Szeptember 17-én, szombaton nyílt meg Dr. Jakkel Anna fotókiállítása az esztergomi Főszékesegyházi Kincstár Panorámatermében. A kiállításra látogatók megismerkedhetnek a missziós orvosok munkájával és az AHU tevékenységével. A tárlat október végéig látogatható.
There is nothing else like it on the internet: the unique and growing portfolio of over 300 graphics and articles continuing to present the case every day for Britain to remain in the EU.
I started the Reasons2Remain Facebook Community Campaign on Monday 4 April 2016. With a small team of supporters, for the following 11 weeks, we put forward clear-cut evidence-based facts, arguments and heart-felt opinions on why Britain’s future would be better and brighter staying in the EU.
Of course, it wasn’t enough.
We lost the Referendum, and woke up early on Friday morning of 24 June dismayed and distraught. Brexit had won.
But we haven’t given up.
Today, we continue to present the compelling case for Britain to remain in the EU. We sincerely hope that there may be opportunities in the future for Britain to reconsider the Brexit decision.
Some have called this ‘undemocratic’. On the contrary, it would be undemocratic if the Referendum result meant that over 16 million people who voted for ‘Remain’ simply had to give-up their beliefs and principles.
No. Democracy doesn’t end with one vote. Anything democracy decides, democracy can also undecide if enough people so desire. That’s called ‘democracy in progress’. If that wasn’t the case, nobody would ever have the chance to change their minds.
Yes, we accept the Referendum returned a slim majority for Brexit. But we’re concerned that the campaign for ‘Leave’ made promises that can never be fulfilled.
In time, we believe that the electorate will increasingly realise that they were conned, and that Brexit will be a tragedy for Britain that we should do our very best to avoid.
How could we reconsider Brexit? Only by legitimate, democratic means.
We look to Parliament to carefully assess the Referendum result, bearing in mind that it was only ever meant to be an advisory exercise; that only a very slim majority voted for ‘Leave’, and that the electorate was grotesquely misinformed during the Referendum campaign about the benefits of Brexit.
We hope and push for another Referendum to vote on what type of Brexit we’re going to get, and whether on reflection, it’s what we really want.
And we hope that, whether there’s a General Election as scheduled in May 2020 or sooner, opposition parties will offer us a credible alternative to Brexit, and that the electorate will positively decide that Britain’s future remains in Union with our European allies, rather than snubbing them and ‘going it alone’.
None of our hopes, beliefs and actions can be described as ‘undemocratic’.
Democracy is about persuading others to the merits of one’s beliefs. We sincerely believe that Britain’s future is better served as a modern, prosperous, cosmopolitan member nation of the European Union, playing a full and active part in the running and future direction of our continent.
With other pro-Remain groups, political parties and individuals, using the legitimate power and provisions of democracy, we hope to persuade the nation that Britain should reject Brexit and remain in the EU.
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It’s not undemocratic to challenge #Brexit. My blog explains why: https://t.co/jAJotAVPVJ pic.twitter.com/DjhHoeAb1e
— Jon Danzig (@Jon_Danzig) September 20, 2016
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Der Rat hat den Teil mit länder- und regionenspezifischen Themen des EU-Jahresberichts 2015 über Menschenrechte und Demokratie in der Welt angenommen, der den am 20. Juni 2016 veröffentlichten thematischen Teil des Berichts ergänzt.
Im Jahr 2015 hat die EU weiterhin die Menschenrechte sowie inklusive und demokratische Gesellschaften verteidigt und gefördert. In dem Jahresbericht 2015 werden die Bemühungen der EU dargelegt, über die Hohe Vertreterin Federica Mogherini, den EU-Sonderbeauftragten für Menschenrechte Stavros Lambrinidis und das weltweite Netz der EU-Delegationen die Universalität der Menschenrechte überall auf der Welt zu fördern. Der Abschnitt des Berichts mit länder- und regionenspezifischen Themen enthält einen kurzen Überblick über die Lage der Menschenrechte; ferner wird darin beschrieben, wie die EU die einzelnen Länder vor Ort politisch unterstützt.
« Maintenant il est encore possible de laisser nos enfants aller librement à l’école car ils ne risquent rien. Si les migrants entrent alors nous auront peur pour nos filles, nos femmes et nos familles, car personne ne sera en sécurité ». C’est avec ces paroles qu’Attila Lakatos, voïvode des Roms du comitat de Borsod-Abaúj-Zemplén, dans le nord-est de la Hongrie, a intronisé l’Union des Roms Européens (Európai Romák Egyesülete) samedi dernier.
