Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, a affirmé dimanche en Jordanie que les réformes menées par l’Algérie ces dernières années étaient aujourd’hui « impératives et nécessaires », soulignant que la nouvelle constitution avait permis à l’Algérie d’entamer la deuxième génération des réformes tant au plan politique qu’économique.
M. Bouchouareb qui participait à une séance de dialogue sur les réformes de la région MENA tenue en marge du Forum économique mondial en Mer Morte en Jordanie, a déclaré que la nouvelle Constitution en 2016 « a ancré politiquement une démocratie flexible en Algérie et octroyé une identité spéciale à l’économie nationale à travers de nouvelles lois ayant accompagnées davantage et d’une manière efficace la croissance économique actuelle notamment la loi sur les investissements à laquelle on avait introduit 22 articles en vue de faciliter les investissements étrangers et locaux ».
Cette loi « est aujourd’hui reconnue par la Banque mondiale et le FMI, vu ses avantages et motivations qui tiennent compte de la mutation profonde et effrénée dans le monde, à laquelle notre économie doit s’adapter si nous voulons avoir la place qui nous revient parmi les nations », a-t-il soutenu.
M. Bouchouareb a également mis l’accent sur « la nécessité de considérer ces réformes économiques en Algérie pour pouvoir prétendre à la compétitivité internationale » qualifiée par le ministre de « rude ».
Evoquant les perspectives de réussite des réformes en Algérie et leur contribution à développer et diversifier l’économie nationale, le ministre a mis l’accent lors de ce Forum économique mondial sur « l’importance de la stabilité et la sécurité pour la réussite de toute opération politique et économique », rappelant à l’occasion les démarches du président de la République, Abdelaziz Bouteflika à atteindre cet objectif depuis son investiture en 1999.
Il a évoqué dans ce sens, le pacte social conclu entre le Gouvernement, le Patronat et les syndicats, lequel a fait l’unanimité vis-à-vis des réformes politiques et économiques engagées par l’Algérie, affirmant que le citoyen algérien était totalement convaincu de l’importance d’aller de l’avant en faveur de la réalisation des réformes.
Il a expliqué, en outre, que la stabilité et la sécurité « nous ont permis d’engager des réformes et des mutations de deuxième génération sur le plan politique, à travers l’amendement de la Constitution, qui a consacré la démocratie et le pluralisme équitable et a permis, pour la première fois, d’ériger l’économie nationale en économie libre à caractère social ».
Le ministre a ajouté que « les réformes et l’amendement de la Constitution ont permis également de promulguer plusieurs lois, considérées comme une base juridique permettant de promouvoir l’économie, à même de changer toutes les lois financières » précisant que ces réformes « ont amélioré le climat d’investissement et offert des opportunités aux entreprises pour qu’elles assurent leur continuité et garantissent une compétitivité internationale à leurs produits ».
A szombati piacozás és szafari után vasárnap újabb kirándulással pihenték ki afrikai missziójuk első munkás hetét a délkelet-afrikai Malawiban műtéteket végző önkéntes pécsi és budapesti orvosok. Programjukról Szeremley Csaba, a malawi HTCC ház vezetője számolt be.
En effet l’attaquant du Borussia Dortmund, Pierre-Emerick Aubameyang, s’est battu face à Robert Lewandowski, attaquant du Bayern Munich, pour le titre de meilleur buteur de Bundesliga. Grâce à un doublé, lors de la dernière journée de championnat, l’international gabonais a élevé son compteur à 31 buts pour finir à la tête du classement des buteurs. La compétition a été rude puisque l’international allemand a fini sa saison à 30 buts.
Dans des propos relayés par Le 10 Sport.com, Robert Lewandowski évoque sa rivalité avec Pierre-Emerick Aubameyang au classement des buteurs : « La compétition avec Pierre-Emerick Aubameyang a été exceptionnelle. Toute la saison, bien sûr que je me suis battu. J’ai aussi rencontré des soucis avec mon épaule. J’ai eu la chance de pouvoir continuer à jouer. Continuer à marquer. Je suis très heureux. Une nouvelle saison avec au moins 30 buts au compteur. C’est pour moi un très bel accomplissement. »
Keita (18e) avait pourtant ouvert le score pour les Biancocelesti, mais Andreolli (31e), Hoedt (37e) contre son camp, et Eder (74e), ont permis aux Nerazzurri de s’imposer face à une formation romaine réduite à neuf après les expulsions de Keita et Lulic en seconde période. Source : Maxifoot.fr.
