un  personnage immortalisé par la poésie de Benguitoun. D’autres grands noms de la littérature algérienne d’expression arabe sont  aussi revenus au-devant de la scène en 2018 comme Amin Zaoui avec El-Khillan, Abdelwahab Aïssaoui qui a signé El diwan el isbarti, ou encore Saïd Khatibi avec son roman Hatab Sarajevo : une cuvée 2018 des plus  riches, à laquelle s’ajouteront de nouveaux venus sur la scène littéraire  d’expression arabe comme Smaïl Mehnana, Ali Meghazi, ou encore Lounis  Benali.

Comme les précédentes années, l’événement littéraire le plus marquant en  2018 reste le Salon international du livre d’Alger (Sila) qui a drainé, en  novembre, un public très nombreux pour sa 23e édition qui a accueilli un millier d’éditeurs dont 271 maisons algériennes. Des salons nationaux du livre ont été organisés à Tizi-Ouzou, Tlemcen, Oran, Ouargla, Skikda ou encore Batna, entre autres villes qui ont également vu la naissance, pour certaines d’entre elles, de clubs de   lecture et cafés littéraires créés à l’initiative de particuliers ou d’institutions culturelles.  La tenue des premières «Rencontres annuelles Méditerranée-Afrique des  jeunes écrivains» avec la participation d’une quarantaine d’écrivaines et le lancement d’un nouveau prix littéraire, «Prix Yamina Mechakra», du nom de l’écrivaine et psychiatre Yamina Mechakra (1949-2013), qui devait être  décerné à la fin de l’année par un jury exclusivement féminin,  ont également marqué l’année 2018 qui s’achève avec l’attribution de plusieurs  prix littéraires.

Dans sa sixième édition, le prix littéraire Mohamed Dib a été attribué cette année aux auteurs Mohamed Saâdoune pour son roman la défaite, à  Smaïl Yabrir pour Maoula el haïra, et à Sami Messaoudene pour Enza.
L’écrivaine algérienne Aïcha Kassoul a remporté cette année le prix «Escale littéraire» pour son roman La Colombe de Kant, alors que le roman 1994 de Adlene Meddi avait reçu le prix «Transfuge» du meilleur polar francophone de l’année 2018, une année qui aussi vu la distinction du roman Zabor ou les psaumes de Kamel Daoud qui a reçu le Prix Méditerranée du Centre méditerranéen de littérature.
Le Grand prix Assia Djebar dans sa 4e édition a été, quant à lui, attribué aux écrivains Nahed Boukhalfa pour sa fiction en arabe Sirène, destination  d’un homme optimiste, Ryad Girod pour Les yeux de Mansour (français) et M’henni Khalifi pour son roman en tamazight Imehbal (Les fous).

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Recette: Mousse au chocolat en verrines

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 15:45

100 g de chocolat noir, 50 g de beurre, 3 œufs, 1 c. à soupe de sucre en poudre. 

Placez les petites verrines au congélateur pour qu’elles soient bien froides. Faites fondre le chocolat et le beurre au bain-marie en mélangeant doucement à la spatule puis retirez du feu.
Cassez les œufs, séparez les blancs des jaunes et incorporez les jaunes un à un au mélange au chocolat. Montez les blancs en neige avec une pincée de sel, puis ajoutez le sucre en pluie tout en continuant de battre jusqu’à ce que les blancs soient  fermes et brillants.
Prélevez une cuillerée de blanc et incorporez-la au fouet au mélange de chocolat puis versez celui-ci en filet sur les blancs montés en incorporant délicatement les deux préparations à la spatule. Répartissez la mousse dans les petites verrines à l’aide d’une poche à douille et placez 1 heure au moins au réfrigérateur.

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Syrie: 2018 l’année la moins meurtrière depuis le début du conflit

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 15:34

DAMAS – L’année 2018 est la moins meurtrière en Syrie depuis le début du conflit en mars 2011, a indiqué lundi l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

« En 2018, nous avons enregistré le bilan annuel de morts le plus faible » depuis le début du conflit, a précisé le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane.

Il a évoqué le chiffre de 19.666 personnes tuées dont 6.349 civils au cours de l’année.

