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Cet article (B2 Pro) Les Européens protestent contre l’application de la loi Helms-Burton est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
(B2) La troisième compagnie d’infanterie légère a terminé sa formation au centre de formation Général Daghadaban
Opérations offensives et défensives, connaissances de base en commandement et contrôle, combat en agglomérations, gestion des engins explosifs improvisés, postes de contrôle, protection rapprochée, leadership, tirs réels, premiers secours en zones de combat, droit des conflits armés, droits de l’homme et genre…
Autant de domaines dans lesquels les soldats somaliens ont été formés durant 17 semaines. A son issue, les militaires de la 3ème compagnie d’infanterie légère somalienne ont reçu le 7 avril dernier leurs diplômes lors d’une cérémonie en présence de représentants de l’AMISOM, de l’état-major et de la communauté internationale à Mogadishu.
Point important : la compagnie n’a pas été formée par des Européens mais par des instructeurs somaliens, eux-mêmes formés par la mission de l’UE de formation de l’armée somalienne (EUTM Somalia) lors du cinquième cours de formation des formateurs.
(MHA)
Cet article Fin de formation pour la 3ème compagnie d’infanterie légère somalienne est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
(B2) L’affaire de plusieurs personnes, travaillant pour l’Union européenne et la France, interceptées à la frontière tunisienne a fait couler un peu d’encre et semé beaucoup de confusion. Tentons d’y voir un peu clair
En fait, il y a eu deux évacuations quasi-simultanée, l’une des Européens d’EUBAM Libya menée par voie de mer, l’autre menée par les Français par voie terrestre. Des évacuations plutôt confuses car l’Union européenne comme la France se sont bien gardés de communiquer clairement sur ces évacuations laissant prospérer toutes les versions possibles.
Une décision d’évacuation
Au moment de l’offensive du maréchal Haftar sur Tripoli, les Européens prennent la décision d’évacuer le personnel d’EUBAM Libya, la mission de l’UE d’assistance aux frontières au gouvernement libyen (lire : Les équipes d’EUBAM Libya ont quitté la Libye). L’évacuation se fait le 10 avril vers l’ile de Djerba, par voie de mer, moyen le plus sûr et le plus rapide de locomotion et régulièrement utilisé par la mission pour ses transferts réguliers entre Tunis, où est basé son siège, et son point avancé à Tripoli, sur le site de Palm City.
Onze personnels d’EUBAM Libya revenus via Djerba
A bord de deux bateaux, notamment Vincenzo Tagliaferi, le chef de mission EUBAM (un ancien carabinieri italien), des gardes de sécurité, de différentes nationalités, et différents personnels dont Bruxelles ne veut confirmer ni le profil ni la nature des fonctions. Il n’y a pas eu d’interception, de saisie ou d’arrestation, comme l’a mentionné le ministre de la défense relayé par certains médias (1). « Ce trajet était prévu et les autorités tunisiennes dûment averties comme le veut la procédure » a simplement confirmé à B2 un officiel européen. Comme le veut la règle, les armes et munitions dont disposaient les gardes sont « remises aux autorités tunisiennes » et contrôlées. A noter que tous les gardes n’ont pas été rapatriés en Tunisie, certains sont restés sur place pour empêcher que les locaux soient pillés.
Treize Français par voie terrestre
Quelques jours après, dimanche (14 avril), les Français ont assuré une évacuation similaire par voie terrestre, cette fois. Un convoi de six véhicules tous terrains franchit la frontière, au poste de Ras Jedir, en provenance de la Libye. A bord, 13 personnes. Des personnes (gendarmes) chargés de la sécurité de l’ambassade de France de Tripoli, assure-t-on côté français. Le passage semble être moins facile.
L’île de Djerba point focal des agents de renseignement
Les personnels sont retenus durant plusieurs heures. Le ministère tunisien de la défense et des sources au sein de la présidence tunisienne citées par Radio France internationale parlent même de la présence parmi les gendarmes d’agents du renseignement. « Il y a beaucoup de va-et-vient vers la Libye » indique une ‘gorge profonde’ de RFI. L’île de Djerba, dans le sud tunisien, « est devenue une base arrière » pour les services de renseignement étrangers. « Cette activité nous rend responsables de ce qui se passe en Libye et pourrait nous causer des ennuis… »
Tunis bien prévenu
Un propos qui sera démenti ensuite officiellement par la présidence tunisienne. Les ministères tunisiens des Affaires étrangères et de l’Intérieur avaient bien « été prévenus par la France de ce déplacement décidé moins de 48 heures auparavant » indique Rfi citant « une source proche du dossier ». Et si le stock d’armes saisi à bord des véhicules est conséquent — plusieurs centaines de grenades, des casques, des gilets pare-balles, des lance-missiles et lance-roquettes et du matériel de communication selon notre confrère —, il s’agissait de ne pas laisser à Tripoli un tel stock d’armes qui aurait pu être pris par des personnes de mauvais aloi.