La sélection nationale olympique composée, essentiellement de joueurs dont la tranche d’âge ne dépasse pas les 20 ans, même renforcée par deux joueurs seniors, dont le portier du MOB, Chamseddine Rahmani, a réussi à décrocher hier en milieu de journée la médaille de bronze aux jeux de la Solidarité islamique qui se déroulent actuellement à Bakou, en Azerbaïdjan. Les Verts se sont imposés face aux Lions indomptables du Cameroun sur le score de deux buts à zéro. Ahmed Gagaâ a ouvert le score sur penalty à la 55’. Huit minutes plus tard, Abderahim Hamra a doublé la mise. Pour rappel, les Algériens avaient été éliminés en demi-finale par le pays hôte, l’Azerbaïdjan, suite à une défaite sur le score de deux buts à zéro. Il est à rappeler que cette équipe a été mise en place par l’ancien DTN, Taoufik Korichi qui avait dirigé la prospection ainsi que les premiers stages de préparation, avant qu’il ne démissionne.
Ameur Chafik : «Les joueurs voulaient gagner»
Le sélectionneur national des Olympiques, Ameur Chafik, était content en fin de rencontre, après la victoire de l’EN qui a décroché la médaille de bronze. Il s’est exprimé au micro de l’APS : «Je remercie les joueurs qui ont appliqué mes consignes. Nous aurions aimé disputer la grande finale ce soir. Avec trois joueurs absents, je me suis retrouvé sans véritable attaquant de pointe, il fallait donc évoluer en bloc, évitant au maximum les longues passes. L’équipe s’est sentie lésée, après ce qui s’est passé en demi-finale contre les Azéris, à cause de l’arbitrage à sens unique. Les joueurs se sont parlés et ont décidé de tout donner pour revenir en Algérie avec une médaille. On fera le bilan avec la fédération pour discuter de la préparation de cette équipe appelée à disputer les éliminatoires des Jeux olympiques 2020 de Tokyo».
Gagaâ : «Le premier but nous a mis en confiance»
Le milieu de terrain du Paradou AC, Ahmed Gagaâ, s’est exprimé lui aussi en fin de rencontre : «On savait que la rencontre allait être difficile. Nous avons fait jeu égal avec les Camerounais durant les 45 premières minutes. Après notre premier but, nous avons pris conscience que nous étions capables de gagner le match. Je souhaite que les seniors fassent de même (en qualifications du Mondial-2018).»
Le message de félicitations de Zetchi
Le président de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, était très satisfait du résultat. Une première consécration très encourageante pour cette équipe qui se prépare pour les jeux Olympiques Tokyo 2020. Le site officiel de la FAF a indiqué dans son communiqué : «Après l’excellent parcours des U23 algériens aux Jeux de la Solidarité islamique (3 victoires, un nul et une défaite), le président de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, a félicité les joueurs, le staff technique ainsi que les accompagnateurs, leur souhaitant d’autres succès à l’avenir».
Pendant des décennies, la mesure du produit intérieur brut a « défini » le développement. Pourtant, que vaut cette hiérarchie fondée sur la seule croissance quantitative, ignorant sa dimension qualitative ? Vit-on mieux dans le centre-ville dévasté de Detroit que dans une famille de pêcheurs au Cap-Vert ? Que traduisent réellement les indicateurs de richesse traditionnels ?
A l'aune du développement humainEn février 2008, la mise en place, à la demande du gouvernement français, de la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social (CMPEPS), dite commission Stiglitz, a donné lieu à de nombreuses réactions. Au coeur du projet, une préoccupation partagée par tous les tenants d'un abandon de la religion de la croissance : comment déterminer les limites du produit intérieur brut (PIB) comme indicateur des performances économiques et du progrès social ? Parallèlement, des réseaux de la société civile créent, avec le même objectif, le Forum pour d'autres indicateurs de richesse (FAIR).
« Le produit intérieur brut ne mesure pas la beauté de notre poésie, la qualité de nos débats, notre courage, notre sagesse ou notre culture… Il mesure tout, sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue. »Il y a longtemps que la pertinence du PIB en tant qu'indicateur hégémonique est remise en question par les économistes. Est particulièrement visée, dans ce « supplément de richesse » annuel produit et évalué de façon marchande et monétaire – qui fait donc le bilan de la valeur ajoutée produite par une économie –, son incapacité à prendre en compte l'inestimable des vies humaines. En mars 1968, Robert Kennedy, candidat à l'investiture démocrate pour l'élection présidentielle américaine, le martelait déjà : « Le PIB ne tient pas compte de la santé de nos enfants, de la qualité de leur instruction, ni de la gaieté de leurs jeux. Il ne mesure pas la beauté de notre poésie ou la solidité de nos mariages. Il ne songe pas à évaluer la qualité de nos débats politiques ou l'intégrité de nos représentants. Il ne prend pas en considération notre courage, notre sagesse ou notre culture. (…) En un mot, le PIB mesure tout, sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue. » Moins lyriques, les économistes ont souligné les limites du PIB en ceci qu'il mesure la croissance sur une année sans pouvoir servir d'indicateur de richesse et encore moins de bien-être. On l'observe depuis 1972, avec la publication d'« Halte à la croissance ? », le rapport Meadows du Club de Rome, et les travaux de James Tobin et William Nordhaus visant à crédibiliser un nouvel indicateur de qualité de vie. « L'inventeur » du PIB lui-même, Simon Kuznets, en convenait : « La mesure du revenu national, prévenait-il déjà en 1934, peut difficilement servir à évaluer le bien-être d'une nation. » Reste qu'en quarante ans de domination sans partage de la vulgate libérale rien n'a vraiment changé : la mesure de la richesse nationale est toujours majoritairement centrée sur les différents niveaux de l'activité marchande, dans une optique de « création de valeur ajoutée » que les années de reconstruction d'après guerre ont fortement contribué à figer. Les conditions sociales de production restent un sujet virtuel.