L’année 2018 a vu le gouvernement syrien reconquérir plusieurs fiefs des groupes terroristes. Il contrôle aujourd’hui près des deux-tiers de la Syrie, selon l’OSDH.

Le conflit en Syrie a tué plus de 33.000 personnes en 2017, rappelle l’Observatoire, tandis que l’année 2014 reste la plus meurtrière, avec plus de 76.000 morts.

Le conflit a fait plus de 360.000 morts depuis 2011 et des millions de réfugiés et déplacés syriens.

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Championnat hivernal: plus de 500 nageurs attendus à Alger

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 15:34

ALGER – Quelque 538 nageurs dont 198 dames, représentant 57 clubs et 11 ligues sont attendus, du 1er au 4 janvier 2019 à la piscine de Bab Ezzouar  »Mohamed Baha » (Alger), pour prendre part au Championnat National Hivernal minimes – juniors (petit bassin), a appris l’APS, lundi auprès de la direction de l’organisation sportive et des compétitions (DOSC) de la Fédération algérienne de natation (FAN).

Les éliminatoires sont programmées lors des séances matinales (08h30), alors que les finales auront lieu, à partir de 17h00.

La compétition s’étalera sur quatre jours regroupant huit séances. A l’issue des épreuves, deux classement (par sexe) pour les minimes, un classement par médailles et un autre par points pour les finalistes selon la tablette de cotation Fina 2018. Tandis que pour les juniors, seul le classement par médailles sera établi par les organisateurs.

Selon la même source, cette nouvelle édition verra une nouveauté dans les courses des deux catégories où les nageurs prendront part aux éliminatoires avant de nager aux finales. Lors des éditions précédentes, les nageurs étaient engagés directement dans les finales.

Pour rappel, l’USMA est tenant du titre chez les minimes et juniors (garçons) et juniors (filles), tandis que le sacre chez les minimes filles est revenu au GSP.

Au classement général par points chez les minimes (garçons et filles), Sahel Nautique d’El-Biar avaient remporté la première place.

Programme du Mardi 1er janvier

Première séance (éliminatoires-08h30):

50m nage libre (garçons et filles), 200m brasse (garçons et filles), 100m dos (garçons et filles), 400m nage libre (garçons et filles), 100m 4 nages (garçons et filles),  4x50m 4 nages (garçons et filles) mixte/finale.

Deuxième séance (finales-17h00):

50m nage libre (garçons et filles), 200m brasse (garçons et filles), 100m dos (garçons et filles), 400m nage libre (garçons et filles), 100m 4 nages (garçons et filles),  4x50m nage libre (garçons et filles) mixte/finale.

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2018/Sidi Bel-Abbès: le projet Chott Gharbi ouvre des perspectives pour l’agriculture

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 15:32

SIDI BEL ABBES – La wilaya de Sidi Bel Abbès, réputée pour son déficit en ressources hydriques, a connu en 2018 la mise en service d’un projet structurant de transfert d’eau à partir de Chott Gharbi au profit de neuf communes du Sud ouest, réglant leur problème d’alimentation en eau potable (AEP) et offrant à cette région de prometteuses perspectives dans le domaine agricole.

Le projet du Chott Gharbi est le plus important projet de transfert d’eau potable à partir de la wilaya de Nâama, fournissant 40 millions de m3 par an d’eau de 60 forages de Mekmene El Hanch, et Benamar (Naama), ayant permis d’alimenter neuf communes de Sidi Bel Abbès.

Il s’agit des communes de Redjem Demouche, Oued Sebaa, Bir L’hmam, Ain Tandamine, Achiba, Moulay Slissene, Chetouane et Benbadis, indique le directeur local des Ressources en eau, Abdelkader Laatab, qui explique que la tranche de Sidi Bel Abbès, entrée progressivement en exploitation, contribuera à lutter contre le problème d’AEP dont ont souffert, durant de longues années, des communes du sud de la wilaya, alimentées un jour sur cinq.

Inscrit dans le cadre du développement du réseau national hydrique, ce projet structurant est le plus important, initié par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, en 2011, au titre de son programme pour renforcer l’AEP de la wilaya, a rappelé le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, lors d’une visite d’inspection dans la wilaya.

