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Défense

La Commission propose de consacrer 19,5 milliards d’euros à la défense

Bruxelles2 - Mon, 14/05/2018 - 11:30
(B2) Au menu des ministres des Affaires européennes ce lundi (14 novembre), l'examen de la proposition de cadre financier pluriannuel 2021-2027. Avec une innovation majeure : la Commission européenne promeut, pour la première fois, un vrai budget de défense En proposant de consacrer 19,5 milliards d'euros (en prix courants) sur sept ans pour la défense […]

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EUTM Mali prépare son déploiement vers le nord du pays. Budget en augmentation

Bruxelles2 - Mon, 14/05/2018 - 09:12
(B2 - exclusif) Le budget de la mission EUTM Mali va quasiment doubler pour la prochaine période de 24 mois (du 19 mai 2018 au 18 mai 2020). La décision devrait être approuvée par les ambassadeurs de l'UE (COREPER) mardi (15 mai) et validée lors d'un prochain conseil des ministres de l'UE. Une augmentation nécessitée […]

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Cyberconflit et guerre informationnelle

EGEABLOG - Sun, 13/05/2018 - 21:30

Brunot Racouchot, directeur du cabinet Comes, publie tous les mois une lettre sur l'influence, intitulée Communication et influence (voir site). En six pages, elle interroge un expert pendant deux pages et ajoute des extraits significatifs de ses écrits. Bruno Racouchot m'a interrogé pour ce dernier numéro, à la suite de noms prestigieux comme Philippe Bilger, Rony Brauman, Bernard Carayon, Gérard Chaliand, Dominique David, Michel Foucher, Jean-François Gayraud, Hervé Juvin, Gille Lipovetsky ou Hubert Védrine.

Je suis donc très honoré de ce numéro que vous pouvez télécharger entièrement ici. Mais voici déjà l'interview proprement dit, où j'essaie de décrire les liens très profonds entre la cyberconflictualité et la guerre économique, l’information n'était qu'en apparence le carburant de ces oppositions beaucoup plus profondes.

Existe-t-il des jeux d'influence dans le cyberespace ?

D'abord, il faut bien comprendre dans quel cadre se déploient les actions au sein du cyberespace. Ce dernier se structure en trois couches : physique, logique, sémantique. La première, physique, concerne l’ensemble des matériels de toutes sortes utilisés pour manier la donnée, l’information, et la transmettre. La seconde, logique ou logicielle, intègre l’ensemble des dispositifs de codage et de programmation qu’utilisent les machines et infrastructures afin de transformer et transférer l’information. La troisième est la couche sémantique. Elle s’intéresse au sens de l’information, étant donné que celle-ci ne peut être réduite à de la "donnée" neutre. C'est cette dernière couche, parfois dénommée couche cognitive ou couche informationnelle, qui constitue le cœur de la problématique qui nous intéresse ici.

En effet, cette couche sémantique concerne l'ensemble des données et informations qui circulent dans le cyberespace. A partir de leur exploitation, on donne de l'intelligence à ces masses de données qui deviennent de l'information. En conjuguant ces informations, en leur donnant du sens, on produit des connaissances qui vont devenir prenantes à des jeux de pouvoir. Il y a donc en permanence au sein de ce cyberespace des jeux d'instrumentalisation des données et des informations, qui servent des intérêts et donc alimentent des conflictualités. Et l'essentiel de ces conflictualités, entre États bien sûr mais aussi entre entreprises, se déploie sur la couche dite informationnelle.

A cet égard, il faut bien comprendre que l'on est passé d'un monde de concurrence et de compétition à un monde de conflictualité et de guerre économique, où la guerre de l'information joue un rôle majeur. Je dois confesser que j'ai longtemps été rétif à cette expression de "guerre économique", qui me paraissait excessive. Mais l'on doit bien reconnaître que, dès la décennie 1990-2000, on assiste à des affrontements où des acteurs hétérogènes (entreprises et États) s’allient afin de faire valoir des intérêts simultanément publics et privés. Les catégories classiques sont bouleversées de fond en comble. On voit ainsi de plus en plus intervenir les autorités publiques sur un mode direct ou feutré, afin de soutenir et faire gagner "leurs" entreprises.

