Un jeune de 20 ans a été condamné à 10 ans de prison ferme pour viol d'une fillette âgée de 6 ans.
La Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) a condamné, le 18 octobre 2023, le sieur Justin Z. à 10 ans de prison ferme, 500.000 FCFA d'amendes, 200.000 FCFA de dommages et intérêts pour la victime.
Le prévenu doit également verser le franc symbolique à l'Institut National de la Femme (INF).
Il est jugé pour des faits de viol sur mineure. Les faits se sont déroulés, mardi 21 février 2023 à Ouidah dans le département de l'Atlantique, a rapporté la Secrétaire Exécutive de l'INF dans une vidéo Facebook.
De retour d'une course commandée par son père, aux environs de 19 heures, la fillette de 6 ans a été interceptée par le jeune homme de 20 ans. Celui-ci la conduit dans une brousse où il a eu des relations sexuelles avec elle malgré ses cris.
Le violeur a été surpris par un passant qui alerta les populations.
Arrêté et condamné par la justice, le prévenu a fait appel du jugement.
La CRIET, en appel, a retenu contre le prévenu l'infraction d'atteintes sexuelles sur mineure de moins de 13 ans et confirmé la peine.
Entre 2016 et 2023, le Ministère de l'Economie et des Finances (MEF) a doublé les recettes fiscales, réduit la dette et multiplié les dépenses sociales. Voici comment le MEF a transformé l'économie du Bénin.
Au Bénin, les recettes domestiques ont plus que doublé en sept ans. Elles sont passées de 746 milliards FCFA en 2016 à plus de 1 700 milliards en 2023. Une augmentation de 128 % sans hausse d'impôts.
Le Code Général des Impôts a adopté a permis la suppression de vingt taxes et impôts.
En parallèle, la télédéclaration et le télépaiement ont été généralisés.
Le civisme fiscal a suivi. Le nombre d'entreprises contribuables a été multiplié par trois. De 2 979 à 8 655.
De sources proches du Ministère de l'Economie et des Finances, l'objectif d'ici 2026 est financer 75 % du budget national avec les ressources propres, contre 59 % en 2023.
Accès aux marchés internationaux et crédibilité retrouvée
Depuis 2019, le Bénin est noté par les trois principales agences. En avril 2024, S&P a relevé sa note à BB-.
Le Bénin a gagné la confiance des marchés. Cinq eurobonds ont été levés depuis 2016 pour 1 754 milliards FCFA. Des levées de fonds qui ont servi à rembourser d'anciennes dettes plus chères (taux > 7%) ; racheter par anticipation des eurobonds pour profiter des conditions favorables ; Financer les projets de développement (974 milliards FCFA).
Autre symbole de rigueur : les dettes internes sont désormais réglées sous 30 jours. Un soulagement pour les entreprises.
Le taux d'endettement du Bénin reste bas : autour de 50 % du PIB. En dessous du seuil communautaire de 70 %.
Le Bénin occupe désormais la première place en Afrique francophone en matière de transparence budgétaire. Deuxième à l'échelle du continent.
Le social au cœur du budget : des dépenses multipliées par cinq
En 2023, le Bénin a investi près de 900 milliards FCFA dans les dépenses sociales prioritaires, contre 177 milliards avant 2016.
Les actions sont multiples : cantines scolaires (1,3 million d'enfants), microcrédits, soins gratuits pour les plus démunis, assurance maladie universelle, entretien des pistes rurales, soutien à l'entrepreneuriat des jeunes.
Le gouvernement rompt avec l'assistanat ponctuel. Il privilégie des politiques sociales structurées, pour plus d'autonomie.
Le budget de l'État est publié dans un langage simplifié. Il est traduit en huit langues nationales. Un effort salué par la société civile.
As futures studies continue gaining prominence in the social sciences, questions arise about futuremaking methodologies, about how to solicit and comprehend societal aspirations, visions and actions with which individuals and communities make the future a subject of the present. Questions such as “What are your aspirations or visions for the future?” often entice inadequate responses within future-centric ethnographic studies. Drawing from sociology, environmental studies, the arts, and the disciplines of economics and geography, we depart in search of an ethnographic methodology with which to effectively solicit, organize and make sense of future-making by those at the margins. We combine artefacts and playfulness among adults to socially study futures. We draw empirically on two focus group discussions, a regular discussion workshop and three future-making workshops employing artefacts and participatory playful interactions in rural Tanzania and Namibia to propose a methodology towards succinct responses to difficult ethnographic questions about futures. These are questions outside the capacity for mundane responses, whose answers are rarely actively thought out by groups such as smallholder farmers and rural communities. Using the Lego Identity and Landscape Set (LILS) as utility artifacts for ethnographic inquiry, we outline a methodology enabling smallholder farmers to tell their stories of the future, as rooted in their evolving landscapes and, accordingly, their socioecological systems. A landscape-centric lens aids the understanding of the social-ecologies in which futures unravel. We highlight the methodology’s applicability outside the rural realm, generally towards ethnographies of futures, placing emphasis on the agency of marginalized groups.
