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Lockheed Martin insults Canadian decision makers in effort to sell the F-35.

Snafu-solomon.blogspot - Mon, 13/06/2016 - 23:47
Check out this article from The Globe and Mail. Mr. Over took particular umbrage with Prime Minister Justin Trudeau’s recent comment that the F-35 “doesn’t work” and is far away from reaching its...

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Kovács: Európa védtelen, de mi tudjuk a megoldást

EU Pályázati Portál - Mon, 13/06/2016 - 23:37
A magyar és a többi határzár állította meg a bevándorlást, mondta a kormányszóvivő.
Categories: Pályázatok

Kovács: Európa védtelen, de mi tudjuk a megoldást

Eurológus - Mon, 13/06/2016 - 23:37
A magyar és a többi határzár állította meg a bevándorlást, mondta a kormányszóvivő.

Le MMLK saisit le ministre de la santé à propos des comportements indésirables du personnel du CHU SYLVANUS OLYMPIO

Togo Actualités - Mon, 13/06/2016 - 23:28


Le Mouvement Martin Luther KING
MMLK (La Voix des Sans Voix )
A Monsieur le Ministre de la Santé
LOME
 
Lomé, le 12 juin 2016
 
Objet : Comportements indésirables du
Personnel du CHU Sylvanus OLYMPIO
Suite à la mort de SIABI Clémence ce
10 Juin 2016.
 
Monsieur le Ministre,
 
Nous venons très respectueusement avec désolation et consternation vous faire part des comportements indésirables et inhumains du personnel de la santé en général et celui du CHU Sylvanus OLYMPIO, dans l’exercice au quotidien de leurs fonctions vis-à-vis du peuple Togolais.
 
En effet, il n’est de secret pour personne que depuis belle lurette, le domaine de la santé au Togo s’est considérablement dégradé et semble définitivement être relégué au rang accessoire. Pour preuve, les infrastructures et les matériels dans les unités et centres publics de santé, sont obsolètes, démodés, vétustes, amortis voire inappropriés pour notre époque. Ils sont devenus sans nul doute de véritables mouroirs pour les populations qui sont malgré tout , contraintes à s’y rendre ,faute des moyens financiers pour se faire soigner dans des cliniques privées . Du coup, des milliers de concitoyens sont déjà victimes de cette précarité.
 
Monsieur le Ministre,
 
Si l’état des infrastructures et des matériels est un obstacle évident, le défaut de conscience professionnel des praticiens de la santé, en est un autre incontestable.
Malgré la campagne de sensibilisation du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers du TOGO( SYNPHOT) intitulée : CAMPAGNE POUR LE SOURIRE AUX PATIENTS ,une initiative louable consistant à faire prendre confiance aux personnels et praticiens de la santé en vue des prestations de soins de qualité pour sauver des vies humaines menacées, il est triste et malheureux de constater que les mauvaises comportements et habitudes persistent ,subsistent voire s’aliènent . A titre d’illustration ,il suffit de faire un tour au CHU Sylvanus OLYMPIO à Lomé dans les services d’urgence , du bloc opératoire et de la maternité ,pour s’en rendre compte des cris de détresse, de lamentation, de désespoir et d’indignation des malades et de leurs familles. A l’unanimité, le constat est le même : inconscience et indifférence du personnel de la santé. Par conséquent, les plaintes sont légion et les graves manquements dans les différents centres publics, s’accentuent pendant les services de nuit.
 
Selon les informations et nos enquêtes ,il s’avère que pendant la nuit , le personnel de garde ( médecins , sages-femmes, gardes malades , se concentre plutôt sur les séries de feuilleton à la télévision , se préoccupe ,s’active et s’accroche à leurs portables ( whatsaps , facebook et autres ) et s’intéresse à leurs copains et copines.
A l’inverse, les malades, mêmes ceux en situation critique entre la mort et la vie, sont impitoyablement abandonnés à leur triste sort jusqu’à ce que l’irréparable ne survienne. Sacré personnel de la santé !
 