La guerre informationnelle fait donc pleinement partie de la guerre économique, a fortiori dans le cyberespace…

Indéniablement. Le grand processus de mondialisation des années 1990 a été permis par l'éclosion des technologies de l'information et de la communication. Le paradigme de la "concurrence pure et parfaite" – si tant est qu'il ait d'ailleurs jamais existé – s'évanouit dans le cyberespace pour faire face à la conflictualité permanente et omniprésente. De même que s'efface un autre paramètre, à savoir la séparation entre le public et le privé. Pour preuve, aux États-Unis, l'interaction profonde et mutuellement profitable entre les services de renseignement et les grands acteurs du cyber. La NSA surveille certes les terroristes, mais l'essentiel de son activité concerne le renseignement économique. De même, la Chine a déployé un formidable dispositif cyber centré sur l'espionnage économique. Pourquoi ? Parce que par ce biais, la Chine compte renforcer sa souveraineté et permettre l'émergence de sa puissance. Ces deux superpuissances ont une pleine conscience de l'interaction entre public et privé.

Il faut en outre bien appréhender l'ampleur et la nouveauté du phénomène auquel nous nous trouvons confrontés. La mondialisation et la révolution du cyber qui la favorise et l'accompagne sont de formidables instruments de dissolution des structures. On évoque souvent les ravages de la corruption, mais celle-ci n'est que la conséquence dans l'aire économique de la dissolution des structures existantes. On observe ainsi un affaiblissement des États et en corollaire, le retour d'hommes forts à leur tête, tentant de contrer cette tendance générale. Car il existe bel et bien une demande émanant des populations du monde entier, de retour aux structures établies et à un ordre commun qui permette d'endiguer la fluidification générale et de revenir à une stabilité dont les peuples ont la nostalgie.

Quels sont les risques majeurs sur le plan informationnel pour une entreprise dans le cyberespace ?

On peut distinguer trois types majeurs d’agression dans cette guerre informationnelle. La guerre pour l’information équivaut à de l’espionnage. La guerre contre l’information correspond au sabotage. La guerre par l’information est assimilée à de la subversion.

Premier cas, l'espionnage : il vise à acquérir les informations sensibles de l'entreprise, sur son fonctionnement interne (organisation, finances…) ou sa stratégie externe (axes de développement, campagnes marketing à venir…). Second cas, le sabotage. Il va tendre à perturber voire corrompre le dispositif-cible. L'attaque peut être d'ordre technique ou aller plus loin, pouvant salir ou détruire la notoriété de la structure visée, en attaquant son image de marque, autrement dit en dévalorisant son capital immatériel. On entre ici dans le troisième type de menace évoqué, à savoir la subversion. Dès lors, nous ne sommes plus dans le simple domaine de l'e-réputation, mais bien dans une sphère autre, celle de l'utilisation de toutes les ressources du cyberespace dans la guerre informationnelle que se livrent les entreprises.

Alors que faire ?

Poursuivre et amplifier la démarche initiée par l'intelligence économique en la transformant en intelligence stratégique. Si l'intelligence économique consiste en l'utilisation de techniques de renseignement, de veille, d'influence au profit des entreprises, l'intelligence stratégique, elle, constitue l'étape d'après, celle qui intègre pleinement cette dimension supplémentaire amenée par la mondialisation et le digital que nous venons d'évoquer. Tous les champs sont désormais ouverts, mais dans une configuration de conflictualité généralisée, avec des kyrielles d'acteurs publics et privés, officiels et non-officiels, avec des jeux relationnels et de pouvoirs qui ne se situent pas dans le cadre d'organigrammes classiques, mais n'en sont pas moins bien réels. L'intelligence stratégique a dès lors pour but d'identifier les forces qui sont réellement à l'oeuvre derrière le paravent des institutions et d'en saisir le fonctionnement. Pour ma part, en tant que stratégiste, j'aide les entreprises à prendre conscience de ces nouveaux défis, à comprendre la nature des jeux de puissance et d'influence qui se déroulent dans ces conflictualités d'un nouveau genre, et enfin, à décider.