Des indicateurs contestésLes Nations unies ont, certes, popularisé d'autres indicateurs, comme l'indice de pauvreté humaine (IPH), ou l'indice de développement humain (IDH) mis au point, sous l'influence d'Amartya Sen, par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). L'IDH, comparé à l'évolution du PIB, permet de mettre en évidence que tous les pays qui créent de la « valeur » (au sens d'une accumulation de devises) n'ont pas la même aptitude à la transformer en développements humains concrets – en termes d'éducation et de santé, par exemple. Le Genuine Progress Indicator (GPI), ou indice de progrès véritable, ajoute quant à lui aux critères de production et de consommation une estimation de la valeur des activités bénévoles, ainsi que les coûts sociaux ou environnementaux des activités économiques. Existent par ailleurs l'indice de santé sociale, du Fordham Institute for Innovation in Social Policy, et l'indice de bien-être économique, des Canadiens Lars Osberg et Andrew Sharpe. Tous ces nouveaux indices font l'objet de critiques parfois justifiées portant sur la rigueur de leur échelle de mesure, et n'apparaissent pour le moment que comme des « pondérateurs » du PIB, sans parvenir à remettre en question sa centralité intrinsèque. Les « théories du bonheur », comme le rappellent Florence Jany-Catrice et Dominique Méda dans leur critique du rapport Stiglitz, « se développent toujours dans le cadre de travaux utilitaristes, fondés sur l'individualisme des “agents” ». A quoi sert de modifier les indicateurs de mesure des moyens, quand les fins elles-mêmes ne sont aucunement repensées ?
L'Afrique et l'Asie encore à l'écart L'Afrique et l'Asie encore à l'écartIndice de démocratie (Democracy Index). Créé en 2007 par The Economist, cet indice mesure le niveau de démocratie pour 167 pays, selon cinq critères (pluralisme politique et élections, libertés civiles, gouvernance, participation et culture politique). Il combine 60 indicateurs issus d'expertises, de sondages et d'analyses des législations : chacun d'eux est noté de 0 (exécrable) à 10 (excellent). L'indice pour chaque pays est calculé en faisant la moyenne des cinq critères, à laquelle on adjoint un attribut : démocratie irréprochable, démocratie imparfaite, régime hybride ou régime autoritaire.
Indice de vulnérabilité humaine (Human Vulnerability Index [HVI]). Composant de l'indice de viabilité environnementale (ESI), cet indice mesure la fragilité de chaque région face aux changements climatiques : chacun est noté de 1 (les plus vulnérables) à 100 (les moins vulnérables). Il comprend sept indicateurs répartis dans trois domaines : la santé et l'environnement (taux de décès causés par des maladies intestinales infectieuses, taux de mortalité infantile due à des maladies respiratoires, taux de mortalité juvénile), la satisfaction des besoins humains (proportion de la population qui est sous-alimentée, qui a accès à l'eau potable), et les risques naturels (indice d'exposition et mortalité due aux catastrophes naturelles).
Indice de viabilité environnementale (Environmental Sustainability Index [ESI]). Développé de 1999 à 2005 par le Center for Environmental Law and Policy de l'université Yale et le Center for International Science Information Network de l'université Columbia, cet indice note, de 0 à 100, 146 pays selon leur capacité à protéger l'environnement (gestion des ressources naturelles, niveaux de pollution, gestion des biens communs). Il est calculé à partir de cinq indices, agrégats de 76 indicateurs issus de données gouvernementales, d'expertises scientifiques et d'informations fournies par des responsables politiques.
La crise économique actuelle, en prenant les atours d'une crise de civilisation, pourrait justement marquer une étape fondamentale de ce point de vue. L'enjeu n'est plus (ou plus autant) celui de la statistique : il est politique et philosophique. Comme l'écrit la CMPEPS, « l'exigence de passer d'une évaluation de l'activité marchande à une évaluation du bien-être se fait plus pressante. (…) Les politiques devraient avoir pour but non d'augmenter le PIB, mais d'accroître le bien-être au sein de la société ». Objectif qui ne remet pas totalement en question le PIB comme indicateur, mais implique de le transcender. Ce qui pourrait avoir des conséquences radicales. L'une d'elles serait la contestation du « modèle » américain, qui corrèle croissance et progrès. S'imposerait aussi le réexamen des mesures macroéconomiques monolithiques du FMI, fondées sur l'unilatéralisme des indicateurs classiques.
