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Défense

Le premier train bloc Damco entre la France et la Chine

MeretMarine.com - Mon, 20/11/2017 - 12:23

Le premier train bloc Chine-Europe opéré par Damco est arrivé à destination de Dourges

Damco, un prestataire global en commission de transport et gestion de chaine d’approvisionnement, franchit ce jour une nouvelle étape dans le développement de ses produits rail avec l’arrivée sans encombre et dans le timing escompté de son premier train bloc depuis la Chine. Le convoi transportant diverses marchandises pour le compte de Décathlon, un leader mondial de l’équipement sportif, a quitté Wuhan province Chinoise du Hubei le 28 Octobre.

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Comment Paris peut-il se réinventer un rôle au Proche-Orient ?

Article paru dans L'Orient Le Jour (Beyrouth)Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian (à g.), en compagnie du Premier ministre libanais démissionnaire, Saad Hariri, le 16 novembre 2017, à Riyad. Valérie Leroux/AFP×1 / 2
Proche-Orient : Que peut faire la France?
Frédéric Charillon (Professeur des Universités en science politique, UCA, Sciences Po, ENA – ancien directeur de l’institut de recherche stratégique de l’école militaire)

La France s'efforce, depuis longtemps, de maintenir ou d'adapter son rôle au Moyen-Orient. Aujourd'hui ses grands partenaires (Egypte, Arabie) inquiètent par leurs crispations internes ou leur aventurisme extérieur. Le Liban, auquel elle tient tant, est dans la tourmente.  Face à cette situation, sa diplomatie se heurte à plusieurs obstacles : un contexte international défavorable, la difficulté à trouver des relais régionaux, la contradiction des intérêts français eux-mêmes. Paris peut néanmoins aborder cette séquence difficile avec une nouvelle méthode de dialogue.

Un contexte difficile
Les encouragements donnés par Washington aux postures dures contre l'Iran favorisent la confrontation dans la région. Ni l'état actuel de l'Union européenne, ni la longue prudence des émergents, ne contrebalancent cette tendance. Et Moscou est suffisamment occupé par la Syrie pour se risquer à des arbitrages ailleurs. Dès lors, la France, plus préoccupée que d'autres par la situation libanaise et qui a souhaité y réagir vite, se trouve bien seule pour mener une initiative.
Ayant établi une relation de confiance avec Riyad (essentiellement avant la nomination du nouveau prince héritier), Paris soigne également son dialogue avec Le Caire, et se refuse à donner des leçons à quiconque, comme il l'a été rappelé lors de la visite à Paris du président Sissi. La posture a ses mérites comme ses défauts, mais elle ne permet pas de transcender le problème principal : aucune de ces capitales arabes n'est en mesure d’être un hégémon consensuel dans la tourmente actuelle. L'initiative appartient même désormais aux puissances non arabes, Israël, Iran, Turquie.  Acteurs avec lesquels Paris entretient des relations tendues, et dont l'intransigeance se prolonge (Israël), se renforce (Turquie), ou fait l'objet de rapports de force internes (Iran).
La France doit enfin faire l’inventaire de ses intérêts dans la région. L'affaire syrienne, depuis 2013, reste l'objet d'un débat : en exigeant alors le départ de Bachar al-Assad, Paris a pris le risque d'avoir moralement raison tout en se mettant diplomatiquement hors-jeu. Voir s'effondrer les régimes de l'Arabie ou de l'Egypte serait une nouvelle terrible, mais il est impossible de leur donner carte blanche pour jouer la politique du pire. Soutenir le Liban et le protéger du chaos est un réflexe à Paris : les événements libanais remontent plus haut et plus vite au sommet de l'Etat que beaucoup d'événements internationaux, et la France ne souhaite ni une mainmise étrangère sur le pays, ni un étouffement progressif interne qui ne respecte pas la pluralité libanaise. Mais l'on se souvient du temps passé pour rien à tenter de résoudre la crise institutionnelle en 2007.