O. Kempf

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Une mutation disciplinaire est du ressort du chef de mission (arrêt)

Bruxelles2 - Sun, 13/05/2018 - 20:05
(B2) Le tribunal de l'UE a refusé, le 11 avril, de condamner l'Union européenne dans une affaire ancienne, celle opposant une magistrate italienne au chef de la mission de police (MPUE) en Bosnie-Herzégovine, aujourd'hui fermée. Se prononçant en cassation, après un jugement de la Cour qui annulé un premier arrêt du tribunal et reconnu la […]

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Le travail de parlementaire européen, quelle belle expérience (Tarabella)

Bruxelles2 - Sun, 13/05/2018 - 16:18
(B2) Pour Marc Tarabella, eurodéputé belge socialiste *, le travail des Européens n'est pas assez connu. Pour celui qui est présent depuis 2004 au Parlement européen, il reste des choses restent à améliorer 14 ans député, c'est un bail. Que retenez-vous de votre expérience ? L’expérience, pour moi, elle est superbe parce qu’on est ouvert […]

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Permanencier au SAMU, pas une sinecure. Témoignage…

Bruxelles2 - Sun, 13/05/2018 - 12:05

(B2) L’affaire du SAMU de Strasbourg — la mort de Naomi Musenga, la veille du Nouvel an 2017 — doit être regardée à l’aune du travail réel d’un permanencier. Expérience…

Pour rappel, les faits : Naomi Musenga est morte, le 29 décembre 2017, quelques heures après avoir appelé les pompiers, le Samu de Strasbourg, se plaignant d’une voix faible de douleurs au ventre. L’affaire n’a vraiment pris de l’ampleur qu’après la révélation par le site d’information alsacien Heb’di de l’enregistrement audio, le 27 avril dernier.

Il y a quelques (nombreuses) années, j’ai travaillé comme permanencier dans un gros SAMU de région parisienne, la nuit (en remplacement). Le temps a passé depuis. Et chaque SAMU est différent. Mais les principaux ressorts et mécanismes de l’urgence restent identiques.

 

Le permanencier un simple opérateur téléphonique ?

Cette dénomination est réductrice. Le permanencier de SAMU (comme chez les pompiers) n’est pas un simple standardiste. Il participe de la chaîne médicale de secours, connait son monde sur le bout des doigts, est capable de donner quelques premiers conseils d’urgence, de prendre des décisions éventuellement graves. Il doit à chaque moment choisir : pour aller vite, envoyer le moyen adéquat, trouver au besoin les premiers mots pour rassurer, pour déstresser. Dans l’anonymat d’une ville, le standard du SAMU (comme des pompiers ou de la police) reste un des derniers lieux où recevoir de l’aide.

Tout appel doit être suivi au médecin comme l’indique un responsable hospitalier ?

