Les travaux de la phase technique de la 11e édition se dérouleront du 05 au 07 novembre 2025 à Ramada Pearl Hôtel de Ouagadougou.
Au total, 145 textes réglementaires seront évalués ainsi que trois (03) programmes et projets pour un montant de plus de douze milliards de FCFA.
La revue réalisée en 2024 a permis de noter des avancées significatives en matière de transposition et d'application des réformes communautaires. Les performances enregistrées par le Burkina Faso en 2024 révèlent un taux moyen de mise en œuvre des réformes de 88,99 contre 86,15 en 2023, soit une hausse de 2,84%.
Pour rappel, la revue annuelle des réformes, politiques, programmes et projets communautaires a été instituée par Acte additionnel de la Conférence des Chefs d'Etat et de Gouvernement du 24 octobre 2013.
Elle vise à favoriser l'accélération de l'application des réformes, politiques, programmes et projets communautaires au sein de l'UEMOA, dans le cadre de l'approfondissement de l'intégration régionale.
Ouagadougou, le 03 novembre 2025
La Direction de la Communication
Contact presse :
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380, Avenue du Professeur Joseph KI-ZERBO - 01 BP 543 Ouagadougou 01 Burkina Faso - Tél : (226) 25 31 88 73 à 76
Email : commission@uemoa.int - Site Internet : www.uemoa.int - facebook.com/UEMOAOfficielle – UEMOA_Officiel (@UEMOA_Officiel) / X- youtube.com/c/UEMOAOfficiel
Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a accordé, ce lundi 03 novembre 2025, une audience à une délégation d'Afrodescendants conduite par la présidente de l'Institut de développement de la diaspora africaine (ADDI), Dr Arikana Chihombori.
A l'issue de l'audience, Dr Chihombori a exprimé sa gratitude envers les autorités burkinabè et l'ambassade du Burkina Faso à Washington D.C. pour avoir facilité la réalisation du voyage.
Les grandes familles BIREBA, YAMEOGO, COMPAORE, ZAGRE, NIKIEMA à Zougdou, Koudougou, Ouagadougou, Sénégal, USA.
Les familles alliées : BANCE, ZONGO, ONADJA, SONDO, SIKO, OUEDRAOGO, KABORE.
La veuve Naomie BIREBA et ses enfants : Alassane, Ousseini, Asaph, Evodie et Yannick
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès survenu le jeudi 30 octobre 2025 au Centre Hospitalier Universitaire de Yalgado de leur époux, père, grand-père, grand frère et oncle Ali Goama Bireba précédement à la retraite à Koudougou.
Les obsèques se dérouleront comme suit :
Mercredi 5 novembre 2025
8h 00 : Levée du corps à la morgue du CHU-BOGODOGO pour le domicile familial sis à Wemtenga.
9h 30 : Départ pour la Salle du Royaume des Témoins de Jéhovah de Karpala Sect. 30.
10h 00 : Discours d'encouragement.
11h 00 : Départ du cortège pour le village, à Manga Zougdou (environs 70km de Ouaga).
14h 00 : Inhumation au domicile à Zougdou.
Ce jeudi 30 octobre 2025, s'est tenu à Dédougou l'atelier de clôture du projet d'assistance multisectorielle aux populations en situation d'urgence – SAVE, une initiative qui a permis d'améliorer les conditions de vie de nombreuses familles vulnérables dans les communes de Solenzo, Sanaba, Tougan et Balavé dans les régions du Bankuy et du Sourou.
« Le projet SAVE est intervenu à un moment où nous traversions une période de soudure très difficile. Nous avons reçu des denrées alimentaires essentielles pour nos enfants et pour nous-mêmes. J'ai également été formée à la saponification et j'ai reçu un kit qui m'a permis de lancer ma propre activité de production et de vente de savon », témoigne Sita, une participante venue de Tougan pour prendre part à l'atelier de clôture du projet.
Comme elle, plusieurs personnes ont bénéficié de l'appui du projet. Plus de 30 000 personnes, dont plus de 20 000 enfants, ont été accompagnées dans le cadre de ce projet à travers des activités de nutrition, de santé, de sécurité alimentaire et de protection.
Une vue des participants à l'atelier de clôtureAu cours de la cérémonie d'ouverture de l'atelier, le Directeur des opérations de l'ONG World Vision International – Burkina Faso Richard SOME a déclaré : « Au cœur de toutes nos interventions – qu'il s'agisse de la distribution de vivres, de l'appui à la création d'activités génératrices de revenus durables, de la réhabilitation des centres de santé, ou du soutien psychosocial – se trouve la quête du bien-être de l'enfant. Les enfants sont les premières victimes des crises, mais ils sont aussi les architectes de l'avenir. »
Il a ensuite salué la mobilisation de l'ensemble des acteurs pour la réussite du projet, qui a contribué à soulager de nombreuses familles dans les régions du Bankuy et du Sourou.
Financé par le Fonds Humanitaire Régional pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre (FHRAOC) à hauteur de près de 570 millions de FCFA, ce projet s'inscrit dans le cadre d'un instrument commun de financement humanitaire (Pooled Fund) géré par le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA). L'objectif principal de ce fonds est de permettre une réponse rapide, flexible et efficace aux besoins humanitaires les plus critiques et urgents dans la sous-région, notamment au Burkina Faso, au Mali et au Niger.
Distribution de vivres à 492 ménages vulnérables de la commune de Tougan dans le cadre du projet SAVELe représentant de OCHA, Simon Pierre TARAMA a, pour sa part, salué les progrès du projet SAVE, qui a réussi à apporter une assistance multisectorielle à des populations dans des zones difficiles d'accès.
Placée sous la présidence du Gouverneur de la région du Bankuy et du Sourou, représenté par la Secrétaire Générale de la Région Adjara KIENTEGA, cette rencontre a été l'occasion pour les autorités régionales de saluer l'engagement de l'ONG World Vision et ses partenaires, et de les encourager à maintenir et renforcer leur présence auprès des communautés.
La photo de famille à l'issue de la cérémonie d'ouverture de l'atelierCet atelier a réuni l'ensemble des parties prenantes qui ont reconnu l'apport considérable du projet dans l'amélioration des conditions de vie des populations touchées et formulé des recommandations au consortium dont World Vision assure le lead, afin de renforcer les acquis lors de prochaines interventions.
« Nous remercions les plus hautes autorités régionales et les ministères sectoriels au niveau déconcentré pour leur accompagnement constant. Nous sommes ici pour nous assurer que les acquis du projet continuent de transformer positivement et durablement la vie des familles », a conclu le Directeur des opérations de World Vision International-Burkina Faso.
Le service de la communication
C'est dans une ambiance bon enfant que s'est déroulée le jeudi 30 octobre 2025 la finale du tournoi maracaña (football) des acteurs de la lutte contre la cybercriminalité. Ce tournoi, initié par la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité (BCLCC), en partenariat avec l'entreprise de télécommunications Orange Burkina Faso, a opposé l'équipe de la police nationale à celle du ministère en charge de la justice. Et c'est la police nationale qui s'est imposée aux tirs au but 3-1 et remporte cette première édition de la coupe des acteurs de la lutte contre la cybercriminalité.
