You are here

Bruxelles2 Blog

Subscribe to Bruxelles2 Blog feed Bruxelles2 Blog
B2 Le Blog de l'Europe géopolitique. Actualités. Réflexions. Reportages
Updated: 2 hours 50 min ago

(B2 Pro) Nucléaire iranien. L’accord en balance. Une réunion convoquée à Vienne d’urgence

Fri, 21/06/2019 - 09:10
(B2) L'Iran envisage de modifier davantage les engagements pris dans le cadre de son accord sur le nucléaire de 2015 (JCPOA) « afin de mettre en équilibre ses engagements et ses mérites », a averti Téhéran qui vient de durcir le ton. Plus que jamais, l'accord sur le nucléaire iranien signé en 2015 semble en […]

Cet article (B2 Pro) Nucléaire iranien. L’accord en balance. Une réunion convoquée à Vienne d’urgence est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Centrafrique. Le premier détachement vers Bouar part

Thu, 20/06/2019 - 23:55

(B2) Le premier détachement de la mission de l’UE de formation de l’armée centrafricaine (EUTM RCA) est parti de Bangui ce jeudi (20 juin) vers Bouar. C’est la première fois que la mission de l’Union européenne sera déployée en dehors de la capitale centrafricaine.

Vue du concoi de véhicules vers Bouar (crédit : état-major espagnol des forces armées)

Cet article Centrafrique. Le premier détachement vers Bouar part est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Forages sauvages en eaux chypriotes. L’UE mécontente agite le chiffon ‘sanctions’ contre la Turquie

Thu, 20/06/2019 - 23:55
(B2) Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE réunis en sommet ont, ce jeudi 20 juin, « fermement condamné » les forages turcs en Méditerranée orientale. Excédés par l'attitude turque, les 28 montent le ton et agitent la menace des sanctions Déjà au dernier Conseil européen, le 22 mars, les 28 avaient fermement condamné […]

Cet article (B2 Pro) Forages sauvages en eaux chypriotes. L’UE mécontente agite le chiffon ‘sanctions’ contre la Turquie est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Les conclusions du sommet adoptées. Plusieurs points de relations internationales. L’agenda 2019-2024 propulsé

Thu, 20/06/2019 - 23:27
(B2) Après une longue et complexe discussion sur le climat — l'objectif de neutralité climatique pour 2050 ayant été bloqué par plusieurs délégations (Hongrie, Pologne, république Tchèque) —, les 28 chefs d'État et de gouvernement ont adopté leur projet pour l'Europe en 2019-2024 ainsi qu'un ensemble de conclusions générales, avec près de deux heures prévues. […]

Cet article (B2 Pro) Les conclusions du sommet adoptées. Plusieurs points de relations internationales. L’agenda 2019-2024 propulsé est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) MH17, Marins ukrainiens, passeports du dombass… les Russes priés de respecter le droit international (Conseil européen)

Thu, 20/06/2019 - 22:52
(B2) La Russie a été abordée de façon rituelle par les chefs d'État et de gouvernement lors du Conseil européen ce jeudi (20 juin). Le point n'a pas suscité d'intenses débats. Si les 28 rappellent Moscou à l'ordre, la position n'évolue pas. Et le ton, bien que ferme, reste plutôt mesuré par rapport à certaines […]

Cet article (B2 Pro) MH17, Marins ukrainiens, passeports du dombass… les Russes priés de respecter le droit international (Conseil européen) est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Top Chef 2019 : des noms, quels noms ?

Thu, 20/06/2019 - 22:39

(B2) Le sommet européen patine dans la semoule avec une pléthore de candidats, mais pas de figure consensuelle qui se détache au point de susciter le compromis. La faillite du système des Spizenkandidat qui était sensé trouver une parade démocratique et objective à un système considéré auparavant comme trop opaque et fait de hasard a laissé un vide

Leo Varadkar, le Premier ministre irlandais, et Helen McEntee, la ministre des Affaires européennes, à leur arrivée au sommet ce jeudi (crédit : Conseil UE)

Les Spitzenkandidat tués dans l’œuf ?

