Le médecin Angèle Azon Kouanou, spécialiste en médecine interne, a rejoint les autres membres de l'équipe médicale devant examiner l'état de santé des candidats à l'élection présidentielle de 2026. Elle a prêté serment ce lundi 03 novembre 2025.
Dans le cadre de la présidentielle de 2026 au Bénin, l'équipe médicale chargée d'examiner l'aptitude physique et mentale des duos de candidats est au grand complet. Le troisième membre, le médecin Angèle Azon Kouanou a prêté serment ce lundi 03 novembre. Elle rejoint ainsi les professeurs Francis Tognon Tchegnonsi (psychiatre) et Léopold Houétondji Codjo (cardiologue) qui avaient prêté serment le 17 octobre dernier.
F. A. A.
L'Association du transport aérien international (IATA) a publié ses données sur les marchés mondiaux de fret aérien en septembre 2025.
« La demande dans le secteur du fret aérien a augmenté de 2,9 % en septembre, en glissement annuel, ce qui représente un septième mois d'affilée de croissance globale. Dans cette croissance se cache néanmoins une dégradation importante des modèles commerciaux, alors que les politiques tarifaires américaines, y compris la fin des exemptions de minimis, se font sentir », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l'IATA.
D'un côté de l'équation, poursuit-il, on constate un déclin du trafic Amérique du Nord–Asie depuis les cinq derniers mois. « Mais cela a été plus que contrebalancé par la forte croissance intra-asiatique et sur les routes reliant l'Asie à l'Europe, à l'Afrique et au Moyen-Orient. Alors que plusieurs craignaient un déclin du commerce mondial, nous constatons plutôt que le fret aérien s'adapte bien à l'évolution de la demande du marché », informe le directeur général de l'IATA.
Plusieurs facteurs liés à l'environnement opérationnel méritent d'être mentionnés :
– Le commerce mondial de biens a augmenté de 3,7 % en août, en glissement annuel.
– Les prix du carburéacteur ont augmenté de 5,4 % en septembre, malgré la baisse des prix du pétrole, en raison du resserrement du marché du diesel, où la marge de craquage a doublé, d'une année sur l'autre.
– Le sentiment sur la fabrication mondiale s'est renforcé en septembre, alors que l'indice PMI a monté pour un deuxième mois d'affilée, atteignant 51,3. La composante des nouvelles commandes d'exportation s'est améliorée légèrement, à 49,6, mais est demeurée sous la barre de 50, qui représente le seuil d'expansion, ce qui reflète la prudence dans le contexte de l'incertitude tarifaire.
Résultats régionaux en septembre
Les transporteurs d'Asie-Pacifique ont enregistré une croissance de la demande de fret de 6,8 % en septembre, en glissement annuel. La capacité était en hausse de 4,8 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique du Nord ont vu la demande de transport de fret diminuer de 1,2 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a diminué de 1,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Europe signalent une augmentation de la demande de 2,5 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 4,4 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs du Moyen-Orient ont enregistré une augmentation de la demande de 0,6 % en septembre, en glissement annuel. La capacité a augmenté de 5,5 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Amérique latine ont vu la demande de transport de fret diminuer de 2,2 % en septembre, en glissement annuel. C'est le résultat le moins bon parmi les régions. La capacité a augmenté de 3,1 % d'une année sur l'autre.
Les transporteurs d'Afrique affichent une croissance de 14,7 % en septembre, en glissement annuel. C'est la plus forte croissance parmi toutes les régions. La capacité a augmenté de 7,4 % d'une année sur l'autre.
Croissance du commerce
Les volumes de fret aérien ont augmenté en septembre 2025 dans la plupart des grands corridors commerciaux. Les corridors Europe–Asie et intra-asiatique affichent une robuste croissance dans les deux chiffres, tandis que les corridors Moyen-Orient–Asie, Amérique du Nord–Europe et Afrique–Asie ont connu des gains notables. Par contraste, les corridors Asie–Amérique du Nord, Moyen Orient–Europe et intra-européen affichent des déclins.