C’est le cas actuel de la compatriote SIABI Clémence, âgée de 32ans, admise le 5 juin 2016 au bloc opératoire (salle 222). Après une opération chirurgicale pourtant réussie dans la nuit du 7 juin, elle décéda le 10 juin parce que dans la nuit suivante après l’opération, l’équipe de garde dont le médecin en tête, n’a pas su prendre en charge sa plaie pour la panser en vue de sauver la vie à cette patiente. Malgré les appels et les cris persistants et répétitifs des membres de la famille, le médecin de garde a fait sourde oreille et s’est contenté seulement de sa télévision et de son portable.
C’est avec désolation, déception et indignation que le personnel de la santé renonce à son serment et laisse mourir impitoyablement les malades.
Monsieur le Ministre,
Eu égard à ce qui précède, il serait judicieux de bien vouloir revoir l’usage immodéré et exagéré des portables et des médias (TV, radio) par le personnel de la santé lors des heures de service. Aussi, vous faudrait-il faire disposer du groupe électrogène au niveau du bloc opératoire en vue de remédier au déficit de l’électricité en cas de coupure. 
 
Espérant que vous tiendrez compte de notre préoccupation, veuillez croire, Monsieur le Ministre, l’expression de notre haute déférence.
 
Le Président
 
Pasteur EDOH K.KOMI
 
lomévi (www.togoactualite.com)
 

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Categories: Afrique

Présence des produits nauséabondes dans le quartier de d’Amoutivé-Lomnava, la ligue des consommateurs du Togo s’inquiète

Togo Actualités - Mon, 13/06/2016 - 23:18


La ligue des consommateurs du Togo a été informée ce jour 8 juin 2016 au environ de 15h de la présence d’un camion remorque qui déchargeait des produits nauséabondes dans le quartier de d’Amoutivé-Lomnava.
 
Une équipe s’est aussitôt rendu sur les lieux afin d’observer de prés les produits. Sur les lieux, il s’était agi des jus d’ananas, d’orange et de cocktail de fruits entreposés dans un contenaire affecté de chenilles et qui s’éclataient d’eux mêmes.
 
L’équipe de la LCT a pu rencontrer sur le terrain, les responsables de la société importatrice, le transitaire, un agent du commissariat de la douane de l’OTR et deux experts Maritimes venus pour les évaluations chacun en ce qui le concerne.
 
Dans les échanges, il a été convenu que les produits soient déchargés et entreposés dans un magasin et passé sous scellé des services de l’OTR le temps de prendre des dispositions avec les ministères concernés les procédures de destruction et ceci, le plus vite que possible.
 
La LCT, profite de l’occasion pour appeler une fois de plus la population à la vigilance et à continuer les alertes dans de pareilles situations.
Fait à Lomé, le 8 juin 2016
Emmanuel SOGADJI, Président LCT
 
lomévi (www.togoactualite.com)
 

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Categories: Afrique

World’s Nuclear Arsenal Declines But Multi-Billion Dollar Modernization Continues

Africa - INTER PRESS SERVICE - Mon, 13/06/2016 - 22:56

U.S. Pres. Barack Obama chairs the Security Council Summit on nuclear non-proliferation and disarmament. Credit: Bomoon Lee/IPS

By Thalif Deen
UNITED NATIONS, Jun 13 2016 (IPS)

The world’s nuclear arsenal continues to decline – from 15,850 warheads in early 2015 to 15,395 in 2016, according to the latest figures released Monday by the Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI).

Still, the more distressing news is that none of the nine nuclear weapon-possessing states – the US, UK, Russia, France, China, India, Pakistan, Israel and North Korea – are prepared to give up their existing weapons now, or in the foreseeable future.

The decrease in the overall number is due mainly to Russia and the US – which together still account for more than 93 per cent of all nuclear weapons – further reducing their inventories of strategic nuclear weapons.

However, despite the implementation of the bilateral Treaty on Measures for the Further Reduction and Limitation of Strategic Offensive Arms (New START) since 2011, the pace of their reductions remains slow, said SIPRI.

The equally bad news, however, is the continued modernization of nuclear weapons both by the US and Russia.

Although details of the Russian program are not public, the US plans to spend $348 billion during 2015–24 on maintaining and comprehensively updating its nuclear forces.

Some estimates suggest that the US nuclear weapon modernization program may cost up to $1 trillion over the next 30 years, according to SIPRI.