Premier du genre, ce tournoi a été organisé dans le cadre de la semaine nationale de lutte contre la cybercriminalité. L'objectif, selon le commandant Ahmed Ouédraogo, secrétaire général du ministère en charge de la justice est « de communier sur le terrain, en dehors des bureaux, en tant qu'acteurs de lutte contre la cybercriminalité ».
Commandant Ahmed Ouédraogo, secrétaire général du ministère en charge de la justice sur l'objectif de ce matchIl était 17h13 lorsque les rouges représentant la police nationale et les bleus représentant le ministère en charge de la justice ont commencé à en découdre sur le terrain de l'École nationale d'administration et de magistrature (ENAM), au rythme des crampons, dans une ambiance sportive et de fraternité.
Le match, mêlant performance et esprit de solidarité, a longtemps été dominé par les Rouges. Les spectateurs ont suivi le match dans une bonne ambiance certes, mais stérile, car jusqu'à la pause le score était de 0 but partout.
Une vue des supportersDe retour de la pause, aux alentours de 17h35, le jeu recommence avec la même intensité, sinon même avec beaucoup plus d'élan. Mais, malgré l'engagement des joueurs, le score reste inchangé. Toujours pas de buts jusqu'à la fin. Causes : occasions ratées, incompréhension lors des passes, souvent même des maladresses. Les deux équipes se sépareront par un score de 0 but à la fin du temps règlementaire.
À croire que les dieux du football n'étaient avec aucune des deux équipes. Après près d'une heure de jeu sans gagnant, place est maintenant faite pour les tirs au but. Chaque joueur essaie de donner le meilleur de lui-même pour remporter la victoire.
Les Rouges prennent l'avantage en ouvrant le score sur le tir précis du Nᵒ 4. Les Bleus réagissent aussitôt avec celui du Nᵒ 12 et égalisent. Cependant, au deuxième tour, les Bleus ratent leur tir face au gardien et donnent l'opportunité aux Rouges de concrétiser leur victoire. L'ensemble des tirs s'est soldé sur un score de 3 buts à 1 en faveur des Rouges (la police nationale).
Photos de famille avec les vainqueursPour le commandant Ahmed Ouédraogo, secrétaire général du ministère en charge de la sécurité, aucune équipe n'a démérité : « Ce soir, nous avons vu toute l'étendue de leurs talents. Le fair-play a également régné. Nous pouvons donc dire que l'objectif a été atteint », s'est-il exprimé.
Tout en manifestant leur joie, les vainqueurs ont salué l'organisation de ce tournoi qui a réuni des acteurs de divers domaines. Ainsi, Aboubacar Babayouré Sawadogo, ancien international burkinabè, buteur aux tirs au but et par ailleurs capitaine de l'équipe de la police nationale, a fait comprendre que c'est la discipline qui leur a valu cette victoire.
« La police est une entité de discipline, de courage et de bravoure. Nous avons mis toutes ces valeurs en pratique sur le terrain. Et c'est ce qui nous a vraiment valu cette victoire ce soir. »
Cette cérémonie de clôture a été marquée par la remise de médailles et de trophées, le tout dans une ambiance de fraternité. Les vainqueurs repartent donc avec des médailles, le trophée et la somme de 300 000 FCFA. Quant aux 2ᵉˢ, ils quittent la compétition avec des médailles et la somme de 200 000 FCFA.
Aboubacar Babayouré Sawadogo, ancien international burkinabè, buteur aux tirs au but et par ailleurs capitaine de l'équipe de la police nationaleÀ noter qu'au départ, ce sont au total huit équipes qui ont pris part à ce tournoi maracaña des acteurs de la lutte contre la cybercriminalité. Il s'agit notamment de l'Association des journalistes sportifs du Burkina, de l'Association nationale des opérateurs de télécoms, de la police nationale, de l'Institut supérieur des technologies de Tanghin, de l'Association des réparateurs de téléphones portables au Burkina Faso, du ministère en charge de la justice, du ministère en charge de la transition digitale et de l'équipe de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité.
Muriel Dominique Ouédraogo (stagiaire)
Lefaso.net
« Innaa lillahi wa innaa ilayhi raaji'uun »
(Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons)
La grande famille BAKOUAN à Didyr (GUIWOLY),
Le patriarche Mahamoudou BAKOUAN et frères Salam, El Hadj Séni, El hadj Moctar, Issoufou à Didyr, Yayé Joseph à Ouagaduou,
Les fils El hadji Moussa, Issa, Zackaria, Hamzata, Sadikou à Ouagadougou, Ibrahim en République de Côte d'Ivoire, Mounir à Kirsi, Mohamed, Salihina à Didyr, Bachirou à Nandiala, les petits enfants Abdel Rachid, Tarif à Ouagadougou, Farid au Canada, tous les enfants de GUIWOLY au Burkina et ailleurs ont la très profonde douleur de vous annoncer le rappel à Allah de leur frère, père et grand père El Hadj Boukary BAKOUAN le dimanche 2 novembre 2025 à midi à l'âge de 81 ans.
L'inhumation suivi du douah est prévue pour le lundi 3 novembre 2025 à 9 H 30 au domicile du défunt
Que les âmes des défunts reposent en paix.
Le Programme des nations unies pour le développement (PNUD) et l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), sous la tutelle du ministère de l'Administration territoriale et de la mobilité, ont tenu le huitième et dernier cadre de concertation du projet « Prévention et gestion des conflits (PREGEC) dans la région du Goulmou » les 29 et 30 octobre 2024 à Fada N'Gourma.
Mis en œuvre depuis décembre 2020 dans les communes de Fada N'Gourma, Diapangou, Diabo, Piéla et Bilanga, l'objectif du projet de Prévention et de gestion des conflits dans la région de l'Est (PREGEC) est de réduire les risques de conflits et de renforcer le processus de cohésion sociale inclusive des groupes les plus à risque dans la région.
Ce moment d'introspection sur les actions menées dans le cadre du projet est l'occasion pour les acteurs impliqués et les bénéficiaires de faire le bilan de la mise en œuvre du projet, qui arrive à son terme, tout en invitant à pérenniser les acquis du PREGEC.
Le secrétaire général de la région du Goulmou, Siaka OuattaraÀ l'ouverture de la session, le secrétaire général de la région du Goulmou, Siaka Ouattara, a souligné que les actions du projet sont visibles dans la région. « Nous disons merci au PNUD et à ses partenaires pour la mise en œuvre du projet dans notre région. Nous travaillerons à pérenniser les acquis », a-t-il rassuré.
Une visite sur le terrain a permis de constater certaines réalisations dans la ville de Fada. Le centre d'écoute et de documentation de la direction régionale en charge des droits humains est équipé de 50 chaises et de 2 ordinateurs de bureau. De plus, un magasin de stockage d'aliments pour bétail d'une capacité de 25 tonnes a été construit au secteur 2, ainsi qu'un site maraîcher d'une superficie d'un hectare (1ha) dans l'enceinte de l'INERA Fada, exploité par 30 personnes, dont 20 déplacés internes, entre autres.
