Viktor Orbán l’a réaffirmé lundi devant les députés hongrois : la Hongrie n’a pas l’intention de quitter l’Union européenne, mais de la transformer : «Nous ne voulons pas la quitter, mais nous voulons remédier et améliorer ce que nous avons et ce qui est important pour nous».
Le gouvernement hongrois entend aussi soutenir le projet embryonnaire de création d’une armée européenne, a-t-il affirmé. Dans sa conception, celle-ci serait ne serait pas un outil de puissance extérieure – M. Orbán partageant les positions isolationnistes de Donald Trump – mais serait dédiée à la protection des frontières de l’Europe contre l’immigration illégale.
Une longue partie de son discours a en effet été consacrée au thème de l’immigration et à promouvoir le référendum du 2 octobre s’opposant au plan de répartition de réfugiés défendu par la Commission européenne et plus généralement à la politique migratoire «naïve et dangereuse» de l’Union européenne conduisant, selon lui, à un «désastre civilisationnel».
Le groupe de Visegrád s’érige contre le «dictat» de l’UE
Une nouvelle fois, Viktor Orbán a plaidé pour le concept d’Europe des nations : «les fondations de l’Union européenne sont ses États membres et non les institutions de Bruxelles, c’est donc au niveau des États membres que l’Europe doit être renforcée. Donc, la proposition hongroise à Bratislava sera de revenir à l’idée d’une Europe des nations».
Source : Kormany.hu.
September 15, 2016 (TORIT) - The assembly in Namorunyang, one of South Sudan's new states has re-opened for its second session after a three-month recess.
Majority of lawmakers who spoke at the occasion agitated for institutional reforms.
The assembly speaker, Peter Bosco specifically urged lawmakers to cooperate with line ministries so that a policy statement can drafted as soon as possible.
Government institutions works when there is policy guideline to help them run their activities smoothly with progress in the states institutions, Bosco told the lawmakers.
He specifically appealed to lawmakers to pass resolution allowing the executive to perform.
“There can be no activities done by the executive without resolution passed in the parliament,” he stressed.
Meanwhile the state governor, Louis Lobong Lojore appealed to the country's lawmakers to work hard towards the development of new state by promoting peace and reconciliation.
“Now that we have been given a state of our own, I wholeheartedly want to inform the people of Namorunyang state that you have been given it with its responsibility”, said the governor.
He appreciated the work of humanitarian agencies for supporting vulnerable people with basic needs especially at a time when the young nation was faces a political and economic crisis.
(ST)
Nicolas Sarkozy est issu d’une famille appartenant à la petite noblesse hongroise. Un rang auquel la famille a accédé grâce à un ancêtre paternel le 10 Septembre 1628 pour son rôle dans la lutte contre les armées de l’Empire ottoman. Au 18ème siècle, la famille possédait 285 hectares de terres ainsi qu’un petit château dans le village de Alattyán, proche de Szolnok.
Le père de M. Nicolas Sarkozy était un aristocrate hongrois du nom de Pál István Ernő Sárközy de Nagy-Bócsa, rappelle le site. Il est nécessaire de préciser que Pál est encore en vie et qu’il a d’ailleurs fait plusieurs visites en Hongrie au cours des dernières années. En 2010, le «père de», avait exposé ses peintures à la Galerie Abigail à Budapest. En 2011 la ville de Szolnok, située au centre de la Hongrie, lui avait accordé la citoyenneté d’honneur, tant pour son «œuvre» de peintre que pour avoir embelli la réputation de sa ville natale, où son propre père fut également adjoint au maire. La famille Sárközy a fui la Hongrie pour l’Allemagne lors de l’entrée de l’Armée rouge en 1944, avant de s’établir à Paris.
Mais Hungary Today semble amer quant à la relation qu’entretient Nicolas Sarkozy avec le pays de son père. «Bien que les racines de l’ancien président français sont d’une famille hongroise noble, M. Sarkozy n’est pas fier des ses origines hongroises». Le site revient sur une visite de Nicolas Sarkozy en Hongrie qui remonte à 1994. Il était alors maire de Neuilly et porte-parole du gouvernement d’Édouard Balladur sous François Mitterrand. Lors d’une visite à Bócsa, «le berceau de la famille Sárközy», il aurait purement et simplement oublié derrière lui dans sa chambre d’hôtel le tableau qui lui avait été offert, après l’avoir reçu “avec un grand sourire“. Celle-ci représentait son aristocrate de père. Le site précise toutefois qu’il s’agit d’une rumeur non-vérifiée.
Nicolas Sarkozy en 1994 à Bócsa. (Source : Hungary Today)To receive the Brussels Briefing in your inbox every morning, sign up here
Chaos. That’s the word to watch at today’s summit of European leaders in Bratislava. It is just one rhetorical flourish in the draft post-summit media statement, a promise that Europe will avoid the migration “chaos” of last year. But the dispute over it offers a glimpse into the dynamics of that summit room, and Angela Merkel’s considerable but waning clout in this EU club.
Read more