Classement sans valeursLa logique générale des débats sur cette question semble mener à un nouvel équilibre centré sur l'humain, où seraient clarifiées les différences entre la notion de production et celle de richesse. Dans cette optique, la prise en considération de ce dont le PIB ne « parle » pas (comme les externalités négatives de la croissance en termes environnementaux et sociaux) devient l'un des critères structurants. Le PIB prend bien en compte la consommation des ressources naturelles (matières premières, énergie), mais sans faire la part des choses entre renouvelables et non renouvelables. La pollution a aussi des répercussions sociales : que vaut le classement prospectif très récent de la banque HSBC, qui prédit pour 2050 une Chine au sommet de la hiérarchie mondiale des PIB, quand l'accumulation des pollutions et des « dysfonctionnements » sociaux qui lui sont liés est ignorée ? Les réflexions à ce sujet ont mené le Comité d'experts des Nations unies sur la comptabilité environnementale et économique (UNCEEA) à proposer un Système de comptabilité environnementale et économique (SEEA). Cette logique de « PIB vert » peine cependant à s'imposer.
Myopie des banques et des agences de notationCritère de mesure central, le PIB n'a, enfin, aucunement tenu lieu de radar d'alerte concernant la crise actuelle. Rien dans la structure du PIB ni dans le AAA des agences de notation, qui lui est fortement corrélé, n'a permis de comprendre, par exemple, que l'accumulation de « richesses » produites depuis trente ans au Royaume-Uni par des services financiers hypertrophiés engendrait un déséquilibre structurel, rendant toujours plus d'hommes dépendants d'une production virtuelle et parasitaire. La crise montre aujourd'hui les limites de ce pari britannique : l'économiste Patrick Artus estime que 20 % des emplois au Royaume-Uni sont liés à la finance ; si la City perd son rôle central, le pays se retrouve sans option de rechange, aucune industrie ne pouvant vraiment relancer l'économie. Le PIB, pas plus que la grille des AAA, n'était capable de refléter ce glissement.
L'aveuglement passé des agences de notation dans la crise des subprime est reconnu par tous. Pourtant, nul ne met en discussion leur capacité à dégrader du jour au lendemain la réputation d'un Etat.Quant aux agences de notation, leur aveuglement passé dans le drame des subprime est unanimement reconnu ; pourtant, personne ne met en discussion leur capacité à dégrader du jour au lendemain la valeur d'une entreprise – et la vie de ses salariés – ou la réputation d'un Etat – et la vie de ses citoyens – sur la base de rumeurs et d'indicateurs arbitraires. En septembre 2011, remarque La Tribune, Air France « vaut » moins en Bourse que le prix catalogue de cinq A380 ; Accor, moins que la moitié de ses hôtels. Mais nulle multinationale n'envisage sérieusement de cesser de dépendre de cotations irrationnelles.
L'économie libérale demeure un artéfact religieux et, comme tel, hésite à se priver de ses faillibles augures. Tant pis si ces derniers, marché ou agences, ont régulièrement besoin de victimes pour pouvoir « lire » dans les entrailles de la croissance
Sur la ToileForum pour d'autres indicateurs de richesse (FAIR) :
www.forum-fair.org
Baromètre des inégalités et de la pauvreté :
www.bip40.org
Bibliographie : Jean Gadrey et Florence Jany-Catrice, Les Nouveaux Indicateurs de richesse, La Découverte, Paris, 2007.
Dans un entretien accordé à la Dernière Heure, Sofiane Hanni est revenu sur son sacre décroché avec son team d’Anderlecht en Jupiler Pro League. «Ma famille est peut-être plus excitée que moi. On chantait, on dansait. J’ai un peu mis l’ambiance mais il y a des plus acharnés que moi. Teo, Boeckx, Nuytinck et Acheampong sont toujours chauds (rires)» a-t-il déclaré avant d’ajouter : «J’ai été champion en D2 turque mais jamais en D1. À l’époque, je pensais faire ma carrière là-bas mais j’ai eu ma chance et je l’ai saisie.» Hanni est revenu sur les difficultés rencontrées en début de saison avec Anderlecht et son brassard de capitaine : « A la base, Steven Defour devait l’être et j’ai pris le choix du coach comme un compliment. Cela ne m’a pas mis de pression supplémentaire car je suis venu à Anderlecht pour prouver sur le terrain. Brassard ou non. La saison a été marquée par des hauts et des bas mais au final, je savoure. (…) J’ai appris à gérer la pression et à jouer sans ballon. Je défends beaucoup plus, sans pour autant moins attaquer. Je pense pouvoir encore davantage m’affirmer.»