Le Centre hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou dispose d'un deuxième scanner de 64/128 coupes. Cet équipement important de prise en charge de patients a été inauguré la semaine écoulée par le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin, en présence de la ministre conseillère à la santé, Claudine Prudencio, du préfet du Littoral, Alain Oroula et du maire Luc Atrokpo.
Un deuxième scanner de 64/128 coupes renforce désormais les capacités opérationnelles du CNHU-HKM. Cet équipement ultra moderne de dernière génération acquis pour une meilleure prise en charge des malades, est doté d'intelligence artificielle avec option cardiologique. Il allie finesse, précision du diagnostic et une rapidité inégalée des résultats.
Selon le directeur général par intérim de l'Agence nationale de la maintenance hospitalière, le scanner mis en service est également doté d'algorithmes spécifiques pour la réalisation avec précision d'examens neurologiques, thoraciques, abdominaux, oncologiques et ostéoarticulaires. Il dispose de l'option cardiologique qui permet de réaliser des coronarographies de haute précision et d'effectuer des diagnostics cardiologiques à très faible dose avec une résolution temporelle et spatiale exceptionnelle.
« L'installation de cet équipement en ces lieux, vient pour conjuguer définitivement au passé, les longs délais de rendez-vous mais également et surtout, les risques de rupture de la continuité des services liés aux pannes qui pourraient survenir sur le seul appareil qui existait », a déclaré le ministre de la santé. Son acquisition a-t-il poursuivi, garantit la célérité dans la réalisation des examens et relève d'un progrès majeur en matière de respect des standards. « Il est nécessaire d'avoir dans les hôpitaux, des équipements en miroir pour que lorsque l'un tombe en panne l'autre puisse automatiquement prendre le relais », a fait savoir le ministre de la santé. L'objectif étant de rendre les résultats des examens de radiologie en 24 heures au plus selon les recommandations du gouvernement.
Le CNHU-HKM s'était doté d'un scanner de 64 barrettes en 2022 et l'IRM (1,5 tesla) en 2020. La mise en service de ce 2e scanner vient renforcer les capacités de l'hôpital et permet d'offrir une prise en charge optimale aux patients.
F. A. A.
La commune d'Abomey-Calavi abrite un laboratoire National de Contrôle de Qualité des produits de santé et de l'eau.
Le Bénin dispose désormais d'un laboratoire national ultramoderne à Abomey-Calavi pour mieux assurer la sécurité sanitaire du pays. « Le gouvernement a fait l'option, il y a de cela 5 ans, de dédier un laboratoire exclusivement au contrôle de qualité des produits de santé notamment les médicaments, les dispositifs médicaux, les compléments alimentaires et évidemment les produits cosmétiques », a affirmé le ministre de la Santé, Benjamin Hounkpatin. Ce laboratoire permettra aussi le contrôle de la qualité de l'eau. Les travaux de ce laboratoire conforme aux normes internationales sont achevés à plus de 99 %.
« Nous avons déclenché depuis plusieurs années, une lutte acharnée contre les produits de santé notamment les médicaments falsifiés. C'est l'un des compartiments indispensables pour que cette politique que nous avons commencée, puisse aller à son terme », a ajouté le ministre de la Santé.
Selon Prof Achille Yemoa, directeur général de l'Agence nationale de Contrôle de Qualité des produits de santé et de l'eau (ANCQ), après la réception provisoire, il sera procédé à l'aménagement des locaux, à l'installation des équipements ainsi qu'à la formation du personnel technique. « La mise en service complète est prévue pour janvier 2026 avec les premiers contrôles sur les produits de santé et l'eau », a indiqué Prof Achille Yemoa.
A.A.A
L’alliance entre les Verts et le Parti travailliste a désigné Jesse Klaver, membre de la Chambre des représentants, pour diriger les négociations en vue de la formation du prochain gouvernement. Il succède à Frans Timmermans, qui a démissionné la semaine dernière à la suite du revers électoral subi aux élections du 29 octobre.