Magasin de stockage d'aliments pour bétailsSelon les bénéficiaires du projet, ces réalisations ont contribué à changer des vies. « Maintenant, nous produisons dans ce site maraîcher et tout est à notre disposition pour le travail. J'étais assis sans rien faire. Grâce au projet, j'ai du travail et les jours à venir sont prometteurs », confie Soudouem Ouango.
Soudouem Ouango, bénéficiaire du projetDame Barkissa Barry, déplacée interne, souligne l'importance de l'accompagnement du projet : « J'ai reçu 6 petits ruminants et leur aliment. Je promets de travailler pour agrandir mon cheptel », rassure-t-elle.
Barkissa Barry, bénéficiaire du projetPour le coordonnateur par intérim du PREGEC, Thierry Zango, le projet a contribué à réduire les conflits liés au foncier et à la gestion des ressources naturelles, tout en renforçant les moyens d'existence des communautés par la réalisation de sites maraîchers, de biodigesteurs et de forages. Un accompagnement sur le mécanisme de prévention et de gestion des conflits a également été mis en place. « Nous avons accompagné la région à se doter d'une stratégie régionale de cohésion sociale et de consolidation de la paix, permettant à tous les acteurs d'intervenir dans ce domaine selon les orientations définies. Nous demandons aux bénéficiaires d'en faire bon usage dans l'esprit du projet, afin de renforcer la cohésion sociale entre les personnes déplacées et la communauté hôte. Que les directions prennent la relève pour assurer la durabilité et la pérennité des investissements du projet », a-t-il souhaité.
Site maraîcherLe projet PREGEC est mis en œuvre dans la région par le consortium PNUD, FAO, avec des partenaires comme OCADES Fada, Tin Tua, le RECOPA et INTERPEACE, sous le financement du Fonds de consolidation de la paix du secrétaire général des nations unies.
L. Youmandja
Lefaso.net
Le projet Accélérer les dynamiques d'innovation dans l'agriculture par le renforcement des services support à l'innovation (AcceSS) » a organisé un marché des innovations agricoles (MIA) dédié à l'agroécologie en marge de la 15 édition du FRSIT. Ce MIA s'est tenu le jeudi 23 octobre 2025 à la salle de la créativité Thomas SANKARA du SIAO. Il a permis à des porteurs de projets innovants dans le domaine de l'agroécologie d'exposer leurs besoins de partenariat à des fournisseurs de services support à l'innovation (banques, services techniques, agence Onusiennes, ONG, fonds, etc.). La journée a été rythmée par des panels, des world café et une exposition des produits.
Cet événement dédié à l'agroécologie était sous le parrainage du ministre de l'Environnement, de l'Eau et de l'Assainissement. Le Secrétaire Général dudit ministère Dr. Bouraïma KOUANDA, représentant du ministre a rappelé à l'auditoire présent que
« Ensemble, nous pouvons transformer les défis en opportunités et tracer la voie d'une agriculture plus résiliente », a laissé entendre le Délégué général du Centre National de la Recherche Scientifique et Technologique (CNRST), Dr. Emmanuel NANEMA.
Selon lui, le MIA va bien au-delà d'une simple rencontre B to B : il a favorisé la prise d'engagements forts entre porteurs de projets et partenaires techniques et financiers, ouvrant ainsi la voie à des solutions concrètes face aux défis liés à la production et à l'accès aux bio-intrants.
Le représentant du Représentant national de la FAO Dr. Pidemnewe PATO a rappelé la place importante de l'agroécologie pour une alimentation saine. Et une activité comme le MIA va permettre de booster l'agroécologie au Burkina Faso.
Pour terminer, rappelons que le projet AcceSS est mis en œuvre par un consortium de plusieurs acteurs que sont le CNRST, le Cirad, La Fabrique, le CEDRES de l'Université Thomas Sankara, Experts Synergy Consulting, Icra, Afric'innov et le Bureau de l'innovation (OIN) de la FAO à Rome.
La Société Générale d'Expertise Comptable et d'Audit (SOGECA INTERNATIONAL SARL) recrute pour le compte d'une structure de la place, les profils ci-dessous :
I. Qualification, expériences professionnelles et aptitude pour les postes à pourvoir
POSTE N° 1 : Expert international ou national en système des laboratoires et en management de qualité.
Nombre de poste à pourvoir : Un (01)
1.1 CONDITIONS ET COMPETENCES OBLIGATOIRES
L'expert international ou national doit :
– être un pharmacien biologiste ou médecin biologiste titulaire d'un diplôme d'études supérieures en biologie clinique ou médicale ;
– disposer de certificats ou attestations de formation en audit et en management de la qualité (ISO 9001, ISO 15189) au laboratoire ;
– Une expérience de terrain d'au moins dix (10) années au laboratoire ;
– Une expérience au laboratoire (management ou gestion des laboratoires, bactériologie ; virologie, parasitologie, mycologie, biochimie, hématologie, immunologie, biologie moléculaire), serait d'un grand atout ;
– Une connaissance approfondie sur les normes ISO : 9001, ISO : 15189 et ISO : 15190 ;
– Une expérience approfondie dans l'élaboration des procédures selon les normes ISO est souhaitable ;
– Une expérience en matière de gestion des stocks des matériels et équipements médicaux, et des produits chimiques ; Une expérience en planification, suivi & évaluation ;
– Une expérience en quantification des besoins des laboratoires en intrants ;
– Une bonne maitrise des outils informatiques (Word, Excel, Powerpoint) et en communication est requise ; Une expérience dans l'élaboration de documents de planification stratégique et de documents techniques ;
1.2 PRINCIPALES MISSIONS DE L'EXPERT INTERNATIONAL OU NATIONAL
– Assurer une formation sur le système national des laboratoires du Burkina Faso ;
– Elaborer une grille d'évaluation des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Assurer une formation sur l'évaluation des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Assurer une formation sur la mise en place du SMQ ;
– Générer un rapport de synthèse sur l'état actuel des systèmes QMS, y compris la participation des laboratoires à des programmes formels de tests de compétence (c'est-à-dire générer et recouper les données pour l'indicateur Lab-3 sur la participation à l'EEQ, qui fait partie du cadre de performance du Fonds mondial)
– Mettre en place un système qui lie les activités du réseau de laboratoires aux activités de l'initiative régionale WARIL pour établir une communication solide entre l'IPD, le DLMB et le LCR, et pour définir quels laboratoires participeront aux activités de l'EEQ financé sous le projet WARIL.
– Assurer une formation sur l'élaboration des plans d'amélioration continue des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Appuyer les assistants régionaux à l'élaboration des plans d'amélioration continue des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Apporter un appui technique sur l'application du manuel de sécurité dans les laboratoires de biologie médicale
– Assurer une formation sur l'exploitation des données des laboratoires ;
– Proposer un canevas de rapport détaillé du suivi des activités de laboratoires réalisées ;
– Elaborer un rapport général de mission.
