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(B2) Piloté par le Haut commissariat aux réfugiés (HCR), financé par l’Union européenne, le mécanisme de transit d’évacuation d’urgence a repris ses évacuations de demandeurs d’asile et réfugiés vulnérables hors des prisons libyennes. La réinstallation reste cependant compliquée
Le Niger avait stoppé sa collaboration pendant quasiment deux mois, entre mars et mai. B2 fait le point avec le bureau du HCR de Niamey, au Niger.
Femmes évacuées de Tripoli vers le Niger, mai 2018 © UNHCR/Tarik Argaz
Quand ce programme a-t-il commencé ?
Il a débuté en novembre 2017. Date à laquelle le premier vol de migrants évacués de Libye atterrit au Niger. Il transporte alors 25 personnes. Mercredi (20 juin), le 13è vol atterrissait, avec 122 réfugiés. A son bord, le président du HCR, Fillippo Grandi, pour marquer la journée internationale des réfugiés.
Qui et combien de personnes ont été évacuées depuis ?
1.287 personnes ont suivi le même parcours – de Libye au Niger, indique le bureau du HCR à Niamey. Un petit nombre de migrants ont été évacués en Italie (312 personnes) et dans un centre de transit en Roumanie (10 personnes). Au total, le nombre de demandeurs d’asile ou réfugiés évacués de Libye atteint 1.609.
Toutes ont été repérées par le HCR dans les centres de détention libyens. Le HCR a choisi les plus vulnérables parmi celles ayant besoin d’une protection internationale.
Où sont-elles réinstallées ?
La très grande majorité des « évacués » passe par le Niger, où l’attente d’un pays tiers où être réinstallé se prolonge, faute de transfert possible. Sur les 1.287 personnes évacuées au Niger, seules 174 ont été réinstallées (bilan à la mi juin 2018) dans un autre pays.
Combien de demandeurs d’asile ont pris la direction de l’Europe ?
Très peu ! à peine 170 (en comptant les réfugiés libyens réinstallés depuis le mois de septembre, sans forcément passer par le Niger). Onze pays, dont dix européens (la France, la Suisse, la Suède, la Finlande, l’Allemagne, l’Italie, les Pays-bas, la Norvège, Malte et le Royaume-uni) et le Canada ont pris l’engagement d’accueillir des réfugiés évacués de Libye via le Niger. Pour un total de 3.781 places. Seules la France, la Finlande, la Suisse, les Pays-Bas et la Suède en ont effectivement déjà réinstallés.
Quelles sont les limites du dispositif ?
Le HCR bénéficie d’un droit d’accès aux centres de détention officiels en Libye, gérés par le gouvernement. Pas aux autres, sous la mainmise de trafiquants. Beaucoup de migrants évacués sont passés par ces centres illégaux, pendant de longues périodes, avant de rejoindre les autres centres.
Le Niger obligé de taper du poing sur la table !
Le HCR recherche d’autres pays pour accueillir des réfugiés sur une base temporaire. Car les capacités du Niger sont vite saturées. En mars, faute de voir les migrants repartir, le pays a décidé de suspendre leur accueil. Le gouvernement n’a autorisé la reprise des vols d’évacuation qu’au début du mois de mai. Depuis, de nouveaux vols sont arrivés à Niamey depuis la Libye. Mais, la capacité d’accueillir de nouveaux réfugiés dépend de la libération de nouvelles places. Aujourd’hui, le centre de transit du Niger (ETM) ne peut accueillir que 68 réfugiés supplémentaires.
(Emmanuelle Stroesser)
Lire : La réinstallation des migrants venant des camps en Libye bloquée… faute de places d’accueil (HCR)
Télécharger : le point du HCR sur les réinstallations (au 11 juin 2018)
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Le Niger, un pays parmi les plus pauvres du monde
Le président du HCR se trouvait à bord du 13è vol évacuant de Libye vers le Niger des demandeurs d’asile, ce mercredi (20 juin). Une présence doublement symbolique. Ce 20 juin était la journée mondiale des réfugiés. Le Niger, « l’un des pays les plus pauvres est aussi l’un des plus généreux » selon Filippo Grandi. (communiqué)
Premier bénéficiaire du fonds fiduciaire
Linda McAvan (S&D/Labour), présidente de la sous commission Développement (DEVE) du Parlement européen rappelait cette semaine (lors d’une audition sur les impacts des financements extérieurs de l’UE sur les migrations) que le Niger, « fin de 2017, le Niger était le plus grand bénéficiaire des contributions du Fonds fiduciaire UE-Afrique (projets nationaux) ». (rapport 2017 du fonds fiduciaire pour l’Afrique, document de la Commission européenne)
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(B2) Face au trafic d’êtres humains entre Libye et Italie, il y a normalement une dizaine de bateaux et avions engagés. Que font-ils ? Quel est leur bilan ?