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Systematisches Nachdenken darüber, wie ein »kalter« militärischer Wettbewerb (peacetime military competition) zum eigenen Vorteil gestaltet werden kann, ist im deutschen Regierungsapparat nicht institutionalisiert. Auch deshalb ist es in Deutschland unterentwickelt. Mit Russland befindet sich Deutschland aber in einem solchen Wettbewerb, und das dürfte so bleiben. In den USA wurden auf der Suche nach Ansätzen, um militärische Kräfteverhältnisse zulasten von Gegnern zu ändern, seit den 1970er Jahren sogenannte »Net Assessments« einflussreich: Analysen, die vielfältige Erkenntnisse einbeziehen – von historischen Traumata über industrielle Engpässe bis zu bürokratischen Dysfunktionalitäten – und die darauf abzielen, Schwachstellen des Gegners im militärischen Wettbewerb zu ermitteln. Damit zeigen sie Wege auf, wie diese Schwächen ausgenutzt werden können. Für Deutschlands strategische Aufstellung gegenüber Russland scheint Net Assessment ein vielversprechendes Instrument zu sein.
Written by Pieter Baert.
As many women and girls continue to face barriers in accessing affordable menstrual products, menstrual poverty remains a significant socioeconomic issue. To combat it, the EU Value Added Tax (VAT) Directive now allows Member States to apply reduced or zero VAT rates to sanitary products. On 4 November 2025, the European Parliament’s Subcommittee on Tax Matters (FISC) will hold a public hearing on this issue in light of the Parliament’s Gender Equality Week.
VAT rates on feminine hygiene productsOver the years, the tax cost of menstrual products has been a topic of growing public debate. Since these products are used exclusively by women, the issue has drawn attention for its gendered economic impact. Advocates of lowering or removing VAT on menstrual products argue that the tax places an unfair, systematic financial burden on women, and contributes to menstrual poverty. Unlike other consumer products, these goods are considered a biological necessity rather than a matter of choice.
In April 2022, a revision of the EU VAT Directive introduced greater flexibility for Member States to reduce VAT rates on female sanitary products. This change allowed Member States to lower the VAT rate to as little as 0 %, compared with the previous minimum rate of 5 % (Annex III, paragraph 3). The European Parliament urged Member States to take advantage of this increased flexibility. However, while several Member States have since reduced their VAT rates on such goods, levels remain divergent.
VAT rate on tampons (EU, July 2025)Tax policy experts are generally cautious about VAT rate reductions, citing the likelihood for suppliers to bypass these reductions by increasing their profit margins instead. However, a recent study by academics from the Vienna University of Economics and Business, which looked at VAT rate cuts on menstrual products in Belgium, Germany, France and Austria, found that the tax reduction had been fully passed on to consumers over time. Moreover, low-income households had increased their purchase volume of menstrual products, highlighting the potential of such reforms to improve access for disadvantaged groups. Another recent study examining Germany’s 2020 VAT rate reduction on female hygiene products found that the tax cut was fully passed on to consumers, suggesting a perfectly inelastic demand. The VAT rate cut was estimated to have cost Germany 0.02 % of VAT revenue.
While reducing VAT rates can be one approach to making female hygiene products more affordable, some Member States and local governments have chosen to provide these goods for free in schools, public restrooms and other public spaces.
Gender-based price discriminationA related phenomenon is that of gender-based price discrimination. Although not an explicit tax issue as such, this refers to the situation where women sometimes incur extra costs for products and services marketed to them compared with similar items for men, with the products differing often only in superficial aspects, such as colour, name or description. Common examples include shampoo, razors and hairdressing services. While no comprehensive EU-wide research has been conducted to assess the prevalence of such practices, a study by the German Federal Anti-Discrimination Agency examined over 1 500 products in Germany and found that female variants were priced higher in 2.3 % of cases, while male variants were more expensive in 1.4 % of cases.
EU Directive 2004/113 already prohibits discrimination in access to goods and services based on gender. In 2023, in an answer to a parliamentary question, the European Commission said it had no plans at the time to introduce additional measures in that directive to address gender price discrimination.
Read this ‘at a glance note’ on ‘VAT policy and menstrual poverty in the EU‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
Les taxes appliquées à l’électricité, comparables à celles prélevées sur le tabac ou l’alcool, empêchent l’Europe de sortir durablement de la crise énergétique.