Cela fait partie des lignes directrices. Mais c’est la théorie. Il s’avère en pratique que c’est la permanence qui doit faire le premier tri, et prend même les premières décisions si l’urgence est avérée ou qu’il n’y aucune urgence. C’est elle qui fait le premier tri. C’est une question de rapidité parfois. Perdre une minute de plus pour passer l’appel au médecin, alors qu’il y a réellement une urgence n’est pas vraiment nécessaire. C’est une question pratique aussi : avec plusieurs appels en même temps, le (ou les) médecin(s) régulateur(s) au bout du fil, il faut décider : envoyer le moyen adéquat, donner les premiers conseils, ou faire attendre une personne plusieurs minutes supplémentaires. C’est une question de discipline aussi. Celui/celle qui s’aviserait de déranger un médecin pour tout ou n’importe quoi se ferait rapidement rabrouer par un « tu me passes vraiment n’importe qui ». Avec un peu d’expérience, on discerne facilement, ce qui recèle de l’urgence. Le passage au médecin régulateur est alors seulement nécessaire pour confirmer une décision, pour donner les premiers conseils par téléphone, obligatoire quand il s’agit d’un conseil médical, ou pour discerner une situation confuse.

Comment cela se passe concrètement ?

Dans la pratique, selon la situation sur place, le médecin est juste à côté, ou séparé par une vitre. Un simple geste ou une écoute (par haut parleur) du médecin régulateur permet de valider une décision sans passer au médecin. Le travail du PARM s’effectue en équipe. Mais il doit aussi faire le tri, et répondre à tous les appels qui arrivent souvent par grappes. Il faut aller vite… et bien.

Tout appel doit-il être suivi d’un secours ?

Normalement, tout appel doit être suivi par une réponse, sauf quand il s’agit d’un appel manifestement bidon. C’est toute la difficulté du travail du PARM. Dans le doute, le principe est d’envoyer un moyen non médicalisé (secouristes, pompiers, police…) ou médicalisé légèrement (médecin de ville) au moins pour s’assurer qu’il n’y a rien. Il faut alors avoir quelqu’un sous la main et faire, parfois, un effort de conviction. Trouver une équipe n’est pas toujours évident, surtout si on est en période de jour férié ou de vacances et qu’on n’est pas sûr qu’il y ait une urgence. Tout repose alors sur la confiance et la force de conviction du PARM. Cela coûte cher. Mais c’est le prix d’éviter une erreur. C’est une question, économique, posée à la collectivité.

Est-ce au PARM de déclencher un secours ?

Oui. C’est au PARM de transmettre (par radio, téléphone, interphone…) l’appel au service concerné (ambulance privée, médecin de ville, SOS médecin, Pompiers, Secours en montagne…). Il ne peut se contenter de donner le téléphone de SOS médecins, il y a, là, une erreur de procédure certaine (1). Ce n’est que si manifestement l’appel ne concerne pas un secours médical qu’il peut se passer de cette obligation.

 

 

Peut-on couper une conversation ?

Théoriquement non. Il faut que la personne raccroche. Il m’est arrivé de tenir durant plusieurs minutes une conversation par un déséquilibré en apparence, qui menaçait de suicider. Un appel totalement bidon… mais peut-on vraiment savoir. Cela c’est la théorique. Mais quand vous avez pour la nième fois en plusieurs heures, des appels blagueurs, voire des insultes ou des personnes apparemment avinées, il n’est pas possible de tenir la règle théorique.

Y-a-t-il eu une erreur d’aiguillage ?

Apparemment oui. Mais il faudrait avoir tout l’appel, complet, et toute la séquence de secours, ainsi que le son de salle de régulation (normalement pris en compte également), les appels précédents et suivants avant de se prononcer et condamner (sans appel) l’opératrice.

Quelques questions

Un responsable ou des responsables ?

Incriminer la permanencière du SAMU — qui semble avoir commis une réelle erreur — c’est prendre simplement un bout de l’erreur et non toute l’erreur. En amont, il y a eu auparavant les pompiers qui étaient impliqués au premier abord, et n’ont pas pris la mesure de l’appel. Ils auraient tout aussi bien jaugé la situation et envoyé une équipe au moins pour voir. Il y a eu aussi le médecin régulateur, sous lequel l’autorité du PARM travaille, qui aurait pu aussi se saisir du cas, pour le jauger. Il y a enfin l’autorité hospitalière. Le principe d’une chaîne de secours est de ne pas laisser une personne seule décider, d’avoir des correctifs. En l’espèce, au-delà de la faute (éventuelle) du permanencier, il y a bel et bien un dysfonctionnement de toute la chaîne de secours.