Aiguillonné par ses amis de « La faute à l’Europe » (samedi et dimanche sur France Info TV*), B2 a cherché. La réponse n’est pas évidente.
Remember 2015…
Rappelez-vous. C’était au printemps 2015. L’émotion était à son comble. Plusieurs naufrages dramatiques avaient eu lieu en Méditerranée. Les morts se comptaient par centaines. Face à ces drames, l’Union européenne réagissait et mettait en place une grande opération militaire maritime en Méditerranée, pour aider les Italiens à faire face. Certes, officiellement, cette opération n’avait pas pour objectif de faire du sauvetage en mer, mais essentiellement de lutter contre les petits criminels et contrebandiers de tous poils qui font du trafic d’êtres humains leur business.
Objectif : sauver des vies
Dans l’esprit du grand public comme de plusieurs pays européens, cependant l’objectif principal de cette mission était de sauver des vies. Durant plusieurs mois, d’ailleurs, cette opération a été présentée en Allemagne, et en Italie également, comme visant au sauvetage des vies en mer. Et c’est le nombre de personnes sauvées qui était souvent mis en avant dans les bilans dressés par l’opération. « A l’origine, cette opération a été créée pour démanteler les réseaux trafiquants et contrebandiers. Mais très rapidement l’opération s’est concentrée sur le sauvetage en mer », confirme Pawel Herczynski, directeur de la politique de sécurité au SEAE (à la direction SecPol pour les intimes).
Disparue des écrans radars
Aujourd’hui, trois ans après, cette opération a disparu des écrans radars. Plus personne, ou presque, n’en parle. Même dans les couloirs européens, on ne l’évoque qu’à peine. En insistant un peu, on arrive juste à tirer : « ah oui Sophia »… un peu las. Pour trouver le bilan de l’opération, il faut s’armer de patience. Le service du porte-parole de la Commission n’a pas les chiffres en tête. Interrogé devant le Parlement européen, un responsable du service diplomatique a aussi perdu la mémoire. Il met cependant en avant « le nombre important de contrebandiers qui ont été arrêtés et de navires détruits ». Mais interrogé par les eurodéputés, il a soudainement une panne de chiffres : « Je n’ai pas les chiffres avec moi ». Symptomatique. Le site de l’opération reste muet. Quant à son facebook, il se concentre surtout sur les paillettes. Photos à l’appui, on peut y trouver toutes les nouvelles sur les derniers personnages officiels (ministres, députés, responsables militaires), qui défilent au quartier général de Rome… Pour les informations plus précises, c’est plus difficile.
Un bilan limité
Selon un dernier bilan (que j’ai pu retrouvé, dressé début juin), l’opération Sophia a « sauvé » (ou contribué à le faire) plus de 44.800 personnes en détresse en mer (contre 41.500 en novembre 2017). En trois ans c’est plus que modeste. A peine le labeur d’un ou deux navires d’une ONG. Certes 148 passeurs présumés et trafiquants ont été appréhendés (contre 117 en novembre 2017). Et 549 bateaux détruits évitant ainsi d’être réutilisés par contrebandiers (contre 497 en 2017) (1). Mais là encore cela apparait une goutte d’eau : la plupart du temps, il s’agit de seconds ou troisièmes couteaux, en aucun cas de responsables des trafics. Pour connaître le sort de ces personnes une fois transmis aux policiers italiens : c’est mystère et boule de gomme. Et pour cause : dans plusieurs cas, ces personnes signalées comme trafiquants sont libérées faute de preuves suffisantes.
Une discrétion remarquable
A qui la faute ?
C’est une bonne question. Il y a plusieurs facteurs. Incontestablement, les Européens ont pêché par surcroit d’optimiste dans leurs objectifs et leurs moyens. Et le vent a changé : l’heure n’est plus vraiment à se vanter d’être présent au large de la Libye : il s’agit surtout de traiter le problème à terre. Or, les Libyens n’ont pas voulu ouvrir leurs eaux territoriales aux navires battant le pavillon à douze étoiles. Une question de fierté nationale sans aucun doute, et d’affirmation de la souveraineté sûrement. Mais aussi (et surtout) la volonté de protéger un ‘petit’ trafic dans lequel sont impliqués plusieurs responsables locaux et milices, influentes. Résultat : les marins européens n’ont pu que jouer les danseuses de fond de cour.