Pour le premier responsable du secteur, ce projet a donné ses fruits puisque trois wilayas (cinq communes du sud de Tlemcen, quatre communes de Naâma et neuf communes du sud-ouest de Sidi Bel Abbès) sont alimentées en eau potable en H24.

Pour exploiter les eaux de transfert du projet de Chott Gharbi, deux stations de pompage et neuf réservoirs ont été réalisés au niveau de huit communes, avec une capacité de 1.000 m3 chacun, alors que la commune de Benbadis compte un réservoir de 5.000 m3 étant donné qu’elle bénéficie également du transfert d’eau du barrage de Sidi Abdelli.

Une dimension stratégique est dévolue à ce mégaprojet ayant nécessité plus de 43 milliards DA, celle du développement de l’agriculture irriguée, le directeur local des Ressources en eau faisant état de la création future de plus de 6.000 has de terres irriguées, dont 1.500 has à Sidi Bel Abbès, qui permettront à terme d’ouvrir des perspectives prometteuses dans le domaine agricole dans les zones du sud de la wilaya. Dans le cadre de ce projet de transfert d’eau, des stations sont réservées aux éleveurs de bétail.

35% de la wilaya alimentée en H24 dès mars prochain

Les efforts se poursuivent à travers d’autres projets en cours pour renforcer le raccordement au réseau d’AEP des régions urbaines secondaires et rurales, a assuré le wali, Ahmed Abdelhafidh Saci, notant que « la moyenne d’alimentation d’eau potable a triplé au niveau de la wilaya depuis 1999 pour atteindre actuellement 161 litres d’eau par jour et par ratio ».

En plus des 37 communes de la wilaya alimentées quotidiennement en eau, 11 autres le seront avant la fin de l’année et 10 encore avant fin mars 2019. « Toutes les communes seront alimentées régulièrement et quotidiennement en eau potable ».

La distribution en H24, actuellement à hauteur de 22 % devra atteindre en mars 2019, les 35 %.

La wilaya de Sidi Bel Abbès a bénéficié dans le cadre du programme supplémentaire d’urgence pour l’exercice 2018, de 9 projets touchant 25 communes pour un montant de 640 millions DA, au titre des programmes communaux de développement (PCD) et du Fonds des collectivités locales.

Une partie de ce programme sera achevée à la fin du premier semestre de l’année 2019. La wilaya aura atteint un taux d’alimentation en eau potable de plus de 86 %.

Pour améliorer le service public d’eau potable, le secteur des ressources en eau a consacré un important programme de 10 actions de développement en cours de réalisation pour un investissement de 6 milliards DA. Ce programme concerne la réhabilitation et la rénovation des canalisations d’eau et des réseaux de distribution de la wilaya. Il vise également à accroitre les capacités de stockage par la réalisation de 20 réservoirs.

Pour rappel, la wilaya de Sidi Bel Abbès est alimentée par plusieurs wilayas, dont Tlemcen depuis le barrage de Béni Bahdel, la station de dessalement d’eau de Souk Tleta, de Mascara depuis le barrage de Bouhnifia et Chorfa, de Nâama et Saïda depuis les nappes de Chott Gharbi.

Pour ses besoins en eau potable, Sidi Bel-Abbès est alimentée à 65 % des eaux superficielles (barrages de Sarno, Bouhanifia et Chorfa) et à 35 % des eaux souterraines. La moyenne de production de 122.000 m3/jour permet d’assurer une répartition quotidienne de 72 % dont 22 % en H24.

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Zaalane inspecte la nouvelle aérogare internationale « Houari Boumédiène »

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 15:32

ALGER – Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaalane a effectué, dimanche dans le cadre du suivi périodique des grands projets de son secteur, une visite d’inspection à la nouvelle aérogare internationale « Houari Boumediène », indique un communiqué de ce ministère.

La visite a permis au ministre de s’enquérir des dernières retouches concernant la réalisation de la nouvelle aérogare internationale d’Alger avant son entrée en service ainsi que le raccordement de cette structure au réseau de transport ferroviaire. Il a également inspecté la tour de contrôle et les différents accès de l’Aérogare internationale, précise le communiqué.