Commentaire : la présence de personnes chargées au sein de la mission européenne en Libye comme de l’ambassade de France de faire du renseignement, de prendre des informations à la source et les faire remonter à leur autorité hiérarchique ne serait pas surprenant. C’est même une partie de leur rôle a priori. Ce qui serait dommageable c’est s’ils ont été plus loin que cela. Un peu de clarté sur le profil et les fonctions des personnes évacuées, du côté européen comme français, ne nuirait pas. Continuer d’entretenir le flou sur le sujet accrédite tous les fantasmes, réels ou supposés.
(Nicolas Gros-Verheyde)
Lire aussi : Renforcer l’état libyen : une tâche pas facile pour EUBAM Libya. Bilan d’un an d’avancées… et de blocages
Cet article Retour sur l’évacuation des gendarmes français et des experts d’EUBAM Libya vers la Tunisie est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article (B2 Pro) A l’agenda de la présidence finlandaise (2e semestre 2019) est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
(B2) L’idée de faire passer certaines décisions de politique étrangère — notamment les décisions en matière de sanctions ou de missions PSDC — a fait flop
Le porte-parole en chef de la Commission l’a reconnu, lors du point quotidien de presse mardi (30 avril) interrogé par B2 et un autre collègue journaliste.
Un projet bloqué…
« Malheureusement, au moins pour le moment, cela n’a pas été complètement approuvé » a indiqué Margaritis Schinas. « Cela n’a pas avancé » du fait de « l’opposition » de plusieurs États membres. « Nous verrons ce qu’il en sera à Sibiu ». Mais l’espoir d’une évolution est mince. Pour cela, « il faudrait une prise de conscience collective » notable.
… laissé au prochain exécutif
En réalité, le sujet est remisé pour la prochaine Commission. « Espérons que dans le prochain agenda stratégique, la nouvelle équipe aura plus de succès que nous, avec les États membres sur ce sujet. »
(Nicolas Gros-Verheyde)
Lire notre analyse : Le projet de passer certaines décisions de politique étrangère à la majorité qualifiée : mort et enterré ?
Cet article Le passage à la majorité qualifiée dans la politique étrangère remisé à plus tard est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article (B2 Pro) Le sommet à Berlin sur les Balkans se termine avec la promesse de se revoir. Petit progrès… est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article (B2 Pro) Le ministre britannique de la Défense prend la porte. En cause une fuite sur Huawei. Une femme le remplace est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article (B2 Pro) Le Sahel au cœur de l’attention des 28 ministres des Affaires étrangères et de la défense (13 et 14 mai 2019) est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
(B2) Les dernières statistiques publiées d’Eurostat sur le droit d’asile sont frappantes. Elles illustrent bien le différentiel de solidarité qui existe dans l’Union européenne
L’Allemagne reste toujours généreuse
Sur les quelque 333.400 demandes d’asile acceptées par les pays européens, l’Allemagne remporte la palme de la générosité. Elle reste le principal pays d’accueil avec plus d’un tiers des droits d’asile accordés (139.555), suivie par l’Italie (47.885) et la France (41.440) en troisième position.
Autriche, Suède et Grèce proportionnellement plus impliquées
On peut remarquer que l’Autriche (20.700) et la Suède (19.605), tout comme la Grèce (15.805) assument une part du fardeau largement supérieure en proportion avec leur population. Tandis que le Royaume-Uni (17.205) se retrouve en retrait.
Une faible solidarité à l’Est
Alors qu’ils fêtent avec tambours et trompettes leur entrée dans l’Union européenne (il y a 15 ans très exactement), les pays de l’Est de l’Europe se signalent par un faible octroi du droit d’asile, refusant de fait d’assurer leur part du fardeau : 435 personnes en Pologne (essentiellement de Ukraine et Russie) (1), 365 en Hongrie (essentiellement d’Afghanistan et de Syrie), 165 en Tchéquie (venant de Syrie et d’Irak), 45 en Slovaquie (venant du Yémen et d’Afghanistan). Les pays les plus pauvres de la région (Bulgarie et Roumanie) sont les plus généreux de la zone…
Des petits poucets qui assument leur part du fardeau
Pour comparer, on peut noter que les « petits poucets » européens, les deux îles Etats de Méditerranée, Chypre et Malte sont incomparablement plus généreux : 1225 personnes et 660 personnes accueillies respectivement. Avec un territoire et une économie qui ne sont pas automatiquement plus florissantes que celles de leurs homologues d’Europe de l’Est entrés au même moment dans l’Union européenne.