Pour le poste de chef de la Commission européenne, le système des Spitzenkandidat avait été recommandé par le Parlement européen et plusieurs chefs d’États et de gouvernement. Ce système, inauguré pour la première fois il y a cinq ans avec la Commission Juncker, a été tué dans l’œuf du fait de la faiblesse des candidats choisis. Mettre Manfred Weber pour le PPE, Frans Timmermans pour les S&D et Margrethe Vestager pour les Libéraux (et Renaissance) a fragilisé l’édifice. Bons chacun dans leur domaine, ces trois là n’avaient pas l’étoffe pour pouvoir rassembler au-delà de leur camp (et encore) et pouvoir prétendre négocier d’égal à égal avec les grands ou les durs de ce monde. Quand on les compare au triangle existant en 2014 (Juncker-Schulz-Verhofstadt), on voit bien qu’il s’agit de seconds couteaux.

Le rééquilibrage en Europe entre les différentes forces politiques n’a pas aidé. Après les élections européennes de mai, le Parlement européen, morcelé, n’est plus arrivé à un consensus sur un nom : est-ce celui du premier groupe arrivé arithmétiquement en tête (PPE donc Manfred Weber) ? Ou celui réunissant le plus de suffrages (un candidat hypothétique qui n’a jamais vu le jour) ? Au Conseil européen, le dilemme était tout aussi intense, renforcé par une critique sévère d’une bonne dizaine de leaders européens sur le principe même de Spitzenkandidat.

De nombreux candidats alternatifs

Se profile donc ensuite toute une série de candidats, souvent des leaders européens ou des personnalités proches d’eux qui pourraient être présents dans le jeu pour un poste à la tête de la Commission européenne comme du Conseil européen (1). Le Premier ministre Croate Andrej Plenković (PPE) n’a pas caché ses prétentions : il a l’avantage d’être un peu du Sud, un peu de l’Est, et du PPE. Le Belge Charles Michel (Libéral) a fait savoir mezzo vocce qu’il était disponible (cf. le quotidien Le Soir qui n’est pas à un article près en sa faveur ;-). Il y a aussi le Néerlandais Mark Rutte (Libéral), maintes fois cité et maintes fois démenti (car il préfère un poste à La Haye qu’à Bruxelles), ou la Lituanienne Dalia Grybauskaitė (ind.) qui cumule certains avantages (être une femme, de l’Est, avec une solide expérience à la Commission comme à la tête d’un État, venant d’un petit pays, et non encartée) mais présente un seul bémol : un peu trop anti-russe au goût de certains. Enfin, on trouve le Français Michel Barnier (PPE, négociateur pour le Brexit), très discret depuis quelques temps, qui est concrètement un des meilleurs candidats qu’on puisse avoir pour la Commission européenne.

Des candidats adeptes de la discrétion

Mais il y a aussi quelques pays qui avancent à pas de loups. L’Irlandais Leo Varadkar (PPE) ne serait pas insensible à une proposition de prendre un poste (avantages : sa jeunesse, venir d’un petit pays habitué à fournir de solides ‘gaillards’ à l’intégration européenne, le Brexit l’a bien aiguisé au plan politique). Le Portugais Antonio Costa (S&D) a parfois été cité. Le Maltais Joseph Muscat (S&D) se verrait aussi bien à la Commission européenne par exemple, mais son dossier n’est pas très attrayant. S’il a été très actif sur le dossier des migrants et de la Méditerranée, l’affaire Daphné (du nom de la journaliste assassinée) est toujours non élucidée totalement et les affaires de corruption polluent l’île.

Le sémillant leader autrichien Sebastian Kurz se propulserait bien jusqu’à la capitale belge où il a ses aises, en guise de repêchage de la perte de son siège à la Ballhausplatz. Enfin, les socialistes espagnols sont prêts à divers compromis, du moment qu’ils peuvent caser un des leurs à un poste important de décision (une grosse vice-présidence économique de la Commission par exemple, à défaut du Haut représentant qui, visiblement, n’enthousiasme pas Josep Borrell, contrairement à ce que certaines rumeurs persistantes laissent entendre).