Dans ce contexte, M. Zaalane a mis l’accent sur l’importance de la coordination entre les différents prestataires et les services sécuritaires afin de fournir des services de qualité dignes de cette structure importante.

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Mauritanie: un député antiesclavagiste jugé pour "menaces" contre un journaliste [PhotoReportage]

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 12/31/2018 - 15:10
Atlasinfo - Le procès du député d'opposition et antiesclavagiste mauritanien Biram Ould Dah Ould Abeid, accusé de "menaces" contre un...
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RCA: Patrice-Edouard Ngaïssona en passe d'être extradé vers la CPI

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 12/31/2018 - 14:30
RFI - La justice française a ordonné ce 31 décembre la remise à la Cour pénale internationale (CPI) de Patrice-Edouard Ngaïssona, patron du...
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Le désert, haut lieu touristique en hiver: Timimoun et Tamanrasset en effervescence culturelle

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 14:04

La fin de l’année est marquée habituellement par la recrudescence, au niveau du tourisme local dans le sud algérien. En effet, les activités ne manquent pas et les touristes dans les hôtels dans le désert ne désemplissent pas. Pour l’année 2018, on ne déroge pas à la règle. Deux manifestations ont débuté cette semaine au Sud. La première se tient depuis vendredi à Timimoun. Il s’agit de la 12ème édition du Festival national culturel de l’Ahellil, dédié en hommage au défunt Moulay Slimane Seddik, connu sous le nom de «Moulay Timi».

Cette initiative traduit une reconnaissance aux efforts déployés durant toute sa vie par le défunt au service du patrimoine de la région et son accompagnement de chercheurs dans leurs travaux, à l’instar de l’académicien Mouloud Mammeri et autres chercheurs et gens des médias. Ce rendez-vous culturel annuel (28-30 décembre) s’assigne, entre autres objectifs, la préservation de ce legs culturel séculaire, classé patrimoine immatériel mondial par l’Unesco, sa promotion et l’encouragement des associations culturelles émergentes en ce genre au niveau de la région du Gourara, a indiqué le commissaire du festival.

Cette manifestation est marquée par l’organisation de soirées artistiques animées par 24 groupes activant dans des associations de l’Ahellil. Au programme aussi des conférences intellectuelles sont encadrées par des enseignants intéressés par ce patrimoine dont une importante qui évoquera plusieurs questions relatives aux différents aspects de ce patrimoine amazigh. Tamanrasset, pour sa part, n’est pas en reste puisqu’elle accueille depuis vendredi également, la 4e édition de la manifestation «l’Algérie au coeur de son Sahara». Organisée sous le slogan «Vivre ensemble en paix», cet événement voit la participation de 600 jeunes venus de toutes les wilayas.

Dans une ambiance festive animée par des jeunes au niveau de la place du 1er novembre au chef-lieu de la wilaya de Tamanrasset, des présentations artistiques et folkloriques reflétant la richesse du patrimoine culturel algérien sont organisées par les wilayas participantes. Outre le renforcement des relations fraternelles et amicales entres ces jeunes, cet évènement (28 décembre-2 janvier) constitue une occasion pour valoriser l’héritage culturel algérien.

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Disparu il y a 10 ans: Cheikh Yahi, ce grand humaniste

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 14:02

Par Kamel BOUCHAMA

«Comme tous ceux qui, pieusement sont morts au service de l’éducation, tu as droit que sur ta tombe tes disciples viennent et prient.»

Tu as entièrement raison Cheikh d’avoir lancé cette opportune exhortation à tes collègues de l’école algérienne. C’est un juste sentiment qui trouvera, je n’en doute pas, des oreilles attentives pour le perpétuer au sein d’une communauté de sages qui existe naturellement pour s’attacher profondément à l’éducation des générations, à la sagesse, à l’éthique, à la vertu…
Vois-tu, Cheikh, je rentre directement dans le vif du sujet…, mais ne dois-je pas te présenter préalablement aux jeunes pour qu’ils sachent d’abord qui tu es, pardon, qui tu étais il y a dix années de cela? En effet, il fallait commencer par te présenter, dans toute ta grandeur, ta simplicité, ta générosité, ton humilité.
Ainsi, je peux leur dire… Que l’on soit à El-Khemis, ou à Miliana ou à Cherchell, ou à Aïn-Defla, Theniet-El-Had, Ténès et El Asnam, aujourd’hui Chlef, ou partout ailleurs dans les autres villes et villages se situant à proximité de l’ancienne wilaya, et que l’on évoque le sujet de l’Education nationale en prononçant le mot «Cheikh», on est quasiment sûr que tous comprennent qu’il s’agit bel et bien de Cheikh Yahi, cet infatigable pilier de l’enseignement, cet humaniste invétéré qui n’a vécu que pour un idéal, celui d’être utile.

