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L'Europe politique et de la défense (par Nicolas Gros-Verheyde)
Updated: 5 hours 42 min ago

Stagiaire à l’Agence européenne de défense, c’est possible

Sat, 16/06/2018 - 09:30

(B2) L’agence européenne de défense a lancé un appel à recrutement pour de jeunes stagiaires. C’est une première

Cinq postes offerts pour de jeunes diplômés

Ce nouveau programme pilote s’adresse aux jeunes diplômés universitaires « qui souhaitent faire la transition vers le monde du travail dans une organisation au cœur de la coopération en matière de défense en Europe ». Le stage a une durée plus longue que d’ordinaire : un an, et est rémunéré. Il vise à donner « la possibilité d’acquérir une solide expérience professionnelle dans leur domaine de compétence ».

Des profils très spécialisés

Les profils recherchés sont donc plutôt spécialisés. Ils couvrent 1) le domaine terrestre et logistique, 2) le soutien aux opérations, 3) l’éducation, la formation et les exercices, 4) le ciel unique européen, 5) les programmes et projets d’entreprise et l’action préparatoire pour la recherche en matière de défense (PADR).

Date limite de dépôt des candidatures : 9 juillet 2018 à midi, heure de Bruxelles. Début du stage : en octobre 2018.

Toutes informations et détails ici (en anglais exclusivement).

Petit(s) conseil(s) perso(s)

L’anglais doit être parfait. Même si ce n’est pas officiel, l’anglais est de fait la seule langue de travail et obligatoire de l’agence. Une certaine appétence aux questions de défense, et une connaissance technique de certains dossiers, est plus que nécessaire. Vu la sensibilité du sujet, une accréditation défense sera recherchée. Enfin des recommandations de personnes dans ce milieu nous semblent largement recommandée. Condition sine qua none : nationalité d’un des États membres de l’UE participant à l’agence.

Bon courage…

(NGV)

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La force conjointe du G5 Sahel peine à se mettre en place

Fri, 15/06/2018 - 17:50
(B2) « La récurrence des opérations transfrontalières reste beaucoup trop limitée pour être réellement efficace. » Et la mise en œuvre de la force conjointe du G5 Sahel « ne progresse pas à la vitesse requise ». Le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, dans son dernier rapport (du 8 mai), ne fait pas ambage […]

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Entre Paris et Rome, les quatre actes d’une comédie sur fond de migration

Fri, 15/06/2018 - 11:30

(B2) La querelle franco-italienne autour du navire l’Aquarius et de ses 630 naufragés ne semble qu’une mise en exergue avant le prochain sommet européen… Comme dans un divorce, les veilles rancœurs finissent par ressortir. La rancœur italienne semble lourde et profonde vis-à-vis des Européens qui n’ont pas su apporter à l’Italie et à la Grèce, pays d’entrée des migrants en Europe via la Méditerranée, l’appui qu’ils auraient souhaité.

@ Karpov / SOS Méditerranée

Premier acte : l’honneur bafoué

C’est le président français qui, le premier, déclenche la colère italienne mardi (12 juin). Une colère amère après les propos rapportés par le porte parole du gouvernement, suite au conseil des ministres lors duquel Emmanuel Macron fustige « la part de cynisme et d’irresponsabilité du gouvernement italien » (retransmis sur son compte twitter). C’est le bout de phrase qui fait « le tour du web ». Oubliant son complément, qui nuance l’accusation sèche d’irresponsabilité : ce que reproche le président français aux italiens, c’est de ne pas avoir été « jusqu’au bout de leur démarche » alors qu’ils s’étaient « substitués aux autorités libyennes puisque l’Aquarius était dans les eaux territoriales libyennes ». Son ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian fait un rappel au règlement dénonçant « refus des autorités italiennes et maltaises de respecter le droit international » indique-t-il à l’Assemblée nationale (dans les questions des députés, voir sur LCP). « Le temps de transit vers Valence serait trop long par rapport à la situation humanitaire à bord » complète-t-il demandant « aux autorités italiennes de revoir leur point de vue et d’accueillir les réfugiés présents sur le bateau. »

Or, la France a brillé par son mutisme jusqu’à ce mardi. Prolixe en général sur son compte Twitter, le président français n’a fait aucun commentaire ni relayé aucune info sur l’errance de l’Aquarius. En France, ce sont les Corses qui proposent que le bateau puisse accoster sur leur île. Plus précisément, les élus régionaux indépendantistes corses.