Il a été passeur décisif hier face à Ostende
Déjà assuré de remporter le titre de la Jupiler Pro League, Anderlecht s’est imposé hier sur le score de trois buts à deux face à la formation d’Ostende. Pour ce match, sans réel enjeu pour Anderlecht, Hanni a débuté la rencontre sur le banc des remplaçants avant de faire son entrée en jeu à la 56’ à la place de Tielemans. Le joueur de l’EN a délivré une passe décisive à la 78’ pour son coéquipier, Acheampong.
C’est une première depuis sa désignation à la tête du club de Bejaia, le nouveau président, Mustapha Rezki, en compagnie de l’actionnaire, Akli Adrar, ont profité de la présence des joueurs avant que ces derniers croisent le fer avec le MCO, pour les rencontrer brièvement. Une forme de prise de contact avec le nouveau boss, en attendant le reste puisque les joueurs du MOB ne le connaissaient pas encore.
Il les a rassurés pour leur argent
Profitant de la petite réunion de prise de contact avec les joueurs, le nouveau président du MOB, Mustapha Rezki, a aussi saisi l’occasion pour évoquer les finances et tenter de rassurer les Yaya et autres quant à leur dû en promettant de les payer très prochainement.
Les militaires à Bejaia
Etant sous les drapeaux cette année, les quatre joueurs du MOB, Rahal, Belkacemi, Khadir et Yaya, qui ont rejoint leur lieu de regroupement avec les instances militaires à Alger, après le match face au MCO, pour une réunion, ont par la suite pris la route de Bejaia.
Reprise mardi après-midi
Après deux jours de repos accordés par l’entraîneur Allou, les joueurs du MOB vont reprendre les entrainements en prévision de la prochaine rencontre de championnat. Une reprise prévue mardi après-midi vers 17h. Il faut rappeler que les joueurs du MOB ont effectué un voyage fatiguant par route pour rejoindre Oran.
Bira proposé
Selon une source proche du club de Bejaia, on a appris que la direction aurait eu des propositions pour entrainer le club la saison prochaine. Notre source affirme qu’il s’agit de plusieurs pistes, entre autres, Abdelkrim Bira, qui vient de démissionner de son poste de manager général de l’USMA.
Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps de Politique étrangère (n°1/2017). Marc Hecker, chercheur au Centre des études de sécurité à l’Ifri, propose une analyse de l’ouvrage de David Thomson, Les Revenants (Seuil, 2016, 304 pages).
David Thomson, journaliste à Radio France internationale (RFI), a commencé à s’intéresser au djihadisme au moment des révolutions arabes de 2011. Correspondant en Tunisie, il a vu émerger le mouvement Ansar Al-Charia, et a réalisé dès 2012 un reportage sur les Tunisiens partis combattre en Syrie. De retour en France, il a poursuivi son travail sur les filières syriennes. En 2014, il a signé un premier livre remarqué, Les Français jihadistes[1] (Les Arènes, 2014). Depuis lors, il continue à suivre la mouvance djihadiste de près, en réalisant un travail de veille quotidien sur les réseaux sociaux et en entretenant des contacts réguliers avec des partisans de l’État islamique (EI) ou d’Al-Qaïda.
Pour son deuxième opus, David Thomson s’intéresse plus spécifiquement aux Français qui sont revenus de Syrie. Il a échangé avec une vingtaine d’entre eux, et décrit plus précisément le profil d’une dizaine de « revenants ». Cet échantillon ne représente qu’une faible proportion des quelque 250 résidents français rentrés de la zone syro-irakienne, et ne permet pas de dégager des statistiques fiables. Il n’en demeure pas moins que la galerie de portraits peints par le journaliste est saisissante, et que le livre fourmille d’anecdotes éclairant le phénomène du djihadisme d’un jour nouveau. Trois points peuvent plus spécifiquement être mis en avant.
Tout d’abord, l’ouvrage confirme que les ressorts de la radicalisation sont complexes. Dans certains cas, l’idéologie paraît jouer un rôle important, dans d’autres les dynamiques de radicalisation semblent être davantage économiques, sociales ou psychologiques. En d’autres termes, l’enquête de Thomson montre que les thèses d’Olivier Roy (« islamisation de la radicalité ») et de Gilles Kepel (« radicalisation de l’islam ») sont davantage complémentaires que contradictoires.