Un résultat : la symbolique politique
Cette opération a eu au moins un intérêt au niveau de la symbolique politique. Montrer que les Européens voulaient aider l’Italie, avaient en commun certains convictions et le sens de l’action. En effet, retrouver regroupés sur le terrain non seulement Italiens et Allemands, Français ou Britanniques mais aussi Polonais et Autrichiens est une chose relativement rare, quand on évoque la question des migrations. C’est cependant faible comme résultat, et même très faible au regard des enjeux actuels et, surtout, insuffisant pour compenser le spectacle de la déchirure qu’offrent les Européens aujourd’hui.
(Nicolas Gros-Verheyde)
* l’émission passe en direct (samedi 12h10 et 17h10, dimanche 15h10 et 19h20, ou en replay)
(1) Soit 52 navires détruits et 31 trafiquants signalés aux autorités italiennes en neuf mois.
L’opération comprend aujourd’hui :
Cet article Missing (in) operation : Sophia est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Carnet (22.06.2018). Atalanta (OHQ). Plan de capacités (agenda). NAC (visite). ISIL (sanctions). Accord Cotonou (mandat). Ethiopie/Érythrée (négociation). UE-Qatar (dialogue). Moldavie (élection). UE-Arménie (conseil). Jordanie-Liban, Kenya-Ouganda (aides). EDIDP (compromis). France (exportations). Migrations (mini sommet). Gel des avoirs (adoption). Eurojust (règlement). Hotspot de Catane. Parlement (football). Mini-sommet migrations. Rép. Tchèque (diplomatie). SEAE (organigramme). est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Après 14 mois de présence, les Allemands ont mis fin à l’engagement de leurs hélicoptères de combat Tigre dans la mission des casques bleus au Mali (MINUSMA). Les quatre hélicoptères et 363 militaires du 36e régiment d’hélicoptères d’attaque Hessian de Fritzlar rentrent au pays
Hélicoptère Tigre allemand de le hangar à Gao (© NGV / B2)
Soutien rapproché, surveillance…
Ces hélicoptères de combat ont été utilisés dans la MINUSMA « environ 185 fois », indique la Bundeswehr. Ils ont rempli plusieurs types de missions. Tout d’abord, le soutien aérien rapproché quand les forces terrestres ont été attaquées. « L’utilisation des armes [dont sont dotées l’hélicoptère] n’a jamais vraiment été nécessaire », racontent les Allemands, « les attaquants s’enfuyaient à l’arrivée du Tigre ».
… et show of force
Les convois de troupes des Nations Unies étaient souvent escortés depuis les airs pour les protéger des attaques ou les avertir des endroits dangereux. Les Tigres ont aussi été utilisés pour surveiller les routes importantes ou les points de terrain. Enfin, ils ont fait du ‘Show of Force‘, un passage à basse altitude destiné à impressionner. Ces survols et les escortes de convois ont dissuadé les attaquants et également contribué à la protection des forces terrestres.
Une force moins bien dotée en hélicoptères ?
Les Canadiens arrivent… un peu plus tard
Les hélicos d’attaque allemands partis, tout comme les hélicos belges de transport NH 90, demeure un petit vide pour quelques jours certes. Mais un vide crucial. En cette fin juin début juillet, le Mali est en pleine période électorale. Les Canadiens doivent prendre le relais, mais un peu plus tard. Ils arrivent avec moins de moyens que les Européens : deux hélicoptères de transport type Chinook (au lieu de cinq hélicoptères NH 90 fournis par les Belges et Allemands), accompagnés de quatre hélicoptères Grillon.
Un champ d’action plus restreint
Les capacités d’emploi des engins pourraient aussi être plus limitées : les hélicoptères de combat auront surtout une vocation d’accompagnement des Chinook, mais pas automatiquement des missions autonomes. La décision canadienne d’envoi des hélicoptères a été un peu longue et compliquée par des difficultés internes. L’opposition a critiqué l’intérêt du déploiement, pointant les risques de cet engagement et mettant en cause jusqu’à l’opportunité d’une telle mission (Lire chez nos collègues de 45e degré nord).
