« Environnement, nouvelles menaces, nouveaux défis » c’est le titre du Second Forum de Nîmes, qui va réunir de nombreux Experts et qui est organisé sous le patronage de Nîmes Métropole et de FITS (Forum international des technologies et de la sécurité), en collaboration avec IPSE (Institut Prospective et Sécurité́ en Europe) et avec Med 21. A ne pas manquer du 11 au 13 octobre
Après les avions Cessna 208B (voir mon post du 22 septembre ici), voici les consoles Scorpion! Décidément, le DoD est bien décidé à doper les capacités ISR tchadiennes.
L'Air Force vient de confier à L3C la fourniture de deux stations portatives terrestres de type Scorpion (Scorpion Ground Stations Operator Console).
L'avis d'attribution du 29 septembre fait état d'ISR Ground Station Equipement pour le Tchad. La valeur du marché est de 3,527 millions $.
Cette FMS s'inscrit dans l'effort US pour renforcer les capacités tchadiennes de surveillance des frontières et mieux équiper les Cessna ISR.
C'est donc L3 Communications Systems West qui va fournir les équipements et la formation. La console Scorpion équipe déjà l'Africom qui utilise des C208B et le Centcom qui utilise, lui, des King Air.
L'été a été parfait pour naviguer. Les bateaux sont sortis, les envies d'en changer ou d'acheter ont fleuri. Christophe Vieux, commissaire général du Grand Pavois à La Rochelle, confirme l'embellie.
Les temps sont durs pour les énergéticiens et, en particulier, pour le secteur du gaz naturel liquéfié qui fait actuellement face à une double surcapacité : celle de la production, directement impactée par l’arrivée de gros volumes de gaz de schiste et celle du transport, la flotte méthanière mondiale étant trop nombreuse pour les quantités à transporter actuellement.
(B2) La Haute représentante de l’Union, Federica Mogherini, et le commissaire européen à l’Aide humanitaire, Christos Stylianides, ont lancé un appel solennel à « toutes les parties au conflit » pour soutenir et faciliter « une initiative humanitaire d’urgence pour Alep » visant à permettre aux organisations humanitaires de faire leur travail et les civils d’être sauvés et protégés. Cette initiative, prise en coopération avec l’ONU, se compose de deux éléments principaux.
Faciliter l’acheminement de l’aide
Il s’agit d’abord de faciliter « l’acheminement d’aide d’urgence aux civils dans l’Est d’Alep pour pourvoir aux besoins médicaux, en eau et en alimentation ». Un « convoi d’agence inter-aide est prêt à se déplacer de l’Ouest vers l’Est d’Alep », puisant dans les stocks prépositionnés (un prépositionnement rendu possible grâce au financement européen de ‘réponse de première ligne’). Ce convoi peut apporter de l’aide à un maximum de 130.000 personnes, précise-t-on du côté européen.
Assurer les évacuations médicales
En second lieu, « en parallèle et en même temps », il faut « assurer les évacuations médicales des blessés et des malades de l’est d’Alep », avec une priorité donnée aux « femmes, aux enfants et aux personnes âgées ».
Des conditions minimales pour protéger travailleurs humanitaires et civils
L’UE appelle également toutes les parties à « fournir d’urgence les autorisations nécessaires pour la livraison de l’aide et pour les évacuations médicales ». Les opérations doivent être « menées sous la seule responsabilité des organisations humanitaires, et selon des modalités qui garantissent l’impartialité et la neutralité des opérations d’aide » avec des « conditions minimales pour assurer la sécurité et la protection des travailleurs humanitaires et des civils ». Ces conditions humanitaires devraient « être telles que la communauté internationale puisse travailler ».
Faciliter les évacuations médicales
L’UE demande également aux parties d’autoriser des évacuations médicales « non seulement pour l’est d’Alep, mais pour toutes les zones assiégées, y compris les «quatre villes» où des vies sont également en danger en raison du manque de médicaments et de traitements médicaux ».
Un pont médical vers l’Europe
L’UE est « prête à faciliter et à soutenir l’évacuation et l’orientation des patients vers les installations médicales adéquates dans la région » mais aussi « si nécessaire en Europe pour les soins médicaux spécialisés non disponibles dans la région », précisent les deux responsables européens.
(NGV)