Mardi, le porte-parole du gouvernement rapporte les propos du Président tenus en conseil des ministres, insistant sur le fait que « Si un navire avait été à proximité des côtes françaises, nous l’aurions accueilli, nous aurions pris nos responsabilités ». Louable mais tardive intention.

Second acte : la rancœur explose

La réaction est fulgurante côté italien. En premier lieu, celle du nouveau chef du gouvernement, Giuseppe Conte, relayée dans tous les journaux, dont le Soir : « l’Italie ne peut accepter de leçons hypocrites de pays ayant préféré détourner la tête en matière d’immigration ». Puis, le lendemain matin, mercredi (13 juin), ce communiqué du ministère des Affaires étrangères qui convoque l’ambassadeur français à Rome, Christian Masset, représenté par sa chargée d’affaires, Claire Anne Raulin, en son absence. On imagine, comme dans un Lucky Lucke, le ministre frotter au savon les oreilles de la diplomate… Le ministre, Enzo Moavero Milanesi, qualifie « d’inacceptables » et « injustifiables » les déclarations de Paris.

Rome menace d’annuler une rencontre prévue vendredi entre les deux pays pour préparer le sommet européen de fin juin… qui comprend justement les migrations à l’ordre du jour. « Si les excuses officielles n’arrivent pas, le Premier ministre Conte fera une bonne chose en n’allant pas en France », prévient Matteo Salvini, le ministre de l’Intérieur et leader de la Ligue du Nord. L’agenda du Président de la République français n’indique toujours pas de réunion franco-italienne ce vendredi 15 juin.

Troisième acte : volte-face français et boomerang italien

Lors de son premier discours au Sénat italien ce mercredi (13 juin) (retransmis sur son Facebook), sur les actions du gouvernement pour la défense des frontières et le blocage de l’immigration clandestine, le ministre Salvini réitère ses attentes vis-à-vis de la France : « Les Italiens n’ont rien à apprendre en termes de solidarité. Notre histoire ne mérite pas d’être abordée en ces termes par les membres du gouvernement français, j’espère qu’ils vont présenter leurs excuses ». Il égratigne une nouvelle fois l’hypocrisie française en énumérant les renvois de migrants à la frontière de Menton notamment…

L’autre leader italien, du Mouvement 5 Étoiles, Luigi Di Maio, rappelle également sur sa page Facebook que « la France repousse tous les jours les migrants à Vintimille », la frontière franco-italienne où elle a rétablit et prolongé le contrôle sous couvert de risques liés au terrorisme.

Quatrième acte : le personnage mystérieux… et le dénouement ?

La Commission européenne essaye de rester zen. Lors du point presse routinier de midi, les questions se répètent. Les réponses aussi. Comme ce mercredi 13 juin. Pas de commentaire sur la relation entre la France et l’Italie, ou bien le renvoi vers les experts pour les aspects techniques. Ce jeudi 14 juin, le porte-parole essaye de ramener le calme en tribune et renvoie au calme apparent des échanges au sommet, en l’occurrence le prochain sommet européen des 28 et 29 juin : « C’est là que nos leaders doivent se concerter, parler, s’accorder, parce que les questions de migrations sont à traiter collectivement, ensemble, pas les uns contre les autres ».

Le chef du gouvernement italien a lui déjà prévenu, lors de son discours de politique générale au Sénat, il y a quelques jours comme le rapporte le Monde : « Le premier banc d’essai de la nouvelle manière de dialoguer avec les partenaires européens sera l’immigration. La gestion des flux a été jusqu’à présent un échec : l’Europe a autorisé des fermetures égoïstes de nombreux États qui ont déchargé, en premier lieu sur notre pays, les coûts et les difficultés. » 

Epilogue

A la veille d’une rencontre au sommet franco-italienne, Paris rétropédale dans ses critiques. Un communiqué de presse de la présidence française indique laconiquement, jeudi midi (14 juin), qu’Emmanuel Macron et Giuseppe Conte « se sont entretenus mercredi soir » (par téléphone). Ils ont « évoqué la situation du navire Aquarius » et « ont pu échanger sur leurs positions ».