POSTE N° 2 : Assistant technique régional de laboratoires.
Nombre de poste à pourvoir : Treize (13)
2.1 CONDITIONS ET COMPETENCES OBLIGATOIRES
Les assistants techniques (AT) doivent :
– être de nationalité Burkinabé ;
– être des biologistes (médecin ou pharmacien titulaire d'un diplôme d'études supérieures en biologie clinique, technologistes biomédicaux titulaires d'un master en biologie médicale) ;
– avoir fait au moins trois (03) ans au laboratoire pour les médecins et pharmaciens titulaires d'un diplôme d'étude supérieure en biologie clinique ;
– avoir au moins cinq (05) d'expérience au laboratoire pour les technologistes biomédicaux titulaires d'un Master en biologie médicale.
2.2 PRINCIPALES MISSIONS DE L'ASSISTANT TECHNIQUE
– Assurer l'accompagnement du personnel des laboratoires sur la rédaction des documents qualité ;
– Évaluer les laboratoires des CHR, des CMA et des CM au début et à la fin de l'accompagnement ;
– Élaborer des plans d'amélioration des laboratoires des CHR, des CMA et des CM ;
– Appuyer techniquement pour la mise en œuvre des plans d'amélioration des laboratoires des CHR, des CMA et CM ;
– Appuyer les laboratoires dans la mise en œuvre des recommandations du Contrôle national de la qualité des analyses de biologie médicale et des autres évaluations externes de la qualité, le cas échéant ;
– Accompagner les laboratoires dans la transmission mensuelle des données relatives au suivi de disponibilité des examens traceurs, à la surveillance de la résistance aux antimicrobiens ;
– Transmettre trimestriellement les données sur la disponibilité et la fonctionnalité des équipements et la maintenance ;
– Appuyer les laboratoires dans la notification des incidents liés à l'utilisation des DMDIV ;
– Appuyer à la dissémination des différents documents normatifs dans le domaine des laboratoires ;
– Appuyer les laboratoires pour la mise du manuel de sécurité dans les laboratoires de biologie médicale,
– Appuyer la DLBM dans la gestion de stock et le suivi de la consommation des intrants de laboratoire (gestion des données logistiques laboratoires) ;
– Appuyer les structures dans la réalisation des différentes formations de renforcement de capacités des agents de laboratoire ;
– Elaborer chaque trimestre un rapport détaillé du suivi des activités de laboratoires réalisées et le transmettre à la Direction des laboratoires de biologie médicale (DLBM) ;
– Participer aux rencontres trimestrielles de suivi de l'assistance technique régionale par la Direction des laboratoires de biologie médicale.
– Appuyer les laboratoires pour la mise en œuvre du système d'information de laboratoire
– Suivre de façon particulière le fonctionnement et la disponibilité des réactifs des appareils de biologie moléculaire (automates et genexpert) pour les laboratoires de leur région.
II. Composition de dossiers
Le dossier de candidature sera composé des pièces suivantes :
• Une demande manuscrite timbrée à 200 francs CFA et adressée à Monsieur l'Associé Gérant du Cabinet SOGECA International ;
• Une copie légalisée de la CNIB ;
• Un extrait de naissance ;
• Des photocopies légalisées des diplômes demandés ;
• Une lettre de motivation de deux pages maximums ;
• Un curriculum vitae détaillé, daté et signé du candidat et faisant ressortir les expériences professionnelles du candidat ;
• Des photocopies légalisées attestations ou certificats de travail pouvant justifier l'expérience.
III. Déroulement du recrutement
Le recrutement se fera selon la procédure suivante :
• Une phase de présélection sur dossier ;
• Et une phase d'entretien oral avec les candidats retenus avec un comité en vue de la sélection définitive.
IV. Localisation du poste
Dans le cadre de leurs missions, ils auront à effectuer de fréquents déplacements à l'intérieur du pays.
V. Nature du contrat
Le personnel recruté sera soumis à un contrat à durée déterminée de douze (12) mois pour les assistants techniques régionaux de laboratoires et d'un contrat de consultance de 12 mois pour l'Expert international ou national en système des laboratoires et en management de qualité.
VI. Lieu et date de dépôt des dossiers
Les dossiers doivent parvenir au siège de SOGECA INTERNATIONAL sis à Ouagadougou, Secteur 7 Gounghin, Face à la RN N°1, 2e étage de Immeuble SANKARA Boukaré, côté Nord Est du Marché de Gounghin à côté de la pharmacie KAMIN, Tel : 25 34 34 00.
Les dépôts des dossiers sont également autorisés à l'adresse mail : infos@sogecaburkina.com, pour le poste de l'Expert international ou national au plus tard le 14 novembre 2025 à 17 H 00.
NB :
La version détaillée et complète de l'AVIS peut être consultée sur le site web du cabinet SOGECA INTERNATIONAL à l'adresse suivante : www.sogecaburkina.com
Les dossiers sont recevables du lundi au vendredi de 08h30 à 12h30 et de 14h à 17h00 ;
Les dossiers incomplets ne seront pas acceptés ;
Tous les dossiers reçus restent la propriété du Cabinet ;
Seuls les candidats présélectionnés seront contactés ;
Le cabinet se réserve le droit de ne donner suite à ce recrutement.
Pour avis
Sompagnimdi Joseph KAFANDO
Expert-comptable Diplômé
Associé Gérant de SOGECA International
– Les grandes familles : Traoré, Soura, Héma et Nikiéma à Douna, Banfora, Bobo Dioulasso, Ouagadougou et en France
– Les familles alliées : Zoungrana, Hien, Ouédraogo, Compaoré, Bassolet et Tindano à Ouagadougou et en France.
– Mme Zoungrana/Traoré Lalla Nadège ses frères et sœurs à Ouagadougou et Bobo Dioulasso
– La veuve Traoré/Nikiéma Sylvie
– Les enfants : Traoré Rachid Lionel à Bobo Dioulasso
– Traoré Nouroudine Wilfried à Ouagadougou
– Tindano née Traoré Laeticia en France
– Traoré Ange à Ouagadougou
– Les petits enfants : Traoré Kenou et Gloria à Ouagadougou
Vous remercient du fond du cœur pour vos soutiens multiformes et de compassions que vous leur avez témoignés lors du rappel à Dieu le 27 Septembre 2025 et de l'enterrement le 02 Octobre 2025 de leur fils, frère, neveu, cousin, oncle ; époux, père, grand père, beau-frère et beau-père Mr Traoré Adjibou Hermann précédemment logisticien à la coopération Italienne à Ouagadougou.
Ils se gardent de citer des noms de peur d'en oublier. Que le seigneur vous comble de ses grâces et vous rende le centuple de vos bienfaits. Ils vous informent par ailleurs que des messes seront dites à son intention aux dates ci-après :
– Dimanche 09/11/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
– Dimanche 16/11/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
– Dimanche 23/11/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
– Dimanche 30/11/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
– Dimanche 07/12/2025 à 9h à l'église notre dame des apôtres.