Une négligence administrative ?

Pourquoi a-t-il fallu la révélation du son audio par un site d’information, le site alsacien Heb’di, pour qu’une enquête soit diligentée quelques mois après les évènements. Il y a là une affaire dans l’affaire. Les autorités administratives et hospitalières semblent avoir tenté de masquer l’affaire. Les cris d’orfraie des principaux responsables (la ministre de la santé, …) sont plutôt indécents dans ce cas.

Y-a-t-il assez de moyens ?

Pas automatiquement. Pour un gros département urbain, la nuit à l’époque nous étions deux, pour des gardes qui s’étiraient sur huit heures. Je ne suis pas sûr que la situation est grandement évoluée aujourd’hui. C’est manifestement insuffisant. La question des moyens des SAMU et services de secours ne doit pas être sous-estimée, même si dans cette affaire, elle ne semble pas vraiment en cause.

Les erreurs sont-elles courantes ?

Elles sont rares. Mais elles existent et ne sont pas toujours suivies de sanctions. Je me souviens de deux affaires dont j’ai été le témoin direct non pas comme permanencier mais en qu’en tant que secouriste ambulancier. Deux policiers de Police Secours à l’époque, passifs devant une personne, en arrêt cardiaque également. Explication donnée à l’époque : « on ne sait pas quoi faire, ce n’est pas notre boulot ». Aucune poursuite, aucune admonestation n’avait été faite contre ce qui constitue manifestement une non assistance à personne en danger… Quelques années plus tard, un médecin de ville qui m’avait laissé en charge une personne « qui avait fait un malaise » et qu’il « fallait transporter à l’hôpital rapidement ». En fait de malaise, la personne était en arrêt cardiaque… Idem : aucune poursuite, aucune admonestation. Entre médecins, on reste coi.

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) C’est le principe même du Centre 15 à la française de devoir rebasculer les appels vers le service compétent.

(2) Quand il y a deux, trois appels qui sonnent en même temps, il faut aller au plus vite. Alors oui, on doit alors au plus vite.

Crédit : secours d’urgence à Bruxelles (illustration © NGV / B2)

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Le second porte-avions chinois en mer pour ses premiers essais

Lignes de défense - Sun, 13/05/2018 - 10:08

Le premier porte-avions entièrement construit par la Chine a appareillé ce dimanche matin pour des essais en mer. L'agence Chine Nouvelle a diffusé des photos montrant le bâtiment quittant le quai du chantier naval de Dalian, dans la province de Liaoning (nord-est).

Le porte-avions, "100% Made in China", qui n'a pas encore de nom, a été mis à l'eau fin avril 2017. Sa construction a débuté en 2013; il ne devrait pas entrer en service avant 2020.

Ce bâtiment à propulsion conventionnelle pourra emporter des avions de combat Shenyang J-15.

Ces essais en mer doivent permettre d'inspecter et de vérifier la fiabilité et la stabilité de ses équipements, précise Chine nouvelle.

Fin avril, le premier PA chinois, le Liaoning, a effectué des manœuvres en mer avec ses J-15:

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Du 17 au 20 mai, une expo-vente aux Invalides

Lignes de défense - Sun, 13/05/2018 - 09:44

La 8e édition de l’exposition-vente organisé par le gouverneur militaire de Paris se tiendra du 17 au 20 mai 2018 dans les salons de l’Hôtel National des Invalides, au profit des blessés en opération et des orphelins des armées. Le catalogue est consultable ici.