Sans parler d’excuse, le Président de la République tient à « soulign[er] qu’il n’avait tenu aucun propos visant à offenser l’Italie et le peuple italien ». Ils ont convenu, qu’en vue du prochain Conseil européen fin juin, « de nouvelles initiatives étaient nécessaires et devaient être discutées ensemble ». Et de confirmer la rencontre, ce vendredi à Paris, cette fois en face à face des deux chefs d’État, autour d’un déjeuner de travail…

Commentaire : Machiavélisme et cynisme politique

Si l’on peut railler la récupération politique de ceux qui proposent sachant que leur offre sera déclinée, ce que le Premier ministre français a reproché aux élus corses, on peut tout autant s’interroger sur la pirouette de la France qui aujourd’hui dit être prête à aider l’Espagne à accueillir une partie des 629 réfugiés, comme le Premier ministre Édouard Philippe, interrogé à l’assemblée nationale (mardi 12 juin) :

12 juin tweet du PM français :   : Nous sommes prêts à aider les autorités espagnoles pour accueillir et pour analyser la situation de ceux qui pourraient vouloir bénéficier du statut de réfugié.

Côté italien, les récupérations politiques ne sont pas plus discrètes. Le ministre italien de l’Intérieur avait lui mieux à faire mardi (12 juin) que de se rendre à sa première réunion des ministres européens de l’intérieur, à Luxembourg où justement il devait être question de migration…

Dans ce tumulte, plus discrètement, en Sicile, le port de Catane a vu débarquer mercredi (13 juin) 900 autres migrants rescapés du Diciotti (CP-902), un navire des garde-côtes italiens. Il était annoncé depuis plusieurs jours. Impossible, là, de rejeter un navire italien. Et pas question cette fois de transborder une bonne partie ses occupants sur celui d’une ONG comme cela avait le cas pour l’Aquarius (lire : Méditerranée : L’Italie ferme ses ports aux migrants et viole le droit de la mer).

(Emmanuelle Stroesser, avec Aurélie Pugnet st.)

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Un petit Weinstein au SEAE ?

Fri, 15/06/2018 - 07:35
(B2) Une plainte a, apparemment, été déposée contre un haut responsable du service diplomatique européen (SEAE), qui a des responsabilités hiérarchiques notables dans les structures de gestion de crises. Le médiateur du SEAE Paul Marin, juste avant son départ en retraite, a ouvert un dossier sur saisine d'une personne de sexe féminin. Dans l'attente du […]

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L’accord avec l’Iran ne s’est pas effondré. Une leçon ? (Christopher A. Ford)

Fri, 15/06/2018 - 06:35
(B2) Le secrétaire d'Etat adjoint US, chargé de la non prolifération, Christopher A. Ford *, a mis en garde l'Iran d'être « seulement intéressé à négocier un accord séparé avec l'Europe, comme une sorte de stratégie d'attente ». Intervenant devant le Center for a New American Security à Washington lundi (11 juin), il garde espoir de parvenir […]

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Foot et droits de l’Homme. Le ballon ne tourne (toujours) pas rond… en Russie

Thu, 14/06/2018 - 19:46

Mascotte FIFA de la Coupe du monde Russia 2018

(B2) La coupe du monde démarre ce jeudi (14 juin) en Russie. Elle n’échappe pas à la politique. Difficile de faire autrement. Mais comment faire ? C’est un peu le ballon qui tourne en rond…

« Sévère restriction à la liberté de la presse, emprisonnement de journalistes et d’opposants politiques, intimidation des défenseurs des droits de l’Homme »… le bilan de la Russie en matière de droits fondamentaux n’est pas glorieux à lire le communiqué commun publié, le jour de l’ouverture de la coupe du monde de football, en Russie, jeudi (14 juin), par trois responsables du Parlement européen. La Russie « affiche un pauvre bilan en matière de droits de l’Homme, jusque dans la préparation de cette coupe du monde ».