UNION DE PRIERE
KAFANDO FRANÇOIS (TAMPOUY SAMAND-NAABA) NE en 1940 DCD le 20-08-2024
Je suis la résurrection et la vie
Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra,
Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais
Jean 11, 25-26
1
Le Naaba Kiiba chef de Tampouy et ses notables
La grande famille KAFANDO à Tuili (Zinikouy)
Tampouy, Bilbalgo, Nagrin, Karpala, Canada
La famille KAFANDO Tibila Daniel à Karpala
La famille du feu KAFANDO Goama Hippolyte
La famille du feu KAFANDO Tibila
Les familles alliées et belles familles
OUÉDRAOGO,TRAORE,KABORE,SOUBEIGA,
ROUAMBA,NIKIEMA,ZONGO,AKOUANDAMBOU,
COMPAORÉ et SAWADOGO
Vous réitérez leurs remerciements pour les nombreuses marques de sympathies de soutien moral spirituel et financier lors du rappel à Dieu de leur Père, grand-père, frère, ami, beau-père, oncle, arrière-grand-père KAFANDO FRANÇOIS (Tampouy Samand-Naaba) précédemment agent de la mairie de Ouagadougou à la retraite décédé le 20 AOÛT 2024 à l'âge de 84 ans.
Que Dieu tout puissant vous le rende au centuple
Par ailleurs elles vous informent que la grande messe tenant lieu de funérailles chrétiennes se déroulera selon le programme ci-après :
VENDREDI 07 NOVEMBRE 2025
Veillée de prière à l'Église Saint JEAN MARIE VIANNEY de Tampouy à 20H00
SAMEDI 08 NOVEMBRE 2025
Messe à l'Église Saint JEAN MARIE VIANNEY de Tampouy à 08H00
Nul ne disparait lorsque son souvenir demeure toujours dans nos cœurs
Sa majesté Naaba Kiba II chef du canton de Manga,
Le Tengsoba de Manga,
Le responsable coutumier de Gaogo,
Les grandes familles : KONDITAMDE, BOUDA, KABRE, ZAGRE, NIKIEMA, KINDA, GOUNGOUNGA, NACOULMA, ZOUNGRANA, à Gaogo, Manga et Ouagadougou ;
La famille de feu KONDITAMDE Joseph ancien maire de la commune de manga, à Manga et Ouagadougou,
KONDITAMDE Gabriel, ADJEPOUA/KONDITAMDE Louise, KONDITAMDE Paul, BOUDA Sébastien, ZAGRE Marc et Xavier, à Manga et à Ouagadougou ;
La famille de Feu KAGAMBEGA Nestor à Banfora ;
KAGAMBEGA Gérard et famille à Koudougou ;
Les familles alliées : KAGAMBEGA, YAMEOGO, RAMDE à Nayalgué, Koudougou et à Banfora, OUEDRAOGO à Koubri, ADJEPOUA à Pô et Ouagadougou, SEGUEDA à Katoulbéré /Ouargaye, Tenkodogo et Ouagadougou, DAH à Kampti et Ouagadougou, KALBAMBA à Bobo- Dioulasso et Ouagadougou, GUIGMA à Koupéla, SEMDE à Bobo-Dioulasso et Ouagadougou ;
Les enfants : Francis Éric à Manga ; Viviane épouse DAH, Landry, Nathalie épouse KABORE, Claude Joël à ouaga ;
Les beau fils et belle fille : DAH Ollo Frédéric, KONDITAMDE /SEGUEDA Z. Béatrice Félicité,
Les petits-enfants : Cédric Ben Anicet, Cécilia Leslie, Yan Anthony, Joseph Andy, Josias Emeric, Yéri Sarah Francine, Nacer Amadou, Sandrine Valérie, Joseph.
Les arrières petits-enfants : Hicham Ismaël, Awa Inaya Marceline, Jahdielle Viviane Nebnooma
Les Neveux et Nièces à Banfora, Koudougou, Ouagadougou et Pabré.
Très touchés par les nombreux témoignages de sympathie, de compassion, d'amitié, de soutiens multiples et multiformes manifestés lors du rappel à Dieu le 17 février 2025 et de l'inhumation le 20 février 2025 à Song-Naaba de leur épouse, sœur, mère, belle-mère, tante, grand-mère et arrière-grand-mère :
Mme KONDITAMDE/KARAMBEGA Marceline
Agent des services financiers à la retraite à Song-Naaba
Chevalier de l'Ordre du Mérite
Elles vous renouvellent leur profonde gratitude et leurs sincères reconnaissances, et vous convient à la grande messe tenant lieu de funérailles chrétiennes, qui sera célébrée à son intention, le samedi 08 Novembre 2025 à la paroisse notre Dame des Apôtres de la Patte d'oie, Ouagadougou à 8 heures 00 précédée d'une veillée de prière le Vendredi 07 Novembre 2025 à 20 heures, à la chapelle de Song Naaba.
Union de prières !!!
‘'… Venez, les bénis de mon père, recevez en partage le Royaume qui a été préparé pour vous depuis la fondation du monde'' Mathieu 25,34.
Les grandes familles BADO, BATIEBO et alliées ;
Profondément touchées par les nombreuses marques d'amitié, de fraternité, de sympathie, de compassion, de soutien spirituel, moral, matériel, financier et d'affection reçues lors du rappel à Dieu le 20 octobre, de l'inhumation le 23 octobre et de la grande messe de requiem le 26 octobre 2025, de BADO née KANTIEBO Elisabeth ;
Expriment leur sincère et profonde gratitude à tous ceux et celles qui de près ou de loin, ont témoigné leur sympathie dans cette douloureuse épreuve, par leurs présences, paroles, messages, prières ou gestes attentionnés.
Ils se gardent de citer des noms de peur d'en oublier.
Toutes pensées, toutes présences, tous mots réconfortants resteront gravés dans leur cœur comme un témoignage d'amour et d'humanité.
Que le tout puissant rende au centuple les bienfaits de chacun.
UNION DE PRIERES
Le ministère de la Transition digitale, des postes et des communications électroniques a ouvert, ce mardi 28 octobre 2025 à Ouagadougou, la conférence inaugurale sur l'Intelligence artificielle (IA). Co-présidée par la ministre de la transition digitale, des postes et des communications électroniques, Dr Aminata Zerbo/Sabané, et le ministre de la communication, de la culture, des arts et du tourisme, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo, cette rencontre marque le lancement officiel d'une vaste campagne nationale de sensibilisation et de renforcement des capacités sur les enjeux stratégiques de l'IA pour le Burkina Faso.
Le Burkina Faso a décidé d'accélérer sa transformation numérique et d'inscrire l'intelligence artificielle au cœur de sa stratégie de développement. Dans un contexte de reconquête de la souveraineté nationale sous toutes ses formes, le gouvernement place cette technologie au service de la modernisation de l'État, du renforcement de la sécurité, de la promotion de l'innovation locale et de l'amélioration du bien-être des populations.