Qui était-il professionnellement?
Oui, un homme charismatique qui avait foi en lui-même et qui s’imposait à être le changement qu’il voulait voir dans son milieu…, un homme qui donnait énormément de son savoir et de son temps, mais qui, également, recevait profusément en termes de satisfaction du fait de la réussite de ses disciples.
«Cheikh Yahi, un grand esprit, disparu il y a 10 ans déjà.», s’exclament ceux qui l’ont bien connu et approché! Alors, aujourd’hui, à l’occasion de cet anniversaire historique pour sa famille, ses amis et surtout ses élèves, il est opportun de le convier en ces moments propices pour ne pas douter de l’avoir aimé. Parce qu’il est vrai que lors de cet hommage, à titre posthume, on peut aborder, avec tout notre amour pour cet Homme qui a été une puissante leçon d’humanisme, une bonne partie de ce qu’il était dans sa vie et ses actions pour le remémorer, en le présentant aux jeunes, sans fards et «sans reproches», afin d’appuyer nos déclarations et nos écrits… Une sorte de preuve évidente d’une présence soutenue, tout au long d’une période, en d’autres termes, d’une existence effective et concrète sur la scène éducative, sociale et même politique que traversent des courants multiples et qu’agitent des événements que nul ne peut éviter, tant que le destin, chez nous, est synonyme de dogme qui se conjugue au même temps que la providence.
Continuons sur sa présentation, et abordons sa vie professionnelle.

Il prendra son premier poste à 21 ans
Le 30 mai 1928 est né à Hadjout, Mohamed Yahi. Il entre en 1945 à l’École normale de Bouzaréah et en sort en 1949, major de sa promotion. Du talent dès son jeune âge, n’est-ce pas?
Pour son premier poste, à vingt et un (21) ans, le jeune instituteur est affecté au groupe scolaire Jules Ferry à Affreville, aujourd’hui Khemis-Miliana. En 1958, nommé professeur des écoles au collège d’enseignement général Victor Hugo, il s’adonne inlassablement à son métier d’enseignant.
Beau-frère du chahid Mustapha Liassine (dont le père, Ahmed, fut également instituteur à Affreville), il milita discrètement pour l’indépendance, gardant le contact avec certains de ses élèves partis au maquis, transportant du courrier secret et des armes soigneusement dissimulées dans son Aronde avant de les cacher dans la cave de son immeuble dont il était le seul résident algérien au milieu d’enseignants français
En 1962, Mohamed Yahi, connu sous le nom de «Cheikh», est nommé maire de la ville. L’été de cette même année, grâce à sa vision éclairée et son esprit fédérateur, il réussit à organiser avec peu d’enseignants et encore moins de moyens, la première rentrée scolaire de l’Algérie indépendante. C’était une gageure en ce temps-là…
Toujours actif, ce pédagogue s’implique dans la formation et l’encadrement des jeunes scouts musulmans d’Algérie.
Infatigable, il préside aussi le comité de wilaya du Croissant-Rouge algérien, le conseil d’administration de l’hôpital de Khemis-Miliana et occupe le poste de vice-président de la Mutuelle générale de l’Éducation nationale, (Mgen)
Passionné de football, déjà à l’époque de la Bouzaréah, Cheikh Yahi met également son énergie au service de l’équipe locale de football, le SCAF, qu’il présidera de nombreuses années.
En 1965, nommé inspecteur de l’enseignement, il exercera cette fonction avec abnégation jusqu’en 1988.
Pendant ces longues années, il initie et dirige l’institut mixte de technologie de l’Education nationale à Khemis-Miliana. Ses élèves gardent le souvenir d’un homme au charisme exceptionnel, sévère et exigeant, mais bienveillant et attentif. Celles et ceux qu’il a formés se remémorent la phrase qu’il aimait tant répéter: «Nous avons semé du bon grain, Plut à Dieu que la récolte soit bonne…». Pour lui, le métier d’éducateur était plus qu’une passion, un véritable sacerdoce.