Pratique:
-  Lieu : Hôtel national des Invalides. Entrée par les grilles principales de l’Hôtel national des Invalides au 129, rue de Grenelle, Paris 7e.
- Métro : ligne 8 arrêt La Tour-Maubourg, ligne 13 arrêt Varenne. Bus : 63, 83, 93.
- Horaires : du jeudi 17 mai au dimanche 20 mai de 11h00 à 18h30.

Entrée libre.

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Grand Prix de l'Ecole navale. Sept champions et de la satisfaction...

MeretMarine.com - Sun, 13/05/2018 - 06:01

Trois journées, de quatre à 14 manches : les 211 équipages du Grand Prix de l'Ecole, 17e du nom, étaient comblés. Sept titres de champion de France ont été distribués et un de champion d'Europe : cette édition futune réussite que ce soit à Brest, à Crozon, Camaret, Roscanvel ou dans le fief de l'Ecole navale à Lanvéoc.

 

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L’armée de Terre veut recruter des sous-officiers récemment rendus à la vie civile

Zone militaire - Sat, 12/05/2018 - 13:30

Au cours de ces trois dernières années, l’armée de Terre a recruté près de 46.000 soldats afin de pouvoir porter les effectifs de sa Force opérationnelle terrestre (FOT) à 77.000 hommes. Et, en 2018 encore, elle devra trouver 13.000 recrues supplémentaires. Cet effort en matière de recrutement concerne également les cadres de l’armée de Terre. […]

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Deux bombardiers russes Tu-95 « Bear » interceptés au large de l’Alaska

Zone militaire - Sat, 12/05/2018 - 11:53

Cela faisait un peu plus d’un an que ce n’était pas arrivé. Le 11 mai, deux bombardiers stratégiques russes Tu-95 « Bear » ont été repérés par le Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord [North American Aerospace Defense Command – NORAD] avant d’être interceptés par deux avions américains F-22 Raptor alors qu’ils évoluaient dans […]

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Décès du compagnon de la Libération Claude Raoul-Duval, ancien pilote du groupe de chasse Alsace

Zone militaire - Sat, 12/05/2018 - 10:53

Ancien du groupe de chasse Alsace, Claude Raoul-Duval était le dernier représentant des pilotes des Forces aériennes françaises libres (FAFL) parmi les Compagnons de la Libération encore en vie. Il vient malheureusement de s’éteindre à Saint-Mandé, à l’âge de 98 ans. Arrière petit-fils Edgar Raoul-Duval, magistrat et député de l’Union des droites au début de […]

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Jurong Island (Th. Berlanda)

EGEABLOG - Sat, 12/05/2018 - 10:47

Voici un livre plaisant et plus fin qu'un simple polar d'espionnage. Donnons en d'abord l'argument : un cartel de firmes multinationales extrêmement puissantes prend peu à peu le contrôle des organes politiques des États de la planète. Disposant de capacités illimitées, il lance une cyber agression d'ampleur sur la France (blocages des feux rouges et des centrales électriques). L'héroïne, Justine Barcella, est tirée de sa retraite toscane par un micro réseau de résistants conscients et au terme d'un périple aventureux, atteint le cœur informatique de l’organisation basé sur l'ile de Jurong, île artificielle au sud de Singapour.

source

Nous voici donc face à des situations assez classiques : la grande organisation, le héros qui sauve le monde, etc. C'est d’habitude lassant à cause de l'invraisemblance des situations. C'est ce qu'on craint au début de la lecture : que le livre soit banal dans l'exploitation de codes utilisés ad nauseam.

Heureusement, le traitement est plus fin. D'une part, l'action se place dans un temps légèrement décalé, une anticipation d'une dizaine d'années qui permet de gommer les invraisemblances les plus flagrantes tout en restant dans un univers psychologique très proche de la société que nous connaissons aujourd’hui. D'autre part, cette vraisemblance fait que l’omniprésence du cartel n'est pas absurde. L'auteur prend un malin plaisir à lancer des allusions aux grandes puissances de ce temps, GAFA, NATU et autres BATX.