Alice Slater, an Advisor to the Nuclear Age Peace Foundation and who serves on the Coordinating Committee of Abolition 2000, told IPS the US has committed to spending $348 billion over the next ten years on two new bomb factories, new warheads and upgraded delivery systems by planes, submarine and land-based missile, estimating a budget of one trillion dollars over the next 30 years.

Last summer, the US tested a dummy warhead in Nevada for an earth-penetrating nuclear bunker buster, she pointed out.

Despite President Barack Obama’s qualified April 2009 Prague speech urging a world free of nuclear weapons – for which he received a Nobel Peace Prize, even after having noted that his dream of a world free of nuclear weapons “may not happen in my lifetime”- he has made the smallest reductions in the US nuclear arsenal compared to any previous US President, said Slater.

And Hillary Clinton, the presumptive Democratic nominee for US President at the November elections, famously misquoted Obama’s Prague speech when she was Secretary of State, saying Obama had said a nuclear weapons free world may not happen for “several lifetimes,” she added.

Last month UN Secretary-General Ban Ki-moon reiterated his call for a world without nuclear weapons.

“Disarmament is part of the DNA of the United Nations, which was formed when the first and last use of nuclear weapons in war was fresh in people’s minds.”

Since then, he pointed out, all countries have rejected the use of nuclear weapons.

“But until these weapons are completely eliminated, they continue to pose a threat to our common well-being.  Fears of nuclear terrorism make disarmament even more urgent and important,” he added.

Hans Kristensen, co-author of the SIPRI Yearbook said the ambitious US modernization plan presented by the Obama Administration is in stark contrast to President Barack Obama’s pledge to reduce the number of nuclear weapons and the role they play in US national security strategy.

The other nuclear weapon-possessing states have much smaller arsenals, but have all either begun to deploy new nuclear weapon delivery systems or announced their intention to do so, he added.

China appears to be gradually increasing its nuclear forces as it modernizes the arsenal. India and Pakistan are both expanding their nuclear weapon stockpiles and missile delivery capabilities.

North Korea is estimated to have enough fissile material for approximately 10 nuclear warheads. However, it is unclear whether North Korea has produced or deployed operational weapons, said Kristensen.

“Despite the ongoing reduction in the number of weapons, the prospects for genuine progress towards nuclear disarmament remain gloomy,” said Shannon Kile, Head of the SIPRI Nuclear Weapons Project.

“All the nuclear weapon-possessing states continue to prioritize nuclear deterrence as the cornerstone of their national security strategies,” he added.

Apart from counting bombs in the respective nuclear arsenals, Slater told IPS, “we must factor in the aggressive and provocative expansion of NATO (North Atlantic Treaty Organisation) up to the Russian border as a block to nuclear disarmament, despite promises given to (former Soviet leader Mikhail) Gorbachev when the Berlin Wall came down that NATO would not expand beyond East Germany as well as the US having planted new missile bases in Turkey, Romania and Poland after President Bush walked out of 1972 Anti-Ballistic Missile Treaty.

It is significant that part of the deal US President John F. Kennedy made with Soviet President Nikita Khrushchev when the Soviet Union took their missiles out of Cuba was that the US would remove its missiles from Turkey.

“Despite the ongoing reduction in the number of weapons, the prospects for genuine progress towards nuclear disarmament remain gloomy." -- Shannon Kile

“Well they are back in Turkey.  The US also plans to modernize the nuclear weapons it bases in five NATO countries, Germany, Holland, Belgium, Turkey, and Italy.   And the US Asia “pivot” with expanded bases in Japan, South Korea, Australia and the Philippines is an enormous obstacle to enroll the Asian nuclear powers in endorsing nuclear disarmament,” declared Slater.

She argued that US plans to dominate and control the military use of space also block further possibilities for nuclear disarmament.

Gorbachev and (US President Ronald) Reagan spoke about abolishing nuclear weapons, but Gorbachev pulled his offer off the table when Reagan wouldn’t promise to forego Star Wars.

Then Russian Prime Minister Vladimir Putin offered a deal to (US President Bill) Clinton “to cut our massive arsenals to 1,000 nuclear weapons each, at which point we could invite all the other nuclear weapons states to the table to negotiate for their elimination, but only  if Clinton would forego the development of missile bases in Eastern Europe.