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« Innaa lillahi wa innaa ilayhi raaji'uun »
(Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons)
La grande famille BAKOUAN à Didyr (GUIWOLY),
Le patriarche Mahamoudou BAKOUAN et frères Salam, El Hadj Séni, El hadj Moctar, Issoufou à Didyr, Yayé Joseph à Ouagaduou,
Les fils El hadji Moussa, Issa, Zackaria, Hamzata, Sadikou à Ouagadougou, Ibrahim en République de Côte d'Ivoire, Mounir à Kirsi, Mohamed, Salihina à Didyr, Bachirou à Nandiala, les petits enfants Abdel Rachid, Tarif à Ouagadougou, Farid au Canada, tous les enfants de GUIWOLY au Burkina et ailleurs ont la très profonde douleur de vous annoncer le rappel à Allah de leur frère, père et grand père El Hadj Boukary BAKOUAN le dimanche 2 novembre 2025 à midi à l'âge de 81 ans.
L'inhumation suivi du douah est prévue pour le lundi 3 novembre 2025 à 9 H 30 au domicile du défunt
Que les âmes des défunts reposent en paix.
Une nouvelle ère s'ouvre pour le monde des affaires et de la tech en Afrique avec le lancement de Ewaji.com.
Ewaji est une plateforme d'avis clients robuste dédiée à renforcer la transparence, la crédibilité et la confiance entre les entreprises et leurs clients en Afrique. Dans un marché où la confiance influence plus de 70 % des décisions d'achat, la transparence devient un enjeu stratégique pour toutes les entreprises.
Pensé pour un écosystème entrepreneurial moderne, Ewaji.com contribue à faire briller en visibilité les entreprises en comptant sur les expériences clients partagées sous forme d'avis avec d'autres consommateurs sur sa plateforme. Au final, la note attribuée à l'entreprise sert à augmenter l'indice de confiance de celle-ci pour une relation équilibrée entre la marque et le consommateur.
Ewaji.com offre ainsi un espace fiable permettant aux consommateurs de partager leurs expériences, et aux entreprises de valoriser la satisfaction de leur clientèle.
Une plateforme pensée pour la transparence
Ewaji.com permet aux clients de publier des avis authentiques sur les services ou produits qu'ils ont utilisés ;
aux entreprises de collecter, afficher et gérer les retours de leurs clients ; et de renforcer la réputation en ligne grâce à un système d'évaluation clair et transparent.
Un outil puissant pour les entreprises africaines
Ewaji.com se positionne comme un véritable levier de croissance pour les commerces, petites et moyennes entreprises La plateforme aide les marques à prouver leur fiabilité auprès de nouveaux clients, améliorer leur service grâce aux retours collectés, augmenter leurs conversions grâce à la preuve sociale et se distinguer dans un marché de plus en plus digitalisé.
« Ewaji.com a été conçu pour aider les entreprises africaines à gagner la confiance des consommateurs tout en donnant une voix aux clients. La transparence est un élément clé dans le commerce moderne, et Ewaji.com apporte cette confiance au cœur des transactions », affirme un utilisateur de la plateforme.
Grâce à Ewaji.com, les marques bénéficient d'un avantage compétitif immédiat : plus de visibilité, plus de crédibilité, plus de clients.
À propos de Ewaji.com
Ewaji.com est une plateforme indépendante d'avis clients dédiée au marché africain. Elle permet aux consommateurs de partager leurs expériences en toute transparence et aux entreprises de développer leur réputation grâce à des avis vérifiés et publics. Ewaji.com ambitionne de devenir la référence de la confiance numérique en Afrique.
Sally Ncube, Equality Now, addresses the Standing Committee of the SADC Parliamentary Forum (SADC PF). Credit: Equality Now
By Cecilia Russell
JOHANNESBURG, Nov 3 2025 (IPS)
Closing the chapter on child marriages is still a distant ambition in the Southern African Development Community (SADC) region, and despite great strides at developing and passing legislation to eradicate it, existing and emerging drivers are still at play, making youngsters vulnerable to the practice.