Il exercera ses fonctions avec abnégation
Féministe et soucieux de la nécessaire présence d’éducatrices dans le corps enseignant algérien, Cheikh Yahi convainc personnellement les familles de Cherchell, Gouraya, Miliana, Chlef, Ténès, Theniet El Had, qui craignaient d’inscrire leurs filles en internat, de le faire, en se portant garant de leur protection et de leur scolarité.
En 1969, Il réalisa durant les vacances de printemps, du 1er au 10 avril, un voyage inaugural d’études et accompagna les normaliennes et normaliens de la wilaya d’El Asnam, promotion 4eme année dans une tournée historique: Djelfa, Ghardaïa, Ouargla, Hassi Messaoud, Tougourt, El Oued, Biskra, Batna, Timgad, Constantine, Annaba, Djidjeli, Béjaïa, Alger.
Ceux qui ne connaissaient que son côté sévère de directeur, étaient enchantés de découvrir son côté jovial et artiste lorsqu’à chaque fête de fin d’année il prenait le micro pour reprendre quelques passages de Bouadjadj «Ya saheb el Ghamama» ou encore «Azzizaliya Sidi Rssoul Allah»…
Cheikh Yahi nous a quittés le 1er janvier 2009. Nous commémorons avec beaucoup d’émotion le 10ème anniversaire de sa disparition et reprenons la phrase qu’il prononçait à chaque disparition d’un éducateur: «Comme tous ceux qui, pieusement sont morts au service de l’éducation, tu as droit que sur ta tombe tes disciples viennent et prient.»
Cheikh Yahi donc, exclusivement connu sous ce pseudonyme, que lui a bien choisi la vox populi dans son univers de l’éducation – tant le terme «Cheikh» a de la valeur dans notre culture – en le vénérant bien sûr, pour de considérables initiatives que nul autre n’aurait pu accomplir, était profondément convaincu de la mission ô combien noble qu’il effectuait avec détermination, mais surtout avec amour. En effet, parce qu’ardemment convaincu de la noblesse de l’éducation des enfants, il s’était engagé dans un combat au quotidien, sur le terrain de la réalité, bravant tous les obstacles et luttant inlassablement pour la promotion d’une école au diapason des exigences de notre pays…

