Le prix Nobel de la Paix implique la reconnaissance sociale de modèles
d'engagement pour la paix par des hommes et des femmes de toutes
catégories hiérarchiques, sociales, culturelles ou religieuses. La liste des
lauréats témoigne en effet d'une grande diversité de profils. Pourtant, un
regard sociologique sur les mécanismes de reconnaissance engagés nous
amène à nous interroger. Les questions soulevées par les modes d'attribution
du prix ont déjà motivé de nombreuses publications, en Science politique
et Relations internationales notamment. En revanche, peu d'études
se sont penchées sur la reconnaissance sociale des lauréats. On peut se
demander par exemple s'ils ont tous pareillement retenu l'attention, dans
quel cadre et pourquoi ? Nous tâcherons donc d'examiner divers indices de
reconnaissance sociale, en nous intéressant à la littérature produite par les
institutions internationales, par le monde scientifique et par les médias.
Au-delà d'une quelconque mesure de la portée théorique du prix Nobel de la Paix, il s'agira surtout d'analyser les mécanismes socio-anthropologiques
de la reconnaissance des figures primées.
Le prix Nobel de la Paix implique la reconnaissance sociale de modèles
d'engagement pour la paix par des hommes et des femmes de toutes
catégories hiérarchiques, sociales, culturelles ou religieuses. La liste des
lauréats témoigne en effet d'une grande diversité de profils. Pourtant, un
regard sociologique sur les mécanismes de reconnaissance engagés nous
amène à nous interroger. Les questions soulevées par les modes d'attribution
du prix ont déjà motivé de nombreuses publications, en Science politique
et Relations internationales notamment. En revanche, peu d'études
se sont penchées sur la reconnaissance sociale des lauréats. On peut se
demander par exemple s'ils ont tous pareillement retenu l'attention, dans
quel cadre et pourquoi ? Nous tâcherons donc d'examiner divers indices de
reconnaissance sociale, en nous intéressant à la littérature produite par les
institutions internationales, par le monde scientifique et par les médias.
Au-delà d'une quelconque mesure de la portée théorique du prix Nobel de la Paix, il s'agira surtout d'analyser les mécanismes socio-anthropologiques
de la reconnaissance des figures primées.
L'ONU a célébré en 2015 son soixante-dixième anniversaire. C'est
l'occasion de se pencher sur son organe principal dans le domaine de la
paix et de la sécurité internationales, le Conseil de sécurité. Quelle est la
centralité du Conseil aujourd'hui, dans le système international créé par
la Charte, par rapport aux autres organes de l'Organisation ? Quel est son
rôle face aux défis du XXIe siècle tels que le terrorisme ou les menaces
transnationales ? Comment analyser son fonctionnement dans l'imposition
de sanctions, dans la mise en place d'opérations de maintien de la paix et
face à la justice internationale ? Au plan politique, son efficacité dépend
avant tout de la bonne coopération entre ses membres permanents. La
résolution des crises en Syrie et en Libye en dépendra.
L'ONU a célébré en 2015 son soixante-dixième anniversaire. C'est
l'occasion de se pencher sur son organe principal dans le domaine de la
paix et de la sécurité internationales, le Conseil de sécurité. Quelle est la
centralité du Conseil aujourd'hui, dans le système international créé par
la Charte, par rapport aux autres organes de l'Organisation ? Quel est son
rôle face aux défis du XXIe siècle tels que le terrorisme ou les menaces
transnationales ? Comment analyser son fonctionnement dans l'imposition
de sanctions, dans la mise en place d'opérations de maintien de la paix et
face à la justice internationale ? Au plan politique, son efficacité dépend
avant tout de la bonne coopération entre ses membres permanents. La
résolution des crises en Syrie et en Libye en dépendra.
Le blog sur les enjeux de l'humain augmenté.
A suivre sur www.anthropotechnie.com
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La souscription à un crédit est un engagement à court, moyen ou long terme. En signant un contrat avec une banque ou un organisme financier, vous avez l’obligation de rembourser le montant du prêt avec les intérêts. Bien entendu, le crédit en ligne présente certains avantages conséquents.