(NGV & ES)
Voir le dernier communiqué d’Eurostat, publié jeudi (25 avril).
Un droit d’asile en décrue
En 2018, les 28 États membres ont accordé le droit d’asile ou une protection temporaire à 333.400 personnes. Soit 40% de moins qu’en 2017 (533.000 protections). A ceux-là, il faut ajouter 24.800 réfugiés réinstallés indique Eurostat. Les Syriens sont les premiers bénéficiaires de cette protection (29%), suivis des Afghans (16%) et des Irakiens (7%). Soit globalement le même trio de tête qu’en 2017.
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(B2) La mission européenne EUAM Irak pourrait étendre son activité sur la réforme du secteur de la sécurité dans le Kurdistan irakien
Les conseillers de la mission de l’UE de conseil et d’assistance en Irak (EUAM Iraq), menée au titre de la politique de sécurité et de défense commune, ont rendu visite à Erbil entre le 14 et le 16 avril. L’occasion de rencontrer des responsables du Ministère de l’Intérieur du gouvernement régional du Kurdistan d’Irak (KRG) et de présenter le travail de la mission.
La possibilité d’une coopération entre EUAM Iraq et le gouvernement kurde a été évoquée, sur quelques thématiques, notamment « en matière de violences domestiques, droits de l’homme, lutte contre la criminalité et le crime organisé et planning stratégique ».
De nouvelles visites dans le Kurdistan irakien se feront prochainement afin de concrétiser l’engagement de la mission auprès du gouvernement régional du Kurdistan, indique la mission. L’équipe de liaison ministérielle de la coalition internationale pourrait rejoindre cette coopération.
(MHA)
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Cet article (B2 Pro) La Commission européenne présente cinq axes pour le futur de l’Union est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article (B2 Pro) Un nouveau chef de la force de stabilisation de l’UE (EUFOR Althea) en Bosnie-Herzégovine est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
(B2) 33 postes sont actuellement vacants au sein de la mission européenne de conseil en Ukraine (EUAM Ukraine). Cela s’inscrit dans le renforcement de la mission qui doit être décidée au prochain conseil des ministres des Affaires étrangères le 13 mai.
La mission recrute 29 personnels détachés dans les domaines suivants:
Quatre personnels sont également recrutés par voie de détachement ou bien par voie contractuelle :
Date limite d’inscription : mardi 14 mai 2019 17h00 (Bruxelles)
Plus d’informations ici.
(MHA)
PS : pour parfaire vos connaissances sur la politique européenne, le manuel sur la politique européenne de sécurité et de défense est le complément indispensable à votre préparation.
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Cet article (B2 Pro) La mission EUAM Ukraine étend ses activités à Mariupol est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article (B2 Pro) La CEDH donne le feu vert à l’expulsion de condamnés pour terrorisme vers l’Algérie est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
(B2) Un bateau de pêche norvégien a eu une rencontre, peu banale, avec une baleine jeudi dernier dans l’extrême nord du pays. La baleine blanche était munie d’un curieux harnachement, type caméra
La baleine munie de son curieux harnachement (crédit : NRK)Ce sont trois pêcheurs norvégiens qui ont fait la découverte, raconte la télévision norvégienne NRK. Joar Hesten pêchait en compagnie de son père et son frère, au large du Finnmark, la région de Laponie la plus proche de l’arctique de la Norvège, quand la baleine s’est rapprochée du bateau.
Un animal équipé d’un système Go Pro ?
L’animal « était apprivoisé », habitué à recevoir de la nourriture des humains. Il s’est rapproché sans crainte ni signe d’animosité des pêcheurs. Mais, elle avait un harnais. « A l’approche, nous avons vu qu’il y avait une sorte de harnachement. » Le harnais était même équipé d’un support type caméra Go Pro, la caméra ayant pu s’arracher sous l’eau.
Une méthode qui n’est pas l’oeuvre des scientifiques
« Ce n’est pas une méthode utilisée par les scientifiques et, autant que je sache, les scientifiques russes ne marquent pas les baleines blanches » confirme Martin Biuw de l’Institut de recherche marine interrogé par nos confrères norvégiens. « Si cela vient de la Russie, ce ne sont pas des scientifiques russes, mais la marine qui l’a fait ».