L'indispensable changement d'optique
A région bouleversée, méthode nouvelle. La politique des blocs a vécu, l'unité arabe aussi, et les sociétés s'expriment de plus en plus. Comment Paris peut-il se réinventer un rôle ? Les équipes Macron, dans lesquelles on compte plusieurs connaisseurs de la zone, tablent d'abord sur le dialogue avec tous les acteurs, en l’élargissant même à de nouveaux, quels que soient les points de désaccord ; ensuite sur le multilatéralisme ; enfin sur la réaffirmation des principes.
Cette méthode (esquissée par le Président devant les Ambassadeurs français à Paris, où les Nations Unies à New York) peut-elle s’appliquer au Proche Orient ? Le dialogue à tout prix, on l’a vu dans la réception de Sissi à Paris, comme d’ailleurs avec Trump ou Poutine, consiste à chercher les points de convergence en dépit de tensions réelles. Le multilatéralisme, lui, pourrait peut prendre la forme de conférences internationales aux formats ad hoc, sur la Syrie ou pourquoi pas sur le Liban, qui mettront l'accent sur l’avenir des peuples plutôt que sur les compétitions étatiques. La réaffirmation des principes enfin, consiste à édicter la position et les lignes rouges de la France, mais sans en faire un casus belli.
Un enseignement s’impose, sur la période récente : laisser les capitales régionales dériver vers la manière forte pour ménager leur susceptibilité, n'a renforcé ni la stabilité régionale, ni l'influence française. La France teste donc sa nouvelle méthode. Elle maintient le lien historique avec Le Caire ou Riyad, mais mise aussi sur les Emirats, acteur montant. Emmanuel Macron, puis son ministre des Affaires Etrangères (ce dernier fort d’une relation de confiance ancienne avec l’Arabie) rendent visite au Prince héritier saoudien pour parler du Liban, mais invitent dans la foulée Saad Hariri à Paris, comme pour souligner que la souveraineté libanaise n’est pas négociable.
Pour peser davantage, la France doit sortir des dilemmes traditionnels: Doha ou Riyad, Sissi ou pas Sissi, Bachar ou Daech, le Hezbollah ou Hariri, etc. D’autant qu’ainsi formulés, c’est le Proche-Orient qui en est la première victime. Surtout, elle peut tenter de prendre l’initiative, en y associant les institutions internationales, de nouveaux acteurs étatiques, et les nouveaux acteurs sociétaux (jeunes, intellectuels, femmes). La réussite n’est jamais garantie au Proche-Orient, mais il est temps d’essayer ce qui ne l’a pas encore été.






Hydrolienne Paimpol-Bréhat. EDF va-t-elle remettre la lumière ?

MeretMarine.com - Sat, 18/11/2017 - 19:01

Jeudi, dans les locaux du conseil départemental, quelques élus du territoire de Paimpol (Fanny Chappé, conseillère municipale de Paimpol et conseillère régionale ; Yannick Le Bars, maire de Lanloup et conseiller délégué de GP3A ; Jean-Yves de Chaisemartin, maire de Paimpol et vice-président du département ; Danielle Brezellec, maire de Ploubazlanec) ont rencontré Christophe Hervé, délégué régional d'EDF. 

« Comme Saint-Thomas désormais »

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Belle Angèle : Les restes de l'épave ont été enlevés

MeretMarine.com - Sat, 18/11/2017 - 19:01

Vendredi après-midi, une équipe de Bretagne plongée dirigée par Loïc Desmas a récupéré les restes de l'épave de la Belle Angèle, qui avait fait naufrage le 17 octobre dernier à l'entrée de l'Aber-Wrac'h, à Landéda.

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Lorient : Essais concluants pour La Thalassa

MeretMarine.com - Sat, 18/11/2017 - 19:01

Dérouté sur Lorient suite à une sérieuse avarie électrique, le navire océanographique Thalassa a effectué des essais en mer, hier, peu après 15 h. Basé à Brest, le bateau, propriété de l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), était immobilisé au port de Kergroise depuis le 31 octobre. Le problème a finalement été identifié : « Un fournisseur a réparé la pièce défectueuse, sans lien avec le chantier de modernisation opéré cet été au chantier Piriou de Concarneau », précise le service communication de l'Ifremer.