Dans tous ces noms, un constat s’impose : la domination des candidatures masculines, et l’absence de femmes à une ou deux exceptions près. Un correctif s’impose nécessairement.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Une bonne dizaine de postes en jeu

La donne est assez complexe, mais le jeu est assez raffiné. Car on peut mettre d’autres postes dans la balance ou offrir des compensations aux candidats déchus (ou déçus) ou aux pays qui les présentent.

S’il y a officiellement trois postes de tête à répartir (président de la Commission, du Conseil européen et Haut représentant), il y en fait une bonne dizaine de postes, car certains mandats peuvent être subdivisés en deux. Comptons !

Au poste de président de la Commission européenne (pour 5 ans normalement), on peut ainsi adjoindre un ou deux vice-président(s). Le poste de président du Conseil européen peut être subdivisé en deux (le mandat est de deux ans et demi renouvelable = 2 postes).

On peut ajouter dans la balance le poste de président du Parlement européen (pour cinq ans divisé en deux = 2 postes) et celui de président de la Banque centrale européenne (pour 8 ans, mais le mandat peut être divisé comme entre Jim Duisenberg et Jean-Claude Trichet = 2 postes).

A ceux-là, il faut aussi ajouter les postes, très discrets, mais primordiaux, des secrétaires généraux des trois institutions : le secrétaire général du Conseil de l’UE (le seul prévu par le Traité et nommé par le Conseil européen en même temps que son président), le secrétaire général du service diplomatique européen – SEAE (qui est souvent l’objet d’un ‘ticket’ avec le Haut représentant, même si officiellement il est choisi par lui ou elle) et le secrétaire général de la Commission européenne (un poste tout puissant, qui est un quasi-vice président de la Commission, Martin Selmayr l’a montré ces dernières années comme auparavant Catherine Day).

  1. Flécher trop rapidement un candidat sur un poste est hasardeux. L’expérience a prouvé que jusqu’au dernier moment, un nom pressenti peut au final atterrir — comme dans un jeu de chaises musicales — sur un autre poste. Exemple : en 1999, Javier Solana avait été évoqué un moment comme président de la Commission avant d’atterrir au poste… de Haut représentant.

Cet article Top Chef 2019 : des noms, quels noms ? est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Les sanctions économiques sur la Crimée et Sébastopol prolongées d’un an

Thu, 20/06/2019 - 21:30
(B2) Le Conseil de l'UE réunis à Bruxelles ce jeudi (20 juin) a prorogé d'un an, jusqu'au 23 juin 2020, les mesures restrictives instaurées en réponse à l'annexion de la Crimée et de Sébastopol par la Russie Ces mesures d'embargo économique avaient été mises en place en juin 2014, en addition aux diverses mesures restrictives […]

Cet article (B2 Pro) Les sanctions économiques sur la Crimée et Sébastopol prolongées d’un an est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Haut représentant : un poste qui n’attire plus vraiment

Thu, 20/06/2019 - 18:58

(B2) Au futur chef/fe de la diplomatie européenne, je recommanderai « non seulement beaucoup de patience, mais aussi beaucoup de passion pour la diplomatie et la défense, à ce travail qui est le plus fantastique du monde » confiait la Haute représentante actuelle, Federica Mogherini, à B2 il y a quelques jours. Un propos pertinent. On ne peut pas dire pourtant qu’il y ait beaucoup de ‘passionnés’ qui aient déclaré leur flamme pour l’instant

Personne ne semble avoir envie de se faire projeter dans la fournaise de la diplomatie européenne (crédit : DICOD 2016 – archives B2)

Un manque d’intérêt notable

En février, nous avions fait un premier tour de piste. Assez inquiétant (Lire : Commission 2019. Les candidats au poste de Haut représentant ne se bousculent pas. Six noms possibles et éventuels ?). Aujourd’hui, alors que se déroule un sommet européen consacré au renouvellement des institutions européennes, la tendance n’a pas changé. Elle s’est presque aggravée. Aucun candidat officiel ou officieux n’est en lice ou ne veut s’afficher. Le social-démocrate néerlandais Frans Timmermans ne parait pas très intéressé par le poste. Les Espagnols qui auraient pu revendiquer la fonction (comme les Français) ont la tête tournée ailleurs (vers la Commission européenne). Seul le Slovaque Maros Sefkovic s’est déclaré officiellement intéressé, mais à défaut de ne pas avoir un autre poste plus emblématique et davantage pour faire la nique à Frans Timmermans (lire sur B2 Pro : Les Visegrad présentent Sefkovic à la tête de la Commission, ou comme Haut représentant. Un coup bas à Timmermans).