C'est d'ailleurs ce qui donne un intérêt croissant au livre. Derrière la fable du roman d'espionnage, Thierry Bardella dresse le portrait d'une société fliquée et eugéniste où les ressorts habituels de pouvoir s'estompent et où les libertés individuelles s'affaissent. C'est ce qui rend le roman très attachant. Il est d'ailleurs évident, à le lire, qu'il n'aurait pas pu être écrit par un Américain.

Bref, un vrai plaisir de lecture en même temps qu'une fable habile qui en fait un peu plus qu'une distraction.

A recommander chaudement.

Olivier Kempf

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Démonstration d’hélitreuillage au Havre par l’hélicoptère de la Marine nationale

Aumilitaire.com - Fri, 11/05/2018 - 20:07
L’aéroclub Jean Maridor au Havre (Seine-Maritime) aura 100 ans l’an prochain. Samedi 12 et dimanche 13 mai 2018, ses membres vont proposer deux journées portes ouvertes. Et parmi un programme très dense, il y aura une démonstration d’hélitreuillage de la Marine nationale. Une première à l’aéroclub !  Lire la suite sur https://actu.fr/normandie/havre_76351/premiere-aeroclub-havre-sera-bientot-centenaire-demonstration-helitreuillage-marine-nationale_16736170.html
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Un Palestinien tué et 170 autres blessés par l’armée israélienne

Aumilitaire.com - Fri, 11/05/2018 - 20:05
L’homme de 40 ans a été atteint à la poitrine près de Khan Younès, dans le sud de l’enclave palestinienne, a précisé le ministère.Ce décès porte à 53 le nombre de Palestiniens tués.. Lire la suite sur http://fr.euronews.com/2018/05/11/gaza-un-palestinien-tue-par-l-armee-israelienne
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L’armée algérienne lance l’ exercice «Toufane 2018»

Aumilitaire.com - Fri, 11/05/2018 - 20:02
L’armée algérienne a procédé à un exercice de grande envergure baptisé «Toufane 2018» incluant, pour la première fois, ses trois composantes: terrestre, navale et aérienne sous un seul commandement. Ces manœuvres sont organisées, pour la 3e fois consécutive, en réponse à celles des États-Unis et du Maroc sur le territoire de ce dernier. Lire la ...
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SNSM 29. L’amiral Stéphan, ancien président, est décédé

MeretMarine.com - Fri, 11/05/2018 - 19:01

Christophe Stéphan, commandeur de l'Ordre national du Mérite, Officier de la Légion d'honneur, contre-amiral de la Marine nationale et ancien président (pendant dix ans, jusqu’en novembre 2002) de la Société nationale de sauvetage en mer du Finistère (SNSM), est décédé mercredi à l’âge de 82 ans.

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Un soldat américain condamné pour avoir saboté le largage de 3 véhicules Humvee lors d’un exerice aéroporté

Zone militaire - Fri, 11/05/2018 - 17:56

En avril 2016, lors d’un exercice aéroporté organisé en Allemagne, trois véhicules Humvee largués par des avions de transport C-130 Hercules s’étaient écrasés devant une caméra. La vidéo de cet incident fut ensuite diffusée via Youtube et devint « virale », avec plus de 1,4 million de « vues ». Et, évidemment, les commentaires acerbes et moqueurs ne manquèrent […]

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Une seule solution : l’action, un seul moyen : l’unité (Macron)

Bruxelles2 - Fri, 11/05/2018 - 17:48
(B2) Recevant le traditionnel prix Charlemagne à Aix-la-Chapelle, jeudi (10 mai), Emmanuel Macron s'est fendu d'un discours tout en référence historique, démontrant la nécessité d'une souveraineté européenne. Un discours construit sur trois impératifs : premièrement « ne soyons pas faibles et ne subissons pas ! » ; deuxièmement « ne nous divisons pas, troisièmement,   n’ayons […]

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