Organisée à l'université Joseph Ki Zerbo, la conférence inaugurale a réuni plusieurs acteurs : communicateurs institutionnels, journalistes, universitaires, responsables de systèmes d'information, innovateurs, acteurs de la société civile et étudiants.
Ousmane Ouattara, secrétaire général du gouvernement et du conseil des ministres, a insisté sur la cohérence et l'efficacité de l'action publique à l'ère de l'intelligence artificielleAu nom du ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, Adjima Thiombiano, l'un des co-parrains de cette conférence inaugurale, le secrétaire général du gouvernement et du conseil des ministres, Ousmane Ouattara, a ouvert les échanges. Il a insisté sur la nécessité de faire de l'intelligence artificielle un instrument d'efficacité et de cohérence de l'action publique. Selon lui, « l'intelligence artificielle est un enjeu de cohérence et d'efficacité de l'action de l'État ».
La salle PSUT de l'université Joseph Ki-Zerbo a accueilli du monde pour cette conférence inaugurale sur l'intelligence artificielleOusmane Ouattara a illustré cette vision par LegiChat, une plateforme d'intelligence artificielle développée pour faciliter l'accès aux textes législatifs et réglementaires du pays. « Ce n'est pas seulement un outil technologique, mais un symbole de notre volonté d'affirmer notre souveraineté numérique », a-t-il souligné, avant d'appeler à la mise en place d'un cadre éthique, juridique et sécuritaire solide pour encadrer le développement de cette technologie.
Pour sa part, la ministre de la transition digitale, Dr Aminata Zerbo/Sabané, a replacé le débat dans une perspective géopolitique mondiale. « L'intelligence artificielle est désormais un instrument de puissance, un déterminant majeur de la souveraineté des nations qui redéfinit les équilibres du monde », a-t-elle déclaré. Elle a mis en garde contre le risque de dépendance technologique si les pays africains ne s'approprient pas rapidement cette révolution numérique : « Notre pays ne peut pas rester en marge de cette vision. Nous avons choisi de ne pas subir les menaces, mais de saisir les opportunités », a-t-elle martelé.
« Investir dans l'intelligence artificielle aujourd'hui, c'est investir dans notre indépendance de demain », Aminata Zerbo/SabanéLa campagne nationale qui s'ouvre vise à démocratiser l'usage de l'intelligence artificielle, à développer des compétences locales et à encourager les initiatives innovantes dans tous les secteurs d'activité.
Le ministre de la communication, de la culture, des arts et du tourisme, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo, a quant à lui attiré l'attention sur les risques d'ingérence numérique. « L'intelligence artificielle peut devenir une arme de déstabilisation massive », a-t-il averti, évoquant la désinformation algorithmique et la manipulation de l'opinion publique. Il a également insisté sur la nécessité de préserver l'identité culturelle nationale : « L'intelligence artificielle n'est pas seulement une question d'algorithmes ; c'est une question d'âme et d'identité culturelle », a-t-il ajouté, appelant à développer des modèles enracinés dans les langues et les valeurs burkinabè.
Pingdwendé Gilbert Ouédraogo appelle à défendre l'identité culturelle burkinabè dans l'espace numérique mondialCette conférence marque le point de départ d'un processus participatif associant les secteurs public et privé, le monde académique, la jeunesse et la société civile. Selon Dr Aminata Zerbo/Sabané, « investir dans l'intelligence artificielle aujourd'hui, c'est investir dans notre indépendance de demain ».
Photo de familleLe Burkina Faso entend ainsi tracer sa propre voie vers la souveraineté numérique, en s'appuyant sur une intelligence collective nationale et en veillant à ce que la technologie serve le développement humain, social et culturel du pays.
Anita Mireille Zongo (stagiaire)
Lefaso.net
Le ministre de la fonction publique, du travail et de la sécurité sociale, Mathias Traoré, a officiellement lancé ce mardi 28 octobre 2025 l'application mobile eCNSS Burkina. Le lancement de cette application mobile s'inscrit dans le processus de digitalisation des prestations engagées par la CNSS. eCNSS a pour objectif de simplifier l'accès aux services de la CNSS, de fluidifier les échanges entre les usagers et la Caisse et de renforcer la transparence et la confiance grâce à des services en temps réel. eCNSS est disponible sur Playstore.
L'application eCNSS constitue la version mobile de la plateforme eCNSS lancée en novembre 2023. Elle permet aux assurés et aux employeurs de rester en contact permanent avec la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS). Le lancement ce jour de cette application, témoigne selon le directeur général de la CNSS, Dr Hermann Yacouba Nacambo, de l'engagement continu de la Caisse à moderniser ses services et à améliorer l'accessibilité pour tous les assurés, de son dévouement à l'innovation et de sa réactivité aux besoins évolutifs de ses parties prenantes.
Dans une ère définie par la transformation numérique, la CNSS a voulu saisir l'occasion qu'offre la technologie pour combler les écarts et améliorer l'efficacité de ses prestations. " C'est pourquoi l'application mobile eCNSS est conçue pour rapprocher nos services de nos partenaires sociaux, où qu'ils soient. Avec la généralisation des téléphones intelligents, nous avons voulu mettre cette application à portée de main de tout Burkinabè, où qu'il soit", a laissé entendre Dr Hermann Yacouba Nacambo.
Selon le directeur général de la CNSS, Dr Hermann Yacouba Nacambo, l'application eCNSS offre de nombreux avantages aux employeurs et employésUne facilité d'accès aux prestations pour toutes les parties prenantes
A en croire le directeur général de la CNSS, eCNSS offre des avantages pour les employeurs, les employés et pour la CNSS elle-même. En ce qui concerne les employeurs, il indique que l'application permet de voir la carrière de leurs employés ; payer des cotisations par ordre de virement bancaire, par mobile money, par carte Visa ; demander un calendrier de paiement ; disposer d'une attestation de situation financière ; demander des bulletins de présence des travailleurs ; etc.
Les employés quant à eux peuvent consulter leurs comptes individuels, ainsi que leurs dossiers de prestations et les paiements ; déposer des pièces de maintien de droits ; demander des avances sur prestations ; simuler le calcul de la pension ; consulter leurs paiements ; etc. Les travailleurs de la diaspora qui, souhaitent adhérer à l'assurance volontaire peuvent désormais grâce à cette application interagir directement avec les services de la CNSS.
La CNSS peut à travers l'application mobile, consulter toutes les situations des employeurs ; consulter toutes les situations des travailleurs ; prendre la position GPS de l'employeur en vue des contrôles ; etc. " En définitive, la plateforme eCNSS et eCNSS mobile sont une opportunité pour la CNSS du Burkina Faso de venir à bout de l'épineuse et récurrente problématique de la mise à jour du compte individuel des assurés ; améliorer les délais de liquidation des prestations, voir liquider une pension en une journée ; mettre fin aux files d'attente à nos guichets en faisant gagner du temps précieux à nos assurés et partenaires", conclut le directeur général.