Pourquoi ce désintérêt ?

La complexité politique

L’absence de majorité claire au Parlement européen comme au Conseil européen et le flou qui entoure la désignation du président de la Commission européenne ne facilitent pas les choses. La plupart des États membres préfèrent se concentrer sur ce poste-là, voire sur une vice-présidence de la Commission européenne avec un volet économique plus ‘rentable’ en termes d’influence, qu’un poste exposé de Haut représentant de l’UE, qui n’a pas qu’un pouvoir d’impulsion limité de la diplomatie européenne.

Un poste de second rang

Malgré sa nomination par le Conseil européen, le poste de Haut représentant de l’UE n’apparait ainsi que comme un ‘second couteau’. Une fois que les autres postes de tête (Commission européenne, Conseil européen) seront pourvus, par déduction apparaitront les critères nécessaire (parti politique, homme ou femme, zone géopolitique, etc.), que doit remplir le futur chef de la diplomatie politique pour compléter l’attelage.

Un job impossible à tenir

Hormis ces raisons assez conjoncturelles, il y a une raison à ce désamour, plus profonde. Le job apparait impossible à tenir à qui voudrait avoir un peu d’ambition. Il y a une erreur de base dans la définition du poste. Croire qu’en fusionnant des fonctions différentes, par une simple magie fonctionnelle, on va aboutir à davantage d’efficacité se révèle un leurre complet, surtout dans un monde de plus en plus complexe, où les États veulent continuer à jouer un rôle. Pour un État membre, avoir un représentant à la Commission qui court le monde, c’est l’assurance qu’il ne pourra pas être là à 100% au collège pour suivre tous les dossiers qui l’intéressent. Les futurs dirigeants européens comme les actuels chefs d’état et de gouvernement doivent s’attaquer d’urgence à ce défi s’ils veulent avoir un peu d’efficacité pour la diplomatie européenne. Lire aussi : Le bug système du haut représentant peut-il être résolu ?

(Nicolas Gros-Verheyde)

Cet article Haut représentant : un poste qui n’attire plus vraiment est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Bataille de Tripoli : « Seuls les belligérants ignorent le statu quo » (source ONU)

Thu, 20/06/2019 - 14:35
(B2 à Tripoli) L’Armée nationale libyenne (LNA) du maréchal Khalifa Haftar a lancé depuis début avril une vaste opération destinée à prendre le contrôle de Tripoli. Une offensive bloquée à la lisière de la capitale par les troupes du Gouvernement d’union nationale (GNA) de Fayez el-Sarraj et ses alliés. Depuis deux mois, la situation est […]

Cet article (B2 Pro) Bataille de Tripoli : « Seuls les belligérants ignorent le statu quo » (source ONU) est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Tigres du Tamoul : leur maintien sur liste noire en 2009 invalidé par la Cour de justice

Thu, 20/06/2019 - 12:12
(B2) La Cour de justice a déclaré invalide l'inscription des Tigres du Tamoul (Liberation Tigers of Tamil Eelam, LTTE) sur liste noire à partir de juin 2009 dans le cadre de la lutte contre le terrorisme jeudi (20 juin). L'absence de mention de la défaite militaire de mai 2009 est en cause Les juges étaient […]

Cet article (B2 Pro) Tigres du Tamoul : leur maintien sur liste noire en 2009 invalidé par la Cour de justice est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Pourquoi faut-il désigner le président de la Commission rapidement ?