Slater said Clinton refused, and subsequently Bush unilaterally withdrew from the ABM Treaty in 2002.  Russia and China have actually been proposing, since 2008, a draft treaty to ban weapons in space which the US vigorously opposes by blocking consensus to even discuss it in the Committee on Disarmament in Geneva.

Finally, the nuclear weapons states have boycotted the 2016 Geneva meetings of the Open Ended Working Group for Nuclear Disarmament, established by the UN General Assembly, which have been discussing the legal gap in the law that fails to prohibit and ban nuclear weapons as we have done for biological and chemical weapons.

The Non-Proliferation Treaty (NPT) merely promises “good faith efforts” for nuclear disarmament and the International Court of Justice (ICJ) left a gap in its 1996 decision on the legality of nuclear weapons when it said it couldn’t decide if nuclear weapons were illegal in the case where the very survival of a state was at stake.

“It appears that the non-nuclear weapons states may be prepared this year to start negotiations on a ban treaty without the rogue nuclear weapons states and some of the hypocritical “weasel” states who profess to want nuclear abolition but rely on the US nuclear umbrella for their “security”.”

These include NATO states and Japan, incredible as that may seem, as well as Australia and South Korea.  Hopefully, a treaty to ban the bomb signed by the 127 countries that are supporting the effort at this time, may break up this discouraging logjam for meaningful progress on nuclear disarmament as reported in the recent SIPR Annual count of the world’s nuclear arsenals, Slater noted.

The writer can be contacted at thalifdeen@aol.com

Categories: Africa

AIDS Meeting Was Bold but Disappointing, Organisations Say

Africa - INTER PRESS SERVICE - Mon, 13/06/2016 - 22:37

A Rainbow flag is displayed in the window of the United States Mission to the United Nations during LGBT Pride Month. Credit: Phillip Kaeding / IPS.

By Tharanga Yakupitiyage
UNITED NATIONS, Jun 13 2016 (IPS)

Though the High Level Meeting on Ending AIDS ended with the adoption of bold and life saving targets, many organisations have expressed their disappointment in its outcomes.

During the meeting, the international community adopted a new Political Declaration that lays down the groundwork to accelerate HIV prevention and treatment and end AIDS by 2030.

UN member states committed to achieving a 90-90-90 treatment target where 90 percent of people living with HIV know their status, 90 percent who know their HIV status are accessing treatment and 90 percent of people on treatment have suppressed viral loads. Reaching the treatment target will prevent 75 percent of new infections and ensure that 30 million people living with HIV (PLHIV) have access to antiretroviral therapy (ART) by 2020.

Though many organisations that IPS spoke to were encouraged by the commitments, they also expressed concern and disappointment in the Declaration’s shortfalls.

“I think what the high level meeting showed us was the gap between reality and politics at the UN,” said International Women’s Health Coalition’s (IWHC) Director of Advocacy & Policy, Shannon Kowalski.

“The Political Declaration didn’t go far enough to address the epidemic that we face today,” she continued.

“If we are serious about ending AIDS, we need to go far beyond what is in the Political Declaration." -- Shannon Kowalski

Many were particularly concerned with stripped and exclusionary language on so-called key populations in the document.

“When we saw in the Declaration that key populations were less mentioned than 5 years ago…it is a real setback,” Alix Zuinghedau from Coalition Plus, a French international union for HIV/AIDS organisations, told IPS.

Among these key populations is the lesbian, gay, bisexual and transgender (LGBT) community. Though the LGBT population continues to be disproportionately affected by HIV/AIDS, they are only mentioned once in the Declaration.

Executive Director of Stop TB Partnership Lucica Ditiu told IPS that the document mentions vulnerable populations in relation to tuberculosis (TB), but that it should have been extended throughout the Declaration.

“We have a saying in my country: With one eye I laugh, with one eye I cry. Because that piece was missing,” she said.

The Declaration includes a target to reduce TB-related deaths among people living with HIV by 75 percent by 2020.

Amirah Sequeira, Associate Director of Health Global Access Project’s (GAP) International Campaigns and Communications, also noted the lack of language and commitment to decriminalize key populations including men who have sex with men, people who inject drugs and sex workers.