Vous profitez déjà d’une simplification des démarches à suivre. Vous avez aussi la possibilité de négocier les termes du contrat si nécessaire. Quant aux frais de dossier, ils sont relativement beaucoup plus intéressants par rapport aux demandes de prêt classiques.
Le crédit auto pour tousLe crédit auto en ligne s’adresse à tous ceux qui ont atteint leur majorité. Cette démarche leur permet de financer en partie ou en totalité l’achat d’un véhicule, neuf ou d’occasion. Le montant accordé dépend des clauses du contrat. Il est donc important de bien en discuter avec le gestionnaire de compte avant de signer. Chaque projet est ainsi étudié au cas par cas en fonction des capacités de remboursement de la personne ou du délai de remboursement.
Le crédit auto en ligne, plusieurs modalités de remboursementEn optant pour une souscription de crédit en ligne, l’emprunteur peut moduler les remboursements. En effet, il lui est possible de décaler la première échéance d’une durée de deux mois tout au plus. Cette flexibilité est très pratique pour ceux qui font face à des dépenses imprévues.
Concrètement, si le premier règlement doit se faire au mois de juin, l’emprunteur peut commencer à rembourser au mois de juillet ou août. Dans le cas où les difficultés financières persistent, il a le droit de suspendre momentanément le remboursement du prêt. Par conséquent, il s’engage à payer toutes les mensualités en une seule fois quand le prêt prend fin. Il ne faut pas abuser de cette faveur, car elle n’est accordée qu’une fois par an.
Le crédit auto associé à des assurances complémentairesGénéralement, un crédit auto est automatiquement associé à une assurance complémentaire. Le souscripteur a le choix entre différentes formules en fonction de ses besoins. L’assurance emprunteur ou Co-emprunteur évite aux proches de rembourser le prêt en cas de décès.
Il existe aussi une option intéressante pour prévenir les cas de panne. Quel que soit le type de panne, toutes les interventions sont à la charge de la compagnie d’assurance. Dans le cas où l’immobilisation du véhicule dépasse les 2 jours, le souscripteur profite même d’un véhicule de rechange.
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On June 29, IPI launched a new book by Philip Remler entitled Chained to the Caucasus: Peacemaking in Karabakh. The book recounts twenty-five years of (mostly failed) diplomatic attempts to broker peace between Armenia and Azerbaijan over the contested region of Nagorno-Karabakh.
At a roundtable discussion at IPI’s Vienna office, Mr. Remler (a retired US diplomat who served with the State Department and the Organization for Security and Cooperation in Europe) described how leaders on both sides have pursued a policy of “total victory.” As a result, compromise is very difficult. Even when the presidents of the two countries have managed to come to agreement on key areas of a settlement, the promise of “total victory” makes compromise look like failure or betrayal. This has cost some Armenian politicians their jobs, and even their lives.
As a result, said Mr. Remler, the leaders of Armenia and Azerbaijan must believe that they personally will survive an agreement. This requires “political cover” from the international community. It also involves preparing the people for peace. As Mr. Remler writes, “for any peace deal to work, the parties’ leaders must be able to show suspicious populaces that the gains are worth the concessions.” There must be a credible peace dividend.
He recalled past attempts at peace, and noted that the building blocks of a settlement exist. However, he stressed that both parties share an expectation that peace is not likely in the near future, and adapt accordingly. With this perspective, politicians use negotiations as “an arena for scoring points, impressing patrons, and posturing to build a political career” rather than seeking peace.
Participants stressed the urgency for intensified mediation in the aftermath of a deadly flare-up in violence between Armenia and Azerbaijan in April this year–the worst violence since a cease-fire was declared in May 1994. They also discussed initiatives stemming from recent high-level meetings between Presidents Aliyev and Sagsyan in Vienna and St. Petersburg designed to de-escalate tensions along the Line of Contact, as well as the impact of these meetings on the negotiation process led by the co-chairs of the OSCE Minsk Group. Mention was also made of proposals to increase the number of international monitors.
The issue was also looked at in the context of wider geopolitical tensions and developments in the region. Among the discussants was Ambassador Herbert Salber, the European Union Special Representative for the South Caucasus and the crisis in Georgia, and Dennis Sammut, director of LINKS.