Le but de cette association – dont les fondateurs ont visiblement bien assimilé la propagande du Fidesz – est de lutter pour les droits des Roms et contre l’installation de migrants, perçue comme une menace par une partie de la communauté. Elle se présente comme une organisation internationale qui a réussi à recruter des membres dans les régions magyarophones de Transylvanie (Roumanie), Voïvodine (Serbie) et de Subcarpatie (Ukraine). Attila Lakatos prétend vouloir recruter des membres en République Tchèque, en Europe de l’ouest ainsi qu’au Canada et aux États-Unis.
Attila Lakatos dit aussi craindre pour les emplois des Roms de Hongrie car « les migrants sont aussi peu éduqués qu’eux et peuvent effectuer le même travail ».
A l’opposé, plusieurs maires d’origine rom ont pris position publiquement contre la position hostile du gouvernement vis-à-vis des réfugiés.
La droite se fait menaçante : en cas de défaite lors du référendum, affirme-t-elle, une partie de l’aide sociale pourrait être redirigée en direction des réfugiés accueillis en Hongrie (Cf. article ci-dessous)
Référendum en Hongrie : le chef des députés en campagne
Sources : 444.hu, Mandiner, Népszabadság.
Crédit photo : Hulala.
La lutte pour le pouvoir opposant Ali Bongo Ondimba à Jean Ping est incontestablement la cause de l'instabilité politique la plus redoutable que le Gabon n'a jamais connu. Mais avoir de près l'affiliation entre ces deux protagonistes, quel intérêt ont-ils à se livrer une bataille aussi violente, si leur premier souci est de voir le Gabon se développer ?
Ils sont tous les deux, de parfaits élèves du père Omar Bongo. Et si le roi Omar Bongo a régné aussi longtemps (près de 42 ans), c'est parce qu'il avait su diriger le Gabon de façon directe.
Ali Bongo, le fils héritier a beaucoup appris auprès de son père autant que Jean Ping son ancien beau-frère qui n'a pas réussi en politique sans l'appui de celui qui fut jadis son ami, ensuite son beau-père. Ping et Bongo (Ali) sont donc de façon incontestable deux élèves de la même école ayant aujourd'hui pour premier souci le développement d'une nation qui leur est commune : Le Gabon.
Même si on refuse aujourd'hui de le croire, et aussi insignifiant que cela puisse paraître, l'affiliation entre Ping et Bongo demeure et restera à jamais. Que ce soit Ali qui dirige le Gabon ou que ce soit Jean l'homme fort du Gabon, cela revient au même. C'est la même classe, pour préserver les mêmes acquis de l'idéologie du père Omar.
L'instabilité postélectorale qu'on observe actuellement au pays du roi Omar Bongo n'est pas de nature à garantir un élan de sursaut patriotique. Bien au contraire elle est hautement sensible et susceptible de faire basculer le pays dans la violence. Une violence inutile nourrit par des querelles intestines qui datent de très longtemps entre deux disciples d'un même prophète.
Si Ali et Jean refusent de se parler, cela ne doit pas les empêcher de préserver la paix et la stabilité qu'ils ont héritées. Au-delà de ses valeurs, ils sont tenus tout au moins de respecter le peuple. Oui ! Ce peuple innocent, qui leur a accordé chacun, une partie suffrage.
Dans le sens normal des choses, pour avoir été pendant plusieurs années des personnalités forgées de main de maîtres par le roi Omar, Ali et Jean doivent se montrer solidaires et complémentaires autour de la gestion du pouvoir d'état. Derrière chacun d'eux se range une importante partie de la population gabonaise, ce que justifient les résultats de la Cenap avec 49,8 % des voix remportées le président sortant, contre 48,2 % pour l'ancien mari de sa sœur. Ce qui veut dire que les deux personnalités ont des potentiels valables que leur reconnait le peuple gabonais.
Le souci permanent de chacun des deux protagonistes étant le développement du Gabon, il est évident que chacun de son côté a forcément quelques choses à apporter pour la construction de la nation commune. La vraie valeur humaine que doit défendre les deux protagonistes, c'est de voir Ali aux côtés de Jean ou Jean aux côtés d'Ali pour une collaboration saine orienter vers la cohésion nationale. Cette cohésion nationale dont a besoin le peuple gabonais, exige la contribution de tous. Nul ne sera de trop.
Si Jean Ping l'emportait, il est tenu de gouverner avec Son frère Ali. Et si la voix des urnes donnait Ali gagnant il est tenu de tendre la main à Jean.
Le capital-investisseur français Wendel annonce mardi un accord en vue d'acquérir Tsebo, le leader panafricain de services aux entreprises, basé à Johannesburg.
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