Thu, 20/06/2019 - 11:34

(B2) Si les Chefs d’État et de gouvernement échouent aujourd’hui, ou demain, à trouver le ou la futur/e chef/fe de la Commission européenne, il ne restera pas beaucoup de temps ensuite pour trouver le candidat idoine

Si le premier choix revient au Conseil européen, le dernier mot revient à la plénière du Parlement. Gare aux erreurs (crédit : Commission européenne)

Une machinerie de haute précision

La mise en place d’une nouvelle direction européenne est une machinerie de haute précision. Et les trois ou quatre mois qui nous séparent de la fin du mandatde la Commission actuelle (31 octobre) ne seront pas de trop (1). Jugez-en.

pour cela

Première étape : avoir l’aval du Parlement européen (mi-juillet)

Une fois choisi (ou élu par les Chefs), le président de la Commission n’est pas encore intronisé. Une majorité absolue d’eurodéputés doit approuver ce choix. En l’état actuel des forces, cela nécessite l’approbation d’au moins trois des principaux groupes politiques : la droite (parti populaire européen ou PPE, dont fait partie Les Républicains), les socialistes (sociaux et démocrates, S&D, dont fait partie le PS) et le centre libéral et démocrate (dont fait partie ‘Renaissance’ ou ‘En Marche). Le vote est prévu à la seconde plénière de juillet (le 16 ou le 17), après une présentation par le nouveau (ou la nouvelle) chef de la Commission. NB : Si la marche est loupée, retour à la case départ. Un nouveau Conseil européen doit être convoqué.

Seconde étape : constituer l’équipe de commissaires (fin juillet)

Chaque pays propose un nom, homme ou femme, selon des critères peu homogènes. Avec un patchwork de personnalités de différents bords politiques, aux expériences très variables. le nouveau chef de la Commission doit arriver à avoir une équipe solide, compétente et paritaire hommes-femmes. Un travail de virtuose.

Troisième étape : la préparation estivale (août)

Les 26 commissaires désignés (2) doivent se préparer à l’audition de rentrée devant le Parlement européen et remplir un questionnaire écrit, détaillé, évaluant autant leur probité que leurs compétences ou leur attachement européen. Pas question de chômer.

Quatrième étape : les auditions au Parlement (septembre)

Chaque commissaire est auditionné par « sa » commission parlementaire. Un grand oral des plus difficiles. Gare aux mauvaises réponses ou à un comportement nonchalant. L’éjection est au bout du filet. NB : si un commissaire est refusé, retour aux étapes 2 à 4, en version accélérée.

Cinquième étape : le vote final (octobre)

Toute la Commission dans son entier doit recevoir l’onction démocratique, dans un nouveau vote du Parlement européen. Le président de la Commission y déroule son programme pour les cinq années à venir.

Dernière étape : le serment (fin octobre)

Une étape protocolaire, le collège des commissaires se rend à Luxembourg pour prêter serment devant la Cour de justice européenne. La délivrance.

(Nicolas Gros-Verheyde)

  1. On n’est pas à deux ou trois jours près. Chacun a déjà coché sur son calendrier le 1er juillet comme la date d’un autre sommet si celui-ci échouait. Mais il ne faut pas traîner davantage.
  2. Un chiffre qui se monte à 27 si on inclue un (éventuel) commissaire britannique.

Pour aller plus loin, le rétroplanning des institutions décrypté : 2019, le renouvellement des institutions, un sacré rubik’s cube ! (B2 Pro)

Cet article Pourquoi faut-il désigner le président de la Commission rapidement ? est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) A l’agenda du sommet européen des 20 et 21 juin

Thu, 20/06/2019 - 07:05
(B2) Le sommet européen de ces 20 et 21 juin sera dominé par l'agenda institutionnel, le renouvellement des têtes européennes, même si d'autres aspects (Turquie, Climat, Zone Euro...) ne sont pas négligeables. Une réunion anticipée par de multiples consultations Le sommet démarre en fait en fin de matinée avec les réunions des chefs au sein […]

Cet article (B2 Pro) A l’agenda du sommet européen des 20 et 21 juin est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) La désinformation et l’espionnage, menaces pour la démocratie, vont alerter les 28 (Conseil européen)