«On ne devient homme qu’en se surpassant» (Aristote)
Le Cheikh Yahi, ce forcené du travail. Il ne pouvait ne pas voir un jour ce tableau noir de notre enfance, ce morceau de craie qui avait une odeur particulière, ces tables bien alignées et leurs encriers bien astiqués, ces cahiers de classe bien rangés et, pour couronner le tout dans ce climat d’émulation, ces meilleurs résultats qui le faisaient vibrer de tout son être.
C’est ainsi, qu’il y a des gens qui sont nés pour se distinguer dans le sacrifice… et Cheikh Yahi en faisait partie, avec «son syndrome» du culte de la perfection. D’ailleurs, c’est pour cela que pris dans l’engrenage du rendement positif, les termes repos, vacances, détente, relâche, farniente, congés et arrêt de travail, ou je ne sais quel autre terme parmi ceux qu’il rebutait, n’étaient pas dans son logiciel.
Des belles actions avec Cheikh Yahi, il y en a eu tellement. Il les composait et les vivait en acteur principal, souvent sans s’en rendre compte, ni même espérer qu’un jour elles lui seraient comptées parmi les performances inoubliables que d’autres n’ont pu présenter au profit d’une société comme la nôtre qui, aujourd’hui particulièrement, a tellement besoin de ces valeurs d’exemples.
Oui, Cheikh Yahi – j’y reviens, parce que je l’ai bien connu – a été un bourreau de travail, spécialement dans le métier d’éducateur qu’il chérissait au-delà de ses limites. Et c’est là, que je reconnaissais chez lui, «le reflet d’une qualité innée, intérieure, ou la quête d’une compréhension philosophique ou littéraire de l’harmonie, de la raison et de la vérité», comme disait l’architecte britannique John Pawson.
Voilà des hommes qu’il faudrait célébrer en érigeant à leur gloire ce qui doit leur convenir en termes de reconnaissance. Ainsi, s’il y a des distinctions à distribuer – et il doit y en avoir au profit de ce genre de cadres laborieux – ne pourrait-il pas en bénéficier notre Cheikh Yahi, à titre posthume, lui qui s’est exténué dans l’encadrement, la formation, l’éducation et la mobilisation d’une foule d’élèves et d’étudiants devenus, aujourd’hui, de grands et meilleurs cadres dirigeants dans les structures étatiques et le secteur privé en Algérie?
Mais en attendant, le Tout-Puissant, lui réserve sans aucun doute, parce que Reconnaissant et Miséricordieux, sa place parmi ses élus, ceux qui leur prédit le Firdaous pour avoir été de bons croyants, en privilégiant l’oeuvre utile dans la plénitude du travail bien fait et dans la dignité. «Dis: «Agissez! Dieu va apprécier vos actions, ainsi que Son Prophète et les Croyants. Vous ferez ensuite retour à celui qui connaît si bien toute chose, invisible ou apparente. Alors Il vous informera de toutes vos oeuvres» Coran, Sourate 9, verset 105.
Oui, en attendant demain où, à l’heure des bilans que nous espérons honnêtes et sincères, il aura sa place – une bonne place – dans les annales de l’Education nationale qui saura reconnaître les siens, ces combattants du progrès, de la réussite et du bonheur de l’élève et de ses parents, en somme, le bonheur de tout un pays. Et là, Cheikh Yahi demeurera à jamais le symbole d’une époque, d’une génération d’instituteurs, de professeurs, d’inspecteurs et de directeurs – il a occupé toutes ces fonctions – qui ont brillé par leur passion de l’école, par leur dévouement aux besoins des élèves et par leurs espoirs quant au devenir de cette Algérie qui remplissait leur coeur.
Ainsi, pour mon dernier mot, je te dis: Cheikh Yahi, dors en paix, tu as fait ton devoir, tu as occupé convenablement ta mission d’éducateur généreux, attentif et zélé dans un monde qui n’arrêtera pas de louer tes mérites et de célébrer ton appartenance à cette race d’Hommes qui n’ont de cesse de se rassembler autour de grands idéaux.

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Espace d’art contemporain d’El Achour – Conférence: « Présence algérienne dans les biennales »

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 13:56

Toujours dans le cadre de l’exposition «7 Houmate» de l’artiste plasticien Karim Sergoua, l’Espaco vous convie à la conférence «Présence algérienne dans les biennales méditerranéennes de 1989 à 2005» (Marseille, Valence, Turin, Rome, Bari, Sarajevo, Lisbonne, Athènes, Barcelone, Milan, Skopio, Paris, Helsinki…).

Cette présence a été possible grâce au travail de l’association algérienne «Association internationale de la biennale de Tipasa» qui a deux objectifs, la protection du patrimoine archéologique et promotion des jeunes créateurs algériens. L’Association est présidée par Ahmed Bedjaoui. La conférence se tiendra le samedi 5 janvier 2019 à 14h00, à Espace d’art contemporain Espaco, Résidence CMB, 196 Oued Terfa, El Achour, Alger – Algérie.

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A propos du 3 eme mandat. Déclaration de l'opposition dialoguiste

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 12/31/2018 - 13:51
BOD - La scène politique mauritanienne est depuis une semaine le théâtre d'«initiatives» demandant au Président de la République, Mohamed...
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Alger: Exposition de la voiture de Houari Boumediène pour la première fois

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 13:49

La voiture personnelle de Houari Boumediène a été exposée hier, aux Sablettes (Alger).

Hier, une exposition d’une variété de voitures anciennes et de vélos de police, a été organisé par la Direction Générale de la Sûreté nationale, aux Sablettes d’Alger.