Des violations qui ne peuvent plus être tolérées

Ces « violations des droits de l’Homme » qui « ne devraient plus être tolérées » indiquent le président de la commission des Affaires étrangères, David McAllister, son homologue de la sous-commission Droits de l’Homme ; Pier Antonio Panzeri, le président de la délégation à la commission de coopération parlementaire UE-Russie, Othmar Karas. Tous trois ne sont pas vraiment des alternatifs invétérés ou des anti-russes forcenés : ils font partie de la CDU allemande (pour le premier), du parti démocrate italien (pour le deuxième) et de l’ÖVP autrichienne (pour le troisième) et sont membres de la coalition qui dirige le Parlement et la Commission européenne. Autant dire des modérés…

Pas de résignation

Pourtant les trois eurodéputés ne se résignent pas à ce que la protection des droits de l’Homme vienne après « toute autre préoccupation ». « Nous appelons à ce que de grands événements sportifs deviennent l’occasion de réflexion et de changement ».  Ils en appellent plus directement  « aux autorités internationales qui régissent les Jeux », pour « faire respecter les droits de l’homme dans leurs statuts lorsqu’ils décernent et préparent l’organisation de grands événements sportifs ».

Vaine mise en garde ?

Le choix du prochain organisateur de la coupe du monde en 2022, le Qatar, est déjà acté. Là où des pratiques d’esclavage dit moderne ont été dénoncées par des ONG pour la construction des stades… Le dernier rapport d’Amnesty international note quelques menues évolutions dans le bon sens, en tout cas sur les droits des travailleurs migrants. Mais pas sur la liberté d’expression ni sur les conditions des femmes. Mais tant que les hommes continuent de jouer…

(Emmanuelle Stroesser)

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Six trafiquants d’êtres humains, libyens et érythréens, mis sur liste noire de l’UE. Détails

Thu, 14/06/2018 - 18:18
(B2) L'Union européenne a imposé ce jeudi (14 juin) une interdiction de voyager et un gel des avoirs à six trafiquants opérant en Libye. Quatre sont de nationalité libyenne et deux de nationalité érythréenne. La décision a été approuvée par procédure écrite et sera formalisée par la publication des textes au journal officiel ce vendredi […]

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Gel des avoirs : deuxième défaite du cousin de Bachar al-Assad. Devant la Cour cette fois.

Thu, 14/06/2018 - 17:30
(B2) La Cour de justice de l'UE a confirmé ce jeudi (14 juin) le maintien du gel de fonds de Rami Makhlouf, cousin de Bachar al-Assad, pour la période 2016-2017. Depuis 2011, le Conseil a inscrit Rami Makhlouf sur la liste des personnes visées par les mesures restrictives adoptées à l’encontre de la Syrie. Il […]

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Frontière irlandaise : l’UE pas convaincue par la proposition britannique

Thu, 14/06/2018 - 15:55
(B2) S'il y a eu des avancées dans les négociations sur le Brexit, la question de l’Irlande du Nord reste un gros caillou dans les chaussures des négociateurs. Sans surprise, l'Union européenne rejette la proposition de Londres d'élargir l'arrangement douanier à l'ensemble du Royaume-Uni, ainsi que sa solution pour la frontière irlandaise. Un message exprimé doublement après […]

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L’Europe doit développer une capacité de cyberdéfense (Parlement européen)

Thu, 14/06/2018 - 10:45
 (B2) Le Parlement européen demande aux États membres de l'UE de coopérer étroitement dans le développement de leurs cyberdéfenses respectives. Un processus coordonné au niveau européen par la Commission européenne, le SEAE et l'Agence européenne de défense. Un élément du futur Livre blanc sur la sécurité et la défense En adoptant le rapport du libéral […]

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Le Parlement européen soutient la coopération UE-OTAN

Thu, 14/06/2018 - 09:40
 (B2) Le Parlement européen a apporté son soutien à une plus large coopération UE-OTAN, y compris en ce qui concerne les missions et les opérations. Un sujet très à la mode Le rapport élaboré par l'ancien ministre roumain de la Défense Ioan Pascu (social-démocrate) a été approuvé mercredi (13 juin) à une majorité de 441 […]

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L’avenir de l’Europe, c’est sa valeur ajoutée (Mark Rutte). Mais pas un sou de plus pour le budget !