“The exclusion of commitments to decriminalize these populations will hold back the ability for the world to reach the bold new targets that the Declaration committed to,” she told IPS.

When asked about these concerns, the Deputy Executive Director of the Joint UN Programme on HIV/AIDS (UNAIDS), one of the main organisers of the meeting, Luiz Lorres told IPS that this exclusion will impede efforts to achieve the 90-90-90 treatment target.

“I acknowledge that more needs to be done,” he said.

Organisations have also pointed to issues around financing.

Through the Declaration, governments have committed to increasing funds for HIV response to $26 billion per year by 2020, as estimated by UNAIDS. However, Sequeira noted that not only is there a $6 billion funding gap, but also donors tend to flat line or reduce funding despite pledges.

“[Reaching the goal] will not be possible if donors continue to do what unfortunately they have been doing which is flat lining or pulling back funding from global AIDS programs,” she told IPS.

Though she applauded the U.S. President’s Emergency Plan for AIDS Relief’s (PEPFAR) newly launched $100 million Key Populations Investment Fund, Sequeira stated that PEPFAR needs a $500 million increase each year between now and 2020 in order for the U.S. to provide its fair share of needed financing.

Zuinghedau told IPS that without additional funding to scale up programs for key populations, the goal to reduce infections and end AIDS will not be possible.

“It is very frustrating to see countries say, yes we want to end AIDS but we’re not going to add any more funding. It’s a contradiction,” she told IPS.

The government of Canada recently announced a pledge of almost US$615 million to the Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria for the next three years, a 20 percent increase from its previous pledge.

Kowalski applauded the move, stating: “If Canada can do it, we know that other governments can do it as well.”

Though the Declaration highlights the need to increase domestic resources for countries’ own HIV response, Ditiu stressed the need to ensure that governments continue to invest in vulnerable groups because they are often the first ones to “fall between the cracks.”

She added that it is important to include key populations in the implementation of commitments.

Sequeira also urged for the implementation of strong accountability mechanisms to ensure that commitments are translated into effective responses.

Though the Political Declaration is not “perfect,” Kowalski noted that it provides the bare minimum required to take HIV response to the next level.

“If we are serious about ending AIDS, we need to go far beyond what is in the Political Declaration,” she said.

Categories: Africa

Ce que paie Emmanuel Macron au titre de l'ISF

L`Express / Politique - Mon, 13/06/2016 - 22:14
Après les révélations du Canard enchaîné et de Médiapart, Emmanuel Macron donne des détails sur son impôt sur la fortune. Pourquoi il le paie, pour quels montants, ses rapports avec l'administration fiscale.
Categories: France

Miniszterelnökség: az uniós források felhasználása a gazdaságfejlesztést szolgálja

EU Pályázati Portál - Mon, 13/06/2016 - 20:55
A kormány kiemelt figyelmet fordít a versenyképességre, a kis- és középvállalkozások támogatására, a korábban hozott stratégiai döntés alapján az uniós források 60 százalékát közvetlen gazdaságfejlesztésre fordítja - mondta Vitályos Eszter, a Miniszterelnökség európai uniós fejlesztésekért felelős államtitkára csütörtökön az új programozási időszak tapasztalatairól tartott nemzetközi konferencián, Budapesten.

Rákossy Balázs, a Nemzetgazdasági Minisztérium (NGM) európai uniós források felhasználásáért felelős államtitkára a konferencia megnyitóján kiemelte: a 2014-2020-as fejlesztési időszakban a gazdaságfejlesztés és a foglalkoztatás bővítése a legfontosabb az operatív programokban.
Hozzátette: a Gazdaságfejlesztési és Innovációs Operatív Programban (GINOP) eddig 48 pályázat jelent meg, az év végéig további 48 kiírás lesz, és elindult a visszatérítendő támogatások rendszere is.

Vitályos Eszter ismertette, hogy a 2007-2013-as uniós fejlesztési ciklusban a kifizetett 9223 milliárd forintra 150 ezer pályázat érkezett, ebből 70 600 nyert, közülük alig volt 44 ezer a vállalkozás, a források 90 százaléka közkedvezményezettekhez jutott.