De nombreux visiteurs ont été surpris de voir le véhicule du défunt Houari Boumediène, à quelques jours de la commémoration de son 40 e anniversaire de sa mort 

Ainsi, 40 ans après la mort de Houari Boumediène, la voiture  « est en bon état » ! se réjouit un visiteur.

Elle a d’ailleurs attiré l’attention de nombreux Algériens de passage.

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Cheikh Ould Baya : Le Tweet de Samoury Ould Bey est stupide. Ce type de crime doit etre sanctionné

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 12/31/2018 - 13:12
Adrar Info - Le président de l’Assemblée nationale, Cheikh Ould Baya a commenté le tweet du syndicaliste Samoury Ould Bey, qui a suscité un...
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Les événements marquants de l’année 2018 en Algérie

Algérie 360 - Mon, 12/31/2018 - 13:00

L’année 2018 a été marquée par de nombreux événements en Algérie, Algérie 360 a sélectionné pour vous les événements les plus marquants de cette année.

  • Le crash de l’avion militaire à BlidaUn avion de l’Armée Nationale Populaire (ANP) s’est écrasé le mercredi 11 avril, à 8 heures du matin près de l’aéroport militaire de Boufarik. Un terrible accident qui a causé 257 victimes.
  • Décès de l’animateur de la radio  Yazid Ait Hamadouche: Hamadouche Yazid est décédé le 28 août à l’hôpital de Kouba, suite à une intervention chirurgicale.
  • L’apparition de l’épidémie de choléra: Plusieurs cas ont été signalés à Blida, l’épidémie s’est propagée par la suite vers la wilaya Tipaza, pour disparaître en septembre. Elle aurait causé deux décès, à Blida.
  • Les projets Cevital bloqués:  Durant cette année les projets du propriétaire du groupe familial Cevital, Isaad Rebrab ont subi de nombreux blocages, et principalement celui de son projet de trituration de graines oléagineuses à Bejaia.
  • Arrestation de plusieurs célébrités algériennes :Le comédien Kamel Bouakaz, le journaliste Adlane Mellah, l’ex-footballeur Fodil Dob et Houari Boukhors le frère du cybermilitant Amir DZ ainsi que le chanteur Reda city 16 ont été accusés dans une affaire de chantage et d’extorsion de fonds.
  • Saisie de 701 kg de cocaïne au port d’Oran: L’affaire « El Boucher » a bien marqué l’année 2018, engendrant de nombreux limogeages, et des révélations chocs.
  • Le départ de Ould Abbes: Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbes, a démissionné de son poste suite à une crise cardiaque. La gestion des affaires courantes a été confiée à une direction collégiale, dirigée par le président de l’APN Mouad Bouchareb.
  • Décès du célèbre chanteur algérien Rachid Taha: Rachid Taha est décès le 12 septembre, suite à un arrêt cardiaque.
  • Transfert illicite de devises:  De nombreuses tentatives de transfert illicite de devises ont été mises en échec par les services de police algérienne. Au total des centaines de milliers d’Euros.
  • Le phénomène des harragas: L’émigration clandestine ne cesse d’augmenter en Algérie. En effet durant l’année 2018, de nombreux algériens ont risqué leur vie en mer, et ce pour la quête d’un avenir meilleur ailleurs.
  • La béatification des 19 moines de Tibhirine: Le 8 décembre 2018 a été choisi pour célébrer à Oran la béatification de 19 martyrs, 19 religieux et religieuses assassinés dans les années 1990, décennie noire pour l’Algérie.

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Le Bloc de l'opposition dialoguiste (BOD) communique

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 12/31/2018 - 12:53
BOD - Après avoir répondu à l'invitation du nouveau Ministre Secrétaire Général de la Présidence consacrée aux prises de contacts et la...
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EXCLU ! Lalya Sidibé à RimSport.net : "J’espère (…) avoir l’opportunité de jouer au sein de l’équipe nationale féminine"

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 12/31/2018 - 12:09
Rimsport - Le terrain de l’ISJS a retrouvé, samedi 29 décembre 2018, l’ambiance des chaudes nuits, lors d’un cérémonial sobre mais...
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