These were key messages from Equality Now at the Standing Committee Session of the SADC Parliamentary Forum (SADC-PF) held in Kempton Park, South Africa, from October 24 to November 1, with the theme of Enhancing the Role of Parliamentarians in Advocating for the Signing, Ratification, Accession, Domestication, and Implementation of SADC Protocols.
Equality Now, in partnership with SADC-PF, launched two policy briefs—Protection measures for children already in marriage in Eastern and Southern Africa and Addressing emerging drivers of child marriages in Eastern and Southern Africa—for Parliamentarians’ consideration during a session aimed at sensitizing and increasing their knowledge on child marriage legislation and trends.
SADC countries adopted the Model Law on Eradicating Child Marriage and Protecting Children in Marriage in 2016; however, its domestication is uneven, children already in marriages need protection, and emergent drivers of child marriage need to be factored into the legal frameworks and policies.
Equality Now’s Divya Srinivasan addresses the Standing Committee of the SADC Parliamentary Forum (SADC PF). Credit: Equality Now
Equality Now’s Divya Srinivasan elaborated on the context of the domestication of the SADC model law on child marriage, noting that seven out of 16 countries (or about 45 percent) set the minimum age of 18 without exceptions. Five out of the 16 SADC countries set the age of 18 with some exceptions, with, for example, Botswana specifically excluding customary and religious marriages from the protection.
“Four countries, or around 25 percent, including Eswatini, Lesotho, South Africa, and Tanzania, provide for the minimum age of between 15 and 18. In these countries, the minimum age of marriage is different for boys and girls, with boys invariably having a higher age limit. In addition to these differences, all four countries allow for traditional and parental consent to lower the age of marriage,” Srinivasan noted.
Bevis Kapaso from Plan International said that since 2016, child marriage has dropped by 5 percentage points, going from 40 percent of all marriages to 35 percent in 2025, making it unlikely that the region will achieve SDG target 5.3, which aims to “eliminate all harmful practices, such as child marriage, early and forced marriage, and female genital mutilation” by 2030.
Most concerning was that the decrease was mainly urban, with the practice remaining fairly entrenched in rural areas.
This meant that children in marriages should be protected, and parliamentarians sensitized the drivers that were halting progress toward ending the practice.
Lawmakers should strive to ensure that married children have the right to void their marriages, retain their rights, access the property acquired during marriage, and not have their citizenship revoked, said Nkatha Murungi, an Equality Now Consultant.
“Children (in these circumstances) often end up stateless,” she said. While child marriage was a “symptom and a driver of entrenched inequality, poverty, and rights violations,” parliamentarians had a role to play in ensuring immediate, targeted measures to protect and empower children already in marriage, including the right to custody of their offspring and access to sexual and reproductive services.
Nkatha Murungi, an Equality Now Consultant, addresses the Standing Committee of the SADC Parliamentary Forum (SADC PF). Credit: Equality Now
Murungi suggested that lawmakers should also become aware of emerging issues, such as climate change. She said that after the 2019 floods in Malawi, which affected more than 868,900 people and displaced 86,980 individuals, child marriage spiked. Parliamentarians, according to Equality Now, should integrate child marriage prevention into national climate change adaptation and disaster risk management strategies.
It also suggested a gender-sensitive approach to economic empowerment by “supporting climate-resilient economic opportunities and programs for women and girls in affected communities.”
Other concerning emergent and persistent drivers include conflict and insecurity and increased migration and displacement, which often remove children from protective oversight while persistent poverty and inequality drive children into marriage.
The policy brief also warned about the rapid growth of technology, which, “while enabling advocacy and awareness, also facilitates misinformation that normalizes harmful practices, including child marriage.”
Sylvia Elizabeth Lucas, a South African parliamentarian and Vice President of the SADC parliamentary forum, on the sidelines of the meeting, stated that protecting children is non-negotiable; she emphasized that practical legislation and implementation, guided by the “spirit of ubuntu” (compassion and humanity), can effectively protect girl children.
On the sidelines of the meeting, Murungi elaborated that it was important to look at why the traditional approaches were not resulting in the ending of child marriages. Poverty has always been considered a driver, but traditional efforts to end child marriage have not benefited those living in poverty. Education was key to empowerment, not only for keeping children in school and out of marriage but also for giving them options for their futures.