Wed, 19/06/2019 - 22:06
(B2) Les opérations de désinformation intensives, notamment lors des campagnes électorales, sont une menace pour la démocratie, devraient indiquer les chefs d'État et de gouvernement ce jeudi (20 juin) Les 28 sont amenés à faire le bilan du travail conduit dans le cadre des élections européennes du mois dernier. Leur prise de position fait notamment […]

Cet article (B2 Pro) La désinformation et l’espionnage, menaces pour la démocratie, vont alerter les 28 (Conseil européen) est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Le commandement européen de transport aérien (EATC) : un modèle à suivre ? Entretien avec le général Laurent Marboeuf

Wed, 19/06/2019 - 16:50
(B2) Le commandement européen du transport aérien (EATC) reste un modèle inégalé de coopération intégrée entre plusieurs pays européens qui ont décidé de mettre en commun leur flotte d'avions de transport (A400M, C130J, Casa C295...). Mais, depuis son inauguration, il y a presque dix ans, en 2010, la structure a bien évolué Le général Laurent […]

Cet article (B2 Pro) Le commandement européen de transport aérien (EATC) : un modèle à suivre ? Entretien avec le général Laurent Marboeuf est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Pologne, Iran, désinformation, passeports : Vladimir Chizhov répond

Wed, 19/06/2019 - 14:05
(B2) L'ambassadeur Vladimir Chizhov, représentant permanent russe à Bruxelles auprès de l'Union européenne, a réagi lundi (17 juin) sur les sujets chauds entre l'Europe et son pays Les relations UE-Russie sont « agonisantes », a martelé le diplomate qui a répondu à quelques questions d'actualité lors de sa conférence de presse annuelle sur les questions […]

Cet article (B2 Pro) Pologne, Iran, désinformation, passeports : Vladimir Chizhov répond est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Un hussard parachutiste prend le commandement de mission à EUTM RCA

Wed, 19/06/2019 - 11:40
(B2 - exclusif) Après une année et demi à Bangui, le général de brigade portugais Hermínio Teodoro Maio va passer le relais, à partir du 8 juillet, du commandement de la mission de l'UE de formation de l'armée centrafricaine (EUTM RCA), à un homologue français, le général de brigade Éric Peltier, selon le texte de […]

Cet article (B2 Pro) Un hussard parachutiste prend le commandement de mission à EUTM RCA est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Les députés en charge des dossiers pour la majorité ‘gouvernementale’

Wed, 19/06/2019 - 09:02
(B2) Les quatre groupes du Parlement européen (PPE, S&D, Renew Europe, Verts) préparent des priorités stratégiques, qui devrait être la base commune programmatique de la majorité future. Cinq groupes de travail, dont deux concernent les affaires diplomatiques, de défense et de sécurité, ont été mis en place. Deux députés de chaque groupe y ont été […]

Cet article (B2 Pro) Les députés en charge des dossiers pour la majorité ‘gouvernementale’ est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) Venezuela. Face à l’urgence humanitaire, il est temps de négocier répètent les Européens

Wed, 19/06/2019 - 08:57
(B2) Dans une déclaration de la Haute représentante publiée au nom de l'Union européenne (*), les Européens expriment leur « grave préoccupation devant la détérioration de la situation politique et humanitaire au Venezuela » Alors que le bras de fer entre le président Nicolas Maduro et son rival de l'opposition Juan Guaido, qui s'est auto-proclamé […]

Cet article (B2 Pro) Venezuela. Face à l’urgence humanitaire, il est temps de négocier répètent les Européens est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

(B2 Pro) La crise politique en Moldavie est terminée. Les Européens poussent un ouf ! de soulagement

Tue, 18/06/2019 - 18:58
(B2) Le point n'était pas à l'agenda mais les dernières évolutions ont poussé les ministres des Affaires étrangères des 28, réunis à Luxembourg lundi (17 juin), à saluer « une évolution positive » en Moldavie permettant une normalisation de la situation politique  Après les élections de février dernier, la Moldavie a vécu des semaines de tensions […]

Cet article (B2 Pro) La crise politique en Moldavie est terminée. Les Européens poussent un ouf ! de soulagement est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.

Pages