As futures studies continue gaining prominence in the social sciences, questions arise about futuremaking methodologies, about how to solicit and comprehend societal aspirations, visions and actions with which individuals and communities make the future a subject of the present. Questions such as “What are your aspirations or visions for the future?” often entice inadequate responses within future-centric ethnographic studies. Drawing from sociology, environmental studies, the arts, and the disciplines of economics and geography, we depart in search of an ethnographic methodology with which to effectively solicit, organize and make sense of future-making by those at the margins. We combine artefacts and playfulness among adults to socially study futures. We draw empirically on two focus group discussions, a regular discussion workshop and three future-making workshops employing artefacts and participatory playful interactions in rural Tanzania and Namibia to propose a methodology towards succinct responses to difficult ethnographic questions about futures. These are questions outside the capacity for mundane responses, whose answers are rarely actively thought out by groups such as smallholder farmers and rural communities. Using the Lego Identity and Landscape Set (LILS) as utility artifacts for ethnographic inquiry, we outline a methodology enabling smallholder farmers to tell their stories of the future, as rooted in their evolving landscapes and, accordingly, their socioecological systems. A landscape-centric lens aids the understanding of the social-ecologies in which futures unravel. We highlight the methodology’s applicability outside the rural realm, generally towards ethnographies of futures, placing emphasis on the agency of marginalized groups.
As futures studies continue gaining prominence in the social sciences, questions arise about futuremaking methodologies, about how to solicit and comprehend societal aspirations, visions and actions with which individuals and communities make the future a subject of the present. Questions such as “What are your aspirations or visions for the future?” often entice inadequate responses within future-centric ethnographic studies. Drawing from sociology, environmental studies, the arts, and the disciplines of economics and geography, we depart in search of an ethnographic methodology with which to effectively solicit, organize and make sense of future-making by those at the margins. We combine artefacts and playfulness among adults to socially study futures. We draw empirically on two focus group discussions, a regular discussion workshop and three future-making workshops employing artefacts and participatory playful interactions in rural Tanzania and Namibia to propose a methodology towards succinct responses to difficult ethnographic questions about futures. These are questions outside the capacity for mundane responses, whose answers are rarely actively thought out by groups such as smallholder farmers and rural communities. Using the Lego Identity and Landscape Set (LILS) as utility artifacts for ethnographic inquiry, we outline a methodology enabling smallholder farmers to tell their stories of the future, as rooted in their evolving landscapes and, accordingly, their socioecological systems. A landscape-centric lens aids the understanding of the social-ecologies in which futures unravel. We highlight the methodology’s applicability outside the rural realm, generally towards ethnographies of futures, placing emphasis on the agency of marginalized groups.
Porté en triomphe par la majorité présidentielle pour briguer la magistrature suprême au Bénin en avril 2026, Romuald WADAGNI, ministre d'Etat en charge de l'économie et des finances et de la coopération, sera officiellement investi, samedi 4 octobre 2025, à Parakou. L'évènement initialement réservé aux délégués des formations politiques, suscite beaucoup d'engouement tant de l'intérieur qu'à l'extérieur du pays.
Le dimanche 31 août 2025, les deux grands blocs de la mouvance présidentielle, l'Union progressiste le renouveau (UP-R), et le Bloc Républicain (BR), avaient officialisé leur choix sur l'actuel ministre d'Etat en charge de l'économie et des finances, Romuald WADAGNI, pour porter les couleurs de la majorité à la présidentielle de 2026 au Bénin.
Dans une convergence d'actions, les forces politiques soutenant les actions du chef de l'Etat Patrice TALON, notamment le MOELE-BENIN de Jacques AYADJI, la RN de Claudine PRUDENCIO, des acteurs politiques aussi bien de la mouvance présidentielle que de l'opposition, ont exprimé leur soutien à Romuald WADAGNI.
L'ancien président de la République, Nicéphore SOGLO, en dépit de ses critiques parfois très acerbes contre le gouvernement du président TALON, a salué ce choix opéré par les partis politiques de la mouvance présidentielle au Bénin. Pour lui, ce choix traduit une volonté de continuité mais ouvre également de nouvelles perspectives pour la réconciliation nationale. « Je tiens à adresser mes vives et sincères félicitations à ce brillant et jeune expert-comptable qui a fait ses preuves aux côtés du président Patrice TALON ces neuf dernières années », avait déclaré SOGLO, après avoir salué le parcours professionnel du futur locataire de la Marina.
L'autre soutien qui retient les attentions est celui du député Léon Basile AHOSSI, 2e vice-président de l'Assemblée nationale, membre du parti Les Démocrates, formation politique radicalement opposée à la gouvernance actuelle au Bénin. Deux semaines après sa note de soutien qui a fait le tour des réseaux sociaux, il a fait une déclaration officielle le 18 septembre pour exprimer son admiration à l'ex patron du cabinet Deloitte, devenu argentier national depuis 2016. Dans un entretien diffusé sur Matin Libre TV, il a confié avoir des accointances particulières avec le ministre d'Etat Romuald WADAGNI. « On a des choses en privé qui font qu'on se doit une certaine vérité, une certaine assistance », a-t-il renchéri.
Fort engouement à la cérémonie d'investiture
Quelques jours avant l'investiture du duo candidats Romuald WADAGN-Mariam Chabi TALATA, c'est la ferveur totale à l'intérieur comme à l'extérieur du pays. Nul ne veut se faire compter l'évènement.
Des ressortissants béninois à Accra au Ghana, Abidjan en Côte d'Ivoire et plusieurs autres capitales africaines, annoncent leur participation à cette cérémonie d'investiture alors que selon le principe, ce sont les délégués des partis qui souvent, sont invités pour l'investiture du candidat.
Les regards sont alors tournés vers Parakou, métropole de la région septentrionale du Bénin pour un évènement inédit qui sera gravé dans les annales de l'histoire.