Plusieurs usagers sont venus assister au lancement de cette application qui va simplifier les processuseCNSS, une preuve de la modernisation continue des prestations de la CNSS
Pour le ministre de la fonction publique, du travail et de la protection sociale, Mathias Traoré, l'application eCNSS est en adéquation avec le chantier de modernisation des services publics à travers la dématérialisation des actes administratifs et une digitalisation des prestations publiques, entrepris par le gouvernement.
" eCNSS permet aux citoyens de prendre le contrôle de leurs informations de sécurité sociale, de rester informés de leurs droits et obligations, et d'interagir avec la Caisse nationale de sécurité sociale de manière transparente et sécurisée. L'introduction de cette application représente une avancée significative dans nos efforts collectifs pour moderniser les services publics et améliorer l'écosystème de la sécurité sociale au Burkina Faso", a-t-il souligné.
Mathias Traoré n'a pas manqué d'encourages la CNSS et les autres organismes de prévoyance sociale à poursuivre les efforts de modernisation, pour non seulement améliorer leur efficacité opérationnelle, mais également offrir des services plus accessibles et plus conviviaux aux assurés.
Le ministre du travail, Mathias Traoré, a encouragé les parties prenantes à adopter cette nouvelle applicationTout en encourageant tous les citoyens, employeurs et assurés à adopter l'application mobile eCNSS Burkina, le ministre s'est engagé à suivre deux mois durant le fonctionnement de l'application, et a même invité toute personne qui rencontrerait des difficultés dans l'installation ou l'utilisation de la plateforme, à contacter ses services.
Le directeur général de la CNSS a indiqué que plusieurs autres projets sont en cours, toujours dans le souci d'offrir de meilleurs services aux assurés. Il s'agit du système d'archivage électronique, de la modernisation des cartes d'affiliation des chauffeurs routiers, de la mise en œuvre d'agents conversationnels avec l'intelligence artificielle pour la plateforme eCNSS, le site Web de la CNSS ainsi que les pages Facebook et de l'intégration du système biométrique dans la gestion de ses pensionnés.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
Au lendemain de la proclamation des résultats provisoires donnant Alassane Ouattara largement vainqueur, l'opposant Tidjane Thiam a dénoncé une élection « non conforme aux standards démocratiques ». Plusieurs figures de l'opposition partagent son constat, pointant un processus « verrouillé » et une faible participation.
L'opposant ivoirien Tidjane Thiam a réagi avec fermeté après la publication des résultats provisoires de la présidentielle. Dans une vidéo diffusée sur ses réseaux sociaux, le président du PDCI-RDA a estimé que le scrutin du 25 octobre « n'a pas été une véritable élection », dénonçant un processus entaché par la peur et la démobilisation des électeurs.
« Ce qui vient de se passer n'est pas une véritable élection et ce à quoi nous avons assisté ne fait pas honneur à notre pays », a déclaré l'ancien banquier international, avant d'appeler à « rejeter la violence et à œuvrer pour la paix ».
Selon lui, le scrutin « a eu lieu dans un climat de peur et a été marqué par une faible participation, visible et reconnue de tous ». Il a également regretté que l'élection ait davantage divisé les Ivoiriens au lieu de les rassembler, appelant les acteurs politiques à « s'unir pour reconstruire la confiance ».
Une opposition divisée
Si Jean-Louis Billon, autre candidat de l'opposition, a reconnu sa défaite et félicité le président sortant, d'autres figures contestent la régularité du scrutin. L'ex-première dame Simone Gbagbo, candidate du Mouvement des générations capables (MGC), a dénoncé un « système électoral inéquitable et verrouillé », accusant la Commission électorale indépendante (CEI) d'être « sous l'influence écrasante du pouvoir ».
Dans une dépêche de l'Agence ivoirienne de presse (AIP), elle évoque un fichier électoral « truffé de doublons » et une opposition « minée par ses propres divisions ». Selon elle, certains acteurs ont contribué à « créer un climat de peur et de violence » ayant découragé de nombreux électeurs à se rendre aux urnes.
Tout comme Tidjane Thiam, elle a condamné les violences signalées dans plusieurs localités du pays et invité les autorités à la clémence envers les militants interpellés pendant le scrutin.
Selon les chiffres provisoires publiés par la Commission électorale indépendante, le président sortant Alassane Ouattara a été réélu dès le premier tour avec 89,77 % des suffrages exprimés. Il devance Jean-Louis Billon (3,09 %), Simone Gbagbo (2,42 %), Ahoua Don Mello (1,97 %) et Lagou Adjoua Henriette (1,15 %).
Samira Ouédraogo
Lefaso.net
Julien Nana, joueur de floorball du club Baobab de Saaba, a été distingué le 22 octobre 2025 par l'Association des journalistes sportifs du Burkina (AJSB). Le 26 octobre, le lauréat a présenté à sa fédération les prix qu'il a reçus lors d'une cérémonie à Ouagadougou.
Le 26 octobre 2025, la Fédération burkinabè de floorball (FBFL) a organisé une cérémonie sobre mais pleine de symboles, pour honorer son joueur Lucien Nana du club Baobab de Saaba. Pour la circonstance, le bureau fédéral, la Ligue du Centre de floorball, les membres du club Baobab de Saaba, des invités, étaient présents. L'objet de la cérémonie était la présentation par le joueur Lucien Nana de ses prix obtenus lors de la Nuit des champions (NDC AJSB), le 22 octobre dernier.
Le champion AJSB floorball Julien Nana, s'adressant à l'assistanceJulien Nana, joueur de Baobab de Saaba, a été reconnu méritant au vu de ses efforts ayant conduit son club au sacre de champion national. Premier à prendre la parole, le lauréat Julien Nana, tout ému, a remercié le bureau fédéral pour cette cérémonie en son honneur, de même que l'assistance présente. Il a laissé entendre que ce sont les contributions de tous, les coéquipiers, les encadreurs, le bureau fédéral, la ligue, qui lui ont permis de se transcender pour performer, et que sa consécration n'est pas uniquement la sienne, mais celle de toute la famille floorball.
Photo de famille du lauréat avec les membres fédéraux, de la ligue et de Baobab de SaabaÀ la suite du joueur, le président de la FBFL, Adama Kouenda, s'est exprimé : « Notre cérémonie a un double objectif. Le premier, ce sont nos félicitations à notre lauréat de la NDC AJSB 2025. Non seulement il a reçu le prix AJSB, et c'est lui qui a gagné le super prix des votes du public parmi plus d'une vingtaine de candidats, cela fait grandir non seulement son nom, mais le floorball, bien que la discipline ne soit pas encore connue, et soit toujours en phase de vulgarisation », s'est-il réjoui.
Les prix obtenus par Julien Nana, le trophée AJSB, le super trophée du public, des gadgetsDans le deuxième objet, le président Kouenda a tenu à remercier l'ensemble du bureau fédéral, pour les sacrifices consentis, il a relevé que le floorball est l'une des fédérations qui a toujours tenu son championnat national, en dépit du fait qu'il ne bénéficie pas encore de la subvention de l'État. Après ces interventions, le lauréat Julien Nana a présenté au président de la fédération ses prix composés du trophée AJSB, du trophée de super prix, de gadgets. Une collation a mis fin au cérémonial.