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Commander c'est renoncer ?

EGEABLOG - Sat, 18/11/2017 - 14:56

Une petite réflexion m'est venue sur le commandement. On ne cesse de dire que commander c'est choisir.

Le plus souvent, on considère que ce choix consiste à établir des priorités, donc à établir ce qu'on va faire en premier, puis en second, etc...

source

Cela amène à des contradictions comme le fameux "tout en" que j'ai vu apparaître dans de nombreux ordres de toute nature : "faire ceci tout en faisant cela", ce qui signifie qu'on ne choisit pas vraiment puisqu'on met deux choses de même rang. ON ne classe pas, on ne priorise pas, on ne décide pas.

Il reste que le vrai choix ne porte pas sur le point d'effort, contrairement à ce que tout le monde pense. Non, le choix consiste à décider ce à quoi on renonce. C'est le renoncement qui marque les priorités...

Dans notre méthode de raisonnement tactique, il faudrait en fait qu'on examine les options et qu'on propose au chef d'éliminer celles qui ne sont pas essentielles, même si elles contribueraient à l'effet général.

Mais l'économie des moyens et la concentration des efforts doivent nous forcer à ne pas tout faire. Donc à se découvrir dans des lieux évalués. Donc à prendre des risques...

Voilà le vrai risque de la décision : celui des choses qu'on abandonne....

O. Kempf

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Une signature très courrue

Le mamouth (Blog) - Fri, 17/11/2017 - 19:21
L'ancien chef du RAID et désormais député LREM de Seine-et-Marne dédicaçait hier son livre
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Aux Invalides, les photos d'Elias et de Poulpiquet

Le mamouth (Blog) - Fri, 17/11/2017 - 19:00
L'un est déjà un photographe de guerre accompli, l'autre débute, mais a déjà oeuvré en Ukraine et en
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Cimer : A Brest, Edouard Philippe annonce que les mesures seront dévoilées au Havre…

MeretMarine.com - Fri, 17/11/2017 - 12:44

Ceux qui attendaient une kyrielle d'annonces en ont été pour leurs frais, ce vendredi, à Brest. A la sortie du premier Comité interministériel de la mer (Cimer) du mandat Macron, Edouard Philippe, accompagné de 7 ministres (*) pour ce déplacement en Bretagne, n’a rien annoncé à l’issue d’une réunion qui, finalement, aurait tout aussi bien pu se tenir à Paris. Les mesures concrètes de la politique maritime française seront dévoilées la semaine prochaine lors des Assises de l’économie de la mer, au Havre, ville dont le premier ministre a été maire pendant plus de six ans.

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L’autonomie stratégique, fer de lance du rapport du Parlement sur le programme de recherche de défense

Bruxelles2 - Fri, 17/11/2017 - 12:03
(B2 - exclusif) Le programme européen de développement industriel de défense (EDIDP) est en discussion au Conseil comme au Parlement européen. L'objectif dans les deux institutions est d'avoir d'ici la fin de l'année un premier "jet" permettant d'entamer les premières conciliations, au moins informelles. Le projet de rapport du Parlement, que B2 a pu consulter, devrait […]
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Carnet (17.11.2017). G5 Sahel (hub). EUCAP Sahel Niger (OpPlan). Corée du Nord (luxe). Banques Russes (plaidoirie). COPS (agenda, UE-Afrique). Royaume-Uni (Sud Soudan). Serbie (neutralité). France-EAU (Godwin). Congo (Fac). Liban (Non ingérence)....