Un harnachement provenant de la marine russe…
Cet équipement ne provient « pas des scientifiques norvégiens », confirme Audun Rikardsen, professeur au département de biologie marine et arctique de l’Université arctique norvégienne de Tromsø. Et de pointer le doigt sur la Russie voisine. « J’ai été en contact avec des chercheurs russes et ils peuvent confirmer qu’ils ne font rien. Ils me disent que la marine russe à Mourmansk est très probablement à l’origine de cela. » Et d’ajouter : « Nous savons qu’en Russie, il y a des baleines domestiques en captivité et que certaines d’entre elles ont apparemment été relâchées. »
Le centre spécialisé de Mourmansk
L’Institut de biologie marine de Mourmansk, en mer de Barents, est en effet un lieu reconnu de test et d’entraînement, en secret, de différents mammifères marins — plutôt des phoques, mais aussi des dauphins et bélugas ou baleines blanches — pour des utilisations militaires, comme l’expliquait, à l’été dernier Elena Koudriavtseva du journal russe traduit dans Courrier international
(NGV)
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(B2) Le parti socialiste espagnol (PSOE) arrive en tête des élections générales tenues dimanche (28 avril), devançant largement son principal concurrent le parti populaire (PP) qui s’écroule, à un point à peine du parti centriste de Ciudadanos (CS). La gauche de Podemos perd aussi des plumes (passant en 4e position).
Après une campagne tendue, l’élection est marquée par le taux de participation : 75,78 %. Soit neuf points de plus qu’en 2016 et cinq de plus qu’en 2015, selon le ministère espagnol de l’Intérieur. Signe de la crispation politique et de la préoccupation des Espagnols.
Un PSOE sans majorité absolue, et Podemos en rase-campagne
Le Parti socialiste (PSOE) a obtenu 29% des voix et 123 des 350 sièges du Congrès des députés, soit nettement plus qu’aux législatives de 2016, mais loin de la majorité absolue de 176 sur 350 à la chambre. Une victoire qui s’est faite aux dépens de Podemos, qui n’a convaincu que 14% des Espagnols et perd 29 sièges.
Des indépendantistes et régionalistes faiseurs de rois ?
Les autres heureux sont les indépendantistes (Basques et Catalans), qui obtiennent 26 sièges dont 15 pour la Gauche républicaine de Catalogne (ERC), considérée comme le parti indépendantiste le plus modéré. Ce parti pourrait devenir un faiseur de rois. Parmi les Catalans nouvellement élus, cinq séparatistes catalans, détenus et jugés actuellement à Madrid pour leur rôle dans la tentative de sécession de la Catalogne en 2017. A ceux-là, il faut ajouter les nationalistes du Parti national Basque (PNV).
La droite fragmentée
Très fragmentés, les partis de droite ne cumulent pas suffisamment de sièges pour prétendre à une alliance contre le bloc de gauche, permettant de répéter le succès obtenu aux élections régionales d’Andalousie, en décembre 2018. Et ce, malgré l’irruption du parti d’extrême-droite (Vox) avec 10% des voix. Le nouveau parti n’a pas fait l’entrée fracassante prédite, mais récupère une partie des déçus de la droite. Les conservateurs du Parti populaire (PP) ont en effet perdu la moitié de leurs sièges, et retombent à 66 députés, contre 137 en 2016. Les libéraux de Ciudadanos ont réussi une belle percée, passant de 32 à 57 députés.
Un difficile jeu des alliances commence
Le résultat est un parlement fragmenté et des divisions exacerbées par la tentative de sécession de la Catalogne en 2017. Le PSOE, qui n’a pas la majorité absolue, devra former une coalition pour gouverner. Si l’intuition naturelle serait de s’allier avec la gauche de Podemos, les socialistes pourraient aussi se tourner vers les libéraux de Ciudadanos. L’association avec l’ECR est difficile, puisque ce sont eux qui ont fait tomber le gouvernement actuel, refusant de le soutenir pour adopter le budget de 2019. Le besoin d’une coalition s’impose désormais à tous les partis. Aucune tête de liste n’a fermé la porte à des alliances avec d’autres partis (à l’exception de l’extrême droite), sachant que ce type d’attitude avait mené à un blocage en 2015, et à l’organisation de nouvelles élections en 2016.
(NGV & LH)
Résultats 2019 – 4h34 du matin – avec 99,99% des bulletins – comparaison 2016 dans le cercle intérieur (source : El Pais)Cet article Espagne. Le PSOE sort vainqueur sans majorité absolue est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article (B2 Pro) Le F35 risque d’être cloué au sol. La chaîne d’approvisionnement est ‘immature’ note le GAO est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article (B2 Pro) Carnet (29.04.2019). Confidentiels (COPS, Présidence finlandaise, Sommet de Sibiu, EUFOR Althea). Défense (10e priorité, France plainte ONG, Allemagne inspections, Statistique SIPRI). Diplomatie (USA Traité armes, Sahel Merkel, UE-Japon sommet, Egypte état de droit, Arabie saoudite exécutions). Aides (Syrie). Sécurité (Frontex Bosnie, Asile 2018). Pouvoirs (Perquisitions DGSI). Elections 2019 (Eurodéputés influents, Grèce sondage). A suivre.. est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.