Barthélemy Kaboré
(collaborateur)
Huit ans jour pour jour après son retrait historique de la Cour pénale internationale (CPI), le Burundi a commémoré, ce 27 octobre 2025, cet acte symbolique à travers une conférence-débat placée sous le thème de la souveraineté judiciaire africaine. L'événement, organisé à Bujumbura, a réuni un large éventail d'acteurs issus du monde juridique, diplomatique, académique et de la société civile, venus réfléchir sur l'avenir de la justice sur le continent africain.
Le 27 octobre 2017, le Burundi devenait le premier pays au monde à se retirer officiellement du Statut de Rome, texte fondateur de la Cour pénale internationale. Huit ans plus tard, cette décision continue d'alimenter les débats sur la place du continent africain dans les instances judiciaires internationales.-
Au cours de cette rencontre, les participants ont échangé sur les défis et opportunités liés à la mise en place de mécanismes judiciaires africains capables de juger les crimes graves, tout en respectant les spécificités culturelles et les souverainetés nationales. L'objectif affiché : promouvoir une justice équitable, indépendante et véritablement ancrée dans les réalités africaines.
Intervenant à distance depuis le Mali, Me Jassane Maguate, Magistrat de l'Ordre Judiciaire de la République du Mali, a salué la démarche du Burundi, qu'il a qualifiée de “courageuse et visionnaire”. Selon lui, “les pays africains doivent désormais s'assumer juridiquement et trouver leurs propres voies pour sanctionner ou juger certains crimes, sans dépendre exclusivement de structures extérieures”.
Il a également rappelé que les États membres de l'Alliance des États du Sahel (Mali, Burkina Faso, Niger) ont récemment annoncé, eux aussi, leur retrait du Statut de Rome, suivant ainsi la voie tracée par le Burundi. “J'espère qu'il y aura une coopération Sud-Sud plus dynamique afin de construire des alternatives africaines solides, capables d'incarner une justice souveraine, équitable et respectueuse des droits humains”, a-t-il ajouté.-
Les intervenants ont largement insisté sur la nécessité pour le continent africain de renforcer ses institutions judiciaires régionales. Plusieurs propositions ont été avancées, notamment la création ou le renforcement d'une Cour africaine de justice et des droits de l'homme, la mise en place de mécanismes de coopération interétatiques pour juger les crimes graves, ainsi que la promotion d'une éducation juridique panafricaine fondée sur les valeurs et traditions du continent.
L'événement a été marqué par la présence de M. Pontien Hatungimana, Secrétaire permanent au Ministère de la Solidarité nationale, des Affaires sociales, des Droits de la Personne Humaine et du Genre, ainsi que de M. Marcelino Nko Roku, Représentant et Chef de Bureau de Liaison de la Commission de la Communauté Économique des États de l'Afrique Centrale (CEEAC). Plusieurs autres personnalités issues du monde académique, diplomatique et associatif ont également pris part aux échanges.
Ces discussions ont permis de dégager plusieurs recommandations concrètes, notamment la création de cadres juridiques harmonisés entre les États africains et la valorisation des mécanismes traditionnels de règlement des conflits, en complément des juridictions modernes.
Au terme de cette conférence-débat, les participants ont exprimé le vœu de voir émerger, dans les années à venir, un véritable système judiciaire africain capable de traiter avec efficacité et indépendance les affaires relatives aux crimes graves commis sur le continent.
Ce 8ᵉ anniversaire du retrait du Burundi de la CPI n'a donc pas seulement été un moment de commémoration, mais aussi un appel à l'action collective pour repenser la justice internationale à partir de l'Afrique et pour l'Afrique.
Omar diallo
Le Directeur Général de Centre Professionnel de Formation Aimé Césaire (CFPAC), ex Institut Colbert, informe les élèves et parents d'élèves du recrutement d'élèves au titre de l'année scolaire 2025-2026 pour la formation professionnelle en transit et déclarant en douane. Cette session ouverte en régime cours du jour et cours du soir les prépare pour l'obtention des diplômes suivants :
1. Le CAP/Transit (Certificat d'Aptitude Professionnel)
2. Le DAT/Transit (Diplôme d'Agent de maitrise en Transit)
A la fin du cycle de formation des deux (02) ans, le transitaire et déclarant en douane est apte à :
• Accomplir avec célérité les formalités douanières au bénéfice des importateurs et exportateurs auprès des tous les bureaux de douane ;
• Suivre et interpréter tout le processus lié au transit de marchandises depuis l'exportation, ou au passage des bureaux frontières et à destination des bureaux terminaux de Ouaga, Bobo et Koudougou ;
• Coordonner les opérations de manutention, de chargement et de livraison ;
• Rédiger la facture transit en mettant en exergue les débours en douane et les HAD (Honoraires des Agréés en Douane).
Le transitaire/déclarant en douane jouit d'une ouverture d'esprit, du développement des relations interpersonnelles fortes et d'une parfaite autonomie financière. Durant toute sa carrière professionnelle, il sera animé par de découvertes sur de fréquents déplacements à l'étranger, notamment dans les zones portuaires où il est à même de soutenir pour l'accomplissement des formalités.
Il sera mis l'accent cette année sur des sorties dans les principaux bureaux de douane, en entreprise, et surtout, une sortie en zone portuaire (Accra) en juin 2026 pour un stage pratique d'un (01) mois.
Les cours sont animés par des spécialistes issus des entreprises du secteur transit et transport et d'éminents enseignants de l'Ecole Nationale des Douane.
Peuvent faire acte de candidature, les élèves ayant régulièrement fréquentés la classe de 3ème de lycées et collèges titulaires ou non du BEPC pour les candidats au CAP/Transit et Déclarant en Douane et la classe de Terminale pour les candidats au DAT/Transit (Agent de maitrise).
Les dossiers de candidature sont reçus aux heures ouvrables à partir du lundi 27 octobre 2025 à l'ISFAC sis Ouaga 2000 situé derrière la grande mosquée de KANAZOE en chantier, Tél : 25 37 41 41 / 71 45 61 73 / 70 11 44 44 / 55 11 44 44 et se composent ainsi qu'il suit :
3. Une demande manuscrite adressée au Directeur Général de CFPAC ;
4. Une copie légalisée du BEPC ou les bulletins de notes de la classe de 3ème pour les candidats au CAP/Transit ;
5. Les bulletins de notes de la Terminale ou le relevé de notes du Baccalauréat pour les candidats au DAT/Transit ;
6. Une copie légalisée de l'extrait d'acte de naissance ou du jugement supplétif d'acte de naissance.
NB : les compléments de dossiers se feront après acceptation du dossier de candidature.
Attention ! le nombre de places est limité à trente (30) élèves pour les cours du jour et trente (30) pour les cours du soir dans chaque catégorie.
Le Directeur Général souhaite à toutes et à tous une bonne et heureuse rentrée scolaire 2025 – 2026.
CFPAC, la fierté d'apprendre et d'entreprendre !
Dominique OUEDRAOGO
(Chevalier de l'Ordre des Palmes Académiques)