Bruxelles2 - Fri, 17/11/2017 - 09:12
(B2) Parus récemment : Dura lex sed lex… EULEX Kosovo à nouveau pris dans la tourmente (blog) Le Premier maitre L’Her embarque dans Sophia (blog) La mission du Mecklenburg-Vorpommern : récolter des informations (blog) L’A400M, l’outil de la diplomatie « tout azimut » turque L’Agence de défense reçoit sa feuille de route pour 2018. Des financements européens […]
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Delavergne livre le baliseur côtier Gavrinis

MeretMarine.com - Fri, 17/11/2017 - 03:25

Fraîchement livré par le chantier vendéen Delavergne, le Gavrinis, tout nouveau navire de l’Armement des Phares et Balises, a quitté hier matin les Sables d’Olonne pour rejoindre Lorient, où il devrait arriver aujourd’hui. Entretemps, il devait faire cette nuit une halte à Port Haliguen, sur la presqu’île de Quiberon, où l’APB utilise un quai.

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Merci Pierre !

Bruxelles2 - Thu, 16/11/2017 - 18:00

Pierre Sellal au Coreper (crédit : Amb Roumanie / UE)

(B2) Pierre Sellal quitte ses fonctions comme représentant permanent de la France auprès de l’Union européenne. Un poste qui lui est cher, car il l’a occupé à deux reprises, ce qui est rare, et avec une longévité on ne peut plus enviable (10 ans sans compter les autres fonctions).

Pierre Sellal a, en effet, effectué une bonne partie de sa carrière à suivre les affaires européennes soit à Bruxelles (conseiller de 1981 à 1985, puis représentant permanent adjoint, de 1992 à 1997, ambassadeur – représentant permanent du printemps 2002 à l’été 2009, et à nouveau de l’été 2014 à maintenant) et à Paris (comme secrétaire général adjoint du comité interministériel pour les questions de coopération économique européenne de 1985 à 1990 ou chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères Pierre Védrine de 1997 à 2002). Il aura ainsi suivi de près en particulier la négociation de l’Acte unique, celle de la Constitution européenne et du Traité de Lisbonne et le début du Brexit. Et il a participé de près à plusieurs des présidences françaises de l’Union (en 1995, 2000 ou en 2008 notamment).

Ce n’est un secret pour personne qu’il ne se serait pas fait prier pour rempiler pour une petite année encore. Histoire notamment de terminer les négociations du Brexit. Mais le couperet fatidique de l’âge de la retraite est tombé. Place aux jeunes avec Philippe Léglise Costa qui n’est pas un inconnu sur la place de Bruxelles (1).

« L’oracle de Bruxelles »

Le dernier Coreper de Pierre Sellal était mercredi (15 novembre). Comme c’est l’usage, c’est la présidence (l’Estonie en l’occurrence) qui a fait le discours d’adieu… en français, une langue que ne pratique pas couramment et régulièrement l’ambassadrice estonienne. Kaja Tael a tenu ainsi à saluer en Sellal « l’oracle de Bruxelles », avec un « style déterminé et énergique » témoignant d’une « diplomatie engagée et constructive ».

Le secrétariat du Conseil a également parlé par la voix du directeur du service juridique, Hubert Legal. Ensuite est intervenu l’intéressé qui a rappelé, à l’aide de quelques anecdotes, comme il sait bien le faire, tous les méandres de l’Union européenne.

« Un grand merci Pierre. Un vrai plaisir de travailler ensemble! Mes meilleurs voeux pour l’avenir! » a salué son homologue roumaine, Luminita Odobescu‏, via twitter.  « Always a gentleman, a true professional, a real European! France can be proud of one of its best. Thank you Pierre and all the best » a répliqué l’ambassadeur suédois Lars Danielsson.