D’autres hélicoptères présents avec moins de capacités… ou pour d’autres missions
Des hélicoptères MD-500 salvadoriens seront aussi présents. Mais ils n’ont pas la même élongation que les NH 90 (150-200 km seulement de portée). La MINUSMA dispose également d’une capacité d’hélicoptères civils de type Mi-8 fournis par une société ukrainienne, mais ils ne peuvent servir qu’au transport de fret ou d’hommes et nécessitent une protection sur place. Des hélicoptères lourds britanniques (trois Chinook CH-47) arrivent dans la zone, à Gao, mais dans le cadre de l’opération française anti-terroriste Barkhane.
Le taxi des airs : un besoin vital pour les casques bleus
Le besoin d’hélicoptères est fondamental pour la force des Nations unies : pour les évacuations médicales mais aussi pour le transport, la protection des troupes au sol, la dissuasion (comme l’ont bien expliqués les Allemands). Si les hélicoptères ne peuvent aller vers le nord (hélicoptères salvadoriens) ou sont limités dans leur emploi (hélicoptères canadiens), cela limite d’autant l’autonomie d’action de la MINUSMA et sa force de dissuasion. Le ravitaillement par voie terrestre reste toujours très risqué et parfois compliqué en période de saison des pluies. Toutes les bases de la force ne disposent pas également d’une piste d’aviation permettant aux avions d’atterrir. Celle de Kidal, par exemple, est hors circuit. Minée puis bombardée à deux reprises, elle est envahie en partie par la population.
Une sourde inquiétude à l’ONU
L’inquiétude est donc bien réelle autant dans les rangs de la MINUSMA que dans différents pays. Lors du débat au Conseil de sécurité des Nations unies, jeudi dernier (14 juin), sur le renouvellement de la mission, plusieurs délégués ont regretté « l’absence de moyens suffisants », comme l’a résumé le diplomate britannique Jonathan Allen. « Le déploiement de multiplicateurs de forces renforcerait les capacités de la MINUSMA », a plaidé son homologue ivoirien Ilhari Alcide Djédjé, estimant nécessaire que la mission soit dotée de capacités logistiques nécessaires pour la prévention des attaques et à la protection des convois. Quant au russe Dmitry Polyanskiy, il a rappelé que « les pays qui ont pris des engagements à ce titre doivent les honorer ».
Commentaire : comme un vide européen
Après le retrait néerlandais, les retours belge et allemand, on peut se poser la question pourquoi les Européens n’ont pas réussi à proposer une offre groupée pour permettre d’avoir une capacité continue et opérationnelle en matière d’hélicoptères. Alors que chacun en Europe brode sur l’intérêt primordial de défendre l’ONU et le multilatéralisme, de stabiliser la région du Sahel et d’assister les forces du G5 sahel et maliennes, de permettre la sécurité dans les régions d’origine des migrations, l’Europe n’arrive pas se mobilier pour offrir aux casques bleus une petite force héliportée de transport et de protection, soit une dizaine d’hélicoptères et 200 personnels. C’est faible et… dangereux. Car cette faiblesse est visible aux yeux de tous.
(Nicolas Gros-Verheyde, de retour de Gao)
Durant cet engagement, deux pilotes allemands Tigre ont perdu la vie lors du crash de leur hélicoptère au nord-est de Gao juillet 2017.
Le mémorial en honneur des six soldats tombés dans le cadre de l’engagement de la MINUSMA : deux Allemands et quatre Néerlandais.
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(B2) Une phrase est relativement passée inaperçue au sommet franco-allemand de Meseberg. Répondant à une question d’un journaliste sur le sort de l’Aquarius, le président français Emmanuel Macron a, une nouvelle fois, taclé le gouvernement italien de Giuseppe Conte, et en particulier son ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini.
Un tacle indirect certes. Mais très précis. Il rappelle un point important dans la trajectoire du navire de SOS Méditerranée, l’Aquarius.
« La problématique de l’Aquarius, c’est à partir du moment où le bateau quitte les eaux libyennes. C’est au moment où certains garde-côtes les mettent sur un bateau et commencent à les accompagner. Il ne se pose pas à quelques kilomètres des côtes. »
Le Dattilo (CP-940) navire des garde-côtes italiens amarré à Valence aux côtés de l’Aquarius (crédit : SOS Méditerranée)
Le gouvernement italien mis en cause
En utilisant le mot « certains », le président n’a pas voulu préciser « italiens ». Mais il y a pensé très fort. De même, il n’a pas accusé les Italiens d’avoir monté un coup. Mais il y a pensé très fort.
(Nicolas Gros-Verheyde)
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