Elmondta, a kormány arról döntött, hogy a 2014-2020-as időszakban az uniós forrásokat nem aprózza el, 2017. június 30-ig az összes pályázatot kiírja, hiszen fontos, hogy 2017-2018-ban a támogatási szerződések megvalósuljanak, és a források lekötése és kifizetése érdemben beinduljon.

Hangsúlyozta: a kormány az uniós források felhasználásakor is együttműködik a magyar piaci szereplőkkel, példaként említette, hogy az új közbeszerzési törvényben a kormány az uniós keretek között próbálja megteremteni annak a feltételeit, hogy a magyar gazdaság szereplőinek ugyanolyan lehetőségük legyen hozzáférni az itteni közberuházásokhoz, mint amilyen a nyugat-európai cégeknek a saját piacukon már régóta megvan.

Vitályos Eszter szólt arról is, hogy a pályázatoknál kiemelten figyelnek a bürokrácia csökkentésére, kevesebb adatot kell beadni, egyszerűsített, elektronikus beadási rendszert működtetnek, amelyet a pályázók is tudnak használni.

Rákossy Balázs kiemelte: a kis- és középvállalkozásoknál a kapacitás bővítését, a kutatás-fejlesztést és innovációt, a piacra jutást, az exportképesség növekedését kiemelten támogatják azért, hogy a következő években a 2500-3000 külpiacon is értékesítő kkv-k száma 10 000 fölé emelkedjen.

Az NGM államtitkára kitért a magyar gazdaság újraiparosításának támogatásra is, szeretnék elérni, hogy az ipar GDP-hez történő hozzájárulása a mostani 22 százalékról 30 százalékra nőjön.

Rákossy Balázs hangsúlyozta, hogy a visszatérítendő uniós támogatásokat felölelő pénzügyi eszközökre a 2014-2020-as időszakban mintegy 720 milliárd forintot különített el Magyarország, ez az összeg háromszorosan a 2007-2013-as időszakénak. A források kihelyezése megkezdődött a Magyar Fejlesztési Bankon (MFB) keresztül, ebben a konstrukcióban az idén 630 milliárd forint keretre 18 pályázattal számolnak.

Az NGM államtitkára kitért arra, hogy az uniós források hatékony felhasználásának fontos szerepe van a magyar gazdaság eredményeiben.

Erich Unterwurzacher, az Európai Bizottság regionális politikai főigazgatóságának igazgatója a konferencián hangsúlyozta, hogy az uniós források felhasználásakor a kkv-kra kell fókuszálni, a versenyképességi programokat célszerű támogatni. Az 2014-2020-as programozási időszakban a kis- és középvállalkozások segítésében az eddiginél nagyobb szerepet kapnak a visszatérítendő pénzügyi eszközök, ennek bevezetésében Magyarország élenjár - mondta Erich Unterwurzacher.

Adriana Sukova-Tosheva, az Európai Bizottság szociális és foglalkoztatási igazgatóságának igazgatója elmondta, hogy az unió a fiatalok foglalkoztatásának segítését fontosnak tekinti, hosszú távon a munkaerőpiaci egyensúly megteremtését tartja elsődlegesnek, és ezt támogatja is a szociális alapból.

Forrás: MTI

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Categories: Pályázatok

Draft report - EU strategy towards Iran after the nuclear agreement - PE 584.178v01-00 - Committee on Foreign Affairs

DRAFT REPORT on The EU's strategy towards Iran after the nuclear deal
Committee on Foreign Affairs
Richard Howitt

Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: European Union

Draft report - EU strategy towards Iran after the nuclear agreement - PE 584.178v01-00 - Committee on Foreign Affairs

DRAFT REPORT on The EU's strategy towards Iran after the nuclear deal
Committee on Foreign Affairs
Richard Howitt

Source : © European Union, 2016 - EP
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Behanzin le Rêve inachevé

24 Heures au Bénin - Mon, 13/06/2016 - 20:17
Voir en ligne : embed/c274vp_ebPM
Categories: Afrique

La campagne de Médecins du Monde contre les médicaments chers ne sera pas affichée

France24 / France - Mon, 13/06/2016 - 20:11
Médecins du Monde a lancé, lundi, une campagne choc pour dénoncer les prix "exorbitants" de certains traitements. Mais les annonceurs ont refusé de diffuser les affiches de l'organisation pour ne pas heurter l’industrie pharmaceutique.
Categories: France

Luc Atrokpo dynamise la coopération zou-Luxembourg

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Mon, 13/06/2016 - 20:09

Le président de l’Union des communes du Zou (UCOZ) et maire de Bohicon, Luc Atrokpo, a rendu la semaine dernière, une visite de travail au  gouverneur de la province belge  de Luxembourg, Olivier Schmits. C'était  au palais provincial à Arlon en Belgique. La visite s'inscrit  dans le cadre de la coopération décentralisée entre la province belge  et le département du Zou.