Une connaissance fine des dossiers

Pour les journalistes, Pierre Sellal était une source précieuse. Sa connaissance fine des dossiers et des méandres des différentes politiques européennes, comme son sens de la formule, toute diplomatique mais avec des piques parfois acérées, obligeait à une écoute constante. Il permettait de comprendre pourquoi un dossier était bloqué ou débloqué, quels avaient été les termes du compromis, les grands enjeux d’une réunion apparemment anodine. En vrai diplomate, Pierre n’avait pas son pareil également pour slalomer entre toutes les questions pièges que nous pouvions lui poser et vous emmener là, exactement, il voulait aller. Nous n’avons réussi à lui faire critiquer, ne serait-ce qu’un peu, une position de Paris pourtant difficile à défendre. Il avait toujours ce souci, même aux moments les plus tendus, de montrer combien la France était présente, sa position intelligible, à défaut d’être parfaitement comprise, avait son rôle et pesait de tout son poids. « La France a su animer le débat » était une de ses formules favorites, notamment au moment de la virevoltante présidence Sarkozy de l’Union en 2008. Son insistance à parler de la proximité franco-allemande était une autre constante, touchante parfois quand on savait le fossé existant de part et d’autre du Rhin. Mais, sur le fond, il avait raison, les deux positions finissaient par se rejoindre. « Vous voyez… ».  Merci Pierre

(Nicolas Gros-Verheyde)

NB : Pierre Sellal avait fait récemment une petite vidéo présentant le rôle d’un ambassadeur, regarder ici

(1) Il a été représentant permanent adjoint, chargé du Coreper I, le conseiller Europe de François Hollande de 2012 à 2015 et était le secrétaire général des Affaires européennes depuis 2014.

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Dura lex sed lex… EULEX Kosovo à nouveau pris dans la tourmente

Bruxelles2 - Thu, 16/11/2017 - 15:45
(B2) Le chef des juges européens de la mission EULEX Kosovo, le britannique Malcolm Simmons, a annoncé jeudi (16 novembre) sa démission avec fracas. Dans un entretien au quotidien français Le Monde, il dénonce, en vrac, des cas de corruption et de malversation, une mission trop politique et, surtout, l'absence de réactions de l'Union européenne […]
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Le Premier maitre L’Her embarque dans Sophia

Bruxelles2 - Thu, 16/11/2017 - 08:01

(B2) Le patrouilleur de haute mer français Premier-maître L’Her (F-792), a été intégré au sein de l’opération maritime européenne en Méditerranée centrale, au large de la Libye (EUNAVFOR Med / Sophia) depuis le 1er novembre.

Avec un équipage de 98 marins, et une équipe d’abordage de 20 membres, il est particulièrement aiguisé pour les missions de surveillance et de protection. Son objectif est de « s’assurer du respect et de l’application de la résolution 2292 de l’ONU relative à l’embargo sur le trafic d’armes à destination ou en provenance de la Libye [et] lutter contre le trafic humain lié à l’immigration clandestine au départ de ces côtes » confirme un communiqué de la marine nationale.

Durant sa phase de ralliement vers la zone d’opération, le patrouilleur brestois a « retrouvé ses sisterships toulonnais, les patrouilleurs Cdt Bouan et Cdt Ducuing. Les trois bâtiments ont alors effectué des entraînements mutuels ».

Six navires et quatre avions

L’opération EUNAVFOR MED / SOPHIA compte désormais six navires de surface :

deux hélicoptères embarqués (un AB-212 espagnol et un AB 212 ASW italien)

et quatre avions :

  • deux avions SW3 Merlin III luxembourgeois
  • un P-3C Orion portugais
  • un Casa CN-235 Vigma D4 espagnol
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La mort du général de Lardemelle

Blog Secret Défense - Wed, 15/11/2017 - 17:28
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La mort du général de Lardemelle

Blog Secret Défense - Wed, 15/11/2017 - 17:28
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Centrafrique. Former les FACA pour être un élément de présence de l’État dans tout le pays (général Blázquez)

Bruxelles2 - Wed, 15/11/2017 - 14:45
(B2 - exclusif) La formation des forces armées centrafricaines (FACA) par les Européens avance. Equiper ces effectifs, et les déployer dans tout le pays, c'est une autre affaire. Un vrai changement de mentalités également. Le général Fernando García Blázquez, qui commande la mission EUTM RCA, a reçu B2, longuement, à Bangui. Il nous explique tous […]
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