Ensuite, l’auteur avance que les jeunes issus de l’immigration maghrébine représentent une majorité des djihadistes français. Ces derniers évoquent régulièrement leur sentiment de déclassement et de marginalisation. Ils ont beau être nés trois ou quatre décennies après la fin de la guerre d’Algérie, ils continuent à y faire référence, et à nourrir un fort ressentiment à l’égard de l’État français. Ils voient dans la restauration du califat une forme de revanche, et une possibilité de restaurer leur dignité. Des ingénieurs, des informaticiens, des médecins, de brillants étudiants ont certes quitté la France pour la Syrie, mais ils ne représentent qu’une minorité. Ainsi Thomson va-t-il jusqu’à décrire les Français comme des « cas soc’ du jihad », montrant la manière dont ils ont exporté leur culture de cité vers la Syrie.
Enfin, les témoignages recueillis par David Thomson ne suscitent guère l’optimisme. Si les « revenants » sont volontiers critiques à l’égard de l’EI, la majorité d’entre eux n’est pas pour autant « déradicalisée ». La plupart continuent à s’opposer à la France, à la démocratie et à la laïcité. Le rejet combiné de Daech et de la France peut d’ailleurs conduire certains à se réfugier dans le salafisme quiétiste. D’autres – dont des jeunes femmes – envisagent plutôt de se tourner vers des formes plus individuelles de djihadisme et rêvent d’attentats. En somme, les revenants n’ont pas fini de nous hanter.
Marc Hecker
[1]. Cet ouvrage a fait l’objet d’une recension dans le n° 2/2014 de Politique étrangère.
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részvétel a pénzügyi és szakmai tervezésekben, fejlesztésekben, megvalósításban és jelentésben; projekt adminisztráció: dokumentumok rendszerezése a projektek alatt, jelentések elkészítése; számla és szerződések egyeztetése; a keletkező dokumentáció papír alapú és elektronikus nyilvántartása, rendszerezése; az Egészségfejlesztési Iroda munkájának koordinálása;
Illetmény és juttatások:
Az illetmény megállapítására és a juttatásokra a “Közalkalmazottak jogállásáról szóló” 1992. évi XXXIII. törvény, valamint a(z) CSMEK Kollektív Szerződésének rendelkezései az irányadók.
Pályázati feltételek:
A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:
A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:
A munkakör betölthetőségének időpontja:
A munkakör legkorábban 2017. június 12. napjától tölthető be.
A pályázat benyújtásának határideje: 2017. május 29.
A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázat elbírálásának módja, rendje:
A pályázatokat előkészítő bizottság véleményezi, amely a pályázati feltételeknek megfelelő pályázó(ka)t meghallgatja. A felkért előkészítő bizottság véleményezését követően a pályázatokat a főigazgató bírálja el és dönt, hogy élni kíván-e a kinevezés jogával.
A pályázat elbírálásának határideje: 2017. június 6.
A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:
A munkáltatóval kapcsolatban további információt a www.csmekhm.hu; www.evp.hu honlapon szerezhet.
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2017. május 13.
A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a munkáltató által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.
Magyar Tudományos Akadémia Titkársága
Kutatási Pályázatok Főosztálya
a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény 45. • (1) bekezdése alapján
pályázatot hirdet
pályázati szakreferens
munkakör betöltésére.
A közszolgálati jogviszony időtartama:
határozott idejű várhatóan 2018. augusztus végéig tartó közszolgálati jogviszony.
Foglalkoztatás jellege:
Teljes munkaidő
A munkavégzés helye:
Budapest, 1051 Budapest, Nádor utca 7.
A munkakörhöz tartozó főbb tevékenységi körök:
a Magyar Tudományos Akadémia Lendület programjának adminisztrációja. Ennek keretében: a pályázati kiírás előkészítése, kapcsolattartás a pályázókkal és a bíráltatásban részt vevő szakértőkkel; a pályázatok átvétele, formai ellenőrzése és hiánypótoltatása, szakértők felkérése a pályázatok bírálatához, a szakértői vélemények feldolgozása, zsűri üléssel kapcsolatos szervezési-logisztikai feladatok, zsűri ülések szakmai előkészítése, a pályázók értesítése a döntésről; a Lendület pályázat eredményhirdetésének megszervezése, a támogatási szerződések előkészítése és aláíratása; a támogatott kutatók éves és záró kutatási beszámolóinak elkészíttetése és formai ellenőrzése; szakértők felkérése a beszámolók értékeléséhez, a szakértői vélemények feldolgozása, az értékelő szakbizottságok üléseinek előkészítése, az érintettek kiértesítése az értékelési eredményekről; a Lendület programmal kapcsolatos külön ügyintézést igénylő feladatok ellátása (csoportok megszűnése, illetve felfüggesztése, vitás kérdések rendezése); a Lendület programmal kapcsolatos adatbázisok karbantartása, azokból kimutatások, háttéranyagok készítése.
Jogállás, illetmény és juttatások:
A jogállásra, az illetmény megállapítására és a juttatásokra a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény , valamint a(z) Magyar Tudományos Akadémia Titkárságának Közszolgálati Szabályzatában foglalt rendelkezései az irányadók.