Wed, 13/06/2018 - 20:23
(B2) Septième leader européen invité à débattre de l'avenir de l'Europe avec les eurodéputés, le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, était à la plénière du Parlement à Strasbourg ce mercredi (13 juin). Ministre depuis 2010, âgé de 51 ans, diplômé en histoire, ce libéral dans l'âme (VVD/ALDE), est venu plaider pour une « Europe qui […]

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Fonds européen de défense. La proposition détaillée de la Commission

Wed, 13/06/2018 - 20:01
(B2) La Commission européenne a publié, mercredi 13 juin, sa proposition de règlement établissant le Fonds européen de défense pour le prochain cadre budgétaire 2021-2027. Détails Le fonds, doté de 13 milliards d'euros sur sept ans à partir de 2021, va amplifier la démarche entamée avec le programme de développement industriel EDIDP prévu pour durer […]

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Six des huit représentants spéciaux de l’UE bientôt prolongés. Toujours utiles ?

Wed, 13/06/2018 - 15:40
(B2) Le Conseil de l'Union européenne devrait prolonger d'ici la fin du mois les mandats de ses six représentants spéciaux (RSUE). Mais leur réelle utilité peut poser question. Les ambassadeurs du Coreper devraient confirmer cette décision jeudi (14 juin), au moins pour cinq d'entre eux. Le mandat du RSUE Kosovo reste toujours à affiner. Les […]

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Budget 2021-2027. La sécurité en ligne de mire. Les propositions de la Commission

Wed, 13/06/2018 - 14:39
  (B2) La Commission européenne a présenté ce mercredi (13 juin) ses propositions détaillées en matière de sécurité extérieure et intérieure pour le prochain cadre budgétaire, dans la période 2021-2027 En matière extérieure, l'objectif est triple : « 1) augmenter l'autonomie stratégique de l'Union, 2) renforcer sa capacité à protéger ses citoyens, 3) en faire un […]

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Londres envoie un détachement ‘renseignement’ pour soutenir EUFOR Althea durant la période électorale

Wed, 13/06/2018 - 10:35
(B2) Le ministre britannique de la Défense, Gavin Williamson, l'a annoncé lors de la réunion de l'OTAN vendredi (8 juin). Le Royaume-Uni veut renforcer sa présence durant la période électorale en Bosnie-Herzégovine. Un engagement, dédié au renseignement et visant à contrer toute désinformation, qui suscite la polémique Un détachement de 40 personnes Londres a ainsi […]

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Carnet (13.06.2018). RSUE (5 sur 7). Gestion des crises (direction). Iran (sanctions). Battlegroups (France). Minusca (attaque). RD Congo (fragilité). Corée (sommet US-DPRK). Bénin (peine de mort). Belgique/Allemagne (Conseil de sécurité). Ethiopie ...

Wed, 13/06/2018 - 09:58
(B2) Parus récemment : Dix ans après 2008, l’Europe veut aider à (re)tisser des liens entre Géorgie, Abkhazie et Ossétie du Sud Ne dites plus ARYM ou FYROM, dites Macédoine du Nord La Commission propose un budget migrations et sécurité intérieure en forte hausse pour 2021-2027 L’accueil temporaire de 12 palestiniens prolongé Faire face aux […]

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Dix ans après 2008, l’Europe veut aider à (re)tisser des liens entre Géorgie, Abkhazie et Ossétie du Sud

Wed, 13/06/2018 - 07:19
(B2 à Strasbourg) Lors d'un débat devant la plénière du Parlement européen, mardi (12 juin), la Haute représentante de l'Union a rappelé la politique européenne vis-à-vis des deux provinces sécessionnistes (Abkhazie, Ossétie du Sud), qui ont déclaré leur indépendance complète depuis l'intervention russe de 2008. « Notre politique est celle de la non-reconnaissance mais aussi […]

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Ne dites plus ARYM ou FYROM, dites Macédoine du Nord

Tue, 12/06/2018 - 21:44
(B2) Depuis plusieurs semaines, les négociations s'étaient intensifiées. Et ce mardi (12 juin), au soir, les deux Premiers ministres grecs et macédoniens, Alexis Tsipras et Zoran Zaev, ont pu célébrer les trois mots : « We have a deal ». La question du nom de la Macédoine qui entachait les relations avec la Grèce depuis près […]

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