The forum was reminded that it was imperative that the SADC Model Law be updated in their countries to reflect some of these emerging drivers.
“It is also necessary for Parliament and the Executive at the national level to work together to promote anti-child marriage policies and laws and ensure that targeted policy responses fill all prevailing gaps,” the policy brief on emergent drivers concluded.
IPS UN Bureau Report
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Le Programme des nations unies pour le développement (PNUD) et l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), sous la tutelle du ministère de l'Administration territoriale et de la mobilité, ont tenu le huitième et dernier cadre de concertation du projet « Prévention et gestion des conflits (PREGEC) dans la région du Goulmou » les 29 et 30 octobre 2024 à Fada N'Gourma.
Mis en œuvre depuis décembre 2020 dans les communes de Fada N'Gourma, Diapangou, Diabo, Piéla et Bilanga, l'objectif du projet de Prévention et de gestion des conflits dans la région de l'Est (PREGEC) est de réduire les risques de conflits et de renforcer le processus de cohésion sociale inclusive des groupes les plus à risque dans la région.
Ce moment d'introspection sur les actions menées dans le cadre du projet est l'occasion pour les acteurs impliqués et les bénéficiaires de faire le bilan de la mise en œuvre du projet, qui arrive à son terme, tout en invitant à pérenniser les acquis du PREGEC.
Le secrétaire général de la région du Goulmou, Siaka OuattaraÀ l'ouverture de la session, le secrétaire général de la région du Goulmou, Siaka Ouattara, a souligné que les actions du projet sont visibles dans la région. « Nous disons merci au PNUD et à ses partenaires pour la mise en œuvre du projet dans notre région. Nous travaillerons à pérenniser les acquis », a-t-il rassuré.
Une visite sur le terrain a permis de constater certaines réalisations dans la ville de Fada. Le centre d'écoute et de documentation de la direction régionale en charge des droits humains est équipé de 50 chaises et de 2 ordinateurs de bureau. De plus, un magasin de stockage d'aliments pour bétail d'une capacité de 25 tonnes a été construit au secteur 2, ainsi qu'un site maraîcher d'une superficie d'un hectare (1ha) dans l'enceinte de l'INERA Fada, exploité par 30 personnes, dont 20 déplacés internes, entre autres.
Magasin de stockage d'aliments pour bétailsSelon les bénéficiaires du projet, ces réalisations ont contribué à changer des vies. « Maintenant, nous produisons dans ce site maraîcher et tout est à notre disposition pour le travail. J'étais assis sans rien faire. Grâce au projet, j'ai du travail et les jours à venir sont prometteurs », confie Soudouem Ouango.
Soudouem Ouango, bénéficiaire du projetDame Barkissa Barry, déplacée interne, souligne l'importance de l'accompagnement du projet : « J'ai reçu 6 petits ruminants et leur aliment. Je promets de travailler pour agrandir mon cheptel », rassure-t-elle.
Barkissa Barry, bénéficiaire du projetPour le coordonnateur par intérim du PREGEC, Thierry Zango, le projet a contribué à réduire les conflits liés au foncier et à la gestion des ressources naturelles, tout en renforçant les moyens d'existence des communautés par la réalisation de sites maraîchers, de biodigesteurs et de forages. Un accompagnement sur le mécanisme de prévention et de gestion des conflits a également été mis en place. « Nous avons accompagné la région à se doter d'une stratégie régionale de cohésion sociale et de consolidation de la paix, permettant à tous les acteurs d'intervenir dans ce domaine selon les orientations définies. Nous demandons aux bénéficiaires d'en faire bon usage dans l'esprit du projet, afin de renforcer la cohésion sociale entre les personnes déplacées et la communauté hôte. Que les directions prennent la relève pour assurer la durabilité et la pérennité des investissements du projet », a-t-il souhaité.
Site maraîcherLe projet PREGEC est mis en œuvre dans la région par le consortium PNUD, FAO, avec des partenaires comme OCADES Fada, Tin Tua, le RECOPA et INTERPEACE, sous le financement du Fonds de consolidation de la paix du secrétaire général des nations unies.
L. Youmandja
Lefaso.net