Pályázati feltételek:
A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:
A munkakör betölthetőségének időpontja:
A munkakör legkorábban a pályázatok elbírálását követően azonnal betölthető.
A pályázat benyújtásának határideje: 2017. május 31.
A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázati eljárás, a pályázat elbírálásának módja, rendje:
A beérkezett pályázatokat Szakmai Előkészítő Bizottság értékeli és választja ki a személyes meghallgatásra javasolt pályázókat. A Bizottság a személyes meghallgatások után javaslatát döntésre, a munkáltatói jogkör gyakorlója elé terjeszti. A döntést követően a pályázat eredményéről a pályázók postai úton értesítést kapnak, a pályázati anyag egyidejű megküldésével. Az át nem vett pályázati anyagok megsemmisítésre kerülnek.
A pályázat elbírálásának határideje: 2017. június 16.
A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:
A munkáltatóval kapcsolatos egyéb lényeges információ:
A köztisztviselői kinevezés határozott időre – várhatóan 2018. augusztus végéig – szól, 6 hónapos próbaidő kikötésével, heti 40 órás teljes munkaidős foglalkoztatással. A pályázatokat a Magyar Tudományos Akadémia Titkársága Humánpolitikai Önálló Osztályára kell beküldeni egy példányban. A zárt borítékra kérjük ráírni: „Pályázat az MTA Titkársága Kutatási Pályázatok Főosztálya pályázati szakreferens”munkakörére.
A munkáltatóval kapcsolatban további információt a www.mta.hu honlapon szerezhet.
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2017. május 10.
A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a közigazgatási szerv által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.
Ezekben a napokban, hetekben zajlik a Load Diffuser 2017 nemzetközi gyakorlat a kecskeméti repülőbázison. Húsz éve egy egészen más okból volt nagy nyüzsgés ugyanitt, mivel az 1991-es és '92-es, nagy sikerű taszári repülőnapok után, a következő nagyszabású esemény házigazdája az MH 59. Szentgyörgyi Dezső Repülőezred (2000-ben lett repülőbázis) volt.
1997. május 23-án és 24-én a NATO EXPRESS '97 elnevezésű nemzetközi repülőnapon láthatta a nyilvánosság először együtt a Hornetet, a Gripent, a Fighting Falcont és a Mirage-t, azt a négy típust, amely közül a magyar MiG-29-esek váltótípusát később kiválasztották. A csütörtöki és pénteki érkezési és gyakorló napokon esős, szürke időjárás uralkodott a kecskeméti bázis felett - ekkor készült a képek többsége - de szerencsére a hétvégére kitisztult az idő.
A VFA-87 Golden Warriors század F/A-18C gépe a Földközi-tengeren hajózó USS John F. Kennedy hordozóról érkezett a kecskeméti hosszú hétvégére. Ha maradt is rajta sós pára, azt az eső garantáltan lemosta.
A McDonnell Douglas a tengerészgyalogság Avianóban állomásozó VMFA(AW)-224 Bengals századától kért kölcsön egy kétüléses F/A-18D-t a kecskeméti bemutatóra. A McDonnell Douglas 1997 augusztusában megszűnt önálló cég lenni és a Boeing része lett.
A bakancsán védőpapucsot viselő tengerészgyalogos műszaki "visszatér a földre" miután ellenőrizte a szívócsatornát.
Az előkészítésért felelős plane captain zárja a fülketetőt.
A metálzöld sisakban Mike Bryan, az egykori Intruder pilóta járja körbe a gépet. 1997 elején ő lett a McDonnell Douglas tesztpilótája.
A tesztpilóta a két hajtómű között megbújó fékezőhorgot ellenőrzi.
Ellenőrzés az orrfutó gondolában.
Mike Bryan tenyerei között az állásszög adó van.
A "bengáliak" gépét a század nevének megfelelően tigris motívumok díszítik.
A Lockheed Martin az USAFE spangdahlemi ezredétől kölcsönözte az F-16-ost, amellyel Steve Barter, a Lockheed Martin Tactical Aircraft Systems vezető tesztpilótája repült Kecskeméten.
Végh Ferenc altábornagyot az F-16D hátsó ülésébe kötözik be. A Honvéd Vezérkar főnöke - egykori harckocsizó tiszt - a repülőnap előtt próbálhatta ki, hogy milyen érzés F-16-oson repülni.
A Lockheed Martin brosúráján ilyen volt a magyar felségjelű Falcon.
JAS39A fekete orrkúppal, színes felségjellel és jelzésekkel. A Gripennel először 1996 szeptemberében tartottak szakmai bemutatót Kecskeméten.
1997-ben kevesen gondolták, hogy a magyar vadászgéptender négy indulójából a Gripen lesz a nyerő.