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Categories: Afrique

Projet d'un Parking gros porteurs à Cotonou : les clarifications de la mairie

La Nouvelle Tribune (Bénin) - Mon, 13/06/2016 - 20:01

Le Secrétaire général de la Mairie de Cotonou Silverius Raoul Faladé, en sa qualité de porte-parole, a effectué une sortie médiatique samedi dernier dans les locaux de la Mairie pour éclairer l’opinion publique sur le projet de construction d’un parking gros porteur à Cotonou dont la lenteur a été soulevée dans la presse la semaine écoulée.


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Categories: Afrique

NOCIBE : L'Etat dépouille un béninois au profit d'un expatrié

24 Heures au Bénin - Mon, 13/06/2016 - 20:00

Comme votre journal vous l'annonçait, nous voici à un autre épisode du scandaleux dossier portant sur la convention minière signée au projet de la Nouvelle cimenterie du Bénin (Nocibé). A cette étape-ci des révélations sur le puant dossier de la Nocibé, c'est du foncier sur lequel se porte l'exploitation du gisement cimentier que se révèle une violation des droits de l'opérateur économique Séfou Fagbohoun au profit d'un Libano-sénégalais.

Le Béninois dont il s'agit n'est pas un monsieur ordinaire mais, un député de la République que Yayi Boni et ses obligés de membres de gouvernement ont décidé de priver de ses droits de jouissance de propriété sur un espace domanial sis dans la Commune d'Adja-Ouèrè. C'est en effet cette Commune du Département du Plateau qui abrite les installations de la Nouvelle cimenterie du Bénin (Nocibé) sur un domaine appartenant au sieur Séfou Ladékpo Fagbohoun. Encore un homme d'affaires béninois dont le régime Yayi Boni a décidé de priver des droits au profit un soi disant investisseur étranger venu faire des affaires au Bénin.
En réalité le domaine où se fait l'exploitation du gisement cimentier d'Adja-Ouère est une propriété du député Fagbohoun et consorts qui devraient en jouir à leur guise. Mais contre toute attente, Yayi Boni et son gouvernement le leur ont arraché pour le remettre au Libano-sénégalais Latfallah Layousse, Pdg de la Nocibé. Ce qui constitue une violation flagrante de la Constitution béninoise du 11 décembre 1990. En effet, à l'article 22 de ladite Constitution, il est prévu que : « Toute personne a droit à la propriété. Nul ne peut être privé de sa propriété que pour cause d'utilité publique et contre juste et préalable dédommagement ». Ce qui importe de noter dans cette disposition constitutionnelle est le mot de phrase : « …contre juste et préalable dédommagement ». C'est-à-dire que même s'il est admis que l'Etat peut se prévaloir de la cause d'utilité publique pour priver un citoyen de son droit de jouir d'un bien domanial mais, il (l'Etat) est tenu de le dédommager justement et surtout préalablement avant d'affecter ledit domaine à une cause publique.