A Mirage 2000-esről lekerülnek a póttartályok, de a gyakorló repülést egy heves zivatar miatt el kellett halasztani.
Elvonult a zivatar és már gurul is a Mirage 2000C. A négy típus közül talán a franciák deltaszárnyúja repülte a leglátványosabb bemutatót.
Elvontatják a Mirage 2000-5 kétüléses változatát amelyből a Dassault a prototípust hozta el Kecskemétre.
A Royal Air Force lakkfekete Hawk T.1-es kiképzőgépén oldalkormány csere volt, a tigrisfej egy része a régi alkatrészen maradt.
A két kecskeméti bemutatópilóta, Vári Gyula és Csurgai István közel azonos programot repült a MiG-29-essel.
Az MH 47. Pápa Harcászati Repülőezred MiG-21-ese egyelőre betakarva várja a jó időt.
Kositzky Attila vezérőrnagy kigurul MiG-21-esével. A mozzanatot a Magyar Televízió kamerája rögzíti.
Ausztria ejtőernyős ugratásra, személy- és teherszállításra, tűzoltásra és célvonatásra használt többcélú könnyű szállítógépe, a Pilatus PC-6 TurboPorter.
Az 1997-es repülőnapon egy mini Tiger Meet-et is lehetett volna rendezni. Az osztrák légierő a tigriscsíkos Saab 105-ös mellett egy fémszínű példánnyal is jelen volt a repülőnapon.
Az amerikai hadsereg Magyarországon állomásozó erőitől több helikopter is átrepült Kecskemétre. Itt egy CH-47D Chinook érkezik a szakadó esőben. Az állóhelyen egy-egy cseh és magyar Albatros áll, hátul egy L-610-es lóg a képbe.
Egy Oshkosh tanker tolat a Kaposújlakról áttelepült CH-47-es mellé. Az amerikai forgószárnyasok 1995 decemberétől két és fél évig használták bázisként a kaposújlaki repülőteret.
A Chinook gyomrából egy Humvee gurul ki. Sok hely nem maradt a két jármű között.
AH-64 Apache a szombati nap reggelén. Az amerikai helikopterek csak a statikus soron szerepeltek, bemutatót nem repültek.
MEDEVAC Black Hawk a reptér déli végén.
A U.S. Army helikopterein ekkor még a Bosznia-Hercegovinában működő békefenntartó erők, az SFOR (Stabilisation Force) felirata volt.
A rossz idő miatt a Luftwaffe szombat reggelre halasztotta az áttelepülést.
A 33. vadászbombázó ezred Tornadói nukleáris csapásmérő képességgel rendelkeznek.
Az F-4F Phantom II-es már leoldotta a fékernyőjét és a típusra jellemző módon, nyitott fülketetőkkel gurul.
A statikus sorra szánt Tornado hasa alatt utántöltő konténer van, a szárnyakon gyakorló Sidewinderek és póttartályok.
A hajlékonycsöves-kosaras rendszer utántöltő konténerével a Luftwaffe Tornadói a többi Tornadót tölthették a levegőben. A Phantomok merevcsöves rendszert igényeltek.
Az állóhelyen még hátracsapott szárnyakkal álló csapásmérő pilótája gurulás közben a felszálláshoz szükséges helyzetbe állította gépe szárnyait, és a szárnymechanizációt is.
Az F-4F a Luftwaffe 73. Steinhoff vadászezredének 2. századától Laage mellől érkezett.
A német MiG-29-es szintén a Steinhoff ezred gépe volt, az 1. században repült. A Luftwaffe 2004-ben adta át utolsó MiG-29-eseit a lengyeleknek.
Egy ritkaság Kecskeméten. Az L-610-est még a hetvenes évek végén, az Aeroflot kérésére, az An-24-esek leváltására kezdte tervezni a LET. Mire a nyolcvanas évek második felére elkészült, a gazdasági környezet megváltozott és bár a kilencvenes években és az ezredforduló után is születtek tervek a típus életben tartására és értékesítésére, az L-610-es történet 2006-ban véget ért.
Egy másik cseh érdekesség, az L-39MS / L-59 Super Albatros. A gép alapvetően egy L-39C erősebb hajtóművel, megerősített törzzsel, nyugati műszerezettséggel és még számos módosítással. Ami elsőre mindenképpen feltűnő, az az egyrészes, felfelé nyíló fülketető.
A Malév Fokker 70-esét a Lockheed Martin bérelte ki, hogy a sajtót Kecskemétre repítse.
Két katonai jármű-ikon, a Humvee és az UAZ.
A NATO Express '97 nem csak repülőnap volt, hanem haditechnikai bemutató is. Az egyik állóhelyen a U.S. Army Bradley harcjárműve ázik.
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Fotó: Szórád Tamás
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté pour les CEU, les ONG et une Hongrie pro-européenne, dimanche soir dans la capitale hongroise
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