Un projet volé au vrai propriétaire

Mais dans le cas d'espèce à cette date, de nos investigations, il nous est revenu que l'Etat béninois n'a payé aucun aux ayants droits et plus grave le bénéficiaire (Nocibé) n'a non plus payé aucun droit d'entrée, comme cela est généralement admis dans le cas des transactions du genre, pour pouvoir permettre à l'Etat de faire face aux dommages et intérêts liés au foncier arraché à Fagbohoun et consorts. Mais là n'est pas le vrai hic dans ce scabreux dossier de Nocibé. Ce qui est plus grave et sort de l'extraordinaire mode de gouvernance de Yayi Boni est que le projet d'exploitation du gisement cimentier d'Adja-Ouèrè n'appartient même pas à l'origine à Latfallah Layousse, Pdg de Nocibé.
Joint au téléphone pour savoir s'il a pu être dédommagé de la propriété à lui arrachée l'homme d'affaires et député Séfou Fagbohoun nous confie ceci : « Il ne s'agit pas seulement de dédommagement mais, le projet en lui-même est le mien. C'est Richard Sènou que j'ai emmené en Malaisie et à qui j'ai parlé de certains de mes projets dont l'installation d'une cimenterie à Adja-Ouèrè qui en a touché un mot au chef de l'Etat en ce qui concerne la cimenterie que l'on m'a finalement empêché d'installer au profit d'un étranger… Vous-même vous constatez comme moi que le chef de l'Etat s'est visiblement mis dans la dynamique de saper les bases de tous les hommes d'affaire nationaux au profit d'étrangers. Et du jour au lendemain, ce sont les installations de Nocibé que j'ai vu impuissant déployées sur mon domaine sans que personne ne me dise se qui se passe réellement… »
Mais devant notre insistance à savoir s'il a été tout au moins dédommagé, Séfou Fagbohoun nous répond ceci : « Est-ce que ce régime à jamais dédommagé qui que ce soit dans un dossier où un citoyen a été victime de faits et actes ? Mais on verra bien comment cela va se terminer un jour ». En réalité donc, le nauséeux dossier à scandale de Nocibé est un vrai hold-up d'Etat de haut vol orchestré par le régime de Yayi Boni.

Un régime bouffeur des fils du pays


En effet, on se rappelle qu'à l'entame de son régime en 2006, l'homme d'affaire Séfou Fagbohoun a été la toute première proie dont s'est fait « rôtir » Yayi Boni en l'envoyant en taule pour plus d'un an de vie carcérale. Yayi Boni avait donné l'impression, en son temps, de vouloir en découdre avec l'homme d'affaire en lui mettant le grappin dessus dans un dossier créé de toutes pièces sur les avoirs de la Sonacop. Mais comme la nature a horreur de l'injustice dont Yayi Boni s'est fait champion, depuis son cachot de la prison civile de Cotonou, Séfou Fagbohoun s'est fait élire député. Dès lors, Yayi Boni n'avait plus que ses yeux pour « pleurer » car, contraint de faire libérer le député de la nation béninoise.
Puis, comme s'il tient en réserve sa vengeance, il a sauté sur le projet cimentier de Séfou Fagbohoun à lui remis par l'ex ministre Richard Sènou pour lui porter l'estocade. Mais jusqu'à quand va durer cet acharnement de l'actuel chef de l'Etat béninois contre ses compatriotes hommes d'affaires. Après Séfou Fagbohoun, ce fut le tour de l'opérateur économique Patrice Talon, de Sébastien Ajavon qui tous, fort curieusement sont des Béninois originaires du Sud-Bénin. C'est haut le cœur qu'on est donc contraint de se demander pourquoi cette hache de guerre déterrée contre les hommes d'affaires de la partie septentrionale du Bénin pendant que le même Yayi Boni favorise l'enrichissement d'opérateurs économiques originaires du Centre et du Nord-Bénin ? Est-ce l'unité et la cohésion nationale qui passe par cette persécution de ces hommes d'affaires au profit d'étrangers tels que Latfallah Layousse de la Nocibé et le français Vincent Bolloré qui récemment s'est arrogé, avec la complicité de Yayi Boni, du projet de la Boucle ferroviaire ouest africaine au détriment de l'homme d'affaires béninois, Samuel Aworé Dossou de la société Pik Network qui est le vrai initiateur de ce projet mais, aujourd'hui presque écarté.
Pour l'heure parlant du scandale de Nocibé, demain jeudi, nous vous donnerons, cher lecteurs, les détails sur les artifices presque illégaux utilisés par Yayi Boni pour accorder l'exploitation du gisement cimentier à son ami Libano-sénégalais, Latfallah Layouse, sous un régime d'investissement de catégorie E qui constitue le siège même de toute la fraude orchestrée dans ce dossier cousu de fil blanc. A demain donc pour la suite…

Émérico Adjovi

Categories: Afrique

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